Tag: Barack Obama

  • 28.08.2013

    28.08.2013

    Syrie – Le secrétaire général des Nations unies Ban Ki-Moon a appelé mercredi les membres du Conseil de sécurité à sunir en vue d”agir pour la paix” en Syrie, à lheure où une attaque chimique présumée a exacerbé les divisions russo-occidentales sur le conflit syrien. Les Etats-Unis et leurs alliés se disent prêts à mener une action militaire contre la Syrie, quils ont accusée davoir perpétré le 21 août un massacre aux armes chimiques. La Russie estime de son côté quune solution militaire en Syrie déstabiliserait le pays et le Moyen-Orient et, selon FP, Moscou bloquerait toute initiative au Conseil de sécurité en vue dune action de représailles contre son allié. L’OTAN examine ce mercredi à Bruxelles la situation en Syrie. Bucarest se dit pour la « prudence », mais les autorités affirment que la Roumanie sera solidaire avec l’Alliance des pays démocratiques.



    Visite – Le président roumain, Traian Basescu a entamé jeudi une visite en Slovaquie, où il a rencontré son homologue slovaque Ivan Gasparovic et le président du Parlement Pavol Paaka. Jeudi, les deux chefs d’Etat participeront aux cérémonies marquant les 69 ans écoulés depuis l’insurrection armée des Slovaques contre l’occupation nazie.



    Diplomatie – La Roumanie ne modifiera pas les axes principaux de sa politique étrangère quelque soient les changements intervenus au sein du cabinet de Bucarest. Pourtant le pays doit élargir ses relations économiques et politiques vers l’Afrique, l’Asie, le Proche Orient et l’Amérique du sud. C’est le message transmis mercredi par le premier ministre Victor Ponta, à la Réunion annuelle de la diplomatie roumaine. Il a demandé aux ambassadeurs roumains d’être plus actifs non seulement au niveau officiel, mais aussi dans le cadre de leur relation avec la presse étrangère. Les diplomates roumains ne doivent pas accepter que la Roumanie soit rendue coupable pour les erreurs de certains de ses ressortissants.



    Négociations – Le ministère roumain de l’Economie a entamé les discussions avec la partie ukrainienne, pour la première fois durant les deux dernières décennies, en vue de la récupération, par la Roumanie, des dépenses dans le cadre de sa participation à la construction du Combinat ukrainien d’enrichissement des minerais acides de Krivoï Rog. Le montant à récupérer est estimé à environ un milliard de dollars. Le ministre roumain de l’Economie, Varujan Vosganian a fait mardi une visite à Kiev pour des entretiens à ce sujet avec les responsables ukrainiens. Les travaux de construction de l’usine de Krivoï Rog ont démarré en 1983, à l’époque de l’Union Soviétique et du Conseil d’Aide économique mutuelle. Y ont pris part la République Démocratique Allemande, la Tchécoslovaquie, la Bulgarie et la Roumanie. En 1990 , les travaux, achevés à hauteur de 70%, ont été arrêtés.



    Coopération – La Roumanie et le Turkménistan renforceront leur coopération dans le domaine énergétique, c’est la conclusion d’une réunion mardi entre le ministre roumain des Finances, Daniel Chitoiu, et son homologue turkmène Dovletgeldi Sadykov. Le responsable de Bucarest a souligné la capacité et l’expérience des entreprises roumaines dans les domaines tels le BTP, la construction de routes et la production d’outillage pétrolier. Par ailleurs, le ministre turkmène a souligné le fait que les relations politiques de qualité étaient en mesure d’accélérer les relations économiques entre les deux pays.



    Migration – La migration de travail des Roumains a considérablement augmenté depuis l’adhésion du pays à l’UE, en 2007. Selon les estimations au niveau européen qui se retrouvent dans le projet de Stratégie Nationale pour l’Emploi 2013-2020, 2,1 millions de Roumains travaillent dans d’autres Etats membres de l’UE. Les principales destinations des Roumains sont l’Italie, l’Espagne, et l’Allemagne. Cette migration massive de la main d’œuvre active dans une très brève période de temps, a déséquilibré le marché de l’emploi, indique encore le document.



    Tennis – Trois Roumaines, Simona Halep, Alexandra Dulgheru et Sorana Cârstea, se sont qualifiées dans le deuxième tour de l’US OPEN. D’autres sportives roumaines, telles Monica Niculescu, Irina-Camelia Begu et Alexandra Cadantu, ont quitté la compétition dès le premier tour. Côté messieurs, Adrian Ungur a également été éliminé, alors que Victor Hanescu doit rencontrer l’Argentin Leonardo Meyer.



    Concert – Grand concert ce soir dans la capitale roumaine. Roger Waters, membre fondateur d’une véritable légende du rock progressif, le groupe Pink Floyd, se produit aujourd’hui à Bucarest avec le spectacle « The Wall », un mélange de musique live, d’effets visuels et de décors impressionnants. Moment fort du spectacle : l’artiste sera accompagné d’une chorale formée de 15 enfants roumains qui chanteront aux côtés de Roger Waters le refrain de l’un des plus connus tubes de Pink Floyd « Another brick in the wall ».

  • Geopolitik und Militärdoktrin: keine Annäherung zwischen Russland und USA

    Geopolitik und Militärdoktrin: keine Annäherung zwischen Russland und USA

    Der russische Staatschef Wladimir Putin meint, die zweite Phase des globalen US-Raketenschilds, die NATO-Ausweitung in Richtung Osten sowie die Gefahr der Militarisierung der arktischen Region seien methodische Versuche, das strategische globale Gleichgewicht zu zerstören.



    Russlands Präsident Wladimir Putin sprach auf dem Jahrestreffen des Verteidigungsministeriums über Moskaus Sicherheitsprioritäten im Nahen Osten und Asien sowie über die Gefahr der Ausweitung des Extremismus in den Nachbarsgebieten Russlands. All das habe direkte Auswirkungen auf die nationalen Interessen Russlands und bestimmen die politischen Prioritäten, sagte Putin. Der Korrespondent von Radio Rumänien in Moskau, Alexandr Beleavschi, eläutert:



    Eines der grundsätzlichen Konzepte, auf dem die neue Doktrin der russischen Au‎ßenpolitik fu‎ßt, ist die unteilbare Sicherheit. Das Dokument sieht vor, Russland werde seine Beziehungen zur NATO abhängig von der Bereitschaft der Allianz für eine Partnerschaft gestalten, die gleiche Rechte vorsieht. Die Doktrin bestätigt Russlands negative Stellung gegenüber der NATO-Ausweitung und dem Nähertreten der militärischen Struktur an seine Grenzen.“



    Moskaus Hauptpriorität sei die Integration im euroasiatischen Raum, was auch die Verstärkung des wirtschaftlichen Raums Russland — Kasachstan — Wei‎ßrussland und die Gründung der euro-asiatischen Wirtschaftsunion einschlie‎ße, so Putin. Russland müsse zur Verstärkung der Multipolarität der Welt beitragen. Dies bedeute, Mechanismen der kollektiven Reaktion auf Drohungen gegenüber der regionalen Sicherheit zu entwickeln, auch wenn dafür die Verstärkung der militärischen Komponente des Vertrags für Kollektive Sicherheit notwendig sei. Mitglieder dieser Struktur, die von Moskau geleitet wird, sind mehrere ex-sowjetische Republiken.



    Die geopolitische Entwicklung verpflichte Russland zu intelligenten und rapiden Taten. Daher verlangte der russische Staatschef eine massive Modernisierung der Armeekräfte, die sich auf fünf Jahre erstrecken soll. US-Präsident Barack Obama hat aber Moskau vorgeschlagen, den Militärapparat zu reduzieren. Alexandr Beleavschi dazu:



    Laut dem russisch-amerikanischen Start-Vertrag, der von den Präsidenten Medwedjew und Obama 2010 unterzeichnet wurde, engagieren sich die zwei Supermächte, die Atomsprengköpfe auf strategischen Trägersystemen (Interkontinentalraketen, U-Boot gestützte Langstreckenraketen und Langstreckenbomber) auf je 1.550 Stück zu reduzieren.Die Zahl der stationierten und nicht stationierten Interkontinentalraketen, U-Boot gestützten Raketen und Langstreckenbomber wird insgesamt für jedes Land auf 800 Stück begrenzt, wobei nicht mehr als 700 stationiert sein sollen.



    US-Präsident Obama hat in seiner Ansprache vor der Nation erklärt, er werde Russland vorschlagen, die Zahl der Atomwaffen unter der im neuen Start-Vertrag festgelegten Zahl zu reduzieren. Die russischen Militärexperten meinen hingegen, diese Vorschläge würden Russland keine Vorteile bringen. Ein Grund sei, dass die amerikanischen Waffen die festgelegte Höchstgrenze überschreiten, während die russischen sogar unter der Mindestzahl liegen. Eine zweite Ursache sei die unterschiedliche Struktur derAtomwaffentriade. Den Kern der russischen Atomwaffentriade bilden die bodengestützten Atomwaffen, während die Amerikanischer sich vorrangig auf Atom-Boote stützen. Ein anderes Argument ist der riesige Vorteil der USA dank der modernen konventionellen Waffen. Ein weiteres, das vierte Argument, ist die geopolitische Nachbarschaft — China, Nordkorea, Pakistan, Iran, im Falle Russlands und Mexiko und Kanada im Falle der USA.



    Das Treffen in Berlin zwischen dem US-Au‎ßenminister John Kerry und seinem russischen Gegenüber Sergej Lawrow hat keine konkrete Antworten auf die russisch-amerikanischen Fragen gebracht. Vor dem Treffen war über einen möglichen Kompromiss zwischen Russland und den USA spekuliert worden — eine politische Erklärung, die von den Präsidenten beider Länder unterzeichnet werden sollte. Darin sollte man bekräftigen, dass der US-Raketenabwehrschild nicht gegen die russischen Atomwaffen gerichtet ist.



    Nach den Gesprächen in Deutschland hat der russische Chefdiplomat diese Spekulationen dementiert. Moskau wünsche keine Erklärungen, sondern Garantien, dass der Raketenschild nicht gegen Russland gerichtet wird. Garantien, die nach technisch-militärischen Kriterien überprüfbar sein müssen. Washington hat hingegen mehrmals verlauten lassen, die USA können keine Garantien gewährlsieten. Das russische Programm für die Modernisierung der Streitkräfte in der Zeitspanne 2011-2020 stützt sich auf eine Rekordsumme von circa 650 Milliarden Dollar. Experten meinen allerdings, Russland werde diese Summe kaum auftreiben können.



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  • La Roumanie et la situation en Egypte

    La Roumanie et la situation en Egypte

    L’Egypte, Etat en première ligne du Printemps arabe, connaît une période d’agonie, marquée par le conflit interne le plus sanglant depuis le renversement de l’ancien homme fort du Caire, Hosni Moubarak. Le bilan de cette semaine dramatique s’élève à des centaines de morts, des civils pour la plupart, suite aux affrontements entre les supporters du président islamiste destitué, Mohamed Morsi, d’une part, et ses adversaires et les forces de l’ordre, de l’autre.



    Les premiers, recrutés parmi les Frères musulmans, souhaitent le retour au pouvoir du président élu de manière démocratique, mais renversé par l’armée, et semblent décidés de continuer leur protestation jusqu’à ses conséquences ultimes. La réplique des autorités est ferme, dure, voire exagérée, selon des voix qui deviennent de plus en plus fortes dans l’espace occidental. L’armée, qui a pris le pouvoir, a menacé de tirer sur quiconque attaque les institutions étatiques.



    Préoccupée par les évolutions d’Egypte, la communauté internationale fait, constamment, des appels à la retenue et condamne les actions résultant dans du sang versé. Le Conseil de sécurité a demandé aux parties de s’abstenir de faire des gestes de nature à mener à une escalade du conflit et à un approfondissement de la crise.



    Aux Etats Unis, le président Barack Obama a dénoncé les violences et exigé leur arrêt. Le chef de la Maison blanche a demandé aux autorités de respecter les droits de l’homme et a annoncé l’annulation des exercices américano-égyptiens prévus le mois prochain. L’Union européenne, mais aussi des Etats musulmans, ont amendé la réaction dure des autorités lors des manifestations pro-Morsi, qui pourrait être considérée comme une répression brutale.



    En accord avec la position exprimée par l’UE, la diplomatie roumaine a affirmé qu’elle suivait avec préoccupation les évolutions d’Egypte et déplorait les pertes de vies humaines et les dégâts matériels. Le ministère des Affaires étrangères de Bucarest soutient l’appel du Haut représentant de l’UE, Catherine Ashton, portant sur la nécessité que toutes les parties impliquées fassent preuve de retenue pour arrêter les confrontations violentes et rétablir le calme. Bucarest réitère également la nécessité de respecter les droits fondamentaux de l’homme et les libertés du citoyen et encourage le dialogue nécessaire à la reprise de la transition démocratique.



    D’autre part, conscient des dangers que la crise prolongée, marquée par des violences, peuvent représenter pour les ressortissants roumains présents en Egypte, le ministère des Affaires étrangères leur recommande d’éviter complètement les zones des sièges des principales institutions gouvernementales et partis, et où des protestations ont lieu. Il est conseillé aux citoyens roumains se trouvant dans ce pays de s’adresser à l’Ambassade roumaine en Egypte et d’annoncer leur présence dans la région, en communiquant leurs coordonnées personnelles, afin de pouvoir être contactés dans des situations d’urgence. (trad. : Ligia Mihaiescu)

  • Clinton. Hillary Clinton


    Mandatul lui Hillary Clinton se încheie. Nu cel de preşedinte al Americii, pentru care a candidat acum 4 ani, ci cel de şef al diplomaţiei americane. În anul de graţie 2008, SUA anunţa lumea că un tsunami nedesluşit dar cu semne grave de criză tocmai s-a pornit din bancile sale cele mai mari şi renumite şi va răscoli întreaga lume. Era anul miei de miliarde de dolari scoase din depozitele cele mai adânci şi aruncate pe piaţă, întru salvarea economiei.




    Şocul a fost enorm, nu numai teoria economică a liberei concurenţe s-a zguduit, alături de întreaga societate americană, cu unde de şoc în întreaga lume, dar şi clasa politică din Noul Continent părea debusolată. În 2008, preşedinţia de la Washington părea o sarcină de serviciu destul de confuză în care mulţi ezitau să se implice. Atunci, o serie de personalităţi puternice au înţeles că trebuie răspuns cu inteligenţă şi multă disponibilitate, aproape cu patriotism, la cerinţele continuării vieţii politice. Din partea democraţilor, unul dintre cele două partide care domină, de secole, scena politică americană, s-au detaşat doi politicieni a căror intenţie de a cuceri preşedinţia echivala cel puţin cu o premieră.




    Hillary Clinton şi Barack Obama au intrat în cursa pentru nominalizarea Partidului Democrat din SUA şi oricare dintre ei ar fi câştigat alegerile am fi avut în fruntea puternicului stat fie prima femeie, fie primul cetăţean de culoare. Toate acestea au fost constatări ale specialiştilor, istoricilor sau statisticienilor pentru că americanii obişnuiţi, sub presiunea uriaşă a vremurilor de criză au văzut în cei doi politicieni lideri puternici în momente nu numai dificile dar şi ciudate. Barack Obama, cel care a câştigat atât nominalizarea democraţilor cât şi şefia statului, tocmai a fost instalat pentru un al doilea mandat, cucerit fără mari emoţii. Iar Hillay Clinton, contracandidatul său la nominalizare dar partener esenţial în campania prezidenţială, încheie un mandat exemplar în fruntea diplomaţiei americane. Am putea spune că pentru prima se vorbeşte atât de mult şi chiar frumos despre finalizarea unui astfel de mandat, funcţiile guvernamentale având încărcătura lor birocratică care nu lasă prea mult loc momentelor festive.




    Hillary Clinton nu este doar o fostă posibilă femeie prima preşedintă a SUA şi nici doar soţia unui fost preşedinte american. Nu s-a mulţumit cu savoarea vieţii de Primă Doamnă şi nici nu s-a lăsat doborâtă de încărcătura negativă uriaşă a aceleiaşi poziţii. Întotdeauna a fost apreciată ca o personalitate puternică, un profesionist renumit în drept şi un lider eficient încât preşedintele Clinton putea să fie Bill, cum a şi fost, dar şi Hillary, cum s-ar fi putut întâmpla. A fost să fie secretar de stat şi performanţa sa în această poziţie va aduce multe analize şi dezbateri în viitor. Politica smart power anunţată de preşedintele Obama la preluarea mandatului său o caracterizează foarte bine şi pe Hillary Clinton, cea care a derulat activitatea diplomatică americană sub acest steag al prevalenţei inteligenţei asupra tradiţionalelor măsuri de forţă. Ultimele sale luni de mandat au fost umbrite de evenimentele sângeroase din oraşul libian Benghazi cărora le-a căzut victimă ambsadorul american. A fost un moment care, în alte vremuri, ar fi putut duce la o escaladare a conflictului soldată cu şi mai multe victime, violenţe şi suferinţe. America a făcut dovada, în acest caz da şi în anii de când revoluţiile arabe schimba faţa omenirii, de o raţiune de mare inteligenţă, care ne obligă pe toţi să gândim ca oameni ai secolului XXI, care au învăţat din greşelile trecutului dar au şi o perspectivă mult mai umană pentru viitor.

  • A la Une de la presse roumaine 21.01.2013

    A la Une de la presse roumaine 21.01.2013


    «Nous nous sommes sauvés seuls, par nos propres forces ».C’est le témoignage d’un des cinq Roumains impliqués dans la prise d’otages qui a commencé mercredi sur un site gazier à In Amenas, en Algérie.


    Selon Jurnalul national, le bilan de cette prise d’otages qui s’est achevée par l’intervention en force des forces armées algériennes est 23 personnes décédées dont deux Roumains. Liviu Floria, un des survivants de l’attaque terroriste, a déclaré avoir réussi à se sauver en se cachant dans un bureau du site gazier qu’il a quitté ensuite pendant la nuit aux côtés de sept autres collègues. Les fugitifs ont parcouru à pied plus de 30 kilomètres et après 15 heures ils ont rencontré un groupe de soldats algériens.


    La crise des otages en Algérie finie, place maintenant aux questions. « Qui a tué les Roumains en Algérie ? » se demande Adevarul, selon lequel il n’existe toujours pas de réponse à cette question. L’un a été retrouvé mort sur le site de In Amenas, tandis que l’autre est décédé dans un hôpital algérien. Adevarul pense que les deux auraient pu être tués soit par les terroristes, soit par l’armée algérienne. Ce qui est clair c’est que deux vies ont été détruites dans l’enfer algérien, conclut Adevarul.


    Romania libera se demande « pourquoi deux Roumains sont décédés en Algérie » dans cette prise d’otages qui s’est terminée par un bain de sang. D’après ce quotidien qui cite des experts britanniques, les opérations de l’armée algérienne n’ont jamais eu comme objectif de sauver les otages, mais d’anéantir le groupe de terroristes islamistes rapidement et d’une manière décisive. Autrement dit, les autorités algériennes n’auraient jamais accepté de prolonger la crise jusqu’à permettre aux gouvernements occidentaux d’essayer de négocier avec les islamistes une libération de leurs ressortissants. Plusieurs experts roumains cités par Adevarul jugent l’intervention de l’armée algérienne justifiée et ceci malgré les critiques internationales que celle-ci a engendrées. Parmi les différentes opinions figurant dans les pages d’Adevarul notons celle de Mircea Geoana, ancien ambassadeur de Roumanie à Washington et chef de la diplomatie roumaine, selon lequel l’Etat roumain n’a pas réussi à gérer la présence des Roumains dans le monde.


    La Roumanie a enregistré des retards notables pour ce qui est de la création de capacités consulaires pour des millions de Roumains se trouvant à l’étranger et le résultat est visible de nos jours, explique Mircea Geoana, ancien ambassadeur de Roumanie à Washington, cité par le quotidien Adevarul.


    Changeons de cap maintenant pour la capitale américaine, où le président américain Barack Obama a officiellement inauguré son deuxième mandat dans le cadre d’une cérémonie privée à la Maison Blanche, annonce Evenimentul zilei.


    Sous le titre « Nous et Obama 2 », Adevarul se demande ce que la Roumanie pourrait demander et même obtenir de la part des Etats — Unis en échange des troupes roumaines impliquées dans la guerre contre le terrorisme, de la présence militaire américaine sur le territoire roumain et de l’exploitation des ressources naturelles roumaines par des compagnies américaines. Sujet à suivre.