Tag: audit

  • 18.10.2018 (mise à jour)

    18.10.2018 (mise à jour)

    Réunion – Le
    président roumain Klaus Iohannis participera, vendredi, au 12-e
    Sommet Asie-Europe (ASEM), qui se tiendra à Bruxelles. Mercredi et jeudi, le
    chef de l’Etat roumain a participé à la réunion du Conseil européen, accueillie
    également par Bruxelles. Jeudi, les discussions ont porté sur la migration, la
    sécurité et l’avenir de la zone euro. Mercredi, les négociations pour le Brexit
    s’étaient achevées sans aboutir sur un résultat. Selon le correspondant de
    Radio Roumanie à Bruxelles, les leaders de l’Union européenne ont approuvé
    plusieurs mesures pour lutter contre les attaques cybernétiques et pour
    protéger les citoyens européens contre tous les types d’agression. Pour ce qui
    est de la migration, les leaders européens ont souligné la nécessité de
    coopérer avec les pays de transit et de définir des objectifs précis pour l’est
    de la Méditerranée, afin de stopper le flux de migrants. Présent à la réunion du
    Conseil européen, le président roumain Klaus Iohannis a insisté dans son discours
    sur le fait que la prévention et la lutte contre la radicalisation et le
    terrorisme devaient rester parmi les préoccupations prioritaires des Etats
    membres de l’UE.

    Tournée – En visite aux Emirats Arabes
    Unis, la première ministre roumaine, Viorica Dăncilă, a eu un entretien avec Dr.
    Sultan Ahmed Al Jaber, ministre d’Etat chargé des affaires
    économiques et commerciales et président d’Abu Dhabi National Oil Company. Les
    pourparlers ont visé la consolidation de la coopération bilatérale, notamment
    dans le secteur économique et dans celui des investissements. Mercredi, les
    chefs des Exécutifs de Bucarest et d’Abu Dhabi ont adopté « La Déclaration
    commune visant l’établissement d’un partenariat économique stratégique entre le
    gouvernement de la Roumanie et le gouvernement des Emirats Arabes Unis ». Le
    document souligne l’importance du rôle régional des Emirats Arabes Unis, qui,
    aux côtés de l’appartenance de la Roumanie à l’UE, offre d’importantes
    opportunités de coopération bilatérale dans les domaines prioritaires pour
    Bucarest, dont le commerce, les investissements, l’industrie, l’agriculture, le
    secteur financier – bancaire, l’énergie, les transports, l’infrastructure
    routière, l’IT, l’éducation, la culture, la recherche et l’innovation ou encore
    le tourisme. Le texte parle aussi de l’importance des communautés roumaines
    vivant dans ce pays et de celle des ressortissants des Emirats Arabes Unis
    vivant en Roumanie pour le développement économique, social et culturel des
    deux Etats. La dernière étape de la tournée de Mme Dancila dans les pays du
    Golfe sera le Koweït. L’objectif de ces visites officielles est de promouvoir
    les relations économiques bilatérales.






    Peste porcine
    – Les experts de la Commission européenne se trouvent en Roumanie jusqu’au 25
    octobre pour une mission d’audit des mesures prises par les autorités roumaines
    pour endiguer la peste porcine africaine, a annoncé jeudi l’Autorité nationale
    sanitaire-vétérinaire et pour la sécurité alimentaire de Roumanie. Les
    conclusions de la mission européenne d’audit seront publiées sur le site de la
    CE. Les experts se sont déplacés jeudi à Brăila, dans le sud-est, pour vérifier
    la justesse des mesures prises par les autorités roumaines de ressort dans ce
    département, où 200 mille cochons ont été euthanasiés. Depuis 2015, la Roumanie
    participe au programme pluriannuel européen de lutte contre la peste porcine,
    financé à hauteur de 75% par la Commission. Selon les données actualisées
    issues par l’Autorité nationale sanitaire-vétérinaire et pour la sécurité
    alimentaire, le nombre de foyers touchés par la maladie est de 1.021, situés
    dans 260 localités de 14 départements du pays. Jusqu’à l’heure actuelle ont été
    confirmés 107 cas de sangliers infestés, alors que 354 mille cochons ont été
    euthanasiés.
















    Cour constitutionnelle – La Cour
    constitutionnelle de la Roumanie a confirmé jeudi l’échec du référendum
    national, organisé les 6 et 7 octobre passés, en vue de redéfinir la famille
    dans la constitution roumaine. En effet, le seuil de participation de 30% de l’électorat
    roumain n’avait pas été atteint. La Cour constitutionnelle a validé les
    résultats communiqués par le Bureau électoral central, soit 21,10% de présence
    aux urnes, dont 91,54% se sont prononcés pour la modification constitutionnelle
    proposée. Pour rappel, le projet de révision de la constitution avait été lancé
    par une initiative citoyenne, signées par 3 millions de citoyens, alors qu’aux
    urnes ne se sont pointés que 3,8 millions.

    Législation judiciaire – En Roumanie, l’Avocat du peuple a sollicité jeudi au
    gouvernement et au ministère de la Justice des informations complémentaires
    concernant les saisines qu’il a reçues et qui contestent la conformité
    constitutionnelle des modifications apportées aux lois de la Justice, adoptées,
    cette semaine, par ordonnance d’urgence. L’Avocat du peuple fait état de la
    complexité des aspects saisis dans les pétitions déposées par le Parquet
    général et par les partis d’opposition (l’Union Sauvez la Roumanie et le Parti
    national libéral). Parmi les dispositions les plus contestés de ladite
    ordonnance d’urgence, l’on retrouve la condition de 10 ans d’ancienneté
    dans la magistrature pour les procureurs avant d’intégrer le Parquet général,
    de la Direction nationale anti-corruption et la Direction d’investigation des
    infractions de crime organisé et de terrorisme. Le procureur général, Augustin
    Lazăr, a estimé que la nouvelle législation ne manquera pas de produire des
    disfonctionnements dans le système judiciaire. L’initiateur de l’ordonnance, le
    ministre de la Justice, Tudorel Toader, invoque en revanche la nécessité d’introduire
    dans la nouvelle loi les positions exprimées pas la Commission européenne, la
    Commission de Venise et le Conseil supérieur de la magistrature de Bucarest.












    Forum – La 7-e
    édition du Forum annuel de la Stratégie de l’UE pour la région du Danube (SUERD),
    déroulée à Sofia, a été consacrée au patrimoine culturel et historique. La
    Commissaire européenne à la politique régionale, Corina Creţu, a déclaré à
    l’occasion du Forum que la région du Danube disposait d’un immense potentiel
    touristique. La stratégie de l’UE pour la Région du Danube, lancée en 2010 par
    14 Etats, demeure un symbole de la coopération européenne, a rappelé la responsable
    européenne. La Roumanie prendra la présidence de la Stratégie au 1-er
    novembre prochain, pour un mandat d’un an.

    Météo – Le beau temps continue en Roumanie, les
    températures enregistrées dépassant les moyennes saisonnières. Le ciel sera
    partiellement couvert dans l’ouest, le nord-ouest et le centre, où la pluie pourrait
    faire son apparition. Les températures maximales atteindront les 23°C.

  • Hörerpostsendung 23.4.2017

    Hörerpostsendung 23.4.2017

    Heute möchte ich mit einer Ansage in eigener Sache beginnen, und zwar geht es um eine technische Angelegenheit. Wie Sie wissen, strahlt RRI seine analogen Sendungen über insgesamt sechs Kurzwellensender aus, die sich an drei verschiedenen Standorten befinden. Folgende Mitteilung bekam ich vom Technischen Dienst:



    Unsere Kurzwellensender am Standort Galbeni werden am Donnerstag, den 27. April, von 06.00-14.00 UTC generalüberholt. In dieser Zeit können Sie unsere Sendungen nach wie vor über die Ausstrahlungen der Kurzwellensender am Standort Ţigăneşti bei Bukarest empfangen und selbstverständlich auch im Internet direkt auf unserer Homepage oder über die Apps für mobile Geräte mit Android oder iOS als Betriebssystem. Hörern in Rumänien, Italien, Spanien, Frankreich, Gro‎ßbritannien und den USA steht au‎ßerdem auch die Möglichkeit zur Verfügung, unsere Sendungen on demand per Telefonanruf zu hören. Dabei ruft man eine Nummer im jeweiligen Land an, es gelten Ortstarife bzw. wird vom persönlichen Guthaben im Grundvertrag mit dem eigenen Dienstleister abgebucht und schon ist man live dabei.



    Hörer der deutschsprachigen Programme sind von der Generalüberholung am 27. April allerdings nur mit der Morgensendung von 0600-0630 UTC betroffen. In der Mitteilung steht allerdings nichts vom dritten Standort, nämlich Săftica bei Bukarest, und es wird auch nicht angegeben, welche Frequenz davon betroffen ist. Wer also unsere Morgensendung am 27. April per Kurzwelle einschalten möchte, der möge es über beide versuchen; wenn auf der einen nichts reinkommt, dürfte es mit der anderen klappen.




    Und da schon die Rede von unseren Apps war — die Mehrzahl ist schon richtig: Wir haben mittlerweile jeweils zwei Apps für Android bzw. iOS, beide sind bei Googleplay bzw. im App Store kostenlos herunterzuladen. Im Folgenden möchte ich aus meiner Erfahrung mit den Apps berichten. Beide haben Vor- und Nachteile, sind aber leicht zu bedienen. Die ältere hei‎ßt schlicht Radio Romania International, ist an unserem Logo zu erkennen und ist recht einfach gehalten: Sie macht im Grunde nichts anderes, als die Mobilansicht unserer Homepage auf dem Endgerät zu emulieren. Über das aufklappbare Menü kann man durch die einzelnen Rubriken surfen oder die gewünschte Sprachvariante einstellen. Im Unterschied zu älteren Varianten funktioniert nun der Live-Button im oberen Bereich einwandfrei, man braucht nur das kleine Dreieck anzutippen und schon startet der Livestream direkt in der App. Ganz rechts neben dem Play-Button ist noch ein Download-Symbol zu sehen, das vermutlich fürs Herunterladen der Podcasts vorgesehen war — leider passiert gar nichts beim Drauftippen. Fazit: Die App ist einfach zu bedienen fürs Surfen auf unserer Homepage bzw. zum Live-Audiostream-Hören, verbraucht nur wenig Ressourcen und ist absolut werbefrei.



    Für Multimedia-Fans dürfte die zweite, neuere App interessanter sein. Sie hei‎ßt Radio Romania International II (wobei man Zwei“ mit römischen Ziffern schreiben muss), kommt vom Entwickler AudioNow Digital und ist ebenfalls an unserem Logo zu erkennen. Hier öffnet sich direkt ein Player, mit dem man den Livestream direkt abspielen oder die Podcasts bereits gesendeter Programme ansteuern kann. Man muss allerdings vorher das gewünschte Sprachprogramm aus dem Menü oben links auswählen, um an die jeweiligen Podcasts heranzukommen — nicht zu verwechseln allerdings mit der Spracheinstellung der App selbst, die man ebenfalls ändern kann. Man kann also die Menüsprache der App und das ausgewählte Programm getrennt voneinander einstellen, beispielsweise die Benutzeroberfläche auf deutsch einstellen und sich dabei für die Podcasts in russisch interessieren — oder eben auch umgekehrt. Beim Antippen der jeweiligen Podcasts ist an einem roten Faden ein Download-Vorgang erkennbar, beim erneuten Drücken auf den Player-Bereich startet dann die Wiedergabe des ausgewählten Podcasts. Um wieder zum Livestream zu gelangen, einfach erneut auf Programme“ drücken und dann die Schaltfläche Live“ antippen. Ich habe allerdings noch nicht herausfinden können, wo die Podcasts beim Herunterladen auf Handy oder Tablet landen — in den üblichen Ordnern wie Downloads oder Podcasts war bei mir auf dem Handy jedenfalls nichts zu finden. Vielleicht handelt es sich nur um ein temporäres Herunterladen im Cache der App, damit man Ressourcen spart. Wie auch immer, ich werde das noch recherchieren. Ferner kann man direkt aus dem Player“-Menü den Livestream auch per Telefonanruf zum Ortstarif ansteuern, allerdings nur wenn das rumänischsprachige Programm aufgerufen wird. Für Leute im Ausland könnte das teuer werden, zumindest bis die Roaming-Kosten ganz wegfallen, denn es wird eine rumänische Festnetznummer angerufen. Also lieber Finger weg von dieser Funktion.



    In der App kann man auch unsere Auftritte in den Social Media direkt sehen. Mit der Schaltfläche Sozial“ (oben links, gleich neben Player“) kommt man zu einer Schnittstelle, wo man beispielsweise unsere letzten Postings bei Facebook, Twitter, Instagram u.a.m. sehen kann. In der Schnittstelle Contact us“ haben Sie die Möglichkeit, uns eine E-Mail oder Fotos, Audio- und Video-Botschaften direkt von Ihrem Handy oder Tablet zu verschicken.



    Alles in allem: eine zwar noch nicht ganz ausgereifte App, die aber die multimedialen Ansprüche von heute zufriedenstellen dürfte. Einziger Wermutstropfen: Die App ist nicht werbefrei, im unteren Bereich des Bildschirms ist ein schmaler blinkender Werbestreifen zu sehen und beim Surfen durchs Menü werden hin und wieder lästige Werbespots eingeblendet, die man allerdings wegklicken kann.



    Natürlich kann man unseren Livestream auch direkt im Browser öffnen, denn unsere Homepage ist auch für mobile Geräte optimiert. Und selbstverständlich kann man jederzeit auch Apps von Drittanbietern verwenden, beispielsweise die Stream-Adresse direkt im vlc-Player öffnen oder unseren Sender mit der populären App TuneIn suchen. Meine Tests galten den Android-Apps, denn ein iPhone hatte ich nie; wer ein iPhone oder ein iPad sein eigen nennt und unsere Apps für iOS testen möchte, darf uns gerne Feedback geben.




    Und jetzt zu Hörerzuschriften. Dieter Feltes ist in Pyrbaum in der Oberpfalz zu Hause und meldete sich mit folgenden Zeilen per E-Mail:



    Sehr geehrte Damen und Herren!



    Wie ich von Ihnen hörte, stellen Sie keine QSL-Karten mehr aus. Ja, es ist für den Sender viel Arbeit, auf der anderen Seite zieht es die Hörerfamilie an, Ihre Sendungen zu lauschen. Viele sind an diese Karten interessiert, zumal sie auch immer wieder schön gestaltet sind. Ich hoffe, dass Sie dadurch keine Hörer verlieren. Ich selbst empfange Ihre Sendungen schon seit vielen Jahrzehnten. Durfte ja auch einmal Ihr Funkhaus von Innen besichtigen.



    Wenn ich Ihre Berichte höre, gibt es gro‎ße Probleme bei den öffentlichen Stellen in Rumänien. Sollte nicht auch die Staatsanwaltschaft in Ihrem Land einem Kontrollorgan unterzogen werden?



    Vielleicht würde ein Teil der Korruption gemindert werden können.




    Vielen Dank für Ihr Feedback, lieber Herr Feltes. Selbstverständlich werden auch Staatsanwaltschaften einer Kontrolle unterzogen. Anfang des Monats hat das Justizministerium kraft seiner Befugnisse ein sogenanntes Audit bei der Generalstaatsanwaltschaft und mehreren Antikorruptionsbehörden durchgeführt. Die Sache war auch politisch angehaucht, denn die regierenden Sozialdemokraten hatten seit Jahren moniert, dass die Antikorruptionsbehörden vornehmlich gegen Politiker der PSD ermitteln würden. Das ist allerdings nichts Neues unter der Sonne, denn alle Parteien haben entlang der Zeit eine politisierte“ Rachejustiz beklagt, wenn es gerade einem Politiker aus ihren Reihen an den Kragen ging. Auch standen Fragen im Raum über umstrittene Beziehungen zwischen den Staatsanwaltschaften und dem Nachrichtendienst. Die Opposition hingegen sah die Kontrolle als einen Versuch, die Justiz einzuschüchtern und die Leiter der Behörden aus ihrem Amt zu entfernen. Der Bericht des Justizministers fiel letztendlich positiv aus, nach jeder Menge Fachsimpeleien hie‎ß es, dass eine Amtsenthebung des Generalstaatsanwaltes und der Chefin der Antikorruptionsbehörde nicht opportun sei.




    Weiter geht es nach Wien zu unserem Stammhörer Paul Gager. Im Online-Formular hinterlie‎ß es uns einen TV-Tipp:



    Werte Redaktion! Die 3Sat-Sendung Eine Glocke für die Ewigkeit“ war sehr interessant. Allerdings wurde nicht erwähnt, ob die Glocke in Bukarest schon im Glockenturm montiert wurde und ob sie zu voller Zufriedenheit aller ihren ewigen Dienst tut? Vielleicht wissen Sie Näheres darüber? Danke.




    Vielen Dank für den Tipp, lieber Herr Gager. Die Doku habe ich gesehen und sie ist in der 3Sat-Mediathek immer noch abrufbar (in der Online-Fassung des Funkbriefkastens werde ich dazu verlinken). Zunächst möchte ich auch den anderen Hörern erläutern, worum es geht:



    In der Innsbrucker Glockengie‎ßerei Grassmayr, einem Familienunternehmen seit über 400 Jahren im Bereich, wurde für die neue rumänisch-orthodoxe sogenannte Läuterungskathedrale in Bukarest die schwerste freischwingende Glocke der Welt gebaut. Sie wiegt über 25 Tonnen und ist grö‎ßer als alle Glocken, die es bisher gab. Mit folgenden Worten wird die Doku auf der Webseite des Senders 3Sat eingeleitet:



    Eine Glocke dieser Grö‎ße herstellen zu können, ist für eine Gie‎ßerei keine Selbstverständlichkeit. Für die Glockengie‎ßerei der Familie Grassmayr, die ihr Handwerk ununterbrochen seit 1599 ausübt, bedeutet dies die grö‎ßte Herausforderung der Firmengeschichte. Bei allen Berechnungen zu Statik, Wandstärke und Klangvolumen helfen heute zwar modernste Computerprogramme, doch die Herstellung bleibt in vielen Bereichen ein archaischer, aufwändiger Vorgang.



    Es dauert mehrere Monate und ungezählte Arbeitsschritte, ehe endlich — wie in Friedrich Schillers Lied von der Glocke“ beschrieben — das Werk den Meister loben“ kann. 3sat hat diesen handwerklich anspruchsvollen Prozess bis zum ersten Anschlagen begleitet.



    Die Doku ist tatsächlich sehr interessant, auch wenn man selber nicht religiös ist, empfindet man eine gewisse Ehrfurcht vor der ganzen Sache. In Rumänien wurde — ähnlich wie der Bau der Kathedrale selbst, die von vielen als grö‎ßenwahnsinniges Unterfangen gesehen wird — auch die Glockenherstellung kritisiert. Einige beanstandeten, dass man die Glocke im Ausland und nicht in einer heimischen Gie‎ßerei hat herstellen lassen. Andere stie‎ßen sich daran, dass das Konterfei des Patriarchen Daniel auf der Glocke prangt. Dazu muss man allerdings sagen, dass es eine Tradition — nicht nur in der orthodoxen Kirche — ist, den Stifter in einem Fresko oder einer Inschrift zu verewigen. Und der Patriarch der Rumänisch-Orthodoxen Kirche versteht sich — laut einer Verlautbarung seines Presseamtes — als geistiger Urheber der Kathedrale.



    Die Glocke ist nun fertig, den Transport und die Aufstellung übernimmt Rumänien. Der rumänischen Presse zufolge habe die Glocke knapp eine halbe Million Euro gekostet, sie soll am 15. Mai in Rumänien eintreffen. Wann sie das erste Mal zum Schwingen gebracht wird, ist ungewiss, weitere fünf kleinere Glocken sollen noch gegossen werden, um zusammen mit der Mutter aller Glocken“ im Turm der Kathedrale aufgestellt zu werden. Letztere wird beim Läuten in halb Bukarest zu hören sein, hei‎ßt es, und auf jeden Fall werden dann die Kölner traurig sein: Die Sankt Petersglocke im Kölner Dom wird dann nur noch die zweitgrö‎ßte freischwingende Glocke der Welt sein.




    Liebe Freunde, das war’s für heute — zum Schluss die Postliste. Briefe konnte ich auch diese Woche nicht erhalten — ich hab’s zweimal versucht, doch die Poststelle war jedes Mal geschlossen.



    E-Mails erhielten wir bis Samstagnachmittag von Michal Hudák (CZ), Hans Verner Lollike (DK), Gérard Koopal (NL), Josef Robl, Paul Gager und Christian Mayer (A) sowie von Dieter Sommer, Reinhold Meyer, Torsten Konopka, Bernd und Willi Seiser, Volker Willschrey, Martien Post, Horst Cersovsky, Werner Hoffmann, Dieter Feltes und Siegbert Gerhard (D).



    Das Internetformular nutzte Paul Gager (A).




    Audiobeitrag hören:




  • Die Woche 03.04.-07.04.2017 im Überblick

    Die Woche 03.04.-07.04.2017 im Überblick

    Die Regierungskoalition hat einen Gesetzentwurf über die einheitliche Entlohnung der Staatsbediensteten vorgeschlagen



    Im rumänischen Entlohnungssystem für Staatsbedienstete gibt es zur Zeit keine Hierarchie, die sich an der Bedeutung der geleisteten Arbeit, an der Schul- oder Hochschulausbildung, an dem Berufsalter oder an der beruflichen Erfahrung orientiert. Diese Lücke im Entlohnungssystem führte im Laufe der Jahre zu Anomalien, die in anderen EU-Ländern undenkbar wären. Die jetzige Koalitionsregierung der Sozialdemokratischen Partei (PSD) und der Allianz der Liberalen und Demokraten (ALDE) hat sich vorgenommen, diese Situation durch ein Gesetz über die einheitliche Entlohnung der Staatsbediensteten zu regeln. Der Gesetzentwurf ist am Donnerstag in Sinaia auf dem Treffen des Nationalen Exekutivkomitees der Sozialdemokratischen Partei (PSD) vorgestellt worden. Zum Treffen der PSD-Führung beteiligten sich auch Vertreter des Koalitionspartners ALDE (Allianz der Liberalen und Demokraten). Auf dem Treffen erklärte der PSD-Vorsitzende, Liviu Dragnea, auf diese Weise werde das Annahmeverfahren beschleunigt, so dass einige im Gesetz vorgesehene Gehaltserhöhungen schon ab 1. Juli in Kraft treten können. Im Gesetz wird auch ein Kalender der Gehaltserhöhungen für die nächsten Jahre festgelegt. Laut Gesetzentwurf sollen die Löhne und Gehälter in den nächsten fünf Jahren etappenweise erhöht werden; die Berechnungen basieren auf dem durchschnittlichen Mindestlohn. Laut dem neuen Entlohnungsgesetz sollen die Staatsbediensteten, die die gleiche Aktivität leisten und den selben Berufsalter haben, die gleiche Entlohnung bekommen. Ferner soll das Prinzip der Hierarchie eingeführt werden, so daß der Leiter einer Einrichtung nicht ein niedrigeres Gehalt als seine Untergeordneten bekommt. Gemäß dem neuen Gesetz soll das Verhältnis zwischen dem niedrigsten und dem höchsten Lohn im öffentlichen Sektor von 1 zu 15 auf 1 zu 12 sinken. Das höchste Gehalt im Staat wird demnach der Staatschef erhalten, gefolgt von den Vorsitzenden der zwei Parlamentskammer und vom Präsidenten des Obersten Gerichts. Die politische Opposition in Bukarest sagte, das geplante Gesetz über die einheitliche Entlohnung der Staatsbediensteten sei unrealistisch, weil nicht genug Geld für alle vorgesehenen Gehaltserhöhungen vorhanden sei.



    Justizminister plant Gesetzesänderungen und Kontrollmaßnahmen



    Die Bukarester Regierung versucht, die Strafgesetzgebung zu modifizieren, damit sie nicht gegen die Entschiedungen des Verfassungsgerichts verstößt und die Bekämpfung der Korruption nicht verhindert. Der rumänische Justizminister, Tudorel Toader, gab am Mittwoch bekannt, das Gesetzesprojekt über die Anpassung der Normen des Strafgesetzbuches und der Strafprozeßordnung zu den Entscheidungen des Verfassungsgerichts werde nächste Woche dem Parlament zu Debatte vorgelegt. Die Anpassung bezieht sich auf die Definition des Amtsmissbrauches in Anlehnung an eine Entscheidung des Verfassungsgerichts vom letzten Jahr. Dabei präzisierte Toader, dass das Projekt keine Abgrenzung des Amtsmissbrauches statuiert; der Richter wird entscheiden, ob der Angeklagte eine Strafurteil bekommt, oder nicht. Die partielle Entkriminalisierung des Amtsmissbrauchs durch die Einführung einer Grenze von etwa 45.000 Euro, unter welcher der Amtsmissbrauch nicht als Straftat gelten sollte, war in der berühmt-berüchtigten Eilverordnung Nr. 13 vom 31. Januar enthalten. Die umstrittene, inzwischen annulierte Eilverordnung, hat für die größten Protestdemonstrationen im postkommunistischen Rumänien gesorgt. Justizminister Tudorel Toader hat auch angekündigt, dass bei der Staatsanwaltschaft am Obersten Gerichtshof, der Nationalen Antikorruptionsbehörde DNA und der Behörde zur Bekämpfung des Organisierten Verbrechens DIICOT ein externes Audit durchgeführt werden soll. Dabei soll die Tätigkeit der Staatsanwälte geprüft werden. Das Audit soll feststellen, für wieviele Verfahren jeder Staatsanwalt zuständig ist, wie lange die Vorbereitung eines Verfahrens dauert, wieviele Klagen beim Europäischen Gerichtshof für Menschenrechte eingereicht werden und wieviele unschuldige Bürger verurteilt wurden.



    Drei Monate nach ihrer Amtseinführung nimmt die Bukarester Regierungskoalition eine zweite Regierungsumbildung vor



    Die linksgerichtete rumänische Regierungskoalition, gebildet aus der Sozialdemokratischen Partei (PSD) und der Allianz der Liberalen und Demokraten (ALDE) unter der Leitung des Sozialdemokraten Sorin Grindeanu, die das Resultat der Parlamentswahlen vom 11. Dezember 2016 ist, hat drei Monate nach ihrer Amtseinführung schon wieder einige Minister gewechselt. Am 23. Februar waren schon vier Minister gewechselt worden: der Justizminister, der Wirtschaftsminister, der Handelsminister sowie der delegierte Minister für EU-Mittel. Tudorel Toader, ehemaliger Richter des Verfassungsgerichtes, übernahm das Amt des Justizministers. Alexandru Petrescu wurde für das Handelsministerium vorgeschlagen, so dass er das Wirtschaftsministerium verließ, wo Mihai Tudose zurückkam. Dieser hatte auch im Ponta-Kabinett das gleiche Amt bekleidet. Rovana Plumb wurde delegierte Ministerin für EU-Mittel. Sie war ebenfalls Ministerin in der Regierung von Adrian Năstase. All diese Rochaden wurden von der Sozialdemokratischen Partei abgesegnet. Jetzt war der Juniorpartner ALDE dran, an der Regierungsumbildung mitzumischen. Am Montag haben zwei neue Minister den Eid abgelegt. ALDE hat Graţiela Gavrilescu, ehemalige Ministerin für Beziehungen zum Parlament, für das Umweltministerium und zur Vizepremierministerin designiert. Ihr Platz wurde vom Chef der ALDE-Senatsfraktion Viorel Ilie eingenommen. Die Führungsriege der Allianz hatte eine Woche zuvor beschlossen, die politische Unterstützung für den Ko-Vorsitzenden Daniel Constantin, Vizepremier und Umweltminister, wegen der Querelen zwischen ihm und dem anderen Ko-Vorsitzenden, dem Senatschef Călin Popescu-Tăriceanu, zurückzuziehen.



    Eine Rumänin ist das fünfte Todesopfer des Terrorangriffs in London



    Die Anzahl der Todesopfer des Terrorangriffs im Zentrum Londons am 22. März ist auf fünf gestiegen. Eine 31jährige rumänische Architektin, die auf der Westminister-Brücke vom Täter angefahren und unter dem Aufprall in die Themse katapultiert wurde, ist ihren Verletzungen erlegen. Das bestätigte am Freitag der rumänische Botschafter in der britischen Hauptstadt. Der Partner der Frau hatte nur leichte Verletzungen davongetragen und wurde schnell aus dem Krankenhaus entlassen.



    Gold- und Silbermedaillen und weitere Preise für Rumänien bei der Erfindungsmesse in Genf



    Die rumänischen Erfinder haben in diesem Jahr bei der Internationalen Messe für Erfindungen in Genf zahlreiche Auszeichnungen erhalten. Es geht um die bedeutendste Veranstaltung in diesem Bereich, die im Zeitraum 29. März – 2. April stattfand. Die Rumänen wurden bei der 45. Messe von der Jury mit 34 Goldmedaillen, 8 Silbermedaillen und 10 Sonderpreisen ausgezeichnet. Hinzu kamen weitere 17 Preise, die von den ausländischen Delegationen, die bei dem Tag Rumäniens anwesend waren, verliehen wurden. Rumänien beteiligte sich mit 40 Erfindungen. Die Teilnahme wurde vom Staatshaushalt finanziert. Das Forschungsministerium gab bekannt, 8 Erfindungen wurden durch Eigenmittel finanziert.

  • Justizminister ordnet externe Prüfung an

    Justizminister ordnet externe Prüfung an

    Bei der Staatsanwaltschaft am Obersten Gerichtshof, der Nationalen Antikorruptionsbehörde DNA und der Behörde zur Bekämpfung des Organisierten Verbrechens DIICOT soll ein externes Audit durchgeführt werden. Das hat Rumäniens Justizminister Tudorel Toader angekündigt. Dabei soll die Tätigkeit der Staatsanwälte geprüft werden.




    Das Audit soll feststellen, für wieviele Verfahren jeder Staatsanwalt zuständig ist, wie lange die Vorbereitung eines Verfahrens dauert, wieviele Klagen beim Europäischen Gerichtshof für Menschenrechte eingereicht werden und wieviele unschuldige Bürger verurteilt wurden. Letzte Woche hat der Minister die Schlussfolgerungen der Bewertungen über die Aktivität der DNA-Leiterin Laura Codruta Kovesi und des Generalstaatsanwaltes Augustin Lazar bekanntgegeben.




    Die Entscheidung, ihre Tätigkeit zu bewerten, kam, nachdem das Verfassunsgericht einen Verfassungskonflikt zwischen der DNA und der Regierung festgestellt hatte. Die Verfassungsbeschwerde wurde eingereicht, nachdem Staatsanwälte der DNA Ermittlungen im Falle der Eilverodnung Nr. 13 zur Abänderung des Strafgesetzbcuhes und der Strafprozessordnung eingeleitet hatten. Minister Toader sagte, man werde die Chefs der Generalstaatsanwaltschaft und der Nationalen Antikorruptionsbehörde nicht sanktionieren. Die Kündigung der beiden sei nicht nötig.




    “Ich habe diese Bewertung, die mir der Artikel 132 der Verfassung elaubt, durchgeführt. Ich habe es auch als Abweichung angesehen, habe aber nicht vergessen, dass das Gesetz 303 die Bewertung der Tätigkeit der Staatsanwälte erlaubt. Ich werde ein externes Audit für die Kontrolle der Tätigkeit der Nationalen Antikorruptionsbehörde, der Generalstaatsanwaltschaft, aber auch der Behörde zur Bekämpfung des Organisierten Verbrechens DIICOT bestellen, weil die 2650 rumänischen Staatsanwälte in den Grundstrukturen tätig sind”, so der Justizminister.




    Es wäre nicht fair, nur die einen zu kontrollieren, erklärte der Minister in einem Interview. Der Leiter der Behörde zur Bekämpfung des Organisierten Verbrechens DIICOT, Daniel Horodniceanu, sagte die Initiative des Justizministers sei normal:




    “Es ist normal, dass die Generalstaatsanwaltschaft als eine Einheit betrachtet wird. Andererseits wurde DIICOT in der vorrigen Periode vom Justizminister nicht kontrolliert. Er möchte die ganzeTätigkeit der Generalstaatsanwaltschaft prüfen, und diese schlie‎ßt auch die Behörde zur Bekämpfung des Organisierten Verbrechens DIICOT, nicht nur die DNA und die Staatsanwaltschaft beim Obersten Gericht, mit seinen unterstellten Einheiten, ein.”




    Der Regierungschef Sorin Grindeanu sagte, man habe ihn über die Absicht, dieses Audit durchzuführen, informiert. Ferner wäre ihm der Rechtsstaat wichtig, weil seiner Meinung nach “die Institutionen stark sein müssen und die zwischeninstitutionellen Mechanismen gut funktionieren und klar definiert sein müssen, abgesehen von der Person, die die eine oder andere Stuktur leitet.”

  • Procureurs à l’audit

    Procureurs à l’audit

    L’activité des procureurs roumains doit être vérifiée sur le fond, a affirmé le ministre roumain de la Justice, Tudorel Toader. Il a annoncé qu’il convoquerait un audit externe au Parquet près la Haute Cour de cassation et de justice, au Parquet national anticorruption ainsi qu’à la Direction d’investigation des infractions liées au crime organisé et au terrorisme. Cet examen en détail doit tirer au clair le volume de travail des procureurs, à savoir le nombre de dossiers à gérer, les échéances, le nombre d’affaires portées devant la Cour européenne des droits de l’homme ou encore le nombre de personnes victimes d’erreurs judiciaires, ayant été condamnées de manière infondée à des peines de prison ferme.



    Ce contrôle intervient peu de temps après l’évaluation, la semaine dernière, de l’activité de l’activité du procureur général de la Roumanie, Augustin Lazar, et de la procureure en chef de la Direction anticorruption, Laura Codruta Kövesi. Un suivi déroulé dans le sillage d’une récente décision de la Cour constitutionnelle, selon laquelle le Parquet anticorruption se serait arrogé des compétences qu’il n’aurait pas et disposé d’une enquête sur la manière dont le gouvernement roumain de centre-gauche aurait élaboré et adopté le très controversé décret d’urgence n° 13, qui tentait d’alléger la législation pénale anticorruption. Tout en constatant les erreurs commises par les deux institutions et le conflit entre les pouvoirs de l’Etat, le ministre de la Justice, Tudorel Toader, a décidé qu’il n’était pas « opportun » de réclamer la démission des deux procureurs en chef.



    « J’ai entrepris cette évaluation à laquelle l’article 132 de la Constitution me donne le droit, parce qu’il s’agissait d’un dérapage selon moi, mais je n’ai pas oublié non plus que la loi 303 permet aussi la vérification de l’activité des procureurs sur le fond. C’est pourquoi je vais disposer d’un audit externe au sein des trois composantes du Ministère public, au total 2650 procureurs sur l’ensemble de la Roumanie. Ce serait injuste de contrôler certains et en épargner d’autres », a dit le ministre de la Justice.



    C’est une démarche tout à fait naturelle, a réagi le procureur en chef de la Direction d’investigation des infractions liées au crime organisé et au terrorisme, Daniel Horodniceanu : « Que le Ministère public soit traité comme un tout, c’est tout à fait normal. En outre, la Direction d’investigation n’a jamais fait l’objet d’évaluations ni du Mécanisme de contrôle et de vérification ni du ministère de la Justice », a-t-il expliqué.



    Le chef du gouvernement de Bucarest, Sorin Grindeanu, a fait savoir qu’il avait été informé quant à l’organisation de ce contrôle, soulignant qu’il souhaitait que l’Etat de droit fonctionne dans les meilleurs paramètres. Dans cette perspective, selon lui, « les institutions doivent être puissantes, tandis que les mécanismes interinstitutionnels doivent être très bien définis et mis au point, au-delà des personnes qui dirigent ces structures ». (trad. : Andrei Popov)

  • Ministerul Public se pregăteşte de audit

    Ministerul Public se pregăteşte de audit

    Ministrul român al justiţiei, Tudorel Toader,
    a anunţat că va dispune un audit extern la Parchetul instanţei supreme, DNA şi
    DIICOT, pentru a analiza activitatea procurorilor. Verificarea va stabili, între
    altele, numărul de dosare pe care le are fiecare procuror, termenele de
    soluţionare, numărul de cazuri reclamate la CEDO şi numărul de cetăţeni care au
    stat în închisoare pe nedrept.

    Decizia survine la scurt timp după o evaluare a
    activităţii procurorului general al României, Augustin Lazăr, şi a procurorului
    şef al DNA, Laura Codruţa Kovesi. Evaluarea a fost impulsionată de o decizie
    recentă a Curţii Constituţionale, potrivit
    căreia DNA şi-a arogat competenţe pe care nu le are atunci când a început să
    ancheteze modul în care a fost promovată controversata ordonanţă de urgenţă 13,
    prin care executivul PSD-ALDE a încercat să relaxeze legislaţia penală
    anticorupţie.

    La finele evaluării, ministrul Tudorel Toader a explicat că amintita decizie a CCR, prin care s-a stabilit
    că există un conflict între puterile statului, nu atrage sancţiuni şi a decis că nu este oportună revocarea
    celor doi. Eu am făcut acea evaluare, pe care articolul 132 din
    Constituţie mi-o permitea, că şi eu consideram că e un derapaj, dar nu am uitat
    că legea 303 permite evaluarea procurorilor pe fond şi voi dispune un audit
    extern care să verifice nu doar DNA şi Parchetul General, ci şi DIICOT, pentru
    că procurorii din România, cei 2 650 procurori, funcţionează în structurile de
    bază. Atunci ar fi nedrept să te duci la unii şi să-i ocoleşti pe alţi
    , a
    explicat ministrul, într-un interviu pentru o televiziune particulară.

    Procurorul şef al DIICOT, Daniel
    Horodniceanu, a apreciat că iniţiativa ministrului justiţiei este una normală: E firesc ca ministerul Public
    să fie tratat într-un tot unitar. Pe de altă parte, DIICOT nu a constituit până
    acum nici obiect al Mecanismului de Cooperare şi Verificare şi nici mecanism de
    verificare făcut de domnul ministru al Justiţiei în perioada anterioară. Dar
    dacă dumnealui doreşte să analizeze întreaga activitate a Ministerului Public,
    sigur că Ministerul Public înglobează şi DIICOT, nu numai DNA şi Parchetul
    Înaltei Curţi cu unităţile subordonate.

    Șeful Guvernului, care a anunţat că a fost informat în
    legătură cu intenţia efectuării acestui audit, a subliniat că este interesat în
    funcționarea statului de drept, pentru aceasta fiind, în opinia sa, important
    ca instituțiile să fie puternice și mecanismele interinstituționale să
    fie foarte bine puse la punct și foarte clar definite, dincolo de cine conduce
    o structură sau alta.

  • 04.04.2017 (mise à jour)

    04.04.2017 (mise à jour)

    Justice — Le ministre roumain de la Justice, Tudorel Toader, a annoncé que le Parquet près la Haute Cour de Cassation et de Justice, le Parquet national anticorruption (la DNA) et la Direction d’investigation des infractions de criminalité organisée et de terrorisme (la DIICOT) feront l’objet d’un audit externe. Cette vérification établira, entre autres, le nombre des dossiers instruits par chaque procureur, les délais, le nombre des cas réclamés à la Cour européenne des droits de l’homme et le nombre des citoyens ayant effectué des peines de prison suite à des erreurs judiciaires. La semaine dernière, le ministre Toader a présenté les conclusions de l’évaluation de l’activité de la chef du Parquet anticorruption, Laura Codruta Kovesi, et du procureur général Augustin Lazar. La décision de vérifier l’activité des deux a été prise parce que la Cour constitutionnelle avait constaté un conflit constitutionnel entre la DNA et le gouvernement. La Cour constitutionnelle a été saisie suite à l’enquête démarrée par les procureurs anti-corruption sur la manière dont a été adopté le fameux décret gouvernemental d’urgence n° 13, qui assouplissait la législation anti-corruption.



    Loi — Le projet de la loi des salaires unitaires pour les personnels publics de Roumanie est prêt, a annoncé Liviu Dragnea, leader des sociaux-démocrates au pouvoir. Selon lui, tous les fonctionnaires publics y gagneront, et les hausses salariales seront accordées progressivement. Ainsi, 32 milliards de lei seront accordés jusqu’en 2020. Les syndicalistes, mécontents de la manière dont la coalition au pouvoir a décidé de promouvoir la loi, demandent la démission de la ministre du Travail, Lia Olguţa Vasilescu. En cause — le fait que le projet de loi portant salaires unitaires des personnels publics ne sera pas promu par le gouvernement, mais en tant qu’initiative législative des parlementaires du PSD, ce qui serait, selon eux, de nature à éluder le débat public. Les libéraux, d’opposition, demandent au gouvernement d’engager sa responsabilité sur cette loi, vu que l’acte réglementaire a été une promesse faite par les sociaux-démocrates dans la campagne électorale à la fin de l’année dernière. Les autorités souhaitent que la loi entre en vigueur le 1er juillet.



    Visite — La ministre roumaine déléguée aux Affaires européennes, Ana Birchall, qui fait une visite officielle à paris ces mardi et mercredi, a rencontré Harlem Désir, secrétaire d’Etat aux Affaires européennes au ministère français des Affaires étrangères et du Développement international. A l’agenda — l’actualité européenne et des sujets d’intérêt bilatéral. Ils ont également discuté des modalités concrètes de coopération dans le domaine des Affaires européennes, pour que Bucarest puisse profiter de l’expérience française dans l’organisation de la présidence roumaine du Conseil de l’UE, au 1er semestre de 2019.



    Ministres – En Roumanie les nouveaux ministres de l’Environnement et de la relation avec le Parlement, Gratiela Gavrilescu, qui est également vice-premier ministre et respectivement Viorel Ilie, commencent leurs mandats ce mardi. Les deux nouveaux ministres ont prêté serment lundi, devant le président Klaus Iohannis. Ils ont été proposés par l’Alliance des libéraux et des démocrates, parti qui, aux côtés du PSD, forme la coalition gouvernementale.



    Cour constitutionnelle — La Cour constitutionnelle de Roumanie a ajourné, ce mardi, pour la 3e fois, la décision au sujet de la saisine déposée par l’Avocat du peuple (l’équivalent du Défenseur des droits) au sujet de la loi interdisant aux personnes qui ont subi une condamnation pénale d’occuper des fonctions gouvernementales. Elle va statuer le 27 avril. Au cours des deux précédentes réunions de la Cour, les 7 et 21 mars, les magistrats ont ajourné toute prise de décision en l’absence d’une majorité de voix. La Cour avait été saisie en janvier par l’institution du Défenseur des droits, représentée par Victor Ciorbea, qui affirme qu’un article de la loi serait contraire à plusieurs articles de la Loi fondamentale, ainsi qu’à des actes normatifs du droit international. La loi n’a pas permis au leader social-démocrate Liviu Dragnea, actuel président de la Chambre des députés, de devenir premier ministre après le scrutin législatif de décembre 2016.



    Migrants — La Police roumaine aux frontières a annoncé que plusieurs migrants clandestins avaient été dépistés, mardi, alors qu’ils tentaient d’entrer ou de sortir du pays. 18 Irakiens, dont 5 enfants, ont été capturés dans le sud-ouest du pays, à la frontière avec la Serbie, au moment où ils s’apprêtaient à entrer en Roumanie, d’où ils souhaitaient rejoindre l’Europe Occidentale. 14 autres migrants d’Irak, d’Iran et de Palestine, demandeurs d’asile en Roumanie, ont essayé lundi et mardi de franchir la frontière avec la Hongrie, mais ils ont été arrêtés par les policiers roumains aux frontières.



    Parquet — 16 Etats, dont la Roumanie, se sont associés pour créer un Parquet antifraude, a annoncé le Conseil européen. La future instance indépendante est censée combattre les infractions qui pourraient porter atteinte aux intérêts financiers de l’Union et notamment les fraudes aux fonds européens. Les procureurs de ce parquet auront des compétences dans la gestion de la lutte contre l’évasion fiscale, au niveau transfrontalier. Selon la Commission européenne, les budgets nationaux des Etats communautaires sont fraudés d’au moins 50 milliards d’euros par an, suite uniquement à la collecte déficitaire de la TVA.



    Hockey — La sélection nationale de hockey de Roumanie doit rencontrer ce mardi la Serbie, dans son deuxième match de la Coupe du Monde, 2e division, groupe 1, à Galati. Lundi la Roumanie a vaincu la Belgique 9 buts à 1. La Roumanie doit également affronter l’Islande jeudi, l’Australie, vendredi, et l’Espagne, dimanche. L’objectif de l’équipe de Roumanie est de terminer première de son groupe et d’accéder ainsi à l’étape suivante de la compétition.

  • Cioloş-Regierung legt Prioritäten fest

    Cioloş-Regierung legt Prioritäten fest

    Nach der Amtseinführung vor einer Woche hat mit der Technokraten-Regierung von Ministerpräsident Dacian Cioloş die wohl au‎ßergewöhnlichste Exekutive im postkommunistischen Rumänien ihre ersten Sitzungen abgehalten. Es hat in der Vergangenheit bereits zwei unabhängige Regierungschefs gegeben, bzw. Teodor Stolojan 1991 und Mugur Isărescu 1999, beide gelernte Ökonomen. Allerdings besetzten beide die meisten Ministerposten mit politischen Vertretern.



    Cioloş hingegen entschied sich zugunsten der Ministeranwärter ohne politischen Hintergrund, die mit Erfolg in der öffentlichen Verwaltung, der Zivilgesellschaft oder an den europäischen Institutionen tätig waren. Dieses Kabinett wird etwa ein Jahr lang das Land regieren, bis zu den Parlamentswahlen im Herbst 2016. In diesem Zeitraum soll sich die politische Klasse, die als korrupt und inkompetent gilt und ihr Ansehen vollständig ruiniert hat, neu erfinden und das Vertrauen der Bürger wiedergewinnen.



    Die Regierung habe sich vorgenommen, die Haushaltsvorlage für 2016 möglichst schnell zu verabschieden, erklärte Ministerpräsident Dacian Cioloş für Radio Rumänien, in seinem ersten Interview nach der Amtseinführung. In der ersten Dezember-Hälfte soll der Entwurf schlie‎ßlich dem Parlament vorgelegt werden. Angesprochen auf die Erhöhung der Gehälter von Staatsbediensteten um 10%, antwortete Cioloş, er wolle sich erst einmal in Ruhe mit den Statistiken der ehemaligen Regierung auseinander setzen. Erst dann werde man wissen, ob eine derartige Erhöhung realistisch sei.



    Im Übrigen würden die neuen Minister die Projekte untersuchen, die unter der Ex-Regierung des Sozialdemokraten Victor Ponta angelaufen waren. Danach soll beschlossen werden, welche davon in dem Haushalt für das kommende Jahr mitberücksichtigt werden können. Das neue Regierungsprogramm setzt schnelle Lösungen für die Festigung des Vertrauens in die rumänische Wirtschaft voraus, erklärte Vize-Ministerpräsident Costin Borc.



    Das bedeutet, die Möglichkeiten einer Re-Industrialisierung zu identifizieren, wobei die Neuauslegung dieses Konzeptes im allgemeinen europäischen Kontext berücksichtigt werden muss. Uns liegt viel an der Unterstützung des rumänischen Kapitals, die Stärkung rumänischer Marken zählt zu unseren strategischen Zielen. Das rumänische Humankapital ist für uns eine wesentliche Ressource und wir möchten die Humanressourcen weiterentwickeln, also die qualifizierten Arbeitskräfte fortbilden, bis hin zur Unterstützung kreativer Industrien, wie der IT-Branche usw…



    Der aktuelle Ministerpräsident und frühere EU-Landwirtschaftskommissar Dacian Cioloş traf sich indes mit seiner rumänischen Nachfolgerin in der Europäischen Kommission, der Kommissarin für Regionale Entwicklung, Corina Creţu. Nach dem Treffen verkündete er die Entsperrung des sogenannten operationellen Regionalentwicklungsprogramms für den Zeitraum 2007-2013. Die Fördermittel waren infolge eines Audits der Kommission eingefroren worden. Ferner erklärte Cioloş im Interview mit Radio Rumänien, dass das Land zurzeit etwa 60% der Fördermittel abgerufen habe. Sollte alles nach Plan laufen, könnte die Absorbtionsrate bald auf 70% ansteigen, so der Regierungschef.