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  • July 18, 2019 UPDATE

    July 18, 2019 UPDATE

    CONSTITUTION The Constitutional Court of Romania Thursday dismissed the legislative initiatives of the National Liberal Party and Save Romania Union, in opposition, and of the Social Democrats and ALDE in power, concerning proposals to revise the Constitution. The Court found that forbidding amnesty and pardons for corruption offences is outside the scope of Constitution revision initiatives, and that lawmakers must be allowed to decide the individuals and categories of offenders that may benefit from amnesty and pardon. On July 1, opposition parties presented Parliament with a bill transposing into legislation the outcomes of the May 26 referendum. Under the bill, amnesty and pardon are prohibited for individuals sentenced for corruption offences, the President may no longer pardon such offences, and integrity is included under the Constitution among the prerequisites for holding public offices. Individuals serving final sentences for crimes committed knowingly and wilfully were thus banned from running in parliamentary, local, presidential and European elections. The same bill made all emergency orders issued by the government subject to constitutionality checks. Also in early July, the ruling coalition tabled its own bill to revise the Constitution, prohibiting individuals sentenced to prison from holding public office and extending the right to notify the Constitutional Court with respect to government emergency orders. The bill also denied the presidents right to pardon corruption-related offences.



    MEDAL Tennis player Simona Halep was awarded on Thursday the highest distinction of the Romanian Orthodox Church, the Patriarchal Cross, for her performances in womens tennis. On Wednesday, tens of thousands attended a ceremony on the National Arena in Bucharest, where Simona Halep presented the trophy she won at the Wimbledon tournament. Halep was the first Romanian to win a singles title in Wimbledon, after defeating the American Serena Williams in the final. Attending the ceremony were also several Romanian sports personalities. The athlete will also be granted by President Klaus Iohannis the National Order of the Star of Romania, the highest distinction offered by the Romanian state. This was Simona Haleps second Grand Slam title, after she won the Roland Garros trophy last year.



    FESTIVAL Electric Castle music festival continues until Sunday on the Banffy estate in Bonţida, Cluj County, (north-western Romania). Banffy castle is a heritage monument dating back to the 15th century. The music festival here is the first in Romania accessible to the hearing impaired. Amber Galloway Galgow, the best known sign language interpreter specialising in concert interpretation, will translate all the songs performed on the main stage of the festival. Thousands of music fans attended on Wednesday the opening of this 7th edition of the festival, which tries to cover as diverse music genres as possible The festival area covers 300 thousand sq m, including 10 stages for musicians, a food area and a camping site for thousands of people. Performing at the Electric Castle 2019 are also Florence and The Machine, one of the most creative indie bands of the past decade, fronted and founded by singer and songwriter Florence Welch. Other bands performing in the festival are the rock band Limp Bizkit, with 3 Grammy nominations and more than 40 million albums sold, Jared Leto, Bring Me The Horizon, Chvrches, Giggs, Lemaitre, Mono, Tommy Cash, Handsome Furs and Viagra Boys.



    COURT Judge Corina Corbu was validated on Thursday as president of the High Court of Cassation and Justice by the Judges Division of the Higher Council of Magistracy. The outgoing president of the supreme court, Cristina Tarcea, whose term in office ends on September 14th, claimed the procedure breached the law on the organisation of courts. Corina Corbu was the only candidate for the post, after Cristina Tarcea announced she would not run for a new term in office. In 2014, Corina Corbu was indicted by the National Anti-Corruption Directorate, alongside other supreme court judges, for criminal facilitation, but the charges against all the defendants were dropped in 2018.


    (translated by: Ana-Maria Popescu)

  • Voyage à Cluj

    Voyage à Cluj

    Nous voyageons aujourd’hui dans le centre-ouest de la Roumanie, plus précisément dans le chef-lieu du département de Cluj, la ville de Cluj-Napoca. Elle propose beaucoup d’attractions touristiques, de nombreux événements y ont lieu tout le long de l’année et la cuisine est toute particulière pour la Roumanie. Assez de raisons pour vous convaincre d’en faire une destination de vacances !

    Vous serez surpris par la multitude d’églises du centre-ville de Cluj et aussi par leur diversité : on y trouve dans la même rue des églises réformées, catholiques, unitariennes et gréco-catholiques. La ville est connue pour sa tolérance religieuse qui remonte au moment de l’apparition, au XVIème siècle, d’une nouvelle confession, l’unitarisme. C’est à Cluj aussi que vous rencontrerez beaucoup de styles architecturaux différents. Par exemple, le centre réunit des bâtiments construits à la fin du XVIIIème, typiques pour l’Empire austro-hongrois sous les Habsbourg.

    Marius Oprea, notre guide du Bureau d’information touristique de Cluj, nous donne plus de détails sur le centre historique de la ville : «On y trouve plusieurs monuments historiques, comme l’Eglise catholique Saint Michel, le Monument à Mathias Corvin, le Palais Bánffy, qui abrite le Musée d’art, la Cathédrale métropolitaine, le Théâtre national Lucian Blaga et, bien évidemment, la Place du Musée. Tous ces objectifs sont en plein centre-ville, il est donc très aisé de se déplacer à pied pour les visiter. D’autres attractions importantes sont à retrouver à proximité du centre, comme la Colline de la Cité, d’où un splendide panorama s’ouvre sur toute la ville, le Jardin botanique, un des lieux les plus populaires à Cluj, et le Parc ethnographique Romulus Vuia, le plus ancien de ce type de Roumanie. Cluj a toujours été et reste une ville très ouverte, qui peut être visitée à tout moment de l’année. Même à l’approche de l’hiver, quand les jours raccourcissent, beaucoup d’évènements continuent de rendre la ville attractive.»

    Cluj-Napoca est aussi un pôle d’événements au niveau national et international, estime Marius Oprea : « Untold est le festival de musique le plus important de cette partie de l’Europe. Il se déroule chaque année au début du mois d’août. Cluj accueille fin mai-début juin le Festival international de film Transilvania, le plus important de Roumanie. Nous organisons également la Fête de la ville et l’événement Jazz in the Park. Je peux aussi vous recommander Electric Castle, qui a lieu chaque année au Château Bánffy de Bonțida. Le marché de Noël débutera cette année le 23 novembre et à la fin du mois de novembre nous accueillerons aussi le Festival international de théâtre Interférences, qui a lieu tous les deux ans. »

    Marius Oprea nous invite à visiter aussi les attractions du département de Cluj : « La plupart des touristes qui viennent à Cluj-Napoca visitent aussi la Mine de sel de Turda, qui se trouve à seulement trente minutes de la ville. Cette mine est unique en Roumanie et peut-être même dans cette partie de l’Europe. Elle compte plusieurs étages. Restaurée grâce à des fonds européens, elle ressemble aujourd’hui à une ville souterraine. Elle offre plusieurs facilités de balnéothérapie et de loisirs. Il existe même un lac avec des bateaux. Dans les environs, nous recommandons aux touristes de visiter les Gorges de Turda et le Château Bánffy de Bonțida. Il y a aussi, bien sûr, la région montagneuse de Cluj, qui offre comme points d’attraction la cascade Răchițele et la région des lacs Beliș-Tarnița. »

    L’attestation documentaire de la Mine de sel de Turda remonte au 1er mai 1271, peu après la première attestation de la ville homonyme sous son nom actuel. Le sel y a été exploité pendant plusieurs siècles. C’est grâce à la richesse des gisements situés au nord de Turda que la ville s’est développée et a été le siège des Diètes transylvaines. C’est là qu’a été décidée la libéralisation des cultes religieux et que le Trésor impérial austro-hongrois s’est enrichi grâce aux exploitations. La mine a été modernisée en 2010 et, outre les balades en barque, l’offre de loisirs comprend un terrain de mini-golf, une grande roue, un ascenseur panoramique et des pistes de bowling. Si vous souhaitez vous attabler après toutes ces activités, vous serez sûrement impressionnés. Il existe beaucoup de plats typiques dans la région, et la gastronomie est importante pour les habitants de Cluj.

    Marius Oprea, du Centre d’information touristique : « Ces derniers temps, beaucoup de monde cherche exclusivement les restaurants à cuisine du terroir ou traditionnelle. Nous sommes fiers d’avoir le plus ancien livre de cuisine de Transylvanie, paru à la fin du XVème. Lukács József, un professeur de Cluj-Napoca, l’a traduit et a contribué à sa réédition. De plus en plus de restaurants commencent à utiliser cette réédition pour remettre au goût du jour certaines recettes. Les recettes réalisées de nos jours ne sont pas à 100% précises, car une partie des ingrédients n’existent plus. Mais elles gardent néanmoins en grande proportion le spécifique de la région. »

    Le nombre de touristes est en augmentation constante à Cluj. Marius Oprea nous donne quelques chiffres : « Nous avons 20.000 touristes du monde entier qui viennent chaque année au Centre d’information touristique. Nous leur offrons du matériel de promotion dans plus de neuf langues. La plupart sont impressionnés par les régions des environs de Cluj et par la ville elle-même. Le nombre de touristes croît, la progression annuelle étant de 30%, le double de la moyenne nationale. Ce sont sûrement les événements ainsi que les objectifs touristiques qui rendent cette destination de plus en plus attrayante. »

    L’invitation est lancée ! A la prochaine fois pour une nouvelle destination ! (Trad. Elena Diaconu)

  • Clujul turistic

    Clujul turistic


    Astăzi călătorim
    în partea central-vestică a României, mai exact în județul Cluj. Pornim din
    orașul Cluj-Napoca, care are multe atracţii turistice în zona centrală,
    suficient pentru a vă convinge că este o destinație de vacanță reușită. Evenimentele
    sunt numeroase, multe de talie internațională, iar gastronomia e cu totul
    aparte. Aici a fost reeditată cea mai veche carte de bucate din România, de la
    sfârșitul secolului al XV-lea.


    În
    centru, veți fi surprins de multitudinea de biserici și de tipul acestor
    biserici: se pot vedea pe aceeași stradă biserici reformate, romano-catolice,
    unitariene sau greco-catolice. Clujul este faimos pentru toleranța sa religioasă
    încă din secolul al XVI-lea, atunci când aici apărea o nouă confesiune,
    unitarianismul. Există și foarte multe clădiri în foarte multe stiluri. De
    exemplu, tot centrul reunește clădiri construite la sfârșitul secolului al
    XVIII-lea, tipic habsburgice. Ghidul nostru de azi, Marius Oprea, de la Centrul
    de informare turistică Cluj Napoca, despre zona centrului istoric. Sunt mai multe monumente istorice, printre care ar fi Biserica
    Romano-Catolică Sf. Mihail, ansamblul statutar Mathia Corvin, Palatul Bánffy,
    unde are sediul Muzeul de Artă, Catedrala Mitropolitană, Teatrul Național
    Lucian Blaga și, bineînțeles, Piața Muzeului. Acestea se găsesc în zona
    centrală, și fiind foarte aproape, se poate ajunge la toate obiectivele pe jos.
    Există însă și alte obiective în proximitatea centrului cum ar fi Dealul
    Cetățuii, de unde se vede tot orașul, respectiv ruinele fostei cetăți
    habsburgice, Grădina Botanică, unul dintre cele mai vizitate obiective
    turistice din Cluj Napoca, și, bineînțeles Parcul Etnografic Romului Vuia, cel
    mai vechi parc de acest tip din România. Cluj-Napoca a fost și rămâne un oraș
    deschis, poate fi vizitat în orice perioadă a anului. Chiar dacă vine iarna,
    iar ziua se va scurta, există multe evenimente, iar toate acestea fac ca orașul
    să fie atractiv în continuare.


    Se poate spune că
    orașul Cluj-Napoca este un centru al evenimentelor cunoscute la nivel național
    și internațional, spune Marius Oprea. Untold este cel mai important festival de
    muzică din această parte a Europei. Acesta se desfășoară la începutul fiecărui
    an, la începutul lunii august. Mai există cel mai mare și cel mai important
    festival de film din România, Festivalul Internațional de Film Transilvania,
    care se organizează la sfârșitul lunii mai, începutul lunii iunie. Mai
    organizăm Zilele Clujului, Jazz in the park și mai putem recomanda și Electric
    Castle, care se petrece în fiecare an la castelul Bánffy, de la Bonțida. Târgul de Crăciun va începe în data
    de 23 noiembrie și vom avea și un Festival de teatru internațional,
    Interferențe, care se organizează o dată la doi ani, iar anul acesta va avea
    loc la sfârșitul lunii noiembrie.


    Marius Oprea, de
    la Centrul de informare turistică Cluj Napoca, ne invită să vizităm și
    atracțiile din județ. Majoritatea turiștilor care ajung în Cluj-Napoca
    vizitează și Salina Turda, fiind foarte aproape, la doar o jumătate de oră de
    oraș. Salina Turda este un unicat în România și poate chiar în partea aceasta a
    Europei. Este o fostă mină de sare, pe mai multe niveluri. A fost restaurată cu
    fonduri europene, iar azi arată ca un oraș subteran . Oferă mai multe
    facilități prin oferta balneoclimaterică, cât și prin cea de agrement. Există
    acolo un lac cu bărcuțe. În apropierea salinei, recomandăm Cheile Turzii,
    castelul Bánffy de la Bonțida și,
    bineînțeles, zona montană a județului Cluj, care are ca punct de atracție
    cascada de la Răchițele și zona lacurilor Beliș Tarnița.


    Salina Turda este
    atestată documentar la 1 mai 1271, puţin după prima atestare a oraşului Turda
    sub denumirea actuală. Exploatarea sării a avut loc pe parcursul mai multor
    secole şi, datorită bogăţiei zăcămintelor de sare, situate în nordul Turzii,
    oraşul s-a dezvoltat şi a fost sediul dietelor transilvane. A fost locul unde
    s-a decretat liberalizarea cultelor religioase, unde visteriile imperiale
    austro-ungare au prosperat de pe urma exploatărilor. Salina a fost modernizată
    în anul 2010 și, pe lângă plimbări de agrement, cu barca pe lac, oferta mai
    cuprinde minigolf, roată panoramică, un lift panoramic și bowling. Iar dacă,
    după atâtea activități, veți dori să vă așezați la masă, fie că mâncați în oraș
    sau în partea rurală, cu siguranță veți fi impresionați. Există multe feluri de
    mâncare cu specific local, iar clujenii pun mare accent pe gastronomie. Foarte multă lume caută mai nou doar restaurantele cu specific local
    și tradițional. Ne mândrim cu cea mai
    veche carte de bucate din Transilvania. De curând, a fost reeditată, iar tot
    mai multe restaurante au început să gătească din ea, încercând să facă din nou
    cunoscute anumite rețete. Ea a apărut la sfârșitul secolului al XV-lea. Un
    profesor din Cluj-Napoca a tradus-o și, în parteneriat cu cineva de la
    București, a reeditat cartea. Rețetele din zilele noastre nu sunt chiar exacte,
    fiindcă nu mai folosesc toate acele ingrediente, dar în proporție de 90% se
    păstrează specificul zonei. Profesorul se numește Lukács József.


    Cum era de
    așteptat, numărul turiștilor este în creștere, spune Marius Oprea, de la Centrul
    de informare turistică Cluj-Napoca. În centrul de informare turistică ne
    intră anual peste 20.000 de turiști. Oferim materiale de promovare în peste
    nouă limbi de circulație internațională și avem oaspeți din foarte multe locuri
    ale lumii. Cei mai mulți rămân impresionați atât de zonele din jurul Clujului,
    cât și de oraș. Numărul turiștilor este în creștere, progresul anual fiind de
    30%, o cifră dublă față de media națională. Cu siguranță, și evenimentele, și
    obiectivele turistice au făcut ca destinația să devină din ce în ce mai
    atrăgătoare.


    Invitația
    a fost lansată. Vă așteptăm și data viitoare cu nouă destinație.

  • Hörerpostsendung 4.3.2018

    Hörerpostsendung 4.3.2018

    Liebe Freunde, herzlich willkommen zur Hörerpostsendung von RRI!



    Heute möchte ich mit gleich mehreren Kulturtipps beginnen:



    Rumänien wird in der Zeit 15.–18. März 2018 Schwerpunktland auf der Leipziger Buchmesse sein. Unter dem Motto Romania. Zoom in“ finden beim rumänischen Stand und an anderen Standorten der Messe sowie au‎ßerhalb des Messegeländes und in Leipzig über 50 Veranstaltungen statt, die sich die Förderung zeitgenössischer rumänischer Autorinnen und Autoren auf die Fahne geschrieben haben. Das Programmkonzept ist dem rumänischen Ministerium für Kultur und nationale Identität in Zusammenarbeit mit dem Rumänischen Kulturinstitut (ICR) in Deutschland, der rumänischen Botschaft in Deutschland, dem Übersetzungsförderungs-Programm der S. Fischer“-Stiftung und der Buchmesse Leipzig zu verdanken.



    Bis zu Beginn der Buchmesse 2018 werden über 40 Übersetzungen aus der rumänischen Literatur erscheinen. Mit den Veranstaltungen während der Messe sollen diese Neuerscheinungen promotet werden, die überwiegend vom Nationalen Buchzentrum im Rahmen des Rumänischen Kulturinstituts gefördert wurden.



    Mehr Info sowie den genauen Veranstaltungskalender finden Sie auf der Webseite https://zoom-in-romania.ro/, die selbstverständlich auch in deutscher Sprache aufgerufen werden kann.



    Im Auftrag des rumänischen Kulturministeriums werden Kollege Alex Sterescu und ich als Dolmetscher bei einigen Podiumsdiskussionen zum Einsatz kommen. Wer also in Leipzig und Umgebung zu Hause ist oder eine Reise zur Buchmesse nicht scheut, wird gerne am rumänischen Stand in der Halle 4, Bereich E501 erwartet; Alex und ich werden die meiste Zeit dort sein und laden Sie gerne auf einen Kaffeeplausch ein, sofern wir nicht gerade zu tun haben.



    Und es kommt noch besser: Bereits im Vorfeld der Buchmesse gibt es eine Reihe von Kulturveranstaltungen mit Rumänien als Schwerpunkt. Vom 26.02. bis zum 13.03.2018 werden in Kooperation mit dem Rumänischen Kulturinstitut und dem Netzwerk Traduki in Leipzig zehn herausragende rumänische Filme gezeigt: alle im UT Connewitz, Wolfgang-Heinze-Stra‎ße 12A. Das Beste dabei: Der Eintritt ist frei. Einige der Filmregisseure sind vor Ort und stehen im Anschluss an die Filmvorführungen für Gespräche zur Verfügung.



    Und noch eine interessante Veranstaltung möchte ich Ihnen anlässlich der Leipziger Buchmesse empfehlen: Dienstag, 6. März um 17 Uhr, wird die Ausstellung Leipzig — Bukarest — Leipziger Stra‎ße: eine europäische Geschichte“ eröffnet. Die Eröffnung findet in der Unteren Wandelhalle im Neuen Rathaus Leipzig statt, Martin-Luther-Ring 4–6.



    Die Ausstellung über die Leipziger Stra‎ße in Bukarest, die wichtigste Stra‎ße in der Altstadt der Hauptstadt von Rumänien, dokumentiert die über 400 Jahre zurückgehende bewegte Geschichte zweier Städte, die insbesondere durch den Handel verbunden waren. Aus Leipzig und dem deutschen Raum führten viele Handelswege für Kaufleute und Gewerbetreibende über Bukarest nach Südosteuropa. Die damaligen rumänischen Fürstentümer waren au‎ßerdem Ziel- und Zukunftsort für zahlreiche deutsche Auswanderer im 19. Jahrhundert.



    Die Geschichte der Leipziger Stra‎ße in Bukarest wird nun in einer Ausstellung vorgestellt, die von dem Stadtgeschichtlichen Museum Bukarest kuratiert und durch die Unterstützung des Rumänischen Honorarkonsulats in Sachsen, Sachsen-Anhalt und Thüringen sowie des Stadtgeschichtlichen Museums Leipzig realisiert wurde.



    Die Ausstellung ist vom 6. bis 15. März 2018 in der Unteren Wandelhalle des Neuen Rathauses und vom 12. April bis 6. Mai 2018 in den Promenaden Hauptbahnhof Leipzig zu sehen. Der Eintritt ist frei.




    Und jetzt zu Hörerzuschriften. Von Fritz Andorf (aus Meckenheim, NRW) erhielten wir unlängst eine E-Mail:



    Liebes RRI-Team,



    zunächst möchte ich mich bei Ihnen, lieber Sorin, für die ausführliche Beantwortung meiner letzten Zuschrift im Funkbriefkasten am 28.01. ganz herzlich bedanken. Darin ging es unter anderem um meine Kritik an dem Sonntagsprogramm (Splitting der Sonntagsstra‎ße“ und Jazzmusik). Ja, Sie haben natürlich vollkommen recht: Die Geschmäcker sind verschieden, und man kann es nicht jedem recht machen. Und das Programm soll ja auch nicht zu wortlastig sein. Dennoch vermisse ich die Hälfte der Sonntagsstra‎ße“.



    Dazu hätte ich einen Vorschlag: Man könnte in die Sonntagsstra‎ße“ immer einen Ausschnitt aus einer der zahlreichen Musikrubriken der Woche einflechten. Damit wäre die Musik vielseitiger und würde sich nicht mehr auf die eintönige Jazzmusik beschränken, und das Programm wäre gleichwohl nicht so wortlastig.



    Heute habe ich ausnahmsweise einmal das Samstagsprogramm eingeschaltet, in dem man ja im Wochenrückblick“ sehr gut über die Ereignisse der vorausgegangenen Woche informiert wird. Interessant war auch die Kulturchronik, auch wenn ich es bei der Beschreibung der Performances im Museum für Gegenwartskunst noch etwas konkreter gehabt hätte, also mit mehr Beispielen.



    Hochinteressant fand ich auch die Ausführungen über die Bansky-Familie und ihre Residenzen. Darüber könnte man ja mehrere Folgen der Rubrik Radio Tour“ gestalten. Natürlich würde ich auch gerne etwas mehr zur Geschichte und Bedeutung dieser Adelsfamilie für Rumänien hören. Wurden die Banskys von den Kommunisten enteignet, haben sie einige ihrer Besitztümer zurück erhalten und was ist aus ihnen geworden? Leben sie heute wieder in Rumänien?



    Unterhaltsam war die rumänische Hitparade, auch wenn die Erläuterungen zu den Interpreten und dem Inhalt der Songs etwas sparsam ausfielen.



    Etwas kurz und zu kompliziert wurde auch der Prozess der Entstalinisierung in Rumänien nach Stalins Tod geschildert. Das kann aber auch daran liegen, dass man die genannten Politiker und deren Rolle in der Partei nicht kennt.



    Pessimistisch, was die Wirtschaftslage Rumäniens angeht, war das abschlie‎ßende Wirtschaftsmagazin. Aber immerhin wurde nichts beschönigt. Dass die Lage in den Regionen Rumäniens sehr unterschiedlich ist, kann ich verstehen. Der Osten scheint wohl besonders benachteiligt zu sein, während im Banat und in Siebenbürgen Fortschritte zu verzeichnen sind.




    Vielen Dank für das ausführliche Feedback, lieber Herr Andorf. In der Tat ist der Beitrag über die Entstalinisierung nach Stalins Tod nicht leicht nachzuvollziehen, wenn man die Protagonisten und ihre Rolle in der Geschichte des Landes nicht versteht. Etwas vereinfachend dargestellt ging es um folgende Umstände: Gheorghe Gheorghiu-Dej, der Vorgänger Ceauşescus, war im Grunde ein stalinistischer Hardliner. So hat er auch das Vertrauen der Sowjets gewonnen, die 1958 ihre Truppen aus Rumänien zurückzogen. Nach seinem Tod begann ein Machtkampf um die Nachfolge im Amt des Generalsekretärs der Kommunistischen Partei. In Moskau wehte mit Nikita Chruschtschow schon seit Jahren der Wind der Reformen, also pushten ältere Parteigenossen in Bukarest den damals jungen Ceauşescu in den Vordergrund. Ob er tatsächlich als Hoffnungsträger galt oder ob die Drahtzieher dachten, dass sie ihn als Strohmann manipulieren könnten, lässt sich heute nicht genau sagen, vermutlich war es eine Mischung aus beidem. Auf jeden Fall waren die ersten Jahre der Ceauşescu-Ära von einer tatsächlichen Öffnung und Auflockerung der Diktatur geprägt. Seine relativ liberale Einstellung und die antisowjetische Gesinnung Ceauşescus — er verurteilte z.B. die Niederschlagung des Prager Frühlings 1968 — brachte ihm die Sympathie des Westens ein, was er später ausnutzte, um im Land einen neostalinistischen Kurs und den Personenkult einzuführen.



    Was die ungarische Adelsfamilie siebenbürgischer Herkunft anbelangt, so hei‎ßt sie nicht Bansky, sondern Bánffy. Bekannt ist in Rumänien ihre ehemalige Residenz in Bonţida (ung. Bonchida, dt. Bonisbruck) im Landkreis Klausenburg in Westsiebenbürgen. Bekannt auch als das Versailles Siebenbürgens ist das Schloss bauhistorisch eine Mischung aus Renaissance, Barock und Neoklassik. Seit 1387 befand sich das Schloss im Besitz der Bánffys. Während des Zweiten Weltkriegs wurde das Schloss als Feldlazarett genutzt, 1944 wurde es von deutschen Truppen auf ihrem Rückzug ausgeraubt und in Brand gesteckt. So wurden das gesamte Mobiliar, eine berühmte Porträtgalerie und die Bibliothek zerstört. Eigentümer des Schlosses war damals der Graf Miklós Bánffy, der 1943 in Bukarest versucht hatte, die rumänischen und ungarischen Bestrebungen zusammenzubringen, die Achsenmächte zu verlassen. Historiker vermuten, die Zerstörungsaktion der deutschen Truppen sei eine aus Berlin angeordnete Vergeltungsma‎ßnahme gewesen. Bei der Eroberung Ungarns durch die sowjetischen Truppen 1944 flohen seine Frau und Tochter nach Budapest, während Bánffy auf seinem Besitz in Siebenbürgen blieb. Er wurde dort enteignet und konnte 1949 nach Ungarn emigrieren.



    Nach dem Krieg wurde im kommunistischen Rumänien eine LPG im Schloss eingerichtet. Das Schloss wurde jahrzehntelang unsachgemä‎ß behandelt und dem Verfall preisgegeben. Das Kunstmuseum im nahe gelegenen Klausenburg schaffte es in den 1960er Jahren, zumindest die Statuen aus dem ehemaligen Barock-Park zu retten und im Museum unterzubringen, wo sie heute noch zu sehen sind. Der Denkmalschutz hat damals sogar eine Restaurierung versucht, die Behörden haben allerdings die beantragten Zuwendungen abgelehnt.



    Nach der Wende wurde das Schloss den Bánffys zurückerstattet, heutige Besitzerin ist die Gräfin Katalin Bánffy, Tochter des Miklós Bánffy, die in Marokko lebt. 2008 hat sie eine 49-jährige Konzession mit der Stiftung Transylvania Trust abgeschlossen, dafür soll die Stiftung das Schloss sanieren und anschlie‎ßend dort ein Kulturzentrum betreiben. Doch auch noch im Ruinenzustand zieht das Schloss zahlreiche Besucher an, u.a. weil dort alljährlich ein Festival für elektronische Musik unter dem Namen Electric Castle veranstaltet wird.



    Ich hoffe damit, Ihre Fragen zufriedenstellend beantwortet zu haben, lieber Herr Andorf.




    Zeit noch für eine kurze Zuschrift. Dieter Feltes (aus Pyrbaum, Oberpfalz) meldete sich unlängst ebenfalls per E-Mail:



    Sehr geehrte Damen und Herren!



    Vielen Dank für die ausführlichen Neuigkeiten aus Ihrem Land.



    Der Empfang Ihrer Sendungen ist bei mir immer gut. Gerne höre ich die Frühsendung, auch wenn sie vom Vortag ist.



    Auch bei Ihnen ist die Grippe auf dem Vormarsch. Die Wartezimmer bei unseren Ärzten sind mit Grippepatienten überfüllt. Ich habe mich mit meiner Frau schon vor Wochen impfen lassen, zumal im gewissen Alter die Anfälligkeit hoch ist. Mittlerweile bin ich 70 und gehe stark auf die 71 zu.



    Ich wünsche Ihnen alles Gute und verbleibe mit den besten Grü‎ßen



    Ihr Hörer


    Dieter Feltes




    Lieber Herr Feltes, vielen Dank für Ihre Zeilen, auch Ihnen die besten Grü‎ße aus Bukarest, viel Gesundheit und mögen Sie noch lange unsere Programme hören!



    Damit Zeit für die Postliste: Den Briefestapel von vergangener Woche knüpfe ich mir kommende Woche vor, da es im Vorfeld der Leipziger Messe viel zu tun für mich gab und ich noch nicht dazu kam.



    E-Mails erhielten wir bis einschlie‎ßlich Freitagabend von Ratan Kumar Paul (Indien), Dmitrij Kutusow (RU) sowie von Dieter Feltes, Petra Kugler, Willi Seiser, Andreas Mücklich, Rudolf Stöger und Alexandru Bușneag (D).




    Audiobeitrag hören:




  • Bánffy-Schloss in Bonţida: „Electric Castle“ und mehr

    Bánffy-Schloss in Bonţida: „Electric Castle“ und mehr

    Wir reisen heute in den Westen Rumäniens und besuchen eine Ortschaft, die knapp 35 Km von Cluj (dt. Klausenburg) entfernt liegt. Die Ortschaft ist bekannt dank eines der bedeutendsten Festivals für elektronische Musik weltweit — Electric Castle“. Die Gemeinde hei‎ßt Bonţida. Sie ist klein und kokett. Ein Spaziergang durch die Stra‎ßen von Bonţida verwandelt sich mit Leichtigkeit in eine faszinierende Reise in die Vergangenheit. Wie in vielen rumänischen Dörfern gibt es auch hier schöne Kirchen. Eine davon stammt sogar aus dem 13. Jahrhundert. Allerdings ist das Architekturjuwel des Ortes das Schloss Bánffy. Es ist übrigens auch der Ort, wo die meisten spannenden Veranstaltungen organisiert werden, unter anderem auch das früher erwähnte Festival für elektronische Musik Electric Castle. Früher als das Versailles Siebenbürgens betrachtet, wurde das Schloss Bánffy in Bonţida in mehreren nacheinander folgenden Etappen gebaut. Die Bauarbeiten begannen im 16. Jahrhundert und endeten erst im 19. Jahrhundert. Am Schloss werden vorwiegend zwei Baustile erkannt — die Renaissance und der Barock. Mehr Einzelheiten dazu bringt Timea Berki, die Programmleiterin der Stiftung Transylvania Trust, die sich um die Sanierung des Denkmals kümmert:



    Das Schloss ist ein historisches Denkmal. Vermutlich kennen es die inländischen Touristen viel mehr als eine Ruine. Denn nach der Wende sind viele Schlösser vernachlässigt worden, weshalb sie ungepflegt aussahen. Dennoch ist es ein öffentlich zugängliches historisches Denkmal. Viele wissen nicht, dass das Schloss täglich besucht werden kann. Der Eintritt kostet nur 3 Lei (umgerechnet 80 Eurocents). Der Betrag ist gering, hat vielmehr einen symbolischen Wert. Die im Inneren des Schlosses ausgehängten Informationsschilder enthalten Informationen in drei Sprachen über das Denkmal sowie über die Familie Bánffy, die das Schloss besitzt.“




    Die Stiftung Transylvania Trust verwaltet das Schloss seit mehr als 15 Jahren. Es sei eine wichtige historische Stätte und gleichzeitig das grö‎ßte Schloss in Siebenbürgen, so Timea Berki, Programmleiterin bei der Stiftung Transylvania Trust:



    Der letzte Bewohner des Schlosses, Graf Miklós Bánffy, war ein kulturinteressierter Mensch. Er war auch Schriftsteller, schrieb, unter anderem, die »Siebenbürgische Trilogie« (rum. »Trilogia transilvană«), ein Buch über den Adel in Siebenbürgen und Ungarn zu Beginn des 20. Jahrhunderts. Das Buch wurde von der Tochter des Grafen, Katalyn Bánffy, kurz nach seiner Herausgabe ins Englische übersetzt. Auf diesem Wege erreichte es viele Menschen, vor allem im Ausland. Heutzutage besuchen uns ausländische Touristen, die eben auf der Suche nach den im Buch beschriebenen Ortne sind. Ende letzten Jahres beendete Marius Tabacu, der Leiter der Philharmonie in Cluj (Klausenburg), die Übersetzung des Buches ins Rumänische. Wir warten gespannt darauf, dass das Buch auch in rumänischer Sprache veröffentlicht wird. Demnach werden auch inländische Touristen den Roman lesen können und vielleicht haben sie dann Lust, unsere schöne Umgebung zu besuchen.“




    Im Schloss Bánffy werden zahlreiche Veranstaltungen organisiert, so Timea Berki:



    Als wir im Jahr 2000 mit der Schlosssanierung begannen, überlegten wir, die bereits sanierten Räume sowie die Räume, bei denen Rennovationsarbeiten noch im Gange waren, für verschiedene Veranstaltungen zu verwenden. Anfangs organisierten wir die Tage des Schlosses Bánffy Ende August. Sie wurden zur Tradition in der Gemeinde Bonţida und in der Umgebung von Cluj (Klausenburg). Danach starteten wir eine Initiative in Zusammenarbeit mit den Schulen vor Ort — wir veranstalteten einen Festtag für Kinder. Im April und September, anlässlich des Internationalen Tages der Denkmäler und historischen Residenzen bzw. der Europäischen Tage des Kulturerbes, organisieren wir den Tag der offenen Türen im Schloss. Wir arbeiten auch mit verschiedenen Organisationen zusammen, die ihr Interesse bekunden, im Schloss ein Event zu organisieren. Im Rahmen des Internationalen Filmfestivals Transilvania (TIFF) finden im Schloss mehrere Film-Projektionen statt. Und zu guter Letzt beherbergt das Schloss das berühmte Festival für elektronische Musik »Electric Castle«. Dank dieses Musikfestes sind wir weltweit bekannt geworden. Ein wichtiger Teil unserer Arbeit ist die Restaurations-Werkstätte, die wir als Teil unseres Bildungsprogramms organisieren. Denn wir fördern die Bildung durch Restauration und die Restauration durch Bildung. Dieses Projekt wurde im Jahr 2008 mit dem Preis »Europa nostra« ausgezeichnet.“




    Das wichtigste Ziel der Stiftung ist die Restauration des Schlosses. Die Sanierung ereignet sich durch die aktive Teilnahme von Freiwilligen, die an den Restaurations-Werkstätten mitmachen. Die ehemalige Küche des Schlosses wurde schon restauriert. Derzeit gibt es hier ein Kulturcafé, in dem sich die Touristen einen leckeren Kaffee gönnen können. Darüber hinaus haben sie Zugang zu den Publikationen der Stiftung über die Geschichte des Schlosses und den aktuellen Veranstaltungen.

  • Castelul Banffy

    Castelul Banffy

    Ne îndreptăm azi spre vestul ţării, către o comună situată la doar 35 de km de muncipiul Cluj-Napoca, cunoscută pentru unul dintre cele mai importante festivaluri de muzică electronică din lume: Electric Castle. Comuna se numeşte Bonţida, este mică şi cochetă, iar o plimbare pe străzile de acolo poate deveni o fascinantă călătorie în timp. Are biserici frumoase, dintre care una datează chiar din secolul al XIII-lea. Însă bijuteria arhitectonică şi locul în care au loc cele mai interesante evenimente, inclusiv festivalul de muzică electronică amintit, este castelul Bánffy. Considerat cândva Versailles-ul Transilvaniei, castelul Bánffy de la Bonţida s-a construit în etape succesive începând din secolul XVI-lea, atingând forma finală în secolul al XIX-lea. Perioadele stilistice cele mai pregnante sunt renaşterea şi barocul. Cu amănunte, Berki Timea, directoare de programe la fundaţia Transylvania Trust, cea care se ocupă de reabilitarea monumentului. Acest castel, monument istoric, poate că le este cunoscut mai ales turiştilor din ţară ca o ruină, ca majoritatea castelelor abandonate şi neîngrijite după schimbarea de regim de la sfârşitul secolului al XX-lea. Totuşi, este un monument istoric deschis vizitatorilor. Lumea nu ştie că poate veni în fiecare zi la castel. Biletul de intrare costă trei lei. Deci, e o sumă minimă, simbolică. Panourile din incintă conţin informaţii în trei limbi despre istoria monumentului şi despre familia Banffy, care deţine acest castel.



    Fundaţia Transylvania Trust este cea care administrează castelul de mai mult de 15 ani. Este un sit istoric foarte important şi cel mai mare castel din Transilvania, spune Berki Timea, director de programe la fundaţia Transylvania Trust. Totodată, ultimul locuitor al castelului, contele Miklós Bánffy a fost un om de cultură deosebit, a fost scriitor, autorul Trilogiei transilvane, o carte despre aristocraţia din Transilvania şi din Ungaria, de la începutul secolului XX. Acest volum a fost tradus de fiica contelui, de Katalyn Banffy în limba engleză, la scurt timp de la apariţie. Astfel, a ajuns la foarte multă lume, mai ales din străinătate, iar astăzi ne calcă pragul turişti care caută exact acele locuri descrise în trilogie. Din fericire, la sfârşitul anului trecut, Marius Tabacu, directorul Filarmonicii din Cluj, a reuşit să finalizeze traducerea în limba română. Aşteptăm în curând lansarea cărţii şi în limba română. Astfel, turiştii din ţară vor putea citi romanul, după care vor putea veni şi admira acest loc.


    Foarte multe evenimente au loc la castelul Banffy, continuă Berki Timea. Noi, chiar de la început, când am lansat proiectul de restaurare a castelului, ne-am gândit în aşa fel, foarte ciudat la vremea aceea, în anii 2000, să şi folosim spaţiile în curs de restaurare sau deja restaurate. Astfel, am început să organizăm Zilele castelului Banffy, la sfârşitul lunii august. Acestea au devenit o tradiţie importantă atât în viaţa satului Bonţida cât şi în regiunea Clujului. Apoi, am contactat şcolile din regiune şi am organizat Ziua patrimoniului pentru copii. Organizăm Zilele deschise ale castelului în lunile aprilie şi septembrie, cu ocazia Zilei monumentelor istorice sau a Zilei patrimoniului european. Pe parcursul a 15 ani, am fost, de asemenea, contactaţi de alte organizaţii, care şi-au adus aici propriile evenimente. De exemplu, la castel se organizează diferite conferinţe, seminarii sau tabere de vară. De mai mulţi ani, TIFF-ul (Festivalul Internaţional de Film Transilvania) e prezent la castel organizând diverse proiecţii. Nu în ultimul rând, găzduim Electric Castle, un important festival de muzică electronică. Acesta ne-a făcut cunoscut în toată Europa şi chiar în toată lumea. Totodată, importante sunt şi Taberele de restaurare care se organizează la castel. Ele fac parte din programul educaţional al fundaţiei noastre şi promovăm educaţia prin restaurare şi restaurarea prin educaţie. Pentru acest program, în 2008, am primit premiul Europa nostra.



    Cel mai important plan al fundaţiei este restaurarea castelului. Acesta se derulează prin participarea activă a voluntarilor din taberele de restaurare. Restaurarea fostei bucătării a castelului s-a terminat. Aici funcţionează o cafenea culturală. Iată, aşadar, turiştii care vin la Bonţida, pot bea o cafea având acces la publicaţiile fundaţiei despre istoria castelului şi despre programele organizate.