Al 63-lea Congres al Societății Naționale de Cardiologie, unul dintre cele mai importante din România, are loc la Sinaia, în perioada 18-21 septembrie 2024. La el s-au înscris peste 3000 de medici care audiază comunicările a 300 de lectori din România și din străinătate. Între conferențiari se numără prof. univ. dr. habil. Florin Mitu de la Clinica de Recuperare Medicală Cardiovasculară-Iași.
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Congresul Inimii
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« 100 cœurs pour 100 enfants »
Intitulé « 100 cœurs pour 100 enfants », le projet contribue activement à sauver des vies.Dans les minutes suivantes, Cristian Grasu du ministère roumain de la Santé parle de la collaboration entre les institutions publiques et européennes afin de faciliter la mise en œuvre des projets dans le domaine sanitaire : « On déploie des efforts considérables, on cherche partout du soutien et du financement et la Commission européenne nous aide à chaque fois, je dirais même plus qu’elle ne le faisait lors du précédent exercice budgétaire. Le projet « 100 cœurs pour 100 enfants » prouve que la Roumanie peut elle aussi mettre à profit l’argent européen. D’ailleurs, ce projet n’est pas l’unique exemple en ce sens. Je pourrais vous parler d’autres initiatives aussi – certaines ayant reçu des fonds européens, d’autres fondées sur le bénévolat, mais toutes censées déboucher sur le même résultat final : sauver des vies et guérir des malades. A l’heure où l’on parle, le faible niveau d’investissements dans les infrastructures rend les Roumains mécontents du niveau qualitatif et quantitatif des services de soins qu’ils se voient offrir. Nous avons un manque sérieux d’infrastructure et il suffit de penser au fait que le dernier hôpital public construit par la Roumanie date de 1981. Depuis, un seul bâtiment médical a vu la lumière du jour, à Iasi. Tous les autres établissements sanitaires datent des années 1970 ou même d’avant. Certains sont classés monuments historiques ».
Le médecin Vlad Mixich, journaliste santé, a tiré la sonnette d’alarme quant à l’un des paradoxes qui caractérise notre système médical : « Parmi les principales causes de mortalité infantile en Roumanie, il convient de mentionner les malformations cardiaques congénitales. D’ailleurs, je vous invite à remarquer que chez nous, on parle très peu de la mortalité infantile – une fois par an tout au plus, à l’occasion d’une statistique ou d’un sujet qui fait débat dans la presse et qui déplore la situation. Or, on assiste à un véritable paradoxe : même si la Roumanie reste le pays de l’UE à afficher le taux le plus important de mortalité infantile, ses efforts de réduire cette mortalité depuis 1990 et jusqu’à présent sont – et les statistiques le confirment – parmi les plus à succès jamais déployés par la médecine roumaine. Car, même si elle est toujours en queue du peloton européen, la Roumanie s’enorgueillit d’afficher aussi une des baisses les plus significatives du taux de mortalité parmi ses enfants. C’est une chute importante intervenue dans un bref délai. Finalement, on assiste à une amélioration de la situation, beaucoup plus évidente que dans d’autres pays qui se confrontent au même problème ».
Sur l’ensemble des causes qui ont contribué à diminuer le taux de mortalité infantile figure aussi le projet « 100 cœurs pour 100 enfants ». Pour plus de détails, nous avons invité au micro le professeur des universités Grigore Tinica, qui dirige l’Institut des maladies cardiovasculaires Professeur George I. Georgescu de Iasi. Quand il a décidé de s’impliquer dans ce projet européen supposant des stages de perfectionnement à l’étranger, il a conditionné sa participation d’un nombre d’interventions chirurgicales réalisées une fois rentré en Roumanie. Dans un premier temps, le projet devait mener à une centaine d’opérations, mais le chiffre a été largement dépassé. Le docteur Grigore Tinica : « En Roumanie, entre 1500 et 2000 nouveau-nés par an ont une malformation cardiaque. Sur ce total, huit à neuf cents devraient se faire opérer durant leur première année de vie. Or pour l’instant, on n’arrive à faire opérer que 250 à 300. Nous avons beaucoup d’enfants non opérés âgés actuellement de 10, 11, 12 voire même 15 ans, certains même adultes. Du coup, à l’heure où l’on parle, la Roumanie recense presque un millier de cas d’anomalies congénitales que l’on devrait opérer. Nous avons plusieurs centres où de telles interventions sont possibles. Mais il convient de préciser que la chirurgie cardiovasculaire est beaucoup plus difficile dans le cas des bébés car un nouveau-né constitue un univers totalement différent ».
Le ministère peut mener des politiques, accéder à des fonds, même changer des mentalités. Pourtant, c’est au personnel sanitaire de mettre en place de tels projets, épaulé souvent par la société civile. Un tel exemple est représenté par l’Association Le cœur des enfants dont le principal but est de se battre pour aider les enfants malades, notamment ceux souffrant de cardiopathies congénitales. Son président, Alexandru Popa, affirme : « Nous avons décidé de soutenir la chirurgie cardiaque car en 2006, année de notre naissance, les anomalies congénitales du cœur figuraient en première position dans le classement des principales causes non accidentelles de mortalité infantile en Roumanie. Depuis, les choses ont légèrement changé. Je dis légèrement car on recense toujours un nombre important d’enfants qui meurent d’anomalies cardiaques soit parce qu’on a du mal à les diagnostiquer correctement, soit parce que l’on n’intervient pas à temps ou parce que les parents ne savent pas comment s’y prendre. On espère voir cette situation changer. En tant qu’association, on a essayé de soutenir activement tous ces centres plutôt que de nous concentrer sur des cas individuels, même si on a du mal à refuser les gens. Grâce à différentes sponsorisations ou donations individuelles, on est arrivé à financer à hauteur de 4 millions d’euros différents projets d’infrastructure dans le système de santé publique. Et on ne s’arrête pas là ».
Bien que couronné de succès, comme le prouvent les nombreuses interventions chirurgicales réalisées sur des bébés âgés, parfois, de deux semaines à peine, le projet se heurte malheureusement à des tas de difficultés.
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Jurnal românesc – 2.02.2016
Călătoriile fără viză în SUA rămân un obiectiv îndepărtat pentru români. Ambasadorul SUA la Bucureşti nu crede că România are şanse să fie acceptată anul acesta în programul Visa Waiver. Hans Klemm a explicat că legea americană cere ca participanţii la programul Visa Waiver să aibă o rată de refuz nu mai mare de 3%. Deşi evoluţia este în direcţia bună, rata de refuz este încă în mod considerabil mai mare, iar contextul politic nu este favorabil modificării legii astfel încât procentul minim să fie crescut. Practic, singurul impediment este faptul că, în prezent, în România, 10% din solicitările de viză sunt respinse, pentru că toţi ceilalţi paşi din procedura de intrare în programul Visa Waiver au fost făcuţi, spune ambasadorul american. În opinia sa, soluţia ar fi ca românii să se informeze corect asupra cerinţelor şi să ştie înainte de a aplica pentru viză dacă se califică sau nu pentru obţinerea ei.
Deputaţii şi senatorii români s-au întors, de luni, la lucru, în prima sesiune parlamentară pe 2016 şi penultima din mandat. Printre priorităţile parlamentarilor se numără modificările la Codul penal şi Codul de procedură penală, noua lege a salarizării publice, cea a adopţiei, a prevenţiei în sănătate, cea referitoare la conversia creditelor în valută sau privind creşterea transparenţei publice. Sesiunea are loc sub semnul alegerilor locale din iunie şi al parlamentarelor de la sfârşitul anului.
Muzeul Naţional de Istorie a României (MNIR), care are în colecţiile sale aproximativ 750.000 de piese, reunind cele mai importante descoperiri arheologice şi documente istorice din ţară, a lansat, luni, un concurs internaţional pentru reabilitarea sediului său din Bucureşti. Începerea lucrărilor de consolidare a sediului MNIR se numără printre priorităţile strategice ale Ministerului Culturii în 2016, iar concursul de proiecte este organizat sub egida Uniunii Internaţionale a Arhitecţilor. În toamnă va începe proiectarea, în 2017 va avea loc execuţia, iar recepţia finală ar urma să aibă loc în 2021. Conducerea spune că în paralel cu relocarea patrimoniului, a depozitelor şi a laboratoarelor de cercetare şi restaurare, se vor căuta soluţii pentru menţinerea expoziţiilor temporare din patrimoniul Muzeului Naţional de Istorie a Romaniei.
În România, hipertensiunea arterială poate fi diagnosticată şi cu ajutorul telefonului mobil. Societatea Română de Cardiologie a lansat o aplicaţie gratuită care le permite celor care au un tensiometru electronic să afle dacă tensiunea lor se menţine în valori normale. Dacă valorile întregistrate nu sunt în parametri normali, utilizatorul este avertizat că trebuie să consulte un medic. Aplicaţia face parte din programul de autodiagnostic al hipertensiunii arteriale şi se adresează în special celor cu vârste între 16 şi 45 de ani, tot mai predispuşi la boli cardiovasculare. Potrivit statisticilor, peste 40% dintre români suferă de hipertensiune arterială, iar mai mult de 60% din decese sunt cauzate de această afecţiune.
Tot mai mulţi români profită de ofertele early booking şi îşi caută sejururi exotice pentru concediile pe care şi le-au programat în prima jumătate a acestui an. Astfel, numărul acestor pachete vândute în luna ianuarie a crescut cu circa 40% faţă de aceeaşi lună din 2015, potrivit agenţiei online Paravion. Conform sursei citate, circa 60% din totalul vânzărilor de astfel de pachete au fost generate de destinaţiile exotice, restul rezervărilor fiind făcute pentru vacanţe clasice de vară. Destinaţii precum Maldive, Punta Cana, Tenerife sau Cancun, care costă cel puţin 2.000 de euro/pachet, sunt rezervate prin early booking, preţurile fiind cu până la 25% mai mici. În ceea ce priveşte metoda de plată, de regulă, clienţii optează pentru plata unui avans cuprins între 30% – 50%.