Tag: essence

  • Les carburants toujours compensés en Roumanie

    Les carburants toujours compensés en Roumanie

    Dans le cadre des mesures de soutien à la population, l’exécutif de Bucarest a décidé jeudi de prolonger les mesures de compensation des prix des carburants. Les partenaires de la coalition au gouvernement se sont mis d’accord pour maintenir cette compensation encore trois mois, c’est-à-dire jusqu’à la fin de l’année. La subvention s’élèvera à 50 centimes de lei par litre pour l’essence et le diesel. Cette mesure était en vigueur depuis le 1er juillet dernier et devait courir jusqu’à la fin septembre. Nicolae Ciucă, le premier ministre a déclaré qu’il était nécessaire de la prolonger afin de contrecarrer les effets négatifs de la montée des prix des carburants sur le niveau de vie de la population et sur les acteurs économiques. Il a ajouté que cette mesure avait déjà produit des effets visibles dans les trois derniers mois en réussissant à maintenir voire même à diminuer les prix des carburants.

    De plus, cette décision a produit des effets sur toute la chaîne, des fournisseurs aux consommateurs. Le secrétaire d’Etat aux énergies, Dan Drăgan, a déclaré que les compagnies qui vendent de l’essence et du diesel aux clients en bout de chaîne, personnes physiques ou juridiques mais aussi aux acteurs économiques autorisés qui achètent du carburant dans les dépôts ou les stations-service, et qui appliquent une réduction sur le prix de vente de 50 centimes au litre, TVA comprise, bénéficieront d’une compensation financée par l’Etat à hauteur de 25 centimes de lei par litre, TVA comprise. Pendant la période d’application de cette mesure, les sociétés qui vendent de l’essence ou du diesel afficheront le prix incluant cette réduction mais dans le système de gestion et à la pompe le prix affiché sera le prix de vente hors réduction, a précisé Dan Drăgan.

    Toujours selon le secrétaire d’Etat, l’impact budgétaire de ces mesures a été estimé pour les trois premiers mois d’application à environ 600 millions de lei soit environ 120 millions d’euros. Pour les trois prochains mois, octobre, novembre et décembre, les autorités estiment que l’impact budgétaire devrait être du même ordre. A noter que mercredi le prix du diesel est tombé en dessous de 8 lei le litre pour la première fois depuis six mois, faisant de la Roumanie le sixième pays de l’union européenne où le diesel est le moins cher. Cette tendance à la baisse suit le cours du prix de l’essence qui est descendu à 7,15 lei le litre soit 12% de moins que lors du pic de juillet dernier. Dans le classement des pays de l’UE où l’essence est la moins chère, la Roumanie se situe maintenant à la huitième position. Au moment où le gouvernement a pris les mesures de compensation des prix des carburants à la fin du mois de juin, l’essence coûtait 8,65 lei le litre et le diesel plus de 9 lei.

  • Quelle marge de manœuvre face à la flambée du prix des carburants ?

    Quelle marge de manœuvre face à la flambée du prix des carburants ?

    La Roumanie est toujours à la recherche d’alternatives au pétrole russe, après le compromis décidé par l’Union européenne de renoncer à acheter du pétrole acheminé par voie maritime depuis la Russie. Entre temps, le prix des carburants ne cesse d’augmenter en Roumanie, vu que le pays importe jusqu’à 70 % de sa consommation. 40 % du pétrole consommé est originaire du Kazakhstan et 30 % était russe. Même si sur le plan européen, la Roumanie comptait parmi les Etats ayant les prix les plus bas, l’industrie demande au gouvernement d’intervenir afin d’arrêter l’effet de la flambée des prix à travers l’économie. Selon les statistiques européennes les plus récentes qui incluent aussi les Etats non-communautaires, l’essence et le gasoil ont dépassé le seuil de 2 euros dans neuf pays. Le prix le plus élevé est à retrouver en Norvège : 2,6 euros le litre d’essence et 2,3 euros le litre de gasoil. Parmi les 40 Etats analysés, les tarifs les plus bas étaient à retrouver en Hongrie, où les prix des carburants ont été plafonnés à 1,22 euros.

    En Roumanie, le litre d’essence est arrivé à 1,68 euros et celui du diesel à 1,8 euros et les prix ne font que croître. Le mois dernier, le gouvernement de Bucarest a décidé d’accorder une subvention de 50 bani, soit 10 centimes d’euros, par litre de carburant aux transporteurs et distributeurs de Roumanie. Ceux-ci affirment que cette mesure aurait des effets mineurs sur leur activité. Quelque 3000 transporteurs routiers de fret et de voyageurs bénéficieront toutefois de cette compensation de la flambée du prix des carburants par le biais de ce schéma d’aide d’Etat, qui bénéficie d’une enveloppe de 60 millions d’euros.

    Il y a deux mois, l’exécutif évoquait aussi la réduction des accises et de la TVA pour les carburants, mais aucune décision n’a été appliquée jusqu’ici. De l’avis des analystes financiers, la raison serait le fait que le budget de la Roumanie, déjà soumis à la pression de l’inflation et à l’inefficacité de la collecte des taxes et impôts, ne peut renoncer aux recettes sûres issues des accises ou de la TVA appliquée aux carburants. Dans de telles conditions, les transporteurs de Roumanie demandent au gouvernement de plafonner d’urgence les prix des carburants, selon le modèle des Etats voisins, et soulignent que le mois prochain, de nouvelles majorations de prix sont toujours possibles.

    La fédération des opérateurs roumains de transport annonce des protestations dans les stations-service à travers le pays et encourage les entreprises à soutenir ces démarches par tous les moyens légaux dont elles disposent. D’ailleurs, des protestations timides face à la montée du prix des carburants ont déjà commencé. A Botoşani, par exemple, selon la presse locale, plusieurs chauffeurs ont délibérément bloqué une station-service. Ils ont acheté seulement quelques centaines de millilitres de carburants dans leurs voitures, ils ont lavé leurs pare-brises et pris leur temps à payer. Des actions similaires ont eu lieu aussi à Târgu Jiu, où les chauffeurs se sont arrêtés devant les pompes uniquement pour laver les vitres. Ces protestations ont été annoncées et organisées sur les réseaux sociaux.

  • Amendes pour les fournisseurs d’énergie

    Amendes pour les fournisseurs d’énergie

    Quatre entreprises qui fournissent du gaz en Roumanie sont concernées : Engie, E.ON Energie, Restart Energy One et Premier Energy. Elles devront informer les clients finaux, qui ont accepté des offres commerciales à tarif fixe, du maintien du prix du gaz auquel ils sont tenus par l’offre pendant toute la durée du contrat. L’Autorité nationale de régulation dans le domaine de l’énergie (ANRE) a constaté une violation des obligations légales concernant l’exécution des contrats. Les compagnies ont été sanctionnées pour avoir lancé des offres types sans préciser soit la durée de validité de l’offre, soit les termes et conditions de résiliation unilatérale du contrat. Les amendes s’élèvent à près de 2,7 millions de lei (soit 545 000 euros) et l’ANRE assure qu’elle continuera à surveiller le comportement de tous les fournisseurs et, lorsqu’elle constatera de nouvelles infractions aux dispositions légales, elle procèdera à des sanctions.



    En réponse, deux sociétés ont annoncé qu’elles contesteraient l’amende, arguant qu’elles n’étaient pas fautives, parce que les prix d’achat du gaz ont explosé dernièrement à l’échelle internationale. Elles attirent l’attention sur le fait que, si les mesures qui seront adoptées en vue d’atténuer les effets sur les consommateurs finaux ne seront pas mises en œuvre sur des principes équitables et économiquement corrects, elles auront des répercussions majeures et imminentes sur les entreprises de fourniture et, par conséquent, sur les clients qu’elles desservent. Et ce non seulement du point de vue des prix, mais aussi de la sécurité de l’approvisionnement à l’approche de l’hiver. Dans ce contexte extrêmement difficile, les représentants des compagnies respectives estiment qu’il est impératif que les parties concernées – autorités et sociétés – identifient ensemble des solutions viables, équitables et responsables pour surmonter la crise. Les 95 % de la facture représentent les coûts d’achat du gaz, le stockage, le transport et la distribution, alors que les fournisseurs ne touchent que 5 %, affirment-ils.



    Après que le prix de l’essence a grimpé de façon spectaculaire, les entreprises de distribution en Roumanie ont accru les tarifs à plusieurs reprises, ces prix et la faible marge bénéficiaire se retrouvant également dans la facture des clients. Par exemple, un prix moyen en été était de 0,12 lei / Kwh, et maintenant il atteint les 0,6 lei / Kwh, soit cinq fois plus. Et comme si ces hausses de prix ne suffisaient pas, ces compagnies concluent des contrats pour une durée maximale de deux ans, afin de ne pas travailler à perte.



    Les autorités envisagent de plafonner les prix de l’énergie, mais cela se fait par le biais d’un régime d’aides d’État qui doit être approuvé par la Commission européenne, a déclaré le ministre de tutelle, Virgil Popescu. Il a souligné que sans imposer de conditions au fournisseur d’acheter de l’électricité au prix le plus bas du marché, sans assurer son suivi, on peut arriver à des sommes très importantes, et c’est toujours le citoyen lambda qui paiera dans quelques mois. Comment ? C’est toute la question.


    (Trad. : Ligia)


  • La consommation en Roumanie par temps de pandémie

    La consommation en Roumanie par temps de pandémie

    La consommation totale de carburants baissera cette année de 10% à cause de la pandémie de coronavirus, a récemment affirmé dans une conférence de presse Radu Caprau, directeur de la compagnie pétrolière OMV Petrom. A la question de savoir quand le marché reviendra au niveau d’avant la pandémie, il a déclaré qu’un éventuel retour à la normale n’est pas estimé avant 2022. Selon Agerpres, OMV Petrom, le producteur de pétrole et de gaz le plus important du sud-est de l’Europe, a obtenu au cours de la première moitié de cette année un bénéfice net d’environ 180 millions d’euros, en baisse de pas moins de 56% par rapport à la même période de l’année dernière.

    Par ailleurs, le nombre de sociétés commerciales et d’entreprises en nom propre ayant déclaré l’insolvabilité en Roumanie a connu une baisse assez inattendue de 26,16% durant les six premiers mois de l’année 2020 par rapport à la période similaire de l’année dernière. La plupart des entreprises et des autoentrepreneurs ayant fait l’objet de la procédure de l’insolvabilité sont basés à Bucarest, à savoir 423. La capitale roumaine est suivie par les départements de Bihor, avec 211 procédures d’insolvabilité, Constanta et Cluj avec 140 et respectivement 139 insolvabilités. Côté domaines d’activités, durant les six premiers mois de l’année la majorité des procédures d’insolvabilité ont visé les entreprises du secteur du commerce de gros et de détail, les garagistes et les ateliers de réparation de motos, chose en quelque sorte normale vu la baisse de la consommation et du nombre de kilomètres que les Roumains ont parcourus durant l’état d’urgence et non seulement.

    Et nos concitoyens ne devraient pas conduire trop cet été non plus. Pas moins de quatre Roumains sur dix ont choisi de ne pas partir en vacances en 2020 parce qu’ils affirment ne pas se sentir en sécurité à cause de la pandémie, selon une étude publiée récemment par une plate-forme d’annonces en ligne. Selon cette source, seulement 38% préparent au moins un congé cette année, alors que 45% choisissent carrément de ne pas partir en vacances. 17% des Roumains sont toujours indécis pour ce qui est de leurs vacances, même si théoriquement il n’y a plus qu’un mois d’été. Côté destinations, selon cette étude, la majorité des Roumains ont choisi leur propre pays et notamment les destinations à la montagne plutôt qu’à la mer, soit l’inverse que la normale. Ce choix de passer les vacances en Roumanie s’explique par les restrictions de voyage que de plus en plus d’Etats européens imposent aux touristes roumains. Par ailleurs, afin de voyager dans d’autres pays, les Roumains sont tenus de se faire tester et de payer un coût supplémentaire d’environ 60 euros par personne, ce qui pèse d’une manière significative dans le budget vacances d’une famille à quatre membres par exemple. Côté tourisme interne, les vacanciers privilégient les destinations à la montagne où la distanciation physique est plus facile à observer qu’à la mer.

    Les périodes de confinement et de distanciation physique ont pourtant fait le bonheur des librairies, de celles en ligne surtout, puisque les ventes de livres ont considérablement augmenté, selon l’agence de presse Agerpres, qui cite une librairie en ligne. Durant le 7 premiers mois de l’année, les commandes en ligne des Roumains ont augmenté de 27% par rapport à la période similaire de l’année 2019. La littérature de fiction a dominé les ventes, la plupart des livres ayant été commandés à Bucarest, Timisoara, Cluj, Iasi et Brasov. La valeur moyenne d’une commande a elle aussi augmenté de 15% durant cette période pour frôler les 100 lei, soit un peu plus de 20 euros. Une conséquence économique positive et assez inattendue de la pandémie. (trad. Alex Diaconescu)

  • 02.01.2017 (mise à jour)

    02.01.2017 (mise à jour)

    Parlement – Le Parlement de Bucarest démarre mardi les procédures d’installation du nouveau gouvernement dirigé par le premier ministre désigné Sorin Grindeanu. Le vote d’investiture du nouveau cabinet est prévu mercredi tout comme le serrement d’investiture des ministres, le président Klaus Iohannis s’étant dit d’accord avec cet agenda. Ancien ministre des télécommunications, Sorin Grindeanu est la 2e proposition de l’alliance entre le Parti Social Démocrate et l’Alliance des Libéraux et des Démocrates pour le fauteuil de premier ministre, la première, celle de Mme Sevil Shhaideh, ayant été rejetée par le chef de l’Etat. La coalition des sociaux-démocrates et des démocrates – libéraux bénéficie aussi du soutien parlementaire de l’Union Démocratique des Magyars de Roumanie aux côtés de laquelle elle forme une majorité confortable au parlement. L’opposition, quant à elle, est formée du Parti National Libéral, de l’Union Sauvez la Romanie et du Parti du Mouvement Populaire. Pour sa part, le premier ministre désigné Sorin Grindeanu a déclaré qu’il était très probable que le budget 2017 soit approuvé avant la fin janvier.

    Economie – En Roumanie, l’essence et le diesel sont désormais moins chers, suite à la suppression de la sur accise sur les carburants et à baisse de la TVA de 20 à 19%. Selon le nouveau Code Fiscal entré en vigueur au 1er janvier 2017, la taxe sur les constructions spéciales a elle aussi été éliminée. De même, le calendrier de la libéralisation du prix du gaz naturel et de l’électricité pour les consommateurs domestiques doit s’achever cette année, ce qui se traduira par des factures diminuées, qui seront payées selon la valeur du marché libre, qui est actuellement à un minimum historique. Ce qui plus est, le salaire minimum brut sur l’économie devrait être majoré de 200 lei pour atteindre les 1450 lei (soit 320 euros) à compter du 1er février. A partir de la même date, la contribution des retraités aux assurances maladie sera également supprimée et toutes les retraites en dessous des 2000 lei (440 euros) seront exemptées d’impôts.

    Frontex – La Roumanie participe à la surveillance et au contrôle des frontières maritimes de l’UE, œuvrant aussi pour ce qui est des recherches et du sauvetage des personnes en difficulté en mer, à la frontière extérieure de l’UE, dans le cadre d’une mission de l’agence européenne Frontex. Un navire de patrouille et d’intervention ayant à bord 23 garde-frontières roumains a été déployé en ce sens en Mer Egée de janvier à avril.

    Diplomates – Un avion transportant des diplomates russes considérés comme « persona non grata » aux Etats – Unis est arrivé à Moscou. L’appareil avait décollé dimanche de l’aéroport international Dulles de Washington. Rappelons – le, le 29 décembre l’administration américaine a imposé de nouvelles sanctions aux autorités russes en raison de supposées attaques cybernétiques contre des institutions américaines

    Istanbul – Le
    groupe Etat islamique a revendiqué lundi l’attentat contre une discothèque
    d’Istanbul qui a fait 39 morts dans la nuit du nouvel An et dont l’auteur en
    fuite est traqué par les autorités turques, note l’AFP. L’attaque a été
    condamnée entre autres par le Conseil de Sécurité de l’ONU et par le ministère
    roumain des AE. Ce dernier réitère la participation de la Roumanie à la lutte
    anti-terroriste et réaffirme la nécessité de concentrer et d’intensifier les
    efforts internationaux pour lutter contre toute forme de terrorisme. Le
    conseiller présidentiel pour la politique étrangère, Bogdan Aurescu, a condamné
    l’attaque d’Istanbul et a présenté ses condoléances aux familles des victimes.
    Le président turc Recep Tayyip Erdogan a affirmé que l’attentat visait à
    déstabiliser la Turquie et à semer le chaos dans le pays ».

    Tennis – La joueuse de tennis roumaine la mieux cotée, Simona Halep, n° 4 mondiale, a vaincu aujourd’hui la Serbe Jelena Jankovic (54e WTA) dans le round inaugural du tournoi WTA de Shenzhen (Chine). Dans les 8e de finale, Simona Halep affrontera la gagnante du match entre Shuai Peng (Chine) et Katerina Siniakova (République tchèque). Dimanche, Monica Niculescu (38e WTA) a dépassé au premier tour la Chinoise Kai-Ling Zhang (134e WTA), tandis que Sorana Cîrstea (79e WTA) a vaincu Kristina Kucova (Slovaquie, 81e WTA). Les deux se sont qualifiées dans les huitièmes de finale de la compétition. Notons aussi que Simona Halep, la gagnante de la compétition de simple dames de Shenzen en 2015, participera aussi à la compétition de double dames aux côtés de Monica Niculescu.

    Météo Dans les 24 prochaines heures, les
    températures baisseront en Roumanie et les maximales iront de -3 à 7 degrés. On
    attend de la neige en montagne.

  • A la Une de la presse roumaine 08.05.2015

    A la Une de la presse roumaine 08.05.2015

    A quelques heures de la Fête de lEurope, la presse roumaine se penche sur une enquête dopinion qui constate que “les Roumains sont plus européens que jamais”. Toutefois, si la Roumanie est le pays “le plus attaché à lOccident et à ses valeurs parmi tous les autres de la région”, elle est aussi le pays des “ponts non réparés depuis des dizaines dannées” ou encore celui de “lessence la plus chère” en Europe Centrale et de lEst, commentent les journalistes roumains.


  • A la Une de la presse roumaine 12.03.2015

    A la Une de la presse roumaine 12.03.2015

    La plupart des Roumains nont pas de plan de gestion pour leurs finances personnelles, constate la presse. Elle nous dit aussi à combien se monte le panier daliments sains le moins cher dune famille de 4 personnes et que le prix de lessence augmente en Roumanie sur la toile de fond de lappréciation du dollar américain. Dans lactualité internationale, cest toujours une question de finances qui attire lattention de la presse roumaine: la Grèce demande à lAllemagne des compensations de guerre.