Radio România Internațional

Tag: Duane Butcher

  • 16.07.2014

    16.07.2014

    Réunion – Le président élu de la Commission européenne, Jean – Claude Junker a aujourd’hui, à Bruxelles une première réunion avec les chefs d’Etat et de gouvernement de l’UE, dans le cadre d’un sommet extraordinaire consacré aux priorités pour les 5 ans à venir et aux prochaines nominations au sein des institutions européennes. La Roumanie a annoncé vouloir garder son poste de commissaire européen à l’Agriculture, occupé par Dacian Ciolos. A l’agenda du Conseil figure aussi la situation en Ukraine. Mardi, le commissaire européen chargé de la politique de voisinage, Stefan Füle a mis en garde contre la détérioration de la situation dans l’est de ce pays, à la frontière avec l’UE. A Bruxelles, la Roumanie est représentée par le président, Traian Basescu.



    Cérémonie — Le ministre roumain des Affaires étrangères, Titus Corlatean a reçu aujourd’hui en visite d’adieu le chargé d’affaires des Etats-Unis à Bucarest, Duane Butcher. Lors d’une cérémonie mardi marquant la fin de son mandat à Bucarest, Butcher a apprécié la collaboration entre les deux Etats dans les domaines de la sécurité, de la lutte contre le crime organisé ainsi que dans la mise en œuvre des lois. Et d’ajouter que la Roumanie peut être considérée comme une véritable forteresse et un exemple à suivre par d’autres Etats, en matière de sécurité nationale. Duane Butcher a été chargé des Affaires des Etats-Unis à Bucarest à compter de décembre 2012.



    Justice — La demande de révocation de la détention provisoire formulée par l’homme d’affaires, Mircea Basescu, frère du président roumain est soumise aujourd’hui au Tribunal de Constanta, dans le sud-est de la Roumanie. Mircea Basescu a été renvoyé lundi devant la justice pour trafic dinfluence. Il est accusé davoir reçu 250.000 euros pour intervenir en faveur dune figure du crime organisé, Sandu Anghel, accusé de tentative de meurtre. L’arrestation le mois dernier de Mircea Basescu a provoqué un tollé sur la scène politique roumaine. Le Parlement a adopté une déclaration politique appelant à la démission d’honneur du président Traian Basescu. Lequel a refusé de démissionner, arguant que les services de renseignement ne l’avaient pas informé des connexions mafieuses de son frère.



    Perquisitions — En Roumanie, les procureurs de la Direction d’investigation des infractions liées au Crime organisé et au Terrorisme ont effectué aujourd’hui plus de 120 perquisitions à domicile à Craiova, (dans le sud-ouest du pays) et à Bucarest, dans le cadre d’une action visant le démantèlement d’un groupe spécialisé dans la fraude de cartes bancaires et le trafic aux drogues douces. En même temps, les autorités judiciaires françaises effectuent des perquisitions à Paris aux domiciles d’autres membres de ce groupe. Le préjudice est estimé à plus d’un million de dollars.



    Foot – Le champion de Roumanie au football, Steaua Bucarest rencontre aujourd’hui, en déplacement, l’équipe norvégienne Stroemsgodset IF, dans la première manche du second tour préliminaire de la Ligue des Champions. Dans la deuxième compétition continentale, la Ligue Europa, la Roumanie est représentée par trois équipes. Jeudi, Petrolul Ploiesti doit rencontrer à domicile les Albanais de Flamurtari et CFR Cluj accueillera les Serbes de Jagodina. Enfin, les vice-champions de Astra Giurgiu entreront en compétition directement au troisième tour préliminaire.

  • Transnistrien fordert Russland auf seine Unabhängigkeit anzuerkennen

    Transnistrien fordert Russland auf seine Unabhängigkeit anzuerkennen

    In letzter Zeit hat Rumäniens Staaschef Traian Basescu in den Reden seines russischen Amtskollegen Stellungnahmen, die gegen die Völkerrechts-Prinzipien und die Fundamente des Sicherheits-System in Europa verstossen, festgestellt. Das wird in einem Kommuniquee des Präsidialamtes in Bukarest bekannt gegeben. Die Infragestellung der international anerkannten Grenzen sei unzulässig und beeinflusse direkt den Frieden und die Stabilität in der Region. Die revisionistischen Bewegungen, die künstlich von aussen gefördert werden, stellen ebenfalls direkte Bedrohungen für die Souveranität und teritorielle Integrität der Staaten dar und können keine Lösungen für die Verteidigung der Rechte der von Angehörigen der Minderheiten darstellen, meinte Traian Basescu weiter. Seiner Meinung sei die Infragestellung der Organisierung des Staates und die Durchsetzung von Föderations-und Autonomie-Modellen durch die Verwicklung von Minderheiten-Angehörigen in staatsfeindlichen Aktionen gegen den Staat, dessen Bürger sie sind, eine Vermischung in interne Angelegenheiten der souveränen Staaten.




    Ausser der Ukraine, die eine schwere Krise durchgeht, sei auch für die Moldaurepublik die Gefahr gross, erklärte Rumäniens Ministerpräsident Victor Ponta. Am Donnerstag hat Russlands Präsident Wladimir Putin ihre teritorielle Integrität in Frage gestellt. Die russische Bevölkerung der abtrünnigen, selbsternannten Republik Transnistrien, die international nicht anerkannt wird, sollte das Recht haben ihr Schicksal selbst zu bestimmen, erklärte der Kreml-Chef. Am Tag zuvor hatte der Oberste Sowjet in Tiraspol Putin aufgefordert die Unabhängigkeit Transnistriens anzuerkennen, um dann Teil Russlands zu werden.




    Die Regierung in Kischinew sieht darin eine Missachtung der teritoriellen Integrität der Moldaurepublik, einen neuen Versuch das Land zu destabilisieren und einen Versuch das Krim-Szenario in Transnistrien zu wiederholen. Die USA seien ebenfalls besorgt, dass Russland die Integrität einiger Länder in der Region in Frage stellt, erklärte der republikanische amerikanische Senator John McCain anlässlich eines Besuchs in Kischinew.




    Duane Butcher, stellvertretender Missionschef der US-Botschaft in Bukarest erklärte Washington bleibe an der Seite Rumäniens. Das Land befinde sich in der ersten Linie der Krise in der Ukraine. Angesichts ihrer EU-und NATO-Mitgliedschaft fühlen sich die Rumänen nicht gefährdet. Zum Militärstützpunkt im südöstlichen Mihail Kogalniceanu, wo sich auch viele Navy Seals aufhalten, haben die USA ein Militärschiff dür Militärübungen geschickt. AWACS-Flugzeuge der Allianz erfülen derzeit Missionen im rumänischen Luftraum. Zudem wird Rumänien bald auch F-16 Flugzeuge, einige der besten in der Welt, bekommen.

  • La Roumanie, l’Occident et la Transnistrie

    La Roumanie, l’Occident et la Transnistrie

    Le président roumain Traian Basescu a remarqué que les discours de son homologue russe Vladimir Poutine transgressent les principes du droit international, ainsi que les fondements du système de sécurité en Eruope, lit-on dans un communiqué de l’Administration présidentielle de Bucarest. La mise en question des frontières reconnues par la communauté internationale est inadmissible et touche directement la paix et la stabilité régionales. Les mouvements révisionnistes générés artificiellement depuis l’étranger constituent aussi des menaces directes contre la souveraineté et l’intégrité territoriale des Etats. Ces mouvements ne peuvent pas constituer des solutions pour défendre les droits des minorités nationales, a également précisé Traian Basescu dans un communiqué. Ce qui plus est, à son avis, la remise en question de l’organisation administrative d’un Etat, ainsi que l’imposition de modèles fédéraux et autonomistes par l’engagement des minorités nationales dans des actions subversives contre le pays dont ils sont les citoyens constituent une ingérence directe dans les affaires intérieures des Etats souverains.



    Tout comme l’Ukraine, ravagée par une profonde crise, la République de Moldova est confrontée à un grave danger, affirmait aussi le chef du cabinet de Bucarest, Victor Ponta. Ces propos interviennent alors que jeudi, le même président russe Vladimir Poutine avait évoqué la République de Moldova. La population russophone de la république autoproclamée de Transnistrie, dont l’indépendance n’a pas été reconnue sur le plan international, devrait avoir le courage de décider son sort par elle même, a précisé le leader de Kremlin qui invoquait ainsi des principes démocratiques.



    A la veille, le soviet suprême de Tiraspol demandait à Vladimir Poutine de reconnaître l’indépendance de la Transnistrie et le rattachement de la région à la Russie. Un défi à l’adresse de l’intégrité territoriale de la République de Moldova ; une nouvelle tentative de l’affaiblir ; une répétition du scénario de Crimée en Transnistrie — c’est par ces mots que les autorités de Chisinau ont qualifié la demande du régime séparatiste de Tiraspol.



    Les Etats-Unis s’inquiètent aussi du fait que la Russie remet en discussion l’intégrité des pays de la région, a également déclaré lors d’une visite à Chisinau, le sénateur républicain américain John McCain. A Bucarest, le chargé d’affaires des Etats-Unis, Duane Butcher, a précisé que Washington resterait aux côtés de la Roumanie, qui constitue une sorte d’avant-garde de l’Occident dans la crise générée par la situation en Ukraine.



    Pour le moment, en raison de leur statut de membres de l’UE et de l’OTAN, les Roumains ne se sentent pas menacés. Un contingent de marines américains avait été déployé sur la base aérienne de Mihail Kogalniceanu, dans le sud-est du pays, un bâtiment de guerre américain se trouve actuellement en Mer Noire pour des exercices conjoints alors que des avions de surveillance Awacs déroulent des missions dans l’espace aérien de la Roumanie. Ce qui plus est, la Roumanie devrait se doter prochainement d’avions de combat américains du type F 16. (trad. Alex Diaconescu)

  • Relaţiile româno-americane

    “România şi Statele Unite au relaţii excelente, pentru că împărtăşesc valori obiective şi aspiraţii comune”. Afimaţia aparţine însărcinatului cu afaceri al Ambasadei SUA la Bucureşti, Duane Butcher, şi a fost făcută la recepţia dedicată Zilei Naţionale a Americii, 4 iulie. În discursul rostit cu această ocazie, el a mulţumit României pentru contribuţia sa militară în Afganistan, Irak şi Kosovo.



    Diplomatul a subliniat, totodată, că stabilitatea unei democraţii se măsoară în stabilitatea şi independenţa instituţiilor sale şi în gradul de angajament faţă de statul de drept. El a precizat că de la criza politică din România, din 2012, în anul care a trecut, principala preocupare a părţii americane a fost protejarea instituţiilor democratice ale României şi susţinerea statului de drept. Multe companii americane au investit în România, creând mii de locuri de muncă, a mai spus Duane Butcher, iar o parte dintre ele pot contribui la independenţa energetică a României.



    La rândul său, premierul Victor Ponta, prezent la eveniment, a menţionat companiile energetice americane, despre care a spus că pot ajuta România să-şi folosească potenţialul încă nedescoperit până acum. Şeful guvernului de la Bucureşti s-a referit şi la actuala situaţie politică din România. Ţara este stabilă şi poate dovedi că este un partener predictibil al Statelor Unite, a punctat el.



    Pe de altă parte, în ceea ce priveşte problema vizelor, oficialul american a precizat că va mai dura până când românii vor putea călători fără ele în SUA, cel mai probabil peste “câţiva ani”. Deşi Casa Albă susţine simplificarea regulilor de intrare în programul Visa Waver, procedurile durează, pentru că e nevoie de consens în Senatul american, a explicat Duane Butcher. Rata de refuz a solicitărilor de viză din România a scăzut constant în ultimii ani, până la 17% în 2012, iar criteriul privind procentul de 3% care trebuie atins în baza legislaţiei actuale ar putea fi modificat prin adoptarea unor modificări susţinute de Administraţia de la Washington.



    În urmă cu două săptămâni, ministrul român de Externe, Titus Corlăţean, declara că includerea ţării noastre de către SUA în programul Visa Waiver este o chestiune politică pentru Bucureşti, iar faptul că românii încă stau la uşă pentru viză de intrare pe teritoriul SUA nu este un tratament corect faţă de o ţară partener strategic. El a amintit angajamentul preşedintelui Barack Obama, în declaraţia din 2011 privind parteneriatul strategic cu România, care vizează sprijinul administraţiei americane pentru eliminarea vizelor pentru români. Acesta trebuie “să fie onorat de partea americană, a reamintit, recent, şeful diplomaţiei române.