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  • « Insultés. Bélarus/Biélorussie » – un projet de théâtre engagé

    « Insultés. Bélarus/Biélorussie » – un projet de théâtre engagé

    Une
    quinzaine de théâtres de Roumanie et de République de Moldova se sont
    rassemblés dans une action de solidarité sans précédent, se joignant au
    mouvement international de lectures-spectacles Bélarus Worldwide Reading
    Project. Tout est parti d’une pièce de théâtre écrite l’année dernière par le
    dramaturge biélorusse Andrei Kureicik, lorsqu’il participait aux grands
    rassemblements organisés à travers le pays pour protester contre l’élection
    frauduleuse d’Alexandre Loukachenko. Le 12 septembre 2020, la pièce
    « Insultés. Bélarus/Biélorussie » a été lue sur scène à Kherson, en
    Ukraine. Ça a été le point de départ de ce projet mondial de lectures pensé par
    John Freedman, le traducteur du texte en anglais. En quatre mois, la pièce a
    été traduite en 21 langues et présentée dans plus de 80 théâtres de 28 pays, de
    New York à Hong Kong, de Londres à Stockholm, et d’Amsterdam à Prague, en
    passant par Tachkent ou Tbilissi.

    Et c’est la journaliste et traductrice Raluca
    Rădulescu qui a eu l’initiative du volet roumain du projet Bélarus/Biélorussie : « La pièce de théâtre
    écrite par Andrei Kureicik parle du besoin de liberté des gens et des artistes
    de Bélarus. C’est le metteur en scène Radu Ghilaș du Théâtre national de Iași, dont
    Andrei Kureicik est un ami, qui m’a proposé de traduire le texte. Après, tout
    s’est enchaîné rapidement, ils ont produit une lecture-spectacle et ensuite,
    très vite, deux théâtres de Chișinău, en République de Moldova, ont également
    présenté le texte, car c’était juste avant leurs élections et le sujet était
    d’une grande actualité. En fin de compte, le théâtre a ce rôle social ou
    devrait avoir ce rôle dans la vie de la cité. J’ai continué de mon côté à
    suivre ce qui se passait au Théâtre national de Minsk, qui est pratiquement à
    l’arrêt depuis six mois, malgré sa longue histoire de plus d’un siècle.
    Justement, Andrei Kureicik parlait de ça, en disant que, même quand Hitler
    avait envahi la Biélorussie, le théâtre national n’avait pas cesséson activité,
    comme c’est le cas à présent. En fait, l’institution a un nouveau directeur,
    mais n’a pas encore de nouvelle troupe. Les acteurs d’avant ont tous
    démissionné et maintenant ils pratiquent leur art dans un sous-sol. Leurs
    spectacles et leurs messages sont vues par le public, en plus tout est transmis
    en ligne, mais ça ne se fait plus sous le nom du Théâtre national. »




    Raluca
    Rădulescu a été elle même surprise par la vitesse à laquelle tout s’est
    déroulé, mais aussi par l’ampleur internationaleprise par le projet. Raluca Rădulescu
    : « J’ai été ravie de
    voir l’évolution de ce projet initié par John Freedman. Si, le 26 octobre
    dernier, date de la première lecture-spectacle au Théâtre national de Iași, il
    y avait environ 40 spectacles dans le monde, je crois que bientôt nous serons à
    150. En comptant aussi la quinzaine de spectacles de Roumanie ! J’ai lancé le
    marathon de lectures car il m’a semblé nécessaire de nous joindre d’une manière
    tangible à cette action de solidarité théâtrale, artistique et civique.
    Humaine, au bout du compte ! J’ai pris mon téléphone et j’ai commencé à appeler
    des directeurs de théâtres de Roumanie, surtout de théâtres proches de leur
    communauté, socialementengagés, par leur programmation. »



    Et ses
    appels ont payé ! 15 théâtres roumains se sont joints au projet avec leur
    propre lecture-spectacle du texte d’Andrei Kureicik. Raluca
    Rădulescu a imaginé un vrai marathon de lectures, durant le mois de février, où
    chaque théâtre roumain présente sa version de la pièce « Insultés. Bélarus/Biélorussie
    ». La journaliste et traductrice Raluca Rădulescu revient sur les
    retours qu’elle a eus sur le programme : « Cela a dépassé mes
    attentes, je l’avoue. Au départ, je pensais que seulement cinq ou six théâtres
    seront intéressés de prendre part au projet, je ne m’attendais pas à 15. Et la
    grande surprise c’est que bien d’autres m’ont demandé s’ils pouvaient se
    joindre à notre démarche. Les gens veulent montrer leur solidarité. Et c’est un
    des objectifs premiers de ce projet, apprendre nous aussi, en Roumanie, à être
    solidaires. Les premières lectures programmées en février ont eu le succès
    escompté, mais dont on ne pouvait pas être sûrs. Je voudrais préciser que si
    dans certaines villes les lectures ont lieu avec du public dans la salle, on
    peut de toute façon les regarder toutes en ligne. Nous avons justement créé une
    page Facebook pour réunir ces différentes versions d’Insultés. Bélarus/Biélorussie.
    Vous pourrez les regarder toutes là-bas. »





    Vous trouverez ces 15 lectures-spectacles sur la page Facebook du projet. Et regardez près de chez vous aussi, peut-être un ou plusieurs théâtres de votre pays participent eux aussi à ce
    projet international, pour montrer leur soutien à l’opposition biélorusse. (Trad.
    Elena Diaconu)

  • Europäisches Solidaritätskorps fördert ziviles Engagement der Jugendlichen

    Europäisches Solidaritätskorps fördert ziviles Engagement der Jugendlichen

    Zwischen dem 1. Februar 2019 und dem 31. Januar 2020 führte die NGO Junge Initiative“ ein Programm mit dem Titel Vereint stehen wir für europäische Werte“ durch. Finanziert durch das Europäische Solidaritätskorps, zielte das Projekt darauf ab, kritisches Denken bei jungen Menschen aus benachteiligten Umgebungen in der Region Bukarest – Ilfov zu entwickeln und sie durch nichtformale Lernkontexte in die Lage zu versetzen, sich aktiver am Leben der Gesellschaft zu beteiligen. Eliza Vaş, Vizepräsidentin der NGO Junge Initiative“ erzählte uns mehr über das oben erwähnte Projekt, das von jungen Menschen für junge Menschen erarbeitet wurde:



    Dies ist das erste Projekt dieser Art, das von den Freiwilligen der NGO »Junge Initiative« durchgeführt wird, das wir mit den Mitteln, die wir über das Europäische Solidaritätskorps erhalten haben, realisiert haben. Unser Ziel war es, kritisches Denken bei jungen Menschen aus der Region Bukarest-Ilfov zu entwickeln und ihnen zu helfen, sich stärker in der Gesellschaft zu engagieren. Wir wandten uns vor allem an junge Menschen im Alter zwischen 14 und 25 Jahren, an Gymnasiasten, Studenten oder an diejenigen, die sich für nicht-formale Bildungskontexte interessieren. Mehr als 250 junge Menschen haben sich über ein Jahr lang am Projekt beteiligt; sie nahmen an 15 Veranstaltungen teil, wie z.B. an interaktiven Workshops, Debatten oder Entscheidungssimulationen auf der Ebene der europäischen Gremien. Wir hatten sogar ein Brettspiel zur Einbeziehung der Gemeinschaft, das wir »United« nannten.“




    Alle Teilnehmer des Projekts Vereint stehen wir für europäische Werte“ wurden zusammengebracht und in jedem Moment ihrer Aktivität von Mitgliedern der NGO Junge Initiative“ betreut. Trotz des Workshop-Charakters wurden die Auswirkungen ihrer Aktionen am Ende bewertet, und jeder Teilnehmer konnte verstehen, wie wichtig es für den Einzelnen ist, sich auf Gemeindeebene zu engagieren. Eliza Vaş dazu:



    Meine Rolle während des Projekts bestand darin, ein Coach zu sein, was bedeutet, dass ich auf die eine oder andere Weise das Team der Freiwilligen trainierte. Ich half ihnen, die Aktivitäten, die Teil des Projekts sind, zu entwickeln und in die Praxis umzusetzen. Um eine Veranschaulichung aus dem Fu‎ßball zu verwenden: Ich war wie ein Haupttrainer, der neben dem Spielfeld steht und zuschaut, wie die Spieler die zuvor besprochene Strategie in die Praxis umsetzen. Dann haben wir in der Umkleidekabine darüber gesprochen, was gut ist und ob es Verbesserungsmöglichkeiten gibt. Die Idee ist, dass die nicht-formale Bildung sehr viel Wert auf die Reflexion im Lernprozess legt. Die beteiligten Personen werden sich des Wissens, das sie erhalten, und der Fähigkeiten, die sie entwickeln, bewusster. Am wichtigsten ist jedoch, dass sie sich der Wirkung bewusst werden, die sie durch ihre Tätigkeit erzeugt haben.“




    Das Projekt Vereint stehen wir für europäische Werte“ konzentriert sich in erster Linie auf die Solidarität und den allgemeinen Überblick über die jungen Rumänen als europäische Bürger. Die grö‎ßte Anzahl von Debatten und Workshops wurde rund um die Werte der europäischen Gemeinschaft veranstaltet. Elena Şelaru von der Abteilung Internationale Beziehungen der Vereinigung Junge Initiative“ über die in den Workshops vermittelten Inhalte:



    Praktisch haben wir als Organisationsteam verschiedene Workshops und Debatten zu Themen von europäischem Interesse vorbereitet, um einen Rahmen zu schaffen, in dem wir über unsere Rechte als europäische Bürger, europäische Werte und die Möglichkeiten der europäischen Mobilität sprechen können. Meine Beteiligung an diesem Projekt bestand in der Durchführung eines Workshops über Kreislaufwirtschaft und Klimawandel für Neuntklässler der Technischen Energiefachschule in Bukarest. Ich war an einem simulierten Entscheidungsfindungsprozess wie dem im Europäischen Parlament beteiligt, bei dem ich als Moderatorin fungierte. Ich wollte sicherstellen, dass meine Teilnahme interaktiv war und dass alle Teilnehmer ihre Ideen in einer sicheren Umgebung zum Ausdruck bringen konnten.“




    Für die jungen Menschen in der rumänischen Gesellschaft ist es sehr wichtig, dass sie in ihren Interessengebieten Initiative zeigen. Jede Idee oder kleine Aktion kann gro‎ße Projekte oder Aktivitäten hervorbringen, die darauf abzielen, das Leben der Gemeinschaft, zu der sie gehören, zu verbessern. Deshalb fördert das Team der NGO Junge Initiative“ solche Initiativen, da sie selbst Menschen mit Initiativen sind. Dabei seien selbstständiges Denken und Engagement besonders wichtig, sagt Elena Şelaru:



    Ich glaube, wenn man Initiative hat, bedeutet das, dass man selbst denken kann und vielleicht einige Probleme oder Situationen lösen kann, von denen andere Leute meinen, dass sie nicht angegangen werden müssen. Ich glaube, in unserer Zeit haben viele Menschen Initiativen und engagieren sich in der örtlichen Gemeinschaft. Und es ist dieses Engagement, das den Mehrwert schafft, das den Unterschied macht. Und ich denke hier an meine Kollegen von der »Jungen Initiative«, da viele Projekte aus ihren Initiativen heraus entstanden sind.“




    Für Elena Şelaru hatte die Arbeitserfahrung mit dem Projekt Vereint stehen wir für europäische Werte“ nicht nur auf beruflicher Ebene eine besondere Wirkung. Was haben die jungen Menschen, die sich an solchen Aktivitäten beteiligen, tatsächlich davon? Sie stärken ihr Selbstbewusstsein, sagt Elena Selaru, die selbst zum Team der Betreuer gehörte:



    Nachdem die Mittel bewilligt worden waren, hatte ich eine kurze Schulungszeit, bereitete die nächsten Aktivitäten vor und begann dann mit deren Umsetzung. Die Beteiligung an diesem Projekt war für mich eine persönliche Leistung, da ich eine Reihe von Fähigkeiten im Prozess der Durchführung verschiedener Aktivitäten erlangte und ich lernte, wie es ist, langfristig Verantwortung zu übernehmen.“




    Das Solidaritätsteam von Vereint stehen wir für europäische Werte“ bestand aus acht Personen (Elena Şelaru, Andrei Dobrea, Cristina Cautiş, Maria Balea, Simona Baciu, Andreea Boieriu, Dragoş Dănilă, Marius Ghiţă), sechs Freiwilligen (Ana Maria Andronache, Maria Baciu, Irina Dobreanu, Vlăduţ Ene, Claudiu Brotea) und einer erfahrenen Ausbilderin in europäischen Projekten, Eliza Vaş.

  • Le budget de l’Etat 2020

    Le budget de l’Etat 2020

    Voici près de deux semaines, le cabinet libéral minoritaire dirigé par Ludovic Orban engageait sa responsabilité au parlement pour trois paquets de lois. C’est un instrument à la portée du gouvernement qui permet de déposer des amendements au projet de loi visé par la procédure, mais pas de débats au législatif. Toutes les forces politiques attiraient alors l’attention sur le fait que cela serait de nature à créer un précédent dangereux si le cabinet de Bucarest avait recours, en première pour la démocratie postcommuniste, à une telle procédure aussi dans le cas du budget de l’Etat pour 2020. L’exécutif du Parti national libéral a toutefois ignoré cet avertissement et a engagé, lundi, sa responsabilité sur le projet de loi du budget de l’Etat pour l’année prochaine et sur celui de la sécurité sociale. Le premier ministre Ludovic Orban a invoqué la crise de temps, expliquant qu’il avait choisi cette voie parce qu’autrement, le budget n’aurait pas pu être adopté jusqu’à la fin de l’année. C’est une procédure légiférée par la Constitution et à la différence des ordonnances d’urgence, elle revêt des aspects qui la rendent plus démocratique, a dit M Orban. Il a rappelé aux parlementaires qu’ils ont à leur disposition l’instrument de la motion de censure s’ils souhaitent bloquer la loi. L’opposition de gauche ne déposera pas de motion de censure, mais elle a saisi la Cour constitutionnelle sur l’existence possible d’un conflit juridique entre le gouvernement et le parlement au sujet de l’engagement de responsabilité en matière de budget. Le président par intérim du PSD, Marcel Ciolacu, a déclaré qu’il n’y avait pas de précédent en Europe qu’un gouvernement démocratique présente un budget sans organiser de débats au parlement. « Même si nous n’arrivons pas à stopper ce budget, à coup sûr, si la décision nous est favorable, nous préviendrons que quelqu’un le fasse à l’avenir », a dit Marcel Ciolacu. La Cour constitutionnelle a fixé au 10 janvier le délai-limite pour recueillir les points de vue du gouvernement et du parlement.



    Au fond, il ne s’agit pas de n’importe quel budget, a souligné le chef du gouvernement, selon lequel la Roumanie a besoin de donner un signal ferme pour corriger les déséquilibres économiques qui se sont fait jour jusqu’à maintenant. Le budget est construit sur une croissance économique de 4,1%, sur un taux de l’inflation de 3,1% et sur un taux de change moyen de 4,75 lei pour un euro. « Nous construisons le budget de l’Etat sur des données que nous considérons réelles, proches des estimations de la Commission européenne et du FMI », a précisé Ludovic Orban. Il a rappelé que pour élaborer le budget pour 2020, il a fallu prendre en compte des lois en vigueur, telles que celles des retraites et des salaires, qui imposent des fonds supplémentaires. Dans le même temps, le cabinet s’est proposé de réduire les frais de personnel en faveur des investissements, notamment pour l’infrastructure, sans quoi la Roumanie n’aura pas de croissance économique solide, a opiné Ludovic Orban. C’était d’ailleurs la raison pour laquelle le gouvernement a accepté certains amendements au budget. « La Roumanie doit donner un signal ferme qu’elle lance la lutte contre les déséquilibres économiques et qu’elle réduira le déficit, en trois ans tout au plus, aux paramètres fixés par le Traité de l’UE, de 3% du PIB», a conclu Ludovic Orban.


    (Trad.: Ligia)

  • Gala des zivilen Engagements: Bürgerliche Initiativen von 2017 ausgezeichnet

    Gala des zivilen Engagements: Bürgerliche Initiativen von 2017 ausgezeichnet

    Die zahlreichen Proteste im letzten Jahr und in diesem Jahr, die unter dem Hashtag “#REZIST” stattfanden, sind bereits im In- und Ausland bekannt und Ausdruck des in den letzten Jahren immer stärker werdenden bürgerlichen Engagements. Aber nicht nur diese Art von Bürgergeist, die sich um gro‎ße Korruptionsthemen dreht, wurde kürzlich erwähnt, sondern auch eine andere Art von Aktivismus. Ein Aktivismus, der auf Petitionen beruht, Ausdauer zeigt und versucht, den Dialog mit den Entscheidungsträgern einzuleiten. Einige dieser Aktivisten werden von der NGO Zentrum für Ressourcen für öffentliche Beteiligung“ (CERE) unterstützt, die im Rahmen der Gala der öffentlichen Beteiligung seit neun Jahren die ausdauerndsten und kreativsten unter ihnen belohnt.



    In diesem Jahr wurde mit der Vergabe der Preise für Projekte von 2017 versucht, beide Kategorien von Aktivismus zu feiern: die massiven Stra‎ßenproteste und die kleinen Initiativgruppen, die sich mit sozialen Themen wie Wohnbedingungen in den Stadtvierteln, Bildung und Gerechtigkeit in Schulen und Umweltschutz befassen. Über das Thema der diesjährigen Gala haben wir mit Oana Preda, der Geschäftsführerin von CERE, gesprochen.



    Wir haben die diesjährige Gala um das Konzept der Solidarität herum aufgebaut und gedacht, dass Solidarität für diese beiden Arten von Aktivisten ein Weg wäre, einander zu kennen und zusammen zu kämpfen. Wir haben in den letzten Jahren mehr und mehr Bürger und Bürgergeist, immer mehr Aktivismus, immer mehr kampfbereite Menschen gesehen. Leider hat die Änderung der Einstellung der Menschen auf der Ebene der Behörden noch keine tiefgreifenden Veränderungen bewirkt. Es gibt derzeit einen gewissen Pessimismus in der Luft, aber die Menschen sind entschlossen, Widerstand zu leisten.“



    Unter den Menschen, die sich wehrten und sogar ihre Meinung von den Behörden hören lie‎ßen, sind auch die Mütter des Verbandes SAMAS. Sie haben den Nationalen Rat für audiovisuelle Medien überzeugt, in den Werbepausen des Fernsehens eine Botschaft aufzunehmen, die die Mütter auffordert, das Baby bis zu sechs Monate lang ausschlie‎ßlich zu stillen. Diese Botschaft ist ein äu‎ßerst wichtiger Sieg, da laut UNICEF in Rumänien nur 12% der Säuglinge in der ersten Stunde der Geburt gestillt werden und das Stillen ausschlie‎ßlich an der Brust in den ersten sechs Lebensmonaten bei weniger als 16% der Babys vorkommt. Lassen Sie uns eines der Mitglieder des SAMAS-Vereins, Eli Roman, bei der Gala der öffentlichen Beteiligung hören.



    TV-Sender sind immer noch scheu, solche Botschaften von öffentlichem Interesse auszustrahlen. Wir wollten den Müttern eine ermutigende Botschaft senden. Es ist nicht einfach, zu stillen, aber es ist nicht unmöglich. Wir geben niemandem die Schuld. Wenn eine Mutter sich entscheidet, nicht zu stillen, dann ist es ihre ausschlie‎ßliche Wahl, aber, meine Damen, Mütter und Väter, Sie wissen, dass es ehrwürdig ist, Ihrem Kind ihre beste lebenswichtige Flüssigkeit zu geben.“




    Eine ebenso lebenswichtige Flüssigkeit ist Wasser aus den Bergquellen. Ovidiu Mihuţ, ein leidenschaftlicher Fischer, hat sich mit anderen Fischern für die Kampagne gegen Wüstenbildung im Făgăraş-Gebirge und illegalen Erwerb von staatlichen Grundstücken zusammengeschlossen. Ovidiu Mihuţ hat die Aufmerksamkeit der Öffentlichkeit auf die negativen Umweltauswirkungen von Mikrowasserkraftwerken in geschützten Berggebieten gelenkt. Durch den Rückgriff auf das EU-Recht wurde die Europäische Kommission darüber hinaus auf die Einleitung eines Vertragsverletzungsverfahrens gegen Rumänien aufmerksam gemacht, weil es seinen Verpflichtungen zur Erhaltung natürlicher Lebensräume bei der Genehmigung von Mikrowasserkraftwerken in unserem Land nicht nachgekommen ist. Ovidiu Mihuţ:



    Wir sind keine Organisation, wir sind einfache Bürger, und wir möchten sagen, dass wir zu den Ersten gehören, die die Tatsache enthüllen, dass der Bau dieser Mikrokraftwerke in Naturschutzgebieten nur ein Bereicherungs-Schema privater Personen ist und die einfachen Bürger dafür zahlen. Die wirtschaftliche Effizienz dieser Mikrokraftwerke kann mit der Effizienz einer Uhrenbatterie verglichen werden, die zum Starten einer Lokomotive verwendet wird. Es ist uns gelungen, zu zeigen, dass diese kleinen Wasserkraftwerke eine Menge Korruption verbergen.“




    Wie wichtig Ausdauer ist, um eine Forderungen bekannt zu machen, hat auch Oana Vasiliu, durch die Kampagne Revolution im sozialen Heim Canta“ bewiesen. In den Sozialwohnungen dieses Stadtviertels von Iaşi sind die Lebensbedingungen unmenschlich und Oana Vasiliu hat sie direkt erlebt:



    Ich bin aus dem Heim Canta geflohen. Ich habe dort 7 Jahre lang mit meinen drei Kindern gelebt. Es ist sehr schwer, dort zu leben, es ist hart. Es gibt viele kranke Menschen, Menschen mit Behinderungen, Kinder mit Epilepsie und Autismus, die immer noch dort in 9 Quadratmeter gro‎ßen Zimmern leben. Die lokalen Behörden lehnen jeglichen Haustausch mit Canta ab. Ich habe über 7 Jahre Anfragen gestellt, also bin ich da rausgekommen. Aber diejenigen, die in Canta zurückgelassen wurden, kämpfen mit einer fortwährenden Verweigerung, wahrscheinlich weil sie nicht wissen, wie sie sich verteidigen können. Mit Hilfe von Journalisten habe ich ihnen in dem Sinne geholfen, dass sie ihre Rechte kennen. Es gibt unter ihnen Selbstmörder, und es ist unmenschlich, dass die lokalen Behörden das wissen und nichts dagegen tun.“




    Wenn in Iaşi die Bürgerkampagne die Information nur an die Öffentlichkeit brachte, wurde in Constanţa die öffentliche Verwaltung durch eine Kampagne dazu bewegt, das erste Notfallberatungs- und Aufnahmezentrums für Opfer häuslicher Gewalt zu öffnen. Dies war möglich dank der Vereinigung Ohneworte“, die durch die Kampagne Karawane des Wandels“ die Öffentlichkeit für das Phänomen der häuslichen Gewalt sensibilisiert und darüber informiert hat. Über die Arbeit des Vereins spricht jetzt Simona Voicescu:



    Es wurde ein Heim eröffnet, eine lokale Hotline wurde kostenlos eröffnet, aber alles wurde mit viel Aufwand erledigt. Wir wurden in Constanţa aggressiv empfangen, und nach der Eröffnung, als wir nach Informationen über dieses Zentrum fragten, wurden wir gebeten, eine schriftliche Anfrage zu stellen, auf die wir innerhalb von 30 Tagen eine Antwort erhalten würden.“




    Auf Druck der Bürgerorganisationen, der öffentlichen Meinung und der lokalen Medien wurde die Eröffnung dieses Zentrums jedoch nach nur 25 Tagen beschlossen. Aus diesem Grund hat CERE auch diese Kampagne im Rahmen der Gala der öffentlichen Beteiligung ausgezeichnet.

  • Nachrichten 01.06.2017

    Nachrichten 01.06.2017

    Der rumänische Staatspräsident, Klaus Iohannis, unternimmt ab Sonntag einen Arbeitsbesuch in den Vereinigten Staaten. Am 9. Juni wird Präsident Iohannis mit dem US-Präsidenten, Donald Trump zusammenkommen, meldete die Bukarester Präsidialverwaltung. Der Sprecher des Wei‎ßen Hauses, Sean Spicer, bestätigte offiziell das Treffen und sagte, Präsident Trump warte mit Interesse darauf, über die Vertiefung der Beziehungen zwischen den USA und Rumänien und über die Verstärkung der strategischen Partnerschaft der zwei Staaten zu diskutieren. In einem Facebook-Beitrag präzisierte Präsident Iohannis seinerseits, das Treffen mit Donald Trump werde das feste Engagement Rumäniens als vertrauenswürdiger Partner der Vereinigten Staaten bestätigen. Während seines USA-Besuches wird Präsident Iohannis Ehrengast beim Globalen Forum der bedeutenden Organisation American Jewish Committee; dabei wird Klaus Iohannis die Auszeichnung “Light Unto the Nations” erhalten. Das ist die höchste Auszeichnung des American Jewish Committee, und wird an Staats- und Regierungschefs als Anerkennung für ihren wichtigen internationalen Beitrag bei der Förderung des Friedens, der Sicherheit, der Demokratie und der menschlichen Werte verliehen. Im Rahmen seines USA-Besuches wird Klaus Iohannis auch mit Vertretern der rumänischen Gemeinden in den Vereinigten Staaten zusammentreffen.



    Der rumänische Au‎ßenminister, Teodor Melescanu, hat am Mittwoch das Engagement Rumäniens im Rahmen der Organisation der Vereinten Nationen UNO bekräftigt. Dabei betonte Melescanu den Beitrag Rumäniens bei der Förderung der multilateralen Diplomatie. Teodor Melescanu hält sich bis zum 03. Juni in New York auf, anlä‎ßlich der offizielllen Lancierung der Kampagne zur Förderung der Kandidatur Rumäniens für ein neues Mandat als nichtständiges Mitglied im UN-Sicherheitsrat, in der Zeitspanne 2020-2021. Die Kampagne läuft unter dem Motto Rumänien — ein langfristiges Engagement für Frieden, Justiz und Entwicklung“, hie‎ß es vom Bukarester Au‎ßenministerium. Bei einem Treffen in New York mit dem rumänischen Au‎ßenminister, Teodor Melescanu, sagte der UN-Generalsekretär, Antonio Guterres, Rumänien sei ein Beispiel für gelungene Kooperation mit der UNO. 2006 stellte Rumänien seine Kandidatur für den Platz der Ostgruppe im UN-Sicherheitsrat. Die Wahl findet in Juni 2019 statt. Seit seinem Beitritt zur Organisation der Vereinten Nationen im Jahr 1955 hatte Rumänien vier Mandate als nichtständiges Mitglied des UN-Sicherheitsrates, und zwar 1962, 1976-1977, 1990-1991 und 2004-2005.



    Acht militärische NATO-Konvois, die an der multinationalen militärischen Übung Noble Jump 2017 teilnehmen, sind am Donnerstag in Rumäanien angekommen. Die Konvois bestehen aus etwa 300 Soldaten und mehr als 150 Kampffahrzeugen und Truppentransportern. Am Sonntag werden die Konvois am Schie‎ßplatz Cincu, in der Mitte Rumäniens, ankommen. Die multinationale militärische Übung Noble Jump 2017 hat am 26. Mai begonnen und findet bis zum 16. Juni in Griechenland, Bulgarien und Rumänien statt. An der Übung beteiligen sich insgesamt 4.000 Militärs und 500 technische Mittel aus Rumänien und aus weiteren 11 NATO-Ländern.



    Die Rumänen hatten dieses Jahr zum erstenmal frei am 1. Juni, dem Internationalen Kindertag. Letztes Jahr hatte das Bukarester Parlament den 1. Juni zum gesetzlichen Feiertag erklärt, damit die Eltern den freien Tag mit ihren Kindern verbringen können. In ganz Rumänien fanden Theateraufführungen, Musikkonzerte, Wettbewerbe, Ausstellungen und andere Sonderveranstaltungen für Kinder statt. Der rumänische Ministerpräsident, Sorin Grindeanu, sagte in einer Botschaft zum Internationalen Kindertag, er wünsche sich für die Kinder in Rumänien ein hochwertiges Ausbildungssystem, Ma‎ßnahmen zur Verhinderung des Schulausstiegs und entsprechende Lebensbdingungen, damit die rumänischen Kinder gesund und stolz auf ihr Heimatland aufwachsen. Es gibt kein international einheitliches Datum für den Kindertag, was historisch begründet ist. In über 40 Staaten, wie in China, teilweise in den USA, in vielen mittel- und osteuropäischen Ländern sowie Nachfolgestaaten der Sowjetunion wird am 1. Juni der Internationale Kindertag begangen. In anderen Ländern sind es andere verschiedene Daten. In Deutschland und Österreich wird am 20. September der Weltkindertag ausgerichtet, aber auch der 1. Juni als Internationaler Kindertag gefeiert. Die Vereinten Nationen selbst begehen den Weltkindertag am 20. November als Internationalen Tag der Kinderrechte, dem Jahrestag, an dem die UN-Vollversammlung die Kinderrechtskonvention von 1989 verabschiedete; auch diesem Datum haben sich viele Staaten angeschlossen.

  • Internationaler Donau-Tag ermuntert zu Engagement zum Schutz der Donau

    Internationaler Donau-Tag ermuntert zu Engagement zum Schutz der Donau

    Jedes Jahr am 29. Juni wird auf Vorschlag der Donauländer und unter Schirmherrschaft der Internationalen Donauschutzkommission der Internationale Tag der Donau gefeiert. Um die Bevölkerung auf die Bedeutung der Bewahrung von Lebensräumen und Artenvielfalt im Donauraum bewusst zu machen, sowie sie zum Engagement zum Schutz der Donau zu ermutigen, widmet das Bukarester Umweltministerium dieses Jahr unter dem Namen “Der Monat der Donau dem internationalen Festtag einen ganzen Monat vollgepackt mit Events.



    Veranstaltungen anlässlich des Tages der Donau finden im ganzen Donauraum aus dem Wunsch jeweiliger Staaten statt, ihre Kräfte zu vereinen, um die Donau zu schützen. Die Staatssekräterin im Umweltministerium Olimpia Negru kommt zu Wort mit Einzelheiten: Alle Anrainerstaaten stoßen ab dem 10. Juni Projekte an, die diesem Feiertag gewidmet werden. In jedem Land kommt die jeweilige Kommission zum Schutz der Donau aus diesem Anlass zu einer Sondersitzung zusammen. Zahlreiche Veranstaltungen, woran sich Schul-und Kindergartenkindern beteligen stehen ebenfalls auf dem Programm. Ich möchte zudem erwähnen, dass dieses Jahr das internationale Donaufest unter dem Motto “Engagiere dich für die Donau“ stattfindet.



    Das heißt, dass alle Veranstaltungem die aus diesem Anlass stattfindet, darauf abzielen, die Bevölkerung in den Anrainerstaaten zur Solidarität und mehr Engagement in diesem Projekt zu ermuntern. Dieses Jahr wird der Tag der Donau in Rumänien eine Woche früher beginnen. Die größte Veranstaltung findet am 23. Juni in Giurgiu, eine Stadt die am Unterlauf der Donau liegt, im Beisein des Umweltministers statt. Der “Internationale Donau-Tag“ wird seit 12 Jahren gefeiert. Am 29. Juni 2004 wurde erstmals das Fest anlässlich des 10. Jahrestages der Unterzeichnung des Donauschutzübereinkommens am 29. Juni 1994 in der bulgarischen Hauptstadt Sofia veranstaltet. Die Donau ist der wichtigste Fluss Europas. Er verbindet als Wasserweg heterogene Kultur- und Wirtschaftsräume und durchfließt dabei zehn Länder, darunter auch Rumänien. Der zweitgrößte und zweitlängste Fluss Europas verschafft den Anrainerstaaten zahlreiche wirtschaftliche Vorteile. Die Donau stellt für 80 Millionen Menschen eine wichtige Quelle für Trinkwassergewinnung sowie für Bewässerungssysteme dar.



    Die Europäische Kommission hatte bereits im Jahr 2010 eine globale Strategie für den Donauraum vorgeschlagen, die sich an acht EU-Staaten und weitere sechs europäische Länder richtet. Somit versucht die Europäische Kommission, die Herausforderungen der Region in Angriff zu nehmen und ihr Potenzial zu nutzen. Im Mittelpunkt der Strategie stehen die Modernisierung der Verkehrskorridore, die Verbesserung der Wasserqualität, die Zusammenarbeit im Bereich der Sicherheit des Donauraumes.




  • Soziologenbericht: Zivilgeist und Bürgerinitiativen auf dem Prüfstand

    Soziologenbericht: Zivilgeist und Bürgerinitiativen auf dem Prüfstand

    Die Erinnerung an die kommunistische Zeit, als Bürgereinsätze von oben verordnet wurden, hat das bürgerliche Engagement in Rumänien nach der Wende jahrelang gehemmt. In den letzten Jahren kam es dennoch immer mehr zur Entstehung von diversen Initiativegruppen. Kleine informelle Grünfeld-Organisationen schlie‎ßen sich zusammen, um punktuelle Probleme zu lösen. Die Gruppe Iași liebt die Linden“ entstand als Protest gegen den Beschluss des Bürgermeisteramtes, die berühmten Linden in der moldauischen Metropole abzuholzen. Der besagten Gruppe ist es sogar gelungen, einen Entwurf zur Wiederbepflanzung dieser Bäume zu erarbeiten. In Bukarest sind mehrere Stadtteile durch einen oder sogar mehrere informale Initiativegruppen vertreten: Die Initiative Favorit“ zur Wiedereröffnung des gleichnamigen Kinos, Rettet den Drumul-Taberei-Park“, Rettet den IOR-Park“. Insgesamt agieren in Rumänien 513 informelle Gruppen. 48 davon entstanden spontan auf Initiative ihrer Mitglieder. 465 wurden durch Förderprogramme des Staates oder durch Privatfonds einiger Schirmorganisationen gegründet. Diese Daten sind in einem Bericht im Rahmen des Projekts Die Entwicklung der Einsatzfähigkeit der NGOs und der informellen Gruppen“ enthalten, das von der Stiftung für eine Offene Gesellschaft (Open Society Foundation Romania) ins Leben gerufen wurde. Der wiederauflebende Zivilgeist benötige weiterhin Förderung, meint die Koordinatorin des Projekts, Marinela Andrei.



    Das Verhältnis zwischen den geförderten und den spontanen informellen Gruppen ist von 10 zu 1. Unsere Hauptschlussfolgerung ist, dass die spontane Aktivierung der Bürger oder des Zivilgeistes recht begrenzt ist, auch wenn dieser in der Öffentlichkeit immer mehr sichtbar wird. Die meisten der geförderten Gruppen setzen sich für Aktivitäten ein, die in der Regel mit der Problemlösung kleiner Gemeinden zu tun haben, die mit der Infrastruktur zusammenhängen, egal ob man von Stra‎ßen, Brücken oder Gebäude (Kindergärten, Schulen) spricht.“




    Indem sie sich organisieren, indem sie Ersuchen unterschreiben und in Sprechstunden bei Behörden vorsprechen, werden einige dieser Gruppen sichtbar und ihnen gelingt es sogar, mit den Lokalbehörden in Kontakt zu treten. Der Status eines Gesprächspartners der Verwaltung erlangt man nur schwer, teilweise auch weil diese informellen Gruppen keine Rechtspersönlichkeit haben. Dennoch betrachten deren Mitglieder die Behebung dieser Situation nicht als Priorität. Der Soziologe Valentin Burada, einer der Urheber des Berichts über die Tätigkeit der informellen Bürgergruppen in Rumänien, meint dazu:



    Das Hauptproblem ist nicht die formelle oder rechtliche Anmeldung dieser Gruppen, sondern deren Bedarf an Anerkennung, einschlie‎ßlich durch die öffentlichen Anstalten. Die Meinungen dieser informellen Gruppen betonen, dass man den Fokus auf die Zusammenarbeit mit den öffentlichen Anstalten setzen muss. Ihre Satzung dann amtlich zu machen kann schwierig sein und könnte eher zu Problemen führen als zu Lösungen. Au‎ßerdem erfolgt die Anerkennung durch die Behörden zu diesem Zeitpunkt grö‎ßtenteils aufgrund einer langanhaltenden gemeinsamen Handlungsgeschichte der Mitglieder, aufgrund der Beteiligung an den Tagungen der Lokalräte, aufgrund der Initiierung von öffentlichen Aktionen, Stra‎ßenaktionen sogar, wodurch die Gruppen ihre Anerkennung tatsächlich erlangen.“




    Im Ressourcenzentrum für Öffentliche Beteiligung (CERE), einer der Verbände, die die Gründung mehrerer Gruppen für Bürgerinitiative unterstützt haben, glaubt man nicht, dass es zusätzlicher Regelungen bedarf wie z.B. der Eintragung in eine Liste, die bei den Bürgermeisterämtern oder Lokalräten eröffnet wurde. Warum? Die Antwort liefert Sânziana Dobre, Programmkoordinatorin bei CERE.



    Eine der Schlussfolgerungen der Studie, mit der wir nicht einverstanden sind, ist die Einführung eines Anmeldeverfahrens bei der öffentlichen Anstalt, die von den informalen Gruppen anvisiert wird. Dieses Verfahren würde ähnlich mit einer Akkreditierung bei der betreffenden Behörde sein. Bevor man ein Vorsprechen bei der Behörde in die Wege leitet oder verschiedene Treffen beantragt, müsste man sich anmelden. Wir befinden das für nicht nötig. Wir glauben, dass die Aktionen der Bürgergruppen dadurch gehemmt werden würden, denn deren Erfahrung startet ja erst mit diesen mühsam errungenen Sprechstunden bei Behörden. Ihnen nun vorzuschreiben, zuvor noch einen bürokratischen Schritt zu machen, ist wohl kaum hilfreich. Au‎ßerdem würde das die Bürokratie im Verhandlungsverfahren mit den Behörden verstärken. Das besagte Verfahren befindet sich erst am Anfang und müsste ihm die Möglichkeit geben, organisch und einfach zu wachsen.“




    Im Gegenzug sind andere Vorschläge zur Effizienzsteigerung der informellen Gruppen willkommen. Sânziana Dobre:



    Die anderen Schlüsse, die nahelegen, dass die Gruppen öffentliche Debatten im Rahmen des Gesetzes zur Beschlusstransparenz einleiten können, sind sehr willkommen. Dieses Gesetz besagt, dass die Lokalbehörden sich mit den NGOs beraten müssten, bevor sie einen Beschluss treffen. An diesen Beratungen müssten auch die informellen Gruppen teilnehmen. Was man machen kann, ist, diese Treffpunkte zu schaffen. Eine gro‎ße Herausforderung für alle Mitglieder einer solchen Gruppe ist die Frage: ‚Wo treffen wir uns?‘. Sie können sich nicht immer in Cafés treffen. Für manche kann das teuer sein. Au‎ßerdem ist es dort recht laut und es ist kein angemessener Ort für Planung oder Diskussionen. Somit wäre die Schaffung solcher öffentlicher Treffpunkte willkommen.“




    Die einvernehmlich akzeptierte Schlussfolgerung ist allerdings, dass die Förderung der Bürgerinitiativen besonders mit der Steigerung des politischen Bildungsstandes der Bürger zusammenhängt: Menschen werden mehr Mut haben, mit den Behörden zu kommunizieren, wenn sie erfahren, welche Rechte sie haben. Der Soziologe Valentin Burada:



    Probleme entstehen eher vor dem Hintergrund des niedrigen politischen Bildungsstandes der Bürger und der bescheidenen Mitbestimmungstradition in Rumänien und weniger wegen der fehlenden Gesetze oder Rechtsmittel, die diesen Bürgereinsatz stützen könnten. Es gibt Mängel in der Umsetzung der Gesetzgebung für den Zugang der Öffentlichkeit zu öffentlichen Informationen und für die Teilnahme der Bürger am öffentlich wirksamen Entscheidungsprozess. Die informellen Gruppen spielen eine Rolle in dieser Hinsicht. Es wurden als Mechanismen zur Förderung des Bürgereinsatzes sowohl die Steigerung des politischen Bildungsstandes der Bürger als auch der Druck auf die Behörden vorgeschlagen, damit diese die gegebene Gesetzgebung einhalten und Mechanismen zur realen Einbindung der Bürger in den Entscheidungsprozess schaffen.“




    Trotz all dieser Engpässe entstehen immer mehr Bürgerinitiativen, die auch eine wachsende Wirksamkeit zeigen. Der Trend geht nach oben.

  • NATO-Generalsekretär Jens Stoltenberg weiht Kommandostelle in  Bukarest ein

    NATO-Generalsekretär Jens Stoltenberg weiht Kommandostelle in Bukarest ein

    Rumänien ist im Jahr 2004 der NATO beigetreten und gilt seitdem als ein militärisch perfekt integriertes Land. Bukarest synchronisiert seine Verteidigungspolitik mit der Sicherheitspolitik der Allianz. In diesem Zusammenhang ist auch der Beschluss der Bukarester Behörden zu verstehen, zwei NATO-Kommandostellen auf rumänischem Territorium zu beherbergen. Eine davon wurde am Donnerstag eingeweiht und soll zur Koordnierung der Militärübungen der Allianz dienen.



    Die Kommandostelle in Bukarest soll im Herbst operationalisiert werden, gaben Jens Stoltenberg und Präsident Iohannis bekannt. 42 NATO-Militärs werden hier arbeiten und für die Planung und Koordinierung der Militärübungen sowie für den Einsatz der Eingreiftruppen in Notsituationen zuständig sein. 27 Posten davon sollen Rumänien als Gastland zugeteilt werden. Rumänien soll auch die multinationale Kommandostelle der Division Süd-Osten beherbergen. Die letztere soll im Frühjar 2016 operationalisiert werden. Rumänien möchte in der aktuellen geopolitischen Krise ein Lieferant für Sicherheit“ sein, bekräftige Präsident Klaus Iohannis.



    Bei den Bukarester Beratungen mit Nato-Generalsekretär Jens Stoltenberg bildete auch der bevorstehende NATO-Gipfel in Warschau ein Themenschwerpunkt, sagte Iohannis. Die Allianz müsse sich den neuesten Bedrohungen aus dem Süden und Osten mit einem strategischen Konzept entgegenstellen, bekräftigte Klaus Iohannis: Die Politik der NATO zielt auf die Verstärkung der Sicherheit ab. Die Allianz wünscht sich keine Konfrontation, keinen Rüstungswettlauf. Wir gehen anschlie‎ßend davon aus, dass die verantwortlichen Politiker der Welt verstehen, dass niemand ein Interesse an der Eskalation eines Konfliktes haben kann, den sie weder aus wirtschaftlicher noch aus militärischer Sicht gewinnen können.”



    Der NATO-Generalsekretär Jens Stoltenberg sagte über die Beteiligung Rumäniens an den Missionen der Allianz: Rumänien ist ein entschlossener Partner der NATO. NATO kann zu jeder Zeit mit Rumänien rechnen und Rumänien mit der NATO. Wir wissen das andauernde Engagement Rumäniens sehr zu schätzen. Rumänien beteligte sich an zahlreichen NATO-Operationen, von Afghanistan bis Kosovo. Sie leisten zudem einen deutlichen Beitrag zu unseren Bemühungen, die NATO-Partner Moldaurepublik, die Ukraine und Georgien zu unterstützen, Sie bringen einen erheblichen Beitrag zur Stabilität im Schwarzmeerraum, die in der euro-atlantischen Sicherheit eine ausschlaggebende Rolle spielt, und nicht zuletzt beherbergen Sie einen wichtigen Teil unseres Raketenabwehrschildes.”



    Die neue NATO-Struktur in Rumänien versteht sich als notwendiger Schritt, den die Nordatlantische Allianz unternehmen muss, um sich den neuen Umständen mit Bezug auf Sicherheit anzupassen. In der Ukrainekrise hatte die Nordatlantische Allianz beschlossen, ihre Ostflanke zu verstärken.

  • Internationale Kunstmesse Art Safari in Bukarest am Start

    Internationale Kunstmesse Art Safari in Bukarest am Start

    Über 3. 000 Gemälde, Skulpturen und weitere Kunstwerke aus dem nationalen Kulturgut werden diese Woche in Bukarest bei der Internationalen Messe Art Safari ausgestellt. Mehr als 50 Museen und Kunstgalerien aus Rumänien und dem Ausland beteiligen sich an der 2. Art Safari Messe. Wir haben Galerien aus Dänemark, Österreich, Ungarn und Deutschland zu Gast, die ihre Kunstwerke in insgesamt 60 Ausstellungsräumen präsentieren.



    Die ausgestellten Werke moderner und zeitgenössischer Kunst können auch gekauft werden, sagt die Direktorin der Messe Silvia Rogozea. Zu den rumänischen Museen, die sich daran beteiligen, zählen die Kunstmuseen in Galaţi, Arad, Constanţa, Piteşti, Râmnicu Sărat und Târgu Mureş. Die rumänischen Künstler, deren Werke ausgestellt werden, sind Octav Băncilă, Camil Ressu, Nicolae Tonitza, Iosif Iser und Ana Ştefania Andronic.



    Auf dem Programm der Messe stehen zudem Workshops, Gespräche, die das Thema internationaler Kunstmarkt behandeln sowie Debatten zum Schwerpunkt: die bildende Kunst vor der Wende und die heutige Situation lokaler und nationaler Museen. Die diesjährige Veranstaltung bleibt bis Sonntag offen und bringt eine Neuigkeit mit: einen Stand der ausschließlich Künstlern unter 25 Jahren gewidmet wird.



    Warum eine Messe der zeitgenössischen Kunst in Rumänien? Dadurch wollen die Organisatoren das aktive Engagement im Bereich der zeitgenössischen bildenden Kunst fördern. Die Messe sei einer der notwendigen Schritte in diese Richtung, da die Kunst durch Gallerien, Museen und Vernissagen das Publikum erreichen könne. Eine derartige Messe biete dem Publikum die beste Gelegenheit, Kuratoren, Kunstsammler, Kunstbegeisterte und nicht zuletzt Künstler kennenzulernen.



    Die Messe findet nicht zufällig im Ciclop-Gebäude auf der zentralgelegenen Magheru-Straße statt. Das Gebäude beherbergt das erste mehrstöckige Parkhaus Bukarests, das in der ersten Hälfte der dreißiger Jahre errichtet wurde. Das berühmte Ciclop-Gebäude beeindruckt heute durch eine besondere Architektur, ihre Geschichte und ihre Art, den Zeichen der Zeit standzuhalten. Die Initiative der Organisatoren, die Kunstwerke in diesem Raum auszustellen sei als “kreativer Eingriff in einem unkonventionellen Raum zu verstehen.



    Art Safari 2015 unterstützt junge Künstler und fördert gleichzeitig Kunstwerke aus dem Kulturerbe Rumäniens. “Wir freuen uns riesig darauf, dass sich so viele Künstler bei der Ausstellung gemeldet haben. Deshalb ist hier ein echter Treffpunkt der Kunstwelt zu spüren. Die kommerziellen Galerien zeitgenössischer Kunst brauchen anhaltende Bemühungen, durch Projekte entschlossen unterstützt zu werden.



    So könnten wir uns an der natürlichen Entwicklung des Kunstmarktes aktiv beteiligen, sagt die Organisatorin Ioana Ciocan. Die Kunstmesse nimmt sich vor, der rumänische Hauptstadt in der Landschaft der großen europäischen Messen für zeitgenössische Kunst Gewicht zu verleihen, indem sie sich für die Förderung der zeitgenössischen Kunst und der urbanen Kultur Bukarests engagiert.

  • Nachrichten 12.02.2015

    Nachrichten 12.02.2015

    Chişinău: Das negative Ergebnis der Parlamentsabstimmung am Donnerstag habe gezeigt, dass eine Minderheitsregierung nicht die beste Lösung für Republik Moldau sei — hat der designierte liberaldemokratische Ministerpräsident Iurie Leancă, amtierender Kabinettschef, erklärt. Spätestens in drei Tagen sollten die Beratungen zur Bildung einer Parlamentsmehrheit mit Beteiligung der Liberalen aufgenommen werden, fügte der moldauische Premierminister hinzu. Die von Leancă vorgeschlagene Regierungskoalition hat am Donnerstag die Vertrauensfrage im Parlament nicht überstanden. Nur 42 Abgeordneten haben für die Koalitionsregierung von Iurie Leancă gestimmt, 51 Stimmen wären zur Bildung einer Koalition nötig gewesen.



    Die 42 Stimmen kamen von der Minderheitskoalition gebildet aus der liberaldemokratischen und der demokratischen Partei. Die Liberalen und die Kommunisten haben sich geweigert, die neue Regierung zu unterstützen. Verfassungsgemä‎ß sollte der moldauische Staatschef unter solchen Umständen einen anderen Kandidaten für das Premierministeramt ernennen. Sollte dieser ebenfalls die Vertrauensfrage im Parlament nicht überstehen, müsse dann der Staatschef das Parlament auflösen und vorgezogene Wahlen ankündigen.



    Brüssel: Rumäniens Staatschef Klaus Iohannis beteiligt sich in Brüssel am informellen Gipfel der Staats-und Regierungschefs der Europäischen Union. Oben auf der Tagesordnung stehen die Themen: der Schuldenstreit der EU mit Griechenland und der Kampf gegen den internationalen Terrorismus. Der griechische Premierminister Alexis Tsipras von der linken Syriza-Partei hatte am Sonntag im Parlament seine Abkehr vom Sparkurs bekräftigt. Athen will das Hilfsprogramm der europäischen Kreditgeber Griechenlands, das Ende Februar ausläuft, nicht verlängern. Am Donnerstag kam der rumänische Staatschef Klaus Iohannis mit dem Vorsitzenden der Europäischen Volkspartei, Joseph Daul zu Gesprächen zusammen. Dabei kamen die aktuelle geopolitische Situation vor dem Hintergrung der Friedensverhandlungen in Minsk zur Sprache. Angesprochen wurde zudem das Thema rumänische Innenpolitik in den ersten Monaten seit Amtseinführung des Präsidenten Klaus Iohannis.



    Washington: Der rumänische Ministerpräsident Victor Ponta ist am Mittwoch in Washington mit dem US-Verteidigungsminister Chuck Hagel zu Gesprächen zusammengekommen, hei‎ßt es in einer offiziellen Mitteilung der Bukarester Regierung. Dabei dankte Hagel dem rumänischen Ministerpräsidenten für das Engagement Rumäniens in Afghanistan und die Teilnahme Rumäniens an NATO-Missionen. Ebenfalls am Mittwoch einigten sich der rumänische Premierminister und die US-Handelsministerin Penny Pritzker darauf, dass eine Delegation des US-Handelsministeriums Monat Mai einen Rumänienbesuch unternehmen soll. Vor seiner Abreise erklärte Victor Ponta, er wolle beim US-Besuch um Investitionen in Rumänien in möglichst vielen Bereichen werben. Den jüngsten Angaben der rumänischen Nationalbank zufolge, seien im Jahr 2013 die amerikanischen Investitionen in Rumänien um 800 Millionen Euro gesunken. Die USA belegen den 13. Platz in einer Rangliste ausländischer Investoren in Rumänien.


  • Nachrichten 10.02.2014

    Nachrichten 10.02.2014

    Bukarest: Rumäniens Ministerpräsident Victor Ponta hat am Montag angekündigt, die regierende sozialliberale Union soll am Dienstag die Amtsbefugnisse von Vize-Ministerpräsidenten neu festlegen. Die Erklärung erfolgt nachdem die Liberalen den Bürgermeister von Hermannstadt, Klaus Johannis für den Posten des Innenministers und Vize-Ministerpräsidenten empfohlen haben. Victor Ponta und Crin Antonescu, Vorsitzende der wichtigsten zwei Koalitionsparteien, unterhielten sich am Montag auch über die Vorschläge der Liberalen für die Besetzung der Geschäftsbereiche Wirtschaft, Finanzen und Gesundheit. Nach dem überzeugenden Gewinn der Parlamentswahlen im Dezember 2012 durch die Mitte-Links-Koalition aus Sozialdemokraten und Liberalen, wurden mehrere liberale Minister aus unterschiedlichen Gründen aus ihren Ämtern entlassen.





    Bukarest: Im Plenum des Bukarester Senats wurde am Montag eine Erklärung verabschiedet, laut der Rumänien Georgiens Bemühungen um Integration in die europäischen und euro-atlantischen Strukturen unterstützt. Die Erklärung wurde nach dem Treffen zwischen Senatsvorsitzenden Crin Antonescu und dem Vorsitzenden des georgischen Parlaments David Usupashvili unterschrieben. Usupashvili bezeichnete Rumänien als ein Freund seines Volkes.





    Bukarest: Rumänien hat im vergangenen Jahr einen historischen Export-Wert von knapp 50 Milliarden Euro erreicht. Die Summe ist um etwa fünf Mal so hoch wie der im Kommunismus erreichte Höchstwert. Laut vorläufigen Schätzungen des Nationalen Institutes für Statistik habe sich das Handelsbilanzdefizit auf 5,7 Milliarden Euro verkürzt, was einem erheblichen Fortschritt gegenüber 2012 entspricht. Den grö‎ßten Anteil am rumänischen Au‎ßenhandel haben die Maschinen und Kraftwagen, sowie die Industriegüter. Die Europäische Union war Rumäniens wichtigster Handelspartner, mit etwa 70% des Handelsaustausches.





    Brüssel: Die EU-Visa-Liberalisierung für die moldauischen Staatsangehörigen, die in den kommenden Wochen erfolgen soll, sei ein konkreter Beweis der direkten Vorteile für die Gesellschaft, die das Engagement der Republik Moldau im europäischen Projekt erzielt, hat am Montag der rumänische Aussenminister Titus Corlăţean erklärt. Am Montag leitete Corlăţean in Brüssel das Treffen der europäischen Aktionsgruppe für Republik Moldau. Daran beteiligten sich Aussenminister und Minister für europäische Angelegenheiten aus 20 EU-Staaten. Hauptgast war die moldauische Aussenministerin Natalia Gherman. Im Mittelpunkt der Beratungen standen die Ziele, die Moldaurepublik im laufenden Jahr zum Zweck der EU-Integration, der Fortsetzung interner Reformen und der institutionellen Konsolidierung verfolgen soll. Die Gruppe ist ein informeller Ministerien-Mechanismus, der 2010 aus Initiative Rumäniens gegründet wurde. Die von Frankreich finanziell unterstützte Gruppe spielt die Rolle einer Dialogplattform zwischen EU und Chişinău.





    Bukarest: Nach den einwöchigen Winterferien sind die Schulen und Kindergärten ab Montag wieder geöffnet. Das Sommersemester, das am 20. Juni zu Ende gehen wird, bringt mehrere Neuigkeiten mit sich. Darunter die nationalen Schulleistungsuntersuchungen der 2., 4. und 6. Klassen, die im Mai stattfinden werden. Im Sommersemester sind auch die nationale Schulleistungsuntersuchung Ende der 8. Klasse und die Abiturprüfung, sowie deren Simulationen angesetzt. Zum ersten Mal sollen auch Schüler der 11. Klasse die Abiturprüfung simulieren. In diesem Jahr wird au‎ßerdem bei der Zulassung zum Lyzeum zum ersten Mal die Gewichtung der Durchschnittsnote bei der Schulleistungsuntersuchung von 50 auf 75% erhöht. Die Durchschnittsnoten der Klassen fünf bis acht zählen nur noch zu 25%, anstatt wie bisher, zu 50%.




    Sport: Olympische Spiele: Fünf rumänische Sportler treten am Dienstag bei den Winterspielen im russischen Schwarzmeer-Ort Sotschi an: Langlaufski-Fahrer Florin Daniel Pripici, Paul Pepene und Timea Sara in der Sprint-Probe, die Biathletin Eva Tofalvi im Verfolgungsrennen auf der 10 km — Distanz und Raluca Nicoleta Strămăturaru in den letzten zwei Läufen des Rodel-Wettbewerbs. Dem rumänischen Kader gehören 24 Sportler an. Rumänien war mit Ausnahme der Jahre 1924 und 1960 bei allen bisherigen Winterspielen vertreten. Bei der Winterolympiade im französischen Grenoble in Frankreich 1968, gewann Rumänien die bisher einzige Medaille bei den Winterspielen: der Zweier-Bob mit Ion Panturu und Nicolae Neagoe in der Besetzung gewann Bronze.





    Tennis: Rumäniens Fedcup-Team hat sich für das Playoff um den Einzug in die 2. Weltgruppe des Wettbewerbs qualifiziert. Am Sonntag in Budapest setzen sich die rumänischen Spielerinnen gegen die Ukraine durch: für Rumänien punkteten die Weltranglistenzehnte Simona Halep, die gegen Elina Switolina gewann, und Sorana Cîrstea, die Olga Sawtschuk bezwingen konnte. Davor hatte Rumänien die Gastgeber, Gro‎ßbritannien und Lettland geschlagen. Obwohl Rumänien seit 1973 am Fedcup, dem Davis-Cup der Frauen, teilnimmt, schaffte es niemals jenseits des Viertelfinals.