Tag: electro

  • 12.07.2021 (mise à jour)

    12.07.2021 (mise à jour)

    Coronavirus – En Roumanie, l’état d’alerte sanitaire a été prolongé pour encore 30 jours à partir de lundi 12 juillet. Un autre changement entre en application à partir de ce lundi : les personnes qui ont guéri de la Covid-19 ces six derniers mois, au lieu des trois derniers mois jusqu’à présent, ont un certain nombre de droits, au même titre que les personnes vaccinées ou testées négatives contre la Covid-19. Elles peuvent assister aux compétitions sportives, aux spectacles, concerts et manifestations culturelles organisées en plein air, ainsi qu’aux fêtes de mariage et de baptême tenues dans des lieux clos. Lundi, les autorités de Bucarest ont rapporté 39 cas de contamination au nouveau coronavirus et deux décès des suites de l’infection. 55 malades sont hospitalisés en soins intensifs. Pour ce qui est de la vaccination, 4,6 millions de Roumains ont été entièrement vaccinés.

    Moldavie – Les autorités de Bucarest ont salué la victoire du Parti action et solidarité, fondée par la présidente Maia Sandu, lors des élections législatives anticipées qui ont eu lieu dimanche en République de Moldova voisine. Le président roumain Klaus Iohannis a félicité les citoyens moldaves pour leur esprit civique et pour avoir fait un choix clair pour les réformes, l’état de droit et l’intégration européenne. La Roumanie sera aux côtés de la République de Moldova afin de soutenir son parcours européen, a ajouté le président Iohannis. Le premier ministre Florin Cîţu a lui aussi félicité le Parti action et solidarité et a exprimé son soutien pour les réformes à venir. De son côté, le ministre roumain des Affaires étrangères a salué la victoire des forces européennes et pro-réformistes, exprimant son espoir qu’un gouvernement pro-européen allait être formé au plus vite à Chişinău. Les eurodéputés roumains et le secrétaire général adjoint de l’OTAN, le Roumain Mircea Geoană, ont envoyé eux aussi des messages de félicitation à l’intention du parti de la présidente moldave. Le Parti Action et Solidarité a obtenu près de 53% des voix, le Bloc électoral des communistes et des socialistes – un peu plus de 27%, alors que le parti populiste SOR, a réuni près de 6% des suffrages. Restez avec nous pour davantage d’informations à ce sujet, après le journal.

    Bulgarie – La Bulgarie aussi a organisé un scrutin anticipé pour les parlementaires ce dimanche, avec une abstention record – seulement 40% des Bulgares ont voté. Le Parti de centre-droit qui domine la scène politique du pays depuis plus d’une décennie, Citoyens unis pour l’avenir européen de la Bulgarie (GERB), et le nouveau parti antisystème « Il y a un tel peuple » (ITP), se disputent la première place, avec 23-24% des voix. Les socialistes sont troisièmes, avec 15% des suffrages. Le Mouvement des droits et des libertés qui représente l’importante minorité turque, a obtenu 11%, suivi par deux partis anti-corruption, « Bulgarie démocratique » (droite, 13%) et « Debout ! Mafia dehors » (gauche, 5%). Les analystes s’attendent à un parlement tout aussi fragmenté que celui qui vient d’être dissout. Faute d’entente des principaux partis après les précédentes législatives d’avril, les Bulgares ont du revoter dimanche.

    Musique – Des dizaines d’artistes roumains et étrangers sont attendus au Festival Electric Castle qui se tiendra à Cluj-Napoca et à Bonţida, dans le nord-ouest du pays, du 6 au 15 août prochain. Parmi les artistes invités, mentionnons Elena Mîndru qui montera sur scène aux côtés de l’orchestre de l’Opéra national roumain de Cluj pour montrer que jazz, hip-hop et musique symphonique peuvent faire bon ménage ensemble. S’y ajoutent Golan and The Blaze, le duo français qui a connu une évolution spectaculaire ces dernières années, Asaf Avidan, le fameux artiste israélien, ou encore l’excentrique Aurora, la sensation pop de la musique norvégienne, pour ne donner que quelques exemples.

    Tennis – Le tournoi de Wimbledon finalisé, c’est le moment de faire le décompte des points dans le monde du tennis. La joueuse roumaine Simona Halep a chuté fortement dans le classement WTA publié lundi, de la 3e à la 9e place mondiale, alors qu’elle n’a pas pu participer à la compétition londonienne à cause d’une blessure. Quatre autres sportives roumaines comptent parmi les 100 meilleures joueuses au monde : Sorana Cîrstea (37), Patricia Ţig (65), Irina Begu (71) et Ana Bogdan (98).

    Météo – L’ouest et le sud-ouest de la Roumanie sont sous vigilance jaune canicule durant les prochaines 24 heures. Les températures continuent de grimper, tout comme le taux d’humidité, rendant la chaleur particulièrement difficile à supporter. Le temps tournera à l’orage mardi soir dans les régions de montagne et dans le nord-est du pays. Il fait très chaud à Bucarest aussi, avec une maxima de 35 degrés attendue mardi midi.

  • Hörerpostsendung 6.12.2020

    Hörerpostsendung 6.12.2020

    Liebe Freunde, herzlich willkommen zur Hörerpostsendung von RRI und einen besinnlichen zweiten Adventssonntag!



    Da schon die Rede vom Advent ist, möchte ich gerne eine Überraschung mit Ihnen teilen. Herr Hans-Ulrich Schwerendt hat zusammen mit seiner Ehefrau Gudrun einen wunderbaren virtuellen Adventskalender mit Rumänien-Bezug gebastelt und für alle Rumänien-Freunde zur Verfügung gestellt. Hinter jedem Türchen verbirgt sich eine kleine Überraschung: Zeichnungen, Bilder und Geschichten über oder aus Rumänien sowie ein Rezept zum Kochen des traditionellen rumänischen Gemüsebrotaufstrichs namens Zacuscă. Folgende Worte lie‎ß uns Herr Schwerendt per E-Mail zukommen:





    Liebe Rumänienfreunde,



    hoppla… nun neigt sich dieses verrückte 2020 dem Ende entgegen!!!



    Und während wir in uns gehen und überlegen, was in diesem Jahr alles anders ist, können wir uns auch freuen, dass es Dinge gibt, die sich nicht ändern.



    Es gab einen Herbst mit bunten Blättern, Wetter, das zu warm, zu trocken, zu kalt oder zu nass war, und Gudrun und Hans haben mit gro‎ßer Unterstützung eifriger Geschichtenschreiber, Wanderer, Fotografen und Maler mit Liebe, Freude und auch Mühe wieder einen Rumänienadventskalender für Euch gebastelt.



    Dieses Jahr ist das Startbild ziemlich rot und es gibt sogar gleich auf der Startseite ein Rezept mit dem ihr leckeres Zacusca kochen könnt…



    Aber seht selbst:



    www.rumaenienadventskalender.de



    Wir laden Euch herzlich ein, jeden Tag ein Türchen zu suchen und zu öffnen.



    Über ein Feedback per E-Mail oder im Gästebuch freuen wir uns sehr.



    Viel Freude wünschen


    Gudrun und Hans




    Liebe Familie Schwerendt, der Adventskalender ist wirklich sehr gelungen und spannend, und ich kann unseren Hörern nur empfehlen, in Zeiten der Mu‎ße die Webseite aufzurufen und sich der Bilder und Geschichten zu erfreuen. Vielen Dank, herzliche Grü‎ße an Gudrun und Hans-Ulrich Schwerendt im Namen der gesamten Redaktion und bleiben Sie gesund!



    Ein weitere Überraschung erhielten wir von Simon und Adrian Heinrich. Die beiden Brüder sind noch Schüler, haben die Kurzwelle als Hobby vor kurzem entdeckt und hören regelmä‎ßig bei uns herein. Diese Woche schickten sie uns eine selbst aufgezeichnete Audiodatei, in der sie unsere Redaktion grü‎ßen und uns ihre Auswahl für die Persönlichkeit des Jahres 2020 verraten. Hören wir Simon und Adrian: Track (01:11).



    Lieber Adrian, lieber Simon, vielen Dank für eure liebenswerte Nachricht und auch für den zusätzlich gesendeten Vorspann von Radio Bukarest aus dem Jahr 1980. Übrigens gibt es auch auf unserer Webseite im Abschnitt Nostalgieecke – Unterabschnitt Audioarchiv einen Artikel mit historischen Pausenzeichen der öffentlich-rechtlichen Radiosender aus Rumänien. Herzliche Grü‎ße nach Ki‎ßlegg, ihr Lieben!




    Aus dem Süden Baden-Württembergs geht es nun nach Norddeutschland, und zwar an die Ostseeküste. Herr Carsten Fenske hat sich in den letzten Wochen dort aufgehalten und meldete sich Ende November mit einer E-Mail und mehreren Empfangsbeobachtungen auch per WhatsApp:



    Liebes Team von Radio Rumänien International, Deutsche Radaktion,


    lieber Sorin,



    nach einer kleinen Sendepause“ meinerseits möchte ich mich wieder einmal melden.



    Zunächst bestätige ich Ihnen einen guten und störungsfreien Empfang auf den neuen Winterfrequenzen. Das gilt sowohl für die Sendezeiten 15:00 Uhr bis 16:00 Uhr UTC als auch 19:00 Uhr bis 20:00 Uhr UTC. In den Nachmitagssendungen mache ich öfters mal ein Frequenz-Hopping“ zwischen 6040 kHz und 7330 kHz. Auf beiden kommen Sie am allerbesten rein.



    Vom 01.11.2020 bis 05.11.2020 hörte ich Sie täglich in der Abendsendung ab 19:00 UTC auf 6180 kHz, vom 06.11.2020 bis 20.11.2020 dann aus technischen Gründen täglich als Podcast. Seit 21.11. bin ich wieder in Covid-19-Einzelhaft“ in meinem Wohnwagen bei Neustrelitz und empfange Sie hier über meinen Weltempfänger XHDATA und Langdrahtantenne SANGEAN ANT-60. Natürlich auf Kurzwelle, was sonst.



    Nun Themenwechsel und Feedback.



    Vor über einem Jahr äu‎ßerte ich mal die Bitte, doch die rumänische Landschaft im Hinblick auf elektronische Musik zu beleuchten. Und damit komme ich gleich zur Sendung vom 23. November. Ihre Kollegin Daniela Cîrjan berichtete ab Minute 30 über Leben und Schaffen des einheimischen Komponisten und Musikers Adrian Enescu und dass er sich in 1975 den ersten Synthesizer zulegte. Ich möchte mir gar nicht vorstellen, was das im damaligen kommunistischen Rumänien für ein Theater gewesen sein muss, um an so ein Instrument zu gelangen. In der Minute 30:35 startete sie dann, zumindest für mich, die absolut audiophile Hörbombe“. Leider bin ich nicht in der Lage, den Titelnamen aufzuschreiben oder wenigstens phonetisch nachzusprechen, um ihn im Internet zu finden. Aber es war die elektronische Adaption eines Volksliedes. Ich kroch geradezu in meinen Empfänger hinein und konnte es einfach nicht fassen. Einen derartigen Sound habe ich noch nie gehört. Er war und ist jenseits des Mainstreams und etwas völlig anderes und Neues für mich. Wie soll ich sagen… Mit diesem Titel und dem Namen Adrian Enescu haben Sie mir das Tor zu einer völlig neuen und unbekannten elektronischen Musikwelt gezeigt und es einen winzigen Spalt weit geöffnet. Nun bin ich gerade dabei, es zu durchschreiten und mich an die Werke Enescus heranzutasten.



    Dieser Sound und der Beitrag von Daniela Cîrjan sind für mich das ultimative Hörerlebnis in 2020. Ich kann gar nicht so viel Daumen nach oben halten, wie ich möchte, darum sage ich einfach nur danke für so etwas Schönes und Wunderbares.



    Ich bitte Sie ausdrücklich darum, meine Freude und das Dankeschön an Ihre Kollegin Daniela Cîrjan zu übermitteln.



    Und bevor ich mich nun dazu hinrei‎ßen lasse, die rumänische Staatsbürgerschaft zu beantragen, möchte ich den Brief doch lieber mit einem Augenzwinkern beenden.



    Seien Sie alle herzlich gegrü‎ßt und bleiben Sie gesund!



    Aus der Camper-Einzelhaft bei Neustrelitz


    Ihr Hörer Carsten Fenske




    Lieber Herr Fenske, herzlichen Dank für das ausführliche Feedback und viele Grü‎ße aus Bukarest an die Ostsee! Den Gru‎ß an Daniela Cîrjan habe ich ausgerichtet und sie bedankt sich ganz herzlich dafür. Übrigens ist sie seit wenigen Wochen in den Ruhestand getreten, was hei‎ßt, dass Sie eine ihrer letzten Musiksendungen gehört haben. Einige werden wir sicherlich als Reserve behalten und hin und wieder erneut ausstrahlen. Die künftigen Musiksendungen teilen sich andere Redaktionsmitglieder je nach Vorlieben für bestimmte Genres untereinander auf. So etwa übernimmt Dora Mihălcescu die Volksmusikecke, Ana Nedelea Pop & Rock, Alex Grigorescu die Klassik und Alex Gröblacher wird die Jazzmusik präsentieren.



    Zu dem von Ihnen gehörten Lied und weiteren Informationen zu elektronischer Musik aus Rumänien möchte ich hier wiederholen, was ich Ihnen bereits per E-Mail geschrieben habe, da es möglicherweise auch andere Fans von elektronischer Musik unter unseren Hörern gibt. Bei dem Stück von Adrian Enescu handelt es sich um den Titel Cine iubește și lasă“ (Wer liebt und verlässt“) und es ist eine Adaption bzw. elektronische Bearbeitung des gleichnamigen Volkslieds, das seinerzeit die legendäre Maria Tănase sang.



    In puncto elektronischer Musik der klassischen Sorte aus Rumänien wären noch der 1999 verstorbene Dinu Petrescu und der Anfang November verstorbene Octavian Nemescu als prominente Vertreter zu erwähnen. Ich hatte die Ehre, beide kennenlernen zu dürfen, Nemescu war auch Hochschulprofessor für Komposition in Bukarest. Beide schrieben etwas schwerere Kost als Adrian Enescu, da sie auch Neue Musik für klassische Ensembles komponierten und sie gerne mit elektronischen Klängen mischten. Musik von beiden ist auch auf YouTube zu finden. Adrian Enescu hingegen komponierte mehr Filmmusik und Pop. Au‎ßerdem gibt es unterschiedliche andere Quellen für elektronische Musik neuerer Art im Internet zu finden; beispielsweise gibt es auf Soundcloud einen Audioblog mit Electro-Musik von verschiedenen rumänischen Musikern der jüngeren Generation — allerdings geht es dort eher in Richtung Trance, Acid, Psy, Dream, Industrial und wie alle möglichen Subrichtungen noch hei‎ßen.



    Zeit noch für eine kurze Rückmeldung vom bereits angebrochenen Dezember. Nouri Streichert (aus Hildesheim, Niedersachsen) meldete sich per E-Mail:



    Hallo liebe Freunde in Bukarest,



    in letzter Zeit hatte ich etwas viel zu tun.



    So kam ich in den vergangenen Tagen nur zweimal zum Radio hören. In der vergangenen Woche musste ich zusätzlich mein Wohnzimmer ausräumen und für einige Tage bei meiner Schwester einziehen. Mein Vormieter hatte einen Wasserschaden verursacht. Dieser wurde jetzt, ein halbes Jahr nach meinem Einzug, durch Handwerker behoben. Ab heute, 1. Dezember, kann ich wieder einziehen. Warum das Ganze nicht vor der Vermietung gemacht wurde, ist mir aber ein Rätsel.



    Bis zum nächsten Empfangsbericht alles Gute!



    Bleibt gesund!



    Es grü‎ßt


    Nouri Streichert




    Vielen Dank für den Empfangsbericht und für die Rückmeldung, lieber Herr Streichert. Sie können ja als Mieter noch von normalen Zuständen reden — bei eventuellen Schäden, die durch den Vormieter verursacht wurden, kommt der Eigentümer der Wohnung auf. Hier haben wir als über 90% Eigentümer der eigenen Behausungen recht viele Unannehmlichkeiten, wenn es um Schäden oder Renovierungsarbeiten geht. Beispielsweise möchte ich einige Reparaturen und Instandsetzungen in meiner kleinen Plattenbauwohnung durchführen lassen. Das ist — in einem 10-stöckigen Wohnblock, wo ich au‎ßer zwei Nachbarn in der 9. Etage, wo ich wohne, und dem Möchtegern-Chef in der ersten, niemanden kenne — gar nicht so einfach. Ich will die Armaturen im Bad auswechseln und sogenannte Durchlauferhitzer in Bad und Küche einmontieren lassen. Denn die Belieferung mit flie‎ßend Hei‎ßwasser und Wärme ist in Bukarest seit geraumer Zeit ein Glücks- oder Nullsummenspiel. Ganze Stadtviertel von Bukarest sind nämlich von Fernheizung abhängig, und die Wartung des gesamten Systems wurde in den letzten 30 Jahren einfach vernachlässigt von unseren Stadtvätern“. Sie waren nämlich zu beschäftigt damit, Geld in die eigenen Taschen und jene der jeweiligen Partei zu wirtschaften oder den Haushalt für unsinnige Projekte zu verplempern, anstatt sich um die Nöte der Stadt zu kümmern. Zwei von den ursprünglich fünf Wärmekraftwerken der Stadt wurden pleitegemacht und in die Infrastruktur wurde kaum investiert. Es gibt ständig Rohrbrüche und Havarien, so dass ganze Stra‎ßenzüge oder Viertel tagelang ohne flie‎ßend Wasser und Heizung auskommen müssen. Das war auch ein Wahlkampfthema bei den Kommunalwahlen Ende September, und die Stimmung der Bürger ist immer noch sehr gereizt. Zwar haben wir einen neuen Bürgermeister, der einen Kredit von der EU für die Instandsetzung des Bukarester Fernwärmesystems aufgenommen hat, nur wird das Jahre dauern, bis wir eine anständige Versorgung mit hei‎ßem Wasser und Heizung haben werden.



    Doch zurück zu den Durchlauferhitzern, die ich — selbstredend aus eigener Tasche — einmontieren lassen würde: Dazu müsste man die Wasserzuführung auf der gesamten Vertikale meines Teils des Hochhauses für die Zeit der Montagearbeiten abstellen lassen. Und wenn der sogenannte Möchtegern-Chef des Teils meines Gebäudes, der auch als Einziger den Schlüssel zum Keller hat und auch wei‎ß, wie man das Wasser abstellt, einen nicht mag, dann ist man halt auf ihn angewiesen (oder ihm vielmehr ausgeliefert). Und er hat mir schon mal die kalte Schulter gezeigt und sich unauffindbar gemacht, während der Klempner nervös Däumchen drehte, weil ich ihn umsonst zu mir bestellt hatte.





    Liebe Freunde, zum Schluss noch die Postliste. Herkömmliche Briefe hat mir unsere Kollegin von der Postbearbeitung in der Redaktion hinterlassen, kann sie aber erst nächste Woche nach Hause holen und lesen. E-Mails oder Feedback im Online-Formular erhielten wir bis einschlie‎ßlich Samstagabend von Gerd Brüschke, Carsten Fenske, Maria und Bernd Seiser, Simon und Adrian Heinrich, Gudrun und Hans-Ulrich Schwerendt, Michael Hartmann, Siegbert Gerhard, Nouri Streichert, Wolfgang Maschke, Michael Willruth, Ralf Urbanczyk und Lutz Sacher (D) sowie von Paul Gager (A) und Siddhartha Bhattacharjee (IND).




    Ihnen allen vielen Dank, bleiben Sie gesund und bis nächsten Sonntag!



    Audiobeitrag hören:



  • Peste 10.000 de bucureșteni și turiști prezenți la a șasea ediție Bucharest Jazz Festival

    Peste 10.000 de bucureșteni și turiști prezenți la a șasea ediție Bucharest Jazz Festival

    Duminică,
    9 iulie, Bucharest
    Jazz Festival
    a încheiat, cu aplauze la scenă deschisă,
    o ediție efervescentă care a reușit, printr-un
    program diversificat și un lineup cu
    artiști inovatori, să recruteze noi fani ai muzicii de jazz din
    rândurile ascultătorilor de rock,
    electro, samba, etno și muzică clasică.




    Între 3 și 9 iulie, cu șapte
    zile de festival, jurnaliști străini, două scene
    de concerte, artiști de Grammy, colaborări
    muzicale în primă audiție, un nou concurs de jazz și un public de peste 10.000
    de persoane, evenimentul organizat de Primăria
    Capitalei prin ARCUB, Bucharest Jazz Festival 2017, a adus jazzul
    mai aproape de locuitorii orașului, de la cei
    pasionați de fotografie, la exploratori ai noilor curente în muzică, interesați
    de jurnalism muzical sau nostalgici ai jazzului clasic.




    În seara zilei de luni, 3 iulie,
    fotograful independent al revistei americane Jazz Times, Sánta István Csaba,
    alături de directorul artistic al
    festivalului, Teodora Enache, și de directorul ARCUB, Mihaela Păun, au deschis festivalul de jazz
    de la București cu vernisajul expoziției solo Jazzonance, dedicată ultimelor legende jazzului din a doua
    jumătate a secolului trecut. Între clubul festivalului de la ARCUB și
    scena din Piața George Enescu, Bucharest Jazz Festival 2017 a pregătit, între 4 și 9 iulie, un program încărcat de
    ateliere și conferințe, jam sessions, minirecitalurile concursului New Jazz
    Voices și concerte live.




    Jurnalistul newyorkez Simon Rentner
    a fost prezent pe tot parcursul festivalului pentru interviuri cu artiștii și
    un material despre Bucharest Jazz Festival. Premiat de revista Jazz Times pentru cel mai bun podcast în
    2016 jurnalistul muzical a venit și la clubul festivalului pentru a vorbi
    despre începuturile jazzului. La discuție au participat fotograful Sánta István
    Csaba și Ion Baciu Jr., unul dintre capetele de afiș ale festivalului,
    care, în a patra zi de festival, a umplut spațiul
    de la Gabroveni Jazz Club cu zeci de tineri veniți la atelierul
    despre improvizația în muzică. Din seria
    evenimentelor de zi de la clubul festivalului la ARCUB au făcut parte
    întâlnirea de miercuri a lui Mihai Iordache și Tavi Scurtu cu
    jurnaliști radio, reprezentanți ai caselor de discuri și ai editurilor din țară, iar vineri, înainte să urce pe scena din
    Piața George Enescu, chitaristul Stanley Jordan a răspuns la Gabroveni Jazz Club întrebărilor despre muzică, terapie și tehnica sa unică de a cânta la chitară. Cu o zi înainte de concertul său din închiderea festivalului, percuționistul
    israelian de origini braziliene Joca Perpignan a ținut la ARCUB un
    workshop despre ritmuri și stiluri muzicale braziliene. În ultima zi de
    festival, clubul festivalului s-a mutat în Piața George Enescu pentru un atelier de educație muzicală creat special de
    muzicianul Cătălin Milea pentru
    cei mici.




    În cele cinci seri de
    concerte live, jazzul s-a făcut auzit în combinații de rock, electro, samba și
    poezie pe scena festivalului din Piața George Enescu. Miercuri, 5 iulie, noua formație de jazz KRiSPER
    a deschis seria concertelor urmați de Luiza Zan & Big Band-ul Radio
    condus de dirijorul Ionel Tudor. Una
    dintre cele mai bune voci feminine ale noii generații de jazz, cu rădăcini în
    zona muzicală underground, A-C Leonte și-a prezentat pe 6
    iulie la Bucharest Jazz Festival ultimul său
    proiect, Reveries, iar Ion Baciu Jr. împreună cu Ari Hoenig și Or Bareket au combinat
    baladele cu improvizațiile de jazz. În premieră
    la Bucharest Jazz Festival, pe scena din Piața George Enescu s-au făcut auzite
    versuri de Walt Whitman pe muzică blues în concertul Mike Godoroja
    & Blue Spirit de vineri, 7
    iulie. Atmosfera s-a încins și pe scenă și
    în public cu ocazia concertului Stanley Jordan ‘ Gábor Dörnyei ‘
    Kornél Horváth presents The Thunder Tour, o
    colaborare neobișnuită între versatilitatea chitarei lui Jordan, energia tobelor
    lui Gábor Dörnyei și ritmicitatea percuțiilor lui Kornél Horváth.




    Seara de sâmbătă, 8 iulie, a fost
    rezervată unor artiști nominalizați la premiile Grammy, preferați ai revistelor
    Rolling Stones, Jazz Times și câștigători Jazzpar Prize. Fosta percuționistă a
    lui Miles Davis și Jan Garbarek, Marilyn Mazur a strâns mii de
    spectatori în Piața George Enescu, iar concertul Branford Marsalis Quartet
    & Kurt Elling, a făcut deliciul publicului
    cu refrene fredonabile și piese melodice. Ritmuri energice, stiluri originale
    și influențe multiple – acestea au fost cuvintele cheie ale concertelor de duminică, 9 iulie, din închiderea
    festivalului, al grupului basarabean de etno-jazz Trigon și al formației
    de world music a percuționistului israelian de origini braziliene Joca
    Perpignan.




    Două dintre
    premierele Bucharest Jazz Festival cu mare priză la public din acest an, minirecitalurile New
    Jazz Voices și jam session-urile care
    s-au ținut la clubul festivalului de la ARCUB, au adunat în fiecare seară, după concertele din Piața George Enescu, sute de
    tineri veniți din alte domenii artistice,
    turiști și muzicieni străini, dar și artiști ai festivalului precum Ari
    Hoenig și A-C Leonte.




    În ultima zi de festival, Teodora
    Enache a anunțat pe scena din Piața George Enescu câștigătorul concursului New Jazz Voices: Vlad Simon. Dintre finaliștii înscriși la concurs din Bacău,
    București, Constanța, Huși, Petroșani, Pitești, Sibiu și Republica Moldova.


    Pe lângă interviurile
    și înregistrările făcute de jurnalistul american Simon Rentner, concertele și
    sesiunile de jam sessions au fost transmise live și de către Cealaltă
    muzică, proiectul de promovare a muzicii creative inițiat de Michael
    Acker, Tavi Scurtu și A-C Leonte.




    Accesul la toate reprezentațiile din cadrul festivalului a
    fost gratuit.


    Eveniment Facebook: https://www.facebook.com/bucharestjazzfestival/




    Parteneri oficiali: Banca
    Transilvania, Honda Trading România, Honda Civic




    Cu sprijinul: Aqua Carpatica și
    Viticola




    Parteneri media: UTV, Neptun TV,
    RFI România, Radio România Cultural, Radio România Internațional, Cărturești, Revista
    Biz, DC News, Feeder.ro, Revista Zeppelin, iConcert.ro, Ziarul Metropolis,
    Inoras.ro, Urbankid.ro, 4 arte,ro, orasulm.eu, Brigada de Voluntari.




    Sursa: comunicat ARCUB