Tag: 11 novembre

  • Le courrier des auditeurs du 11.11.2022

    Le courrier des auditeurs du 11.11.2022

    Mesdames et messieurs, bien le bonjour ! Je suis ravi de vous retrouver dans le cadre du courrier des auditeurs de RRI. Noël approche à grands pas, mais les températures sont toujours inhabituellement élevées. Il est vraiment étrange de voir apparaître les décorations pour Noël dans les magasins alors qu’à l’extérieur les températures frôlent toujours les 20 degrés. Parallèlement, il fait déjà près de deux mois qu’il n’y a pas eu de précipitations en Roumanie et la sécheresse se fait à nouveau sentir. Mais grâce à cette superbe météo, les vacances des écoliers se sont avérées une occasion excellente pour les familles roumaines de partir à la découverte d’endroits spectaculaires en Roumanie. Les principales destinations, surtout celles à la montagne, ont été prises d’assaut et les paysages de forêts aux couleurs de l’automne ont envahi les réseaux sociaux. Même s’il vient de s’achever, « le petit été de novembre » est une anomalie météorologique qui inquiète un nombre de plus en plus croissant de Roumains. Mais de l’inquiétude à l’action visant à limiter le désastre écologique le chemin est plutôt long en Roumanie.

    Je tiens à vous remercier moi aussi pour vos participations à la Journée de l’auditeur de RRI. Dans la mémoire collective, 2022 restera non pas comme l’année de la fin de la pandémie de COVID-19, mais comme celle de l’invasion de l’Ukraine par les troupes russes. Une guerre menée sur plusieurs fronts, y compris celui de la propagande et la désinformation médiatique. Alors, dans l’édition 2022 de la « Journée de l’Auditeur » sur RRI, nous vous avons demandé quelles sont vos premières sources d’information sur la guerre en Ukraine, comment faites-vous pour éviter les infox et à quel point vous sentez-vous vulnérable par rapport à la désinformation ? Quel est le rôle de la radio, en particulier de la radio publique internationale, dans votre vie en ces temps d’incertitude ? Vos réactions et vos réponses sont à retrouver dans la section Forum de notre site www.rri.ro. J’ajoute aussi la réaction de Gilles Gautier, arrivée malheureusement trop tard pour être citée officiellement dans le cadre de la journée de l’Auditeur sur RRI. La voici : « J’écoute un peu toutes les chaînes d’information que nous avons (4-5 sur notre télé) pour me faire une idée et les informations sont peu différentes d’une chaîne à l’autre. En écoutant aussi les ondes courtes, comme votre radio proche des événements, la Slovaquie ou Prague sur le net on a une bonne idée des faits et l’on peut dire que seuls des petits détails divergent. J’écoute aussi France infos et RTL. Je n’écoute rien d’autre, donc les informations reçues, je pense sont très exactes. Je pense qu’en écoutant toutes ces ressources que je viens de vous citer il y a peu de chance que les informations soient erronées. Je n’écoute que ce que je pense dit la vérité. Et cela rejoint votre dernière question c’est par tous ces moyens que je m’informe avec en plus un journal papier. Mais je dois avouer que je ne suis que de loin toutes ces informations depuis ces dernières semaines sur cette guerre car elles me stressent pas mal en ce moment et m’inquiètent terriblement, pas trop pour moi, mais pour mes enfants et petits enfants. Il faut avouer que la radio et ses O.C. est un excellent moyen d’information ! » Oui, M Gautier, les informations que nous recevons quotidiennement nous inquiètent terriblement : à commencer par la guerre en Ukraine, en passant par la situation en Iran et jusqu’à la crise énergétique ou encore climatique.

    Et pour passer à vos messages et rapports d’écoute, je tiens à mentionner les rapports d’écoute que nous recevons de différents pays, notamment de régions plutôt anglophones du monde. Et là je mentionnerais Muhamad Aqeel Bashir du Pakistan, Abdul Aleem d’Inde, mais aussi Sugio Hitoshi du Japon, avec des codes SINPO de 4 et de 5 surtout. Nous sommes très heureux de recevoir des rapports d’écoute de régions qui ne s’inscrivent pas dans nos repères traditionnels. Salutations aussi et merci pour vos rapports d’écoute à Axel Rodriguez de Rennes en France, à Michel Aubier et à Hervé Duval, également de France. Grand merci à vous tous.

    Et je passe maintenant à un mail très récent, reçu de la part de Phillipe Marsan de Biganos en France. « Demain en France le 11 novembre, nous marquerons la fin des combats de la première guerre mondiale, le 11ème jour du 11ème mois de la 11ème heure en 1918…. Que faites vous en Roumanie ? Marquez-vous cet évènement ? Cette fin de guerre amèna la chute des grands empires comme l’empire Austro Hongrois et l’empire Ottoman. Ainsi fut crée la Tchécoslovaquie, qu’en est il de la Roumanie, et le royaume des Serbes Croates Dalmates ? » Effectivement, le 11 novembre marque la Journée de l’Armistice en Europe et la fin de la Première guerre mondiale. La Roumanie célèbre le 11 novembre « la Journée des Vétérans des théâtres d’opérations », par des cérémonies spécifiques dans les principales garnisons du pays. Le 11 novembre n’est pourtant pas une fête nationale et par conséquent ce jour n’est pas férié. En effet, pour le Royaume de Roumanie, le 11 novembre 1918 a été le lendemain de la seconde entrée du pays dans la Première Guerre Mondiale. A cause de l’écroulement de l’empire des Tsars et la signature du Traité de paix de Brest-Litovsk entre la Russie et les Puissances centrales le 3 mars 1918, le Royaume de Roumanie qui n’occupait à l’époque qu’une partie de la Moldavie dans le nord-est a été contraint de signer une paix séparée. Le pays se trouvait en effet complètement isolé par des forces hostiles, non seulement à l’ouest et au sud, mais aussi à l’est où il devait combattre des groupes de déserteurs et de bolcheviks russes. La paix de Buftea – Bucarest signée le 5 mars 1918 a constitué un traité humiliant pour la Roumanie. Ratifié par le Parlement roumain, le traité n’a jamais été promulgué par le Roi Ferdinand Ier, geste qui a en effet préservé le statut de la Roumanie d’état cobelligérant. Donc le 11 novembre 1918, la Roumanie était à nouveau en guerre et déroulait tant des opérations militaires contre les puissances centrales que des opérations policières de maintien de l’ordre dans l’est, contre les Bolcheviks russes. Le 11 novembre 1918, les troupes allemandes étaient en train de quitter Bucarest, à l’issue de 2 années d’occupation militaire. L’opération allait se terminer le 13 novembre. La véritable journée de la victoire est la Fête de l’Union du 1er décembre 1918, l’actuelle fête nationale roumaine, qui marque l’union de la Transylvanie avec le Royaume de Roumanie et la constitution de la Grande Roumanie. Ce fut également le 1er décembre 1918 que le Roi Ferdinand Ier et la Reine Marie firent une entrée triomphale dans la Capitale roumaine, décorée pour l’occasion d’Arcs de Triomphe en bois. Et la Grande Union du 1er décembre 1918 n’a pas marqué non plus la fin de la guerre pour la Roumanie puisque le nouveau Royaume a dû continuer les efforts diplomatiques à la Conférence de paix de Paris et ensuite mené une guerre contre la Hongrie voisine en 1919 pour défendre la Grande Union. Dans le cadre de ce nouveau conflit les troupes roumaines allaient arriver jusqu’à Budapest pour provoquer la chute de la République des Conseils de Hongrie, un régime politique éphémère d’inspiration communiste. La démobilisation de l’armée roumaine dût attendre le 20 mars 1920. Voilà pourquoi le 11 novembre n’est pas une fête tellement importante en Roumanie et ce n’est que depuis très récemment que cette date est évoquée par la presse.

    Passons maintenant à un message écrit sur une lettre physique que Michel Beine de Belgique nous a envoyé il y a un certain temps déjà. Le sujet qu’il nous propose sont les coquillages, c’est à dire moules, coques, praires, amandes, vermis, couteaux. « Quels sont les coquillages préférés des roumains ? » nous demande-t-il. Il nous rappelle qu’en Belgique le combo moules-frites est toujours à l’honneur et nous pose plusieurs questions au sujet des coquillages dans les restaurants en Roumanie. « Quelles boissons accompagnent ces menus ? Le prix d’un menu de ce genre est-il abordable pour les consommateurs ? Décrivez-nous un menu très répandu chez les restaurateurs roumains ». Eh bien M Beine permettez-moi de préciser que dans la cuisine roumaine, les fruits de mer ne sont pas tellement répandus, mais ils sont toutefois présents, vu que la Roumanie a aussi un littoral sur la mer Noire. Les moules et les rapanes veinés – une sorte de mollusque, d’escargot de mer – sont les seuls coquillages présents dans la mer Noire et par conséquent dans la cuisine roumaine. Les recettes sont très simples dans la cuisine traditionnelle puisqu’on les retrouvent blanchis ou frits en panure accompagnés d’une sauce à l’ail et de polenta. Le vin blanc sec ou demi-sec est également obligatoire. Dans la localité de « 2 mai », sur la côte roumaine, il y a un petit restaurant familial qui propose des moules décortiquées dans une sauce blanche à base de crème et d’ail. Un plat que j’ai beaucoup apprécié. Mais voilà que la cuisine et les habitudes des Roumains changent et que les fruits de mer sont de plus en plus présents dans le menu des Roumains. On les retrouve dans les supermarchés à des prix de plus en plus abordables, on peut les commander en ligne – surgelés évidement – et on les découvre aussi dans les menus des restaurants, surtout dans le cadre de recettes aux noms italiens. Pastas, risottos et « fritto mixto » sont les principaux exemples des plats à base de moules, crevettes, calamars et autres fruits de mer. Les prix varient de 10 à 15 euros pour des moules au vin ou les spaghettis aux fruits de mer dans les restaurants habituels pour dépasser les 20 euros dans les restaurants plus élégants.

    Et sur cela, avec une immense envie de manger des moules-frites, je dois mettre fin à ce courrier des auditeurs. Merci de l’avoir suivi. A bientôt !

  • Le centenaire de la fin de la Grande Guerre

    Le centenaire de la fin de la Grande Guerre

    « Les anciens démons resurgissent » et « des idéologies nouvelles » menacent la paix, a déclaré dimanche, à Paris, le président français Emmanuel Macron, lors de la cérémonie pour marquer les cent ans écoulés depuis l’armistice. Plus de 70 leaders mondiaux, dont le chef de l’Etat roumain Klaus Iohannis, ont répondu présent à l’invitation lancée par le chef de l’Elysée de participer à cette cérémonie. Elle s’est ouverte avec une photo de groupe symbolique, prise sous l’Arc de Triomphe. Seuls les leaders russe et américain y étaient absents. Alors que les dignitaires conviés aux commémorations du 11 Novembre ont gagné l’Arc de Triomphe en bus, Trump et Poutine sont arrivés plus tard, de leur côté.

    Plus tard dans la journée, les dirigeants les plus importants de la planète ont participé au Forum pour la Paix de Paris. A une seule exception près : le chef d’Etat américain a décidé de quitter la France avant le reste de ses homologues. Ce n’est d’ailleurs pas la seule critique adressée à ses décisions. La visite du cimetière américain de Bois Belleau dans l’Aisne, prévue de longue date dans le cadre des commémorations de l’armistice, a été annulée au dernier moment, à cause du mauvais temps. Prise au dépourvu, la Maison Blanche avait indiqué que la décision avait été prise pour des raisons de programme et de logistique liées au temps.

    Quant au Forum de paix de Paris, il a suffi de deux débats pour donner le ton des pourparlers qui doivent durer jusqu’à mardi, et qui portent notamment sur la défense du multilatéralisme, un concept rejeté par le leader de la Maison Blanche. « Nous sommes fragilisés par les retours des passions tristes, le nationalisme, le racisme, l’antisémitisme, l’extrémisme, qui remettent en cause cet horizon que nos peuples attendent, a déclaré Emmanuel Macron à l’ouverture du forum sur la paix. « Notre monde est secoué par toutes sortes de crises : économique, écologique, climatique, nucléaire, migratoire ». L’humanité est fragilisée par « le retour de menaces capables de frapper à n’importe quel moment, je pense au terrorisme, à la prolifération chimique ou nucléaire ou à la cybercriminalité » a ajouté Macron, avant de conclure que dans ce contexte, le multilatéralisme est essentiel.

    Le secrétaire général de l’ONU, Antonio Guterres, a mis en garde dimanche à Paris contre un «engrenage» géopolitique semblable à celui qui a mené à la Première Guerre mondiale, et à celui des années 1930. Il n’y a que la paix qui peut écarter les menaces, a-t-on affirmé à Paris, en prenant pour exemple l’armistice du 11 novembre 1918. Le traité signé à Compiègne entre l’Entente et les puissances centrales de l’Axe avait alors mis un terme aux hostilités sur le front ouest de la première Guerre mondiale. Même si les historiens n’aiment pas le terme de chance pour qualifier la situation de la Roumanie à l’époque, ce qui s’y est passé ressemble à un miracle.

    Début 1918, les Roumains constituent une nation de vaincus, forcés de signer une paix terrible avec l’Allemagne. Quelques mois plus tard, ils se voient inclus par la France dans le camp des vainqueurs. En conséquence, trois semaines après l’armistice, la Roumanie devient un Etat unitaire. C’est la raison pour laquelle, d’ici trois semaines, plus précisément le 1 décembre, la Roumanie célèbrera sa fête nationale et le centenaire de la Grande Union. (trad. Ioana Stancescu)

  • 10.11.2017 (mise à jour)

    10.11.2017 (mise à jour)

    Bruxelles — A Bruxelles, le ministre roumain de la Défense, Mihai Fifor a présenté les évolutions enregistrées dans la constitution d’une présence de l’OTAN en mer Noire, lors d’une réunion de ses homologues des Etats membres de l’Alliance Atlantique. Le ministère roumain de la Défense précise dans un communiqué que ces évolutions se traduisent par la transformation du commandement de la Brigade multinationale de Craiova en une structure de l’OTAN, le renforcement de la présence navale alliée en mer Noire, des activités de police aérienne dans le ciel de la Roumanie, par la participation des alliés aux exercices sur le territoire du pays. Mihai Fifor a également annoncé que la Roumanie était en train de mettre en œuvre un système d’instruction commun des pays de l’Alliance riverains à la mer Noire.



    Visa Waiver — La Roumanie est un des seuls alliés démocratiques qui ne font pas partie du programme Visa Waiver et cela devrait changer, a déclaré Dan Lipinski, membre du Congrès américain, cité par un communiqué de la Chambre des Représentants de Washington. Il a ajouté que l’inclusion de la Roumanie au programme Visa Waiver fera progresser la coopération dans le domaine de la sécurité, les relations commerciales et économiques et le tourisme dans les deux pays. Dan Lipinski a aussi remarqué le fait que « depuis la révolution anticommuniste roumaine de 1989, qui a mis fin au gouvernement autoritaire communiste, la Roumanie est devenue un allié fiable des Etats-Unis ». Le représentant américain a précisé que la Roumanie était un véritable partenaire de sécurité et un des plus importants contribuables à la lutte en Afghanistan, un pays qui a salué la présence américaine en mer Noire et qui accueille une nouvelle brigade multinationale de l’OTAN.



    Visite — Le ministre roumain des Affaires étrangères, Teodor Melescanu, a fait jeudi et vendredi une visite officielle au Bélarus. Il a discuté avec son homologue de Minsk, Vladimir Makei, des perspectives des relations bilatérales, des échanges économiques, des perspectives des relations entre l’UE et le Bélarus. M Melescanu a déclaré que la Roumanie salue le rapprochement enreigistré dans el doalogue entre la Biélorussie et l’Union européenne, qu’elle a toujours soutenue. Le ministre roumain a également rencontré le premier ministre de ce pays, Andrei Kobiakov, qui a déclaré vendredi que le Bélarus pourrait devenir une porte d’entrée pour la Roumanie sur le marché de l’Union économique eurasiatique. Teodor Meleşcanu a participé à un événement de diplomatie publique, consacré au 25e anniversaire depuis l’établissement des relations diplomatiques entre les deux pays. Le moment a été marqué par le lancement d’une émission philatélique, avec des représentations des peintres Corneliu Baba et Mihail Savitski et d’un volume de poésies du poète national roumain Mihai Eminescu, traduites en biélorusse.



    Gaz – La Roumanie dispose des stocks nécessaires de gaz pour cet hiver et l’approvisionnement des consommateurs sera réalisé dans des conditions normales, en respectant les normes techniques, lit-on dans un communiqué du ministère roumain de l’Energie. Le principal producteur national de gaz, Romgaz, a également précisé disposer de stocks presque doubles par rapport au minimum obligatoire. Ces propos interviennent après les déclarations d’Ion Sterian, directeur de la compagnie de transport du gaz Transgaz, selon lequel les réserves de gaz de la Roumanie seraient les plus faibles des quatre ou cinq dernières années. Afin de couvrir la consommation de la population durant l’hiver qui approche, la Roumanie devrait importer du gaz, a-t-il également précisé.



    Diplomatie — L’ambassadeur de Roumanie aux Etats Unis, George Cristian Maior, a visité ces jours-ci les Etats d’Oregon et de Washington, où il a eu plusieurs rencontres visant principalement à attirer des investissements américains en Roumanie. Il a discuté avec les représentants de l’administration locale, mais aussi avec ceux du milieu académique et universitaire. M Maior a également rencontré des membres de la communauté roumano-américaine. L’ambassadeur roumain a fait un exposé à la Portland State University, centrée sur la coopération stratégique bilatérale sur le flanc est de l’OTAN, soulignant le fait que Bucarest peut être considéré l’allié le plus solide des Etats Unis dans la région. Dans le contexte des défis sécuritaires actuels dans la région élargie de la mer Noire, renforcer la capacité de défense et de dissuasion de l’Alliance est une nécessité vitale, et l’élément central de cet effort, c’est l’intensification de la présence américaine dans cette région.



    Anciens combattants — La Journée des anciens combattants est marquée le 11 novembre en Roumanie. Des cérémonies et des dépôts de fleurs seront organisés aux tombeaux et aux monuments consacrés au sacrifice et à l’héroïsme des militaires roumains tombés sur les théâtres d’opérations. Depuis 2014, les Roumains marquent la Journée des anciens combattants le 11 novembre, le même jour que d’autres pays d’Europe, que les Etats Unis, le Canada et l’Australie. La signification historique du 11 novembre, c’est l’armistice conclu en 1918 entre les puissances de l’Entente et l’Allemagne, qui a mis fin à la Première Guerre mondiale. La mémoire des 29 militaires roumains qui ont perdu la vie dans les missions internationales en Afghanistan, Irak et en Bosnie-Herzégovine sera honorée aussi. Le premier militaire roumain a été tué le 11 novembre 2003 sur le théâtre d’opérations d’Afghanistan.



    Chantier naval — Le plus grand constructeur de navires des Pays-Bas, Damen Shipyards Group, rachètera le paquet majoritaire d’actions du chantier naval de Mangalia, détenu par le groupe sud-coréen Daewoo, ont annoncé les représentants de la compagnie hollandaise vendredi. Par cette acquisition, Damen renforcera ses activités internationales de construction et de réparation de navires. La société néerlandaise détient encore en Roumanie le chantier naval de Galaţi. Les représentants de Damen ont encore annoncé qu’ils discutaient avec les représentants du gouvernement de Bucarest de la future coopération à Mangalia et du développement de l’industrie navale roumaine.