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  • Les prix des logements sont à la hausse

    Les prix des logements sont à la hausse

    Un marché immobilier à la hausse

     

    Le marché immobilier de Roumanie commence à reprendre du poil de la bête, en témoigne le fait que les nouveaux appartements de Bucarest, la capitale, sont devenus plus chers. D’ailleurs c’est ici que l’on constate la hausse la plus rapide des prix des nouveaux logements. Concrètement, il s’agit d’une différence de prix de 17 % par rapport à la même période de 2023, à en croire une récente étude à ce sujet réalisée par un site immobilier. C’est la hausse de la demande qui a favorisé la croissance des prix du logement à travers le pays. En voici quelques exemples.

     

    Bucarest – la hausse la plus rapide des prix cette année

     

    A Bucarest, le prix moyen d’un m² utile tourne autour des 1 850 euros, soit une hausse de 5 % en un seul mois. Cela témoigne de l’intérêt croissant pour les nouvelles propriétés de la capitale au premier trimestre de 2024. Il s’agit plus précisément d’une croissance de 22 % de la demande par rapport aux 3 premiers mois de l’année dernière. Précisons aussi que l’intérêt pour les logements nouvellement construits avance plus rapidement que celui pour les appartements situés dans des immeubles anciens.

     

    Cluj-Napoca : les logements les plus chers de Roumanie

     

    Direction le centre-ouest de la Roumanie, à Cluj-Napoca, important centre économique, universitaire et culturel du pays. Ici, le prix moyen demandé pour un m² utile a atteint les 2 874 euros. Notons la différence de plus de 1 000 euros par rapport à Bucarest ! En même temps, il y existe une différence de seulement 164 euros par m² utile entre les nouveaux et les anciens appartements de Cluj. D’où l’intérêt croissant pour les nouvelles constructions en début de cette année. Pourtant, ce sont les logements anciens qui ont la cote, étant les plus recherchés par les habitants de cette ville.

     

    Brasov : les apparts anciens sont à 18 % plus chers

     

    Même tendance au cœur de la Transylvanie, à Brasov, où les prix des logements ont augmenté de 12 % par rapport au premier trimestre de l’année dernière. Ici, pour un appartement finalisé ces 5 dernières années, il faudra débourser en moyenne 2 211 euros par m² utile. A noter que c’est toujours plus cher qu’à Bucarest. Et même si les nouveaux logements coûtent toujours plus cher, ce qui est normal en fin de compte, les vendeurs ont quand même demandé des prix 18 % plus élevés cette année pour les appartements anciens.

     

    Timisoara : des logements à 15 % plus chers qu’en 2023

     

    On ne saurait oublier l’ouest du pays. A Timisoara aussi, autre pôle universitaire et économique important, les prix des logements dépassent ceux de la capitale, après une croissance de 15 % des tarifs survenue ces 12 derniers mois. En fait, après Bucarest, c’est à Timisoara que les prix ont le plus augmenté. Si bien que le m² utile y coûte environ 1 885 euros.

     

    Des prix plus accessibles dans l’est du pays, à Constanta et à Iasi

     

    Pour des prix plus accessibles, il faudra se rendre dans le sud-est et dans l’est de la Roumanie.

     

    Par exemple, à Constanta, dans le sud-est, les prix ont très peu varié ces 12 derniers mois, tournant autour des 1 733 euros le m² utile. Ici, les acheteurs ont manifesté un intérêt net pour les propriétés nouvellement construites.

     

    Enfin, à Iasi (nord-est) un m² utile coûte en moyenne 1 629 euros, soit 12 % de plus que l’année dernière. Les prix de logements anciens sont à la hausse aussi : 13 % de plus par rapport à 2023. Les prix plus attractifs qu’ailleurs pourraient expliquer la hausse de 15 % de la demande de logements sur le marché de Iasi, qui est en fait la plus importante de toutes les grandes villes de Roumanie. Cette demande a notamment visé les logements récents.

     

    Voici donc le top 3 des villes les plus chères de Roumanie côté logements : Cluj-Napoca avec 2 874 euros le m², Brasov avec 2 211 euros le m² et Timisoara avec 1885 euros le m². C’est à peine en 4e position, avec 1 850 euros par m² que l’on retrouve cette année la capitale, Bucarest. (trad. Valentina Beleavski)

     

     

  • Le marché immobilier en Roumanie

    Le marché immobilier en Roumanie

    Nous estimons qu’en février 2024, presque 53.000 logements ont été vendus sur le marché de l’immobilier roumain, de 16500 de plus qu’en janvier. Le nombre des biens immobiliers – maisons, terrains et appartements ayant fait l’objet des transactions en février a dépassé de 6500 celui des biens vendus durant la même période de l’année d’avant. Dans le classement des villes dressé en fonction du nombre de logements vendus, c’est Bucarest qui se trouve en première place, avec plus de 9100, suivi par Ilfov, presque 3500 et Iasi, plus de 3200. Au pôle opposé, on retrouve les départements de Teleorman, 240, Covasna, 330 et Salaj, 410. Par ailleurs, les départements ayant enregistré le plus grand nombre de terrains agricoles vendus durant le deuxième mois de l’année en cours sont Dolj, 900 terrains, Botosani, plus de 620 et Timis, 610 terrains.

    Par ailleurs, plus de 70% des Roumains en quête d’un logement préfèrent les appartements aux maisons et cela pour une raison bien précise, à savoir le prix. Au dernier trimestre de l’année dernière, le nombre total de demandes de maisons et d’appartements a été de 124.700 dont 105.800 appartements dans des immeubles anciens et 45.100 dans des immeubles neufs.

    Durant les trois derniers mois de 2023, la Roumanie a enregistré 145.200 acquéreurs potentiels, de 21,7% de plus qu’en 2022. Ceux-ci ont dû choisir parmi 116.000 propriétés résidentielles, maisons et appartements, de 25% de moins qu’en 2021. Un quart des acheteurs ont cherché un bien immobilier au centre-ville, entre 30 et 40% ont préféré la banlieue, et le reste s’est orienté vers les autres quartiers.

    Les principaux quartiers résidentiels de Roumains se trouvent dans les grandes agglomérations urbaines, telles la capitale, Bucarest, Timisoara, dans l’ouest, Iasi, dans le nord-est, Brasov, au centre et Constanta, dans le sud-est du pays.

    Les Roumains qui optent pour une maison sont pour la plupart, des familles avec enfants qui souhaitent disposer d’un extérieur et davantage d’espace. Puisque ce type de propriété est souvent dans les banlieues des grandes villes, les acquéreurs sont principalement des personnes aisées, entrepreneurs ou directeurs, qui travaillent depuis chez eux et dont l’emploi du temps est très flexible.

    Selon les estimations des experts immobiliers, cette année, un million de Roumains chercheront à acheter un bien immobilier qu’ils choisiront en fonction aussi bien du prix, que de l’attractivité du quartier.

  • Les frais de location sur Bucarest

    Les frais de location sur Bucarest


    Les quartiers d’affaires de
    Pipera, d’Aviaţiei et de Floreasca, sis dans le nord de la capitale, Bucarest,
    arrivent en tête des arrondissements avec les loyers les plus chers de
    Bucarest, selon une enquête lancée par un portail d’annonce immobilière.Concrètement, à Pipera, la
    location d’un studio vous fera débourser quelque 425 euros par mois, tandis que
    dans le quartier d’Aviatiei, vous payerez 401 euros pour la même superficie et
    dans celui de Floreasca, 389 euros. Les loyers les moins chers sont
    dans le sud et l’ouest de Bucarest où le loyer d’un studio va de 277 à 292
    euros par mois. Les quartiers de Primăverii et de
    Herăstrău affichent les loyers les plus chers pour un appartement de deux
    pièces qui, si vous optez pour cette partie de Bucarest, vous fera payer chaque
    mois entre 661 et 650 euros de location.


    Si vous souhaitez faire des
    économies, tout en logeant dans un deux pièces, alors direction le quartier de
    Berceni, où le loyer vous fera débourser entre 348 et 368 euros par mois. Pour déterminer le loyer, les
    experts se basent sur plusieurs critères tels l’année de construction, la
    superficie du bien, le nombre de pièces, la localisation, l’état général, les
    services.


    Si vous êtes sur Bucarest et que
    vous souhaitiez louer un studio tout confort dans un immeuble résidentiel neuf,
    construit après 2010, vous aurez à payer autour de 357 euros par mois, d’une
    trentaine d’euros de plus que dans le cas d’un studio dans un immeuble plus
    ancien. Le tarif peut encore baisser jusqu’à 255 euros, dans le cas d’un studio
    moins fonctionnel. Dans le cas des appartements de
    deux pièces, les frais de location
    varient de 359 euros pour ceux qui lésinent sur le confort à 447 euros
    par mois pour ceux remis à neuf.


    D’autre part, le parc de logement
    dans les complexes résidentiels de Bucarest, disponibles exclusivement à la
    location est actuellement de près de 1000 unités. Ce qui plus est, 3 000 autres
    unités supplémentaires se trouvent actuellement dans différents stades de développement,
    selon un rapport élaboré par une compagnie immobilière. Selon les spécialistes, dans les
    2-3 ans suivants, le segment résidentiel des projets immobiliers destiné
    exclusivement à la location pourrait atteindre les 5 000 logements.


    A regarder la situation d’avant
    2021, on constate qu’à l’époque, le marché immobilier résidentiel était
    favorable plutôt à ceux qui se permettaient de payer un acompte et de contracter
    un crédit immobilier pour acheter le logement en question. Cette situation a
    changé actuellement, notamment à Bucarest et dans les grandes villes, où les
    frais de location sont de 30% en dessous des mensualités d’un crédit bancaire.


    Voilà pourquoi, à l’heure
    actuelle, il vaut mieux louer une maison que d’en acheter une, même si les
    frais de location ont connu une hausse de 10%, du moins sur Bucarest. A titre
    de comparaison, dans d’autres capitales européennes, telles Varsovie ou Prague, les loyers ont fait un bond entre
    25 % et 40 %.


    A l’exception de la capitale
    bulgare, Sofia, dans les autres capitales de l’Europe orientale et centrale, louer
    un appartement s’avère actuellement plus rentable que contracter un crédit
    immobilier pour en acheter un. Parce que le montant des loyers reste en dessous
    de celui des mensualités bancaires. En 2022, en Europe, le prix de vente d’une
    maison nouvellement construite variait de 1800 euros par mètre carré à
    Bucarest, à 2800 euros à Varsovie, 3400 à Budapest, 4100 à Bratislava et il
    pouvait monter jusqu’à 5500 euros à Prague. (trad. Andra Juganaru)







  • La flambée du cout du logement en Roumanie

    La flambée du cout du logement en Roumanie

    En début d’année une annonce immobilière provoquait du buzz sur Internet et était largement commentée par les médias. A Cluj, ville du centre ouest de la Roumanie, un studio joliment aménagé mais d’une superficie de 11 mètres carrés seulement était à louer pour 200 euros par mois. L’annonce a fait le tour des réseaux sociaux, suscitant plus de 20 mille commentaires et 14 mille partages et d’innombrables blagues liées à sa superficie minuscule. Quelques semaines plus tard, le studio situé dans un immeuble érigé en 1975 était à vendre pour 37 500 euros, soit 3 400 euros le mètre carré. Cet exemple en dit long sur la situation du marché immobilier roumain qui connait une véritable flambée des prix des immeubles mais aussi des loyers, à travers le pays.

    Selon l’Office statistique de l’Union européenne, Eurostat, la Roumanie compte parmi les Etats de l’UE ayant connu une progression du prix de l’immobilier durant le 4e semestre de l’année 2021. Les prix des habitations ont augmenté de 9,4 % dans la zone euro et de 10 % dans l’Union européenne, durant le dernier trimestre de l’année 2021 par rapport à la période similaire de 2020. C’est la progression annuelle la plus importante pour la zone euro depuis 2005, lorsque les chiffres sur le prix de l’immobilier ont commencé à être collectés. Sur la totalité des Etats de l’UE, 15 ont rapporté des progressions annuelles du prix des immeubles de plus de 10 % durant le 4e trimestre de l’année 2021, avec une seule baisse notable dans le cas de Chypre. L’avancée annuelle la plus importante a été enregistrée par la République tchèque, soit plus de 25 %, suivie par l’Estonie, la Lituanie et la Hongrie avec une progression de quelque 20 %.

    En Roumanie, le prix des maisons et des appartements a augmenté de 7,5 %. Durant le 4e trimestre de l’année 2021, par rapport aux trois mois précédents, les prix des appartements et des maisons ont augmenté de 1,9 % dans la zone euro et de 2,1 % dans l’Union européenne. En Roumanie, cette croissance a été de 2,8 % durant le quatrième trimestre de 2021, après une hausse de 0,1 % durant les trois mois précédents. Et c’est le même Eurostat qui fait savoir que les loyers dans les 27 Etats membres de l’UE ont poursuivi leur évolution à la hausse durant le 4e trimestre de l’année 2021. Entre 2010 et le deuxième trimestre de 2011, les prix des habitations et les loyers ont connu une fluctuation similaire, mais depuis le 2e trimestre de l’année 2011, les loyers ont connu une progression significative, le prix des habitations a connu des hauts et des bas pour se stabiliser ensuite.

    Dans ce contexte, en 2021 la construction d’immeubles résidentiels a enregistré un record absolu pour la période postcommuniste, soit d’après 1989. Plus de 72 500 maisons et appartements ont été finalisés au niveau national, en hausse de 7 % par rapport à 2020. A Bucarest et au département limitrophe d’Ilfov, au total 22 000 habitations ont été inaugurées qui comptent pour 30 % du total des logements achevés au niveau national. D’autres départements développés tels Timis, dans l’ouest, Iasi, dans le nord-est et Arad (ouest) ont également connu une progression du nombre d’immeubles résidentiels finalisés en 2021.

    Voilà donc que le marché a connu une véritable effervescence en 2021. Reste à voir comment évoluera ce secteur à l’avenir vu que la flambée du prix des matériaux de construction et des coûts de l’énergie fera grimper les prix sur le marché de l’immobilier. N’empêche, la demande est toujours élevée, vu que les Roumains préfèrent acheter plutôt que louer. Pas moins de 96 % de la population est propriétaire de l’espace qu’elle habite, soit le taux le plus élevé au monde.

  • Immobilier à Bucarest

    Immobilier à Bucarest

    Un aperçu de l’offre proposée sur le marché de l’immobilier à Bucarest, et des prix.

  • Dernières nouvelles sur le marché de l’immobilier en Roumanie

    Dernières nouvelles sur le marché de l’immobilier en Roumanie

    Quelles offres, quelles tendances en la matière? Ligia a emboîté le pas aux clients à la Foire nationale immobilière de Bucarest. Appartements, maisons, maisons de vacances, en Roumanie et à l’étranger étaient proposées aux visiteurs, et même une maison solaire, à 100% électrique.



  • A la Une de la presse roumaine – 05.08.2016

    A la Une de la presse roumaine – 05.08.2016

    Etait-il vraiment nécessaire de décréter une journée de deuil national pour la Reine Anne ? se demandent plusieurs journalistes roumains. Egalement dans la presse nationale, les dernières tendances dans l’immobilier roumain. Plus d’appartements flambant neufs, mais aussi des prix à la hausse.


  • Evolutions sur le marché immobilier de Roumanie

    Evolutions sur le marché immobilier de Roumanie

    A l’échelle nationale, le prix moyen des logements est supérieur de 10% à celui de 2014, conformément au site Internet www.imobiliare.ro. Fin octobre, les appartements se vendaient 980 euros le mètre carré, soit un écart de 52,4% par rapport au pic du marché, enregistré en mars 2008, lorsque les propriétaires demandaient en moyenne 2.058 euros pour un mètre carré. Décembre 2014 allait marquer le seuil minimum des transactions immobilières, le prix du mètre carré locatif ayant baissé à 891 euros, un chiffre inférieur de 10% à celui actuel.

    La vente des appartements anciens a connu une dynamique différente de celle des logements neufs. Dans la capitale, par exemple, un appartement neuf coûtait 1.155 euros le m2, vers la fin octobre, soit 55% de moins que le niveau atteint en mars 2008. Par ailleurs, un appartement ancien coûte à présent 1.043 euros en moyenne, une somme inférieure de 53% à celle qu’il fallait dépenser à l’apogée du marché immobilier.

    Dragoş Vlăsceanu, président de l’Association des brokers immobiliers de Roumanie explique: Cette étude confirme les rumeurs qui circulaient dès l’année dernière. Les chiffres pour 2014 annonçaient déjà une telle croissance. Nous avons donc la confirmation officielle que tout le monde attendait. En effet, en Roumanie, les prix de l’immobilier suivent une tendance ascendante. Elle s’explique tout d’abord par l’appétit croissant des banques pour l’octroi de crédits hypothécaires. Comme elles ont sensiblement allégé leur politique relative à ce type de prêt, bien des personnes se qualifient actuellement pour le crédit hypothécaire. Une autre explication à cela est le niveau très élevé des loyers, sachant qu’en Roumanie le loyer dépasse pour l’instant la mensualité d’un éventuel prêt immobilier destiné à l’achat de cette même propriété. C’est là la raison pour laquelle le locataire opte finalement pour l’acquisition, même par le biais d’un crédit hypothécaire.

    Depuis 2009, le programme intitulé Le premier logement apporte une aide importante au marché roumain de l’immobilier. Il s’adresse aux propriétaires ou copropriétaires, aux côtés du conjoint, d’un logement acquis autrement que par le biais de ce programme et dont la surface utile mesure moins de 50 m2. Aux termes dudit programme, il faut payer une avance de seulement 5%, les taux d’intérêts perçus étant trop bas. Après élargissement du programme, les propriétaires d’un logement acquis dans ces conditions peuvent s’en acheter un deuxième, plus spacieux, à l’aide du Fonds National de garantie des crédits aux PME.

    Dragoş Vlăsceanu: Il faut préciser que ce programme continue d’influencer de manière significative le segment des prix allant de 40 à 60 mille euros, où l’on enregistre le plus gros volume de ventes en matière d’immobilier résidentiel. Il encourage les gens qui en sont à leur première acquisition immobilière à faire ce pas, à se qualifier pour un tel prêt, l’Etat contribuant ainsi à l’accroissement de la demande et bien sûr à une légère hausse des prix. Cela ne veut pas dire que les prix continueront d’augmenter dans les 5 années à venir, mais le coup d’envoi a été donné. Tout le monde veut s’acheter un logement et guette la baisse des prix. Seulement voilà, comme les prix n’ont cessé de décroître ces 7 dernières années, le moment était venu qu’ils augmentent légèrement.

    Dragoş Vlăsceanu, président de l’Association des brokers immobiliers de Roumanie, a également parlé des complexes résidentiels situés à proximité des grandes villes: En ce moment, à Bucarest, la capitale et dans le comté limitrophe, Ilfov, 7 mille habitations sont vendues chaque mois, un chiffre qui dépasse de loin la capacité des constructeurs. L’immobilier résidentiel connaît donc une véritable effervescence. Tout le monde est à la recherche des meilleurs emplacements des futures constructions. Cette demande qui excède de beaucoup l’offre s’explique aussi par la baisse considérable des taux d’intérêts pratiqués par les établissements bancaires. Il y a beaucoup d’agent disponible pour les investissements immobiliers. La demande de construction résidentielle aux environs des grandes villes est allée croissant. En ce moment même les gens investissent beaucoup dans l’immobilier, signe qu’ils préfèrent les acquisitions de logements aux dépôts bancaires.

    Dans une étude réalisée par la compagnie Jones Lang LaSalle, la Roumanie occupe la troisième place en Europe centrale et de l’Est, après la République Tchèque et la Pologne, ayant attiré des transactions immobilières de 600 millions d’euros sur les neuf premiers mois de l’année. En 2014, ses transactions immobilières ont totalisé 1,15 milliards d’euros, un record pour ces dernières années. A cela a largement contribué le rachat des magasins Real par le groupe français de grande distribution Auchan, la transaction s’étant chiffrée à quelque 280 millions d’euros. ( trad. Mariana Tudose)