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  • Un cluster de Covid à Timisoara

    Un cluster de Covid à Timisoara


    Au bout de plusieurs mois
    pendant lesquels, les cas de coronavirus se sont faits plutôt rares, voilà que
    le nombre de personnes contaminées de Covid-19 est de nouveau, à la hausse,
    selon les données officielles. Un cluster vient d’être détecté au sein de
    l’hôpital pédiatrique de Timisoara, qui du coup, a été placé en surveillance
    épidémiologique. La plupart des malades sont des personnes hospitalisées, mais
    des cas de contamination ont été signalés parmi le personnel soignant aussi.
    Les autorités ont adopté les mesures nécessaires et, à en croire le
    porte-parole de l’hôpital, la situation est sous contrôle, surtout que
    l’hôpital en question s’est déjà confronté à deux clusters durant la pandémie,
    quand la situation était plus grave qu’à présent.


    Quant à la situation au niveau
    national, l’Institut de la Santé publique de Roumanie a annoncé que plus de 5700 personnes ont été dépistées positives
    suite aux tests effectués dans le courant de la semaine dernière, soit un
    nombre deux fois supérieur à celui enregistré le mois précédent. Le bilan
    épidémiquede la semaine dernière s’est
    alourdi aussi de 32 décès. Le nombre de patients positifs hospitalisés est lui
    aussi, à la hausse. A l’heure où l’on parle, plus de 1200 personnes
    contaminées sont soignées à l’hôpital et 150 d’entre elles se trouvent dans des
    unités de soins critiques.


    Espérant depuis quelques mois
    la fin de la pandémie, la Roumanie a abandonné pratiquement la vaccination
    anti-Covid. Seulement 500 personnes se sont fait immuniser dans le courant de
    la semaine dernière, la plupart du sérum Pfizer Omicron, adapté au nouveau variant de Covid. Les autorités
    continuent à encourager la population, notamment les catégories à risque, de se
    faire vacciner. C’est l’unique moyen pour réduire le risque d’infection et de
    transmission du virus, tout en diminuant le risque d’hospitalisation et de
    décès. Malgré les appels répétés des autorités, depuis le début de la pandémie
    en Roumanie et jusqu’à présent, seulement 8 millions de Roumains se sont fait
    vacciner, c’est-à-dire moins de 50% de la population totale du pays. Tout cela
    dans le contexte où, depuis 2020 quand les premiers cas de contamination ont
    été rapportés en Roumanie aussi et jusqu’à l’heure actuelle, plus de 3,3
    millions de Roumains ont contracté la maladie et 68.000 sont décédés du Covid.


    La santé et les politiques sanitaires préoccupent
    fortement les autorités centrales de Bucarest. Le Sénat a adopté une initiative
    législative visant le droit des patients à une prise en charge médicale
    personnalisée. Concrètement, les personnes souffrant de la même maladie se
    verront proposerdes traitements
    spécifiques en regard de leurs caractéristiques uniques. Le document s’apprête
    à être soumis au débat de la Chambre des députés, le forum décisionnel dans
    cette affaire.



  • March 30, 2022 UPDATE

    March 30, 2022 UPDATE


    PARLIAMENT The president of Ukraine Volodymyr Zelensky will address the Parliament of Romania, the Senate speaker Florin Cîțu announced on Wednesday. “As speaker of the Senate, I will make the arrangements for this to happen next week. Ukraine has all my support,” Florin Cîțu added. Also next week, the Ukrainian head of state is scheduled to address the parliaments of Ireland and Greece. Since the start of Russias invasion in Ukraine on February 24, Volodymyr Zelensky has talked by video link to the parliaments of several countries, including the UK, Canada, the US, Germany, Italy, Australia, Israel, Poland, and the European Parliament. He also gave an address in last weeks special NATO summit, also attended by the US president Joe Biden.



    UKRAINE Russian forces have used cluster munitions, prohibited under international law, at least 24 times in populated areas of Ukraine in the 5 weeks since the start of the war, the UN High Commissioner for Human Rights Michelle Bachelet announced on Wednesday, according to EFE news agency. “Indiscriminate attacks are prohibited under international humanitarian law and may amount to war crimes,” she also said, referring to the shelling of homes and administrative buildings, hospitals and schools, water stations and electricity systems. Meanwhile, Ukraines president Volodymyr Zelensky said there are positive signals regarding Tuesdays Russian-Ukrainian peace talks in Turkey, but that Ukraine does not intend to relax its military efforts. He emphasised there can be no compromise with respect to his countrys sovereignty and territorial integrity. Russias defence ministry said on Wednesday that Russian forces were regrouping near the capital Kyiv and Chernihiv in the north, to focus on other key regions and finalise what it called the freeing of Donbas. However, Reuters and the local authorities in Chernihiv confirmed that Russian attacks continued in both regions on Wednesday. On his first visit to China since his country invaded Ukraine, Russian foreign minister Sergey Lavrov Wednesday announced plans for a new “just and democratic” world order, in a partnership with China.



    GOVERNMENT The government of Romania Wednesday approved the National Strategy on Curbing Poverty, aimed at a 7% reduction of poverty in the country by 2027. The legislative framework is necessary in order for relevant EU funding to be accessed. Funds are also earmarked for the set-up of 100 care centres to send food to the elderly at their homes. The government also decided on a maximum 20% increase in school enrollment capacities, so as to receive child refugees from Ukraine. In related news, the education minister announced that the current school terms will be replaced by 5 education modules alternating with 5 holidays. The next school year is set to begin 2 weeks early, on September 5, and to end on June 16.



    AID Funds raised under a humanitarian campaign for the Ukrainian refugees who arrive in Romania, launched by the Romanian embassy in the USA jointly with the Romanian United Fund, have reached the intended 200,000 US dollars, the Romanian embassy has announced. According to Ambassador Andrei Muraru, this successful campaign is an example of solidarity at a difficult time for the Ukrainian citizens fleeing the war. The funds will be used for buying food, clothes, medicines and hygiene items for the refugees, as well as for providing accommodation, equipment and psychological support. According to UN sources, over 10 million Ukrainians, including more than half of the countrys children, have left their homes since the beginning of the war in their country. Out of the total number, 6.5 million have been relocated inside the country whereas 3.9 million have left it. Out of these, roughly 580,000 have crossed the border into Romania.



    NATO Romania will be taking action to strengthen its defence capabilities, including by allotting 2.5% of its GDP to defence instead of a previous 2.2%, Romanian president Klaus Iohannis said in a message conveyed on the 18th anniversary of Romanias application for joining NATO. According to Iohannis, Romania will continue to promote the partnership between NATO and the EU, remaining a staunch ally, a security provider in the Black Sea area, dedicated to the fundamental values of the North Atlantic Alliance.



    COVID-19 Over 3,500 new COVID-19 cases were confirmed in Romania on Wednesday, along with 36 fatalities, 22 of which from an earlier date. Little over 2,500 patients are currently hospitalised, 395 of them in intensive care. The health minister Alexandru Rafila says COVID-19 hospitals will gradually resume their regular operations by the end of September. Meanwhile, the vaccine roll-out continues in family physician practices. So far over 8 million people have been fully vaccinated and 17 million doses of vaccine have been administered.


  • Tourisme des jeunes en Roumanie

    Tourisme des jeunes en Roumanie

    Le ministère roumain des PME et le milieu des affaires et du tourisme ont récemment lancé le premier cluster de tourisme au monde destiné aux jeunes. Il s’agit d’un partenariat public-privé qui vise à attirer les jeunes touristes de l’étranger. Les projections officielles tablent sur une croissance annuelle de 10% du nombre des visiteurs s’inscrivant dans la tranche d’âge 20 à 32 ans. Des touristes pour qui les voyages à l’étranger signifient nouvelles expériences, événements divers, détente, amusement, aventure et qui, dans la plupart des cas, préfèrent se faire héberger dans des auberges de jeunesse ou des hôtels bon marché.



    La Roumanie est-elle recherchée par les jeunes touristes ? Eléments de réponse avec Radu Vădeanu, gérant d’une telle auberge, à Cluj: « Je vous déclare en toute certitude que la Roumanie a du succès auprès des jeunes. Nous avons mêmes constaté une croissance significative du nombre des jeunes touristes aussi bien roumains qu’étrangers. Ceux qui nous rendent visite à Cluj se dirigent surtout vers les monts Apuseni, d’autres sont intéressés par les villes de Sighişoara et de Braşov. Il s’agit, en fait, de l’itinéraire classique : Cluj-Sighişoara-Braşov-Bucarest. Sur la liste des destinations touristiques figure aussi la contrée de Maramureş. Il y a aussi les crêtes des montagnes, mais elles sont recherchées par une catégorie précise de touristes, ceux familiarisés avec les ascensions.»



    Quant aux tarifs hébergement, il faut préciser que le prix d’une nuitée va de 12 euros par personne, petit déjeuner inclus. Radu Vădeanu: « Plusieurs dizaines de touristes étrangers franchissent chaque jour le seuil de notre auberge, qui dispose d’une capacité d’accueil de 50 places. Auberge de jeunesse signifie des dortoirs à 4 ou 6 lits, ainsi que des espaces communs, tels une cuisine avec l’équipement nécessaire à la préparation de repas. Cuisiner ensemble cela peut constituer une expérience inédite pour certains jeunes, puisqu’ils découvrent ainsi les plats spécifiques d’autres pays. Pour la belle saison, il est recommandable de réserver bien à l’avance. Pas de problème, en échange, pour le reste de l’année. »



    Des guides se tiennent à la disposition des touristes pour des tours de deux ou trois heures de la ville de Cluj. Grâce au partenariat avec une agence de voyage, les jeunes peuvent également acheter des paquets touristiques et des circuits à travers la province de Transylvanie. La visite guidée de Cluj coûte 20 euros par personne, tandis qu’une randonnée guidée dans les Monts Apuseni peut atteindre les 40 euros par personne.



    Radu Vădeanu nous recommande aussi un paquet touristique au Maramureş: « Il inclut une nuit passée dans le village de Poienile Izei, une soirée de musique et de danse traditionnelles, la dégustation de plats du terroir, la visite de plusieurs églises inscrites au patrimoine de l’UNESCO et du musée mémorial de Sighet, considéré comme un site touristique incontournable. Nous organisons aussi, sur demande, des promenades dans la Vallée du Vaser en petit train d’époque, appelé « mocăniţa ». Pour un groupe de huit, le prix d’une telle balade est de 80 à 90 euros par personne. »



    Beaucoup de jeunes européens de moins de 26 ans qui nous rendent visite connaissent le programme Euro 26. Florin Maxim, directeur de carte à l’Association Euro 26 Roumanie, membre d’Europeans Card Association, détaille les avantages de ce programme: « Euro 26 est une carte destinée aux 14 – 30 ans, que l’on distribue à titre gratuit en Roumanie. Ce programme fait partie du réseau des Cartes européennes, European Cards. Créé il y a 28 de ans, le réseau réunit actuellement 38 pays et 42 organisations partenaires. On dénombre quelque cinq millions de jeunes possesseurs de telles cartes en Europe, dont 40 à 50 milles Roumains. Tous les titulaires de cartes Euro 26 bénéficient d’une série de réductions et d’événements et projets qui leur sont expressément dédiés. »



    Voici maintenant quelques recommandations de Florin Maxim à l’intention des jeunes touristes: « Bucarest, tout d’abord, car il y a plein d’endroits où ils peuvent utiliser leur carte : musées, théâtres, espaces de loisirs, restos et clubs. La vie nocturne de Bucarest est florissante, ce qui n’est pas sans intéresser les jeunes. Je recommanderais aussi d’autres villes comme Timişoara et Cluj, par exemple, qui figurent dans le réseau de réductions Euro 26. »



    Radu Vladeanu, l’administrateur d’une auberge de jeunesse de Cluj, explique d’où arrivent la plupart des touristes étrangers qui choisissent son établissement: « La plupart d’entre eux viennent d’Europe, notamment en raison de l’arrivée des vols low-cost à l’aéroport de Cluj, il y a environ trois ans. Mais nous avons également reçu des touristes américains, même s’ils visitent d’habitude plusieurs pays lors d’un seul séjour. Nous avons hébergé aussi des touristes d’Asie : japonais et coréens, mais ils sont moins nombreux. Nous avons des dizaines de souvenirs dont le plus beau est celui d’un Japonais auquel j’ai demandé ce qu’il avait aimé plus en Roumanie. Sa réponse a été assez inattendue : il aimait le ciel. Au Japon, en raison des lumières de la ville il lui était impossible de voir les étoiles. Par contre, chez nous dans le massif des Apuseni il a vu un ciel magnifique. Pour lui, ce fut une chose extraordinaire de voir le ciel nocturne dans toute sa splendeur. »



    Incursions dans l’environnement urbain ou bien escapades sauvages en pleine montagne, les paquets touristiques spécialement conçus pour les jeunes s’avèrent très diversifiés. Donc si vous êtes jeunes et que vous souhaitiez visiter la Roumanie, contactez dès maintenant votre agent de tourisme pour une offre personnalisée. (Aut. Daniel Onea; Trad. Mariana Tudose)

  • Turism pentru tineret în România

    Turism pentru tineret în România

    Ministerul român pentru IMM-uri, Mediul de Afaceri şi Turism a lansat recent primul cluster de turism din lume destinat tinerilor, o colaborare între stat şi mediul privat pentru atragerea turiştilor tineri din străinătate. La nivel oficial, se estimează o creştere anuală cu 10% a numărului de turişti străini tineri în Romania. Programele vizează atragerea turiştilor cu vârste cuprinse între 20 şi 32 de ani. Persoanele din această categorie de vârstă sunt turişti care călătoresc în străinătate pentru experienţe, evenimente, relaxare. distracţie şi aventură şi preferă în marea lor majoritate cazările la hosteluri sau hoteluri ieftine. Pentru a afla care este situaţia actuală, am vorbit cu Radu Vădeanu, administratorul unui hostel din Cluj. Aşadar, are România succes la tineri? Vă pot spune cu siguranţă că are succes la tineri şi, mai mult decât atât, am remarcat şi noi o creştere semnificativă a numărului turiştilor tineri din străinătate şi din România. Cei care vin la Cluj, se îndreaptă în mare măsură spre Apuseni, alţii sunt interesaţi de oraşele Sighişoara, Braşov. Practic este un culoar turistic clasic, aşa cum îl numim noi: Cluj-Sighişoara-Braşov-Bucureşti. Pe lângă aceste destinaţii aleg să meargă şi în Maramureş. Acestea sunt principalele destinaţii. Ar mai fi şi crestele montane, dar spre acestea se îndreaptă numai turiştii specializaţi.”



    Preţul unei nopţi de cazare porneşte de la 12 euro de persoană, cu micul dejun inclus, spune Radu Vădeanu, care menţine o legătură strânsă cu turiştii. Intrăm în contact zilnic cu zeci de turişti străini. Avem 50 de locuri de cazare. De multe ori discutăm cu ei. Fiind un hotel pentru tineret, este ceva normal pentru noi. Hotel pentru tineret înseamnă un spaţiu de cazare cu locuri comune. Înseamnă dormitoare comune, cu şase locuri sau patru locuri, spaţii comune de folosinţă şi bucătărie comună. Turiştii gătesc la comun şi e o experienţă inedită pentru mulţi să guste din preparatele culinare din anumite ţări în care n-au fost niciodată. Pe sezonul de vară este indicat să se facă rezervare din timp, dar în restul anului avem locuri suficiente pentru cei care vor să vină la noi.”



    Pe lângă cazare, la acest hostel se oferă şi servicii de ghidaj în Cluj, pe trasee speciale, de două sau trei ore. Datorită unei colaborări cu o agenţie de turism, tinerii pot achiziţiona şi pachete turistice şi circuite în Transilvania. Practic, un ghidaj în oraşul Cluj costă 20 de euro de persoană, iar în Munţii Apuseni ajunge până la 40 de euro de persoană. Radu Vădeanu, administratorul unui hostel din Cluj recomandă însă şi un pachet turistic în Maramureş. Presupune o înnoptare într-un sat tradiţional, în Poienile Izei, o seară tradiţională cu muzică şi dans, degustare de mâncăruri tradiţionale, vizitarea unor biserici din patrimoniul UNESCO şi memorialul de la Sighet, pe care îl considerăm un must see pentru turiştii străini care vin în România. La cerere, mergem şi cu mocăniţa pe Valea Vaserului. Dacă avem un microbuz cu opt persoane, preţul ajunge la 80-90 de euro de persoană.”



    Mulţi dintre tinerii europeni care ajung în România nu sunt deloc străini de programul Euro 26. Florin Maxim, director de card în cadrul Asociaţiei Euro 26 România, membră a Europeans Card Association, ne explică avantajele. Euro 26 este un card destinat tinerilor între 14 şi 30 de ani, care se distribuie gratuit în România. El face parte din reţeaua Europeans Card, o reţea înfiinţată acum 28 de ani, la nivel european. În momentul de faţă, reţeaua cuprinde 38 de ţări şi 42 de organizaţii partenere. Comunitatea europeană are acum aproximativ cinci milioane de tineri posesori de card, iar în România numărul acestora este de 40-50 de mii. Practic, posesorii cardurilor Euro 26 beneficiază de o serie de reduceri şi se bucură de evenimente şi proiecte special dedicate lor.”



    Iată şi câteva destinaţii recomandate de Florin Maxim tânărului turist. Bucureştiul, pentru că aici există foarte multe locuri în care îşi poate folosi cardul: atât muzee, teatre, cât şi alte locuri de agrement, restaurante şi cluburi. Viaţa de noapte s-a dezvoltat foarte mult în Bucureşti şi tinerii sunt foarte interesaţi de acest lucru. Alte zone ar fi tot urbane: Timişoara şi Cluj. Reţeaua de reduceri pe baza cardului e foarte bine dezvoltată şi acolo.”



    L-am întrebat pe Radu Vădeanu, administratorul unui hostel din Cluj, de unde vin cei mai mulţi turişti străini în România. Cei mai mulţi vin din Europa, mai ales de când s-au deschis zborurile low-cost şi pe aeroportul din Cluj, în urmă cu aproximativ trei ani . Însă vin şi americani. Totuşi, americanii, de cele mai multe ori, doresc să vadă câteva ţări. Prin urmare, îşi rezervă în jur de zile pentru România. Vin şi din Asia: japonezi, coreeni, însă mai puţin. Avem zeci de amintiri, însă una foarte interesantă este cu un japonez pe care l-am întrebat ce i-a plăcut cel mai mult în România. Acesta mi-a dat un răspuns neaşteptat: îi plăcuse cerul. Acolo, în Japonia, datorită luminilor oraşului, nu reuşea să vadă stelele. Pe când, la noi, în Apuseni a văzut un cer fantastic , iar pentru el a fost deosebit să reuşească să vadă cerul nocturn în toată splendoarea lui, din România”.



    Fie că alegeţi să faceţi o incursiune în mediul urban sau să vă aventuraţi pe crestele munţilor, veţi găsi diverse pachete turistice special concepute pentru tineri. Contactaţi chiar acum agentul dvs. de turism pentru o ofertă personalizată.