Tag: diplome

  • Muncind în Europa – 13.01.2025

    Muncind în Europa – 13.01.2025

    Diplomele românești obşinute de asistenţii medicali generalişti, obținute înainte de aderare, respectiv 1 ianuarie 2007, vor fi recunoscute automat de statele membre ale UE. Schimbările legislative trebuie transpuse în practică până în martie 2025.

  • La semaine du 12 au 17 octobre 2020

    La semaine du 12 au 17 octobre 2020

    Prolongation
    de l’état d’alerte

    Ce que l’on appelle, par un euphémisme, la « nouvelle normalité
    », causée par la pandémie de COVID-19, a été prolongée, en
    Roumanie, pour 30 nouveaux jours, sous la forme d’un état
    d’alerte. Mises en place par le gouvernement en mai dernier, aprèsdeux
    mois d’état d’urgence, les
    restrictions précédemment proposées par le Comité pour les
    situations d’urgence sont maintenues, sur la toile de fond d’une
    explosion des cas de contamination – plus de quatre mille par jour.
    Le masque est obligatoire dans des espaces encombrés, dans des zones
    où l’incidence est entre zéro et trois cas d’infection par
    millier d’habitants et à 50 mètres de l’entrée des écoles.
    Dans les zones avec une incidence supérieure à trois pour mille, le
    masque doit également être porté dans tous les espaces ouverts. Le
    secrétaire d’Etat au ministère de l’Intérieur, Raed Arafat, a
    précisé que
    les événementsprivéstels
    queles
    mariages, les baptêmes ou les anniversaires
    sont interdits,et
    que
    les événements de la prochaine campagne électorale peuvent avoir
    lieu avec un maximum de
    20 personnes à l’intérieur et50
    à l’extérieur. Il a également indiqué que les Directions de la
    santé publique sont tenues de tester le personnel des centres
    résidentiels une fois par semaine.




    Le
    Président au sommet


    A
    La pandémie et les futures relations entre l’Union européenne et
    le Royaume-Uni ont constitué les principaux points à l’agenda du
    Conseil européen de Bruxelles. La Roumanie y a été représentée
    par le président Klaus Iohannis. Il a plaidé pour une coordination
    accrue entre les États membres de l’Union, dans le contexte de
    l’accroissement du nombre de cas d’infection au COVID-19 sur
    l’ensemble du continent. Le chef de l’État roumain souhaite
    également que les flux transfrontaliers
    d’approvisionnement restent
    ouverts. Un cadre flexible, censé permettre aux États membres
    d’identifier les solutions les plus appropriées pour assurer la
    transition verte – voilàun
    autre enjeu pour la Roumanie, a déclaré le président Iohannis.

    La
    Roumanie entre les élections

    Le Bureau électoral central a annoncé les résultats définitifs
    des élections
    locales du 27
    septembre. Initialementprévu
    en juin et reporté en
    raison de la pandémie,
    le scrutin a eu pour enjeux41
    postes de présidents de Conseil départementaux, plus de 1 300 de
    conseillers départementaux, 40 000 de conseillers locaux et environ
    3 200 de maires. Considéré comme éminemment politique, le vote
    pour les listes de conseillers confirme la suprématie actuelle du
    PNL (au pouvoir), avec34%.
    A une distance de 4%, on retrouve le PSD, d’opposition, alors que
    l’Alliance USR-PLUS arrive en 3e
    position, avec moins de
    7%.
    En revanche,
    les
    sociaux-démocrates ont remporté 20 conseils départementaux, contre
    17 seulement pour les libéraux et quatre pour l’UDMR. À Bucarest,
    le mathématicien et militant civique Nicuşor Dan, candidat
    indépendant soutenu par le PNL et l’USR, a remplacé la maire
    générale sociale-démocrate Gabriela Firea. La droite a également
    gagné trois des six mairies d’arrondissement, et la gauche – les
    trois autres. Les élections législatives devraient avoir lieu le
    6 décembre, mais leur date fait déjà l’objet de différends
    politiques
    dans le contexte de la crise sanitaire
    actuelle. Un député non affilié a déposé un
    projet de loi
    qui
    sera débattu en urgence, préconisant que le scrutin soit organisé
    le 14
    mars prochain. Le pouvoir a toutefois rétorqué que rien n’est sûr
    que les choses se passeront mieux en mars.



    Faux,
    blanchiment d’argent et tournerie

    L’ancien président de l’Office national roumain de prévention
    et de lutte contre le blanchiment d’argent, Laurentiu Baranga, a
    été assigné à résidence surveillée pendant 30 jours, accusé
    par les procureurs d’usage de faux documents d’études, qui ont
    ensuite été supprimés par les tribunaux. Selon les enquêteurs, le
    préjudice créé aux institutions où il a travaillé dépassent un
    demi-million de lei, soit l’équivalent de plus de cent mille
    euros. Tourneur de son état, Baranga a démissionné de ses
    fonctions de président de l’Office, qu’il avait reprises le mois
    dernier, après avoir été accusé d’avoir falsifié son diplôme
    de baccalauréat, obtenu à 32 ans. Le Premier ministre libéral
    Ludovic Orban a déclaré qu’il n’avait aucune information sur
    ses faux diplômes et que toutes les procédures d’évaluation de
    sa candidature avaient été observées avant son investiture. Le
    président par intérim du Sénat, le social-démocrate Robert
    Cazanciuc, affirme que le Premier ministre devrait démissionner,
    parce qu’il a nommé un faussaire à un poste permettant de
    contrôler les transactions financières de la Roumanie.



    Or
    en aviron, désastre en football

    Avec quatre médailles d’or, une d’argent et une de bronze,la
    Roumanie a terminé troisième au classement par nations aux
    Championnats d’Europe d’aviron qui ont eu lieu dans la ville
    polonaise de Poznan, étant dépassée seulement par les Pays-Bas et
    l’Italie. Par contre, la sélection nationale de football poursuit
    sa série de contre-performances. Dimanche,
    les Roumains ont été surclassés, 0-4, en déplacement, par la
    Norvège, et mercredi ils se sont inclinés 0-1 devant l’Autriche,
    à domicile, dans le Groupe 1B de la Ligue des nations. La semaine
    dernière, la Roumanie avait également raté la participation au
    tournoi final continental prévu l’année prochaine, où Bucarest
    sera l’un des hôtes, après avoir perdu, en déplacement, 1-2, le
    match contre l’Islande, dans les demi-finales du barrage de
    qualification. (Trad. : Ligia)

  • Recunoaşterea diplomelor şi calificărilor profesionale

    Recunoaşterea diplomelor şi calificărilor profesionale

    Ministerul Educației și
    Cercetării, prin Centrul Național de Recunoaștere și Echivalare a Diplomelor
    (CNRED), evaluează și recunoaște actele de studii deținute
    de cetățenii Uniunii Europene, ai Spațiului Economic European și din
    Confederația Elvețiană, membrii de familie ai acestora, precum și beneficiari
    de o formă de protecție internațională, în vederea continuării studiilor în
    România. De asemenea, pot fi recunoscute și actele
    deținute de cetățenii din statele non-UE, în vederea accesului pe piața
    forței de muncă din România.



    Amintim că Ministerul Educației
    și Cercetării a eliminat, în acest an, taxele de recunoaștere
    sau echivalare a studiilor preuniversitare și universitare pentru cetățenii
    Spațiului Economic European și ai Confederației Elvețiene. Accesul pe piața muncii se va face fără alte
    costuri pentru această categorie. Taxa pentru recunoașterea sau echivalarea
    studiilor preuniversitare și universitare se va păstra numai pentru cetățenii
    din afara Spațiului Economic European/Confederației Elvețiene.


    Evaluarea și recunoașterea
    studiilor sau diplomelor obținute în străinătate se fac prin comparație cu
    sistemul educațional din România.Pentru recunoaşterea și
    echivalarea studiilor preuniversitare, studii corespunzătoare
    claselor I-XII, elevii trebuie să se adreseze inspectoratelor școlare județene
    sau Inspectoratului Școlar al Municipiului București. CNRED recunoaște actele
    de studii de nivel preuniversitar (bacalaureat, școală postliceală, profesională)
    prin evaluarea și stabilirea nivelului, domeniului și/sau a specializării
    actului de studii obținut în străinătate raportat la sistemul românesc de
    învățământ.

    În urma evaluării, CNRED
    poate recunoaște automat sau prin aplicarea de examene de diferenţă sau alte
    măsuri compensatorii, nivelul, domeniul de studii și/sau specializarea. Si
    pentru recunoaşterea și echivalarea studiilor universitare, CNRED
    recunoaște actele de studii de nivel universitar (licenţă, master şi doctorat)
    prin evaluarea și stabilirea nivelului, domeniului și/sau a specializării
    actului de studii obținut în străinătate raportat la sistemul românesc de
    învățământ. În urma evaluării, CNRED poate recunoaște automat actele de studii
    obținute la universități din UE și universități de prestigiu din alte state sau
    cu aplicarea de examene de diferenţă sau alte măsuri compensatorii, nivelul
    diplomei, domeniul de studii și/sau specializarea.

  • Aflăm pentru tine – 13.07.2018

    Aflăm pentru tine – 13.07.2018

    Sunt eliminate din dosarul de echivalare, foile matricole
    cerute de la şcolile din străinătate. Interviu cu Adrian Iordache, şef serviciu Centrul Naţional de Recunoaştere si Echivalare a Diplomelor


  • Qui veut encore aller à l’Université?

    Qui veut encore aller à l’Université?

    Dans la Roumanie communiste, les études supérieures nétaient guère encouragées. Doù le nombre infime de places dans lenseignement supérieur, la difficulté des examens damission et par conséquent la concurrence acerbe. Ceci étant, au début des années 1990, le pays était confronté à un grand déficit de diplômés. En 1992, par exemple, seulement 5,8% de la population avait suivi les cours dune faculté.



    25 ans plus tard, la situation est beaucoup meilleure, grâce à lapparition des facultés privées et au nombre croissant de places réservées aux étudiants dans lenseignement supérieur public. Malgré ces progrès, la Roumanie arrive dernière parmi les Etats membres de lUE pour ce qui est du pourcentage de diplômés, même dans la tranche dâge comprise entre 30 et 34 ans, soit 25,6% de la population, alors que la moyenne européenne est de 39,1%.



    Selon Mihai Dragoş, président du Conseil de la Jeunesse de Roumanie, les causes relèvent tant de la situation économique précaire, que des traits spécifiques de notre système éducatif : « A regarder de près ce qui se passe dans lenseignement secondaire, on constate que le taux de réussite au baccalauréat est de seulement 48%. A cela sajoute le décrochage scolaire qui est allé croissant ces dernières années et qui atteint actuellement les 18%. Certaines études menées par des organisations étudiantes révèlent un pourcentage dabandon assez élevé dans lenseignement universitaire aussi, surtout lors de la soutenance du mémoire de fin détudes. Près de 35% à 40% des jeunes admis à la faculté narrivent pas à achever leurs études.



    En outre, il nest pas rare que le choix de la faculté ne soit pas le résultat dune option personnelle, mais de celle des parents. Certains étudiants se ravisent très vite et changent de faculté, dautres se font embaucher pendant leurs études et nont plus le temps dapprendre. Enfin, il se peut aussi quils ne se permettent plus de payer les frais de scolarité ».



    Les raisons financières y pèsent beaucoup, mais il y a aussi lidée que le diplôme universitaire ne garantit pas forcément la réussite dans la vie. Une perception erronée, vu que, daprès les statistiques, les diplômés ont davantage de chances de trouver un emploi, souligne Victoria Stoiciu, représentante de la Fondation Friedrich Ebert : « La question qui se pose est de savoir combien rentable est léducation supérieure. On sait déjà que pour bien des gens elle représente un investissement coûteux, car tous les étudiants nhabitent pas les villes où il existe des centres universitaires. Autant dire que léducation suppose aussi des frais autres que celles de scolarité, destinés au logement, au transport, à la vie quotidienne et que, malheureusement, peu de jeunes peuvent supporter.



    Ceci étant, il est naturel que lon analyse le rapport coût-efficacité. Les jeunes se demandent sil est vraiment efficace dinvestir dans léducation, quatre ans durant, pour obtenir un diplôme leur facilitant laccès à un emploi médiocrement rémunéré ou bien sil vaut mieux aller travailler en Italie ou en Espagne, sans aucun diplôme et gagner au moins 800 à 900 euros par mois. Pour nombre de Roumains, la réponse à cette question cest quil ne vaut pas la peine dinvestir dans léducation ».



    La réalité contredit ces perceptions et le système éducatif et la famille devraient les corriger, estime Mihai Dragoş : « Les jeunes ne sont pas aidés à bien saisir la dynamique de la société. Les statistiques européennes montrent que la demande demploi exigeant un niveau de qualification moyen ou de personnel non qualifié est à la baisse sur lensemble de lUE, alors que celle de diplômés est à la hausse.



    Cela sexplique entre autres par la tendance à automatiser bon nombre dactivités, ce qui entraînera la disparition de certaines occupations ou la diminution de la demande de telles ou telles qualifications. Bref, le marché de lemploi sorientera vers les diplômés. En ce qui la concerne, pour rester compétitive, la Roumanie devrait saligner sur ces tendances, sur le long terme. Dans le cas contraire, elle se verra confronter à la montée du chômage des jeunes et cette situation pourrait devenir intenable dici une vingtaine ou une trentaine dannées ».



    La recherche menée par la Fondation Friedrich Ebert România, via le projet ‘‘Moniteur social, qui se propose de déceler les causes du faible taux de diplômés, a également pris en compte la « fuite des cerveaux ». Toutefois, quelque révélateur quil puisse être, ce phénomène noffre que des explications partielles. Chaque année, en Roumanie, seulement 10 sur 1000 personnes de 15 à 64 ans décrochent un diplôme détudes supérieures. Avec ce pourcentage, qui représente la moitié de celui enregistré en Pologne, la Roumanie se situe bien au dessous de la moyenne européenne.



    En plus, lenseignement supérieur semble avoir perdu de son attrait, parce que trop théorique, ajoute Victoria Stoiciu : « Léducation est considérée strictement sous langle de lefficacité et de la manière dont elle répond aux besoins du marché de l‘emploi. Sans être incorrecte, cette approche savère pourtant appauvrissante. En effet, léducation ne vise pas uniquement à former la main dœuvre ; elle a aussi le rôle de modeler des citoyens, le jugement critique, de nous habituer à apprendre en autodidacte, nous aider à nous développer nous-mêmes. Or, ce volet, disons idéaliste, du système déducation est complètement délaissé, de nos jours ».



    Afin de remédier à cette situation, les experts qui mènent le projet mentionné recommandent laugmentation du budget de lenseignement. Et pour cause: la Roumanie arrive en queue du peloton européen, pour ce qui est de lenveloppe financière consacrée à léducation, laquelle na jamais dépassé les 5% du PIB, ces 10 dernières années. (trad. : Mariana Tudose)

  • Nouveau diplôme franco-roumain d’ingénieur

    Nouveau diplôme franco-roumain d’ingénieur

    Cest un nouveau pas vers un peu plus mobilité pour les jeunes Roumains et peut-être un départ vers linsolite pour les jeunes Français. LAlliance roumaine des universités techniques et le groupe des Instituts nationaux des sciences appliquées de France signent un accord de coopération interuniversitaire instituant un double diplôme roumano-français, niveau master. Quels débouchés pour les deux parties? Les explications de Jean-Luc Belmonte, attaché de coopération scientifique et universitaire à l’Institut français de Roumanie.








  • A la Une de la presse roumaine 25.05.2017

    A la Une de la presse roumaine 25.05.2017

    Aujourd’hui nous vous proposons de laisser un peu la politique de côté et passer en revue des faits de société. La ville de Cluj Napoca (centre) est en train de se transformer en «smart city», une ville intelligente. Un titre auquel aspire aussi sa voisine, la ville d’Alba Iulia. L’exode des médecins est un phénomène de plus en plus dangereux, titre aussi la presse roumaine, vu qu’il existe « un déficit de 13.000 médecins dans les hôpitaux sur l’ensemble du pays ». Côté éducation supérieure, « la Bulgarie nous a dépassés pour ce qui est du nombre de diplômés des universités ». Enfin, à Bucarest, un million de livres et environ 400 événements attendent les visiteurs du Salon du livre Bookfest qui se déroule jusqu’à dimanche.





  • Recunoaşterea diplomelor şi calificărilor profesionale

    Recunoaşterea diplomelor şi calificărilor profesionale

    Recunoaşterea diplomelor şi calificărilor profesionale pentru profesiile reglementate din România se aplică oricărui cetăţean al unui stat membru al Uniunii Europene sau al Spaţiului Economic European care doreşte să lucreze în ţara noastră, independent sau ca angajat. Instituţia responsabilă cu recunoaşterea diplomelor este Centrul Naţional de Recunoaştere şi Echivalare a Diplomelor din Ministerul român al Educaţiei Naţionale. Diplomele necesare trebuie să ateste faptul că titularul a încheiat un ciclu de studii superioare de cel puţin 3 ani într-o formă de învăţământ de lungă durată sau în cadrul unei universităţi sau într-o altă instituţie cu un nivel asemănător, urmând cursuri de formare profesională, pe lângă ciclul de studii superioare, dacă statul de origine impune astfel de condiţii. Diploma trebuie, de asemenea, să ateste faptul că titularul deţine calificarea profesională necesară pentru o profesie reglementată sau pentru ocuparea unei profesii în statul de origine, doar dacă formarea a fost dobândită în principal în Uniunea Europeană sau Spaţiul Economic European.


    Procedura de recunoaştere a calificărilor profesionale în vederea exercitării în România a unei profesii reglementate presupune adoptarea de către autoritatea competentă română a unei măsuri compensatorii, precum un stagiu de adaptare care să nu depăşească 3 ani sau susţinerea unei probe de aptitudini sau examen de diferenţă. Această etapă se impune dacă formarea solicitantului priveşte domenii teoretice sau practice substanţial diferite faţă de cele cerute în România pentru obţinerea diplomei de învăţământ superior. Persoanele care beneficiază de recunoaşterea calificărilor profesionale trebuie să posede cunoştinţe de limba română în măsura în care sunt necesare exercitării profesiei respective. Taxa pentru evaluarea dosarului în vederea recunoaşterii diplomelor este de 50 de lei. Alte informaţii pot fi găsite pe site-ul www.cnred.edu.ro, editat în engleză şi română. Dispoziţiile legii prezentate nu se aplică recunoaşterii în România a calificărilor necesare pentru exercitarea unei profesii recunoscute automat la nivel european, respectiv profesiile de medic, medic dentist, farmacist, asistent medical generalist, moaşă, medic veterinar şi arhitect.



    În ceea ce-i priveşte pe cetăţenii din state care nu aparţin Uniunii Europene sau Spaţiului Economic European, actele necesare pentru obţinerea documentului numit Atestat de recunoaştere trebuie depuse la Centrul Naţional de Recunoaştere şi Echivalare a Diplomelor. Atestatele de recunoaştere sunt necesare pentru obţinerea avizelor de angajare în România, iar de obţinerea acestora se ocupă firmele înregistrate în ţara noastră care doresc să angajeze cetăţeni străini, reamintim, din state care nu aparţin Uniunii Europene sau Spaţiului Economic European. Actele de studii care vor fi prezentate trebuie să poarte apostila Convenţiei de la Haga privind anularea cerinţei supralegalizării actelor oficiale, pentru cetăţenii statelor care sunt parte la convenţie, sau o supralegalizare din partea autorităţilor ţării de provenienţă.

  • Recunoaşterea diplomelor şi calificărilor profesionale

    Recunoaşterea diplomelor şi calificărilor profesionale


    Recunoaşterea diplomelor şi calificărilor profesionale pentru profesiile reglementate din România se aplică oricărui cetăţean al unui stat membru al Uniunii Europene sau al Spaţiului Economic European care doreşte să lucreze în ţara noastră, independent sau ca angajat. Instituţia responsabilă cu recunoaşterea diplomelor este Centrul Naţional de Recunoaştere şi Echivalare a Diplomelor din Ministerul român al Educaţiei Naţionale şi Cercetării Ştiinţifice.



    Diplomele necesare trebuie să ateste faptul că titularul a încheiat un ciclu de studii superioare de cel puţin 3 ani într-o formă de învăţământ de lungă durată sau în cadrul unei universităţi sau într-o altă instituţie cu un nivel asemănător, urmând cursuri de formare profesională, pe lângă ciclul de studii superioare, dacă statul de origine impune astfel de condiţii. Diploma trebuie, de asemenea, să ateste faptul că titularul deţine calificarea profesională necesară pentru o profesie reglementată sau pentru ocuparea unei profesii în statul de origine, doar dacă formarea a fost dobândită în principal în Uniunea Europeană sau Spaţiul Economic European.



    Procedura de recunoaştere a calificărilor profesionale în vederea exercitării în România a unei profesii reglementate presupune adoptarea de către autoritatea competentă română a unei măsuri compensatorii, precum un stagiu de adaptare care să nu depăşească 3 ani sau susţinerea unei probe de aptitudini sau examen de diferenţă.



    Această etapă se impune dacă formarea solicitantului priveşte domenii teoretice sau practice substanţial diferite faţă de cele cerute în România pentru obţinerea diplomei de învăţământ superior. Persoanele care beneficiază de recunoaşterea calificărilor profesionale trebuie să posede cunoştinţe de limba română în măsura în care sunt necesare exercitării profesiei respective. Taxa pentru evaluarea dosarului în vederea recunoaşterii diplomelor este de 50 de lei (cca. 11,5 euro).



    Alte informaţii pot fi găsite pe site-ul www.cnred.edu.ro, editat în engleză şi română. Dispoziţiile legii prezentate nu se aplică recunoaşterii în România a calificărilor necesare pentru exercitarea unei profesii recunoscute automat la nivel european, respectiv profesiile de medic, medic dentist, farmacist, asistent medical generalist, moaşă, medic veterinar şi arhitect.



    În ceea ce-i priveşte pe cetăţenii din state care nu aparţin Uniunii Europene sau Spaţiului Economic European, actele necesare pentru obţinerea documentului numit “Atestat de recunoaştere” trebuie depuse la Centrul Naţional de Recunoaştere şi Echivalare a Diplomelor. Atestatele de recunoaştere sunt necesare pentru obţinerea avizelor de angajare în România, iar de obţinerea acestora se ocupă firmele înregistrate în ţara noastră care doresc să angajeze cetăţeni străini, reamintim, din state care nu aparţin Uniunii Europene sau Spaţiului Economic European.



    Actele de studii care vor fi prezentate trebuie să poarte apostila Convenţiei de la Haga privind anularea cerinţei supralegalizării actelor oficiale, pentru cetăţenii statelor care sunt parte la convenţie, sau o supralegalizare din partea autorităţilor ţării de provenienţă.

  • Hörerpostsendung 8.5.2016

    Hörerpostsendung 8.5.2016

    Herzlich willkommen zur Hörerpostsendung von RRI. Zu Beginn möchte ich ein paar kurze Botschaften verlesen, die wir noch Ende April erhielten.



    Heiner Finkhaus (aus Gescher im Münsterland) schrieb in seinem Postbrief:



    In der Sendung berichteten Sie von einem Verband, der nach der Brandkatastrophe im vorigen Jahr gegründet wurde. Ich hoffe, dieser Verband kann die Einhaltung und Verbesserung der gesetzlichen Vorgaben erreichen. Dies wird jedoch sicher nicht einfach, da es hier vermutlich um viel Geld bei den Bauma‎ßnahmen geht und immer versucht wird, dieses einzusparen.




    Vielen Dank für Ihren Brief, lieber Herr Finkhaus. Ob dieser Verband tatsächlich erreichen kann, dass gesetzliche Vorgaben besser eingehalten werden, ist natürlich schwer zu sagen, da es tatsächlich so ist, wie Sie es sagen: In der Baubranche geht es immer um viel Geld, und die Versuchung, Gesetze zu umgehen, ist entsprechend gro‎ß. Eines können solche Verbände aber auf jeden Fall erreichen — dass Druck in der Öffentlichkeit ausgeübt wird und korrupten Politikern, die mitschuldig an solchen Katastrophen sind, das Handwerk gelegt wird. Der Bürgermeister des 4. Bukarester Stadtbezirks, wo sich die Katstrophe ereignet hat, wollte nämlich erneut für das Amt des Bürgermeisters kandidieren, als ob nichts geschehen wäre und obwohl die Justiz bereits gegen ihn ermittelte. Es gab daraufhin heftige Proteste der Angehörigen der Opfer, die Au‎ßenwände seines Wahlkampfbüros wurden mit Farbe beschmiert, wütende Demonstranten nannten ihn einen Mörder. Ein Gericht hat inzwischen entschieden, dass er nicht antreten darf, allerdings nicht wegen seiner mutma‎ßlichen Verwicklung in der Affäre um den Unglücksclub, sondern aufgrund von Unregelmä‎ßigkeiten in der Unterschriftensammlung für seine Kandidatur. Und mittlerweile wird dem Mann auch der Prozess gemacht. Die Staatsanwälte der Antikorruptionsbehörde haben Anklage wegen Amtsmissbrauchs gegen den ehemaligen Bürgermeister erhoben. Ihm und zwei seiner Mitarbeiterinnen wird angelastet, die Genehmigung für die Betreibung des Clubs erteilt zu haben, obwohl das Brandschutzamt die entsprechende und notwendige feuerpolizeiliche Begutachtung noch nicht durchgeführt hatte.



    Zwei Hörer machten Gebrauch von unserem Internetformular, das nicht immer zuverlässig funktioniert. Martin Wrede (aus Reutlingen, Baden-Württemberg) schrieb:



    Sie sind einer der noch wenigen Sender mit deutschem Programm auf KW und MW. Ich finde das ganz toll und höre immer wieder gerne zu. Au‎ßerdem bekommt man Informationen direkt, ohne Einfärbung der deutschen Presse. Bitte weitermachen!



    Und Burkhard Schneider (der im rheinland-pfälzischen Giesenhausen daheim ist) fand ähnliche Worte:



    Hallo RRI-Team!



    Informativ wie immer. Bin seit Jahren auf LW/MW/KW als SWL unterwegs. Mein Schwerpunkt ist UT-DX. Werde aber im Jahr 2016 mal versuchen, mir einen Überblick über die noch verbliebenen deutschsprachigen Rundfunksender in diesen Wellenbereichen zu verschaffen. Da ich eine beweiskräftige Liste erstellen möchte, wären eine QSL-Karte und etwas Infomaterial von Ihnen sehr hilfreich. 73 und Ihnen weiterhin viel Erfolg!




    Vielen Dank für das Feedback, liebe Freunde. QSL und Sendeplan werden Ihnen zugeschickt, mit der Zustellung müssen Sie sich aber ein bisschen gedulden, da unsere Postbearbeitungsstelle personell und finanziell bekanntlich auf Sparflamme arbeitet.




    Dieter Feltes (aus Pyrbaum in der Oberpfalz) meldete sich Ende April per E-Mail:



    Sehr geehrte Damen und Herren!



    Vielen Dank für die Informationen über Rumänien. Ich nehme an, dass in diesem Jahr viele deutsche Touristen an die rumänische Schwarzmeerküste kommen. Viele beliebte Urlaubsländer haben gro‎ße Einbu‎ßen. Aus der Vergangenheit wei‎ß ich, dass die Strände zum Beispiel in Mamaia sehr schön sind, besonders für Kinder und Erwachsene, die des Schwimmens nicht so mächtig sind.


    Übrigens, der Empfang Ihrer Sendungen ist weiterhin gut und brauchbar zu hören.

    Ich wünsche Ihnen nun alles Gute und viele Grü‎ße.




    Vielen Dank für Ihre Zeilen, lieber Herr Feltes. Der Strand in Mamaia war mal tatsächlich ideal für Familien mit Kleinkindern. Der Sand ist fein, der Meeresboden ist flach und das meistens ruhige Meer bestens geeignet für sorgenloses Planschen. Doch was da in den letzten Jahren entstanden ist, trifft nicht unbedingt den Geschmack aller Touristen. Der Strand in Mamaia ist nämlich zu einer riesigen Partymeile geworden, Tanzfläche nach Tanzfläche reihen sich die Zappelläden aneinander an, wo man bis in den Morgen hinein feiern kann. Für junge Leute — ein Spa‎ßparadies, für Leute, die eher Ruhe suchen — der reinste Horror.




    Von Andreas Mücklich aus Berlin erhielten wir vergangenes Wochenende eine E-Mail:



    Liebes Team in Bukarest,

    lieber Sorin,



    jetzt wird es aber wieder Zeit für eine E-Mail von mir.



    Als erstes möchte ich mich für die QSL-Karten bedanken. In der vergangenen Woche sind die restlichen QSL-Karten für das vergangene Jahr 2015 eingetroffen. Verschiedene Höhlen als Motive zu benutzen, finde ich eine schöne Idee. Ich glaube, das letzte Mal, dass ich eine Höhle besucht habe, ist schon ewig her. Es war wohl in den 70er Jahren im Harz und ich war in einem Ferienlager. Ich bin schon gespannt, welche Motive es in diesem Jahr sind. Einige von ihnen sind ja bereits auf der Seite von RRI zu sehen. Eine Frage habe ich aber trotzdem. In früheren Zeiten gab es immer noch Flyer mit Frequenzhinweisen — gibt es diese nicht mehr?

    Und wenn ich schon beim Fragen bin, dann würde ich noch gerne wissen, ob RRI immer noch Diplome ausstellt?




    Apropos QSL-Karten. Heute lag in meinem Briefkasten ein Brief aus Rumänien, dieser war aber nicht von RRI. Absender ist Radio Târgu Mureş. Es hat mich schon überrascht, da ich bereits eine Bestätigung (eine sogenannte eQSL) mit einer E-Mail erhalten habe. In der E-Mail gab es auch noch Fotos vom Sendegebäude und dem Inneren desselben (zu sehen hier auf meinem Blog http://myworldberlin.blogspot.de/2016/04/eqsl-card-by-radio-targu-mures-eqsl.html). Schön, dass es immer noch Sender gibt, die sich die Mühe machen und QSL-Karten versenden.



    Euren Programmen zu lauschen, macht immer noch Freude. Interessant fand ich letztens den
    Artikel über die sinkende Pressefreiheit weltweit. Sicherlich wundert der schlechte Index von Nordkorea oder Saudi-Arabien niemanden wirklich. Dass aber in Ländern wie Schweden oder Deutschland die Pressefreiheit langsam schwindet, erstaunt mich doch etwas, was sicherlich nicht nur daran liegt, dass ich kein Verschwörungstheoretiker und auch kein Anhänger der PEGIDA & Co. (Stichwort Lügenpresse“) bin. Einer der Gründe für den Schwund ist vielleicht auch die eigene Schere im Kopf mancher Journalisten — was passiert, wenn ich darüber berichte? Bestes Beispiel ist doch der Fall Böhmermann und Herr Erdogan, seines Zeichens Präsident der Türkei. Sicherlich geht es um Satire, aber wenn schon da solche Probleme entstehen können, wie soll es dann erst bei anderen Dingen aussehen? Auch die Rücksicht auf Minderheiten könnte vielleicht ein Grund für Selbstzensur sein. Seien wir gespannt, wie es weitergehen wird.



    In Rumänien und anderen Ländern wird an diesem Wochenende das Osterfest gefeiert. Darum möchte ich allen Mitarbeitern ein frohes und gesegnetes Osterfest wünschen!



    Damit möchte ich mich für dieses Mal wieder verabschieden.



    Viele Grü‎ße aus Berlin,



    eurer Hörer Andreas Mücklich




    Lieber Andy, vielen Dank für Deine ausführlichen Zeilen und für die Ostergrü‎ße. Den Flyer mit den Frequenzhinweisen gibt es noch — er wird vorrangig an Hörer ohne Internetzugang verschickt und — sofern vorrätig — auch an alle anderen. Diplome werden leider seit Jahren nicht mehr ausgestellt, da zum einen kein Geld mehr für die Herstellung von Diplomen vorhanden ist und zum anderen niemand mehr Statistiken über einzelne Hörer anlegt, also z.B. dass Hörer X unseren Sender seit Y Jahren hört. Diesen Aufwand will oder kann sich der Rundfunk nicht mehr leisten. Aber QSL-Karten gibt es auch in diesem Jahr, und zwar gibt es auch diesmal eine komplette Serie mit 12 Karten, auf denen Sehenswürdigkeiten oder Baudenkmäler aus verschiedenen rumänischen Städten abgebildet sind.



    Dass der Regionalsender Radio Târgu Mureş Deinen Empfangsbericht bestätigt hat, freut mich; das kommt aber eher selten vor, andere Hörer haben da weniger Glück gehabt.



    Den Artikel über die sinkende Pressefreiheit in Europa hat auch Roland Ruckstuhl, ein Hörer aus der Schweiz, über die Kommentarfunktion und auch in unserem Facebook-Auftritt mit folgenden Worten bedacht:



    Der Druck auf die Journalisten ist meiner Meinung nach auch immer mehr zu spüren. In der Türkei und in Russland ist es besonders schlimm. Tragisch ist es, dass auch in EU-Ländern die Pressefreiheit keine Selbstverständlichkeit mehr ist. Wir erleben eine gro‎ße Krise in der EU. Als Schweizer bin ich froh, dass mein Land nicht Mitglied der EU ist. Es läuft zurzeit so vieles schief.




    Weitere Meldungen von der vergangenen Woche hebe ich mir für nächsten Sonntag auf, doch bevor es zur Eingangsliste geht, möchte ich die Grü‎ße von Bernd Seiser aus Ottenau an seine Hobbykollegen ausrichten:



    Lieber Sorin,



    ich hoffe, Ihr hattet ein frohes Osterfest.



    In Deutschland feierten wir Ostern ja schon am 27. und 28. März, doch leider ist es auch 5 Wochen später kaum wärmer geworden. Also noch immer für Mai unerwartet sowie ungewohnt kalt. Die Wettervorhersage für den 7. Mai sah recht gut aus, es sollte frostfrei werden und keine Probleme bei der Anreise geben.



    Meine Frage für den Funkbriefkasten, welche Kontakte gibt es zwischen den deutschsprachigen Kurzwellenredaktionen von Radio Rumänien International und Radio Belarus? Aus Minsk bekam ich die Info, dass dort die Aktivitäten unserer Hörerklubmitglieder bei Radio Rumänien International auch bekannt sind.



    Wenn es am 8. Mai noch Platz für einen Gru‎ß im Funkbriefkasten gibt, möchte ich gerne alle unsere Teilnehmer vom 35. überregionalen DX-Treffen am 7. Mai freundlich grü‎ßen und mich bei allen für ihr Interesse und ihre Unterstützung vom Samstag bedanken.



    Auch Natallia in Minsk möchte ich im Funkbriefkasten gerne grü‎ßen und würde mich freuen, wenn sie diese Sendung hören kann.



    Es gibt immer weniger deutschsprachige Programme auf der Kurzwelle, deshalb finde ich es besonders wichtig, wenn die verbliebenen Redaktionen untereinander freundschaftliche Kontakte pflegen.




    Vielen Dank für Deine Zeilen und für die Grü‎ße, lieber Bernd, denen wir uns gerne anschlie‎ßen. Auch hier ist das Wetter immer noch recht wechselhaft — mal scheint die Sonne, dann ziehen innerhalb von wenigen Minuten Wolken auf und es prasselt Regen oder sogar Hagel nieder, wie letzten Donnerstag.



    Zu den Kollegen von Radio Belarus in Minsk haben wir leider keinen direkten Kontakt, wir kennen uns auch nicht persönlich. Auf der Webseite des Senders werden die einzelnen Moderatoren zwar teilweise vorgestellt, es geht aber nicht hervor, welche Mitarbeiter in der deutschen Redaktion mitmachen.



    Damit Zeit für die Posteingangsliste. Einen Briefstapel habe ich mir erst am Freitag aushändigen lassen, die Briefe lese ich mir daher erst nächste Woche durch.



    E-Mails erhielten wir bis Freitagnachmittag von Andreas Mücklich, Klaus Nindel, Martina Pohl, Beate Hansen, Bernd Seiser, Dietmar Wolf, Peter Vaegler, Hans-Joachim Pellin und Andreas Pawelczyk (alle aus Deutschland) sowie von Georg Pleschberger (Österreich), Dmitrij Elagin (Russland) und Abdur Razzak (Bangladesch) im Namen eines japanisch-bangladeschischen Hörerklubs, wenn ich das richtig verstanden habe.



    Unser Internetformular nutze Paul Gager aus Österreich gleich zweimal.




    Audiobeitrag hören:




  • Jurnal românesc – 8.10.2015

    Jurnal românesc – 8.10.2015

    Angajatorii
    din Spaţiul Economic European oferă, prin intermediul reţelei EURES România,
    1.687 de locuri de muncă vacante – informează Agenţia Naţională de Ocupare a
    Forţei de Muncă. Românii interesaţi să lucreze în Spaţiul Economic European pot
    opta pentru Spania, unde angajatorii oferă cele mai multe locuri de muncă -
    801. În Slovacia sunt disponibile 330 locuri de muncă, în Republica Cehă,
    angajatorii oferă pentru români 195 de locuri de muncă, în Suedia 130.
    Angajatorii din Germania oferă 116 locuri de muncă, cei din Ungaria au
    disponibile 50 de locuri, iar cei din Marea Britanie – 35. În Norvegia pot
    ajunge 22 de români, în Belgia sunt patru locuri de muncă, în Polonia trei, iar
    în Austria unul singur.


    Ministrul Educaţiei, Sorin Cîmpeanu, a anunţat că a emis un ordin
    care prevede micşorarea perioadei de echivalare a diplomelor preuniversitare
    atât pentru românii care au învăţat în străinătate, cât şi pentru cetăţenii
    altor ţări care vor să studieze în România. El a precizat că, deocamdată,
    aceste modificări vor fi operate în învăţământul preuniversitar şi, în funcţie
    de rezultate, vor fi extinse şi la nivelul universitar. Ministrul a apreciat că e nevoie de o ‘evaluare
    profesionistă’ în ceea ce priveşte echivalarea diplomelor, astfel încât acestea
    să fie recunoscute în sistemul românesc.


    Guvernul de la Bucuresti a aprobat proiectul de lege privind
    ratificarea acordului prin care Republicii Moldova i se oferă un împrumut
    rambursabil în valoare de 150 milioane de euro. Premierul Victor Ponta şi-a
    exprimat, cu acest prilej, speranţa că autorităţile de la Chişinău vor
    continua, într-un ritm accelerat, reformele care să păstreze Republica Moldova
    alături de Uniunea Europeană şi de România. El a adăugat că, in acest moment,
    statul vecin traversează un moment extrem de greu, după ce, pe
    fondul scandalului generat de dispariţia unui miliard de dolari din sistemul
    bancar al republicii, FMI a anunţat că nu va negocia un nou program de împrumut
    cu Chişinaul. Prima tranşă din creditul acordat de
    România va fi livrată după ce Guvernul de la Chişinău îl va informa pe cel de
    la Bucureşti despre stadiul consultărilor şi negocierilor pe care le are cu
    Fondul.


    România acordă sprijin umanitar de urgenţă, cu titlu gratuit,
    pentru Serbia. Măsura survine în urma cererii de asistenţă formulate de către
    autorităţile sârbe către Comisia Europeană, în contextul actual al problemei
    migranţilor. Ajutorul umanitar constă în mii de paturi pliante şi saltele,
    pături şi saci de dormit.


    SMURD Bucureşti are, de miercuri, în dotare cinci noi motociclete,
    care vor contribui la reducerea timpului de intervenţie. Acestea sunt
    achiziţionate cu sprijinul unui supermarket şi al clienţilor săi şi se alătură
    celor două aflate deja în baza logistică a SMURD. Motocicletele sunt complet
    echipate pentru intervenţii de urgenţă, în special pe străzile pe care accesul
    ambulanţelor este dificil. Secretarul de stat în ministerul de Interne Raed
    Arafat a precizat că timpul de intervenţie al unei motociclete este de maximum
    cinci minute, faţă de media de opt minute a unei ambulanţe.

  • Recunoaşterea diplomelor şi calificărilor profesionale

    Recunoaşterea diplomelor şi calificărilor profesionale

    Recunoaşterea diplomelor şi calificărilor
    profesionale pentru profesiile reglementate din România se aplică oricărui cetăţean
    al unui stat membru al Uniunii Europene sau al Spaţiului Economic European care
    doreşte să lucreze în ţara noastră, independent sau ca angajat. Instituţia
    responsabilă cu recunoaşterea diplomelor este Centrul Naţional de Recunoaştere şi
    Echivalare a Diplomelor din Ministerul român al Educaţiei şi Cercetării
    Ştiinţifice. Diplomele necesare trebuie să ateste faptul că titularul a încheiat
    un ciclu de studii superioare de cel puţin 3 ani într-o formă de învăţământ de
    lungă durată sau în cadrul unei universităţi sau într-o altă instituţie cu un
    nivel asemănător, urmând cursuri de formare profesională, pe lângă ciclul de
    studii superioare, dacă statul de origine impune astfel de condiţii.

    Diploma
    trebuie, de asemenea, să ateste faptul că titularul deţine calificarea
    profesională necesară pentru o profesie reglementată sau pentru ocuparea unei
    profesii în statul de origine, doar dacă formarea a fost dobândită în principal
    în Uniunea Europeană sau Spaţiul Economic European. Procedura de recunoaştere a
    calificărilor profesionale în vederea exercitării în România a unei profesii
    reglementate presupune adoptarea de către autoritatea competentă română a unei
    măsuri compensatorii, precum un stagiu de adaptare care să nu depăşească 3 ani
    sau susţinerea unei probe de aptitudini sau examen de diferenţă. Această etapă
    se impune dacă formarea solicitantului priveşte domenii teoretice sau practice
    substanţial diferite faţă de cele cerute în România pentru obţinerea diplomei
    de învăţământ superior. Persoanele care beneficiază de recunoaşterea
    calificărilor profesionale trebuie să posede cunoştinţe de limba română în
    măsura în care sunt necesare exercitării profesiei respective.

    Taxa pentru
    evaluarea dosarului în vederea recunoaşterii diplomelor este de 50 de lei (cca.
    11,5 euro). Alte informaţii pot fi găsite pe site-ul www.cnred.edu.ro, editat în engleză şi
    română. Dispoziţiile legii prezentate nu se aplică recunoaşterii în România a
    calificărilor necesare pentru exercitarea unei profesii recunoscute automat la
    nivel european, respectiv profesiile de medic, medic dentist, farmacist,
    asistent medical generalist, moaşă, medic veterinar şi arhitect.

    În ceea ce-i priveşte pe cetăţenii din state care nu
    aparţin Uniunii Europene sau Spaţiului Economic European, actele necesare
    pentru obţinerea documentului numit Atestat de recunoaştere trebuie depuse la
    Centrul Naţional de Recunoaştere şi Echivalare a Diplomelor. Atestatele de
    recunoaştere sunt necesare pentru obţinerea avizelor de angajare în România,
    iar de obţinerea acestora se ocupă firmele înregistrate în ţara noastră care
    doresc să angajeze cetăţeni străini, reamintim, din state care nu aparţin
    Uniunii Europene sau Spaţiului Economic European. Actele de studii care vor fi
    prezentate trebuie să poarte apostila Convenţiei de la Haga privind anularea
    cerinţei supralegalizării actelor oficiale, pentru cetăţenii statelor care sunt
    parte la convenţie, sau o supralegalizare din partea autorităţilor ţării de
    provenienţă.

  • 12.06.2015

    12.06.2015

    Motion – Le Parlement de Bucarest a rejeté aujourd’hui la motion de censure déposée par l’opposition libérale contre le gouvernement du premier ministre social-démocrate Victor Ponta. Seulement 194 députés et sénateurs ont voté en faveur de la motion qui accusait le chef du cabinet d’excès de pouvoir et de limiter le droit de vote des Roumains du pays et de l’étranger.



    Politique – Le premier ministre de la République de Moldova, Chiril Gaburici a démissionné aujourd’hui alors qu’il est accusé d’avoir falsifié son diplôme de Baccalauréat. Il a expliqué son geste affirmant que l’opinion publique devrait être préoccupée par les problèmes de l’Etat et non pas par ses diplômes d’études. Ce jeune homme d’affaires avait été investi en février par la coalition gouvernementale minoritaire des libéraux-démocrates et des démocrates, mais aussi grâce à l’appui des députés communistes pro-russes. Se déclarant pro-occidental, mais accusé d’inefficacité et de corruption, son cabinet avait été soumis à une contestation virulente. Dimanche dernier une dizaine de milliers de personnes était descendue dans les rues de la capitale pour demander la démission des leaders de la coalition après la disparition d’un milliard de dollars du système bancaire de la République. La démission du premier ministre intervient deux jours avant les élections municipales. De l’avis des analystes, les grands enjeux du scrutin sont la mairie et le conseil municipal de la capitale, Chisinau. Selon les sondages sur les intentions de vote, l’actuel édile en chef, Dorin Chirtoaca, un promoteur du rapprochement de l’Occident et de la Roumanie disputera le deuxième tour du scrutin contre l’ex première ministre communiste Zinaida Greceanâi, soutenue par les socialistes pro-russes.



    FITS – Coup d’envoi aujourd’hui à Sibiu du plus important événement des arts du spectacle de Roumanie, le Festival international du théâtre. 10 jours durant, 2500 artistes et autres invités de 70 pays transformeront la ville en une immense scène où se dérouleront pièces de théâtre, spectacles de danse et de cirque, concerts de musique. Les 7 doigts de la main du Canada et le spectacle Le Cendrillon, une production du Theatre National de la communaute française de Belgique ainsi que le spectacle Carmen, du Théâtre Stabile de Turin comptent parmi les points forts à l’affiche du festival.



    Foot – La sélection nationale de foot de Roumanie est à Belfast où elle doit affronter l’Irlande du Nord dans un match de qualification à l’Euro 2016. Selon les commentateurs sportifs, ce match est une véritable finale du groupe F qui inclut aussi la Hongrie, la Finlande, la Grèce et les Iles Féroé. Après quatre victoires et une égalité en cinq matchs, les Roumains sont les leaders du groupe avec 13 points suivis par les Nord-Irlandais avec 12 points.


    Jeux – 147 sportifs de 22 disciplines (83 hommes et 64 femmes) représentent à partir d’aujourd’hui la Roumanie à la première édition de Jeux européens, accueillis par la capitale azérie Bakou. Des sportifs d’une cinquantaine de pays sont en lice pour décrocher 253 médailles. La compétition est un critère de qualification aux JO de l’année prochaine, au Brésil. La deuxième édition de Jeux Européens devrait se dérouler d’ici quatre ans aux Pays-bas, mais les autorités de ce pays ont annoncé cette semaine qu’elles renonçaient à l’organisation de cette compétition.



    Sondage – La perception sur la corruption généralisée s’est améliorée en Roumanie ces deux dernières années, selon une étude EY (anciennement Ernest&Young) – une des plus grandes sociétés de services professionnels du monde. Conformément à ce document dans les grandes entreprises, 4 salariés sur 10 affirment que la corruption est un phénomène généralisé. 58% des personnes interviewées ont affirmé que les entreprises avaient adopté des politiques anti-corruption et la moitié des Roumains considèrent utiles les sessions de formations anti-corruption. Les réponses illustrent une évolution positive de l’opinion des entreprises sur l’adoption de programmes anti-corruption et de suivi des conflits d’intérêts. L’étude EY « Fraud Survey » a été réalisé au niveau mondial sur un échantillon de 3800 salariés des grandes entreprises.

  • A la Une de la presse roumaine 04.02.2015

    A la Une de la presse roumaine 04.02.2015

    Ce mercredi, les journaux roumains relèguent en pages intérieures les démêlées de politiciens roumains avec la justice et se penchent sur d’autres sujets aussi : le démantèlement annoncé d’une ancienne grande raffinerie de Roumanie, le régime de retraites privé, les diplômés universitaires au chômage, ou encore la présence du film roumain à l’édition 2015 du Festival de Berlin.