Tag: autos

  • 01.08.2023

    01.08.2023

    Fiscalité – En Roumanie, les marges commerciales de 14 groupes de produits alimentaires seront limitées à compter d’aujourd’hui pour une période de trois mois. Le décret d’urgence visant d’arrêter la majoration du prix des denrées de base a été approuvé par le gouvernement à la fin juin. Parmi les produits alimentaires à bénéficier de cette réduction figurent les laitages, la viande, les fruits et légumes. Selon les autorités, aucune limite visant les prix ne s’appliquera dans le cas des fermiers et aucune intervention ne les visera. L’infraction à cette loi est punie par des amendes allant de 20 000 à 400 000 euros.

    Frontières
    Le trafic est de plus en plus intense aux portes-frontière roumaines
    annoncent les autorités et cela malgré les mesures supplémentaires introduites.
    C’est une période durant laquelle les Roumains de l’étranger rentrent chez eux
    afin de passer leurs vacances au sein de la famille et les touristes de
    Roumanie se dirigent verts des destinations à l’extérieur des frontières
    roumaines. Les autorités annoncent aussi pour le mois d’août l’introduction de
    mesures adaptées à la situation, mais elles recommandent aux chauffeurs
    d’utiliser tous les postes-frontières. Le porte-parole de la police aux
    frontières d’Arad, Alexandru Dinca déclare que des mesures d’augmentation du
    personnel policier dans la limité de la capacité permise par l’infrastructure
    de chaque poste-frontière. Des postes de contrôle mobiles pourraient également
    être utilisés afin d’assurer le contrôle aux frontières dans des paramètres
    optimaux.






















    Chômage
    En Roumanie le taux de chômage au mois de juin 2023 s’est élevé à 5,4%, en
    baisse de 0,1% par rapport à celui enregistré au mois de mai, a annoncé
    aujourd’hui l’Institut national de la statistique. Selon l’Institut, le
    nombre des chômeurs estimé pour le mois de juin s’est élevé à quelque 445 mille
    personnes, à la baisse tant par rapport au mois précédent que par rapport à la
    même période de l’année dernière. Le taux de chômage parmi les hommes a dépassé
    de 0,8% celui de femmes. Le taux de chômage parmi les jeunes de 15 à 24 ans est
    toujours très élevé, de quelque 22%.




    Justice
    La ministre de la Justice, Alina Gorghiu, a rencontré l’ambassadeur des Etats
    Unis à Bucarest, Kathleen Ann Kavalec. Parmi les sujets de la réunion : la
    coopération judiciaire bilatérale, la lutte contre la traite de personnes et la
    numérisation du système judiciaire de Roumanie. La ministre de la Justice a
    affirmé que le partenariat avec les Etats Unis constituait une nécessité pour
    la promotion des droits de l’Homme et de l’Etat de Droit. Le responsable
    roumain a salué le très bon niveau de la coopération bilatérale dans le domaine
    judiciaire, proposant de nouveaux thèmes de collaboration, tels l’éducation
    juridique dans les écoles de Roumanie. Ce qui plus est, le ministre de la
    Justice a noté l’importance d’une législation prédictible pour le développement
    du milieu des affaires et la stimulation des investissements étrangers directs
    dans l’économie nationale. Alina Gorghiu a démontré que la Roumanie était
    toujours engagée dans la lutte contre la corruption et l’implémentation des
    recommandations du rapport 2022 sur l’Etat de Droit et de la Commission de
    Venise. Au sujet du problème de la traite de personnes, Alina Gorghiu a affirmé
    que le ministère de la Justice avait réalisé ses attributions conformément au
    rapport sur la traite de personnes de 2022 et d’autres rapports sur le pays
    dans ce secteur.






    Sommet – Une
    nouvelle réunion du Sommet de « l’Initiative
    des trois mers » se déroulera le 6 septembre à Bucarest, sous le haut
    patronage du président roumain Klaus Iohannis. Le lendemain, également à
    Bucarest, un forum des Affaires de l’Initiative des trois mers se déroulera dans
    la Capitale. Les principales hôtes de cet événement seront le président du
    Sénat, Nicolae Ciuca et le chef du gouvernement, Marcel Ciolacu. L’initiative
    des trois mers réunit 12 Etats membres de l’Union européenne située dans
    l’espace entre la mer Baltique, la mer Noire et la mer Adriatique. Les Etats
    membres sont l’Autriche, la Bulgarie, la Croatie, la République Tchèque,
    l’Estonie, la Hongrie, la Lettonie, la Lituanie, la Pologne, la Roumanie, la
    Slovaquie et la Slovénie. Une des principaux thèmes à l’ordre du jour du Sommet
    de septembre à Bucarest sera le soutien politique et économique à l’Ukraine.




    Météo -
    Températures à la hausse en Roumanie, plus élevées sur le sud, le sud-ouest et le
    risque d’instabilité est à la baisse. Le ciel est variable, couvert sur le
    relief et sur le sud-est ou des phénomènes orageux sont possibles. Les maxima
    vont de 25 à 33 degrés. 26 degrés à Bucarest.






    Jeux
    de la Francophonie –
    Les sportifs roumains ont remporté ce lundi, cinq
    nouvelles médailles dont trois d’or, une d’argent et une autre de bronze, aux
    jeux de la Francophonie de Kinshasa, au Congo. Aux luttes, les tricolores -
    bleu-jaune-rouge – ont remporté deux médailles d’or, une d’argent et une autre
    de bronze. C’est également l’or qu’a remporté aussi l’équipe de tennis de
    table, après la finale contre la Tunisie. Dimanche, la Roumanie avait décroché
    trois médailles, – deux d’or et une d’argent – dans la compétition de luttes
    libres. La Roumanie se maintient en première position dans le classement
    général par médailles, 7 d’or, 2 d’argent et 4 de bronze, suivie par le Maroc
    et par le Cameroun. La Roumanie participe avec 57 sportifs (athlétisme, basket
    féminin, luttes libres et luttes africaines, cyclisme routier, tennis de table
    et judo) à la 9e édition des Jeux de la Francophonie qui se déroule
    du 28 juillet au 6 août à Kinshasa au Cogo.
















    Tacot
    Coup d’envoi lundi du programme « le tacot local », un nouvel instrument par
    le biais duquel les autorités roumaines se proposent de retirer de la
    circulation les vieilles voitures polluantes. En effet, les propriétaires de
    ces véhicules se verront accorder une prime de 600 euros s’ils décident de les
    envoyer à la casse. Le budget est assuré à hauteur de 80 % par le ministère de
    l’environnement alors que les mairies y contribuent avec 20%. Ce programme se
    déroule jusqu’au 31 août dans la limite du budget alloué par le ministère de
    l’environnement, soit quelque 50 millions d’euros. Les autorités comptent
    mettre à la casse quelque 100 000 véhicules polluants. Lundi soir, le ministre de l’Environnement,
    Mircea Fechet, a affirmé que plusieurs localités ont déjà épuisé le budget
    consacré au programme le Tacot ce qui montre que cette initiative est un
    succès.
















    Tennis
    Dans le classement WTA, la Roumanie a actuellement quatre représentantes
    parmi les 100 premières joueuses de tennis du monde. Sorana Cîrstea se
    maintient en 32e position et Irina Begu est 41e. Ana Bogdan est
    descendue de huit positions et est actuellement en 47e position. Simona
    Halep, suspendue après un test antidoping positif a l’Open des Etats Unis en
    2022 est descendue de deux positions et à présent occupe la 56e
    place. Dans la hiérarchie de double, Gabriela Ruse et Monica Niculescu préservent
    leurs positions, respectivement la 39e et la 48e place.

  • « Autos, sucreries et histoires sur la ville de Ploiesti »

    « Autos, sucreries et histoires sur la ville de Ploiesti »

    2021 a été une année importante pour l’Association pour l’Education et le développement urbain (AEDU) dont l’activité est ciblée surtout sur l’histoire de la ville de Ploiesti, ce centre pétrolier du département de Prahova, sis à une soixantaine de km au nord de Bucarest. L’ONG a organisé des tours guidés dans la ville, des expositions et parrainé la publication de nombreux volumes parmi lesquels « Ceux que nous avons oubliés. La répression communiste à Ploiesti (1948 – 1964) » et « Troquets, balles et palais. 12 histoires à Ploiesti ». Ce dernier fait partie de la collection « Memento » qui a marqué le début de la maison d’édition de l’Association. Fin 2021, un nouveau volume est sorti dans cette même collection : « Automobiles, sucreries et autres histoires sur la ville de Ploiesti ».

    Suivant le modèle des autres livres de la série, il s’agit d’un volume collectif, dont les auteurs de différents âges remémorent les périodes historiques vécues à Ploiesti. Détails avec l’historien Lucian Vasile, directeur de l’Association d’éducation et de développement urbain : « Il y a une quinzaine d’auteurs. Ils sont originaires de Ploiesti et d’autres villes roumaines et étrangères, d’Allemagne et d’Italie. C’est un volume très varié dans lequel tout lecteur trouvera sans nul doute quelque chose relatif à son univers, à son époque préférée et aux lieux qu’il aime. La plupart d’entre eux ont déjà participé à l’élaboration d’au moins un des livres précédents, mais il y a aussi de nouveaux auteurs, tels Livia Dimulescu et Emilio Cives. D’ailleurs, l’histoire de la vie de M Cives est impressionnante, vu qu’il était membre d’une famille italienne de Ploiesti durant l’entre-deux-guerres et qu’il fut forcé de quitter la Roumanie au début de la période communiste. A l’époque, quelque 10 % des habitants de la ville étaient Italiens, Français, Américains, Britanniques ou d’autres ethnies que celle majoritaire roumaine. »

    Le volume « Automobiles, sucreries et autres histoires sur Ploiesti » vise le 20e siècle et contient des histoires d’avant et d’après l’installation du communisme. Il s’agit d’un siècle entier comprimé en 336 pages, poursuit Lucian Vasile. « Certes, d’autres histoires vont vous amuser, comme celle des autos d’autrefois, notamment de celles héritées d’avant-guerre et qui constituaient des présences à part dans les années 1960-1970. Mais il s’agit aussi des autos que la génération de mes parents a connues, c’est-à-dire celles produites à l’époque communiste. La présence du mot « sucrerie » n’est pas le fruit du hasard non plus, puisque le livre présente plusieurs recettes schématiques des sucreries produites dans les maisons des familles de la ville de Ploiesti. Je mentionnerais une seule histoire qui vaut la peine d’être découverte : celle de Letzler Penchaș, un des leaders de la communauté juive qui a connu tous les états : victime, collabo, héros, personnage coupable et ainsi de suite. Ce n’est qu’un exemple de la manière dont l’histoire injuste nous met dans toute sorte de postures. »

    Les lecteurs de ce récit de mémoires sur la ville de Ploiesti sont également invités à découvrir cette ville ou du moins ce qu’il reste de la vieille ville dans le cadre de tours guidés organisés par l’Association AEDU.

  • Le programme de renouvellement du parc automobile

    Le programme de renouvellement du parc automobile

    L’édition 2021 du programme gouvernemental de renouvellement du parc automobile de Roumanie, connu sous le nom du programme « Le tacot », a été lancé le 26 avril. Cela fait une quinzaine d’années que ce programme se propose d’encourager les Roumains à s’acheter des voitures neuves, alors que le marché automobile roumain est dominé par les véhicules étrangers d’occasion. En fait neuf roumains sur dix s’achètent des véhicules d’occasion, et sur ce, dans 80% des cas, il s’agit d’entreprises qui remplacent leurs flottes.

    Financé par l’Administration du Fonds de l’Environnement avec quelque 170 millions d’euros, le programme est destiné aux personnes physiques et morales qui souhaitent remplacer un véhicule ancien avec un autre nouveau, afin de réduire la pollution causée par le trafic routier. Selon les statistiques, fin 2019, la Roumanie comptait quelque 19 millions d’habitants, plus de 8,7 millions de véhicules, dont 24% vieux de plus de 20 ans, ce qui signifie qu’ils respectent les normes de pollution euro 1 ou bien non-euro. La norme euro 1 fait référence aux voitures fabriquées à commencer par l’année 1992. Actuellement en Roumanie, tout comme dans le reste de l’Europe, toute voiture nouvelle, qu’elle soit dotée d’un moteur à essence ou bien diesel, doit respecter la norme de pollution Euro 6. Et c’est justement ces véhicules très polluants que le programme le tacot tente de faire sortir des routes roumaines.

    Désormais, les personnes physiques ont à leur disposition deux programmes du type « Le Tacot », classique et plus. Le programme « Tacot classique », qui heureusement n’a rien à faire avec les voitures classiques, propose une prime à la casse de 1500 euros, soit 200 euros de plus que l’année dernière, à toute personne qui décide d’acheter une voiture nouvelle, qu’elle soit essence ou diesel. S’y ajoutent des bonus pour l’achat de véhicules hybrides et de voitures aux émissions de dioxyde de carbone inférieures à 96 grammes par cent kilomètres. Ces bonus s’ajoutent à la prime à la casse, arrivant ainsi à une réduction de 2400 euros du prix d’un véhicule neuf. Qui plus est, pour l’achat de motos nouvelles en échange de l’envoi à la casse d’un véhicule ancien, la prime proposée est de 1100 euros. Le montant disponible en 2021 au programme « Tacot classique », donc pour l’achat de voitures nouvelles à moteur thermique ou hybride est de 90 millions d’euros, ce qui se traduit par plus de 58 mille tickets et autant de véhicules anciens mis hors des routes roumaines.

    Pour acheter des automobiles électriques ou bien des véhicules hybrides rechargeables, la valeur de la prime à la casse est beaucoup plus importante. Deux types de tickets de valeur sont disponibles : à savoir 9 mille euros pour ceux qui souhaitent s’acheter un véhicule électrique et 4 mille euros dans le cas des véhicules hybrides plug-in. Les rabais ne peuvent pourtant pas dépasser un taux de 50% du prix du véhicule acheté. Ceux qui souhaiteront renoncer à leur vieux tacot polluant en échange d’un véhicule électrique bénéficieront tant de la prime à la casse de 1500 euros, que d’un ticket accordé dans le cadre du programme « Tacot plus ».

    Par rapport au programme similaire des années précédentes, le programme « Le Tacot » (Rabla) offre la possibilité de transférer le ticket de valeur entre personnes physiques et morales. Ce changement vise à booster davantage les ventes de voitures neuves et l’envoi à la casse des voitures anciennes. Un petit marché informel pourrait donc se créer entre propriétaires de voitures anciennes et très usées et ceux qui souhaitent s’acheter un véhicule flambant neuf, ayant les concessionnaires pour intermédiaires. Pourtant, le propriétaire d’un véhicule neuf acheté via ces programmes gouvernementaux n’a pas le droit de le vendre une année durant, sinon il est tenu de rembourser l’intégralité de la prime à la casse dont il a bénéficié.

  • Bürgerinitiativen der Eltern: Grow Up Romania

    Bürgerinitiativen der Eltern: Grow Up Romania

    Wenn es möglich ist, Bukarest in ein kinderfreundliches Umfeld zu verwandeln, hängt das im hohen Ma‎ße vom Engagement der Bürger ab, wie die Initiative Grow Up Romania“ zeigt. Das Projekt Grow Up Romania“ wurde 2016 von einer informellen Gruppe von engagierten Eltern ins Leben gerufen, die bestrebt sind, Bukarest zu einem familienfreundlichen Umfeld zu machen, und sich bewusst sind, dass die in privaten Kreisen geführten Gespräche über die Probleme der unzufriedenen Eltern nicht ausreichen, um Lösungen zu finden. Die Probleme müssen vor die Behörden gebracht werden, deren Aufgabe es ist, die Hauptstadt zum Besseren zu verändern. Zu diesen aktiven Eltern zählen Dana Ostacie und Alma Cazacu, junge Mütter, die neben ihrer regelmä‎ßigen Arbeit und ihren häuslichen Aktivitäten freiwillig andere Eltern mobilisieren, um Ma‎ßnahmen zur Lösung gemeinsamer Probleme zu ergreifen. Um welche Probleme es sich handelt, erfahren wir von Alma Cazacu:



    Die Bukarester haben es sehr schwer, die Stadt zu durchqueren, von Punkt A nach Punkt B zu gelangen, ohne Müll oder andere Hindernisse auf dem Bürgersteig zu finden, ohne über heruntergekommene Spielplätze zu gehen… Wir haben einen Fragebogen erarbeitet, und dieser wurde von Eltern aus unserer informellen Online-Gruppe ausgefüllt, die sich gegenseitig unterstützen. Das häufigste Problem sind Autos, die in der Fu‎ßgängerzone geparkt sind und es den Eltern unmöglich machen, mit dem Kinderwagen sicher zu passieren. 64% der Eltern, die den Fragebogen ausgefüllt haben, geben dies an. Dann sind 57% der Befragten unzufrieden mit dem Mangel an geeigneten, sauberen öffentlichen Toiletten mit hygienischen Wickeltischen für Kinder und mit Räumen, in die ein Kinderwagen passen kann. Das Fehlen von Rampen für Kinderwagen in öffentlichen Verkehrsmitteln wird von 48% der Befragten angegeben. Und 44% beschweren sich über beschädigte und verschmutzte öffentliche Spielplätze, die die Sicherheit und Gesundheit der Kinder gefährden. Wir versuchen, eine Art Brücke zwischen Bürgern zu schlagen, die das Gefühl haben, dass alles von den Behörden gelöst werden muss, ohne dass sie angeben, welche Probleme es gibt. Die Eltern müssen verstehen, dass jedes Problem auf eine bestimmte Weise angesprochen und an die Behörden gemeldet werden muss.“




    Es dauerte nicht lange, bis eine beträchtliche Anzahl von Eltern in Bukarest mobil machte und Benachrichtigungen an die Rathäuser der sechs Stadtbezirke der Hauptstadt schickte. Dana Ostacie dazu:


    Wir haben es geschafft, 7.000 Mitglieder in der Grow-Up-Romania-Community auf unserer Facebook-Seite zu erreichen. Wir haben auch eine Gruppe von Freiwilligen. Unsere Hauptaufgabe ist es, die Bürger zu mobilisieren, damit sie ihrerseits handeln können. Zunächst versorgen wir die Eltern mit Informationen, zum Beispiel wie man Gesuche oder Beschwerden einreichen kann. Als Erstes haben wir sehr viele Mitteilungen zum öffentlichen Raum eingereicht, und so haben wir herausgefunden, unter welche genaue Adresse jede Anfrage eingehen muss, damit das Schriftstück nicht monatelang von einer Einrichtung zur nächsten weitergeschickt wird. Um den interessierten Bürgern zu helfen, haben wir einen kleinen Leitfaden zusammengestellt, der online verfügbar ist, damit die Übermittlung von Mitteilungen oder Beschwerden vereinfacht wird. In nur fünf Minuten kann man eine E-Mail mit Fotos und Standort einsenden, und es besteht die Möglichkeit, dass das jeweilige Problem berücksichtigt und schnell behoben wird.“




    Die Bukarester, die in der Regel von Bürokratie entmutigt werden und gegenüber der Freundlichkeit der Beamten skeptisch sind, wurden doch vom Erfolg der Anfragen von Mitgliedern der Grow-Up-Romania-Community ermutigt. Hier sind einige Beispiele für Situationen, die auf diese Weise gelöst wurden: neu markierte Fu‎ßgängerüberwege, Entfernen einer Säule, die mitten in einer Bushaltestelle stand und das Vorbeifahren des Kinderwagens verhinderte, eine neue Beleuchtungsanlage für einen Spielbereich im Park Carol, wo im Winter die Kinder abends nicht spielen konnten, weil es sehr früh dunkel wurde. Mehr dazu von Dana Ostacie:



    Es ist wichtig, dass die Leute auf die Lösung ihrer Probleme bestehen. Im Idealfall sollten für dasselbe Problem so viele Meldungen wie möglich geschickt werden. Je mehr Meldungen es gibt, desto höher ist die Wahrscheinlichkeit, dass die Angelegenheit Priorität bekommt. Mit der heutigen Technik ist es überhaupt nicht schwierig, eine Meldung oder eine Beschwerde einzureichen, insbesondere per E-Mail. Wir mussten nur die Eltern motivieren und ihnen durch positive Beispiele etwas Selbstvertrauen geben. Nachdem wir unsere Erfolge präsentiert und alle Kontaktdaten der Behörden veröffentlicht hatten, habe ich die interessierten Eltern an die jeweiligen Kontaktpersonen weitergeleitet und ihnen Muster von Meldungen für verschiedene Probleme gezeigt. Anschlie‎ßend sind immer mehr Meldungen an die betreffenden Stellen eingegangen. Wir sind sehr froh, dass die Leute sich engagieren und uns auch Fotos mit ihren Erfolgen schicken.“




    Nicht alle Meldungen oder Beschwerden werden schnell gelöst und nicht alle erhalten positive Antworten. Je nach Rathaus oder Abteilung variieren auch die Antworten. Es ist jedoch wichtig, dass der bürgerliche Geist, sobald er wach ist, nicht müde wird. Darüber hinaus müssen sich die Bürger durch bürgerschaftliches Engagement gegenseitig beraten und aufklären. Und zu diesem Zweck hat Grow Up Romania seine eigenen Kampagnen, wie zum Beispiel den Hundekot von der Stra‎ße zu entfernen, die Fahrer davor zu warnen, auf dem Bürgersteig zu parken, und grundlegende Hygienevorschriften immer wieder zu wiederholen, damit die Leute nicht vergessen, dass das Wohlergehen ihrer Familien von ihrem eigenen Verhalten, vom Verhalten jedes einzelnen Bürgers abhängt. Alma Cazacu:



    Wir haben unser Bestes gegeben, um in unseren Kampagnen nicht aggressiv vorzugehen. Die Meldungen von Eltern an Fahrer, die auf Bürgersteigen parken, sind leider sehr aggressiv. Wir glauben jedoch, dass Bildung nicht aggressiv betrieben werden sollte, und deshalb haben wir einen Handzettel entworfen, in dem erklärt wird, dass es für Eltern mit Kinderwagen und Menschen mit Behinderungen sehr schwierig ist, auf dem Bürgersteig zu laufen. Das Wichtigste ist, die Autofahrer daran zu erinnern, dass sie auch Fu‎ßgänger werden, sobald sie aus dem Auto aussteigen. Problematischer war es, mit den Hundebesitzern zu diskutieren, die die Häufchen ihrer Haustiere nicht von der Stra‎ße entfernen wollten. Deshalb haben wir Plakate gemacht, um direkte Diskussionen zu vermeiden, und um zu zeigen, dass wir nicht jemanden bestimmten beschuldigen wollten. Wir wollen niemanden beschuldigen, sondern nur den Leuten sagen, dass es nicht richtig ist, die Stra‎ßen mit Hundekot zu beschmutzen.“




    In naher Zukunft wird Grow Up Romania seine Bemühungen fortsetzen, um Bukarest in eine kinderfreundliche Stadt zu verwandeln, und die Bürger dazu zu bewegen, sich für die Lösung ihrer eigenen Probleme einzusetzen.

  • Fahrradfahren in Bukarest: nur Mutigen und Erfahrenen zu empfehlen

    Fahrradfahren in Bukarest: nur Mutigen und Erfahrenen zu empfehlen

    Nur 5,3% der Rumänen entscheiden sich, mit dem Fahrrad ins Büro oder zur Schule zu fahren, wie eine Umfrage zeigt. Die Regionale Entwicklungsagentur Südost hat sich dafür mit dem Verein OPTAR zusammengetan, um die Meinung der Menschen zu diesem Thema auszuloten. OPTAR ist eine Abkürzung und steht für Organisation zur Förderung alternativer Beförderungsmethoden in Rumänien — der Verein versucht seit Jahren, das Fahrrad beliebter zu machen. Jetzt wissen wir klar Bescheid, findet OPTAR: Das Auto ist das bevorzugte Verkehrsmittel der meisten Befragten, und der öffentliche Verkehr ist die zweitbeliebteste Option, die von 32,4% der Befragten gewählt wird. Rumänen vermeiden es, mit dem Fahrrad zu fahren — fast 78% von ihnen, weil es keine speziellen Markierungen gibt, 63% wegen aggressiver Fahrer, 51% aufgrund von Hindernisse auf den Fahrradwegen, fast 50% wegen unzureichender Fahrradwege, 49% infolge von Autos, die auf den Fahrradwegen mitfahren und knapp 46%, weil sie Probleme bei Kreuzungen befürchten. Die meisten Befragten betrachten das Radfahren als ein Mittel der Erholung und weniger als ein Mittel des täglichen Transports, sagt Marian Ivan, Präsident von OPTAR:



    Es sieht nicht gut aus für das Radfahren. Aber es gibt gute Chancen, denn laut unseren Umfragen gibt es eine gro‎ße Anzahl von Fahrradbesitzern, die dieses Mittel jedoch mangels einer sicheren Infrastruktur nicht nutzen. Über 80% der Befragten sprachen über Sicherheit, als sie gefragt wurden, warum sie nicht mit dem Fahrrad unterwegs sind. Selbst diejenigen, die sich aufs Fahrrad setzten, sagten häufig, dass es ernsthafte Probleme mit der Fahrradinfrastruktur gibt.“




    Andrei, ein 24-jähriger Bukarester, bestätigt das. Er fährt in der Regel mit dem Auto und nur gelegentlich mit dem Fahrrad:



    Es ist sehr schwierig, in Bukarest Fahrrad zu fahren, weil es keine Spuren gibt. Wir müssen mit unserem Fahrrad sowohl auf dem Bürgersteig als auch auf der Stra‎ße fahren, so dass es auf Schritt und Tritt Gefahren gibt. Wir fahren Seite an Seite mit den Autos. Meistens würde ich lieber mit dem Fahrrad fahren, als zwei Stunden lang nach Hause im Auto zu sitzen, aber es gibt keine Voraussetzungen dafür. Autos fahren und parken sowohl auf der Stra‎ße als auch auf dem Bürgersteig und es gibt selbst für Fu‎ßgänger keinen Platz.“




    Andere Bukarester wie Marian fahren jedoch jeden Tag mit dem Fahrrad — auch wenn sie nicht zufrieden sind:



    Es gibt Fahrradwege in Bukarest, aber es werden noch mehr benötigt. Wenn Reparaturarbeiten beginnen oder Bordsteine zu hoch sind, müssen wir vom Fahrrad absteigen, das Hindernis umgehen und dann weiterfahren. Wenn ich im Verkehr mit dem Fahrrad unterwegs bin, muss ich für Sicherheit sorgen. Fahrräder müssen einen Spiegel haben und Fahrer müssen Schutzhelme und Warnwesten tragen. Wir brauchen Schutzkleidung, um Gefahren zu vermeiden. Ich denke, Autos sollten am Stadtrand von Bukarest geparkt werden, damit wir mit dem Fahrrad oder dem Tretroller in der Stadt fahren können und so eine gesündere, weniger verschmutzte und überfüllte Stadt haben.“




    Radfahren in Bukarest ist demnach also eine echte Herausforderung. Fahrradfahrer sind gezwungen, zwischen Fu‎ßgängern oder Autos zu radeln und Bordsteine zu vermeiden. Nur wenige von ihnen wagen es jedoch, sich dem Stadtverkehr zu stellen, denn dazu braucht man viel Erfahrung und Mut. Allein im Jahr 2018 wurden 44 schwere Unfälle mit Fahrrädern gemeldet.



    Auch wenn sich Dienstleistungen für Fahrradverleih und -kauf entwickelt haben, sind die Probleme nach Ansicht der Spezialisten für urbane Mobilität noch lange nicht gelöst. Sie sagen, dass das Hauptproblem bei der Förderung alternativer Verkehrsmittel in der Hauptstadt nicht der Mangel an Fahrrädern ist, sondern das Fehlen eines Radwegenetzes. In Bukarest gibt es nur 6 km Radwege, klagt Marian Ivan von OPTAR:



    Zunächst einmal muss ein Netzwerk geschaffen werden, um den Bedürfnissen einer gro‎ßen Anzahl von Menschen gerecht zu werden, die mit dem Fahrrad durch die Stadt fahren wollen. Dann muss sich dieses Netzwerk schrittweise entwickeln. Ohne dieses Netzwerk ist es unmöglich, dass eine gro‎ße Anzahl von Menschen ihr Auto aufgeben und sich stattdessen für das Radfahren entscheiden.“




    Derzeit arbeiten OPTAR-Spezialisten und auch Spezialisten aus der Entwicklungsregion Südost an der ersten nationalen Strategie zur Förderung der Nutzung von Fahrrädern, um Bukarest zu einer fahrradfreundlichen Stadt zu machen, wie Marian Ivan sagt:



    Wir konzentrieren uns jetzt auf diese Strategie, die von denjenigen Behörden genutzt werden kann, die aufgeschlossen genug sind, um zu verstehen, dass Veränderungen in der Art und Weise, wie Menschen sich durch die Stadtgebiete bewegen, notwendig sind. Die Umfrage im vergangenen Monat stimmt uns optimistisch, dass das, was wir jetzt erreichen wollen, später von Kommunalverwaltungen genutzt wird, die sich wirklich an der Lösung solcher Probleme beteiligen werden. Dieses Dokument kann vom Parlament oder vom Entwicklungsministerium übernommen werden, da beide eine Offenheit für die Verwendung der von uns zur Verfügung gestellten Informationen gezeigt haben. Eigentlich ist dies das eigentliche Ziel des Projekts: Alternativen zu dem zu bieten, woran die Zentralverwaltung derzeit arbeitet. Wir treffen uns mit den Bürgern, es wird in jeder Phase des Projekts Debatten geben, und es wird Szenarien geben, aus denen wir eines auswählen werden.“




    Ivan hofft, dass eine endgültige Form der Strategie noch in diesem Jahr vorgelegt wird. In der Zwischenzeit hat die Gemeinde Bukarest den Bau eines neuen Radwegenetzes im Zentrum der Stadt in den kommenden sechs Monaten angekündigt. Es wird 4 Spuren entlang von 21 Stra‎ßen mit einer Gesamtlänge von 48 km geben. Au‎ßerdem werden 420 Fahrradparksysteme über dieses Netzwerk aufgebaut.

  • Luftverschmutzung in Bukarest: Ökogutscheine gegen Verzicht auf Auto

    Luftverschmutzung in Bukarest: Ökogutscheine gegen Verzicht auf Auto

    Das neue Programm zur Reduzierung der Luftverschmutzung, das von dem Bürgermeisteramt Bukarest ins Leben gerufen wurde, hat ein neues Regelwerk für dessen Umsetzung. Somit müssen die Interessenten gewisse Kriterien erfüllen, um einen Gutschein zur erhalten. Das besagte Programm wurde im Juli initiiert. Dessen Ziel sind die Verbesserung der Luftqualität und der Schutz der Gesundheit der Bevölkerung der Hauptstadt. Gebrauchtwagen mit einem hohen Umweltverschmutzungsgrad sollen aus dem Verkehr gezogen werden. Das Programm widmet sich Privatpersonen mit ständigem Wohnsitz in der Stadt Bukarest, die mindestens 18 Jahre alt und einzige Eigentümer von Gebrauchtwagen sind, keine Schulden an den Staats- und Lokalhaushalt haben und nicht wegen Umweltstraftaten verurteilt wurden. Dazu erläutert die Bürgermeisterin von Bukarest, Gabriela Firea, mehr:



    Es handelt sich um die Gewährung von Ökogutscheinen, 5000 für den Anfang, mit dem Nennwert von 9000 Lei (ungefähr 1.950 Euro) für den Erwerb von umweltfreundlichen Wagen. Ich spreche von Euro6 oder von elektrischen Autos, aber man kann auch andere Arten von Fortbewegungsmitteln erwerben, wie elektrische Motorräder, Mopeds oder Fahrräder. In einem Gespräch mit allen Kommunalräten ist man auf den Gedanken gekommen, der auch in anderen europäischen Hauptstädten umgesetzt wird. Folglich sollen diese Ökogutscheine von den Personen genutzt werden, die bereits über ein Fortbewegungsmittel verfügen und praktisch einen Parkplatz besetzen, um diesen zu befreien. Sie werden auch die Möglichkeit haben, elektronische Geräte und Haushaltsgeräte zu erwerben — Einzelheiten dazu wird es auch in dem Regelwerk geben. Ich gebe ihnen einige Beispiele: iPADs, Laptops, Kühlschränke, Kochherde, Fernseher.“




    Interessenten können sich auf der Webseite des Bürgermeisteramtes der Hauptstadt in eine Anwendung namens Pevauto einschreiben. Die Anwendung ermöglicht die Einschreibung von 6000 Teilnehmern. Gutscheine werden allerdings nur die ersten 5000 Eingeschriebenen erhalten. Das Bürgermeisteramt der Hauptstadt wird den Einschreibfrist drei Tage vor der Sitzungseröffnung bekannt geben.



    Die Hauptquelle für Luftverschmutzung in der rumänischen Hauptstadt ist der Stra‎ßenverkehr. 70% der Wagen, die 2017 in Rumänien zugelassen wurden, waren älter als 11 Jahre. 50% davon waren sogar älter als 15 Jahre. Jährlich sterben 28.000 Rumänen wegen Gesundheitsbeschwerden, die auf die Luftverschmutzung zurückzuführen sind. Dazu zählen Bronchitis, Asthma oder Herz- und Kreislauferkrankungen. Rund eine Million Rumänen leiden an Atemwegserkrankungen laut der Europäischen Umweltagentur. Studien verweisen auch darauf, dass Bukarest eine der Hauptstädte mit der höchsten Umweltverschmutzung in Europa ist. Darüber hinaus überschreiten im nordöstlichen Iaşi und im mitterumänischen Braşov die Feinstaubwerte, die von den Abgasen der Industrie und des Verkehrs stammen, täglich die gesetzlich zulässigen Werte.

  • A la Une de la presse roumaine – 08.08.2018

    A la Une de la presse roumaine – 08.08.2018

    Le collectif budgétaire fait en ce mercredi la une de la presse nationale. Les quotidiens passent en revue notamment les domaines et les projets qui recevront davantage d’argent. Et il s’agit de choix assez controversés.



  • 18.08.2016 (mise à jour)

    18.08.2016 (mise à jour)

    Défense — Les ministères roumains des Affaires étrangères et de la Défense ont rejeté les informations selon lesquelles, en raison de la détérioration des relations entre Washington et Ankara, les Etats-Unis auraient démarré le transfert vers la Roumanie des armes nucléaires déployées en Turquie. C’est le site dinformation euractiv.com qui avait annoncé que plus de 20 ogives nucléaires devraient être transférées d’Incirlik sur la base militaire roumaine de Deveselu. Le ministre roumain de la Défense, Mihnea Motoc, a qualifié de pure invention l’article en question. Les alliés de l’OTAN, y compris la Turquie, ont décidé d’accueillir des armes nucléaires américaines en vertu d’un accord conclu en 1960 et qui visait à la dissuasion nucléaire de l’Union Soviétique. L’Alliance atlantique a mentionné dans un rapport datant de 2014 que les armes nucléaires étaient stockées en toute sécurité, sans pour autant donner d’endroits précis.



    Roumains — Les représentants des Roumains des comtés de Harghita, Covasna et Mureş (centre de la Roumanie), à population majoritaire hongroise, ont demandé ce jeudi, pendant les travaux de l’Université d’été, accueillie par la localité d’Izvoru Mureşului, le respect des symboles nationaux et de la législation en la matière, ainsi que le financement des associations roumaines de ces contrées, qui déroulent des activités censées préserver et promouvoir l’identité nationale. L’ancien ministre de la Défense, Mircea Duşa, a attiré l’attention sur la nécessité que lois du pays soient respectées dans cette région et réaffirmé l’idée que le découpage régional de la Roumanie reposerait exclusivement sur des critères économiques et de développement, les critères ethniques nétant pas être pris en compte. Par ailleurs, certains membres de la direction du Forum Civique des Roumains des trois départements mentionnés ont sollicité la résolution du problème du financement des projets des associations culturelles roumaines, des institutions et de la presse de langue roumaine, rappelant que les communautés magyares de ces contrées sont appuyées financièrement par le budget central.



    Protestations — Les fermiers roumains ont protesté jeudi devant le siège du gouvernement de Bucarest et demandé la démission du ministre de l’Agriculture, Achim Irimescu. Ils sont mécontents de ne pas avoir reçu les subventions totalisant près de 360 millions d’euros provenant des fonds européens. Les éleveurs sont en grève de faim et affirment qu’ils vont poursuivre leur contestation jusqu’au paiement intégral de ces subventions. Par ailleurs, 350.000 hectares de terres agricoles sont touchés par la sécheresse, a fait savoir le ministre du domaine.



    JO – Le sportif roumain Angrei Gag a échoué dans sa tentative de se qualifier pour la finale du lancer du poids, jeudi, aux Jeux de Rio. Après deux essais ratés, il a réussi un lancer à 20 m 40, ce qui lui vaut la 13e position au classement des qualifications. La délégation de Roumanie a jusqu’ici décroché quatre médailles à Rio : une d’or obtenue par l’équipe féminine d’épée, une autre d’argent décrochée par le double Florin Mergea/Horia Tecau au tennis, double messieurs et deux de bronze : le haltérophile Gabriel Sâncraian et respectivement l’équipage féminin de huit barré. C’est pour la première fois en 44 ans, que la Roumanie ne remporte aucune médaille au concours olympique féminin de gymnastique.



    Météo — Dans les prochaines 24 heures, il fera beau dans le sud-est et le nord du pays. Ciel nuageux sur le reste du territoire, où l’on attend des averses orageuses et même des chutes de grêle. La quantité d’eau tombée pourra dépasser, par endroits, les 15 à – 20 l/m2. Les températures maximales iront de 24 à 32 degrés.



  • 18.08.2016

    18.08.2016

    Commerce – Le ministre roumain de l’économie, Costin Borc a évoqué le rôle que joue la Turquie dans le commerce extérieur de la Roumanie, lors d’une rencontre à Bucarest avec le ministre turc du développement Lütfi Elvan. La Turquie est d’ailleurs le principal partenaire extra-communautaire de la Roumanie, a rappelé le responsable bucarestois, qui a également souligné le besoin de diversifier les exportations roumaines et d’intensifier les investissements réciproques. Selon un communiqué, le ministre Borc a souligné que l’offre de la Roumanie pour le marché turc était généreuse et correspondait à ses besoins. Les deux responsables ont décidé d’une relance des pourparlers en automne à Ankara, dans le cadre d’une session de la Commission mixte intergouvernementale de coopération économique roumano-turque. En 2015, la Turquie a été le 5e partenaire commercial de la Roumanie, respectivement 6e marché pour les exportations roumaines et 9e fournisseur pour ce qui est des importations.

    Roumains – Les débats se poursuivent aujourd’hui à l’Université d’été des Roumains du monde qui se déroule à Izvorul Muresului, dans le centre de la Roumanie. A l’agenda, trois thèmes liés à la préservation et à l’affirmation de l’identité nationale des Roumains vivant dans la Contrée des Sicules, c’est-à-dire dans les départements de Harghita et Covasna, où la population majoritaire est magyare, ainsi que des catholiques de Moldavie. Un autre sujet de débat vise la restitution illégale de propriétés de Transylvanie revendiquées par des citoyens hongrois.

    Armes nucléaires – Le ministère roumain des AE a rejeté aujourd’hui les informations selon lesquelles les Etats Unis auraient démarré le transfert vers la Roumanie des armes nucléaires déployés en Turquie. Le site euractiv.com a annoncé, citant des sources indépendantes, que ce transfert aurait déjà commencé en raison de la détérioration des relations entre Washington et Ankara. Selon une de ces sources, le redéploiement de ces armes posait de nombreux problèmes d’ordre technique et politique. Selon les sources d’euroactiv, suite à la dégradation des relations entre les Etats-Unis et la Turquie après la tentative de putsch du mois de juillet, Washington ne ferait plus confiance à Ankara pour accueillir ces armes. Celles-ci seraient acheminées vers la base aérienne de Deveselu, dans le sud de la Roumanie, fait savoir EurActiv.com.

    Autos – Les ventes de voitures en Roumanie ont progressé de près de 15% pendant les six premiers mois de l’année, par rapport à la même période de l’année dernière, selon les chiffres de l’Association des producteurs et des importateurs d’automobiles. Malgré une baisse de la production de 6,6%, la marque autochtone Dacia est toujours en tête du classement des préférences des Roumains, puisqu’elle a une part de marché de plus de 30%. Elle est suivie par Volkswagen, Skoda, Renault et Ford.

    Tennis – La joueuse roumaine de tennis, Simona Halep, 4e au classement WTA, doit jouer aujourd’hui contre Daria Gavrilova d’Australie, 47e WTA, dans les huitièmes du tournoi de Cincinnati. Aujourd’hui également, Horia Tecau, de Roumanie et Jean Julien Rojer, des Pays-Bas, affrontent Dominic Ionglot, du Royaume Uni et Marcin Matkowski de Pologne, alors que Florin Mergea (Roumanie) et Rohan Bopanna (Inde) rencontrent Treat Huey (Philippines) et Maxi Mirnîi (Belarus) dans les huitièmes de l’épreuve de double hommes du même tournoi de Cincinnati. Dans son épreuve de double féminin, Monica Niculescu (Romanie) et Vania King (SUA) rencontrent le double français Caroline Garcia/Kristina Mladenovic.

    Rio – Aujourd’hui lors du 13e jour des JO de Rio de Janeiro, un seul sportif roumain participe aux compétitions : Andrei Gag au lancer du poids. Après 12 journées de compétition, la délégation de Roumanie a décroché quatre médailles à Rio : une d’or obtenue par l’équipe féminine d’épée, une autre d’argent décrochée par le double Florin Mergea/Horia Tecau au tennis, double messieurs et deux de bronze : le haltérophile Gabriel Sâncraian et respectivement l’équipage féminin de huit barré. C’est pour la première fois en 44 ans, que la Roumanie ne remporte aucune médaille au concours olympique féminin de gymnastique.


    Foot – Le club de foot champion de Roumanie, Astra Giurgiu, doit affronter aujourd’hui à domicile le West Ham United, dans le barrage de qualification dans la phase des poules de la Ligue Europa. La présence des vice-champions de Steaua Bucarest dans la phase des poules de cette deuxième compétition continentale est déjà assurée. Mardi Steaua a perdu à domicile sur le score de 0 à 5 contre le Manchester City, dans le match aller du play-off de la Ligue des Champions. Trois autres équipes roumaines le CSMS Iasi, Viitorul Constanta et Pandurii Targu Jiu ont été éliminées dans les préliminaires des coupes européennes.

  • 15.04.2016 (mise à jour)

    15.04.2016 (mise à jour)

    Forum — Dans le climat sécuritaire actuel, il n’y a pas d’alternative à une Europe puissante, dans laquelle les frontières extérieures soient protégées, et l’espace Schengen — consolidé — a affirmé, vendredi, à Bratislava, le ministre roumain des Affaires étrangères, Lazăr Comănescu. Au cours d’une rencontre avec son homologue slovaque, Miroslav Lajcak, organisée en marge du Forum global de sécurité GLOBSEC, M Comănescu a présenté le point de vue de Bucarest sur des thèmes d’actualité figurant à l’agenda européen, surtout la crise migratoire et les évolutions sécuritaires dans le Voisinage Est. Il s’est référé notamment à la situation dans les anciennes républiques soviétiques de Moldova et d’Ukraine, voisines de la Roumanie. A son tour, M Lajcak a salué l’envoi d’un expert du ministère roumain des Affaires étrangères qui rejoindra l’équipe slovaque pour la période quand Bratislava assurera la présidence du Conseil de l’UE, au second semestre de l’année en cours. Riche d’une tradition de plus de 10 ans en Europe, GLOBSEC est une importante plate-forme centre-européenne de politique étrangère et de sécurité, qui bénéficie de contributions de hauts responsables politiques et d’experts reconnus d’Europe et d’Amérique du Nord.



    Décoration — Le président roumain, Klaus Iohannis, a signé le décret de décoration du secrétaire général adjoint de l’OTAN, l’ambassadeur Alexander Vershbow — apprend-on par un communiqué de l’Administration présidentielle de Bucarest. Le chef de l’Etat a décerné à l’ambassadeur américain l’Ordre national « L’Etoile de la Roumanie », en signe de haute appréciation pour le soutien constant accordé à la Roumanie, pour sa vision pour le développement de la sécurité euro-atlantique, pour promouvoir la coopération au niveau international afin d’aborder à succès les défis du nouveau millénaire », mentionne la source citée. La Roumanie est membre de l’Alliance depuis 2004.



    Nationalité — Chaque 10e ressortissant de la République de Moldova est aussi citoyen de la Roumanie voisine — selon les données officielles du Bureau national pour la nationalité de Bucarest, citées par la presse. A compter de 2002, la Roumanie a accordé sa nationalité à 385.000 habitants de la République de Moldova, soit à 10% de la population de cette dernière. Le gouvernement roumain a lancé voici quelques années un programme spécial de simplification de l’octroi de la nationalité roumaine aux Moldaves, dont l’Etat a été créé sur une partie des territoires roumains de l’Est rattachés, en 1940, par l’ancienne Union Soviétique, suite à un ultimatum. Des sondages récents indiquent que l’idée de la réunification des deux Etats est soutenue par environ 70% des Roumains et par plus de 20% des citoyens de la République de Moldova.




    Réunion — Bucarest réaffirme son engagement de contribuer activement aux efforts de la communauté internationale de lutte contre le terrorisme, a déclaré le représentant permanent de la Roumanie à l’ONU, Ion Jinga, lors d’un débat au Conseil de sécurité. L’ambassadeur roumain a affirmé que le terrorisme était une menace constante contre l’humanité et qu’aucun pays n’était épargné par ce fléau. Les Nations Unies occupent une position spéciale dans l’effort de mise en œuvre d’une coalition anti-terroriste universelle, a-t-il ajouté.



    Automobile — Les ventes de véhicules de la marque Dacia — le plus important constructeur automobile roumain, appartenant au groupe français Renault — ont progressé de 4,9% en Europe le mois dernier, sa part de marché s’est maintenu à 2,3%, indiquent les chiffres rendus publics ce vendredi par l’Association des constructeurs européens d’automobiles. Les immatriculations de véhicules Dacia neufs étaient de 41.000 en Europe, en mars, en hausse par rapport à mars 2015.



    Refoulement — Huit citoyens étrangers, qui avaient été interpellés voici deux semaines, par la Police aux Frontières, lorsqu’ils essayaient de franchir illégalement la frontière roumaine, ont été refoulés, vendredi, vers la Serbie, a annoncé l’Inspection générale aux immigrations. Tant qu’ils ont été au Centre d’accueil d’Arad (ouest), ils ont été identifiés et des documents de voyage ont été obtenus pour eux auprès des ambassades et des consulats de leurs pays. Deux des migrants sont irakiens, l’un est Syrien et les cinq autres, Sri Lankais. Tous ont déclaré qu’ils souhaitaient arriver en Europe Occidentale.



    Tennis — L’équipe de Fed Cup de Roumanie affrontera ce week-end l’Allemagne, dans une rencontre accueillie par la ville roumaine de Cluj-Napoca (centre-nord) et qui compte pour le maintien dans le Groupe mondial de la compétition de tennis féminin par équipes. Samedi, dans le premier match, Irina Begu (35e WTA) rencontrera Angelique Kerber, n° 3 mondiale ; le 2e match de l’épreuve de simple opposera Simona Halep, n° 6 mondiale, à Andrea Petkovic (30 WTA). Dimanche est prévu le match entre Halep et Kerber, suivi par le dernier de simple, entre Begu et Petkovic. Dans les épreuves de double on attend l’évolution des paires Alexandra Dulgheru/Monica Niculescu et Annika Beck/Julia Goerges. En février dernier, au premier tour de la compétition, la Roumanie a été dépassée par la République tchèque, titulaire du trophée, par 3-2, alors que l’Allemagne a perdu sur le même score devant la Suisse. L’Allemagne est 4e au classement de la Fed Cup, et la Roumanie — 9e.

  • Nachrichten 1.03.2015

    Nachrichten 1.03.2015

    BUKAREST — Die internationale Ratingagentur Fitch hat die Bewertung der langfristigen Staatsschulden Rumäniens bei BBB mit stabiler Perspektive belassen. Nach Angaben des rumänischen Finanzministeriums erfolge die Bestätigung in erster Linie aufgrund der positiven Wachstumsprognosen für die kommenden zwei Jahre, aber auch der besseren Fiskalposition im Vergleich zu Ländern mit gleicher Bewertung. Fitch rechnet für das laufende Jahr mit einem Wachstum von 2,7%; das Haushaltsdefizit und die Verschuldung sollen in Rumänien zudem niedriger sein als in den anderen Ländern mit einer Dreifach-B-Bewertung. Sollten das Wirtschaftswachstum und die Sanierung der öffentlichen Finanzen sich weiter positiv entwickeln, stellten die Experten von Fitch auch ein besseres Rating für Rumänien in Aussicht.



    KABUL — 650 Soldaten der Rumänischen Heeresgruppe für Sonderoperationen beteiligen sich im Rahmen einer NATO-Mission ab Sonntag für sechs Monate an der Ausbildung und Beratung der afghanischen Streitkräfte. Die rumänischen Soldaten sichern zudem die Bewachung des Luftwaffenstützpunktes in Kandahar. Die NATO und die Vereinigten Staaten hatten im Jahre 2014 ihre Truppen nach 13 Jahren Krieg gegen die Taliban abgezogen.



    ROM – In einem Randviertel der italienischen Hautstadt sind in der Nacht zum Sonntag fünf Fahrzeuge mit rumänischem Kennzeichen angezündet worden. Opfer wurden keine registriert. Das rumänische Au‎ßenministerium teilte über die Botschaft in Rom mit, den Vorfall besonders aufmerksam zu betrachten und eine ofizielle Reaktion der italienischen Behörden zu erwarten. Es sei nicht zu ersten Mal, dass rumänische Autos in Rom in Brand gesetzt werden, daher sei ein fremdenfeindlicher Hintergrund nicht auszuschlie‎ßen.



    BUKAREST — Das rumänische Parlament stimmt am Montag in einer gemeinsamen Plenumssitzung beider Kammern über die Ernennung des liberalen Europaabgeordneten Eduard Hellvig zum Direktor des Rumänischen Nachrichtendienstes SRI ab. Der Vorschlag kam von Staatspräsident Klaus Johannis, zu dessen Wahlkampfteam Helvig im letzten Herbst gehörte. Der frühere Nachrichtendienstchef George Maior war am 27 Januar zurückgetreten, nachdem das Verfassungsgericht in Bukarest mehrere Gesetze im Bereich der Cybersicherheit als verfassungswidrig gekippt hatte.



    MOSKAU – Nach dem Mord am russischen Oppositionspolitiker Boris Nemzow haben sich am Sonntag in Moskau Zehntausende Mensche an einem Trauermarsch beteiligt. Russlands Präsident Wladimir Putin hatte am Samstag nach dem Mord an Nemzow versprochen, dass alles getan werde, um die Auftraggeber und die Schuldigen dieser feigen und zynischen Tat zu überführen. Der Kreml geht von einem Auftragsmord zu Provokationszwecken aus. Die internationale Gemeinschaft hatte mit Bestürzung auf die Ermordung Nemzows reagiert und eine schnelle und transparente Aufklärung der Tatumstände gefordert. Der Oppositionspolitiker, der am Freitagabend auf einer Brücke in der Nähe des Kremls mit vier Schüssen niedergestreckt worden war, soll nach Angaben seiner Kollegen in der Opposition an einem Bericht über die Mitwirkung des russischen Militärs am Konflikt in der Ukraine gearbeitet haben. Er befürchtete, dass Präsident Wladimir Putin ihn ermorden lassen werde.



    TALLIN — In Estland finden am Sonntag Wahlen für ein neues Parlament statt. Es wird erwartet, dass die moskaunahe Zentrumspartei ein gutes Ergebnis erzielt, ohne aber in der Lage zu sein, eine Regierung zu bilden. In der früheren Sowjetrepublik Estland, in der 25% der 1,3 Millionen Einwohner der russischsprachigen Minderheit angehören, werden die Annektierung der Krimhalbinsel und die Situation in der Ostukraine sehr aufmerksam beobachtet. Die Au‎ßen- und Sicherheitspolitik beherrschten den Wahlkampf. Die russischen Militärübungen nahe der estischen Grenze nur wenige Tage vor den Wahlen sorgten für neue Befürchtungen im Zusammenhang mit Destabilisierungabsichten Russlands. Nach einer am Samstag veröffentlichten Umfrage würde die Zentraumspartei auf 22% der Stimmen kommen. Die Koalition der Reformpartei und der Sozialdemokraten würde sich demnach an der Macht halten können.