Tag: AUF

  • Francophonie puissance jeune

    Francophonie puissance jeune

    Ils se voyaient pour la première fois ; ils venaient même de pays rivaux ou carrément en guerre ; et pourtant en l’espace d’une semaine, ils sont arrivés à communiquer, à se comprendre, à s’apprivoiser et même à se quitter en bons amis. Une histoire qui semble trop belle pour être vraie, voire naïve, et pourtant c’est ce qui s’est bel et bien passé la semaine dernière au Festival international des étudiants francophones d’Europe Centrale et Orientale. Un événement organisé à Zagreb par l’Agence universitaire de la Francophonie en partenariat avec l’Université de la capitale croate et soutenu par Radio Roumanie Internationale. Qu’est-ce que la francophonie apporte aux jeunes de cette région ? Comment fait-elle la différence sur leurs parcours de formation ? Quelles chances a-t-elle, la francophonie de rester présente et active dans cette partie du vieux continent ?



    De l’utilité de la francophonie jeune avec Mohamed Ketata, directeur de l’AUF – Agence universitaire de la Francophonie — pour l’Europe Centrale et de l’Est, basé à Bucarest et avec Yoanna Tsekova, étudiante à l’Université Saint Kliment Ohridski de Sofia, en Bulgarie.





  • Quels scénarii d’évolution pour les études universitaires du et en français ?

    Quels scénarii d’évolution pour les études universitaires du et en français ?

    L’Agence universitaire de la
    Francophonie (AUF) en Europe centrale et orientale (ECO) organise une réunion
    des responsables des départements de français de ses universités membres en
    région ECO. La rencontre a lieu les 24 et 25 novembre 2016 à l’Université de sciences agronomiques
    et de médecine vétérinaire de
    Bucarest. Organisée dans le cadre du projet « Dialogue d’expertise »
    de l’AUF, cette réunion s’articule autour de la question de l’évolution des
    dispositifs universitaires de formation du/en français en région ECO.






    Environ cent
    responsables des départements de plus de vingt pays de la région, ainsi que des
    experts du projet « Dialogue d’expertise » participent pendant deux
    jours aux activités prévues dans le cadre de cette réunion. Sont également
    invités les étudiants du Master « Didactique des langues » organisé
    par l’AUF à Bucarest. Les participants travailleront en deux ateliers en
    parallèle, animés par deux intervenants de France et Slovaquie. Des représentants
    des Ministères de l’Éducation Nationale de l’Albanie, l’Arménie, la Géorgie, la
    République de Moldova et de la Roumanie ont également confirmé leur présence.






    Un atelier
    est dédié à l’évolution des départements de langue et littérature
    françaises : organisation, structure, rénovation, développement. L’autre
    atelier est consacré à l’évolution des départements/sections de français et
    centres universitaires de langue française : organisation, structuration
    de l’offre (FLE, FOS et FOU), pratiques pédagogiques, etc.






    Le principal objectif de la rencontre
    est de faire le point sur la situation du français dans l’enseignement
    supérieur en ECO et de favoriser les échanges croisés sur le devenir de ces
    départements, d’encourager la confrontation des réflexions et des expériences
    des responsables de départements d’études françaises compte tenu de nouveaux
    enjeux.








    Ainsi, pendant les deux jours, les
    participants vont essayer de répondre aux questions suivantes :




    ·quel avenir pour la formation initiale universitaire des
    enseignants de français en ECO ?


    ·comment renforcer l’attractivité des départements d’études
    françaises dans un contexte universitaire soumis à de fortes contraintes internes
    et externes ?


    ·qu’en est-il des formations professionnalisantes assurées
    par les DEFs dans le dispositif LMD (licence-master-doctorat) ?


    ·comment mettre en œuvre des recommandations du Cadre
    européen de référence pour les langues en matière de didactique des langues et
    d’évaluation, l’usage renforcé des TICE, l’offre de nouvelles certifications,
    la demande croissante de multilinguisme formulée par les citoyens européens,
    liée à la mobilité estudiantine et professionnelle.






    Pour plus
    d’information :




    Mme
    Georgiana RUSU, Responsable de communication, Agence universitaire de la
    Francophonie, georgiana.rusu@auf.org






    L’Agence universitaire de la Francophonie est une association internationale d’universités francophones avec plus de
    800 établissements membres dans plus de 100 pays, ayant comme objectif de
    soutenir le milieu académique francophone partout dans le monde. Plus de
    détails sont disponibles sur
    www.auf.org.

  • La Francophonie universitaire fait sa rentrée 2016

    La Francophonie universitaire fait sa rentrée 2016

    Le changement dans la continuité est
    l’élément qui définit la reprise de l’activité au Bureau Europe Centrale et
    Orientale de l’Agence universitaire de la Francophonie, qui se trouve à
    Bucarest. C’est l’idée centrale qui s’est dégagée lors de la passation du
    relais entre le déjà ancien directeur, Fabien Flori, arrivé à la fin de son
    mandat, et le nouveau chef du Bureau, Mohammed Ketata. Comment cela
    s’opère ? Quels sont les projets qui font la fierté de l’équipe de
    Bucarest ? Sur quelles lignes de forces s’assoit l’action future du
    Bureau ? Des réponses à ces questions, dans l’entretien enregistré à
    Bucarest, en début de semaine.

  • Franco-Mania 21.04.2016

    Franco-Mania 21.04.2016

    Cette émission est réalisée live devant un public étudiant, avec le soutien du Bureau pour l’Europe centrale et de l’est de l’Agence universitaire de la francophonie. La Maison des universitaires, un centre de réunions académiques de Bucarest, vient d’accueillir le 5e Festival régional des jeunes étudiants francophones. Une semaine durant, une soixante-dizaine d’étudiants venus d’une dizaine de pays ont examiné sous toutes les coutures l’idée de « vivre ensemble ». Vivre ensemble d’accord, mais comment ? Vivre ensemble entre nous ou avec d’autres aussi ? Des questions vécues parfois à fleur de peau par les habitants de cette région se trouvant en première ligne face à la vague migratoire et de réfugiés. Alors, qu’est-ce que vivre ensemble et que veut dire encore la solidarité pour les Européens de l’est ?



    Quinze étudiants arméniens, bulgares, géorgiens, hongrois, macédoniens, moldaves, roumains, serbes, slovaques et ukrainiens ont réfléchi à cette problématique, à l’occasion d’un atelier spécial. Autant de pays autant d’expériences différentes dont ils nous parleront durant ce débat.



    Ecoutez le débat






    Entretien avec Adèle Gousset, lectrice de français à lUniversité “Transilvania” de Brasov, par Andrada (Université “Transilvania” de Brasov, Roumanie)






    Entretien avec Irakle, ressortissant géorgien, par Tamar (Université dEtat de Tbilissi “Ivane Javakhishvili”, Géorgie)






    Entretien avec Olivier Dumas, bibliothécaire et responsable Campus France à lInstitut français de Iasi, par Simona (Université Alexandru Ioan Cuza de Iasi, Roumanie)






    Entretien avec la prof. Anna Krasteva, sociologue, par Svetla (Nouvelle Université bulgare, Sofia, Bulgarie)






    Entretien avec prof. Arpine Stepanyan, par Zaruhi (Université linguistique d’État “V. Brusov” dErevan, Arménie)






    Entretien avec prof. Antonii Galabov, sociologue, par Svetla (Nouvelle Université bulgare, Sofia, Bulgarie)






    Entretien avec Maria et Maria, bénévoles dans des camps de réfugié macédoniens, par Kristina (Université Saints Cyrille et Méthode, Skopje, Macédoine)






    Entretien avec des étudiants slovaques par Jozef (Université « Comenius » de Bratislava, Slovaquie)






    Entretien avec des étudiants bulgares par Vili (Université médicale de Plovdiv, Bulgarie)






    Le phénomène migratoire et la Serbie par Ivana (Université de Belgrade, Serbie)






    Le phénomène migratoire et lUkraine par Maryna (Université nationale « Illia Metchnikov » d’Odessa, Ukraine)






    Le phénomène migratoire et la Hongrie par Patrik (Université « Loránd Eötvös » de Budapest, Hongrie)






    Le phénomène migratoire et la République de Moldova par Arina (Université dÉtat Alecu Ruso de Balti, République de Moldova)






    Le phénomène migratoire et la Hongrie par Zsófia (Université « Loránd Eötvös » de Budapest, Hongrie)






    Le phénomène migratoire et la Roumanie par Iana (Université de Pitesti, Roumanie)




  • Bernard Cerquiglini, bilan de mandat

    Bernard Cerquiglini, bilan de mandat

    Bernard Cerquiglini, professeur agrégé de linguistique à l’Université Paris 7 – Denis Diderot, a été en poste à la direction de l’AUF entre 2007 et 2015. Le Recteur Bernard Cerquiglini a passé le flambeau à son successeur le 8 décembre 2015. Une semaine auparavant, il répondait aux questions d’Ileana Taroi, dans une interview que nous invitons à écouter.

  • 2007-2015 : une envergure nouvelle pour l’Agence universitaire de la Francophonie

    2007-2015 : une envergure nouvelle pour l’Agence universitaire de la Francophonie

    Après deux mandats de quatre ans à la tête d’une des plus importantes associations d’universités au monde, le Recteur Bernard Cerquiglini passera le flambeau à son successeur le 8 décembre 2015. Au cours de ces huit années, accompagnant l’Agence dans son adaptation au contexte universitaire international, il a impulsé des transformations majeures, afin que l’Agence remplisse avec succès ses missions : permettre au plus grand nombre l’accès à un enseignement supérieur de qualité et stimuler la coopération internationale en langue française.

    Ces huit années ont été marquées par un essor de l’espace universitaire francophone ; le nombre d’institutions adhérentes (universités, écoles supérieures, centres de recherche…) a nettement augmenté : de 656 en 2007, elles sont passées à 812, implantées dans plus de cent pays, réparties sur cinq continents. De nouvelles universités et centres de recherche, hors des frontières de la francophonie institutionnelle, ont fait leur entrée dans le réseau en Afrique du Sud, au Brésil, en Chine… De nouvelles implantations de l’AUF ont également vu le jour : un bureau Maghreb à Rabat, des antennes AUF à São Paulo, Sofia, Abidjan. En constante augmentation, on compte aujourd’hui 68 Campus Numériques Francophones implantés dans 44 pays.

    En 2007, le Recteur Bernard Cerquiglini s’était fixé cinq objectifs prioritaires : introduire une culture de l’évaluation, multiplier les partenariats, mettre en place une coopération interrégionale, faire du numérique un outil incontournable de la coopération universitaire, faire entendre la voix de la francophonie universitaire sur la scène internationale.Ces objectifs ont fait écho aux évolutions qui ont jalonné le paysage universitaire mondial : massification des effectifs étudiants, professionnalisation de la gouvernance académique, émergence de nouveaux acteurs de l’enseignement supérieur, internationalisation des universités, essor du numérique éducatif. Ils ont également reflété les nouvelles formes de l’aide au développement: la co-construction de projet, le partenariat, le recours à des experts, la nécessité de l’évaluation…

    Le renouvellement de la politique associative de l’Agence ainsi que le développement d’une véritable culture de l’évaluation ont permis de laisser la parole au terrain et de sélectionner des projets qui répondent davantage aux besoins de ses membres.

    Entre 2007 et 2015, le recteur Bernard Cerquiglini a suscité des changements notables :

    • Une gestion axée sur les résultatsL’Agence a été dotée d’une stratégie d’actions tournées vers les résultats ; les 21 indicateurs stratégiques de la programmation 2014-2017 (par exemple, le nombre de formations diplômantes soutenues, le nombre d’étudiants inscrits dans ces formations…) permettent ainsi de suivre les progrès des actions entreprises, et de « corriger le tir » si besoin.

    • Une ouverture aux partenariats, indispensable pour mener des projets d’envergure.- A la demande du gouvernement ivoirien, l’AUF participe à la rénovation du système d’enseignement supérieur de Côte d’Ivoire. – L’AUF coordonne avec l’Organisation Internationale de la Francophonie l’Initiative francophone pour la formation à distance des maîtres (IFADEM) qui a formé, depuis 2007, 13 500 instituteurs de dix (et bientôt de quinze) pays d’Afrique et de la Caraïbe.- Les partenariats se sont multipliés avec l’Agence Française de Développement, le Partenariat Mondial pour l’Éducation, l’UNESCO, l’UEMOA …

    • L’expertise « Au-delà de ses établissements membres, c’est maintenant au tour des Etats et organismes internationaux de solliciter l’Agence pour son expertise » explique Bernard Cerquiglini. En matière de gouvernance : auto évaluation des universités (l’AUF accompagne notamment les universités africaines dans leur processus d’autoévaluation, à la demande du Conseil africain et malgache pour l’enseignement supérieur -CAMES- ), aide au passage au système « Licence-Maîtrise-Doctorat », réforme des curriculums… ; l’action de l’AUF dans le domaine de la gouvernance est mise en œuvre dans le cadre de l’Institut de la Francophonie pour la gouvernance universitaire (IFGU), créé en 2013 et situé à Yaoundé.En matière de soutien à la formation et à la recherche, l’AUF a renforcé la formation doctorale par le déploiement de « Collèges doctoraux » (création de dix collèges doctoraux), soutenu des consortiums d’universités pour développer d’importants projets de recherche et de formation à l’échelle internationale, apporté une aide constante aux mobilités…

    • La co-construction plutôt que la substitution pour dépasser le modèle de coopération Nord-SudUne déconcentration accrue favorisant la coopération interrégionale a donné à l’AUF un rôle de pivot de coopération plutôt que d’assistance directe. Concrètement, l’initiative des actions sur le terrain a été confiée aux bureaux régionaux de l’AUF, leur structuration a découlé de l’écoute des besoins des établissements membres, formalisée par les « conférences régionales de recteurs ».

    Le recteur a par ailleurs poursuivi les actions entreprises par ses prédécesseurs en leur donnant une dimension nouvelle :

    • Le numérique éducatif « Ce qui me paraît le mieux caractériser l’action de l’Agence en matière de numérique éducatif, c’est la constance dynamique, l’inscription de nos actions dans la durée. » souligne Bernard Cerquiglini.Pionnière dans le numérique éducatif (l’AUF a ouvert son premier campus numérique francophone à Dakar en 1991), l’Agence s’est dotée d’une stratégie numérique et a créé en 2012 l’Institut de la Francophonie pour l’ingénierie de la connaissance et la formation à distance (IFIC, http://ific.auf.org/)) basé à Tunis. Cet engagement se traduit par :- La réussite des FOAD (Formations ouvertes et à distance, http://www.foad-mooc.auf.org/) : passant de 20 FOAD en 2003-2004, elles sont aujourd’hui 85. 40 d’entre elles sont désormais issues du continent Africain. – L’affirmation d’un modèle francophone de CLOM (cours en ligne ouvert et massif) MOOC en anglais. « Parce que l’innovation pédagogique ne peut être réservée aux institutions les plus riches, l’AUF forme les enseignants des pays émergents à la maîtrise de cet outil pédagogique pour leur donner les moyens de produire des CLOM » poursuit le Recteur.- Le développement des Campus Numériques Francophones : ils assurent la gestion des formations, l’organisation des examens et offrent aux étudiants des infrastructures techniques et de réseau, des conseils et des aides indispensables.

    • La langue française Depuis huit ans, l’Agence poursuit ses efforts en créant des filières bilingues (26 nouvelles filières depuis 2011), des masters francophones ainsi qu’en soutenant les départements d’études françaises. « Ils offrent aux étudiants qui font le choix du français l’occasion de faire un parcours complet dans cette langue », explique Bernard Cerquiglini. Université d’été en Asie, Forum des arts au Maghreb, Festival des étudiants francophones en Europe centrale et orientale, sont autant d’événements culturels qui rendent plus attractives les études en français.

    • La diplomatie universitaire« Depuis quelques années, nous avons repoussé les frontières de la Francophonie traditionnelle, en dépassant les rancœurs du passé, les clivages politiques, voire les conflits. Une francophonie nouvelle émerge, porteuse d’une parole et de prises de positions sur les évolutions de nos sociétés » explique Bernard Cerquiglini.

    La science peut parfois permettre de dépasser les clivages politiques : les conférences régionales de recteurs, par exemple, sont souvent parvenues à mettre en œuvre ce que les dirigeants politiques ne peuvent pas : le dialogue. L’AUF a su s’imposer comme relais des prises de position du monde universitaire auprès des Etats et de la société civile : l’égalité hommes-femmes dans l’enseignement supérieur est une des priorités du Recteur. Elle s’est traduite par la création d’un réseau francophone pour l’accès des femmes aux postes à responsabilité dans l’enseignement supérieur. Enfin, l’AUF s’est positionnée à partir de 2013, à travers des colloques, ouvrages, conduites d’études, sur des problématiques-clé de l’enseignement supérieur ; santé publique, énergies renouvelables, eau et gestion des ressources naturelles, gestion des crises et des conflits.

    « Ce bilan, s’il est une fin, est aussi un début. Trois priorités me semblent incontournables pour assurer l’avenir et la vitalité de la coopération internationale de langue française : l’AUF devra confirmer sa dimension internationale d’organisme d’expertise, elle devra s’assurer du soutien constant des Etats et continuer à anticiper et structurer la Francophonie universitaire de demain en la développant dans des pays où elle émerge, Le Brésil, la Chine, le Nigéria, notamment. » conclut Bernard Cerquiglini.

    A propos de l’AUF L’Agence universitaire de la Francophonie est une association mondiale d’universités francophones qui a pour objet de faire le lien entre les universités de langue française. L’association œuvre depuis plus de 50 ans dans le domaine de l’enseignement supérieur et de la recherche. Elle a vocation à appuyer la formation des professionnels aptes à contribuer au développement de leur pays. Elle regroupe plus de 800 établissements universitaires sur les cinq continents dans plus de cent pays, dont 59 membres (ou observateurs) de l’Organisation internationale de la Francophonie. Elle est l’opérateur spécialisé de la Francophonie pour l’enseignement supérieur et la recherche.L’association a pour mission de soutenir les stratégies de développement des établissements membres, de faire émerger une nouvelle génération d’enseignants, de chercheurs, d’experts et de professionnels, acteurs du développement, de promouvoir la communauté scientifique francophone pour qu’elle devienne une référence internationale et apporte sa contribution aux enjeux mondiaux (changement climatique, pauvreté, agriculture, sécurité alimentaire, santé, droit,…).

    Pour conduire ses actions, l’AUF développe des partenariats avec différentes organisations (UNESCO, UE, ONG, entreprises du secteur privé…).Pour plus d’informations : www.auf.org,

    Contacts presse : Annie Blaise Olivia Aubertin Relations presse AUF: Responsable de la communication AUF annieblaise.auf@gmail.com 06 64 98 68 35 olivia.aubertin@auf.org 01 44 41 18 41

  • Aménagements pour vivre avec le fleuve et l’impact sur l’environnement.

    Aménagements pour vivre avec le fleuve et l’impact sur l’environnement.

    Dans la perspective de la Conférence de Paris sur les changements climatiques – COP 21, l’Agence universitaire de la Francophonie rejoint les débats liés à l’environnement et aux changements climatiques et organise un séminaire thématique sur « Le Danube, un système hydro-social au sein de l’Europe. Savoirs, pratiques et aménagements pour vivre avec le fleuve ». Le séminaire aura lieu le 9 octobre 2015, à partir de 09h30, à la Villa Noël (6, rue Émile Zola).Cet événement réunira des représentants du milieu académique, du secteur francophone privé, des membres du corps diplomatique et des journalistes.

    La problématique du séminaire constitue une actualité mondiale, d’un côté, grâce à la priorité accordée aux changements climatiques et aux conséquences de ceux-ci et de l’autre côté, à travers le projet DANUBIUS qui vise la création d’une infrastructure de recherche – le deuxième projet d’envergure de la Roumanie après le laser ELI-NP. Le séminaire s’adresse aux chercheurs francophones intéressés par les caractéristiques, le fonctionnement et les sociétés du Danube qui aborderont la problématique du Danube dans l’optique des sciences sociales, sans oublier l’importance des aspects biologiques et physiques. Les multiples enjeux associés au Danube (le transport, l’énergie, l’environnement, la modalité de gouvernance régionale et européenne, l’identité culturelle, la gestion des risques, etc.) seront analysés à travers la multitude de populations impactées par le Danube, mais aussi à travers les changements que l’écosystème a subi les dernières années.Des allocutions d’ouverture seront prononcées par Monsieur Tudor Prisecaru, Président de l’Autorité Nationale pour la Recherche scientifique et l’Innovation, Son Excellence Monsieur François Saint-Paul, Ambassadeur de la France en Roumanie et Monsieur Nicolae Panin, Directeur du GeoEcoMar.

    Une présentation détaillée de l’événement est disponible en ligne sur le site http://socio-danube.francophonie.ro. La langue de communication du séminaire est le français, avec une traduction simultanée en roumain.
    Pour plus d’information :Mme Georgiana RUSU, Responsable de communication, Agence universitaire de la Francophonie, georgiana.rusu@auf.org ; 0741 130 711

    L’Agence universitaire de la Francophonie est une association internationale d’universités francophones avec plus de 800 établissements membres dans plus de 100 pays, ayant comme objectif de soutenir le milieu académique francophone partout dans le monde. Plus de détails sont disponibles sur www.auf.org.

  • Francophonie universitaire

    Francophonie universitaire

    Nous parlerons du visage universitaire de la francophonie, tel que lon voit ou que lon devine, dans les amphithéâtres et les laboratoires des établissements denseignement supérieur et de recherches, notamment dans la région du monde où se trouve la Roumanie. Combien présente est aujourdhui la langue française dans la formation générale des jeunes universitaires et chercheurs ? Est-elle toujours un atout dans le choix dune université et dune carrière professionnelle ? Comment encourager les jeunes à penser (aussi) en français leur mobilité académique ? Nous en parlons avec linvité de RRI Spécial, Fabien Flori, directeur du Bureau régional pour lEurope centrale et orientale de lAgence universitaire de la Francophonie (AUF).