Tag: Art Safari Love Edition

  • Celebra sculptură “Sărutul” a marelui Constantin Brâncuşi revine la Bucureşti

    Celebra sculptură “Sărutul” a marelui Constantin Brâncuşi revine la Bucureşti

    Celebra sculptură Sărutul a marelui
    Constantin Brâncuşi revine la Bucureşti după 50 de ani. Lucrarea va putea fi
    admirată începând de mâine în cadrul evenimentului Art Safari Love Edition.

    Aflată în colecţia Muzeului de Artă Craiova, Sărutul lui Brâncuşi a
    mai fost expus în Bucureşti în anul 1976. Opera de artă va fi expusă timp de
    doar 10 zile la Palatul Pinacotecii şi va fi păzită non-stop. Lucrarea este
    estimată la o valoare de asigurare de 22 de milioane de euro, iar pentru
    transportul de la Craiova la Bucureşti organizatorii expoziţiei au angajat o
    firmă specializată, care va fi escortată de Jandarmeria Română.

    Sărutul, expus în Capitală de mâine până pe 30 august, este o operă
    de o importanţă internaţională, fiind considerată prima sculptură modernă a
    secolului 20. Lucrarea de artă este prima din seria săruturilor la
    care Brâncuşi a lucrat mai bine de 40 de ani.

  • Art Safari 12 Love Edition

    Art Safari 12 Love Edition

    Érigé
    dans le Vieux Centre de la capitale roumaine Bucarest, le Palais Dacia-România
    a été, en juillet, la scène de l’inauguration de la douzième édition du
    Pavillon d’art « Art Safari – Love Edition ». Fruit d’un partenariat
    avec des musées d’art roumains et internationaux, mais aussi avec des
    collectionneurs privés, l’édition actuelle est structurée sur plusieurs
    thèmes : l’amour, le portrait et ses personnages, les rétrospectives
    Constantin Artachino (1870-1954, peintre et membre fondateur de la Société
    « Jeunesse artistique ») et Ion Alin Gheorghiu (1929-2001, peintre et
    sculpteur, membre de l’Académie roumaine).

    Ioana Ciocan, directrice générale
    d’Art Safari, détaille l’offre proposée au public : Love Edition
    dit d’abord que, dorénavant, nous choisirons à chaque fois un thème pour Art
    Safari, dans la rue Lipscani. Ensuite, Love Edition parle de ces sentiments qui
    nous réveillent le matin, qui nous lancent des défis, des sentiments forts, éprouvés
    par nous tous – l’affection, l’amour, la haine parfois. Tout a commencé en
    2017, avec la collaboration entamée avec la National Portrait Gallery de
    Londres, et qui vient de se concrétiser. Le contrat a été particulièrement
    difficile et l’équipe d’Art Safari a dû surmonter énormément de difficultés. Le
    musée londonien n’avait jamais eu de collaborations dans cette région de
    l’Europe. Nous avons réussi à gagner leur confiance et voilà qu’au premier
    étage du bâtiment de la rue Lipscani, des toiles importantes, réalisées entre
    le XVIème et le XXIème siècle, sont accrochées aux murs peints en rose clair et
    rose foncé. Plus de cent ouvrages – des
    toiles de maître, signées par Gainsborough ou Van Dyck par exemple, par
    Andy Warhol ou David Hockney, des œuvres qui racontent des histoires d’amour.
    Les feux ne sont pas braqués sur les artistes, mais sur les personnages des
    tableaux. Et je suis sûre que le public, que nous attendons dans la seconde
    moitié de la semaine au Palais Dacia-România, pourra y reconnaître ses
    personnages préférés : le roi Henri VIII d’Angleterre, le musicien John
    Lennon, l’actrice Audrey Hepburn, le roi Charles III quand il était prince de
    Galles lors de son mariage avec Lady Diana, ou encore le Prince Harry et Meghan
    Markle. C’est une exposition à ne pas rater. Egalement au premier étage, on
    peut admirer la rétrospective Constantin Archino, mise en page par le Musée de
    la ville de Bucarest. La commissaire de l’expo, Elena Olariu, a choisi de
    présenter trois étapes principales de la création de l’artiste. C’est une
    exposition qui va vous surprendre, car on y écoutera des voix enregistrées, on
    lira des lettres, on laissera le regard caresser le velours de la Dobroudja,
    que le peintre a si bien montrée dans ses tableaux.


    Ioana
    Ciocan a également expliqué la rétrospective Ion Alin Gheorghiu, ainsi que la
    toute nouvelle collaboration avec le musée londonien « Victoria and Albert
    Museum » : Ion Alin Gheorghiu est le protagoniste d’une
    grande exposition rétrospective et d’un texte de présentation écrit par Andrei
    Pleşu. Les œuvres présentées appartiennent à des collectionneurs roumains, mais
    aussi au Musée national d’art de Roumanie. Les sculptures proviennent du
    Théâtre national, car les créations de Gheorghiu se trouvent dans des lieux
    très surprenants. Je voudrais souligner la zone dédiée à l’atelier de
    l’artiste, où l’on voit des objets personnels – photos, icônes, toiles à peine
    commencées – et puis aussi ses couleurs, ses pinceaux et son chevalet, envoyés
    par le Musée d’art de Constanţa. Enfin, l’exposition la plus spéciale jamais
    proposée par Art Safari, est un défi lancé aux visiteurs par la commissaire Ruth
    Hibbart, de Victoria and Albert Museum. L’exposition met en scène un combat à
    mort entre des zombies et des nymphes. En fait, c’est une lutte entre le bien
    et le mal, ce sont les monstres que nous apercevons ou affrontons tous,
    mais également l’espoir que nous tous nourrissons de voir le bien triompher à
    la fin.
    , a conclu Ioana Ciocan, directrice générale d’Art Safari.