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  • Mini-vacances en ce début juin.

    Mini-vacances en ce début juin.

    Selon les données fournies par les professionnels de l’hôtellerie-restauration, pendant le pont de la Pentecôte qui vient de s’achever, les roumains se sont rendus à la montagne, dans les stations balnéaires, dans les zones rurales et dans le delta du Danube. Les établissements avec 3 ou 4 étoiles qui offrent des facilités et des services supplémentaires pour le confort des touristes ont été les plus courus. Ainsi de nombreux établissements 4 étoiles étaient intégralement réservés depuis plusieurs semaines et ceux situés dans les stations de montagne les plus connues ou dans le delta du Danube ont eu un taux d’occupation de 100%.

    La compagnie nationale de chemin de fer, la CFR a annoncé avoir vendu tous les billets vers le littoral et la vallée de la Prahova mais aussi vers Suceava dans le nord-est et Craiova dans le sud-ouest, des voiture supplémentaires ont dû être mis en place. La destination privilégiée en cette période demeure toutefois le littoral de la mer Noire. Des dizaines de milliers de touristes ont été attirés par le beau temps, l’atmosphère relaxante et les tarifs avantageux de début de saison. Les plages ont été étonnement pleines et les hôteliers considèrent ce début de saison comme prometteur. Comme les années précédentes, Mamaia, la station des clubs de nuit et de ceux qui font la fête sur la plage jusqu’au petit matin, a été la plus recherchée. A Mamaia, le prix de chambre commençait ce weekend à 135 lei soit 27 euros dans un hôtel 3 étoiles, 220 lei dans un 4 étoiles et jusqu’à 500 lei, soit 100 euros, en pension complète. Les touristes ont également été nombreux à choisir Eforie ou des stations un peu plus au sud comme Venus ou Saturne plus adaptées aux vacances en famille. Déjà deux semaines avant le début du pont, de nombreux hôtels avaient annoncé un niveau de réservation très élevé dans cette zone.

    Les montagnes n’étaient pas en reste et les touristes ont parfois dû faire de longues queues pour accéder aux aménagements et sites touristiques. Par exemple, devant le parc aquatique de Brasov, des gens qui voulaient être sûres de pouvoir bénéficier d’une des 3000 chaise-longues mises à disposition formaient une queue avant même l’ouverture. En Bucovine, dans le nord-est du pays, les réservations ont commencé dès cet hiver. Les hôtes ont pris soin de mettre en avant les mets traditionnels de la région et d’organiser des activités récréatives et des évènements artistiques. Les autorités ont tout mis en œuvre pour que ce weekend prolongé se passe dans les meilleures conditions : la police, la gendarmerie et les pompiers ont renforcé leurs équipes sur le terrain et au niveau des frontières des mesures de fluidification du trafic ont été prises. En effet, beaucoup de roumains ont aussi choisi de passer ce moment en Grèce, en Bulgarie ou en Hongrie.

  • La côte roumaine de la mer Noire

    La côte roumaine de la mer Noire

    La plupart des touristes peuvent y arriver en quelques heures avec leur propre voiture, en train ou en bus, en partant de n’importe quelle zone du pays. En plus, à Constanţa il y a un aéroport international qui rend les stations balnéaires très facilement accessibles. Le littoral roumain a de grandes plages dont l’aménagement est quotidien, avec des transats, des parasols et des bars. Il convient de mentionner qu’en Roumanie il y a déjà quatre plages Pavillon bleu : deux à Năvodari, une à Mamaia et une à Eforie. Traian Bădulescu, consultant en tourisme, a mis en exergue quelques-uns des avantages de notre littoral :



    « La côte roumaine offre beaucoup de surprises d’une année à l’autre. Par exemple, peu de gens savent que la base hôtelière est réhabilitée ou complètement rénovée. Pendant ces dix dernières années, beaucoup de nouveaux hôtels ont été construits. Étant donné le contexte actuel, les offres du type réservation anticipée ont été prolongées jusqu’au 31 mai ; c’est donc une très bonne nouvelle pour ceux qui veulent profiter des réductions allant jusqu’à 20 %. Il y a des tarifs pour tous les budgets. Pour donner un exemple, hors-saison, en juin ou en septembre, un touriste peut loger dans un hôtel trois étoiles dans le sud de la côte même avec un budget de 400-500 lei (80-100 euros) par personne. Bien évidemment, les tarifs peuvent être beaucoup plus grands à Mamaia Nord-Năvodari. La côte roumaine dispose de plus de 30 hôtels tout compris, car il y a une forte demande pour ce type d’hébergement. Ce qui compte beaucoup, c’est que le bord de mer est enfin redevenu la capitale du divertissement après deux années de restrictions ; toutes les boites de nuit ont rouvert leurs portes, il n’y a plus d’heure limite de fermeture ou de nombre limité de participants et il y a de nouveau de plus en plus de festivals. Le littoral roumain est reconnu comme étant celui des événements et des festivals. »



    À part les boites de nuit qui ont commencé à ouvrir aussi dans le sud de la côté roumaine, il y a de différentes manières de s’amuser. Par exemple, à Mamaia ainsi que dans le sud du littoral, il y a des parcs aquatiques et à Neptun – un parc aventure. Le Delphinarium de Constanţa reste une attraction unique. Le port de plaisance de Constanţa et la falaise du Casino sont une des zones principales de détente et de promenade.



    Le bord de mer propose de nombreux restaurants roumains, turcs, grecs, méditerranéens etc. et les nombreux élevages de poissons attirent de plus en plus de touristes.



    Il est également possible de décompresser par des promenades en bateau qui commencent dans les ports nautiques de Constanţa, Eforie, Mangalia et Limanu. Pour un peu d’adrénaline, il y a les sports nautiques, le scooter, le kayak, le surf, les cours de pilotage pour les petits avions ainsi que ceux de plongée. Également, les nombreuses caves à vin de Dobroudja qui se sont développées ces dernières années — beaucoup d’entre elles devenant ainsi de nouvelles marques -, proposent des dégustations et différents programmes de divertissement.


    (Trad.: Rada Stànicà)

  • La Dobroudja, une destination inédite

    La Dobroudja, une destination inédite

    Mais avant de faire l’expérience unique d’une promenade en canoë à travers les canaux et les roselières, je vous propose de grimper en haut des Monts Macinului, les plus anciens de Roumanie et du coup, les plus bas. Avec une altitude de seulement 467 mètres, ces montagnes âgées de 250 à 300 millions d’années représentent un milieu favorable pour une multitude d’espèces végétales menacées d’extinction. Classés en réserve naturelle, les Monts Macinului abritent plus de la moitié de toutes les espèces de plantes recensées en Roumanie.

    Stanica Enache est à la tête d’une organisation qui se propose de trouver des solutions novatrices appliquées au tourisme dans la région de Dobroudja. A la différence des années précédentes, 2018 a apporté un changement de stratégie: « Cette année, on a changé de paradigme pour nous concentrer davantage sur les expériences inédites que la Dobroudja propose. On veut mettre en lumière le caractère authentique, traditionnel et pluriethnique de cette contrée où vivent, en parfaite harmonie, 18 nationalités. Parallèlement, on fera aussi la promotion des cépages autochtones, du delta du Danube et de la richesse historique et culturelle de la Dobroudja continentale. »

    Pour une visite complète sur place, on vous conseille de vous rendre aussi dans la Réserve géologique des Gorges de Dobroudja, une région impressionnante par la taille des blocs en pierre qui bordent la route. Ces rochers sont en fait des restes des anciens récifs coralliens datant de l’époque où toute la contrée était sous les eaux de la Mer Téthys. Le relief calcaire a contribué à plusieurs phénomènes karstiques dont différentes grottes de dimensions allant de quelques mètres à des centaines de mètres et qui conservent, de nos jours encore, des traces de vie datant de la nuit des temps. La visite d’une telle grotte se fait sur réservation auprès d’une agence de tourisme locale et le prix se monte à une trentaine d’euros.Stanica Enache nous conseille de continuer notre visite dans la région par une escapade dans le delta du Danube : « Une visite en Dobroudja est un incontournable de toutes vacances en Roumanie. Surtout qu’une fois sur place, vous aurez droit au delta du Danube, aux plages de la mer Noire et à un tas d’expériences que notre organisation pourrait vous offrir. Grâce à nous, vous allez découvrir le fameux delta, les cépages autochtones, la mosaïque ethnique, les repères historiques, bref autant d’aspects qui font de cette région un endroit unique en Roumanie. »

    Si vous voulez un loisir pour tout âge et en toute saison, une idée serait d’opter pour un séjour équitation. Le programme ne s’adresse qu’aux débutants, du coup, ne vous inquiétez pas, vous serez bien pris en charge. Une heure de cheval vous fera débourser 21 euros et vous aurez l’occasion de vous promener autour du centre d’équitation. Si faire du cheval ne vous dit pas trop, vous pourriez choisir un programme de dégustation de produits du terroir parmi lesquels la fameuse zacusca. Le programme s’étalera sur 8 heures, coûtera 38 euros et vous aurez trois séances de dégustation dont une de vins locaux. La journée s’achèvera par un spectacle de danses et de chansons spécifiques aux minorités ethniques de la contrée. C’est un programme offert par une agence de tourisme partenaire, nous informe Stanica Enache: « C’est une agence de niche, spécialisée dans l’organisation de tels programmes. Ce sont, pour la plupart, des séjours complets qui s’adressent notamment aux groupes pour leur proposer des visites culturelles, gastronomiques, historiques ou encore des expériences inédites au sein de la nature. Pourtant, cette agence peut servir aussi aux couples ou aux touristes solitaires qui, par un jour de pluie, voudraient découvrir la cuisine du terroir, se balader un peu dans la région péninsulaire, visiter un musée avant d’assister à un spectacle folklorique. Bien sûr, pour les touristes en quête d’adrénaline, notre partenaire a prévu des classes de plongée sous-marine, de cyclotourisme, d’équitation ou encore des vols en montgolfière. »

    Pour une expérience mémorable, une idée serait de vous payer une journée baptême de l’air en hélicoptère, l’occasion d’admirer les paysages magnifiques des alentours du lac de Sinoe. Pour 200 euros, vous bénéficierez d’une heure de vol, une autre de stationnement et d’un repas pour deux compris.

    Est-ce que les touristes aiment bien la contrée de Dobroudja telle que l’organisation dirigée par Stanica Enache la leur fait découvrir? : « Certains commentaires de nos touristes, on les a même rendus publics. Un détail que j’aimerais bien préciser porte sur la présence dans presque chaque groupe de vacanciers d’un Roumain de la diaspora. L’occasion pour moi de lancer un appel aux médias s’adressant aux ressortissants roumains pour leur demander de continuer à nous promouvoir. Les touristes qui se rendent en Dobroudja ne le font pas pour les clubs ou les casinos. Mais pour le côté traditionnel, culturel et historique de cette contrée. Bien sûr, les jeunes s’intéressent aussi aux boîtes de nuit et aux sports d’aventure. Mais bon, les notes que nos clients nous ont données sont parmi les meilleures. On travaille en collaboration avec tous ceux qui se proposent de faire la promotion de la région. Je profite de l’occasion pour appeler les touristes à nous contacter, car ils seront surpris par l’amélioration nette des services et des expériences dans la région. » Madame, Monsieur, ceci dit, on vous conseille d’ajouter la région de Dobroudja sur la liste des meilleures destinations de vacances une fois en Roumanie. Vous n’allez pas le regretter!

  • A la Une de la presse roumaine – 13.04.2018

    A la Une de la presse roumaine – 13.04.2018

    Sujets divers dans la presse nationale en cette fin de semaine, car les quotidiens évoquent la réforme du système public de retraites, les normes doubles de qualité des produits européens, mais aussi l’immobilier et le tourisme.



  • România şi cotele obligatorii de refugiaţi

    România şi cotele obligatorii de refugiaţi

    Conform mecanismelor de relocare a
    refugiaţilor stabilite în 2015 de Comisia Europeană, România ar fi trebuit să
    găzduiască până în acest an peste 4.000 de persoane ajunse din Africa şi Orientul
    Mijlociu în Grecia şi Italia – ţările pe care presiunea este maximă.

    Cifra
    refugiaţilor care au ajuns în România în baza mecanismelor de colaborare
    intracomunitare este, însă, mult mai mică. Astfel, în România au fost trimise
    până în prezent 710 persoane care au statut de refugiat şi care ajunseseră prin
    migraţie ilegală în cele două ţări amintite. Cei mai mulţi provin din Siria,
    dar sunt şi refugiaţi din Irak, Eritreea sau Yemen. Numărul mai mic se
    datorează, în principal, faptului că migranţii ilegali eligibili pentru mutarea
    în altă ţară europeană sunt ceva mai puţin numeroşi decât estimase iniţial
    Comisia Europeană. La momentul respectiv, România şi-a exprimat solidaritatea în problema privind refugiaţii, dar s-a opus aşa-numitelor cote obligatorii
    şi a refuzat să le voteze, asemenea Ungariei, Cehiei şi Slovaciei.

    Problema
    migraţiei şi cea a refugiaţilor sunt două categorii distincte, a explicat şeful
    diplomaţiei de la Bucureşti, Teodor Meleşcanu – primii sunt refugiaţi din
    motive politice, din cauze de război, dar există şi o migraţie cu caracter
    economic, mai ales din ţările cu regimuri eşuate, cu condiţii de viaţă foarte
    grele. România şi-a exprimat solidaritatea, deşi am mers pe ideea că nu este
    normal să avem cote fixe. În acelaşi timp, ne-am manifestat disponibilitatea de
    a primi un anumit număr de refugiaţi, a adăugat ministrul, precizând că
    România îşi va face datoria de stat membru al UE. Săptămâna trecută,
    Bucureştiul s-a oferit să primească 1.942 de refugiaţi din Grecia şi Italia, iar
    ministrul de externe a amintit, pe de altă parte, că România participă masiv la
    operaţiunile din Marea Neagră pentru oprirea fluxului de refugiaţi şi salvarea
    celor care se încumetă la asemenea acţiuni. Meleşcanu a mai arătat că
    Bucureştiul are în lucru o iniţiativă privind trimiterea a 50 de jandarmi şi
    poliţişti pentru pregătirea forţelor de securitate irakiene în lupta împotriva
    grupării teroriste Stat Islamic. România şi-a asumat obligaţia de a contribui
    cu 800 de mii de euro la coaliţia luptei împotriva statului islamic şi
    ajutorarea victimelor populaţiei civile din aceste zone. Mai avem şi o
    contribuţie de 340 de mii de euro destinată în primul rând celor din Siria,
    oamenilor care suferă. Este, mai ales, un ajutor umanitar şi, de asemenea, vom
    avea o contribuţie, nu am stabilit-o încă, la Fondul UE pentru ajutorarea
    refugiaţilor din Siria care se află în Turcia la ora actuală, a explicat
    ministrul de Externe.

  • Premierul Cioloş despre situaţia migranţilor

    Premierul Cioloş despre situaţia migranţilor

    Problemă
    recurentă şi, până acum, fără soluţii fezabile, drama zecilor de milioane de
    migranţi de pe planetă a fost îndelung dezbătuta şi la summitul ONU de la New
    York.

    Aflat la sfârşit de mandat, liderul de la Casa Albă, Barack Obama, a spus
    că omenirea se confruntă cu o criză de proporţii epice şi i-a
    îndemnat pe liderii mondiali să-şi imagineze cum ar fi dacă familiile lor ar
    împărtăşi soarta refugiaţilor. Obama se felicită că statele care participă la
    summit s-au angajat că vor prelua 360 de mii de refugiaţi în cursul acestui an,
    un număr aproape dublu faţă de cel de 2015, şi insistă că statele bogate ar
    trebui să facă mai mult pentru a-i ajuta pe cei care se refugiază din calea
    conflictelor.

    În numele României, premierul Dacian Cioloş a afirmat, de la
    tribuna ONU, că lumea posedă mijloacele necesare pentru a face faţă crizei
    refugiaţilor. Bucureştiul, precizează Cioloş, recunoaşte pe deplin
    responsabilitatea comună de a gestiona afluxul mare de refugiaţi şi are,
    deopotrivă, resurse şi politici pentru a
    sprijini eforturile comunităţii internaţionale.

    Dacian Cioloş: Mai mult decât atât, România a acordat
    ajutor umanitar bilateral statelor afectate: Turcia, Iordania, Liban, Irak şi
    Afganistan. În strânsă cooperare cu agenţiile umanitare internaţionale, România
    oferă refugiaţilor şansa unei vieţi noi, oferindu-le adăpost temporar în
    Centrul de tranzit de urgenţă situat la Timişoara.

    Premierul Cioloş, citat de trimisa Radio România, mai spune că, pe lângă
    sprijinul umanitar, educaţional şi pe piaţa muncii, autorităţile oferă tuturor
    acelor copii ai cetăţenilor străini care beneficiază de protecţie aceleaşi
    drepturi la educaţie ca şi copiilor români. El a mai explicat că România a
    sprijinit, în calitate de stat membru al Uniunii Europene, procesul de transfer
    al refugiaţilor şi de relocare a acestora pe bază de voluntariat.

    Asemenea
    celor mai multe state din centrul şi estul continentului, România a fost permanent reticentă faţă de aşa-numitele cote
    obligatorii de imigranţi pe care ar fi urmat să-i găzduiască statele Uniunii. Ungaria sau
    România, Bulgaria sau Slovacia n-au experienţă în gestionarea unor asemenea
    provocări. Spre deosebire de multe state din vestul continentului, aceste ţări
    n-au avut niciodată nici imperii coloniale, de unde să vină migranţi spre
    metropolă, nici un nivel de trai care să atragă milioane de extra-comunitari,
    nici numeroase comunităţi alogene de confesiune musulmană.

    Ca şi la Budapesta
    ori Varşovia, resposabilii de la Bucureşti au insistat pentru cote voluntare de
    preluare a refugiaţilor şi s-au exprimat, în mod consecvent, împotriva celor
    obligatorii. Nu vorbim de cifre, ci de oameni – sublinia, încă de acum un an,
    preşedintele Klaus Iohannis, respingând ceea ce a numit cotele calculate
    într-un mod foarte birocratic, contabiliceşte, fără a consulta statele
    membre.

  • Decizii ale Consiliului European în privinţa imigranţilor

    Decizii ale Consiliului European în privinţa imigranţilor

    Combaterea cauzelor, în paralel cu gestionarea
    efectelor! Acesta este, în esenţă, rezultatul celor două reuniuni extraordinare
    organizate, marţi şi miercuri, la Bruxelles – consiliul la nivel de miniştri ai Justiţiei şi de
    Interne, respectiv reuniunea preşedinţilor
    şi premierilor europeni.

    La finalul summitului, preşedintele Klaus Iohannis a
    declarat: Este evident că dacă vrem să gestionăm eficient
    fenomenul migraţiei trebuie să mergem la cauza acestui fenomen, adică în zonele
    de criză – de exemplu, dar nu singura, zona Siria – şi trebuie să încercăm să
    intervenim acolo pentru a termina conflictul şi pentru a reinstaura pacea în
    zonă.

    Uniunea Europeană singură nu poate să facă acest lucru, dar poate
    contribui. Astfel, liderii Uniunii Europene s-au angajat să
    acorde o sumă suplimentară de cel puţin 1 miliard de euro agenţiilor ONU care vin în
    sprijinul refugiaţilor în ţările vecine Siriei – Turcia, Iordania şi
    Liban. Banii
    vor merge, în principal, la Înaltul Comisariat ONU pentru Refugiaţi şi la Programul
    Alimentar Mondial. Prin acest din urmă Program, România va
    aloca, în următorii trei ani, 300.000 de euro. Acestei
    măsuri pecuniare i se va adăuga consolidarea frontierelor externe ale Uniunii,
    pentru că – aşa cum spunea preşedintele Consiliului European, Donald Tusk -
    controlul şi securitatea lor reprezintă o prioritate comună a statelor membre.
    Altfel, spaţiul Schengen de liberă circulaţie riscă să devină o amintire. Nu în
    ultimul rând, aşa-numitele hot spots – centre de triere din Italia şi Grecia,
    situate
    în prima linie a afluxului de solicitanţi de azil – vor deveni operaţionale
    începând de la sfârşitul lunii noiembrie. Locuri de primire există deja, dar ele
    trebuie să îndeplinească o serie de reguli de funcţionare, sub supervizare
    europeană, pentru a răspunde definiţiei de ‘hot spots’ dorită de Uniune. Din
    aceste centre vor fi trimişi înapoi în ţările lor de origine cei care vor fi
    consideraţi imigranţi ilegali. Şi tot de aici vor fi ‘relocaţi’ refugiaţii către
    alte state membre.

    În România, de coordonarea acţiunilor
    destinate preluării de refugiaţi se va ocupa vicepremierul pentru probleme de
    securitate naţională, Gabriel Oprea. Şeful său direct, premierul Victor Ponta,
    a precizat că toate structurile guvernamentale cu atribuţii în domeniu se vor
    implica în gestionarea acestei situaţii. Vreau să dau un mesaj foarte clar că guvernul se va pregăti pentru a lua
    toate măsurile necesare. Asta înseamnă o atitudine europeană şi echilibrată, nu
    xenofobă şi şovină ca a vecinilor noştri
    (n.red – Ungaria).

    Marţi, la consiliul la nivel de
    miniştri europeni ai Justiţiei şi de Interne, Uniunea Europeană a aprobat, cu o largă majoritate,
    repartizarea a 120.000 de refugiaţi între statele membre. Deşi susţinuse în repetate rânduri că nu poate
    primi mai mult de 1.785 de refugiaţi pentru că nu are suficiente centre,
    României i-au mai fost alocaţi 2.475 în plus.

  • A la une de la presse roumaine – 18.09.2015

    A la une de la presse roumaine – 18.09.2015

    Le dossier de corruption qui vise le premier ministre roumain Victor Ponta fait la une de la presse nationale ce matin. Les quotidiens roumains évoquent aussi les conclusions du Conseil suprême de défense du pays réuni au sujet de la crise de la migration, ainsi que le bilan de la saison touristique 2015 sur la côte roumaine.


  • A la Une de la presse roumaine 31.07.2015

    A la Une de la presse roumaine 31.07.2015

    La presse écrite roumaine entame le weekend en commentant larrivée dun train privé futuriste, concurrent de poids pour la société publique de chemins de de fer, sur le trajet entre Bucarest et la côte de la mer Noire, mais aussi les raisons qui poussent les Roumains à prendre dassaut cette même côte. Les journalistes décortiquent également les débats entre syndicats et exécutif au sujet de la hausse des salaires des hauts responsables, tandis que le SMIC local reste, lui, à 180 euros net par mois.


  • Vacances sur le littoral roumain de la mer Noire

    Vacances sur le littoral roumain de la mer Noire

    Une visite au Delphinarium, au haras de Mangalia et aux musées des villes riveraines ainsi quune excursion dans le delta du Danube peuvent compléter merveilleusement bien le programme de vos vacances. Les clubs ouverts notamment dans la station de Mamaïa et les sports nautiques feront la joie des jeunes. La station de Mamaïa a été déjà promue, en février, au Salon international de tourisme de Tel-Aviv, où lAssociation « Litoral – Delta Dunarii » a participé pour la première fois.



    Une campagne de promotion a dailleurs été lancée en Israël, suite à laquelle le nombre de touristes israéliens qui viendront passer leurs vacances sur le littoral roumain a doublé. Deux vols charter amèneront cet été à Constanţa 5.000 touristes israéliens. Corina Martin, présidente de lAssociation « Litoral-Delta Dunării » : « Ce sont des touristes qui ont préféré des vacances en pension complète. Ils sont passionnés dexcursions et intéressés par les sites touristiques. Ils souhaitent tous voir Bucarest et passer une journée au delta du Danube. Ils sintéressent aux spectacles de cirque, aux dégustations de vins, aux parcs aquatiques, ils veulent visiter les casinos et le parc daventures situé dans le sud du littoral, faire des courses à Constanţa et des croisières en mer Noire. »



    Le parc daventure mentionné par notre interlocutrice est une des plus récentes attractions du littoral. Il a été ouvert cette année dans la station de Neptun et il sappelle « Paradis Land ». Aurelian Marin, son directeur général, nous le présente : « On peut dire que nous avons enfin apporté laventure sur la côte de la mer Noire. Le parc est destiné aussi bien aux jeunes quaux adultes. Il a été construit dans la forêt. Tout se passe dans les arbres. Le parc comporte 14 trajets avec différents degrés de difficulté. Il y en a aussi bien pour les mômes de 4 ans que pour les sportifs professionnels et les alpinistes. Les touristes doivent parcourir différents trajets à travers la forêt, prévus de ponts, de tyroliennes, dobstacles, de câbles et de jeux. Certains trajets sont thématiques. A présent, le parc daventures de Neptun est le plus grand du pays, sétalant sur 2 hectares. Je suis certain que les touristes arrivés sur le littoral seront enchantés dy passer des moments agréables. »



    Le littoral roumain est une destination pour toutes les catégories de touristes – estime Mariana Gorbănescu, secrétaire général de lAssociation « Litoral – Delta Dunării », arguments à lappui : « Le littoral roumain se prête au tourisme balnéaire. Il y a beaucoup dendroits où les touristes peuvent venir pour la cure et la relaxation. La plupart des hôtels ont créé des conditions spéciales pour les familles qui emmènent leurs enfants et des programmes intéressants sont proposés aux touristes roumains et étrangers. »



    Le delta du Danube, qui figure depuis 1991 sur la liste du patrimoine de lUNESCO, est une destination incontournable pour les touristes qui arrivent sur la côte roumaine de la mer Noire. Seule région deltaïque au monde à être entièrement déclarée Réserve de la biosphère, le delta du Danube est un véritable coin de nature paradisiaque qui attire notamment par la diversité de la faune et de la flore. Loffre touristique du delta inclut aussi observation des oiseaux, promenades en barque ou en chaloupe, parties de pêche ou de chasse. Que vous optiez pour une excursion dune journée ou de trois jours à bord dun hôtel flottant, vous vivrez une expérience inoubliable. Doru Vlădescu gère une agence de tourisme.



    Ce tour-opérateur du delta du Danube dispose dun hôtel flottant quatre étoiles, baptisé Arca, dun remorqueur aménagé pour des croisières, de barques rapides et de barques de pêche dans les lagunes. Doru Vlădescu nous fournit des détails sur lhôtel flottant. « Cest un bateau de petites dimensions, pour les croisières. Il comporte neuf cabines, disposant de salle de bains privative et de climatisation. Il sagit dun voyage tout compris, avec aussi des facilités tels que connexion wi-fi gratuite et karaoké. Au dernier étage il y a un jacuzzi, un bar de plage et des chaises longues. Les touristes peuvent également faire des promenades en barques de pêche, accompagnés par un guide spécialiste de lornithologie, locuteur danglais, de français ou dallemand. Notre offre inclut aussi différents jeux de société, une bibliothèque, des DVDs, des films artistiques ou des dessins animés. Le programme est conçu suivant la durée du séjour. Ce peut être un week-end prolongé, soit trois nuitées et quatre jours, du jeudi au dimanche ou bien une semaine. »



    Lhôtel flottant présente lavantage de la mobilité, ajoute Doru Vlădescu, qui précise que litinéraire est défini demblée de sorte à visiter le plus grand nombre possible de sites dintérêt. « Par exemple, en empruntant le canal de Sulina, on peut atteindre la mer Noire, où lon découvrira une plage magnifique, au sable très fin. On peut aussi visiter la Forêt de Letea, classée au patrimoine mondial de lUNESCO. Le bras danubien Saint Georges débouche lui aussi en mer Noire. Nous avons eu des visiteurs de France, dItalie, dAllemagne, dAutriche, du Royaume-Uni, dUkraine, de République de Moldova et même des Etats-Unis. Notre livre dor consigne leurs appréciations au sujet de la cuisine du terroir, de lhébergement, de la nature sauvage des parages et de lhospitalité des habitants de ce coin de pays, les Lipovans. »



    Traditions, aventure, détente, boîtes de nuit, nature sauvage, tout cela est à découvrir si vous choisissez un séjour au bord de la mer Noire ou dans le delta du Danube. (Trad.: Mariana Tudose, Dominique)

  • Ouverture de la saison estivale sur la côte roumaine de la mer Noire

    Ouverture de la saison estivale sur la côte roumaine de la mer Noire

    L’ouverture de la saison estivale sur la côte roumaine de la mer Noire approche à grands pas. Selon les estimations officielles, plus de 60.000 touristes y sont attendus le 1er Mai, un nombre supérieur de 15% à celui enregistré l’année dernière. D’après les réservations déjà faites, les stations les plus recherchées seront Mamaia et Vama Veche. En outre, pour la première fois depuis plusieurs années, le littoral roumain accueillera des centaines de visiteurs étrangers, notamment du Royaume-Uni, de France et d’Allemagne. Dans ce qui suit, nous vous proposons de passer en revue quelques-unes des offres les plus alléchantes pour un séjour au bord de la mer Noire.



    Elles s’adressent à toutes les catégories de touristes, affirme Mariana Gorbănescu, secrétaire générale de l’Association Littoral Delta du Danube: « On peut faire aussi du tourisme médical sur le littoral roumain. Il y a bien des endroits où nos visiteurs ont la possibilité de suivre des cures ou tout simplement de se détendre. Par ailleurs, plusieurs hôtels, situés dans les stations qui s’égrènent depuis Mamaia jusqu’à Mangalia, ont créé des facilités destinées aux enfants. Dans la station de Mamaia, la plus proche de Constanţa, nombre d’hôtels offrent de telles facilités chaque année, parce qu’il y a de plus en plus de parents qui y emmènent leurs enfants. Les clubs entendent eux aussi se faire connaître par la publicité. Ils ont compris que le littoral roumain est un segment important tant pour le touriste roumain que pour celui venu de l’étranger. Voilà pourquoi ils proposent des programmes spéciaux. »



    La côte roumaine de la mer Noire et ses attractions touristiques sont une destination idéale de vacances. Il y a plus d’une raison à cela : l’étendue de notre littoral, à savoir 245 km, la nébulosité réduite, le sable fin et une moyenne annuelle de 140 jours ensoleillés. En attendant le début de la saison estivale, le 1er mai, les prévisionnistes envisagent une météo clémente, cette année aussi. Mariana Gorbănescu, secrétaire générale de l’Association Littoral Delta du Danube : « D’habitude, le 1er mai, le temps est propice à la baignade. Passé cette date, les unités d’hébergement commencent à désemplir, mais à compter du 1er juin une nouvelle vague de vacanciers prend d’assaut notre littoral. Nous avons des sociétés qui gèrent les activités de sports nautiques et puis nous organisons des excursions aux alentours du littoral. On peut visiter la cité d’Histria, le monument romain d’Adamclisi ou opter pour une croisière dans le Delta du Danube. Nous organisons une excursion d’une journée et la croisière inclut le déjeuner à bord du bateau ou dans un restaurant situé sur la rive du fleuve. Il y a aussi un parc aquatique à Mamaia et un autre, ouvert l’année dernière, à Eforie Nord. Je ne saurais oublier de mentionner le restaurant qui accueille périodiquement des spectacles de folklore et qui fait découvrir à ses hôtes les coutumes liées aux noces traditionnelles roumaines et la cuisine du terroir. Enfin, aux caves de Murfatlar, on peut déguster les meilleurs crus de Roumanie. Les estivants étrangers surtout apprécient beaucoup ces dégustations de vin et les restaurants à cuisine traditionnelle. »



    Marius Usturoiu, directeur général d’une agence de tourisme, évoque aussi les offres qu’intéressent les familles avec enfants. « On a ouvert le premier Club de famille de Roumanie sur la côte roumaine. Déjà c’est un projet à succès. Chez nous les parents oublient des soucis associés à leurs enfants. Un séjour de sept jours coûte à partir de 299 euros par personne, dans un hôtel trois étoiles, mais qui offre des services quatre étoiles. Le paquet est tout compris et ce prix est valable pour le début et la fin de la saison. En pleine saison, le tarif monte jusqu’à 400 euros et il inclut des spectacles de théâtre, des projections de films, des jeux et d’autres concours sur la plage, des compétitions sportives ainsi que des cours de natation et d’autres activités. »



    Cristina Basarab, manager d’une autre agence de tourisme, affirme que la côte roumaine est ouverte à toutes les catégories de touristes, les prix étant très variées: « Ceux qui souhaitent une offre bon marché, soit uniquement l’hébergement, sans repas, peuvent se diriger vers Jupiter, ou dans un deux étoiles ils peuvent payer même 200 lei, soit moins de 50 euros pour sept nuitées. La station littorale la plus appréciée et la plus convoitée demeure Mamaia, où l’hébergement dans un quatre étoiles à partir de 700 lei, soit 150 euros, repas compris. »



    Une fois arrivés sur la côte roumaine de la Mer Noire vous bénéficieriez de toute l’assistance touristique dont vous avez besoin, affirme Mariana Gorbănescu, secrétaire général de l’Association littoral Delta du Danube : « De plus en plus d’étrangers nous rendent visite à la recherche de matériaux promotionnels, cartes et guides touristiques. Leur principal désir est de visiter le plus d’endroits que possible, et cela notamment en début de saison lorsqu’il est assez difficile de se baigner dans la mer. Nous les orientons vers différentes agences de tourisme. Carrément tous les touristes de passage par la côte roumaine souhaitent faire au moins une croisière d’une journée au delta du Danube. L’année dernière nous avons reçu des visiteurs du Brésil, des Etats-Unis, du Royaume-Uni, de France, d’Italie et d’Espagne. J’invite tous vos auditeurs à se convaincre eux-mêmes de ce qu’est la côte roumaine et le delta du Danube. Je leur garantis qu’ils se feront une impression à part et qu’il vont revenir. Cela est sûr. »



    Et voilà que l’invitation a déjà été lancée. Assurez vous d’avoir fait des réservations d’avance et surtout n’oubliez pas votre appareil photo, ou au moins votre smartphone. (trad.: Mariana Tudose, Alex Diaconescu)

  • Tourisme balnéaire sur le littoral roumain

    Tourisme balnéaire sur le littoral roumain

    Aujourd’hui, nous nous dirigeons, chers amis, vers l’extrémité sud du littoral roumain. Notre destination est un des habitats les plus anciens de Roumanie: la ville de Mangalia, ancienne cité de Callatis, colonie grecque au bord du Pont Euxin. Elle sera au goût des passionnés d’histoire et de ceux qui souhaitent passer des moments de relaxation et profitables à la santé au bord de la mer. Le 1er Mai, la station balnéaire de Mangalia a d’ailleurs donné le coup d’envoi de la saison estivale 2013, par un défilé de voitures d’époque.



    Mangalia séduit par ses sites et vestiges dignes d’un coup d’œil attentif: les ruines de la cité de Callatis, la mosquée “Esmahan Sultan”, les grottes Movile — qui est une réserve spéléologique — et Limanu, avec son labyrinthe souterrain s’étendant sur près de 4 km, ainsi que le fameux vignoble de Murfatlar, dont les vins sont primés aux concours internationaux. Il convient de mentionner qu’en 1959, à Mangalia était découvert le plus ancien papyrus d’Europe, datant du IVe siècle avant Jésus-Christ. Après avoir passé un demi-siècle à Moscou, pour être restauré, il peut être de nouveau admiré au Musée d’Archéologie de Mangalia.



    Mangalia est également très connue pour les traitements balnéaires qui font la fierté de l’établissement de santé de la ville. Florentina Stoica, infirmière en chef, nous présente son offre 2013 : « Notre établissement offre une multitude de facteurs naturels que vous ne rencontrerez nulle part en Roumanie ou dans le sud-est de l’Europe. Nous avons récemment mis sur pied un département de bien-être wellness & spa, offrant tout ce que ce concept suppose : massage aux pierres volcaniques, aux huiles essentielles, thérapie nutritionnelle, fitness, piscines à l’eau de mer et à l’eau sulfatée. »



    A quoi doit s’attendre un touriste arrivé au Sanatorium de Mangalia ? Florentina Stoica, infirmière en chef, nous renseigne : « S’il souffre d’une quelconque maladie, il bénéficiera tout d’abord d’une consultation et le médecin lui prescrira un traitement. S’il souhaite passer les heures de l’après-midi dans notre département de bien-être, le même médecin lui fera des recommandations. S’il s’agit d’une patiente atteinte d’une maladie gynécologique, elle peut espérer recouvrer entièrement la santé. Si elle veut en même temps soigner sa ligne, on lui prescrira une alimentation saine, elle fera des massages d’entretien, elle pourra aller au sauna et bénéficier de tous les atouts de la relaxation. S’il s’agit d’une famille qui emmène son ou ses enfants, nous offrons des leçons de nage pour les petits, qui, une fois le séjour terminé, s’en iront munis d’un nouveau savoir-faire. »



    Quant aux prix, un séjour d’une semaine, hébergement et repas compris, coûte environ 900 lei (soit quelque 200 euros). L’établissement de cure est ouvert toute l’année et toutes les saisons sont propices au traitement. Des tentations culinaires s’ajoutent aux autres attractions de la zone. Florentina Stoica, infirmière en chef du sanatorium vous en donne un avant-goût : « Non loin de nos locaux, vous trouverez des restaurants qui proposent une cuisine traditionnelle roumaine — et je vous conseille les fameuses « sarmale » – faites de feuilles de choucroute farcies de viande hachée. Puisque nous nous trouvons au bord de la mer, ne ratez pas, non plus, les plats à base de poisson — entre autres celui appelé « plachie », soit du poisson à l’oignon cuit au four, avec du vin. Et puis il ne faut pas oublier les sites à visiter en Dobroudja, notamment les monastères et le Delta du Danube. A Mangalia, vous serez accueillis à bras ouverts et avec beaucoup d’hospitalité. Notre sanatorium est un espace de relaxation ; c’est beau, c’est agréable et vous y êtes tous les bienvenus. »



    Une fois arrivés à Mangalia, vous pouvez prévoir une escapade de quelques jours dans le Delta du Danube — qui compte, depuis 1990, parmi les réserves de la biosphère. Elle comporte la plus vaste zone compacte de jonchaie de la planète, recouvrant 1.560 km2 et de nombreuses espèces d’oiseaux, dont une grande partie ont été déclarées monuments de la nature. L’offre d’hébergement est bien riche ; vous pouvez opter pour un hôtel flottant ou pour un ensemble hôtelier sur terre ferme.



    Mihaela Andrei gère un tel ensemble, qui offre aux visiteurs de nombreux loisirs: « Notre ensemble couvre 10 hectares. Il dispose d’une piscine dont les dimensions conviendraient aux compétitions olympiques. Ceux qui aiment l’eau et le soleil peuvent y passer d’agréables journées. Les aires de jeux pour enfants ne manquent pas, non plus. Les adultes peuvent se rendre pour une partie de pêche au bord du lac Murighiol. Jeunes et moins jeunes y trouveront également des hydrobicyclettes, des canots à rames. Nous disposons d’un centre spa avec piscine couverte, sauna, saline, jacuzzi et salle de massage. Nous offrons tout ce qu’il faut pour contenter les personnes venues pour la relaxation et celles en quête d’aventure. A part ces services, couverts par le prix d’hébergement, on peut organiser, sur demande, des excursions de 3 à 7 heures le long des canaux du delta. Lors de ces balades en canot ou en petits bateaux, on peut atteindre les embouchures du Danube, ce lieu mirifique où le fleuve se jette dans la mer. Les opportunités ne manquent donc pas et c’est plus que suffisant pour remplir les journées d’un séjour pour toute la famille. »



    La cuisine pratiquée dans cet ensemble hôtelier est internationale, pourtant vous vous verrez offrir, évidemment, une profusion de plats traditionnels à base de poisson. Une chambre coûte 100 lei la nuitée. L’hébergement, les repas et l’accès aux services de l’hôtel sont inclus dans ce prix. Précisons que le personnel parle l’anglais, le français et l’italien. Les dépliants mis à votre disposition pour vous informer sont édités dans ces trois langues, ainsi qu’en allemand et en russe. (Trad.: Dominique)