Tag: critiques

  • Dan Burcea, critique littéraire, auteur des “LETTRES CAPITALES”

    Dan Burcea, critique littéraire, auteur des “LETTRES CAPITALES”

    Grand passionné de littérature, Dan Burcea est l’auteur des LETTRES CAPITALES, un blog où il s’investit de tout coeur au service des écrivains et de leurs plumes. Consacré aussi bien à la littérature française que roumaine, les LETTRES CAPITALES de Dan Burcea offrent un contenu bilingue, français-roumain, et une multitude d’entretiens, portraits et critiques. Le tout à découvrir à l’adresse lettrescapitales.com. Davantage sur Dan Burcea et ses Lettres capitales, dans l’entretien accordé à RRI.

  • A la Une de la presse roumaine 14.11.2018

    A la Une de la presse roumaine 14.11.2018

    Tout le monde le sait : l’UE a publié mardi deux rapports lançant des critiques dures à l’adresse du pouvoir de Bucarest, notamment pour les décisions prises dans le domaine de la justice. Le
    principal parti de la coalition, le Parti Social Démocrate, n’accepte pas ces critiques. Cela détermine la presse à écrire que le PSD déclare la guerre à l’UE. Vu
    tout ce scandale, la Finlande se dit disponible à assumer la présidence de l’UE
    à la place de la Roumanie, au premier janvier prochain. Une autre idée que Bucarest rejette catégoriquement, par la voix de sa première ministre. Egalement dans la presse du jours: les défrichages illégaux et la vulnérabilité du pays face au désastres naturels.

  • 18.03.2018

    18.03.2018

    Météo – Une vigilance jaune au froid et au mauvais temps est en vigueur sur trois quarts du territoire de la Roumanie, avec des températures inférieures jusquà 15° aux normales de saison. Les maximales de la journée se situent entre -8 et 10°. Des pluies abondantes et de la neige sont attendues, jusquà ce soir, dans 32 départements du centre, de lest et du sud du pays, y compris dans la capitale. Le froid se maintiendra jusquà la fin de la semaine prochaine. Dans le même temps, des inondations peuvent se produire sur plusieurs rivières du nord, du centre et du sud, une vigilance orange étant en vigueur en ce sens jusquà demain.




    Livre – Le Salon du livre de Leipzig, en Allemagne, un des plus importants dEurope et du monde, ferme ses portes aujourdhui. La Roumanie a été linvitée dhonneur de cette édition, sa participation ayant été placée sous le slogan « Zoom in Romania ». Pendant quatre jours, plus de 70 événements ont mis en avant des auteurs roumains contemporains, déjà connus du public allemand, tels Mircea Cărtărescu, Norman Manea, Nora Iuga ou bien Filip Florian, mais aussi des jeunes, comme par exemple Lavinia Branişte et Bogdan-Alexandru Stănescu ; sy est ajoutée la présentation dune quarantaine de traductions de créations de la littérature roumaine. La Roumanie est également présente à la 38e édition du Salon du livre de Paris. Son stand, dont le slogan est « Roumanie, comme vous ne lavez jamais lue », propose au public français plus de 50 œuvres récentes et une vingtaine dévénements.





    Elections – Les Russes élisent aujourdhui leur président, le jour même où, il y a quatre ans, Moscou annexait la péninsule de Crimée. Le président Vladimir Poutine, qui brigue un nouveau mandat de 6 ans, a sept autres contre-candidats, dont un communiste millionnaire Pavel Grudinin, une ancienne présentatrice de télévision Ksenia Sobciak, ainsi que le vétéran nationaliste Vladimir Zhirinovsky. Alexei Navalny, le principal opposant au président Poutine, a vu sa candidature refusée en raison dune condamnation pénale dont il a fait lobjet et quil considère comme orchestrée par les autorités. Vladimir Poutine dirige la Russie depuis 18 ans.




    Déclaration – LUnion européenne ne reconnaît pas lannexion de la Crimée, il y a quatre ans, par la Russie et continue à condamner cette violation du droit international, qui demeure une défi à ladresse de la sécurité internationale, affirme, dans un communiqué, Federica Mogherini, la Haute représentante de lUE pour les affaires étrangères. Le ministère des affaires étrangères de Bucarest se joint à la déclaration de la patronne de la politique étrangère de lUnion concernant lannexion illégale de la péninsule de Crimée par la Russie. La Roumanie condamne fermement, à nouveau, la violation des principes et des normes du droit international. Elle réaffirme son soutien à la souveraineté et à lintégrité territoriale de lUkraine, ainsi que son refus de reconnaître cette annexion illégale.





    Critiques – Le ministre allemand de lIntérieur, Horst Seehofer, a critiqué lUnion européenne pour son attitude quil qualifie dhautaine envers les Etats membres de lEst de lEurope, dans les discussions sur les quotas dimmigrants, informe lagence de presse Reuters. Issu de la CSU, alliée du parti de la chancelière Angela Merkel, M. Seehofer, qui sest exprimé dans une interview parue aujourdhui dans la publication Die Welt am Sonntag, critique la Commission pour le ton « moralisateur » quelle emploie dans la relation avec les Est-européens qui ont refusé daccueillir des demandeurs dasile. Le ministre allemand de lIntérieur a exhorté lUE à ne plus prendre des décisions en ignorant les Etats membres, ce type dattitude étant, selon lui, contre-productif car chaque pays a sa fierté, a-t-il affirmé dans linterview pour Die Welt am Sonntag.



    Forum — L’Association nationale-culturelle Basarabia” des Roumains de la région d’Odessa, en Ukraine, a organisé samedi la 2e édition du Forum des enseignants de langue roumaine de la région d’Odessa, consacré cette année à l’éducation en langue maternelle. Le Forum, accueilli par le Centre d’information de la Roumanie de l’Université humaniste d’Etat de la localité d’Ismail, a rassemblé des enseignants de roumain des établissements d’enseignement préuniversitaire et universitaire de la région d’Odessa.



    Rugby – Léquipe nationale de rugby de Roumanie, qui occupe actuellement la 17-e position dans la hiérarchie mondiale, affronte aujourdhui en déplacement la redoutable sélection de Géorgie, dans un match de la dernière étape du Rugby Europe International Championship 2018. La Roumanie joue sa qualification à la Coupe du monde de 2019, accueillie par le Japon. Dans les matchs antérieurs, les rugbymen tricolores ont vaincu la Russie, lAllemagne et la Belgique et se sont inclinés devant les Espagnols. La Géorgie occupe en ce moment la première place et sest assuré la qualification à la Coupe du monde, tandis que la Roumanie est deuxième.


  • Nouvelles réactions au sujet de la modification des lois de la justice

    Nouvelles réactions au sujet de la modification des lois de la justice

    La presse bucarestoise avait déjà anticipé l’avis négatif du Conseil supérieur de la magistrature (CSM). Certains commentateurs considèrent, cependant, que c’est le résultat serré du vote au Conseil qui est le plus surprenant. Dix membres du CSM ont voté pour un avis négatif, tandis que les huit autres se sont déclarés en faveur d’un avis favorable, assorti de commentaires, ce qui mettrait en évidence de fortes tensions au sein du Conseil.

    Les objections de ceux qui ont voté contre visent essentiellement quelques propositions controversées figurant dans le projet de M Toader, dont le passage de l’Inspection judiciaire sous l’égide du ministère, l’élimination du président de la Roumanie de la procédure de désignation des procureurs chefs des Parquets anticorruption et anti-mafia, l’interdiction de devenir magistrat pour les juristes qui n’ont pas encore atteint l’âge de 30 ans et la création d’une direction spécialisée dans les poursuites des magistrats auteurs d’infractions. Les huit membres du CSM qui se sont prononcés pour un avis favorable accusent la majorité de bloquer la réforme. Le ministre Toader, qui s’est absenté de la réunion du CSM motivant qu’il ne souhaitait nullement influencer les débats, a déclaré ultérieurement que certains ne souhaitaient pas voir réformer le système, qui doit fonctionner dans ce qu’il a appelé des paramètres de constitutionnalité. Je suis persuadé, a-t-il dit, que le vote négatif exprime aussi le souhait de conserver les privilèges actuels des magistrats.

    A son tour, l’Association des magistrats de Roumanie a critiqué l’avis négatif du CSM. L’association affirme, dans un communiqué, que les points de vue envoyés au Conseil ne pourront plus être soutenus devant le législateur.

    En revanche, le chef de l’Etat, Klaus Iohannis, a souligné, par la voix de sa porte-parole, que la décision du CSM, bien qu’à rôle consultatif, ne pouvait être ignorée par le gouvernement et le parlement.

    Au nom du parti le plus important de la droite, le leader du Parti National Libéral, Ludovic Orban, a estimé que le gouvernement devrait renoncer à toutes les dispositions contenues dans ce projet de loi, qui violerait, selon lui, l’indépendance de la justice.

    La presse et les organisations de la société civile qualifient le vote au CSM de nouvelle plutôt bonne. Elles expriment le manque de confiance d’une partie importante de la société roumaine dans un pouvoir exécutif soupçonné de vouloir subordonner la justice et de freiner la lutte contre la corruption.

    En début d’année, la tentative du gouvernement de modifier par décret d’urgence les codes pénaux a donné lieu aux plus amples protestations de rue des près de trois décennies post-communistes. A Bucarest, en province et dans la diaspora, des centaines de milliers de manifestants ont accusé le pouvoir d’essayer d’exonérer de la responsabilité pénale pour corruption des personnages influents de la politique et de l’administration. (Trad. Ileana Taroi)

  • Appui international pour la famille Bodnariu de Norvège.

    Appui international pour la famille Bodnariu de Norvège.

    En cette fin de semaine, des milliers de Roumains sont descendus dans les rues de plusieurs grandes villes roumaines et européennes pour exprimer leur solidarité avec une famille mixte roumano-norvégienne, dont les enfants avaient été pris en charge, il y a deux mois, par les services norvégiens de protection de l’enfance. Ceux-ci avaient été insérés dans trois familles de substitution. Ce qui plus est, les autorités ont même déclenché une procédure d’adoption internationale des cinq garçons et fillettes du couple Ruth et Marius Bodnariu, elle infirmière et lui ingénieur IT. Agés de 4 mois à 9 ans, les enfants ont été pris en charge après une dénonciation faite par la proviseure de l’école où apprennent les deux filles aînées. Elles lui auraient avoué d’avoir reçu des correction physiques de la part de leurs parents. Ce qui plus est, cette famille pentecôtiste pratiquante serait accusée de ce que les autorités norvégiennes appellent « l’endoctrinement religieux des enfants ».

    Pour les Roumains, majoritairement orthodoxes et plutôt sensibles aux questions familiales et religieuses, ces accusations sont ahurissantes. Dans la plupart des cas, même s’ils placent les enfants au cœur même de leur vies, les Roumains n’hésitent pas à leur appliquer des corrections physiques au nom de l’éducation. L’idée qu’un nourrisson peut être arraché de sa famille naturelle pour être pris en charge par les autorités a provoqué l’ire de nombre de Roumains.

    « Absurde », « aberrante », « d’inspiration nazie », c’est ainsi que l’on voit la législation norvégienne dans les rues de Bucarest, Cluj, Timişoara ou Constanţa où plusieurs rassemblements d’appui aux époux Bodnariu ont eu lieu : «C’est inadmissible que ce se passe. Aucun autre pays ne possède une telle législation. Les enfants appartiennent aux familles et non à l’Etat », s’indignait un participant à une telle manif. A Rome, Madrid, Bruxelles, ou La Haye, des milliers de personnes ont demandé l’implication du Gouvernement et de la Présidence roumains dans le cas Bodnariu.

    Ecoutons aussi Daniel Ţecu, le président de la Fédération des Association roumaines d’Europe, FADERE, d’Espagne : « J’ai un message à transmettre directement au président : Nous votons des présidents, mais nous savons aussi les renverser, s’ils nous ignorent. J’ai également un message pour tous les politiciens roumains : la diaspora s’est réveillé » s’exclamait Daniel Ţecu, représentant des communautés roumaines de l’étranger. Et pourtant, une telle réaction n’a pourtant pas d’objet, puisque les autorités de Bucarest ont déjà réagi.

    Le ministère des Affaires Etrangères et l’ambassadeur norvégien à Bucarest Tove Bruvik Westberg ont convenu de coopérer sur cette affaire. Egalement à l’initiative de la diplomatie de Bucarest, l’Autorité pour la protection de l’enfance a proposé à l’organisme similaire norvégien d’intégrer les cinq enfants dans la famille de leur oncle paternel qui habite en Roumanie. Une délégation de la Commission parlementaire chargée des communautés roumaines de l’étranger devra se rendre en une semaine en Norvège. Pour leur part, les époux Bodnariu ont contesté en justice les mesures des autorités locales norvégiennes. (trad. Alex Diaconescu).

  • Les effets de la réduction du taux de la TVA sur les produits alimentaires.

    Les effets de la réduction du taux de la TVA sur les produits alimentaires.

    Partie importante d’un programme gouvernemental ambitieux d’allègement fiscal, la baisse de la TVA sur denrées alimentaires à partir du 1er juin a reçu le feu vert de la part des sénateurs de Bucarest. La mesure prévoit une réduction de la TVA de 24 à 9% pour tous les produits alimentaires, les boissons non alcoolisées, la restauration et les repas livrés à domicile. Une mesure identique a déjà été prise dans le cas du pain et des produits de boulangerie.

    Censée encourager la consommation et consolider la tendance positive de l’économie, cette mesure a été accueillie avec un certain scepticisme. En effet, ses critiques ne s’attendent pas à ce que les prix des produits alimentaires baissent à l’avenir. Ce scepticisme a également été nourri par la suspicion que les hypermarchés avaient déjà augmenté les prix de manière artificielle avant l’entre en vigueur de la décision gouvernementale, afin d’accroître leurs profits.

    C’est le marché qui réglera les choses et une TVA plus réduite se traduira sans nul doute par des prix plus bas, a répliqué le premier ministre Victor Ponta.

    Selon les estimations des responsables du ministère de l’Agriculture, le prix des denrées alimentaires devrait diminuer de 12%. L’optimisme des autorités est partagé par une grande partie de la population.

    De l’avis de la majorité des Roumains, cette réduction du taux de TVA est une mesure positive tant pour la population que pour l’économie, selon un récent baromètre de l’opinion publique. Pourtant, pour 34,5% des Roumains la baisse des taxes et impôts signifie moins d’argent pour la santé, l’éducation et l’infrastructure. Ils sont contredits, néanmoins, par près de 39% de leurs concitoyens. 27% des personnes questionnées n’ont pas d’opinion à ce sujet ou refusent de répondre, ce qui prouve selon les auteurs de l’étude, le manque d’informations des Roumains sur les mécanismes économiques. 37,7% d’entre eux prévoient une diminution des prix inférieure à la baisse de la TVA. 33% des Roumains environ affirment que les prix des produits alimentaires et des boissons non-alcoolisées demeureront inchangés, alors que seuls 19% d’entre eux pensent que la baisse illustrera la réduction de la TVA. Au total, 57% des Roumains s’attendent à payer moins pour leur caddie grâce notamment à cette mesure.

    La décision du gouvernement de réduire le taux de TVA sur les denrées alimentaires de 24 à 9%, est préférée par 62% de la population, alors que la diminution de 24 à 20% de cette taxe sur toutes les marchandises et les services a été plébiscitée par seulement 29% des personnes interviewées. Ce baromètre de l’opinion publique, commandé par le quotidien Adevarul, a été réalisé par Inscop Research, du 23 au 30 avril, sur un échantillon représentatif de 1085 personnes, avec une marge erreur maximale de +/- 3%. (Trad. Alex Diaconescu)

  • 28.01.2015 (mise à jour)

    28.01.2015 (mise à jour)

    Justice — La Commission européenne a publié mercredi ses traditionnels rapports sur la Justice réalisés dans le cadre du Mécanisme de Coopération et de Vérification par lequel l’exécutif communautaire suit l’évolution dans le domaine en Roumanie et Bulgarie. Le premier vice- président de la CE, Frans Timmermans a déclaré que la Roumanie était sur la bonne voie et qu’elle doit continuait dans cette même direction. La lutte contre la corruption doit rester à l’avenir aussi son plus grand défi et sa priorité numéro 1. Dans son rapport, la CE félicite la Direction nationale anti-corruption pour son rôle essentiel dans la multiplication des enquêtes et des condamnations, notamment dans les cas de grande corruption. D’ailleurs, le documents note aussi que les systèmes judiciaire, éducationnel et de santé sont toujours touchés par la corruption. La Cour constitutionnelle, l’Agence nationale d’intégrité, la Haute cour de cassation et de justice et le Conseil supérieur de la magistrature sont d’autres institutions judiciaires dont l’activité a été remarquée par la Commission. Le rapport rappelle aussi le refus du Parlement de lever l’immunité de certains élus confrontés à des problèmes avec la Justice. La CE recommande à la Roumanie d’inclure dans le code de conduite des parlementaires des dispositions censées garantir le respect de l’indépendance de la justice. Par ailleurs, Bruxelles appelle Bucarest à intensifier ses actions préventives contre les conflits d’intérêts, le favoritisme, la fraude et la corruption dans les acquisitions publiques. Le prochain rapport MCV sera présenté d’ici un an.


    Conclusions — Le président roumain, Klaus Iohannis, a salué les conclusions positives, pour la plupart, du rapport MCV, tout en considérant que la Roumanie doit continuer ses efforts censés assurer une évolution irréversible des réformes dans le domaine de la justice et de la lutte contre la corruption. D’autre part, le chef de l’Etat a pris note des critiques formulées par la Commission Européenne au sujet de la réticence du législatif de mettre en place les décisions finales de la Cour Constitutionnelle, du recours trop fréquent aux ordonnances d’urgence ou encore du refus du Parlement de lever l’immunité de certains élus confrontés à des problèmes avec la Justice. Le ministre de la Justice, Robert Cazanciuc, a déclaré que le rapport MCV est « le meilleur jusqu’à présent » « puisqu’il marque une série de progrès incontestables dont la lutte contre la corruption et la mise en place de nouveaux codes ».


    Consultations — Le président roumain Klaus Iohannis et les partis et formations politiques parlementaires se sont penchés mercredi sur les priorités du législatif de Bucarest. Selon l’Administration présidentielle, les pourparlers ont porté entre autres sur une meilleure organisation des élections à l’étranger, sur le financement des campagnes électorales et des partis politiques, sur les manières d’accélérer les procédures de levée de l’immunité parlementaire et sur la réduction du nombre de parlementaires. Le Parti social démocrate, propose, entre autres, que l’Autorité électorale permanente soit chargée de l’organisation de tous les types de scrutin, y compris à l’étranger. Le Parti national libéral, de l’opposition de centre-droit, souhaite introduire le vote par correspondance et soutient l’idée d’un retour à l’élection des maires et des présidents de conseils départementaux en deux tours de scrutin. C’est la 2e session de consultations de Klaus Iohannis avec les partis et les formations parlementaires depuis le début de son mandat en décembre dernier. Les premières discussions ont eu lieu le 12 janvier et ont mené à la signature d’un accord sur le financement de la Défense.


    METEO — Ciel plutôt couvert en Roumanie. Des petits flocons tomberont à la montagne et le brouillard fera son apparition sur le sud et l’est du territoire. Le vent doit s’intensifier sur l’ouest et le nord-est. Les maximales iront d’1 à 8 degrés.