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  • Un nouveau théâtre privé : Apollo 111

    Un nouveau théâtre privé : Apollo 111

    Fin novembre 2016, un nouveau théâtre privé ouvrait ses portes à Bucarest. Il s’appelle Apollo 111 et c’est le résultat d’une initiative qui appartient à l’acteur Bogdan Dumitrache connu notamment pour le rôle principal dans le film « La position de l’enfant », qui a été rejoint par le réalisateur Calin Peter Netzer, par le directeur de création Catalin Rusu et par le producteur de film Dragos Vâlcu.

    Ce projet est apparu à un moment où les productions de théâtre indépendant sont de plus en plus nombreuses et visibles à Bucarest. Bogdan Dumitrache explique comment cette situation a influencé sa stratégie de management. « Le point de départ de mon idée est le fait que ces dernières années les espaces indépendants se sont multiplié et de nombreux spectacles indépendants cherchent toujours un endroit pour se produire…Bref, je crois que toutes ces manifestations ont créé un nouveau public, ainsi qu’un intérêt pour ce domaine, et que ce public a des attentes croissantes. C’est ce qui m’a fait comprendre le besoin d’un espace qui ne soit pas tout simplement un bar accueillant un petit spectacle de théâtre, d’un espace qui puisse offrir plus en qu’une table et trois lumières. »

    C’est ainsi que Bogdan Dumitrache est parti à la recherche d’un espace économiquement viable. Il a fini par trouver une salle de 850 mètres carrés au cœur de Bucarest, dans le bâtiment appelé « le palais Universul ». C’est un bâtiment qui accueille déjà plusieurs initiatives artistiques indépendantes et qui est en train de devenir un véritable centre culturel. La salle du théâtre Apollo 111 a été divisée en plusieurs sections, à destinations différentes. Le secteur consacré au théâtre contient 127 places pour les spectateurs, un foyer et des cabines pour les comédiens. Bogdan Dumitrache : « Il y a trois compartiments principaux : l’espace théâtre, une cafeteria et une zone administrative, avec des salles de répétitions et des studios de casting. Le secteur des bureaux accueille aussi l’agence de casting que j’ai montée il y a plusieurs années ; je l’ai installée là parce que j’aime grouper mes activités, afin de mieux les contrôler. Pour moi, c’est évidemment un avantage puisque cela m’aide à rester en contact avec la communauté d’artistes accueillie dans cet espace. »

    Le théâtre Apollo 111 propose un répertoire différent de celui des autres établissements théâtraux roumains. Explication avec Bogdan Dumitrache.« Nous avons adopté ce système par le biais duquel un spectacle peut être représenté pendant six semaines, en fonction de la demande du public ; ce qui est une bonne chose, puisque le spectacle a, ainsi, la possibilité de se développer, de grandir, il n’y a pas de temps morts pendant lesquels les comédiens pourraient penser à d’autres projets. Un spectacle s’affine lorsqu’il est programmé souvent. Il devient une machine qui fonctionne bien. Tout le monde interagit avec tout le monde, chacun sait très bien ce qu’il a à faire et c’est ainsi que nous devenons plus efficaces. Je gère ce théâtre avec l’aide de seulement quatre personnes et je n’envisage même pas d’en embaucher d’autres. Il y a trois techniciens et une productrice. Nous nous occupons de tout et c’est tout à fait normal que ce soit comme ça. »

    Chaque année, un directeur artistique différent est en charge de la saison en cours. Pour la première année, ce fut Bogdan Dumitrache lui-même qui a occupé cette fonction. Pour la saison 2017 – 2018, c’est le metteur en scène Radu Afrim qui assumera la direction artistique du théâtre Appollo 111. Ecoutons Bogdan Dumitrache :« Dans un monde où tellement de choses se passent et où le fait de se concentrer sur une seule chose signifie en rater cent autres, il me semble que l’actualité peut être obtenue par le biais de la diversité. Je peux devenir actuel en me penchant sur les zones d’intérêt d’un nombre plus grand de créateurs. Un directeur artistique qui fait le choix des titres d’une saison doit les subordonner à une idée. Par exemple, si on décide de consacrer une saison à la comédie musicale, tous les spectacles seront consacrés à cette idée, ou bien si on décide de nous attaquer à un sujet tel la guerre, on le traitera d’une manière temporelle, pour voir comment ce sujet est traité de 1920 à 2016 et choisir des textes d’époques différentes. Voilà le concept d’une saison théâtrale. »

    Le concept proposé par Bogdan Dumitrache pour cette première saison est celui de la rencontre entre le théâtre et le film, puisque l’acteur déroule plusieurs projets cinématographiques. Par conséquent, l’inauguration du théâtre Apollo 111 a été marquée par la première du spectacle « Tous les autres s’appellent Ali », mise en scène par le cinéaste Radu Jude, réalisateur des films « Aferim ! » et « Cœurs Cicatrisés ». C’est une adaptation d’un texte, devenu scénario de film, du célèbre réalisateur allemand Rainer Werner Fassbinder.

    A l’heure actuelle, les responsables du théâtre Apollo préparent le spectacle « Après la pluie » de Sergi Belbel, mis en scène par un autre cinéaste roumain Alex Maftei, auteur de « Hello how are you » et de « Miss Christina ». Un troisième spectacle sera « Sieranevada » d’après le film homonyme signé par Cristi Puiu, proposé aux Oscars de cette année.Ce jeune théâtre bucarestois propose également une saison théâtrale destinée aux enfants, et une troisième saison ouverte aux jeunes créateurs de moins de 35 ans. (trad. Alex Diaconescu)

  • Hörerpostsendung 22.12.2013

    Hörerpostsendung 22.12.2013

    Wie vergangenen Sonntag angekündigt, gibt es heute den zweiten Teil des historischen Überblicks über die Herstellung von Radiogeräten in Rumänien. Das Thema regte unser Hörer Wolfgang Waldl aus Wien an. Zunächst aber eine kurze Zusammenfassung des 1. Teils: […]



    Heute soll es um die Zeitspanne 1960-1990 gehen — und einige Jahre darüber hinaus.










    ELECTRONICA-WERKE IN BUKAREST (1960 – 1980)



    Das Jahr 1960 brachte einen wichtigen Einschnitt in die Herstellung von Radiogeräten in Rumänien. Die Fabrik Radio Popular“ änderte ihren Namen zu Electronica“, neue Produktionslinien für Transistoren, Halbleiterdioden, elektrolytische und Kunststoff-Folienkondensatoren wurden eingerichtet. In diesem Jahr kam auch der erste rumänische Radioempfänger auf den Markt, der vollständig mit Transistoren ausgerüstet war — der S 595 T Solistor. Die elektronischen Bauteile waren noch aus Frankreich importiert, doch im selben Jahr wurde auch das erste Modell hergestellt, dessen Bauteile zu 96% aus der heimischen Produktion stammten: S 594 T Litoral. Weitere Modelle tragbarer Transistorenempfänger kamen in den 1960er Jahren hinzu, parallel wurde auch die Herstellung von Röhrenradios sowie von Musikschränken und Plattenspielerradios bis ca. 1976 fortgeführt. Eines der letzten Modelle von Musiktruhen mit Röhren war z.B. die 1969 hergestellte Traviata 3.



    In den 1970er Jahren nahm man die Produktion von Stereoempfängern mit externen Boxen auf, ein Meilenstein, auf dem Sammler schwören, dass er heute noch funktionieren würde, ist z.B. der S 702 TS Maestro mit 2 x 6W-Boxen. Erwähnenswert für den UKW-Stereo-Empfang ist aus jener Zeit auch der ab 1974 hergestellte S 749 TS Bucur in unterschiedlichen Ausfertigungen, darunter auch mit Stilmöbel nachempfundenem teuerem Holzgehäuse (Bucur 2). Ebenfalls in den 1970er Jahren wurden weitere tragbare Batterienempfänger hergestellt, die auch als Autoradios angeschlossen werden konnten, beispielsweise das Modell S 720 T Gloria, oder ausschlie‎ßlich Autoradios der Handelsmarken Sinaia (Lang- und Mittelwelle) und Predeal (Lang-, Mittel- und Kurzwelle).



    Ende der 1970er Jahre begannen die Electronica-Werke Radios mit Accessoires herzustellen. Renner waren die Modelle Cronos (mit elektronischer Uhr und Wecker), Expres, Interson, Superson (mit eingebauter Lichtorgel) und Ultrason (mit 5 Wellenlängen, darunter 3 Kurzwellenmeterbände). Insgesamt stellte Electronica“ von 1960 bis 1980 ca. 75 Modelle in über 200 Varianten her, in Stückzahlen waren das mehr als 6,7 Mio. Geräte.




    Grafik zur Herstellung von Radiogeräten bei Electronica“ Bukarest (1960-1979):







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    Quelle: http://www.enciclopediaromaniei.ro/wiki/Radioreceptoare_româneşti




    Zu den in den 1980er bis frühen 1990er Jahren hergestellten Geräten von Electronica zählten Modelle wie die Taschenradios Ric und MiniRic, das Tischradio im Retro-Gehäuse Nostalgic (1989), sowie tragbare Kassettenradios wie RCS (1984-1986), Total (1993-94) und Thomas (1994-98), wobei die letzten Modelle auch integrierte Schaltkreise hatten.




    TEHNOTON IN JASSY (1974 – 1990)



    1972 bis 1974 wurde eine neue Fabrik für die Herstellung von Radioempfängern im nordostrumänischen Iași (Jassy) errichtet. Tehnoton“ nannten sich die neuen Werke und waren am Anfang nur ein Ableger der Bukarester Fabrik Electronica“, die ihre Dokumentation, technische Ausrüstung und das Wergzeug den Kollegen in Jassy zur Verfügung stellte. Die Produktion wurde 1974 aufgenommen, hergestellt wurden Transistorenradios unter Eigenmarken wie Alfa, Apollo,Brahms, Cosmos, Gamma, Gloria 3, Inter, Madrigal 1 und Madrigal 2, Mangalia 2, Milcov, Mondial, Neptun, Pacific 4 oder Predeal 2.




    Produktions- und Exportgrafik 1974 – 1979 bei TEHNOTON Jassy:







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    Quelle: http://www.enciclopediaromaniei.ro/wiki/Radioreceptoare_româneşti




    Nach 1980 stellte Tehnoton weitere Modelle her: Alfa 2 und Alfa 3 (1981), Solo 100, Solo 300, Solo 500 (alle 1981-83), Gamma (1978-1984), Gloria 3 (1984), Song (1985), Gloria 4 (1987-1990), Gloria 5 (1991), Iris (1980-1992), die letzten Modelle hatten bereits integrierte Schaltkreise. Als Kuriosität sei noch das Modell Junior 234 aus den 1980er Jahren erwähnt, mit dem Kunststoffgehäuse in Form eines Fu‎ßballs.




    ELECTROMUREŞ



    Auch die bereits 1949 gegründete Fabrik für elektrotechnische Teile und Haushaltsgeräte ElectroMureş“ in der siebenbürgischen Stadt Târgu Mureş (dt. Neumarkt am Mieresch, ung. Marasvásárhely) brachte einige Modelle auf den sozialistischen Markt, darunter die Kassettenradios für das Auto Corina (1984) und Stela (1988).




    EXPORTSCHLAGER (1967 – 1990)



    Während es in Rumänien lange Zeit nur Empfansgeräte aus der heimischen Produktion zu kaufen gab, wurden Radioapparate made in Romania“ ab den Spätsechzigern auch exportiert; 1967 gingen 6100 Radios ins Ausland, 1973 waren es schon knapp 226.000 Stück. Die am meisten exportierten Modelle waren: Carmen, Goldstar, Cora, Overseas, Neptun, Milcov, Alfa, Select, Gloria, Royal und Junior. Die Geräte mussten dabei stets den technischen Anforderungen der Kunden im Ausland entsprechen. Exportiert wurde vor der Wende nach Ägypten, Albanien, Chile, in die ČSSR, die DDR, nach Frankreich, Gro‎ßbritannien, Jugoslawien, Sudan, Ungarn und in die USA.



    Alles in allem lie‎ßen sich die Produkte der rumänischen Elektrotechnik, darunter Radioempfänger und Haushaltsgeräte, durchaus zeigen, nicht nur im sozialistischen Lager. Leider kam es ab Ende der 1970er Jahre zur Versorgungskrise und zu von oben angeordneten Sparma‎ßnahmen. Dies hatte auch in der Herstellung von Radioapparaten Folgen. Zwar waren die elektronischen Teile nach wie vor von guter Qualität, zumindest für Standards des Ostblocks, doch wurde bei der Anfertigung immer mehr schlechtes Material eingesetzt, so dass die Erzeugnisse letzten Endes mangelhaft in der Verarbeitung waren. Das hie‎ß z.B. billiges Gehäuse, wackelnde Knöpfe und Schalter, schlechte Farbe in der Beschriftung. Aus diesen Jahren stammt wohl auch der Ausdruck beim Export abgelehnt“. Landeten solche Geräte dann im heimischen Handel, waren sie sehr begehrt, denn sie waren immer noch besser als die herkömmlichen.




    WENDE VON 1989 UND EINSTELLUNG DER PRODUKTION VON RADIOGERÄTEN (1990-1998)



    Die Wende von 1989 brachte den Sturz des kommunistischen Regimes und die viel ersehnte Freiheit und Demokratisierung des Landes, aber auch den Zusammenbruch der sozialistischen Planwirtschaft. Mit den wettbewerbsfähigeren Produkten aus entwickelten Industriestaaten konnten es heimische Erzeugnisse nicht aufnehmen, die Einstellung des Handels unter den ehemals sozialistischen Ländern im Rahmen des Rats für gegenseitige Wirtschaftshilfe (RGW, auch COMECON genannt) hatte weitere negative Folgen in der heimischen Wirtschaft. Sicherlich haben aber auch dubiose Privatisierungsgeschichten mit korrupten Politikern und Managern auch dazu beigetragen, dass viele staatliche Betriebe einfach verscherbelt wurden. Die Produktion von heimischen Radioempfängern wurde bis Mitte oder spätestens Ende der 1990er Jahre nach und nach eingestellt. Die Electronica-Werke in Bukarest und das Unternehmen Tehnoton in Jassy gibt es unter diesem Namen zwar noch, ihr Tätigkeitsbereich hat sich aber zum Teil geändert.



    Electronica wurde im Februar 2004 privatisiert und stellt heute nur noch Fernsehgeräte her. Verlie‎ßen im Jahr 1989 die Electronica-Werke etwa 434.000 Schwarz-Wei‎ß-Geräte und 75.000 Farbfernseher, so waren es im Jahr 2003 nur noch 137 Stück. Eine erneuter Anstieg der Produktion erfolgte im Jahr 2005, als etwa 27.000 Fernseher hergestellt wurden. Ab 2006 befasste sich Electronica mit der Montage von Farbfernsehern und DVD-Playern fremder Marken wie Hyundai, Toshiba und Vortex. 2006 wurden etwa 40.000 Farbfernseher und 20.000 DVD-Player auf den Markt gebracht. Arbeiteten im Jahr 1989 etwas mehr als 5.500 Menschen bei Electronica, so hatte das Unternehmen im Jahr 2006 nur noch 60 Arbeitnehmer.



    Tehnoton wurde im Jahr 2000 privatisiert und befasst sich seitdem mit der Verarbeitung von Metall und Kunststoff, aber auch mit der Herstellung von Haushaltsgeräten wie Gasherde und Waschmaschinen.



    QUELLEN:



    – Rumänische Online-Enzyklopädie: http://enciclopediaromaniei.ro/


    – Webseite der rumänischen Radiogeräte-Sammler: www.proradioantic.ro


    – Webseite des Sammlers Francisc Visky aus Rumänien: www.retroradio.ro


    – Webseite des Rumänischen Rundfunks: www.srr.ro


    – Webseite von Radio Rumänien International: www.rri.ro


    – Internationaler Radiokatalog für antike Radios: www.radiomuseum.org


    – Wikipedia





    Zeit für die Posteingangsliste. Postbriefe erhielten wir von Günter Traunfellner (A), Sandro Blatter (CH), Claes Englund (SE) sowie von Wilfried Hoberg, Michael Willruth, Heinrich Eusterbrock, Michael Brawanski, Hans-Peter Themann, Jörg-Clemens Hoffmann, Lutz Winkler, Klaus Huber, Horst Kuhn, Rolf Hacke, Heiner Finkhaus, Christoph Paustian (alle aus Deutschland).



    Faxe erhielte wir von Günter Spiegelberg und Stefan Druschke (beide aus Deutschland).



    E-Mails erhielten wir bis Freitagnachmittag von Josef Robl (A), Hans Verner Lollike (DK) sowie von Andreas Fessler, Günter Jacob, Hendrik Leuker, Dietmar Wolf, Herbert Jörger, Siegbert Gerhard, Hans-Werner Simmet, Helmut Matt, Thomas Drescher, Bernd Seiser, Heinrich Eusterbrock, Andreas Pawelczyk und Dieter Feltes (alle aus Deutschland).



    Unsere Poststelle bleibt vom 24. Dezember bis einschlie‎ßlich in der zweiten Januar-Woche geschlossen, daher gibt es den nächsten Funkbriefkasten erst am 19. Januar 2014 wieder. Ihre E-Mails werden aber auch in der Zwischenzeit gelesen und gegebenenfalls beantwortet.







    Zum Schluss möchte ich mich ganz herzlich für die vielen Grü‎ße zu Weihnachten und Neujahr bedanken und im Voraus auch für die Wünsche, die bestimmt noch eintreffen werden. Einen originellen Gru‎ß sandte uns Dietmar Wolf aus Hammelburg in Bayern. Er schickte uns eine Audio-Datei, die er mit folgenden Worten beschrieb: src=http://devrri.freshlemon.ro/wp-content/uploads/2023/10/foto.jpg
    Gru‎ßkarte von Dietmar Wolf

    (zum Vergrö‎ßern anklicken)



    Das ganze Jahr ist immer so hektisch und der Stress beherrscht das Leben, Arbeit , Termine etc. und nun an Weihnachten soll dann alles auf einmal besinnlich sein? Nun, ich habe da schon Probleme, den Schalter“ einfach so umzulegen! Habe deshalb das besinnliche Lied stille Nacht“ in meiner Version neu aufgenommen und es schrille Nacht“ genannt.



    Nun, ganz so schrill ist die Session nicht geworden, finde ich — Herr Wolf bediente dabei Keyboards und Synthesizer, ein befreundeter Musikerkollege steuerte die Gitarre und die Bläser bei.



    Bevor Sie sich selbst ein Urteil über die Bearbeitung der Stillen Nacht“ machen können, wünsche ich Ihnen vom ganzen Herzen frohe Weinachten, schöne Feiertage mit Ihren Lieben und einen guten Rutsch ins Jahr 2014.






    src=http://devrri.freshlemon.ro/wp-content/uploads/2023/10/foto.jpg



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