Tag: classement

  • La Transylvanie, en tête du classement des meilleures destinations touristiques

    La Transylvanie, en tête du classement des meilleures destinations touristiques

    Un des guides touristiques les plus prestigieux, Best Travel in 2016, publié par Lonely Planet, a dressé une liste de 10 régions à travers le monde qui méritent d’être visitées cette année. En tête de la liste, on retrouve la province roumaine de Transylvanie, avec ses atouts: traditions, nature, gastronomie, festivals, itinéraires de randonnées, j’en passe et des meilleurs.

    Peter Suciu, guide – accompagnateur pour la région de Transylvanie et membre de l’Association Mioritics, précise que cette contrée attire surtout par son multiculturalisme : La Transylvanie, région située à l’intérieur de l’arc carpatique, est habitée par au moins six groupes ethniques différents. Roumains, Magyars, Sicules, Saxons, Arméniens et Roms y cohabitent depuis des siècles. L’empreinte de cette mosaïque culturelle est plus évidente en milieu rural. Là, les coutumes et traditions spécifiques de chaque ethnie sont soigneusement préservées. Je mentionnerais, à titre d’exemple, la fête saxonne des masques, connue sous le nom de Lole, célébrée chaque février à Agnita ou bien celle que l’on appelle « La Couronne des Saints Apôtres Pierre et Paul ». En plus, ce monde garde le modèle d’organisation dit du voisinage, qui repose sur le principe d’entraide.

    Peter Suciu brosse le tableau du village transylvain : C’est un mélange d’espace naturel et d’habitat humain gouverné par des règles très claires. On a affaire au type de village groupé. Les maisons, séparées de larges espaces, sont soigneusement alignées, les constructions attenantes étant disposées derrière. L’occupation principale des villageois est l’élevage.

    Les métiers artisanaux sont toujours exercés dans les villages transylvains, même si les artisans ne sont plus tellement nombreux que par le passé, ajoute le guide accompagnateur Peter Suciu : «Dans les Pays des Saxons et des Sicules, on peut toujours rencontrer des forgerons, des tisserands, comme par exemple dans le village de Mălâncra, des fourreurs, comme celui de Malţâna. Le village de Corund s’enorgueillit de ses chapeliers et de leur savoir- faire inédit, car il se servent d’une matière première végétale, à savoir un champignon des bois. »

    Depuis 10 ans qu’il est guide touristique, Peter Suciu a réussi à changer l’image avec laquelle les touristes arrivaient en Roumanie. A chaque fois ils ont été impressionnés par le paysage, par les églises fortifiées si bien conservées, par les objets d’art traditionnels, par les coutumes. Et par la cuisine transylvaine: « La cuisine séduit justement par son côté multiculturel. Tous les groupes ethniques ont appris les uns des autres et ont partagé leur connaissances en matière de gastronomie. Dans la cuisine transylvaine la plupart des plats sont à base de viande. La cuisine roumaine a emprunté des plats saxons, à base de viande de porc et de bœuf, des plats hongrois, très épicés. S’y ajoute le raffinement des sucreries, héritage de l’Empire austro-hongrois. Enfin, pour assaisonner un tel repas, on utilise la « palinca », une eau-de-vie à forte teneur en alcool. De ce mélange est née une cuisine je dirais spectaculaire. »

    Ionuţ Bordea, biologiste et guide spécialisé dans les habitats naturels, la flore et la faune des zones de montagne, explique la signification de ce toponyme : la Transylvanie, qui signifie « la contrée au-delà des forêts »: « Y sont à retrouver des habitats forestiers d’une grande diversité, les forêts des Carpates abritant les plus importantes populations de grands prédateurs d’Europe: différentes espèces de loup, d’ours et le lynx. Dans l’ouest de l’Europe, ces espèces ont disparu. Rappelons aussi les paysages pastoraux. Dans la région de Sighişoara – Târnava Mare, par exemple, ont rencontre les derniers paysages d’Europe situés à moins de 800 mètres d’altitude. Dans le reste de l’Europe ils ont disparu à cause de l’agriculture intensive. Sur les prés on rencontre différentes espèces d’orchidées ou d’autres fleurs rares. D’où l’intérêt de l’UE pour la protection de cette région de Sighişoara – Târnava Mare, intégrée au réseau écologique européen des sites Natura 2.000. »

    La Fondation ADEPT de Roumanie se propose de protéger les écosystèmes pastoraux si importants de Transylvanie. Elle a son siège à Saschiz et elle procédé au balisage d’un réseau d’itinéraires de randonnée reliant les villages saxons entre Viscri et Biertan. Ionuţ Bordea, biologiste et guide, explique : « Il existe également des itinéraires balisés pour cyclistes, le plus connu étant probablement reliant les localités de Meşendorf et de Criţ. On peut également opter pour des itinéraires circulaires d’un jour et faire le tour d’un village. Si vous choisissez un hébergement à Viscri, pensez à réserver plusieurs jours pour visiter les villages situés à proximité. Au siège de la fondation ADEPT de Saschiz fonctionne un centre d’information qui met à la disposition des touristes des matériels en roumain, anglais, allemand et français. A mon avis, le meilleur ambassadeur de cette région est le prince Charles, qui a beaucoup contribué à la promouvoir. Les touristes peuvent également suivre la série de documentaires Wild Carpathia, qui offrent beaucoup d’informations sur cette zones, une des dernières zones sauvages d’Europe. » ( Trad. Mariana Tudose, Dominique)

  • 30.10.2015 (mise à jour)

    30.10.2015 (mise à jour)

    Enquête — L’ex-président roumain Traian Basescu peut être poursuivi dans le dossier de l’enlèvement des journalistes roumains en Irak en 2005, ont décidé vendredi les magistrats de Bucarest. Il est accusé d’abus de fonction et de conflit d’intérêts. Ce dossier a été ouvert suite au dépôt au Parquet général en 2009 d’une plainte pénale par l’ex leader du Parti de la Grande Roumanie Corneliu Vadim Tudor, qui accusait Traian Basescu et son ex-ministre de l’Intérieur, actuellement co-président libéral, Vasile Blaga, d’avoir volé 4 millions de dollars, qui constituaient une partie de la rançon payée par l’Etat roumain pour la libération de trois journalistes enlevés en Irak. Les procureurs ont précisé que dans le cas de Vasile Blaga, le dossier avait été fermé en 2010 par une ordonnance de non-lieu. De l’avis de Traian Basescu, les accusations sont ridicules et le dossier dans son entier n’est qu’un coup dur infligé à l’image de la Roumanie.



    Corruption — Le Tribunal de Bucarest a rejeté vendredi la demande de la Direction nationale anti – corruption de placer en détention provisoire pour 30 jours Gheorghe Nichita, le maire suspendu de Iaşi (ville du nord-est de la Roumanie), accusé de perception de pots-de-vin. Dans le même dossier, l’instance judiciaire a décidé de l’assignation à résidence de l’homme d’affaires Tiberiu Urdăreanu. Les deux font l’objet d’une enquête concernant l’attribution d’un contrat de plus de 15 millions d’euros de fonds européens. La décision du Tribunal n’est pas définitive.



    Classement — La Roumanie occupe la deuxième place, après la Pologne, parmi les pays d’Europe centrale et de l’Est, dans l’étude élaborée par le cabinet d’audit et de conseil Deloitte. Celle-ci hiérarchise les entreprises dans le champ de la technologie avec les taux de croissance des recettes annuelles les plus élevés au cours des quatre dernières années. Les 10 compagnies roumaines qui se retrouvent dans ce classement ont enregistré un taux de croissance moyen supérieur à 500%. La plupart d’entre elles sont spécialisées dans la création de logiciels. La mieux classée occupe la 6e place et offre des services pour le paiement en ligne. Dans ledit classement figurent 50 sociétés de 9 pays: Pologne, Roumanie, Croatie, République Tchèque, Slovaquie, Hongrie, Bulgarie, Lituanie et Serbie.



    Danube — Le ministre roumain des affaires étrangères, Bogdan Aurescu, a déclaré vendredi, lors de la 4e édition du Forum annuel de la Stratégie de lUE pour la région du Danube, accueilli par la localité allemande d’Ulm, qu’il était nécessaire de passer à la mise au point des mécanismes de gestion de cette stratégie. L’officiel roumain a également attiré l’attention sur le fait que, par son approche macro-régionale, ladite stratégie est un instrument important qui permet d’identifier des solutions viables. Le Forum d’Ulm a réuni cette année plus de 1.100 participants des 14 Etats concernés par cette stratégie.



    OTAN — Neuf pays d’Europe Centrale et de l’Est participeront le 4 novembre à Bucarest à un sommet en présence de l’adjoint au secrétaire général de l’OTAN, Alexander Vershbow. Celui-ci a récemment déclaré qu’il existe une série de risques lorsque la Russie s’engage dans des opérations près du territoire de l’Alliance. Le président roumain Klaus Iohannis qui sera hôte du sommet a annoncé que les participants devraient lancer un message commun au sujet de l’adaptation de l’Alliance de l’Atlantique Nord aux conditions actuelles de sécurité.



    Moldova — Le président de la République de Moldova, Nicolae Timofti, a désigné vendredi le vice-premier ministre libéral Gheorghe Brega au poste de premier ministre par intérim, après que le cabinet du libéral-démocrate Valeriu Streleţ eut été démis la veille par le Parlement de Chişinău. Selon Radio Chişinău, Brega a déclaré que la priorité de son pays était la formation d’un gouvernement pro-européen, le plus tôt possible. L’UE a fait savoir qu’elle suivait de près les évolutions politiques en République de Moldova. Dans une déclaration du bureau de presse de la chef de la diplomatie européenne, Federica Mogherini, Bruxelles demande aux hommes politiques moldaves de constituer au plus vite « un nouvel Exécutif stable ». Le nouveau cabinet devrait combattre la corruption, résoudre la crise financière et négocier avec le FMI « un accord crucial qui garantisse la stabilité macro économique du pays » — précise encore le document.




  • Le classement des compagnies publiques roumaines

    Le classement des compagnies publiques roumaines

    Le ministère des Finances de Bucarest vient de publier son rapport sur l’activité déroulée en 2014 par les compagnies dont l’Etat roumain est actionnaire majoritaire ou unique. Selon le document, l’influence des 10 premières sociétés publiques sur le total général des dividendes réparties au budget d’Etat a augmenté de 2,6% l’année dernière par rapport à 2013.

    Le Complexe Energétique Oltenia, compagnie à management privé, et le Complexe Energétique Hunedoara sont deux sociétés appartenant à l’Etat qui ont enregistré les pertes les plus importantes l’année dernière. Les deux ont été créées il y a plusieurs années en regroupant plusieurs centrales thermiques du bassin de l’Olténie et respectivement de la Vallée de la rivière Jiu, avec quelques mines de lignite et de houille. Le Complexe Energétique Oltenia qui réunit les 3 plus grandes centrales thermiques du pays – à savoir Turceni, Rovinari et Craiova – ainsi que les mines de l’ancienne Société du Lignite Oltenia, a rapporté des pertes d’environ 700 millions de lei (soit 158 millions d’euros). La compagnie est également confrontée à des problèmes en justice, plusieurs dossiers ayant attiré l’attention des procureurs anti-corruption.

    Parmi les autres sociétés aux pertes significatives mentionnons la société nationale de transport aérien TAROM, la Compagnie Nationale de l’Uranium ou encore les usines aéronautiques ROMAERO. Selon le rapport, une des entreprises les plus profitables en 2014 a été le producteur d’énergie et de services hydro – énergétiques Hidroelectrica, même si la société est en situation d’insolvabilité. S’y ajoutent la Société nationale de transport du gaz naturel, Transgaz, la Loterie roumaine, le producteur d’énergie Nuclear Electrica, l’opérateur national de transport de l’énergie Transelectrica, la régie nationale des forêts Romsilva, l’Imprimerie Nationale, l’Aéroport Bucarest et le Registre Automobile Roumain.

    C’est Romgaz, le plus grand producteur de gaz naturel de Roumanie, qui reste, et de loin, la compagnie d’Etat la plus rentable. D’ailleurs, elle se classe première depuis 3 ans déjà. Son profit s’est chiffré à quelque 317 millions d’euros en 2014 et devrait augmenter à l’avenir, dans le contexte où un gisement de plus 30 milliards de mètres cubes de gaz vient d’être découvert dans le secteur roumain de la Mer Noire. Selon les compagnies responsables de l’exploitation dans zone – dont Romgaz – les travaux s’étaleront sur plusieurs années et nécessiteront des investissements de plusieurs milliards de dollars. Vu que la Roumanie consomme environ 12 milliards de mètres cubes de gaz par an, ces réserves pourraient couvrir la consommation nationale pendant 3 ans, affirment les spécialistes.

    Dans ces conditions, la Roumanie occupe une place importante sur le marché énergétique de la région et consolidera son rôle de «nœud énergétique régional » en Europe du Sud – Est et dans les Balkans Occidentaux, a affirmé le vice président de la Commission Européenne pour l’Union de l’Energie, Maros Sefčoviči. Présent récemment à Bucarest, il a mis en évidence le rôle stratégique de la Roumanie au sein de l’Union Energétique et les avantages qu’elle pourrait tirer de la valorisation de son énergie provenant aussi de sources renouvelables.

  • A la une de la presse roumaine – 17.09.2015

    A la une de la presse roumaine – 17.09.2015

    La presse en ligne continue de traiter la crise des migrants sous différents angles, mais elle informe aussi sur les forêts vierges de Roumanie, sur les universités roumaines présentes dans les classements académiques internationaux ou encore sur le nombre de touristes à avoir passé leurs vacances sur la côte roumaine de la Mer Noire.



  • 27.04.2015

    27.04.2015

    Visite – Le président de la Roumanie, Klaus Iohannis, fait, lundi et mardi, une visite officielle en Italie. A l’agenda — des discussions avec son homologue, Sergio Mattarella, la premier ministre Matteo Renzi, le président du Sénat, Pietro Grasso, ainsi qu’une rencontre avec les représentants des Roumains d’Italie. Mardi, le chef de l’Etat roumain aura un discours devant les étudiants roumains d’Italie à l’Accademia di Romania. Forte d’un million de personnes, la communauté roumaine de la Péninsule est la plus nombreuse de la diaspora. En même temps, les deux pays ont conclu un Partenariat Stratégique, l’Italie étant une des partenaires commerciaux les plus importants de la Roumanie. Depuis le début de son mandat, le 21 décembre 2014, le président Iohannis a déjà fait des visites officielles en France, Allemagne, Pologne, ainsi que dans les anciennes républiques soviétiques voisines de la Roumanie — la République de Moldova et l’Ukraine. La prochaine visite de Klaus Iohannis sera le plus probablement en Espagne, un autre pays qui accueille une importante communauté roumaine.



    Diplomatie — Le ministre roumain des Affaires Etrangères, Bogdan Aurescu, fait ce lundi une visite officielle à Oslo, à l’invitation de son homologue norvégien Borge Brende. Les débats porteront sur le renforcement de la coopération roumano — norvégienne ainsi que sur des sujets liés à l’agenda européen et à la sécurité, avec un accent mis sur les évolutions en Europe de l’Est, les préparatifs du Somment du Partenariat Oriental prévu en mai à Riga et sur la coopération entre la Roumanie et la Norvège dans le cadre de l’OTAN. A l’agenda de la visite du ministre roumain des AE à Oslo figure également une rencontre avec les représentants de la Ligue des Etudiants roumains de l’étranger.



    Moldova — Il y a 5 ans jour pour jour, la Roumanie et la République de Moldova signaient à Bucarest la Déclaration commune visant la mise en place d’un Partenariat Stratégique pour l’intégration européenne de Chisinau. Le document établit le cadre et les priorités de développement à moyen terme de la relation privilégiée entre les deux pays. Selon le ministère roumain des AE la République de Moldova a négocié, signé et démarré la mise en œuvre de l’Accord d’Association avec l’UE — document qui jette les bases d’une intégration approfondie, politique et économique, dans l’espace communautaire. Ce qui plus est, les citoyens de la République de Moldova circulent depuis une année déjà sans visa en Europe, alors que l’inauguration en août dernier du gazoduc reliant les villes roumaine de Iasi et moldave d’Ungheni rapproche davantage cette ancienne république soviétique de l’espace européen. Par ailleurs, le président du Conseil Européen, Donald Tusk, entame ce lundi une visite de 2 jours dans la capitale moldave. Ses pourparlers avec les responsables de Chisinau porteront notamment sur les réformes et la mise en œuvre de l’Accord d’Association signé par la République de Moldova avec l’UE en juin 2014.



    Automobiles — Feu vert ce lundi en Roumanie au programme Le Tacot, l’édition 2015. Les Roumains qui mettent à la casse une voiture vieille de plus de 8 ans reçoivent un ticket de 6.500 lei (l’équivalent de 1470 euros) qu’il peuvent utiliser pour s’acheter une automobile neuve. Ils peuvent tout aussi bien céder le ticket à une autre personne. Le programme «Le Tacot » bénéficie cette année de 200 millions de lei (soit 45 millions d’euros), une somme de 33% plus élevée que l’année dernière. Les autorités s’attendent à ce que 20.000 chauffeurs changent de voiture en 2015. Grâce à ce programme lancé il y a 10 ans, environ un demi-million d’automobiles anciennes ont été cassées. Ce qui plus est, le ministère roumain des Finances se propose de modifier d’ici juin le certificat vert pour les véhicules dans une tentative d’encourager la population à s’acheter des voitures moins polluantes.



    Séisme – Le séisme dévastateur qui a frappé le Népal samedi a dépassé les 3.400 morts dans ce pays, selon un nouveau bilan. Selon le ministère roumain des Affaires étrangères, 30 ressortissants roumains — touristes et alpinistes — ont été identifiés au Népal, sains et saufs. Le ministère des Affaires étrangères de Bucarest fait savoir aux citoyens roumains que les autorités népalaises ont institué l’état d’urgence et leur recommandent d’éviter les voyages dans ce pays et les régions indiennes avoisinantes.



    Tennis — La joueuse roumaine de tennis Simona Halep revient, dès aujourd’hui, à la 2e position dans la hiérarchie mondiale, qu’elle avait également occupée dans le courant de l’année dernière. Bien que dépassée, samedi, dans les demi-finales du tournoi de Stuttgart, par la Danoise Caroline Wozniacki, Simona Halep bénéficie de l’élimination, dès les 8e, de l’ancienne n° 2, la Russe Maria Sharapova, dont elle prend la place au classement mondial qui continue d’être dominé par l’Américaine Serena Williams. Chez les messieurs, dimanche, à Bucarest, les Roumains Marius Copil et Adrian Ungur se sont adjugé l’épreuve de double au BRD Năstase Ţiriac Trophy, avec des pris d’un demi-million d’euros, après avoir disposé de la paire formée de Nicholas Monroe (des Etats-Unis) / Artem Sitak (de Nouvelle Zélande). L’épreuve individuelle a été gagnée par l’Espagnol Guillermo Garcia-Lopez, qui a dépassé en finale le Tchèque Jiri Vesely.

  • A la une de la presse roumaine – 12.12.2014

    A la une de la presse roumaine – 12.12.2014

    Une 35 ème place dans le classement des pays les plus militarisés, 22 kilomètres d’autoroute en 2014 et 5 milliards d’euros de moins au budget de la DNA — à lire dans la presse de ce vendredi



  • 03.12.2014 (mise à jour)

    03.12.2014 (mise à jour)

    Budget — La partie roumaine ne formulera aucune proposition de majoration des taxes et impôts lors des discussions avec les grands bailleurs de fonds, a déclaré le ministre délégué au Budget du gouvernement roumain, Darius Vâlcov. Une mission commune d’experts du FMI et de la Commission Européenne se trouve à Bucarest jusqu’au 10 décembre pour des discussions avec les autorités roumaines au sujet du projet de la loi du budget 2015. Avant son élaboration, le gouvernement roumain a annoncé un dernier collectif budgétaire d’ici la fin de l’année.



    Economie — La Roumanie a enregistré une croissance économique de 1,8% au troisième trimestre de l’année en cours par rapport au trimestre précédent et une avancée du PIB de 2,8% sur les neuf premiers mois de l’année, selon les données préliminaires fournies ce mercredi par l’Institut national de la Statistique. Selon cette source, les contributions les plus importantes à la majoration du PIB sont dues à l’industrie – 30% du PIB et au secteur de la Communication et de l’Information – 5,2%. Par ailleurs, les intermédiations financières, les assurances et la diminution du volume des activités dans le secteur du bâtiment ont eu un impact négatif sur le PIB. Selon les données fournies à la mi-novembre par l’Institut national de la Statistique, l’économie roumaine a évité la récession technique, suite à une hausse de 0,5% du PIB.



    Corruption — Le député démocrate-libéral Cătălin Teodorescu fera l’objet de poursuites pénales sous contrôle judiciaire. La mesure du contrôle judiciaire a été imposée après que la Chambre des députés eut rejeté la demande formulée par la Direction nationale anticorruption de consentement à sa mise en détention provisoire. Par contre, les députés ont approuvé la demande similaire qui concerne un représentant de l’Union Démocratique des Magyars de Roumanie, à savoir Marko Attila. Les deux sont poursuivis dans une affaire relative au dédommagement accordé pour un terrain surévalué situé dans la capitale, Bucarest. Dans ce même dossier, l’ex procureure en chef de la Direction d’investigation du crime organisé et du terrorisme, Alina Bica, a été accusée et placée en détention provisoire. Le manque à gagner pour l’Etat roumain est estimé à plus de 60 millions d’euros.



    Classement – La Roumanie reste en 2014 aussi le pays européen le plus corrompu, selon le 20e rapport annuel de lONG Transparency International. Notre pays se situe 69ème dans le classement de 175 pays pris en compte, à égalité avec le Brésil, la Bulgarie, la Grèce, l’Italie et le Sénégal. Au niveau mondial, ce sont le Soudan, la Corée du Nord et la Somalie qui figurent en queue du classement, tandis qu’au pôle opposé se trouvent le Danemark, la Nouvelle Zélande et la Finlande. Malgré une croissance économique en flèche, la Turquie et la Chine sont confrontées, toutes les deux, à un niveau élevé de corruption, avertit Transparency International, qui insiste dans son rapport sur les difficultés auxquelles se heurtent les pays émergeants dans leur lutte contre le fléau de la corruption.



    Carburant – Selon une étude publiée par Bloomberg, la Roumanie pointe en tête de classement concernant le prix du carburant, classée 30e sur 61 pays à travers le monde. Elle est toutefois le onzième pays où lessence est la plus chère compte tenu du rapport entre le niveau de vie de ses habitants et les prix à la pompe. La Norvège est le pays en tête du classement, où lessence est la plus chère (2 euros le litre), tandis que le Venezuela est le pays où le carburant est meilleur marché, où le litre dessence ne coûterait quun centime deuro le litre. Des prix inférieurs à ceux pratiqués en Roumanie se trouvent en Bulgarie, Lituanie, Estonie et Hongrie.



    Coalition – Le chef de la diplomatie roumaine, Bogdan Aurescu, s’est entretenu mercredi à Bruxelles avec le secrétaire général de l’OTAN, Jens Stoltenberg. L’officiel roumain a déclaré que l’Alliance Nord-atlantique devait continuer à prêter attention à la sécurité dans la région de la Mer noire, y compris en poursuivant les exercices conjoints, l’échange d’informations et les évaluations. Bogdan Aurescu a également réitéré la disponibilité de Bucarest à accueillir sur le sol roumain des éléments otaniens de commandement et de contrôle. Le ministre roumain des affaires étrangères a également eu une entrevue avec son homologue français, Laurent Fabius. Les deux hommes ont décidé de la mise en place d’un mécanisme de consultations régulières entre les ministères qu’ils dirigent sur des questions européennes et de sécurité. Le ministre roumain des affaires étrangères, Bogdan Aurescu, a participé à Bruxelles à la première réunion de la coalition internationale de lutte contre l’organisation djihadiste Etat Islamique. La Roumanie s’est engagée à soutenir les efforts de la coalition notamment par des mesures d’aide humanitaire, sa participation ne comportant donc pas de volet militaire.



    Nucléaire — Le ministre roumain de l’environnement, Attila Korodi, a convoqué mercredi le Comité ministériel pour les situations d’urgence, afin d’examiner toutes les informations relatives à l’incident survenu à la centrale nucléaire de Zaporojie, dans le sud-est de l’Ukraine, à près de 500 km de la frontière avec la Roumanie. Cette centrale nucléaire, la plus grande d’Europe, avait subi une défaillance technique le 28 novembre dernier, mais il n’y a aucune menace démission de matières radioactives, selon le ministre ukrainien de lénergie, Volodymyr Demtchichine. La centrale devrait retrouver sa pleine puissance le vendredi 5 décembre. L’Institut de radioprotection et de sûreté nucléaire de France a lui aussi fait savoir que l’incident ne posait aucun danger pour la population ni pour l’environnement. L’Ukraine été le théâtre de la pire catastrophe nucléaire de lhistoire en 1986, lorsqu’une explosion à la centrale de Tchernobyl a relâché un nuage radioactif sur lEurope et lUkraine, la Russie et la Biélorussie.








  • 03.12.2014

    03.12.2014

    Budget — La partie roumaine ne formulera aucune proposition de majoration de taxes et d’impôts à loccasion des pourparlers avec les grands bailleurs de fonds, a déclaré le ministre délégué au Budget du gouvernement roumain, Darius Valcov. Une mission commune d’experts du FMI et de la Commission Européenne se trouve à Bucarest jusqu’au 10 décembre pour des discussions avec les autorités roumaines au sujet du projet de la loi du budget 2015. Avant son élaboration, le gouvernement roumain a annoncé un dernier collectif budgétaire d’ici la fin de l’année.



    Economie — La Roumanie a enregistré une croissance économique de 1,8% au troisième trimestre de l”année en cours par rapport au trimestre précédent et une avancée du PIB de 2,8% sur les neuf premiers mois de l’année, selon les données préliminaires fournies ce mercredi par l’Institut national de la Statistique. Selon cette source, les contributions les plus importantes à la majoration du PIB sont dues à l’industrie – 30% du PIB et au secteur des Communications et de l’Information – 5,2%. Par ailleurs, les transactions financières, les assurances et la diminution du volume des activités dans le secteur du Bâtiment ont eu un impact négatif sur le PIB. Selon les données fournies à la mi-novembre par l’Institut national de la Statistique, l’économie roumaine a évité la récession technique, suite à une hausse du PIB de 0,5%.



    Corruption — Les députés roumains décident ce mercredi s’ils approuvent ou non la demande formulée par la Direction nationale anticorruption de consentement à la mise en détention provisoire de leurs collègues Catalin Teodorescu er Marko Attila. Les deux sont poursuivis dans le cadre d’une affaire de rétrocession illégale dans laquelle l’ex procureure en chef de la Direction d’investigation du crime organisé et du terrorisme, Alina Bica a été accusée et placée en détention provisoire. Selon les procureurs, le préjudice porté à l’Etat dans ce dossier a été de plus de 60 millions d’euros.



    Classement – La Roumanie reste en 2014 aussi le pays européen le plus corrompu, selon le 20e rapport annuel de lONG Transparency International. Notre pays se situe 69ème dans le classement de 175 pays pris en compte, à égalité avec le Brésil, la Bulgarie, la Grèce, l’Italie et le Sénégal. Au niveau mondial, c’est le Soudan, la Corée du Nord et la Somalie qui figurent en queue du classement, tandis qu’au pôle opposé se trouvent le Danemark, la Nouvelle Zélande et la Finlande. Malgré une croissance économique en flèche, la Turquie et la Chine se confrontent, les deux, à un niveau élevé de corruption, avertit Transparency International qui insiste dans son rapport sur les difficultés auxquelles se heurtent les pays émergeants dans leur lutte contre le fléau de la corruption.



    Carburant — Selon une étude publiée par Bloomberg, la Roumanie pointe en tête de classement concernant le prix du carburant, classée 30e sur 61 pays à travers le monde. Elle est toutefois le onzième pays où lessence est la plus chère compte tenu du rapport entre le niveau de vie de ses habitants et les prix à la pompe. La Norvège est le pays en tête du classement, où lessence est la plus chère (2 euro le litre), tandis que le Venezuela est le pays où le carburant est meilleur marché, où le litre dessence ne coûterait quun centime deuro le litre. Des prix inférieurs à ceux pratiqués en Roumanie se trouvent en Bulgarie, Lituanie, Estonie et Hongrie.



    Coalition — La coalition internationale contre le groupe Etat islamique se réunit aujourd’hui, en première, à Bruxelles. Les ministres des Affaires étrangères des pays membres de la coalition et le secrétaire d’Etat américain, John Kerry, discutent ce mercredi de la stratégie politique et militaire, de la participation des combattants étrangers aux côtés des forces djihadistes de Syrie et Irak, tout comme de l’aide humanitaire destinée aux réfugiés. La Roumanie est représentée à Bruxelles par le chef de sa diplomatie, Bogdan Aurescu. Rappelons que Bucarest a rejoint la coalition internationale contre le groupe Etat islamique pour offrir du soutien humanitaire et logistique.



    Moldova – Les leaders des partis pro-européens du Parlement de la République de Moldova poursuivent leurs négociations en vue de former un nouvel exécutif. Au scrutin législatif de dimanche, les partis libéral démocrate, démocrate et libéral, membres de la coalition gouvernementale en place, ont obtenu ensemble 55 mandats de député sur les 101 que compte le Parlement de Chisinau. Le gouvernement moldave espère obtenir pour la République de Moldova le statut de candidat à l’UE en 2017 et celui de pays membre, en 2020. Les 46 autres mandats de parlementaire ont été remportés par les socialistes et communistes pro-russes. Les communistes exigent la renégociation des accords d’association et de libre échange avec l’UE, tandis que les socialistes souhaitent abandonner définitivement le trajet européen au profit de l’union douanière contrôlée par la Russie.



    Intempéries – En Roumanie, il continue à faire froid. Le ciel est variable sur le nord-est et le centre du pays et plutôt couvert sur le reste du territoire. Il pleut sur le sud-ouest et il neige à la montagne. La vitesse du vent devra atteindre les 70, voire 80 km/h, et monter jusqu’à 90 km/h en haute montagne. En raison des fortes rafales de vent, des dizaines de navires restent bloqués sur le Danube, tandis que les manœuvres sont suspendus dans le port de Midia. Les maxima du jour vont de moins 4 à 11 degrés.

  • 17.06.2014

    17.06.2014

    Sénat – Le Sénat roumain marque ce lundi les 150 ans écoulés depuis sa création, en présence de nombreux invités, dont la plupart des anciens présidents de cette chambre haute du Parlement de Bucarest. Le Sénat a été institué en 1864, lors du règne du prince Alexandru Ioan Cuza, celui ayant réalisé lunion des principautés valaque et moldave. De ce fait, la haute chambre roumaine est une des plus anciennes en Europe.



    Automobile – La Roumanie est montée en tête du classement des Etats membres de lUE pour ce qui est du nombre dimmatriculations de nouveaux véhicules, a annoncé mardi lAssociation des constructeurs européens. Le mois dernier, le marché auto roumain a enregistré une hausse de plus de 46%, par rapport à la même période de 2013, soit lavance la plus importante en UE28. A léchelle communautaire, lon est arrivé au neuvième mois de croissance de suite, le revirement économique de la zone euro, encourageant les consommateurs à acheter de nouveaux modèles, peut-on lire dans le communiqué de lAssociation.



    Météo – Temps très instable en Roumanie, avec des températures en dessous des normales saisonnières. Il pleut sur lensemble du territoire, à lexception du nord-ouest du pays et des orages sont signalés par endroits. Les maxima du jour vont de 16 à 26 degrés, avec 19 degrés, à midi, à Bucarest.