Tag: EADS

  • 28.12.2018 (mise à jour)

    28.12.2018 (mise à jour)

    Réunion — Le président Klaus Iohannis a annoncé, ce vendredi, à l’issue de la réunion du Conseil suprême de défense de la Roumanie, avoir signé le décret de prorogation d’un an du mandat du général Nicolae Ciucă à la tête de l’Etat-major de l’Armée. Ce mandat aurait dû s’achever le 31 décembre, mais la Roumanie ne peut pas rester sans chef de son armée, a ajouté le président de la Roumanie. Il a aussi précisé avoir refusé les propositions du ministre de la Défense, Gabriel Leş, concernant le successeur du général Ciucă, car les propositions en question n’étaient pas conformes à la loi. Le ministre Leş considère que la décision du président de prolonger le mandat du général Ciucă est « dépourvue de fondement légal ». Gabriel Leş a déclaré qu’une telle décision ne peut être adoptée sans avoir à la base une proposition de la part du ministre de la Défense et un avis du premier ministre.



    Présidence — La première ministre roumaine, Viorica Dăncilă, a affirmé vendredi, lors de la dernière réunion de cette année de son cabinet, que le gouvernement a la détermination et l’ambition de mener à bonne fin la présidence tournante du Conseil de l’UE, qu’il reprendra au 1er janvier. « Pendant le mandat assuré par la Roumanie, nous devrons répondre à des défis importants au niveau européen — je me réfère au Brexit, à l’avenir de l’Union européenne post-Brexit, aux politiques traditionnelles, à la Politique agricole commune, à la Politique de cohésion, aux problèmes ayant trait à la migration, à la politique d’asile, au terrorisme, à d’autres problèmes figurant à l’agenda européen », a déclaré Viorica Dancila. Concernant le budget de la Roumanie pour 2019, la première ministre a précisé qu’il pourrait être adopté dans la première réunion gouvernementale de l’année prochaine et envoyé au parlement pour approbation, donc il pourrait être adopté jusqu’à la fin janvier.



    EADS — Les procureurs anticorruption de Bucarest ont déclaré, début novembre, un non-lieu dans le dossier concernant le contrat EADS, de 750 millions d’euros, de sécurisation des frontières roumaines, a informé ce vendredi la Direction nationale anticorruption (DNA). L’institution a précisé que cette solution était due à l’absence de preuves indiquant l’existence d’un auteur d’infractions. En mai 2004, le groupe franco-allemand EADS avait signé avec le ministère de l’Intérieur de Bucarest un contrat de sécurisation des frontières de la Roumanie, qui souhaitait adhérer à l’Union européenne et qui, pour cela, devait sécuriser ses frontières. Une première enquête a été ouverte en 2005 et elle visait des fonctionnaires du ministère de l’Intérieur. Une saisine de la direction du ministère indiquait une utilisation inappropriée de fonds publics, sans respecter les dispositions légales, le contrat de sécurisation des frontières ayant été surévalué. Parmi les personnes visées par l’enquête, il y avait entre autres les anciens ministres Marian Săniuță, Vasile Blaga et Dan Nica.



    Justice — L’ancien maire du 6e arrondissement de Bucarest, Cristian Poteraş, a été déféré à la justice par le Parquet national anticorruption pour corruption passive. Il est accusé d’avoir reçu environ un million d’euros pour approuver un projet immobilier et pour l’attribution de marchés publics. C’est le 3e dossier dans lequel Cristian Poteraş est déféré aux juges par le Parquet national anticorruption pour des faits de corruption. Il a déjà une condamnation définitive à huit années de prison.



    Peste porcine — Les autorités ont annoncé, ce vendredi, que la peste porcine africaine se manifeste dans plus de 300 localités de 19 départements du pays. Il existe près de 1.150 foyers de maladie des animaux domestiques et plus de 550 cas de peste chez les sangliers. Les données officielles indiquent que 364.212 cochons affectés par la maladie ont été tués. La valeur totale des paiements dépasse les 251 millions de lei (près de 54 millions d’euros).



    Frontières — Plus d’un million de personnes ont transité les frontières de la Roumanie pendant les mini-vacances de Noël, du 21 au 26 décembre, soit 10% de plus par rapport à la même période de l’année dernière a fait savoir la Police aux frontières. Toutefois, il n’y a pas eu d’embouteillages, ni de longs moments d’attente. Les points les plus transités ont été ceux de l’ouest du pays, avec quelque 450.000 personnes, les aéroports — 260.000 personnes et ceux de la frontière avec la République de Moldova — 159.000 personnes. De même, 68.000 personnes ont transité les points de frontière reliant la Roumanie et la Bulgarie. On estime également une croissance du trafic aux frontières dans les jours à venir, notamment aux frontières avec la Bulgarie et la Hongrie vu que de nombreux Roumains ont choisi de fêter le Nouvel An à l’étranger.



    Policiers — Près de 9000 policiers, avec 3000 véhicules d’intervention, assureront l’ordre tous les jours durant les mini-vacances de la Nouvelle année, en plus par rapport au dispositif courant d’ordre et de sécurité publique, afin de prévenir et de combattre les événements qui pourraient affecter la sécurité des citoyens. Selon un communiqué de l’Inspection générale de la Police roumaine (IGPR), sur l’ensemble des policiers supplémentaires, près de 5700 sont des agents de l’ordre public, plus de 1400 appartiennent à la Police routière, près de 600 — de la police scientifique -, plus de 450 de la Police des transports, et le reste appartiennent à d’autres structures. Les policiers des Transports patrouillent chaque jour dans 230 gares et triages de voie ferrée, dans plus de 200 trains, 12 aéroports et dans 20 ports sur la mer Noire ou sur le Danube. Le communiqué de l’IGPR précise qu’à l’occasion de la St Sylvestre, 125 événements culturels publics de grande ampleur auront lieu (concerts, spectacles d’us et coutumes d’hiver et autres) au niveau national, dans 115 localités de 35 départements et à Bucarest, avec une participation estimée à 300.000 personnes.

  • 28.12.2018

    28.12.2018

    Réunion – Le
    président Klaus Iohannis a annoncé, aujourd’hui, à l’issue de la réunion du
    Conseil suprême de défense de Roumanie, qu’il avait signé le décret de
    prorogation du mandat du général Nicolae Ciucă à la tête de l’Etat-Major de l’Armée.
    Ce mandat aurait dû s’achever le 31 décembre, mais la Roumanie ne peut pas rester
    sans chef de son armée, a ajouté le président de la République. Il a aussi
    précisé avoir refusé les propositions du ministre de la défense, Gabriel Leş,
    concernant le successeur du général Ciucă, car les propositions en question n’étaient
    pas conformes à la loi. Antérieurement, le ministre avait fait savoir qu’il n’allait
    pas proroger le mandat de l’actuel chef de l’Etat-Major de l’armée.


    Le Conseil suprême de défense s’était déjà
    réuni le 19 décembre, lorsqu’il avait approuvé, entre autres, le plan d’équipement
    des forces armées pour la période 2019 – 2028 ainsi que les effectifs et les
    moyens techniques militaires avec lesquels la Roumanie participera, l’année
    prochaine, à des missions et des opérations à l’étranger. 1902 militaires
    roumains seront présents, en 2019, sur les théâtres d’opérations
    internationaux, 127 de plus que cette année. En outre, 759 gendarmes et
    policiers du ministère de l’intérieur prendront part à des missions de l’Union
    européenne (UE), de l’Organisation pour la sécurité et la coopération en Europe
    (OSCE), de l’OTAN et des Nations Unies. La Roumanie continuera à participer,
    avec des hommes et de la technique militaire, à l’opération Resolute
    Support de l’OTAN, en Afghanistan, et à contribuer aux opérations de l’Alliance
    dans les Balkans occidentaux. Pour la première fois, un détachement d’hélicoptères
    de transport et d’évacuation participera à la mission onusienne au Mali.




    Gouvernement -
    La première ministre roumaine Viorica Dancila préside aujourd’hui la dernière
    séance gouvernementale de l’année. A l’agenda des discussions figure un
    projet de loi portant sur l’acceptation des modifications opérées par le
    Conseil Européen dans la procédure d’élection des membres du Parlement
    Européen. Parmi les nouveautés envisagées mentionnons le vote anticipé,
    électronique ou par correspondance. Pour ce qui est du budget 2019, celui-ci
    pourrait être adopté dans le cadre de la première séance du gouvernement de
    l’année prochaine r et transmis au Parlement pour validation, afin d’être
    adopté avant la fin janvier, a précisé la première ministre.








    Justice – Les procureurs anti-corruption de Bucarest ont déclaré,
    début novembre, un non-lieu dans le dossier concernant le contrat EADS, de 750
    millions d’euros, de sécurisation des frontières roumaines, a informé aujourd’hui
    la Direction nationale anti-corruption (DNA). L’Institution a précisé que cette
    solution était due à l’absence de preuves indiquant l’existence d’un auteur d’infractions. En mai
    2004, le groupe franco-allemand EADS avait signé avec le ministère de l’intérieur
    de Bucarest un contrat de sécurisation des frontières de la Roumanie, qui
    souhaitait adhérer à l’Union européenne et qui, pour cela, devait sécuriser ses
    frontières. Une première enquête a été ouverte en 2005 et elle visait des
    fonctionnaires du ministère de l’intérieur. Une saisine de la direction du
    ministère indiquait une utilisation inappropriée de fonds publics, sans respecter
    les dispositions légales, le contrat de sécurisation des frontières ayant été
    surévalué. Parmi les personnes visées par l’enquête, il y avait entre autres
    les anciens ministres Marian Săniuță,
    Vasile Blaga et Dan Nica.

    Frontières – Plus d’un million de personnes ont transité les frontières de la Roumanie pendant les mini-vacances de Noël, du 21 au 26 décembre, soit 10% de plus par rapport à la même période de l’année dernière a fait savoir la Police aux frontières. Toutefois, il n’y a pas eu d’embouteillages, ni de longs moments d’attente. Les points les plus transités ont été ceux de l’ouest du pays, avec quelque 450.000 personnes, les aéroports – 260.000 personnes et ceux de la frontière avec la République de Moldova – 159.000 personnes. De même, 68.000 personnes ont transité les points de frontière reliant la Roumanie et la Bulgarie. On estime également une croissance du le trafic aux frontières dans les jours à venir, notamment aux frontières avec la Bulgarie et la Hongrie vu que de nombreux Roumains ont choisi de fêtes le Nouvel An à l’étranger.






    Handball – La sélection de handball masculin de
    Roumanie affronte, ce soir, la sélection similaire de la République tchèque, en
    demi-finale du trophée 4 Nations Cup, qui se déroule en Pologne. Dans l’autre
    demi-finale, le pays hôte jouera contre le Japon. Samedi, les équipes gagnantes
    des deux matchs joueront l’une contre l’autre, même choses pour les vaincues.
    Rappelons que les Roumains ont raté la qualification au Championnat du monde du
    mois prochain, organisé conjointement par l’Allemagne et le Danemark.

    Météo – Le ciel est plutôt
    couvert au-dessus de la Roumanie, mais les températures sont plus élevées que
    les normales de saison. Elles vont de 1 à 11°, avec 3°, à Bucarest, à midi.

  • La Justicia destapa nuevos casos de corrupción

    La Justicia destapa nuevos casos de corrupción




    El palmarés de la Fiscalía sigue enriqueciéndose
    de un año para otro. Solo en 2014 se registraron más de 1.500 condenas, entre
    los acusados destacando ministros, parlamentarios, magistrados y policías.
    Varios casos importantes, como el de la compañía Microsoft, en el que se vieron
    implicados nueve ministros, el caso de la compañía Lukoil o el caso de EADS han
    mostrado, por primera vez en la historia de Rumanía, a partir de 2005, que las
    personas importantes pueden ser investigadas por lo que hicieron con el dinero
    público, mientras ocupaban cargos públicos.


    La institución que representa a la justicia
    anticorrupción funciona sin parar. Las agencias de prensa han informado que
    este lunes, el tribunal ha empezado la investigación del exministro del
    Interior, Gabriel Berca, acusado de tráfico de influencias. La misma medida se
    ha tomado en el caso del exdiputado Mihai Banu y de su hijo. Según la Dirección
    Nacional Anticorrupción, Gabriel Berca, a través de Mihai Banu, pidió y
    recibió, para él y el partido en el que estaba, sumas importantes de dinero por
    parte de un empresario.


    Este lunes también se ha anunciado que, siguiendo
    la solicitud de la Dirección Nacional Anticorrupción, se volverá a juzgar el
    proceso de Mariana Rarinca, la mujer acusada de haber chantajeado a la jefa del
    Tribunal Supremo, Livia Stanciu. El tribunal había condenado a Rarinca a una
    pena suspendida de tres años de prisión. Los jueces también decidieron seguir
    investigando en prisión al exfiscal de la Dirección Nacional Anticorrupción,
    Emilian Eva, acusado, entre otros, de haber cobrado sobornos. Eva es el fiscal
    que se encargó del caso de una privatización ilegal en la que el
    exparlamentario Dan Voiculescu fue condenado a 10 años de prisión.


    A su vez, la Agencia Nacional de Administración
    Fiscal ha iniciado la verificación de 300 personas analizando sus ingresos y
    sus gastos. Más del 70% de ellas deben justificar sumas de dinero que superan
    un millón de lei. El período de verificación es de cómo máximo 6 meses, 12
    meses respectivamente si se necesita también información procedente del
    extranjero.


    Asimsimo, se están desarrollando acciones
    anticorrupción en la Inspectoría de Policía del Distrito de Prahova, donde el
    jefe de la institución está acusado, entre otros, de blanqueo de dinero, y
    también en las inspectorías escolares de Suceava, Bihor, Prahova y Brăila,
    donde existen numerosas transferencias de estudiantes de un instituto a otro
    sospechosas de ser ilegales.


    Los expertos en la justicia consideran que el gran
    número de casos de corrupción se debe a una combinación de factores: la presión
    externa y la voluntad de algunos actores internos (sobre todo políticos) de
    dirigir al país al camino de las reformas.






    (Traducido por Monica Tarau)

  • Hörerpostsendung 8.2.2015

    Hörerpostsendung 8.2.2015

    Heue möchte zu Beginn ich erneut darauf hinweisen, dass am 13. Februar 2015 der Welttag des Radios begangen wird. Die UNESCO hat diesen Tag ausgerufen, um auf die Bedeutung dieses au‎ßergewöhnlichen Kommunikationsmittels hinzuweisen. Das Diesjährige Thema lautet Innovation und Jugend im Radio“. Falls Ihnen zum vorgegebenen Thema nichts Besonderes einfällt, können Sie uns auch schildern, welche Rolle das Radio in Ihrem Leben spielt. Bitte schicken Sie uns Ihre Zeilen bis nächsten Donnerstag, den 12.2.2015, da die Zentralredaktion eine Auswahl aus den Zuschriften an alle Redaktionen in einen Beitrag für den 13. Februar zusammentragen möchte. In der Hörerpostsendung am 15. Februar werde ich dann alle Zuschriften an die deutsche Redaktion verlesen. Sie können uns auch relevante Fotos zuschicken und wir gehen davon aus, dass wir auch Ihr Einverständnis haben, diese auf unserer Webseite sowie in den sozialen Netzwerken, in denen wir vertreten sind, zu veröffentlichen. Falls Sie die technische Möglichkeit dazu haben, sind auch Audiobotschaften willkommen. Bislang haben wir ein paar Gedanken von Andreas Mücklich aus Berlin sowie eine Audiobotschaft und ein Foto von Roman Lausberg aus Nideggen in der Eifel erhalten. Und auch Bernd Seiser aus Gaggenau-Ottenau in Baden-Württemberg hat einige Zeilen in Aussicht gestellt. Sie haben also noch fünf Tage Zeit, uns Ihren Beitrag zum Welttag des Radios 2015 zuzuschicken, falls Sie es möchten.




    Und jetzt zu den Hörerzuschriften bzw. –fragen. Andreas Pawelczyk (aus Mannheim) hat uns unlängst mehrmals zu unseren Programminhalten geschrieben, hier die Zeilen seiner letzten E-Mail:



    Wie so Etliche vor ihm, hat der neue rumänische Staatschef Johannis einen offiziellen Besuch in Brüssel getätigt. Gesprächsthemen waren die Euro-Einführung und der Schengen-Beitritt. Was so etliche in Deutschland nicht wissen, ist, dass Rumänien wohl auch den Euro einführen will. Das mag später, wenn es um die Stabilität der Inflation geht, gut sein, aber wenn es um eine unabhängige Geldpolitik, Währungspolitik und eine notwendige Staatsausgabenpolitik geht, manchmal äu‎ßerst schlecht sein. Denn da bekommt das Land ein äu‎ßerst schmerzhaftes Korsett schon in der Vorphase umgelegt.



    Schön mag auch der Schengen-Beitritt für so manche in Rumänien werden, insbesondere auch Deutsche, denn Deutsche brauchen zurzeit ein Visum, um nach Rumänien reinzukommen. Aber was können Rumänen mit Reisemöglichkeiten ohne Grenzkontrollen anfangen, wenn sie verstärkt zur Unterklasse gehören und mit Reisen nichts anfangen können und das Geld für so etwas nicht haben. Solche Leute können wohl mit einer besseren Sozialpolitik mehr anfangen als mit einem Beitritt zur Schengen-Zone.



    Aber ich wünsche Rumänien viel Glück, wenn es meint, für sich Vorteile daraus ziehen zu können. Warum auch nicht? Die Mehrheit hat halt in einer Demokratie das Sagen.




    Vielen Dank für Ihre Meinung, lieber Herr Pawelczyk. Ich beginne mal mit dem zweiten von Ihnen angesprochenen Thema, da Sie offenbar einem Missverständnis aufgesessen sind. Deutsche Staatsbürger brauchen kein Visum, um nach Rumänien einzureisen, umgekehrt auch nicht; grundsätzlich braucht kein EU-Bürger ein Visum, um in ein anderes EU-Land einreisen zu dürfen. Beim Schengen-Raum handelt es sich lediglich um die kontrollfreie Einreise aus einem Schengen-Staat in einen anderen, also ohne seinen Reisepass oder Personalausweis vorzuzeigen. Sollte der Schengen-Raum auch auf Rumänien und Bulgarien ausgeweitet werden, werden EU-Bürger vom Schwarzen Meer bis zum Atlantik, vom Mittelmeer bis zur Nordsee reisen können, ohne an den zwischenstaatlichen Grenzen kontrolliert zu werden. Und das hat kaum etwas mit dem sozialen Status der Reisenden zu tun. Wer in einem anderen EU-Land arbeiten, studieren oder Geschäftliches unternehmen will, der tut das bereits und lässt sich wegen der paar Minuten für die Passkontrolle nicht davon abhalten. Die EU-Staaten, in denen das Schengener Abkommen noch nicht zur Anwendung kommt, sind Bulgarien, Rumänien, Kroatien und Zypern. Gro‎ßbritannien und Irland sind sogenannte kooperierende Staaten, es gibt aber auch Nicht-EU-Staaten, die trotzdem Schengen-Mitglieder sind: Island, Norwegen, die Schweiz und Liechtenstein.



    Die Verzögerung des Schengen-Beitritts Rumäniens ist auf jeden Fall politisch ausgeschlachtet worden. Insbesondere konservative Politiker in einigen westeuropäischen Ländern haben sich gegen Rumäniens Schengen-Beitritt stark gemacht, mit dem Verweis, dass Rumänien aufgrund von Korruption seine Ostgrenze und damit auch die östlichste Au‎ßengrenze der EU nicht sichern könne und dass somit illegale Einwanderer in den Raum der Seligen einsickern könnten. Dieser Vorwurf ist fadenscheinig, denn: Erstens stammen die Grenzsicherungssysteme Rumäniens aus einem millionenschweren Auftrag an den Luftfahrt- und Rüstungskonzern Airbus (früher EADS), der bereits 2004 damit begonnen hat, die Grenzen Rumäniens zu sichern, also noch vor dem EU-Beitritt Rumäniens. (Übrigens: EADS ist nun selbst, samt einigen deutschen Standorten und Managern des Konzerns, in ein Korruptionsskandal verwickelt. Für den Vertrag von 2004 mit Bukarest sollen hochrangige Amtsträger bestochen worden sein.)



    Zweitens ist die Angst vor illegaler Einwanderung in die EU via Rumänien unbegründet. Die meisten Illegalen kamen nicht über Rumänien, sondern über südliche Schengen-Mitglieder wie Italien und Griechenland. Die dramatischen Szenen mit Bootsflüchtlingen, die sich vor den Küsten von Lampedusa und Sizilien abgespielt haben, dürften Ihnen nicht entgangen sein, liebe Hörerfreunde. Trotzdem habe ich nicht gehört oder gelesen, dass sich jemand über den Schengen-Staat Italien aufregt.



    Wie falsch es ist, wenn Politiker mit populistischen Parolen auf Stimmenfang gehen, zeigt auch der sogenannte Tulpenkrieg im Herbst 2011 zwischen Rumänien und den Niederlanden. Nachdem die schrittweise Aufnahme Rumäniens im Schengen-Raum am Veto der Niederlande und Finnlands scheiterte, wurden Transporte von Blumen und Saatgut, aber auch Fleischimporte aus den Niederlanden tagelang an den rumänischen Grenzen blockiert — aufgrund des Verdachts einer Bakterienverseuchung, sagten die rumänischen Behörden. Die Niederlande exportierten 2010 Blumen und Tulpenzwiebeln im Wert von 20 Mio. Euro nach Rumänien, meldete damals auch der niederländische Rundfunk. Entsprechend böses Blut erzeugte dieser Zwischenfall bei den Niederländern, man sprach von Erpressung, beweisen konnte man das aber nicht. So kann Populismus nach hinten losgehen, statt Stimmen vom Wählervolk einzuheimsen, steckt man wirtschaftlichen Schaden weg.



    Folglich war das Thema Schengen-Beitritt von Anfang an ein Politikum, die rein technischen Kriterien erfüllt Rumänien schon seit Jahren. Ich bin aber zuversichtlich: Mit den jüngsten spektakulären Erfolgen der rumänischen Justiz gegen die Korruption werden auch die letzten Vorbehalte in einigen Staaten ausgeräumt und Rumänien wird bald Schengen-Mitglied sein. Und — wie anfangs gesagt — für den kleinen Mann wird sich dadurch ohnehin nichts ändern, mit oder ohne Passkontrollen an den Grenzen ist die Reisefreiheit nach wie vor uneingeschränkt.



    Zum Thema Euro-Einführung kann ich nicht viel sagen. In den euphorischen Jahren gleich nach dem EU-Beitritt erwog man das Jahr 2011 oder 2012 als Frist für die Einführung der europäischen Einheitswährung. Die Krise hat den Optimismus gedämpft, in den ersten Krisenjahren sprach man von 2015 oder 2016, jetzt hat man 2019 ins Auge gefasst. Mugur Isărescu, der rumänische Notenbankchef, zeigte sich eher zurückhaltend. Das Ziel sei nicht gerade unrealistisch, hänge aber von vielen wirtschaftlichen Faktoren ab, sagte er. Die Leitung der Rumänischen Nationalbank hat sich auf jeden Fall bislang als besonnen erwiesen, hoffentlich hören auch die Politiker auf die Ratschläge der Wirtschaftsweisen.




    Zum Schluss möchte ich wieder etwas aus unserem Audioarchiv zu Gehör bringen. Doch zuvor die Posteingangsliste. Briefe erhielten wir von Thomas Jeske (aus Gelsenkirchen) und Peter Möller (aus Duisburg). Der zuletzt genannte Hörer verweist darauf, dass ihm mehrere QSL-Karten aus dem vergangenen Jahr immer noch fehlen. Lieber Herr Möller, es war richtig, auch die Daten der Empfangsberichte erneut zuzuschicken, sonst hätten wir lange in der Ablage suchen müssen. Ich fülle die QSL-Karten Nummer 4, 5, 7 und 10-12 persönlich aus und bringe sie dann zur Postbearbeitungsstelle.



    Ein Fax erhielten wir von Heinz-Günter Hessenbruch (aus Remscheid, NRW).



    E-Mails erhielten wir bis einschlie‎ßlich Samstagnachmittag von Bernd Seiser, Michael Reiffenstein, Helmut Matt, Werner Hoffmann, Reinhold Meyer, Andreas Mücklich, Roman Lausberg und Hans Kaas (alle aus Deutschland) sowie von Arman Sabciyan (aus der Türkei) und von Dmitrij Kutusow (englische Schreibweise: Dmitriy Kutuzov) aus Russland.








    Und jetzt zur angekündigten Audiodatei aus unserem Archiv. Es ist das bislang älteste Tondokument von Radio Bukarest in deutscher Sprache, das ich in unseren Schränken finden konnte. Es stammt aus dem Jahr 1955, auf dem Tonband sprach Victor Bickerich über die Orgel der Schwarzen Kirche in Kronstadt. Victor Bickerich (1895-1964) war ein in Schlesien (in der Nähe von Posen) geborener deutscher Musiker, der bereits in den 1920er Jahren Wahlsiebenbürger wurde. Der Chordirigent, Organist und Musikpädagoge verschrieb sich dem Musikleben Kronstadts, das zu seiner Heimatstadt wurde.

    src=http://devrri.freshlemon.ro/wp-content/uploads/2023/10/foto.jpg

    Victor Bickerich (1895-1964)


    Foto: www.forumkronstadt.ro








    Zur Tonaufnahme muss noch erläuternd gesagt werden, dass Kronstadt in der Zeit 1950-1960 von den kommunistischen Machthabern zu Stalinstadt umgetauft worden war. In der Aufzeichnung aus dem Jahr 1955 ist zwar überwiegend die Rede von Kronstadt, wenn es um historische Ausführungen geht, an der Bezeichnung Stalinstadt konnte man jedoch nicht ganz vorbei. Das Bild des Tonbandaufklebers lässt sich per Mausklick in Gro‎ßansicht öffnen. src=http://devrri.freshlemon.ro/wp-content/uploads/2023/10/foto.jpg
    Audiodatei von 1955 mit den Erläuterungen von Victor Bickerich über die Orgel der Schwarzen Kirche hören:




    Funkbriefkasten als Audiodatei hören:




  • Nachrichten 5.01.2015

    Nachrichten 5.01.2015

    BUKAREST: Die rumänische Regierung hat vor Gericht beantragt, die Auszahlung der Lizenzebühren an Microsoft für die Zeitspanne 2013-2015 einzustellen. Die Klage erging beim Bukarester Landgericht am Ende des Jahres 2014. Eine Strafermittlung wurde eingeleitet, nachdem die Innenrevision der Regierung bei der Nationalen Antikorruptionsbehörde anzeigte, dass es Unstimmigkeiten bei den Verträgen über IT-Lizenzen gibt, die vom Bildungsministerium und Microsoft in der Zeitspanne 2009-2012 unterzeichnet wurden. Die Antikorruptions-Staatsanwälte haben das Verfahren mittlerweile erweitert. Dabei wurde entdeckt, dass Amtsträger aus allen Regierungen zwischen 2000 und 2012 für solche Unregelmässigkeiten verantwortlich sind. Neun ehemalige Minister werden der Einflussnahme, der Bestechlichkeit, Geldwäsche und des Amtsmissbrauchs verdächtigt. Der Wert der unterzeichneten Verträge zwischen dem rumänischen Staat einerseits und den Unternehmen Microsoft, Siveco und EADS andererseits überschreitet 1 Milliarde Euro. Laut der rumänischen Antikorruptions-Behörde haben die beschuldigten Amtsträger 60 Millionen Euro Bestechungsgeld bekommen.



    BUKAREST: Ein gemeinsamer paritätisch besetzter Ausschuss, gebildet aus Unterhändler der National-Liberalen und der Demokrat-Liberalen kommt am Montag zusammen. Die Kommission soll die Kriterien für den Zusammenschluss der beiden Opositionsparteien auf lokaler Ebene bestimmen. Nach Angaben von Insiderquellen habe man sich schon über mehrere Kriterien verständigt. Allerdings könne man damit nur an die Öffentlichkeit treten, wenn der Parteienaussschuss sie auch formell vereinbart.


    WETTER: extrem niedrige Temperaturen bei zeitweilig bewölktem Himmel. Im Gebirge, im Nordosten und vereinzelt im Zentrum und Süden des Landes wird es leicht schneien. Die Tageshöchsttemperaturen liegen zwischen minus 9 und minus 3 Grad Celsius, die Niedrigstwerte erreichen immerhin in der Nacht minus 14 Grad.



    Zur Lage am rumänischen Devisenmarkt – 1 Euro kostete am Montag 4,49 Lei, 1 USD 3,77 Lei. Der SFR lag bei 3,7428 Lei, ein Gramm Gold war 144,43 Lei wert.



  • 10.07.2014 (mise à jour)

    10.07.2014 (mise à jour)

    Gaza — Le chef de la diplomatie roumaine, Titus Corlatean, a demandé la mise en place urgente d’une cellule de crise censée accorder de l’assistance consulaire aux ressortissants roumains se trouvant dans la bande de Gaza. Les membres de la cellule et les représentants du ministère des Affaires étrangères de Bucarest et d’autres institutions compétentes dans le domaines surveillent la situation et sont en contact permanent avec les autorités locales et avec toutes les missions diplomatiques et consulaires de Roumanie dans la zone. Mardi, le ministère Affaires étrangères de Bucarest avait recommandé aux Roumains d’éviter les déplacements en Israël et dans les territoires palestiniens, sur la toile de fond de l’intensification du conflit armé entre Israël et les organisations terroristes palestiniennes.



    Pouvoir — La direction de l’Union Démocratique des Magyars de Roumanie doit décider vendredi si le parti reste au sein de la coalition au pouvoir à Bucarest, dominée par le Parti Social Démocrate. La tension s’est installée entre les représentants deS Hongrois de Roumanie et leurs partenaires après que le ministère des Affaires Etrangères, par la voix du chef de la diplomatie roumaine, Titus Corlatean, eut soutenu le point de vue de la Commission européenne, qui avait rejeté une initiative de l’Union Démocratique des Magyars de Roumanie visant la protection des minorités nationales. Cooptés au pouvoir en mars dernier, les Magyars détiennent les portefeuilles de la Culture et de l’Environnement. Depuis 1996, l’Union Démocratique des Magyars de Roumanie a fait partie de la plupart des gouvernements de coalition de Bucarest, soient-ils de droite ou de gauche. Concentrée dans le centre et l’ouest du pays, la communauté magyare de Roumanie compte environ 1 million et demi de personnes.



    Enquête – L’Agence nationale d’intégrité (ANI) a déposé une plainte auprès de la Commission d’investigation des fortunes de la Cour d’Appel Bucarest contre l’ambassadeur de Roumanie à l’UNESCO, Nicolae Manolescu. L’agence dénonce l’existence d’une différence injustifiée, de 78.000 euros, entre la fortune acquise et les revenus réalisés par l’ambassadeur et par son épouse. Dans une déclaration pour Radio Roumanie, Nicolae Manolescu s’est dit surpris par cette annonce. Professeur universitaire, influent critique et historien littéraire, ancien candidat à la présidence de la Roumanie, Nicoale Manolescu est depuis 2006 ambassadeur de Roumanie à l’UNESCO.



    Corruption — Le Parquet anticorruption de Bucarest a ouvert une enquête accusant plusieurs responsables roumains d’avoir accepté d’importantes sommes d’argent pour accorder à la compagnie allemande EADS un contrat visant le système intégré de sécurisation des frontières nationales, estimé à 534 millions d’euros. Le contrat a été prolongé en 2009 par 200 autres millions d’euros. Les procureurs mettent en question une étude de faisabilité selon laquelle EADS était considérée comme l’unique compagnie au monde capable de fournir les services demandés par les autorités roumaines afin de sécuriser les frontières.



    Chevron — La compagnie américaine Chevron a fait savoir avoir arrêté l’exploitation des gaz de schiste de Pungesti (dans le département de Vaslui, dans l’est de la Roumanie). L’annonce survient au lendemain des protestations des militants de lorganisation écologiste Greenpeace qui avaient bloqué laccès au site dexploration des gaz de schiste. Ce n’est pas la première fois que les habitants de la zone et les écologistes protestent à Pungesti. En fait, les protestations s’enchaînent depuis l’année dernière déjà. La raison réelle de la décision du géant américain de l’énergie d’arrêter les travaux de Pungesti n’est pas encore connue, mais, selon les spéculations des médias, il n’y aurait pas en fait de gaz de schiste dans la zone. De l’avis des experts, Chevron doit d’abord analyser les échantillons prélevés avant de décider de continuer — oui ou non — son programme d’exploration.



    Météo — Le temps s’annonce assez instable en Roumanie ; on attend des pluies partout dans le pays, les quantités des précipitations pouvant dépasser par endroits les 50 litres par mètre carré. Une alerte jaune aux pluies abondantes est en vigueur sur la plupart du territoire, y compris dans la capitale. Les températures maximales sont à la baisse et iront de 20 à 30 degrés.