Tag: Festival du film français

  • Le Festival du Film français en Roumanie

    Le Festival du Film français en Roumanie

    Le Festival du Film
    Français (FFF) en Roumanie s’apprête à marquer sa 27ème édition qui se
    déroulera du 15 au 26 mars, à Bucarest et dans 12 villes du pays : Cluj-Napoca,
    Timișoara, Iași, Arad, Brașov, Brăila, Constanța, Craiova, Sfântu Gheorghe, Sibiu, Suceava et Târgu Mureș. Pour cette année, less
    organisateurs ont choisi comme thème Cinéma, mon amour. Victor
    Benderra, chargé du mission audio-visuelle chez l’Institut français est avec
    nous, par téléphone. Ensemble, on passera en revue les points forts de cette
    nouvelle édition du Festival du film français, un événement très attendu par
    les cinéphiles et les francophones de Roumanie.

  • Les gagnants de la 25-e édition du Festival du film français

    Les gagnants de la 25-e édition du Festival du film français

    Une belle brochette de 27 films
    français, une bonne centaine de projections classiques, 11 projections en ligne,
    durant 11 jours, 12 villes, plus de 5 000 spectateurs et 2 prix pour des jeunes
    talents – ce sont les chiffres qui parlent de la 25-e édition du plus longévif
    festival organisé en Roumanie et consacré à une cinématographie nationale, un
    festival organisé par l’Institut français de Roumanie et ses partenaires, du 1-er
    au 11 juillet 2021. Les
    projections ont eu, pour la première fois, un triple format: en ligne, dans des
    salles de cinéma ou des espaces culturels, ainsi qu’en plein air, à Bucarest,
    Cluj-Napoca, Iaşi, Timişoara, Arad, Brașov, Brăila, Constanța, Sfântu Gheorghe,
    Sibiu, Suceava et Târgu Mureş.


    Au
    menu de cette édition anniversaire – des productions françaises des plus
    récentes et des plus applaudies, telles « Adieu les cons » d’Albert
    Dupontel, « ADN » de Maiwenn ou « Un Triomphe » d’Emmanuel
    Courcol, présentées en première nationale ; les débuts des jeunes talents dans
    les sections de courts-métrages et de longs-métrages en compétition ; Carte Blanche pour cinq cinéastes roumains, dédiée aux
    cinéphiles désireux de revoir des titres-repères signés par Maurice
    Pialat, Bertrand Blier ou Robert Bresson ;
    une rétrospective en ligne de films emblématiques des éditions antérieures,
    tels « Le goût des autres » d’Agnès Jaoui ;
    autant d’événements qui ont fait la joie d’un public enthousiaste.


    À
    Bucarest, la salle de cinéma Elvire Popesco et la terrasse Le Bistrot Social, à
    l’extérieur de l’Institut français, ont accueilli près de 2 000 spectateurs,
    qui ont regardé ensemble les films à l’affiche. Un chiffre qui témoigne du
    désir du public de retrouver l’expérience culturelle collective, dans le
    respect des restrictions sanitaires en vigueur. Les
    spectateurs de Bucarest ont eu aussi l’occasion de rencontrer, directement ou
    en ligne, quelques-uns des réalisateurs, dont les productions ont été projetées
    pendant le festival : Emmanuel Courcol, réalisateur du film « Un
    Triomphe »et l’invité spécial de l’édition; Charlène Favier et Peter
    Dourountzis, réalisateurs de deux films en compétition (« Slalom » et
    respectivement « Vaurien »); Cristian Mungiu, Adina Pintilie, Radu
    Jude et Corneliu Porumboiu, qui ont choisi les films de la section Carte
    Blanche.




    Les
    gagnants des deux compétitions dédiées aux jeunes talents sont les films « Condition d’élévation »
    d’Isabelle Prim, pour les courts-métrages, et « Au nom de la terre » d’Edouard
    Bergeon, pour les longs-métrages. Isabelle
    Prim a gagné un séjour de création à la Résidence de Poche de Bucarest de l’Institut
    français de Roumanie, le prix lui étant attribué par un jeune jury de critiques
    de cinéma- Flavia Dima, Victor Morozov et Georgiana Muşat. Le public des séances de projection classiques et en
    ligne a décidé le meilleur film de la section Longs-métrages. Le réalisateur
    Edouard Bergeon recevra une bourse de 1 000 euros, accordée par l’Institut
    français, et le distributeur roumain de son film dans les salles de Roumanie
    recevra un paquet de soutien offert par TV5 Monde. « Au nom de la terre »,
    la production d’Edouard Bergeon, raconte une histoire qui s’inspire de la vie
    de son réalisateur, ayant réussi plus de deux millions d’entrées en France, un
    bon score pour un premier film.




    Vivement l’édition 2022 du Festival du film
    français en Roumanie !

  • Le Festival du Film Français

    Le Festival du Film Français

    Le festival du film français en Roumanie fête son 25e anniversaire par une édition estivale déroulée du 1er au 11 juillet dans une douzaine de villes roumaines : Bucarest, Cluj-Napoca, Iaşi, Timişoara, Arad, Brașov, Brăila, Constanța, Sfântu Gheorghe, Sibiu, Suceava et Târgu Mureş. Les projections se déroulent dans des salles de cinéma et des espaces culturels en plein air, avec le respect des normes sanitaires censées garantir la sécurité des spectateurs, mais aussi en ligne pour la première fois dans l’histoire du festival.

    Détails sur :

    https://institutfrancais.ro/bucuresti/festivalul-filmului-francez-in-romania/

  • Le Festival du film français en Roumanie

    Le Festival du film français en Roumanie

    Amoureux du cinéma et de celui français en particulier, réservez vos soirée et vos places! La grande messe annuelle du film français en Roumanie anime la vie culturelle de onze villes roumaines, Bucarest en tête, en ce début d’automne. Radio Roumanie Internationale souhaite vous aider à faire votre choix, c’est pourquoi notre rédaction a invité au micro Ioana Dragomirescu, la responsable de la salle Elvire Popesco de l’Institut français de la capitale et chargée de la programmation du festival, pour des précisions fort utiles.



  • Le Festival du Film Français en Roumanie

    Le Festival du Film Français en Roumanie

    Une année est déjà passée, et le film français refait son cinéma en Roumanie. C’est une façon, comme une autre, de vous dire que le Festival du Film Français (le FFF) revient dans l’actualité du printemps culturel roumain, avec sa 23e édition, qui est la deuxième printanière. Cette année, elle est inévitablement placée sous le signe de la Saison croisée France – Roumanie, les nouveautés existent, tout comme les repères devenus traditionnels et dont les aficionados» ne sauraient se passer. L’édition 2019 du FFF est donc le sujet que nous allons développer avec Ioana Dragomirescu, chargée de mission pour la programmation et la salle Elvire Popesco de l’Institut français de Bucarest, et Maud Halimi, chargée de mission audiovisuel et arts numériques, Pôle « Culture et médias » de l’Institut français de Roumanie.