Tag: Elisabeta Rizea

  • Les héroïnes de la résistance anticommuniste : Elisabeta Rizea

    Les héroïnes de la résistance anticommuniste : Elisabeta Rizea

    La résistance armée anticommuniste et antisoviétique vit le jour dans les montagnes de Roumanie, dès l’automne 1944. Les groupes de partisans se sont notamment concentrés dans les Carpates; c’est là que leurs leaders et leurs successeurs ont agi, en mettant leur empreinte sur l’histoire de la Roumanie, de sorte que les générations futures n’aient pas honte de leur passé et de leurs ancêtres.



    Les pages de la résistance armée anticommuniste de Roumanie ont été écrites par des militaires, étudiants, paysans, ouvriers, par des hommes et des femmes. La participation des femmes à la résistance est restée méconnue aux Roumains jusqu’en 1989, lorsque le silence dans lequel tout le pays avait plongé fut brisé. La paysanne Elisabeta Rizea de la commune de Nucsoara, du département de Arges (sud de la Roumanie) est alors apparue comme la figure iconique de l’héroïne qui a gardé sa verticalité. Elle est devenue célèbre grâce au documentaire de télévision « Memorialul Durerii » — Le mémorial de la souffrance.



    Elisabeta Rizea n’a pas lutté sur les fronts, n’a sauvé personne de la mort et n’a pas donné sa vie pour quelqu’un d’autre. En revanche, Elisabeta Rizea a gardé ses principes : elle n’a pas menti, n’a pas donné d’informations à la Securitate sur ses voisins et ses parents ; elle a gardé vive sa conviction que la justice l’emportera finalement. Elisabeta Rizea s’est rangée du côté de ceux qui défendaient la justice et la vérité : elle leur a donné à manger et elle les a mis à l’abri des ennemis.



    Elisabeta Rizea a représenté le symbole du paysan digne qui défend son petit univers : sa propriété, sa famille, sa foi. 12 années de prison — ce fut le prix qu’elle a dû payer pour tout cela. Le Centre d’histoire orale de la Radiodiffusion roumaine a eu l’honneur d’interviewer Elisabeta Rizea en 2000, lorsqu’elle était âgée de 88 ans. Dans ce qui suit, elle s’attarde sur la manière dont elle maintenait le contact avec le groupe de partisans Arsenescu-Arnăuţoiu: « Je ne suis pas une femme politique, je suis une femme juste. Je suis Roumaine, pourquoi passer du côté d’un autre pays et ne pas me mettre du côté de mes Roumains? Les partisans – je ne les ai jamais rencontrés. C’est un saule dans le tronc duquel il y avait un creux qui me servait de boîte postale. Voilà comment je m’y prenais: si je voyais l’armée arriver je leur écrivais un message: Faites attention au passage de l’armée”. Quand j’avais les gens de la Securitate sur mes traces, j’accrochais le pot à eau sur le mur extérieur de la maison. Quand les agents restaient chez moi pour manger, je pouvais entendre de la pièce à côté ce qu’ils discutaient. Et je me mettais aussitôt en route, en empruntant un sentier qui donnait sur un escalier au bout duquel il y avait ce saule, avec le trou où je mettais le billet. Et monsieur le capitaine Arnautoiu le cherchait et le lisait. Je l’informais sur la position de l’armée, sur l’endroit où j’avais mis de la nourriture, selon mes possibilités. »



    Selon ses témoignages, pendant les enquêtes, on la faisait pendre par les cheveux à un crochet et on la passait à tabac. Elle se souvient qu’à ces moments-là, elle se faisait le signe de croix à l’aide de sa langue et elle priait Dieu de lui donner la force de ne pas dire ce qu’elle savait. C’était là un serment qu’aucune personne honnête n’acceptait de violer.



    Elisabeta Rizea remémore également les visites que la Securitate lui rendait avant son arrestation: « C’était un petit pont non pas en ciment, mais en bois et je me rappelle que l’agent de la Securitate était chaussé de bottes. A leur simple bruit, je paralysais de panique, mon cœur battait fort comme s’il allait sortir de ma poitrine. Je me disais: ça y est, c’est fini ! Il va m’emmener pour me tuer. C’est comme cela que je passais le plus clair de mon temps! Au moment où il venait, il augmentait la flamme de la lampe à gaz, il commençait l’interrogatoire. Et moi je m’obstinais à dire que je ne savais rien de tout cela. Je n’ai rien déclaré, ils n’ont pas réussi à me faire parler. Je me rappelle avoir juré la main sur une Evangile et sur une croix qui se trouvaient dans cette chambre – là, sur une table. J’ai pris la Croix dans la main et j’ai juré sur la Bible devant le colonel Arsenescu, devant Tomita Arnautoiu et devant d’autres intellectuels. J’ai donc juré devant tout ce monde que je n’allais jamais trahir. Et j’ai tenu ma promesse ».



    Il y a plus de 200 ans, le philosophe et l’homme d’Etat irlandais Edmund Burke disait : « pour que le mal triomphe, il suffit que les gens de bien ne fassent rien ». Or, dans le cas d’Elisabeta Rizea, ce furent justement les gens de bien qui ont appuyé les mauvaises gens. Les voisins restaient les yeux rivés sur elle pour rapporter par la suite à la Securitate tout ce qu’elle faisait. Jetée en prison, Elisabeta Rizea a été remise en liberté en 1963, en arrivant à survivre au régime politique qui avait marqué son existence.



    L’impact qu’Elisabeta Rizea a eu sur l’opinion publique roumaine fut des plus importants, surtout dans les années 1990 — 2000. En témoigne un classement des plus grandes personnalités roumaines réalisé en 2006 et où Elisabeta Rizea a occupé la 58e position. Au moment où les autorités roumaines ont avancé l’idée d’un monument à la mémoire de la résistance anti communiste, l’opinion publique a choisi Elisabeta Rizea comme première proposition.




    En 2003, Elisabeta Rizea quitta ce monde, à 91 ans, en laissant derrière une leçon de patriotisme et de dignité humaine. A connaître son histoire, on comprend qu’il y a des gens qu’on peut chasser, torturer, humilier, sans arriver jamais à les anéantir. (trad. : Alexandra Pop, Ioana Stancescu)

  • Heldinnen des antikommunistischen Widerstands (1950er-60er Jahre): Elisabeta Rizea

    Heldinnen des antikommunistischen Widerstands (1950er-60er Jahre): Elisabeta Rizea

    In den Gebirgen Rumäniens hat sich schon beginnend mit dem Herbst 1944 ein antikommunistischer und antisowjetischer Widerstand gebildet. Zu diesem Widerstand in den rumänischen Karpaten gehörten Militärs, Studenten, Landwirte, Arbeiter, Männer und Frauen. Erst nach der Wende haben die Rumänen erfahren, dass auch Frauen Teil der Widerstandsbewegung waren. Dank der TV-Sendung Memorialul Durerii“ (zu deutsch: Denkmal des Leidens) wurde die Landwirtin Elisabeta Rizea aus der Gemeinde Nucşoara, Landkreis Argeş, dem breiten Publikum bekannt.



    Wenn wir heutzutage objektiv urteilen, könnten wir sagen, dass Elisabeta Rizea nichts Heldenhaftes unternommen habe. Sie hat an keiner Front gekämpft, hat niemandem das Leben gerettet, hat sich nicht aufgeopfert, damit jemand überlebt. Sie hat aber etwas anderes geschafft: Sie hat ihre Prinzipien eingehalten. Elisabeta Rizea hat nicht gelogen, hat ihre Nachbarn oder ihre Verwandte für die Securitate, die kommunistische Sicherheitspolizei, nicht bespitzelt. Sie hat niemals die Hoffnung verloren, dass die Gerechtigkeit siegen werde. Elisabeta Rizea stand auf der Seite derer, die für die Wahrheit und Gerechtigkeit kämpften und hat ihnen auch geholfen: Sie hat die Widerstandskämpfer mit Lebensmitteln versorgt und hat sie vor ihren Verfolgern beschützt.



    Elisabeta Rizea verkörperte den anständigen Bauern, der sein kleines Universum — Eigentum, Familie, Glaube — verteidigt hat. Dafür musste sie 12 Jahre im Gefängnis verbringen. Im Jahr 2000 hatte das Zentrum für mündliche Geschichte des Rumänischen Rundfunks die Ehre, Elisabeta Rizea zu interviewen. Sie war damals 88 Jahre alt. Sie erzählte über die Partisanen-Gruppe Arsenescu-Arnăuţoiu.



    Ich misch‘ mich in die Politik nicht ein, ich bin eine anständige Frau. Wenn man Rumäne ist, warum soll ich dann auf der Seite eines anderen Landes stehen und nicht auf der Seite meiner Rumänen? Ich habe sie [die Partisanen] nicht direkt getroffen. Wir hatten eine Weide, die hatte eine Baumhöhle, und sie diente als Postkasten. Wenn ich die Armee vorbeimarschieren sah, schrieb ich auf einen Zettel: ‚Vorsicht, die Armee kommt!‘ Wenn die Securitate-Offiziere kamen, denn sie kamen und beobachteten mich, hängte ich einen Krug an die Wand. Was die da drüben diskutierten, hörte ich aus dem anderen Zimmer. Ich schlich mich gleich weg. Ich hatte eine Leiter, ging die Leiter runter und steckte den Zettel in die Baumhöhle. Und die Jungs um Herrn Kapitän Arnăuţoiu fanden den Zettel und er las die Nachricht. Ich teilte ihm mit, wo sich die Armee aufhält, wo sie das Essen finden.“



    Laut ihren eigenen Aussagen wurde Elisabeta Rizea während der Ermittlungen gegen sie bewusstlos geschlagen. Ihre Haare hingen an einen Haken. In den Momenten machte sie mit der Zunge ein Kreuzzeichen und betete an Gott, nichts von dem, was sie wusste, verraten zu müssen. Elisabeta Rizea erinnert sich an die Besuche der Securitate vor ihrer Verhaftung:



    Ich hörte immer den Mann von der Securitate mit seinen Stiefeln auf den Holzbrettern treten. Wenn ich die Stiefeln hörte, hatte ich Angst, mein Herz schlug stark. Da dachte ich: Jetzt holen sie mich, sie werden mich erschie‎ßen. So habe ich [in ständiger Angst] gelebt, warum soll ich da lügen. Sie machten die Lampe stärker, lie‎ßen mich aufstehen und fragten mich über sie [die Partisanen] aus. Und ich sagte ihnen, ich wüsste nichts. Ich habe ihnen nichts gesagt. In dem Zimmer habe ich geschworen — auf dem Tisch lagen das Evangelium und das Kreuz. Ich habe das Kreuz in die Hand genommen und auf die Bibel geschworen. Oberst Arsenescu war auch da, Herr Tomiţă (Arnăuţoiu) war auch da und einige Ärzte. Alles gebildete Menschen. Ich habe geschworen, sie nie zu verraten. Und das habe ich auch eingehalten.“



    Vor mehr als 200 Jahren sagte der irische Philosoph und Staatsmann Edmund Burke (1729-1797): Damit das Böse siegt, müssen die Guten nichts tun.“ Im Fall von Elisabeta Rizea haben aber die guten Menschen die bösen unterstützt. Die Nachbarn haben sie bespitzelt und der Securitate berichtet. Sie wurde verhaftet. 1963 wurde sie aus der Haft entlassen und überlebte auch das politische Regime, das ihre Existenz geprägt hat.



    Der Einfluss Elisabeta Rizeas auf die öffentliche Meinung in Rumänien war sehr gro‎ß, insbesondere in den 1990er Jahren und Anfang des 21. Jahrhunderts. Als man den Vorschlag machte, ein Denkmal für den nationalen antikommunistischen Widerstand zu errichten, hat die rumänische Zivilgesellschaft sofort an eine Statue von Elisabeta Rizea gedacht.



    Im Jahr 2003 verlie‎ß die 91-jährige Bäuerin Elisabeta Rizea diese Welt und hinterlie‎ß die Erinnerung an ihre Würde. Ein kleines Beispiel dafür, wie ein Mensch gequält, gedemütigt, gepeinigt, aber niemals besiegt werden kann.



    Audiobeitrag hören:



  • Eroine ale rezistenţei anticomuniste: Elisabeta Rizea (reluare din 6 mai)

    Eroine ale rezistenţei anticomuniste: Elisabeta Rizea (reluare din 6 mai)

    În munţii României s-a format, încă din toamna anului 1944, rezistenţa armată anticomunistă şi antisovietică. Harta cu zonele în care au activat grupurile de partizani este marcată, mai ales în Carpaţi, de urmele pe care liderii şi cei care i-au urmat le-au lăsat în istoria României pentru ca generaţiilor viitoare să nu le fie ruşine de trecutul şi de străbunii lor. Paginile rezistenţei armate anticomuniste din România au fost scrise de militari, studenţi, ţărani, muncitori, de bărbaţi şi de femei. Despre participarea femeilor la rezistenţă românii au aflat abia după 1989, când tăcerea care se aşternuse ca un voal peste o ţară ca un mormânt a fost ridicată. Figura iconică a eroinei care şi-a păstrat verticalitatea a fost ţăranca Elisabeta Rizea din comuna Nucşoara, judeţul Argeş (centrul României), figură devenită cunoscută datorită documentarului tv Memorialul Durerii.



    Dacă judecăm la rece, atât cât este omeneşte posibil, putem spune că Elisabeta Rizea nu a făcut nimic din ceea ce am considera noi, cei de azi, că reprezintă eroismul. Nu a luptat pe niciun front, nu a salvat pe nimeni de la moarte, nu s-a sacrificat pe sine pentru ca altul să trăiască. A făcut, în schimb, ceva ce noi am privi azi cu relativism: şi-a păstrat principiile. Elisabeta Rizea nu a minţit, nu şi-a turnat la Securitate vecinul ori cunoştinţa, nu şi-a pierdut credinţa că dreptatea va triumfa în cele din urmă. Elisabeta Rizea a fost de partea celor care luptau pentru dreptate şi adevăr şi a făcut puţin pentru ei: le-a dat mâncare şi i-a ocrotit de duşmani. Dar aceasta a însemnat enorm pentru moralul luptătorilor.



    Elisabeta Rizea a fost simbolul cel mai bun pentru ţăranul decent care şi-a apărat micul său univers, începând de la proprietate, familie, credinţă. Şi a plătit pentru asta cu 12 ani de închisoare. Centrul de Istorie Orală din Radiodifuziunea Română a avut onoarea s-o intervieveze pe Elisabeta Rizea în anul 2000, la 88 de ani şi a întrebat-o despre cum ţinea legătura cu grupul de partizani Arsenescu-Arnăuţoiu.



    ”Nu sunt femeie de politică, sunt femeie dreaptă. Mă, eşti român, de ce să fiu eu cu altă ţară şi să nu ţin cu românul meu? Nu m-am întâlnit cu ei. Aveam o salcie cu o gaură, şi aia era căsuţa poştală. Asta am făcut-o. Dacă vedeam că trece armată, scriam pe bilet: Aveţi grijă că trece armata!”. Când venea securitatea, că venea şi mă urmărea, puneam cana de apă în perete. Şi ce vorbeau ăştia la masă aici eu auzeam în camera ailaltă. Şi plecam repede şi o luam pe cărare. Aveam o scară acolo, mă dam pe scară în jos şi mă duceam la scorbura aia şi băgam biletul. Şi băieţii, domnul căpitan Arnăuţoiu, căutau acolo unde era salcia aia, în gaură, şi citea. Îi spuneam unde-i armata, unde le-am pus mâncare, ce puteam şi eu.”



    După propriile măturisiri, la anchetă era atîrnata cu părul de un cârlig şi bătută până la pierderea cunoşţinţei. În acele momente, îşi amintea că îşi făcea cruce cu limba în cerul gurii şi se ruga la Dumnezeu să nu spună nimic din ce ştia. Era jurământul pe care un om drept nu şi-l calcă. Elisabeta Rizea şi-a amintit şi de vizitele pe care i le făcea Securitatea înainte de arestare. ”Era podişca, nu de ciment, de lemn, şi securistul era încălţat cu cizme. Şi când auzeam cismele mi-era frică, îmi bătea inima, să iasă din mine. Că zic: acum mă ia, mă împuşcă. Aşa am trăit, de ce să mint? Făcea lampa mare şi intra în casă şi mă ridica în sus şi mă întreba de ei. Şi eu ziceam că nu ştiu şi nu ştiu. Şi nu i-am declarat nimic, nu le-a mers cu mine. Am depus jurământ în camera aia, erau pe masă evanghelia şi crucea. Am luat crucea în mână şi am jurat pe Sfânta Biblie. Era şi colonelul Arsenescu acolo, era domnul Tomiţă (Arnăuţoiu), erau nişte doctori. Oameni numai de ăştia, cu carte. Şi am jurat că nu voi trăda niciodată. Şi aşa am făcut.”



    În urmă cu mai bine de 200 de ani, filosoful şi omul de stat irlandez Edmund Burke (1729-1797) sunea: ”pentru ca răul să triumfe, este suficient ca cei buni să nu facă nimic.” În cazul Elisabetei Rizea, tocmai oamenii buni i-au sprijinit pe cei răi. Vecinii o urmăreau şi raportau Securităţii tot ce făcea în propria curte. Închisă, ea a fost eliberată în 1963 şi a reuşit să supravieţuiască regimului politic care i-a marcat existenţa.



    Impactul pe care Elisabeta Rizea l-a avut asupra opiniei publice româneşti a fost foarte mare, mai ales în anii 1990 şi 2000. Aceasta s-a văzut şi din locul pe care l-a ocupat la concursul Mari români din 2006 de la televiziunea publică unde a fost pe poziţia 58. Atunci când a apărut ideea unui monument al rezistenţei naţionale anticomuniste, Elisabeta Rizea a fost prima propunere şi cel mai mult susţinută de organizaţiile civice româneşti.



    În 2003, la 91 de ani, ţăranca Elisabeta Rizea pleca dintre noi şi lăsa o mică amintire de demnitate. Un mic exemplu de cum un om poate fi chinuit, batjocorit, furat, dar niciodată înfrânt.

  • Hörerpostsendung vom 16.06.2013

    Hörerpostsendung vom 16.06.2013

    Die Internet-Benutzer unter unseren Hörern haben es bestimmt schon gesehen: Seit vergangenen Donnerstag ist unsere neue Homepage online. Sie ist unter derselben Adresse im weltweiten Netz zu finden und zwar bei www.rri.ro. Leider ist sie noch nicht ausgereift, bestimmte Funktionen arbeiten noch nicht so, wie sie sollten, andere Abschnitte sind noch im Aufbau. Aber zumindest unsere aktuellen Berichte und die täglichen Features Pro Memoria, Business Club, Sozialreport, Das globale Dorf, Terra 21, Kulturchronik und Radiotour sind da, und, nachdem ich seit ca. Mitte Januar diese Abschnitte parallel zur alten Webseite gefüttert habe, sind die meisten Beiträge seit Jahresanfang auch nachzulesen oder nachzuhören. Und selbstverständlich ist auch die Hörerecke mit dem Funkbriefkasten, der QSL-Serie und dem QSL-Archiv sowie dem Quiz vertreten.



    Was zurzeit noch nicht richtig funktioniert und mich ärgert, ist die Kommentarfunktion und die Online-Formulare, also der elektronische Empfangsbericht und das Feedback-Formular. Wenn man — wie erforderlich — alle Felder ausfüllt und auf Abschicken“ drückt, rührt sich nichts, der Nutzer bekommt keine Meldung, dass die Botschaft verschickt wurde. Komischerweise erhalten wir sie aber in unser Mailbox, da der Nutzer das aber nicht wei‎ß, ist er geneigt, mehrmals auf den Sende-Button zu drücken, so dass wir dieselbe Meldung in entsprechender Anzahl bekommen.



    So nutze bereits Hans Gosdschan (aus Cottbus) den Online-Empfangsbericht. Auch die Kommentar-Funktion unter den einzelnen Artikeln ist fehlerhaft. Zwar wird der Kommentar zur Moderation abgeschickt, aber selbst nach dessen Freischaltung wird er auf der Webseite nicht angezeigt. Und Klaus Karusseit, unser Stammhörer seit über 50 Jahren aus Schweden, nutze bereits diese Funktion und schrieb uns folgendes:



    Hallo Freunde,



    Ich muss wirklich sagen, das neue Bild der Webseite ist strahlend. Alles gut und übersichtlich geordnet. Jetzt macht es schon mehr Spa‎ß, nur die Seite zu studieren. Weiter so! Ich werde auch ein paar Hörerberichte abschicken. Die Mittagssendungen gehen am besten. Ich werde aber auch die Podcastsendungen hören. Ich war ja früher anderer Meinung.



    Viele Grüsse,



    Klaus Karusseit“



    Vielen Dank, liebe Freunde, und es tut uns leid, dass nicht alles einwandfrei funktioniert. Es ist fast so, wie es unser Hörer Lutz Winkler vor wenigen Wochen prophezeit hatte:



    Berufsmä‎ßig bin ich mit Testen von Software — und damit auch von Webseiten beschäftigt. Mich ärgert es immer wieder, wenn Webseiten nicht getestet werden. Die Komplexität wird sehr oft unterschätzt — und meistens reift die Webseite dann beim Benutzer, in dem er Fehler meldet.“



    So ist es leider, lieber Herr Winkler, und in dem Sinne möchte ich um Verständnis bitten, dass es mit dem Aufbau der Abschnitte RRI-Geschichte, Über Rumänien und Nostalgieecke noch dauert. Gleichzeitig möchte ich die Nutzer unserer Internetseite darum bitten, uns eventuelle andere Fehler als die hier vorgestellten mitzuteilen, am besten mit Link und Screen Capture (auf gut deutsch: Bildschirmschnappschuss), wenn Sie sich damit auskennen.



    Eine gute Nachricht ist hingegen, dass die alte RRI-Webseite erhalten geblieben ist, einschlie‎ßlich des Archivs, das nun wieder zugänglich ist, und der Suchfunktion. Ein entsprechender Button im unteren Bereich der neuen Webseite führt zur alten.



    Und jetzt zu weiteren Hörerzuschriften. Michael Lindner (aus Gera, Thüringen) und Peter Vaegler (Stralsund) schickten uns eine Powerpoint-Datei mit erschütternden Bildern der Flutkatastrophe, wie sie in Deutschland und anderen Ländern an Elbe und Donau stattgefunden hat und zum Teil immer noch nicht beendet ist. Michael Lindner schrieb uns dazu:



    Zum Glück ist bei uns alles überstanden, aber die Schäden… Ich wei‎ß unser Glück zu schätzen, dass unser Haus nicht betroffen war. Gott hab Dank!



    Vielen Dank für die Meldung und es freut uns, zu erfahren, dass Sie wohlauf sind.



    Und auch Herbert Jörger (Bühl, Baden-Württemberg) meldete sich per E-Mail:



    Liebes deutschsprachiges Radioteam!



    Die Hochwasserlage hat sich wohl in Ihrem wie unserem Land immer noch nicht entspannt. In der vergangenen Nacht wurde auch Ravensburg teilweise durch den Bach überflutet, so dass Wasser in die Häuser und Keller gelangte. Der Pegel des Bodensees sei um 10 cm gestiegen. Hoffentlich macht die Donau in Rumänien nicht allzu schwere Schäden, deren Hochwasser ja noch von Ihrem Land auf der Donau erwartet wird.



    Auch Ihnen vielen Dank für die Rückmeldung, lieber Herr Jörger. Ihre Anregungen, über verschiedene Sehenswürdigkeiten Rumäniens zu berichten, habe ich mir aufgeschrieben und werde im Rahmen der verfügbaren Zeit in künftigen Sendungen darauf eingehen.



    Besonders beliebt ist unsere Geschichte-Rubrik Pro Memoria“. Nicht wenige Beiträge gefallen gleich mehreren Hörern. So etwa schrieb Lutz Winkler noch im Mai:



    In der Reihe Pro Memoria“, die ich immer wieder gern höre, brachten Sie einen Beitrag über eine Heldin des antikommunistischen Widerstands: Elisabeta Rizea. Ein sehr beeindruckender Beitrag, zeigt er doch die Absurdität der Anschuldigungen der osteuropäischen Geheimdienste und die dazugehörige menschenverachtende Brutalität. Wenn Briefe geöffnet wurden und Telefongespräche abgehört wurden — so ist das ja noch harmlos gegen die Verhöre und Intrigen dieser Behörden. Ich finde solche Berichte immer wieder erschreckend und mich machen solche Berichte betroffen. Besonders, wenn die Opfer über die Brutalität erzählen. Wurde denn das im Beitrag erwähnte Denkmal errichtet und wo steht es?



    Und auch Dieter Feltes (Pyrbaum, Bayern) meinte:



    Ihren Bericht über Elisabeta Rizea habe ich mit Aufmerksamkeit verfolgt. Sie war eine tapfere und auch interessante Frau in schweren Zeiten. Es bleibt nur zu hoffen, dass diese Zeiten nicht mehr kommen. Solche Systeme haben in der heutigen Zeit meiner Meinung nach keine Zukunft.



    Und Helmut Kiederer (Heilbronn) schrieb knapp:



    Der Beitrag über die antikommunistische Heldin Elisabeta Rizea war sehr interessant für mich.



    Vielen Dank für Ihr Feedback zu unserem Programm, liebe Freunde. Ich habe alle Meinungen zu unserer Geschichte-Rubrik ins Rumänische übersetzt und sie dem zuständigen Redakteur Steliu Lambru zugeschickt. Er hat sich natürlich über das überwiegend positive Feedback gefreut.



    Zur Frage von Herrn Winkler: Nein, ein Denkmal für Elisabeta Rizea oder für andere Widerstandskämpfer gibt es immer noch nicht, obwohl seit beinahe 10 Jahren darüber diskutiert wird. Der Journalist Alex Mihăileanu kritisierte das Mitte Janaur in seinem Blog und erwähnte namentlich zwei Redakteure einer bekannten rumänischen Satire-Zeitschrift, die vor acht Jahren eine Unterschriften- und Spendenaktion für die Errichtung eines Denkmals zur Ehrung Elisabeta Rizeas gestartet hatten. Danach sei nichts mehr erfolgt und niemand wisse mehr, was mit dem gesammelten Geld geschehen sei, moniert Mihăileanu in seinem Blog. Daraufhin meldete sich einer der namentlich erwähnten Journalisten in der Kommentarspalte mit einer Richtigstellung: Man habe nur knapp 7.500 Euro sammeln können, die Kosten für ein Denkmal seien aber auf bis zu 500.000 Euro zu veranschlagen, die gro‎ßen Spender seien ausgeblieben, denn die meisten wohlhabenden rumänischen Geschäftsleute hätten eben eine Securitate-Vergangenheit und seien deswegen kaum an einem Denkmal für den antikommunistischen Widerstand interessiert. Und das Geld sei übrigens wohlerhalten auf ein Konto, das seitdem nicht mehr angerührt wurde. Und er wolle seinen damaligen Kollegen erneut darauf ansprechen, um diesmal mit der Unterstützung der Stadt und des Kulturministeriums eine neue Fundraising-Aktion zu starten.



    Ein anderes Thema in Pro Memoria rief bei Ralf Urbanczyk (Eisleben, Sachsen-Anhalt) Erinnerungen wach:



    Sehr interessant war der Bericht über den Bau des Donau-Schwarzmeer-Kanals, den Sie in der Sonntagsstra‎ße noch einmal wiederholten. An die Meldungen vom Bau und der Fertigstellung des Kanals in den 80-er Jahren des letzten Jahrhunderts kann ich mich immer noch erinnern. Der war als gigantisches Projekt des Sozialistischen Rumäniens auch bei uns in der DDR immer wieder in den Medien, genau wie die Darstellung der Leistungen beim Bau in Kunst und Kultur. Die andere, bittere Seite des Baus, die Zwangsarbeit und die geforderten Opfer, kam dann nach der rumänischen Revolution von 1989 ans Licht, genau wie die realistischen wirtschaftlichen Analysen. Erst so konnte man sich überhaupt ein nüchternes Bild vom Umfang dieses Bauwerks erlauben.




    Zeit für die Posteingangsliste. Postbriefe erhielten wir von:



    Hannu Kiiski (Hamina, Finnland), Renate und Günter Kastner (Salzburg, Österreich) — danke auch für die beigelegte Postkarte von der Kajetanerkirche in Salzburg und für das ukrainische Madonna-Bild, wenn ich die Schrift richtig entziffert habe — , Sandro Blatter (Schwerzenbach bei Zürich, Schweiz), Martin Gruber (Altdorf bei Nürnberg) — auch Ihnen danke für die schöne Postkarte, Uwe Dittrich (der auf der friesischen Nordseeinsel Norderney zuhause ist), Christoph Preutenborbeck (Odenthal, NRW), Christoph Paustian (Murg, Baden-Württemberg), Klaus Huber (Karpfham/Bad Griesbach in Niederbayern), Albert Pfeffer (Singen am Hohentwiel, Hegau-Bodensee-Gebiet, Baden Württemberg), Ulrich Wicke (Felsberg, Hessen), Heiner Finkhaus (Gescher im Münsterland, NRW) — u.a. mit einer sehr interessanten Frage zur Pressefreiheit in Rumänien, die ich mir für eine künftige Sendung aufhebe –, Rogero Baronetti (Dreieich, südlich von Frankfurt am Main), Joachim Verhees (Krefeld), Wolf-Lutz Kabisch (Malschwitz, Sachsen), Hermann Staiger (Kippenheim/Schmieheim, Baden-Württemberg).



    Das war ein bisschen mehr als die Hälfte der Briefe, die ich letzte Woche von unserer Poststelle bekommen habe. Die restlichen hebe ich mir für kommenden Sonntag auf.



    Faxe erhielten wir von Heinz Günter Hessenbruch (Remscheid, NRW), Stefan Druschke (Kerpen, NRW) und Günter Spiegelberg (Güstrow, Mecklenburg-Vorpommern).



    E-Mails erhielten wir bis Sonntagmittag von Jonathan Short und Tang XiYao (China), Josef Robl (Österreich), Klaus Karusseit (Schweden) sowie von Lutz Winkler, Anna und Bernd Seiser, Ralf Urbanczyk, Frank-Ronald Gabler, Hans Kaas, Peter Vaegler, Hendrik Leuker, Michael Lindner, Herbert Jörger und Martina Pohl (alle aus Deutschland).



    Unser nicht gerade ordentlich funktionierende Online-Formular nutzten Hans Gosdschan (Cottbus) und Klaus Neupert (Mülheim an der Ruhr). Auf der alten Webseite gingen noch vor vergangenem Donnerstag elektronische Empfangsberichte von Hendrik Leuker und Oliver Dietrich (beide aus Deutschland) ein.



    Audiobeitrag hören: