Tag: concours RRI

  • 19.09.2018

    19.09.2018


    Conférence – Le dernier jour de la 2e Conférence internationale des jeunes francophones (CIJF) a été consacré à des débats sur plusieurs sujets très actuels sur tous les continents : lengagement des jeunes dans la prévention de la radicalisation et lextrémisme violent à travers lespace francophone, en phase avec linitiative « Libres ensemble », lancée en 2016 par la Secrétaire générale de lOIF, Michaelle Jean ; le rôle des jeunes en tant quagents de changement, vecteurs de paix et promoteurs de la diversité ; la mobilité des jeunes dans lespace francophone au 21e siècle. Une fois de plus, léducation de qualité, lemploi, la mobilité des jeunes francophones ont été mis en exergue par les tous les interventions. Laprès-midi est, à nouveau, consacré à des ateliers interactifs sur la manière dagir pour promouvoir la solidarité, la liberté et le respect, sur la mise en page dun projet de développement communautaire réussi ou encore sur la gestion de la performance dune initiative économique grâce aux outils de suivi-évaluation. La CIJF doit aboutir à ladoption dune déclaration commune qui sera soumise au prochain Sommet de la Francophonie, qui se tiendra à Erevan, en Arménie, au mois doctobre.





    Référendum — Le parti L’Union Sauvez la Roumanie”, d’opposition, a demandé à l’Avocat du peuple, l’équivalent du Défenseur des droits, d’attaquer devant la Cour Constitutionnelle le décret d’urgence adopté mercredi par le gouvernement, prévoyant que le référendum sur la famille aura lieu les 6 et7 octobre. Selon les représentants de cette formation politique, l’Exécutif et la coalition au pouvoir auraient modifié les règles d’organisation du référendum, après le déclenchement du processus, ce qui contrevient aux bonnes pratiques recommandées y compris par la Commission de Venise. Ce référendum fait suite à la loi sur la révision de la Constitution, récemment adoptée par le Parlement, qui prévoit de redéfinir la famille comme l’union librement consentie entre un homme et une femme et non pas entre les époux, comme c’était le cas jusqu’ici.



    Justice – La Haute Cour de Cassation et de Justice de Roumanie a fixé pour le 8 octobre la première séance d’appel dans le dossier dont fait l’objet Liviu Dragnea, président de la Chambre des députés et chef de file des sociaux-démocrates. Celui-ci a été condamné, en première instance, en juin dernier, à 3 ans et 6 mois de prison ferme pour incitation à l’abus de fonction. Les procureurs de la Direction nationale anti-corruption l’accusent d’avoir arrangé l’embauche fictive de deux membres du PSD à la Direction d’Assistance sociale et de protection de l’enfance de Teleorman (sud du pays). Les deux fonctionnaires, payées de fonds publics, travaillaient en fait exclusivement pour le PSD. En 2016, Liviu Dragnea avait été condamné à 2 ans de prison avec sursis pour tentative de fraude électorale, sentence annulée cet été par la Haute Cour. Liviu Dragnea nie avoir commis les faits dont il est accusé.


    Par ailleurs, la direction du PSD se réunira vendredi pour discuter des mécontentements exprimés par certains leaders du parti, dont Paul Stanescu, vice-premier ministre et ministre du Développement régional et de l’Administration publique, Adrian Ţuţuianu, vice-président du Sénat et Gabriela Firea, édile de la capitale, qui demandent la démission de Liviu Dragnea.



    Réunion — Le président roumain, Klaus Iohannis participe, deux jours durant, à la réunion informelle du Conseil européen de de Salzbourg, en Autriche. A l’agenda des discussions figurent des sujets tels la migration, la sécurité intérieure de l’UE et le Brexit. Selon un communiqué de l’Administration présidentielle de Bucarest, le chef de l’Etat roumain plaidera en faveur de la poursuite des discussions sur le Règlement de Dublin, afin d’aboutir à une solution consensuelle censée assurer l’équilibre entre la solidarité et la responsabilité des Etats membres, tout en conservant le caractère volontaire de toute forme de relocalisation des personnes nécessitant une protection internationale. Au chapitre sécurité intérieure de l’Union, les trois thèmes prioritaires des débats seront la protection des frontières extérieures, la sécurité intérieure et la cybersécurité. Quant au Brexit, le président roumain va réaffirmer la nécessité de maintenir une position unitaire et cohérente dans les négociations avec le Royaume-Uni, afin de parvenir à un accord de retrait équitable pour toutes les parties. Klaus Iohannis va également souligner que protéger les droits et les intérêts de ses ressortissants qui vivent au Royaume-Uni est une priorité pour la Roumanie.



    Visite — Le vice – président de l’Inde, Venkaiah M. Naidu, a été reçu mercredi à Bucarest par le chef de l’Etat roumain, Klaus Iohannis. Ce dernier a déclaré qu’une coopération élargie entre les économies et les milieux des affaires des deux pays, ainsi qu’un volume accru et la diversification des échanges commerciaux contribueraient au renforcement du partenariat bilatéral. Les deux officiels ont par ailleurs convenu de prêter une attention particulière au développement des relations dans les domaines de la culture, de l’éducation et du tourisme.


    Venkaiah M. Naidu a auparavant rencontré le président du Sénat roumain, Călin Popescu-Tăriceanu, et celui de la Chambre des députés, Liviu Dragnea. Il doit s’entretenir aussi avec la cheffe de l’Exécutif de Bucarest, Viorica Dăncilă. Călin Popescu-Tăriceanu et Venkaiah M. Naidu participeront ce mercredi à l’ouverture du Forum économique Roumanie-Inde, organisé par la Chambre de commerce et d’industrie de Bucarest. La visite du vice – président de l’Inde a lieu dans le contexte de la célébration des 70 ans écoulés depuis l’établissement des relations diplomatiques entre les deux pays et du 5e anniversaire de leur partenariat élargi. Notons que les échanges commerciaux bilatéraux se chiffraient l’année dernière à 642 millions de dollars. L’inde est à présent le 2e partenaire asiatique de la Roumanie, après la Chine.



    Peste porcine — La peste porcine africaine oblige les autorités roumaines à prendre des mesures pour prévenir la propagation du virus. Dans le comté de Vaslui (est), on a décidé d’abattre un millier de sangliers d’ici fin février 2019, tandis que dans le département de Tulcea (sud-est), on cherche des personnes prêtes à aider à repousser les sangliers et les chacals de la Réserve de la Biosphère du delta du Danube. Dans la contrée de Gorj (sud-ouest), où l’on n’a pas pour l’instant signalé des cas de peste porcine, toutes les foires d’animaux ont été fermées et les transports routiers sont soumis à des contrôles rigoureux. Depuis fin juillet 2017, quand la présence du virus a été confirmée en Roumanie, on a recensé près de 900 foyers de maladie dans 13 départements du nord-ouest et du sud-est du pays.



    Concours – Jonas Sell et Sabrina Friesenborg, de Dortmund, Allemagne, gagnants du jeu-concours Alba Iulia — la ville de l’Union”, organisé par RRI, ont achevé mardi leur périple de 9 jours dans la contrée d’Alba. Accompagnés par des journalistes de la rédaction en langue allemande de RRI, ils ont visité maintes attractions touristiques, culturelles et religieuses, ainsi que des réserves naturelles et des grottes des Monts Apuseni, la ville d’Alba Iulia et ses alentours. Rappelons que du 1er avril au 30 juillet 2018, RRI a organisé un jeu concours doté de prix, consacré au centenaire de lUnion des territoires habités majoritairement par des Roumains dans un Etat national unitaire. Les participants ont dû répondre à 3 questions de culture générale liées à la ville et au comté d’Alba. On a reçu 268 réponses correctes.



    Météo — Il fait beau et chaud pour cette période de l’année. Le ciel est variable sur le nord, l’ouest et le centre du pays. Les températures maximales de 22 à 30. Il faisait 23° à midi dans la capitale, Bucarest.

  • La région touristique d’Arieşeni

    La région touristique d’Arieşeni

    L’offre touristique y est particulièrement diversifiée : depuis les randonnées estivales à travers des contrées magnifiques, à la pratique du ski de fond en hiver. L’alpinisme, le cyclisme hors pistes, le ski alpin sur la piste Vârtop en saison, constituent autant d’attractions à ne pas manquer. Et puis, les grottes, dont certaines accessibles aux touristes, ou encore les sports d’aventure, tel le canyoning ou le rafting, à pratiquer sur les rivières de montagne de la région.La rubrique d’aujourd’hui est dédiée au concours « Alba Iulia, la ville de la grande Union », et consacrée au Centenaire, l’événement qui marque les cent ans passés depuis le moment où les régions majoritairement roumanophones d’Autriche-Hongrie ont rejoint ce qu’était alors le royaume de Roumanie, formé depuis 1881.

    La région d’Arieseni, située dans les monts Apuseni, est l’une des zones que la modernité a contournée, où les traditions ancestrales sont encore bien vivantes et toujours aussi fascinantes pour le touriste moderne qui s’y aventure. Quant aux mets traditionnels, n’y soyez pas impatients, vous aurez l’occasion de vous en délecter. Carmen Preja, conseiller touristique au Centre national d’information et de promotion du tourisme d’Alba Iulia, essaye de nous mettre l’eau à la bouche : « Si vous débutez votre séjour par quelques folies culinaires, ne soyez pas inquiets, vous aurez l’occasion de vous dépenser ultérieurement. En grimpant la Colline aux escargots, en allant jusqu’à la chute d’eau Pişoaia, ou encore dans les réserves Detunata Cheală et Detunata Flocoasă, où l’on rencontre des formations karstiques étonnantes. Et puis, évidemment, le Parc national des monts Apuseni qui nous invite aux randonnées en été. La plupart des sentiers sont homologués et dûment marqués. Pour les amoureux de sports d’hiver, bonne nouvelle : de plus en plus de pistes de ski sont aménagées et ouvertes aux skieurs. Quant à l’offre hôtelière, l’on trouve tout ce que l’on désire : depuis les petits cabanons rustiques, en bois, et jusqu’aux hôtels de 4 ou de 5 étoiles, avec saunas, jacuzzis, et toutes les facilités imaginables. »

    La Colline aux escargots est bien plus qu’une simple curiosité. Il s’agit, en effet, d’une réserve paléontologique d’intérêt national. Une zone unique, qui date, en l’état, depuis 65 à 70 millions d’années et où l’on rencontre 35 espèces de mollusques. A l’époque, cette zone était submergée par les eaux chaudes d’une mer, la mer Tethys, où les conditions pour le développement de ces êtres étaient réunies. Les sédiments ont été conservés et, avec le temps, se sont pétrifiés. Deux objectifs à ne surtout pas louper, Ecoutons à nouveau Carmen Preja : « La grotte Scărişoara abrite le deuxième plus important glacier d’Europe. Il faut le voir au moins une fois dans sa vie, cela vaut la peine. Puis, je ne passerais pas sans mentionner la maison-musée d’Avram Iancu, aménagée à la mémoire de ce héros de la lutte d’émancipation des Roumains de Transylvanie, lors de la révolution de 1848. Au-delà du personnage historique, par les objets du quotidien de l’époque exposés, cette maison-musée nous rappelle la vie d’antan de la région. C’est inédit. »

    Mais pour connaître de près la région d’Arieseni, il faut, comme toujours, approcher un habitant. Cette fois ce sera Ioan Mocan, le propriétaire d’une maison d’hôtes, Casa Moţului, la « Maison du Moţ », les « Moţi » étant les anciens Valaques, habitant depuis la nuit des temps cette partie de la Transylvanie. Ioan Mocan est aussi l’un des sponsors du concours dont on vous a touché un mot au début de notre rubrique, mais nous y reviendrons. Voilà ce qu’il nous dit : « Notre région est nantie. Elle est riche et propose une foule d’attractions touristiques : naturelles, historiques et culturelles. Grottes, glaciers, chutes d’eau, églises et monastères anciens. Prenez Roşia Montană, et sa zone minière. Il s’agit d’un musée souterrain grandeur nature, des galeries d’extraction du minerais d’or, vieilles de plus de 2.000 ans. Les jeunes peuvent faire de l’escalade dans les gorges Galbenei, vers la citadelle Ponorului, vers le ravin Ruginoasă. Ce ravin est un véritable phénomène naturel, dû à l’érosion du sol et qui s’agrandit de deux mètres tous les ans. Il est spectaculaire, je le rapprocherais au Grand Canyon situé aux Etats-Unis. Et puis, il y a le glacier Vârtop. On y entre avec des torches, et on trouve à l’intérieur des espèces d’insectes qu’on ne trouve nulle part ailleurs. C’est vraiment intéressant. »

    Et puis, la zone des monts Apuseni, riche en bois, est célèbre pour son artisanat et ses artisans, et pour leur travail du bois justement. C’est là que l’on trouvera des maisons en bois datant de plus de deux siècles. Il paraît qu’un vieux secret, qui garantit la pérennité de l’ouvrage, relierait le moment exacte de la coupe de l’arbre aux phases de la lune. Mais d’autres artisanats traditionnels ont cours parmi les habitants de cette région reculée. Et des événements spécifiques tentent, de nos jours, leur mise en valeur. Ecoutons à nouveau Ioan Mocan, le propriétaire du gîte Casa Moţului : « A Arieşeni même, on compte deux musées où le visiteur peut aussi bien admirer les objets d’artisanat, que s’initier à leur confection. On trouve cela à Arieşeni, mais aussi dans d’autres villages, tels Avram Iancu, Vidra, Târsa, Poiana Vadului. S’initier à la fabrication des tonneaux et des buciums ou des tulnics, ces instruments à vent typiquement roumains, qui peuvent mesurer jusqu’à 3 mètres de long, et qui servaient autrefois à appeler le bétail, ce ne sont pas des choses que l’on apprend tout les jours. Par ailleurs, les femmes tissent cette chemise traditionnelle appelée « ie », la blouse roumaine. Mais l’événement le plus important est le Marché du tourisme rural d’Albac. On peut rencontrer des artisans originaires de toute la Transylvanie, voire de toute la Roumanie. Puis aussi, l’autre grand événement du genre est la Journée de l’artisan du bois, organisé dans la commune de Horea, aux alentours du 15 août, lors de la Sainte Marie. »

    Les touristes arrivent des quatre coins du monde. Foi de propriétaire de gîte. Ioan Mocan encore : « Notre gîte est côté quatre marguerites, l’équivalent des quatre étoiles des hôtels. On compte 13 chambres, dotées d’un accès WiFi. On organise des soirées thématiques, avec des danses et de la musique traditionnelles, spécifiques au Pays des Mots. On organise aussi des randonnées. Mais on propose également des facilités modernes, telles des salles de conférence. Nous accueillons des touristes originaires du Japon, du Brésil, du Costa Rica, de l’Afrique du Sud, de tous les pays européens, et même d’Irak, d’Iran, d’Israël, du Canada ou des Etats-Unis. Les plus assidus sont les touristes originaires d’Afrique du Sud. On avait organisé un événement dédié au Centenaire, et l’on y avait convié la Philharmonie d’Alba Iulia. Et les touristes venaient juste d’arriver. Ils ont écouté la Philharmonie jouer une heure là, dans ces contrées reculées, dans les montagnes, c’était incroyable. A la fin, ils avaient les larmes aux yeux, car ils n’avaient pas imaginé que cela pouvait exister ici, écouter jouer cette musique là, dans les montagnes roumaines. Alors, j’invite tous les auditeurs de Radio Roumanie Internationale à participer au concours, oser visiter la Roumanie et, surtout, le pays des Mots ».

    Enfin, avant de nous quitter, nous vous rappelons que la date limite pour prendre part à notre concours est le 30 juin 2018. Bonne chance!

  • Alba Iulia

    Alba Iulia

    Alba Iulia est la seule ville de Roumanie (et parmi les très peu nombreuses d’Europe) qui figure sur la liste internationale de celles qui utilisent plus de 70% d’énergie électrique provenant de sources renouvelables. La ville profite de solutions intelligentes qui font partie du projet Smart City 2018, et la municipalité vient de lancer un blog officiel pour les touristes virtuels. En plus, cette année, on célébrera le 1er décembre le Centenaire de l’Union des trois provinces historiques roumaines.

    Mihai Coşer, porte-parole de la mairie d’Alba Iulia, explique : « Cette année sera très attrayante pour les hôteliers et pour les touristes qui viendront à Alba Iulia. C’est l’année du Centenaire et beaucoup d’évènements seront organisés toute l’année. Il est fort possible que le Gala de l’UNITER (L’Union des théâtres de Roumanie) ait lieu cette année à Alba Iulia. C’est un évènement très important, qui apportera à Alba Iulia tout ce qu’il y a de meilleur dans le monde du théâtre. De même, cette année on essaiera de transformer la citadelle d’Alba Iulia en un cinéma en mouvement. Il y aura des projections 3D sur les murs de la citadelle, tout autour, ce qui signifie un nouveau circuit touristique d’environ 3 km. A la tombée de la nuit, les touristes pourront regarder les moments les plus importants de l’histoire des Roumains. Cette année, on ne renoncera pas à un des éléments définitoires de la citadelle: les gardes, qui sont très aimés par le public. »

    Alba Iulia lancera cette année une déclaration officielle au sujet du Centenaire de l’Union des provinces roumaines.
    Mihai Coşer précise : « Nous déclarerons ce que nous ressentons aujourd’hui, 100 ans après l’Union des provinces. Radio Roumanie Internationale est un des premiers représentants des médias qui ont appris cela. Cette déclaration met l’accent sur les enfants et les jeunes. Comme le disait le roi Michel autrefois, nous vivons avec la conviction que notre pays a été emprunté aux plus jeunes et que nous devons le garder et le rendre quand le moment sera venu. Je vais vous révéler un aspect très important de ce projet. Il y aura une Allée du Centenaire, flanquée par environ 100 arbres, plantés par 100 enfants venus de tout le pays et sélectionnés à la suite d’un concours qui sera connu publiquement au niveau national. »

    Chaque arbre portera le nom d’un enfant et sera un lieu d’affichage pour des photographies. Chaque enfant va être photographié dans des hypostases différentes de sa vie, jusqu’à son âge adulte, près de l’arbre qui porte son nom, affirme Mihai Coşer, le porte-parole de la mairie d’Alba Iulia : « Les enfants jouent un rôle très important pour nous en cette année du Centenaire. Dans tous les coins de la citadelle d’Alba Carolina, il y aura des ateliers pour les enfants. Nous organiserons aussi un très grand festival pour eux. Nous avons l’intention de fonder un Musée de la Science à Alba Iulia, unique en Roumanie. Il sera créé en deux ou trois ans car il s’agit d’un investissement très important. Alba Iulia comprend toute l’histoire de ce pays qui s’étend sur plus de 2.000 ans. Ici se trouve le Palais des Princes, que nous restaurerons dès cette année à travers un projet européen. En plus, nous avons mis au point une nouvelle infrastructure numérique, créée par les meilleurs développeurs informatiques au monde. »

    Donc, cette année, c’est le moment de prévoir une visite en Transylvanie, à Alba Iulia. Vous y découvrirez plus qu’une ville, une région toute entière, pleine d’histoire, de légendes et de traditions. (Trad. Nadine Vladescu)