Tag: Coface

  • 12.04.2020 (mise à jour)

    12.04.2020 (mise à jour)

    Coronavirus
    en Roumanie
    – Le nombre de décès causés par le
    nouveau coronavirus est en augmentation en Roumaine, où les autorités font état
    de plus de 6.000 cas d’infection au Sars-Cov-2. 696 ressortissants roumains
    vivant à l’étranger sont infectés au nouveau coronavirus et, depuis le début de
    la pandémie, 44 d’entre eux sont décédés. Le pic de l’épidémie, attendu en
    Roumanie dans les semaines à venir, se traduirait par plus de personnes en
    soins intensifs et plus de morts – a précisé le chef du Département pour les
    situations d’urgence, Raed Arafat, pour la chaîne publique de télévision. De son
    côté, le ministre de la Santé Nelu Tătaru a déclaré qu’il fallait plus que
    jamais respecter les mesures de distanciation sociale mises en place par les
    autorités.




    Coronavirus
    dans le monde
    – La
    pandémie de coronavirus dominera l’agenda de l’Union européenne au moment où
    l’Allemagne prendra la présidence tournante du Conseil de l’Union européenne
    dans la deuxième moitié de l’année, estime Heiko Maas, le ministre allemand des
    Affaires étrangères, dans une tribune pour le quotidien Die Welt, citée par
    Reuters. M. Maas a été très franc quant à la gestion de la crise sanitaire au
    niveau mondial, en critiquant les Etats-Unis pour leur lenteur et la Chine,
    qu’il a qualifiée d’Etat autoritaire. La pandémie de coronavirus s’est étendue
    à 214 Etats et territoires, avec plus de 1,6 millions de cas d’infection
    rapportés jusqu’à présent et plus de 106.000 décès. Les Etats-Unis ont dépassé
    la barre des 20.000 décès, soit le bilan national le plus lourd rapporté depuis
    le début de la pandémie de coronavirus. En plus, c’est pour la première fois
    que l’état de catastrophe est déclaré simultanément dans les 50 Etats
    américains, ce qui permet aux Etats et gouvernements locaux d’utiliser le fonds
    fédéral d’urgence.






    Rapatriement
    – Le ministère roumain des Affaires étrangères informe
    que samedi, 117 citoyens roumains ont été rapatriés depuis la France, la Belgique
    et les Pays-Bas. Les citoyens en question se trouvaient temporairement à
    l’étranger en tant que touristes, étudiants, marins ou bien c’étaient des
    travailleurs saisonniers qui n’avaient plus les moyens financiers pour prolonger
    leur séjour dans les pays cités une fois leurs contrats de travail rompus. Le
    ministère roumain des Affaires étrangères renouvelle fermement ses appels
    antérieurs d’éviter tout voyage qui n’est pas absolument essentiel à
    l’étranger. Ces déplacements peuvent constituer un facteur supplémentaire de
    propagation du virus Sars-Cov-2 et les citoyens risquent de ne pas pouvoir revenir
    au pays. La diplomatie de Bucarest fait également appel aux citoyens roumains
    ayant leur domicile ou leur résidence à l’étranger de respecter strictement les
    recommandations des autorités des Etats en question et souligne qu’il faut
    éviter totalement les déplacements vers la Roumanie en ce moment.




    Economie – Coface, la Compagnie française d’assurance pour le commerce
    extérieur, prévoit en 2020 la première récession de l’économie mondiale depuis
    2009. 68 Etats devraient être touchés, le nombre des défaillances d’entreprises
    augmenterait de 25% et le commerce mondial diminuerait cette année, en volume,
    de 4,3%, précise l’analyse du groupe. Selon Coface, le risque de crédit des
    entreprises sera en très forte hausse et ce même si l’on se place dans un
    scénario optimiste où l’activité économique redémarrerait graduellement dès le
    3ème trimestre et en excluant l’hypothèse d’une deuxième vague de l’épidémie pendant
    la deuxième moitié de l’année. Cette tendance toucherait à la fois les
    États-Unis et toutes les principales économies d’Europe de l’Ouest : Allemagne,
    France, Royaume-Uni, Italie et Espagne. Le choc pourrait être encore plus
    violent dans les économies émergentes. Outre la gestion de la pandémie qui
    s’annonce plus difficile, elles font en effet face à la chute des cours du
    pétrole, ainsi qu’à quatre fois plus de sorties de capitaux qu’en 2008.


    Fêtes – Les croyants orthodoxes et gréco-catholiques, entrent, à partir de
    lundi, dans la Semaine sainte, destinée à commémorer la Passion du Christ.
    Cette année, sur fond de pandémie de coronavirus et pour respecter les mesures
    strictes de distanciation sociale, les messes sont célébrées à huis clos
    partout dans le monde, y compris en Roumanie. Les fidèles peuvent les suivre depuis
    chez eux, à la radio, à la télévision ou sur Internet. Les catholiques et
    protestants ont fêté Pâques le 12 avril, soit une semaine avant les orthodoxes.
    Dans la bénédiction traditionnelle « Urbi et orbi », à la ville et au
    monde, prononcée dans une basilique Saint Pierre quasi vide, le Pape
    François a parlé de la situation actuelle engendrée par la pandémie de
    coronavirus. « C’est, pour beaucoup, une Pâques de solitude », a
    reconnu le Pape, qui a eu une pensée pour toutes les personnes affectées par le
    virus : les malades, les défunts et leurs familles.








    Météo – Températures à la hausse en Roumanie dans les 24 prochaines heures. Les
    minimales iront de 1 à 11° et les maximales de 17 à 25°, légèrement plus basses
    sur le littoral de la mer Noire. L’on signale de possibles pluies sur le
    relief, ainsi que sur le nord-ouest du pays.

  • 12.04.2020

    12.04.2020

    Fêtes – Plus de deux milliards de croyants catholiques fêtent Pâques aujourd’hui.
    Sur fond de pandémie de coronavirus, les messes sont célébrées à huis clos,
    avec la possibilité pour les fidèles de les suivre à la radio, à la télévision ou
    sur Internet. Dans la bénédiction traditionnelle « Urbi et orbi », à
    la ville et au monde, prononcée dans une basilique Saint Pierre quasi vide,
    le Pape François a parlé de la situation actuelle engendrée par la pandémie de
    coronavirus. « C’est, pour beaucoup, une Pâques de solitude »,
    reconnaît le Pape, qui a eu une pensée pour toutes les personnes affectées par
    le virus : les malades, les défunts et leurs familles. Des églises désertes, c’est
    le cas aussi dans le monde orthodoxe, y compris en Roumanie, où l’on célèbre le
    dimanche des Rameaux. Des rameaux de saule sont bénies par les prêtres à l’intérieur
    des églises pour qu’ensuite des bénévoles, portant masques et gants de
    protection, les distribuent aux croyants qui en réclament. A partir de lundi,
    ce sera la Semaine sainte pour les orthodoxes, qui devront à leur tour suivre
    les messes depuis chez eux.




    Coronavirus
    en Roumanie
    – Le nombre des décès des suites du
    nouveau coronavirus est arrivé à 306 en Roumanie. Les autorités rapportent 6.300 cas d’infection au Sars-Cov-2 jusqu’à
    présent, dont 852 ont guéri. 696 ressortissants roumains vivant à l’étranger
    sont infectés au nouveau coronavirus et, depuis le début de la pandémie, 44 d’entre
    eux sont décédés. Le pic de l’épidémie, attendu dans les semaines à venir, se
    traduirait par plus de personnes en soins intensifs et plus de morts – a précisé
    le chef du Département pour les situations d’urgence, Raed Arafat, pour la
    chaîne publique de télévision. De son côté, le ministre de la Santé Nelu Tătaru
    a déclaré qu’il fallait plus que jamais respecter les mesures de distanciation
    sociale mises en place en Roumanie.




    Coronavirus
    en Europe
    – La pandémie
    de coronavirus dominera l’agenda de l’Union européenne au moment où l’Allemagne
    prendra la présidence tournante du Conseil de l’Union européenne dans la
    deuxième moitié de l’année, estime Heiko Maas, le ministre allemand des Affaires
    étrangères, dans une tribune pour le quotidien Die Welt, citée par Reuters. M.
    Maas a été très franc quant à la gestion de la crise sanitaire au niveau
    mondial, en critiquant les Etats-Unis pour leur lenteur et la Chine, qu’il a
    qualifié d’Etat autoritaire. La pandémie de coronavirus s’est étendue à 214
    Etats et territoires, avec plus de 1,6 millions de cas d’infection rapportés
    jusqu’à présent et plus de 106.000 décès. Les Etats-Unis ont dépassé la
    barre des 20.000 décès, soit le bilan national le plus lourd enregistré depuis
    le début de la pandémie de coronavirus. En plus, c’est pour la première fois
    que l’état de catastrophe est déclaré simultanément dans les 50 Etats
    américains, ce qui permet aux Etats et gouvernements locaux d’utiliser le fonds
    fédéral d’urgence.




    Rapatriement
    – Le ministère roumain des Affaires étrangères informe
    que 117 citoyens roumains ont été rapatriés samedi depuis la France, la Belgique
    et les Pays-Bas. Les citoyens en question se trouvaient temporairement à l’étranger
    en tant que touristes, étudiants, marins ou bien c’étaient des travailleurs
    saisonniers qui n’avaient plus les moyens financiers pour prolonger leur séjour
    dans les pays cités une fois leurs contrats de travail rompus. Le ministère
    roumain des Affaires étrangères renouvelle fermement ses appels antérieurs
    d’éviter tout voyage à l’étranger qui n’est pas absolument essentiel. Ces
    déplacements peuvent constituer un facteur supplémentaire de propagation du
    virus Sars-Cov-2 et les citoyens risquent de ne pas pouvoir revenir au pays. La
    diplomatie de Bucarest fait également appel aux citoyens roumains ayant leur
    domicile ou leur résidence à l’étranger de respecter strictement les
    recommandations des autorités des Etats en question et souligne qu’il faut
    éviter totalement les déplacements vers la Roumanie en ce moment.










    Economie – Coface, la Compagnie française d’assurance pour le commerce
    extérieur, prévoit en 2020 la première récession de l’économie mondiale depuis
    2009. 68 Etats devraient être touchés, le nombre des défaillances d’entreprises
    augmenterait de 25% et le commerce mondial diminuerait cette année, en volume,
    de 4,3%, précise l’analyse du groupe. Selon Coface, le risque de crédit des
    entreprises sera en très forte hausse et ce même si l’on se place dans un
    scénario où l’activité économique redémarrerait graduellement dès le 3ème
    trimestre et en excluant l’hypothèse d’une deuxième vague d’épidémie pendant la
    deuxième moitié de l’année. Cette tendance toucherait à la fois les États-Unis et
    toutes les principales économies d’Europe de l’Ouest : Allemagne, France, Royaume-Uni,
    Italie et Espagne. Le choc pourrait être encore plus violent dans les économies
    émergentes. Outre la gestion de la pandémie qui s’annonce plus difficile, elles
    font en effet face à la chute des cours du pétrole, ainsi qu’à quatre fois plus
    de sorties de capitaux qu’en 2008.








    Météo – Temps beau et chaud en Roumanie, avec des maximales qui vont
    de 11 à 23°. Le ciel est variable et le vent connait des intensifications sur l’est
    du territoire et en montagne. 17° sous le soleil à midi à Bucarest.

  • Migraţia şi piaţa muncii

    Migraţia şi piaţa muncii

    Valurile succesive ale
    extinderii Uniunii Europene spre Est au deschis şi piaţa comunitară a muncii
    pentru cetăţenii statelor din centrul şi răsăritul continentului. În 2004, nu mai
    puţin de opt ţari ex-comuniste erau admise în Uniune. Le urmau, în 2007,
    România şi Bulgaria şi, în 2013, Croaţia, ultima intrată în clubul comunitar.
    Plecaţi în căutarea unor slujbe mai sigure şi mai bine plătite, milioane de
    polonezi, români, unguri sau bulgari muncesc şi plătesc astăzi impozite în tot
    Occidentul, din Suedia în Portugalia şi din Austria în Irlanda. Migraţia lor a
    eliberat ţările de origine de plata ajutoarelor de şomaj pentru numeroase
    victime ale tranziţiei de la economia centralizată şi falimentară la
    capitalismul adesea sălbatic şi fără scrupule. Astfel că, în prezent, piaţa
    forţei de muncă din regiunea Europei Centrale şi de Est continuă să se
    îmbunătăţească, iar ratele şomajului au scăzut la cel mai mic nivel de până
    acum, deşi rămân mai mari decât media Uniunii Europene – relevă o analiză realizată decelebra companie de consultanţă Coface.

    Datele macroeconomice indică, pentru ultimii ani,
    salarii în creştere şi o inflaţie scăzută, care au transformat consumul generat
    de gospodării în principalul motor al expansiunii economice. Astfel, din 2010,
    salariile brute au crescut cu peste 30% în România şi Bulgaria şi cu peste 20%
    în Ungaria şi Polonia, se arată în document. Companiile, în schimb,
    constată Coface, au de suferit, deoarece se confruntă cu angajaţi tot mai
    exigenţi în negocierea salariilor şi sunt constrânse să accepte costuri mai
    mari cu forţa de muncă. Rata scăzută a natalităţii şi emigrarea în Europa de
    Vest au contribuit, deopotrivă, la deficitul forţei de muncă şi au creat o
    barieră în calea expansiunii afacerilor. Chiar şi companiile care plătesc
    salarii mai mari se confruntă cu dificultăţi în ceea ce priveşte angajarea.
    Creşterile salariale depăşesc în prezent câştigurile din productivitatea
    muncii, dar costurile regionale ale forţei de muncă sunt încă, în medie, de
    trei ori mai mici decât în Occident.

    Acest decalaj avantajos de care se bucură
    Europa Centrală şi de Est în ceea ce priveşte costurile unitare ale forţei de
    muncă, împreună cu proximitatea sa geografică şi culturală faţă de Occident, ar
    trebui să aducă avantaje comerciale competitive. Aceste beneficii ar putea fi,
    însă, compromise pe termen mediu dacă emigrarea persoanelor tinere şi
    calificate continuă – avertizează analiza Coface. Deficitul forţei de muncă ar putea
    fi atenuat prin încurajarea emigranţilor să se întoarcă în ţările de origine,
    fenomen încă foarte puţin probabil. De aceea, Coface le recomandă guvernelor
    din regiune să încurajeze cooptarea pe piaţa muncii a minorităţilor etnice, a
    femeilor şi a populaţiei de vârsta a treia şi să stimuleze formarea
    profesională.

  • Le milleu d’affaires roumain – progrès et défis…

    Le milleu d’affaires roumain – progrès et défis…

    Sur les 190 économies passées au crible par les équipes de la Banque Mondiale dans son rapport Doing Business 2017, la Roumanie s’en tire plutôt bien. Elle se classe 36e avec un total de 74,26 points, devançant des pays comme la Bulgarie – 39e, la Hongrie – 41e, la Belgique – 42e, l’Italie – 50e ou encore la Turquie – 69e. Pourtant, dans l’édition 2017 du rapport de la Banque Mondiale qui évalue chaque année la facilité à faire des affaires d’un pays à un autre, la Roumanie est devancée par des pays tels la Pologne – 24e, la Tchéquie – 27e, la Slovénie – 30e, la Slovaquie – 33e ou encore le Kazakhstan – 35e. Bien qu’avec un score pour 2017 de 0,14 points de moins par rapport à l’année dernière, la Roumanie n’a perdu qu’une seule position parmi les pays pris en compte par la Banque Mondiale.

    Selon les experts de cette dernière, la Roumanie a enregistré des progrès dans le domaine des taxes, ce qui l’a propulsée de 4 positions par rapport à l’année dernière, tandis que les problèmes visant les facilités pour lancer une entreprise lui ont fait perdre 11 positions. Dans ce cas, la procédure s’est alourdie notamment après une majoration du temps nécessaire à faire enregistrer la TVA», peut-on lire dans le rapport de la Banque Mondiale. Par ailleurs, selon le rapport Global Entrepreneurship Monitor qui a décortiqué l’activité entrepreneuriale dans 60 pays, en Roumanie, «un entrepreneur a besoin de presque 12500 dollars en moyenne pour démarrer une affaire, une somme supérieure à celle requise en Pologne, Suède, Bulgarie, Croatie ou Hongrie, mais inférieure à celle investie en Allemagne, Italie ou Norvège ». Or, ce niveau élevé des coûts explique souvent le nombre limité des PMEs qui représentent partout le souffle d’une économie. La Roumanie compte seulement 30 PMEs par millier d’habitants, ce qui la place en avant-dernière position parmi les autres pays communautaires où la moyenne est de 54 entreprises par millier d’habitants, peut-on lire dans un rapport de Ziarul financiar.

    Le premier ministre Dacian Ciolos précise: « Nous avons mis en place des schémas d’aides d’État visant la création d’emplois dans les petites entreprises. On pense notamment aux sociétés roumaines qui encouragent la création d’emplois ou aux sociétés nationales travaillant avec des partenaires étrangers. On prépare aussi un schéma d’aide d’État à mettre en place d’ici l’année prochaine, que l’on financera jusqu’en 2020 à hauteur de 200 millions d’euros environ du budget public. C’est un schéma qui visera surtout les investissements moyens d’un montant d’un à cinq millions d’euros et qui, espérons-le, attirera de plus en plus de sociétés roumaines à même de se développer.»

    Par ailleurs, pour la première fois depuis 2009, l’assureur crédit COFACE a réévalué positivement la Roumanie de B à A4 dans le domaine du risque du milieu des affaires. Pourtant, l’amélioration découle d’un excès de consommation, ce qui risque de provoquer de grands déséquilibres. Le qualificatif A4 indique de possibles fragilités économiques et financières dans un contexte politique tendu et dans un milieu des affaires en proie à des lacunes législatives. N’empêche, la probabilité de défaut de paiement dans le cas des entreprises atteint un niveau raisonnable. Dans la catégorie recommandée aux investisseurs, A4 représente l’indicateur le plus bas.

    Malgré cette réévaluation positive, le représentant de Coface Roumanie, Eugen Anicescu, tire la sonnette d’alarme quant aux risques associés à une croissance fondée sur la consommation : « La relance aussi bien du milieu économique que de celui des affaires et des liquidités découle principalement d’une évolution positive du PIB fondée sur la consommation. Les dernières hausses du salaire moyen, l’allègement fiscal, tout cela a alimenté la consommation, en injectant de l’argent sur le marché. Les compagnies en tirent profit, cela est sûr, le milieu se revitalise, mais le danger est là parce qu’il n’existe aucune évolution des investissements. La consommation s’associe surtout aux importations. Or, puisque la baisse de la TVA a déjà eu lieu et les majorations salariales se sont déjà produites, en l’absence d’un élément supplémentaire à même de booster la croissance, on risque une sorte de stagnation économique ».

    Selon COFACE, les points forts de la Roumanie renvoient aux dimensions de son marché intérieur, à la main d’œuvre bon marché et qualifiée, aux réserves en devises – significatives -, à la monnaie nationale relativement stable, au taux d’endettement public en dessous de la moyenne européenne et à un taux de dépendance énergétique assez faible sur le plan extérieur. En revanche, la Roumanie affiche une population en baisse, des recettes gouvernementales en chute libre, une infrastructure plutôt faible, un taux de corruption inquiétant et un esprit d’entreprise assez vague. (Trad. Ioana Stancescu)

  • Jurnal românesc – 04.08.2016

    Jurnal românesc – 04.08.2016

    Executivul de la Bucureşti a lansat, joi, platforma GovITHub. Guvernul vrea să aducă în administraţia din România capacitatea de inovaţie din IT şi prin lansarea platformei GovITHub se doreşte reunirea unor oameni din domeniu care au curajul să dea o mână de ajutor în administraţie – a declarat premierul Dacian Cioloş. Prim-ministrul a precizat că această platformă are la bază experienţe reuşite din domeniul IT.



    Executivul a adoptat, miercuri, măsuri care reglementează asigurarea la nivel naţional a managementului tipurilor de risc pentru prevenirea şi gestionarea situaţiilor de urgenţă. In urma analizei incendiului din clubul Colectiv din toamna anului trecut, cand 64 de tineri au murit, dar şi a altor situaţii produse în România, Executivul a stabilit autorităţile care au obligaţia de a asigura managementul tipurilor de risc şi comandantul acţiunii în persoana unui reprezentant al Ministerului de Interne. Acesta planifică şi asigură coordonarea tuturor forţelor şi echipamentelor implicate în intervenţie. Situatiile de risc la care se refera documentul sunt cutremure, epidemii, inundaţii, accident nuclear sau radiologic şi incendii de pădure care au impact major asupra comunităţilor, mediului şi populaţiei.



    Compania de rating Coface a îmbunătăţit ratingul României de la B la A4, un nivel la care ţara nu s-a mai situat din 2009. Ratingul A4 reprezintă limita de jos a categoriei recomandate pentru investiţii şi indică faptul că mediul de afaceri este suficient de solid, dar probabilitatea ca firmele să nu îşi poată onora plăţile există încă. Chiar dacă ratingul României a fost îmbunătăţit, managerul de ţară al companiei, Eugen Anicescu, avertizează că evoluţiile economice recente se bazează prea mult pe creşterea consumului, cu efecte negative pe viitor.



    Peste 40% din turiştii străini care vizitează România preferă municipiul Bucureşti, urmat de judeţele Braşov, Sibiu şi Mureş, informează deputatul PNL Andreea Paul printr-un comunicat de presă. Municipiul Bucureşti se află în fruntea clasamentului destinaţiilor preferate de străini cu aproape 1 milion de persoane. La polul opus, cu cel mai mic număr de sosiri ale turiştilor în structurile de primire turistică, se află judeţele Giurgiu cu 2231 de persoane, Vrancea cu 1935 de persoane şi Teleorman cu 1478 de persoane. Potrivit ultimelor date furnizate de Eurostat, România este printre statele cu cei mai puţini turişti străini înregistraţi în structurile de primire turistică, aproximativ 2 milioane de persoane, locul 23 în Uniunea Europeană. Romania este depăşită de state precum Bulgaria, Ungaria, Cehia.



    Guvernul a aprobat eliberarea, pe 24 august, a primei tranşe în valoare de 60 de milioane de euro din asistenţa financiară rambursabilă pentru Republica Moldova. Acordarea acestor bani se face în baza unei înţelegeri bilaterale, care prevede şi îndeplinirea de către autorităţile de la Chişinău a unor criterii, cum ar fi: demersuri pentru un acord cu FMI, pachet legislativ pentru îmbunătăţirea mediului de afaceri, actualizarea reformei în justiţie şi o strategie naţională anticorupţie. Planul de acţiune este urmărit de guvernul de la Bucureşti, astfel încât, după ce Republica Moldova a notificat că a obţinut acordul tehnic din partea FMI, Cabinetul Cioloş a aprobat eliberarea primei tranşe. Valoarea totală a acordului este de 150 de milioane de euro.

  • Previziuni economice pentru România

    Previziuni economice pentru România

    România va atinge, în acest an, un
    vârf al creşterii economice, cu o rată de peste două ori mai mare decât cea de
    la nivelul întregii Uniuni Europene, potrivit noilor estimări ale executivului
    comunitar. Astfel, PIB va avea un avans de 4,2%, bazat în principal pe creşteri
    salariale şi relaxări fiscale.

    Şi în 2015,
    creşterea economică a României a fost surprinzător de puternică,
    notează Comisia,
    creşterea PIB al României fiind de 3,6%, cel mai ridicat nivel după 2008. Anul
    viitor, însă, PIB va creşte mai puţin, cu 3,7%, potrivit prognozelor.
    Principalul motor al creşterii economice rămâne cererea internă, în timp ce
    contribuţia netă a exporturilor va rămâne negativă. Experţii europeni notează
    că, în acelaşi timp, există şi riscuri macroeconomice majore la adresa acestei
    evoluţii, precum cel legat de aşa-numita lege a dării în plată, care permite datornicilor să scape de creditul imobiliar dacă
    predau băncii locuinţa cumpărată cu bani împrumutaţi.Pe de altă parte, o mai bună
    accesare a fondurilor europene şi un efect multiplicator mai puternic al
    măsurilor de stimulare fiscală ar putea oferi sprijin suplimentar economiei
    româneşti, afirmă ei.

    În pofida creşterii economice robuste, din cauza reducerilor de taxe
    şi a creşterii cheltuielilor, deficitul bugetar se va majora substanţial şi ar urma să crească de la 1%, în 2015,
    la 4%, anul viitor. În schimb, consumul privat avanseză puternic, investiţiile şi-au
    păstrat trendul pozitiv, iar indicatorul de încredere economică a atins maximul
    a şapte ani în trimestrul al treilea, indicând o menţinere a trendului. Alimentată de creşterea
    salariilor, şi inflaţia se va accelera de la mijlocul anului. În ceea ce priveşte şomajul, acesta
    este estimat la 6,6% pentru anul acesta şi la 6,5% pentru anul următor,
    fără schimbări faţă de precedentul raport. Trendul de scădere al ratei şomajului va continua, probabil,
    susţinut de avansul economic puternic, în timp ce rata de ocupare a forţei de
    muncă va urca. Creşterea salariului minim cu 19% în luna mai va duce la un cost
    mai ridicat al forţei de muncă, care va anula, parţial, din perspectica
    competitivităţii economice, recentele creşteri de productivitate, mai notează
    Executivul european.

    Prognoza CE este similară cu
    a companiei Coface, specializată în managementul riscului de
    credit, care estimează, pentru
    acest an, o creştere economică de 4,2% pentru România. O posibilă problemă
    semnalată de analiştii firmei are
    legătură cu instabilitatea din domeniul plăţilor. Aparenta contradicţie este
    provocată de creşterea economică stimulată mai mult de consum, care nu pare
    aşezat pe o bază stabilă, apreciază Coface.

  • Jurnal românesc – 4.02.2016

    Jurnal românesc – 4.02.2016

    Compania franceză Coface a menţinut la B calificativul privind
    riscul de ţară pentru România, ce indică un mediu microeconomic instabil.
    Raportul macroeconomic de ţara pe 2015 al companiei, lider mondial în asigurarea de credit, apreciază
    că, în ciuda echilibrului
    macroeconomic, a reculului în procesul de trecere la euro şi a îndeplinirii
    criteriilor de convergenţă nominală, România rămâne vulnerabilă, ca urmare a
    caracterului structural al dezechilibrelor interne la nivel microeconomic.
    Cauzele acestor dezechilibre ar fi nivelul foarte ridicat al creditului
    comercial, interdependenţa dintre companii, întreruperea accelerată a
    activităţii pentru multe dintre acestea şi numărul mare al instrumentelor refuzate
    la plată. Punctele forte, potrivit Coface, sunt piaţa internă relativ mare,
    forţa de muncă calificată şi ieftină, rezerva valutară semnificativă şi moneda
    locală relativ stabilă în comparaţie cu euro, gradul de îndatorare publică sub
    media UE şi dependenţa energetică redusă. Coface estimează o creştere economică de 4,2% pentru România în acest an.


    Direcţia Naţională Anticorupţie a fost sesizată de Corpul de
    Control al premierului în legătură cu modalitatea în care Comisia pentru
    Stabilirea Despăgubirilor, din cadrul Autorităţii Naţionale pentru Restituirea
    Proprietăţilor, a stabilit drepturi presupus a fi supraevaluate în favoarea
    unor persoane. Inspectorii guvernamentali au constatat că ritmul de lucru al
    acestei comisii este extrem de lent, iar cele peste 42 de mii de dosare,
    înregistrate în baza legii privind imobilele preluate abuziv, ar putea fi
    soluţionate în următorii 24 de ani. Corpul de Control a mai anunţat că ANRP
    trebuie să plătească 300 de milioane de lei unui nepot al lui Gigi Becali, drept
    despăgubire pentru un teren supraevaluat de un expert deja trimis în judecată
    de DNA în dosarul fostei şefe DIICOT, Alina Bica, pentru complicitate la abuz
    în serviciu.


    Sosirile înregistrate în structurile de
    primire turistică din România au însumat, anul trecut, peste 9,8 milioane, în
    creştere cu 17 procente faţă de cele din 2014, conform datelor publicate de
    Institutului Naţional de Statistică (INS). Din numărul total de sosiri,
    turiştii străini au reprezentat 22,6%, pondere similară cu aceea din 2014.
    Aproape trei sferturi dintre ei sunt europeni, iar durata medie a şederiilor a
    fost de două zile.





    Litoralul românesc şi Delta Dunării vor fi
    promovate în această vară pentru turiştii ruşi care, din cauza situaţiei din
    Turcia sau Egipt, îşi caută o nouă destinaţie de vacanţă. Colaborarea este
    prevăzută într-un acord deja semnat cu turoperatori din Federaţia Rusă şi îşi
    propune să urmeze modelul programului Litoralul pentru toţi. La
    promovarea acestuia vor participa şi sportivii din lotul naţional de karate al
    Rusiei, care se vor pregăti în iunie la Sulina, într-un cantonament comun cu
    lotul naţional al României. Reprezentanţii hotelierilor sunt, însă, nemulţumiţi
    şi afirmă că tarifele avansate de Asociaţia Litoral – Delta Dunării pentru
    ruşi, respectiv 10 euro pe noapte pentru o persoană, în hoteluri de patru
    stele, nu pot fi susţinute. Ei spun că nu au fost consultaţi de către
    preşedintele Asociaţiei, Cortina Martin, înainte să lanseze programul la
    Moscova şi adaugă că această manieră de lucru riscă să pună la îndoială
    seriozitatea României în relaţiile externe şi să compromită industria hotelieră
    de pe Litoral.

  • February 3, 2016 UPDATE

    February 3, 2016 UPDATE

    PROSECUTION – The Romanian Senate has complied with the request of the National Anti-Corruption Directorate regarding the prosecution of the senator of the National Union for the Progress of Romania, Gabriel Oprea, former deputy prime minister for national security and interior minister. The decision was passed with 102 ayes and 31 nays. Oprea is facing two charges of abuse in office and is accused of obtaining undue benefits for himself or for another person during his term in office. One of the offences is the use of the Interior Ministrys human and material resources to illegally ensure the ministers police escort. The second offence is related to the conclusion of an agreement under which the Prosecutor General, Tiberiu Nitu, allegedly benefited from a motorcade. Prosecutors say that Tiberiu Nitu, who resigned on Tuesday, is not under investigation. The law stipulates that only the president, the prime minister and the two speakers of the Chamber of Deputies and the Senate, respectively, have the right to a motorcade, whereas ministers can use it only in emergencies.



    CORRUPTION– The mayor of the south-eastern Romanian city of Braila, Social Democrat Aurel Simionescu, was taken into custody on Wednesday by the anti-corruption prosecutors who accuse him of having favoured a consortium of firms, at a tender to modernize a boulevard. The facts, assimilated to corruption deeds, were reportedly made with the assistance of civil servants subordinated to the mayor, as well as with the complicity of the representatives of the firms interested in getting the public works contracts. According to judicial sources, the prejudice brought to the local administration stands at some 9 million Euros.



    JUSTICE– The Romanian government on Wednesday decided to suspend until September 1, 2016, under an emergency ordinance, the enforcement of the legal provision reducing the sentences of detainees publishing alleged scientific works. The decision comes after justice minister, Raluca Pruna, has justified her calls for the repealing of this legal provision, laid down in the Romanian law since 1969, through the fact that in the last couple of years, abuses have been reported entailing intellectual imposture in penitentiaries. The phenomenon has gained momentum: whereas 90 works were written in 2014, as many as 340 works were published in 2015, minister Pruna explained.



    SECURITY IN EUROPE–The Romanian Foreign Ministry hails the United States announcement on a four-fold increase in the budget destined for the European Reassurance Initiative/ERI for 2017, as well on its determination to assure a robust American military presence in Europe. According to the Romanian Foreign Ministry, the announcement comes as a confirmation of the United States strong commitment to Europes security, tightening NATOs collective defense measures and discouraging risk factors. The implementation of the measures announced by the US will contribute significantly to consolidating Romanias and the other allies security in the face of security provocations in our region, a press release issued by the Romanian Foreign Ministry on Wednesday shows. The Pentagon has announced it increases its budget for Europe, up to 3.4 billion dollars, in the new security strategic context, marked by Russias actions and the ascension of the Islamic State terrorist group. Allied within NATO, Bucharest and Washington are tied by a bilateral strategic partnership.



    DEFENSE – Romania and France are supporting each others efforts to fight international terrorism, and the Romanian authorities reiterate their solidarity with France, in the difficult context generated by the recent terror attacks in Paris. This was the conclusion of the talks held in Bucharest on Wednesday by Romanian defense minister, Mihnea Motoc, and the Chief of Staff of the French Army, general Pierre de Villiers. A focal point on the agenda of the talks was the future NATO Summit in Warsaw, against the backdrop of the strategic adjustment process carried out by the North Atlantic Alliance. The French military official also met with his Romanian counterpart, general Nicolae Ciuca, together with whom he approached the security development situation in the Black Sea area and the participation of Romanian military in theatres of operations.



    ROMANIAN ECONOMY – The French credit insurance company Coface has maintained the B country risk rating for Romania, which is indicative of an unstable macroeconomic environment, the companys 2015 macroeconomic Report says. “Despite the macroeconomic balance, the setback in the transition to the Euro and the compliance with the nominal convergence criteria, Romania is still vulnerable because of the structural character of domestic microeconomic imbalance, the Report shows. According to the Report, the factors of the imbalance are the very high level of the trade credit, the great interdependence between companies, the speedy interruption of the activity of many companies as compared to the recently registered companies and the high level of instruments that were refused upon payment. According to Coface, the strengths are the relatively large domestic market, qualified and cheap work force, a significance currency reserve and the relatively stable national currency as against the Euro, the public debt level below the EU average and a low energy dependence. Coface estimates a 4.2% economic growth for Romania this year.



    ADOPTIONS – The Commission for labour and social protection of the Chamber of Deputies on Tuesday passed the draft law shortening the adoption time and simplifying the adoption procedures, so that a child could be adopted more quickly. To facilitate a better relationship between children and their new family, the Commission increased the accommodation leave granted to parents from 3 to 12 months. If within a year, parents failed to adopt a child, they are now given one more year to do it.



    TOURIST INDUSTRY – According to the National Institute for Statistics, 9.8 million tourists were accommodated in various units in Romania in 2015, by 17.2% more than in 2014. 77.4% of the total number of tourists were Romanian and 22.6% were foreign, the figures being similar to the ones in 2014. Three quarters of the foreign tourists came from Europe. The average stay of Romanian tourists was 2.5 days and that of foreign tourists was 2 days. 36.3% of the tourists stayed in hotels, 21.8% in villas and 20.4% in hostels.


    (Translated by Diana Vijeu and Ana-Maria Palcu)

  • 17.10.2015 (mise à jour)

    17.10.2015 (mise à jour)

    Congrès – Le Parti Social-démocrate, principale formation politique de la coalition au pouvoir en Roumanie, doit élire dimanche, en Congrès extraordinaire, le nouveau Bureau permanent national et valider Liviu Dragnea dans son poste de président du parti. Après sa victoire aux élections organisées la semaine dernière, Liviu Dragnea a proposé une nouvelle structure de direction du PSD, avec un Bureau permanent national plus restreint et des attributions légèrement modifiées. Pour le deuxième poste dans la hiérarchie du parti, celui de président exécutif, sont en lice le président de la Chambre des députés, Valeriu Zgonea et l’ex ministre de l’économie, Constantin Niţă. Le Congrès doit également entériner les propositions de modification du statut du PSD, dont l’interdiction du cumul des fonctions au sein du parti. Par ailleurs, le Conseil National deviendra l’organisme spécialisé dont le rôle consiste à coordonner l’activité des différents départements.



    Etude — En Roumanie, le PIB va croître de 3,3 % cette année, tandis que l’inflation moyenne annuelle sera de 0,3 %, selon l’analyse de risque pays réalisée par la COFACE, numéro 1 mondiale de l’assurance-crédit. L’étude mentionnée révèle que la demande interne sera stimulée par l’allègement fiscal, ainsi que par la majoration des pensions de retraite et des salaires dans le secteur public. La consommation va s’accroître grâce aussi aux programmes d’assistance sociale aux ménages à faible revenu. Les spécialistes de la COFACE estiment pour autant que les investissements dans le secteur public se maintiendront à un bas niveau en raison de la lourde bureaucratie pour ce qui est de l’accès aux fonds européens et de l’absence d’une structure locale appropriée.



    Accord — L’accord commercial entre l’Europe et l’Amérique comporte aussi une composante géostratégique, puisqu’il offre de la stabilité dans la zone, estiment la commissaire européenne au commerce, Cecilia Malmström et l’ambassadeur des Etats-Unis auprès de l’UE, Anthony Gardner. Les deux officiels ont participé vendredi à Bucarest à la conférence internationale au sujet des cibles de l’Accord de partenariat et d’investissement entre les Etats-Unis et l’UE, que les deux parties sont en train de négocier. Selon Cecilia Malmström, le premier effet tangible dudit document sera la suppression des taxes, des tarifs ou des procédures redondantes et coûteuses, ce qui devrait impulser l’activité des compagnies. Si le Partenariat transatlantique de commerce et d’investissement entrait en vigueur, plusieurs sociétés basées dans 130 villes à travers la Roumanie qui exportent aux Etats-Unis bénéficieraient de meilleures conditions à l’exportation, a souligné la commissaire européenne Cecilia Malmström. Pour sa part, l’ambassadeur des Etats-Unis auprès de l’UE, Anthony Gardner soutient que l’accord en question répond dans une égale mesure aux besoins économiques et géostratégiques.



    Sport — Les sportifs du club Minaur Baia Mare (nord-ouest), champions de Roumanie de handball masculin, rencontreront dimanche à domicile les Macédoniens du Metalurg Skopje, dans le Groupe D de la Ligue des champions. Par ailleurs, les handballeuses du HCM Baia Mare (nord-ouest), vice – championnes de Roumanie, ont vaincu les Slovènes du RK Krim Ljubljana (score 33-27), lors du match en déplacement comptant pour le Groupe A de la Ligue des champions. Les championnes de Roumanie, du club bucarestois CSM ont débuté par une victoire dans le Groupe D de la compétition, en triomphant de l’équipe polonaise MKS Selgros Lublin, lors du match disputé à Bucarest (score 33-21).

  • 17.10.2015

    17.10.2015

    Etude — En Roumanie, le PIB va croître de 3,3 % cette année, tandis que l’inflation moyenne annuelle sera de 0,3 %, selon l’analyse de risque pays réalisée par la COFACE, numéro 1 mondiale de l’assurance-crédit. L’étude mentionnée révèle que la demande interne sera stimulée par l’allègement fiscal, ainsi que par la majoration des pensions de retraite et des salaires dans le secteur public. La consommation va s’accroître grâce aussi aux programmes d’assistance sociale aux ménages à faible revenu. Les spécialistes de la COFACE estiment pour autant que les investissements dans le secteur public se maintiendront à un bas niveau en raison de la lourde bureaucratie pour ce qui est de l’accès aux fonds européens et de l’absence d’une structure locale appropriée.



    Accord — L’accord commercial entre l’Europe et l’Amérique comporte aussi une composante géostratégique, puisqu’il offre de la stabilité dans la zone, estiment la commissaire européenne au commerce, Cecilia Malmström et l’ambassadeur des Etats-Unis auprès de l’UE, Anthony Gardner. Les deux officiels ont participé vendredi à Bucarest à la conférence internationale au sujet des cibles de l’Accord de partenariat et d’investissement entre les Etats-Unis et l’UE, que les deux parties sont en train de négocier. Selon Cecilia Malmström, le premier effet tangible dudit document sera la suppression des taxes, des tarifs ou des procédures redondantes et coûteuses, ce qui devrait impulser l’activité des compagnies. Si le Partenariat transatlantique de commerce et d’investissement entrait en vigueur, plusieurs sociétés basées dans 130 villes à travers la Roumanie qui exportent aux Etats-Unis bénéficieraient de meilleures conditions à l’exportation, a souligné la commissaire européenne Cecilia Malmström. Pour sa part, l’ambassadeur des Etats-Unis auprès de l’UE, Anthony Gardner soutient que l’accord en question répond dans une égale mesure aux besoins économiques et géostratégiques.



    Sport — Les handballeuses du HCM Baia Mare (nord-ouest), vice – championnes de Roumanie, ont vaincu les Slovènes du RK Krim Ljubljana (score 33-27), lors du match en déplacement comptant pour le Groupe A de la Ligue des champions. Les championnes de Roumanie, du club bucarestois CSM, ont débuté par une victoire dans le Groupe D de la compétition, en triomphant de l’équipe polonaise MKS Selgros Lublin, lors du match disputé à Bucarest (score 33-21).



    Météo — Il fait froid et le ciel est plutôt couvert. Des pluies sont signalées dans l’ouest et le nord-ouest de la Roumanie. Les températures maximales de la journée s’étaleront entre 12 et 19 degrés. 16 degrés à midi dans la capitale, Bucarest.

  • Guvernatorul BNR despre economia românească

    Guvernatorul BNR despre economia românească

    Aderarea României la Zona Euro, la 1 ianuarie 2019, este un obiectiv foarte ambiţios şi trebuie pregătit riguros, a reafirmat guvernatorul Băncii Naţionale, Mugur Isărescu, la o conferinţă pe tema riscului de ţară organizată la Bucureşti de Agenţia internaţională de evaluare COFACE. El susţine ca România trebuie să finalizeze ajustările majore de politică economică înainte de intrarea în mecanismul ratelor de schimb care precede zona euro, în special, prin eliminarea acelor surse care pun presiune mare asupra economiei. Este vorba de sursele de inflaţie reprimată, deficitele cvasifiscale de tipul celor care rezultă din restructurarea întreprinderilor de stat cu pierderi substanţiale, precum şi alte surse de presiuni bugetare viitoare.



    Mugur Isărescu: ” Am în vedere în primul rând eliminarea surselor de inflaţie reprimată, relevante în acest sens fiind de exemplu finalizarea liberalizării pieţei energiei. Doi: deficite cvasifiscale de tipul celor care rezultă din restructurarea întreprinderilor de stat cu pierderi substanţiale; şi trei: alte surse de presiuni bugetare viitoare, ca de exemplu cheltuielile inevitabile de modernizare a infrastructurii rutiere”.



    In plus, mai spune şeful Băncii Centrale, România trebuie să efectueze şi ajustări de natură monetară, respectiv încheierea procesului de armonizare a ratelor rezervelor minime obligatorii cu cele prevalente în zona euro. Tehnic, a explicat Isărescu, data ţintă – 2019, stabilită la nivel declarativ de autorităţile de la Bucureşti, presupune intrarea în mecanismul ratelor de schimb la 1 ianuarie 2016, dar aceasta reclamă şi un anumit nivel de dezvoltare a economiei.



    Pe de alta parte, Isărescu atrage atenţia că România este singurul stat membru UE fost comunist din estul Europei, care are în prezent o dată ţintă pentru adoptarea monedei unice. El consideră ca este momentul evaluării calendarului de aderare la euro, în contextul în care ţările din jur, precum Bulgaria, Cehia, Polonia, Croaţia şi Ungaria adoptă o atitudine de expectativă.



    Participanţii la conferinta COFACE de la Bucuresti au susţinut, la rândul lor, că adoptarea euro de către România în 2019 este foarte dificil de realizat. Ei cred, pe de altă parte, că măsurile prevăzute în noul Cod fiscal vor impulsiona numai creşterea economică pe termen scurt şi vor contribui la îmbunătăţirea consumului; acesta ar avea, oricum, o tendinţă pozitivă şi ar crea potenţialul pentru dezechilibre în anii următori, întârziind, astfel, procesul de adoptare a monedei euro. În acelasi timp, ei atrag atenţia guvernului că economia are nevoie de investiţii pentru a putea stimula creşterea PIB-ului, în vederea reducerii decalajelor faţă de vest.

  • Die Woche 08.09.2014-12.09.2014 im Überblick

    Die Woche 08.09.2014-12.09.2014 im Überblick

    Sozialdemokratin Corina Creţu wird EU-Kommissarin für Regionalpolitik



    Der Präsident der Europäischen Kommission Jean-Claude Juncker hat am Mittwoch die Verteilung der Kommissarposten für den Zeitraum 2014-2019 vorgestellt. Die Euroabgeordnete Corina Creţu aus Rumänien wird für den Geschäftsbereich Regionalpolitik zuständig sein. Mit einem Budget in Höhe von 350 Milliarden Euro für die Haushaltsperiode bis 2020 ist die Regionalpolitik auf Investitionen ausgerichtet. Die Aufgabenbereiche umfassen die Schaffung von Arbeitsplätzen, die Stärkung der Wettbewerbsfähigkeit, die Verbesserung der Lebensqualität und die Realisierung einer nachhaltigen, wirtschaftlichen Entwicklung, kündigte Juncker bei der Vorstellung seines Programms an.



    Mit dieser neuen Kommission geht eine au‎ßerordentliche Chance, aber auch die Pflicht eines Neuanfangs für die EU einher. Wir müssen uns an die Arbeit machen und eine Erholung der Wirtschaft innerhalb der Staatengemeinschaft erreichen. Wir wollen eine Europäische Union aufbauen, die Arbeitsplätze und Wirtschaftswachstum bieten kann.”



    Ministerpräsident Victor Ponta bezeichnete die Vergabe des Portfolios Regionalpolitik an Rumänien als Erfolg Bukarests.




    Neue Sanktionen gegen Russland



    Die Europäische Union hat in der Ukraine-Krise neue Wirtschaftssanktionen gegen Russland verhängt, zugleich aber die Bereitschaft zu deren Aufhebung erklärt. Wie lange die Sanktionen bestehen blieben, hänge von Russlands Verhalten in der Ukraine ab, teilte EU-Ratspräsident Herman Van Rompuy am Donnerstag nach dem Beschluss der Botschafter der 28 EU-Staaten mit. Nach Einschätzung der Nato hat Russland weiterhin noch etwa 1000 Soldaten im Einsatz. Die Sanktionen, die am Freitag im EU-Amtsblatt veröffentlicht wurden und damit in Kraft treten, erschweren den Zugang russischer Banken, Rüstungs- und Energieunternehmen zu den Finanzmärkten der EU. Zudem werden Dienstleistungen für Ölbohrungen in der Tiefsee und der Arktis verboten. Kontensperrungen und Einreiseverbote gibt es für 24 zusätzliche Personen, darunter laut EU-Mitteilung «russische Entscheidungsträger und Oligarchen». Zeitgleich mit der EU verhängten auch die USA wegen der Ukrainekrise weitere Sanktionen gegen Russland. Russland werde in dem Konflikt dadurch politisch noch stärker isoliert, die Kosten für die Wirtschaft des Landes würden erhöht, so US-Präsident Barack Obama. Russland reagierte mit Unverständnis und Gegenvorwürfen auf die verschärften Sanktionen der EU und USA. Der russische Präsident Wladimir Putin warf dem Westen vor, den Ukraine-Konflikt “zur Wiederbelebung der Nato als au‎ßenpolitisches Schlüsselinstrument” der USA zu missbrauchen. Andere russische Stimmen sprachen von einer lange geplanten Vergeltungsaktion der USA. Das Welternährungprogramm (WFP) verteilt erstmals in seiner Geschichte Hilfslieferungen in der Ukraine.




    Parlament verabschiedet zwei Gesetze mit sozialen Auswirkungen



    Die Abgeordnetenkammer in Bukarest hat am Dienstag das Gesetz über die Steueramnestie für Rentner, Mütter und Beamte verabschiedet. Davon profitieren Personen, die infolge falscher Berechnungen mehr Geld bekommen haben und für diese Summen keine Steuern mehr zahlen müssen. Die neuen Bestimmungen kommen damit etwa 20.000 Müttern, 50.000 Rentnern und 25.000 Beamten zugute. Die Regelung wird am 1. Januar 2015 in Kraft treten. Die Summen sollen in monatlichen Raten, in höchstens fünf Jahren, rückerstattet werden.



    Auch das Gesetz zur Herabsetzung der Sozialbeiträge um 5 % für Arbeitgeber wurde am Dienstag verabschiedet. Der dazugehörige Entwurf wurde somit in seiner ursprünglichen Fassung angenommen. Das Plenum der Abgeordnetenkammer in Bukarest wies die Forderung des Präsidenten Traian Băsescu zur Überarbeitung des Gesetzentwurfs endgültig ab. Im Juli hatte der Staatschef erklärt, er unterstütze die Ma‎ßnahme, schickte aber das Gesetz dem Parlament zur Überarbeitung zurück, weil er Bedenken über die Nachhaltigkeit der Senkung der Sozialbeiträge hatte. Die Finanzministerin Ioana Petrescu versicherte dem Plenum der Abgeordnetenkammer, dass sowohl für dieses Jahr als auch für 2015 Ressourcen für den Ausgleich der Ma‎ßnahme vorhanden seien. Die Opposition hatte das Gesetz ursprünglich als Wahlkampfstrategie kritisiert, danach stimmten ihre Abgeordneten allerdings für deren Verabschiedung.




    Coface-Studie: Rumänien gehört zu den Anführern der wirtschaftlichen Erholung in Europa



    Die Wirtschaftskennzahlen in Rumänien zeigen angeblich, dass das Land zu den Anführern der wirtschaftlichen Erholung in Europa gehört. Die Entwicklung seines Bruttoinlandsproduktes übertraf mit einem Wert von 3,5% die Erwartungen. Die Perspektiven für 2014 seien zudem positiv, hei‎ßt es in einer Coface-Studie zum Länderrisiko. Einen entscheidenden Beitrag zu dieser Entwicklung hätten die Landwirtschaft, die Industrie und vor allem die Automobilindustrie geleistet, die insbesondere Kunden im Ausland beliefert hätte.



    Laut der Studie habe das Realwachstum des BIP im letzten Quartal sogar die 5%-Quote überschritten. Im vergangen Jahr hatten noch die Exporte mit einem Wachstum von 13,5% beträchtlich zur positiven Entwicklung beigetragen. Indes hat die landwirtschaftliche Produktion Rumäniens einen Gesamtwert von 17 Milliarden Euro und damit 5% der gesamten Agrarproduktion der EU erreicht, erklärten die Coface-Experten.



    Die Prognosen zur Agrarproduktion in diesem Jahr sind gemischt: das realistische Szenario blickt niedrigeren Erträgen als 2013 entgegen. Die Exporte sollen nach wie vor von der Nachfrage nach neuen PKW geprägt sein und so die Ergebnisse der rumänischen Industrie nach oben schrauben. Die Binnennachfrage soll ebenfalls Zeichen einer leichten Verbesserung aufzeigen, dem Trend sollen die Konsumausgaben der Haushalte folgen, wobei sie noch von dem niedrigen Niveau der Kreditvergabe beeinflust werden.




    Steht Präsident Băsescu erneut vor dem Amtsenthebungsverfahren?



    Der Vorsitzende des Senats, Călin Popescu Tăriceanu, hat die ersten Schritte für ein neues Amtsenthebungsverfahren gegen Präsident Traian Băsescu unternommen. Er präsentierte den Fraktionschefs im Parlament seinen Antrag und schlug ferner einen Terminkalender für das Verfahren vor: am 23. September sollte das Parlament über den Antrag auf Amtsenthebung abstimmen und am 2. November würde das notwendige Referendum dazu stattfinden, zeitgleich mit der ersten Runde der Präsidentschaftswahlen. Laut Popescu Tăriceanu gehe die Haltung des Präsidenten über seine verfassungsrechtlichen Befugnisse hinaus, da er mehrere Male bestimmte Parteien im Wahlkampf unverhohlen unterstützt habe.