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  • Entre la Journée de la Marine et l’importance de la mer Noire

    Entre la Journée de la Marine et l’importance de la mer Noire

    Le 15 août, jour de la Dormition ou de l’Assomption de la Sainte Vierge, est aussi la Journée de la Marine roumaine, Sainte Marie étant considérée comme la protectrice des marins. Cette année, la fête a été marquée, en première, dans sept villes à travers le pays : des ports à la mer Noire et sur le Danube, mais aussi à Bucarest, la Capitale, sur son plus grand lac, celui de Herăstrău. Un spectacle naval grandiose a eu lieu à Constanţa, principal port maritime roumain, suivi par des milliers de personnes.

    Présent à l’événement, le président Klaus Iohannis a félicité les marins, affirmant que « la Roumanie ne pouvait pas être un acteur régional pertinent et un Etat fort sans disposer d’une armée puissante, avec des Forces navales ayant une formation et une instruction solides, équipées de technique militaire moderne, en mesure de faire face à tout défi ». « Nous assistons à la création d’un nouveau paysage géostratégique, dont l’évolution est difficile à anticiper », a ajouté le président. « La Roumanie reste, toutefois, une oasis de stabilité dans la zone et un fournisseur régional de sécurité », a-t-il encore ajouté. Plusieurs avantages en découlent, estime Klaus Iohannis : « Il est fondamental d’avoir la capacité et la sagesse de mettre à profit nos atouts pour consolider notre position en tant que membre important de l’OTAN et partenaire stratégique crédible des Etats-Unis. »

    Le président a également plaidé pour l’approfondissement de la coopération internationale, comme solution pour renforcer la paix et la sécurité globales. A son avis, mettre l’accent sur la dimension économique de cette coopération sera bénéfique pour les pays de l’Europe du Sud-Est et pour les autres Etats intéressés. Et pour cause : la mer Noire reste une plateforme importante, reliant l’Europe, le Moyen Orient et l’Asie Centrale, la mer Baltique et la Méditerranée, a expliqué le chef de l’Etat roumain.

    Sans minimiser la dimension militaire et géostratégique de cet espace, l’analyste de politique étrangère Ştefan Popescu a expliqué pour la radio publique comment la Roumanie pourrait devenir un acteur important dans la zone de la mer Noire.

    Ştefan Popescu : « Pour avoir une véritable politique de la mer Noire, nous devons nous concentrer sur le port de Constanta, le plus grand port de cette mer. Et puis, aussi sur la flotte civile roumaine qui… n’existe carrément pas. Or, pour être un acteur reconnu au niveau régional, la Roumanie doit mettre au point une véritable politique de la mer Noire, chose que nous avons tendance à oublier. La force d’un pays ne réside pas uniquement dans son armée, elle repose aussi sur une société forte, sur une économie forte, capable d’exporter ses produits, mais aussi sur une culture qui devienne une force dans la région. »

    Notons pour terminer, que l’Exécutif de Bucarest doit approuver, la semaine prochaine, les procédures d’acquisition du système d’installations mobiles de lanceurs de missiles antinavire, qui renforceront la capacité des forces navales roumaines d’assurer la sécurité du pays. L’annonce a été faite par le ministre de la Défense, Mihai Fifor, lors des manifestations consacrées à la Journée de la Marine roumaine. (Trad. Valentina Beleavski)

  • Nachrichten 15.08.2017

    Nachrichten 15.08.2017

    Am Dienstag, den 15. August, zu Mariä Himmelfahrt, hat die rumänische Marine ihren Tag gefeiert – die Jungfrau Maria ist nämlich die Schutzpatronin der Seeleute von überall. Bei den Zeremonien und demonstrativen Übungen vor dem Flottenkommando der Marine im rumänischen Schwarzmeerhafen Constanţa waren auch Präsident Klaus Iohannis und Verteidigungsminister Adrian Tutuianu zugegen. In seiner Ansprache sagte Präsident Iohannis, Rumänien übernehme aktiv seine Rolle als starker Staat und relevanter Akteur in der Region. Die Konsolidierung der Sicherheit und der Verteidigung im maritimen Bereich bleibe weiterhin eine Priorität Rumäniens, betonte Klaus Iohannis. Zu Ehren der rumänischen Marine wurden 21 Kanonenschüsse abgefeuert. Mehr als 3.000 Seeleute beteiligten sich an den Veranstaltungen; auf dem Programm standen unter anderen eine militärische Parade der Marineinfanterie, Schauübungen mit Schiffen, Flugzeugen, und Hubschraubern und ein Konzert mit der rumänischen Marinekapelle. In allen rumänischen Fluss- und Seehäfen, sowie in der Hauptstadt Bukarest fanden ähnliche Veranstaltungen zum Tag der rumänischen Marine statt.



    Im Ferienort Mamaia, an der rumänischen Schwarzmeerküste, findet bis zum 16. August die 100. Buchmesse Gaudeamus statt. Am Montag beteiligten sich Vertreter der Europäischen Kommission in Rumänien im Rahmen der Jubiläumsauflage der Buchmesse Gaudeamus an einer Debatte über die Zukunft der Europäischen Union. Gleichzeitig mit der 100. Auflage der Buchmesse Gaudeamus, die jedes Jahr von Radio Rumänien ausgerichtet wird, feierte auch der Ferienfunk Radio Vacanţa 50 Jahre Bestehen. Die mehrsprachigen Sendungen des Ferienfunks wurden am Anfang von Redakteuren des Auslandssenders Radio Rumänien International gestaltet; Sendesprachen waren außer Rumänisch auch Deutsch, Russisch, Englisch und Französisch. Das Rundfunkorchester veranstaltete zu diesem Anlass drei Freiluftkonzerte.



    In der Ortschaft Izvorul Muresului, im Landkreis Harghita (in der Mitte Rumäniens) findet bis Freitag die 15. Auflage der Sommeruniversität der Rumänen von überall statt. Thema der diesjährigen Auflage ist Von der Ersten Vereinigung zur Großen Vereinigung. Rumänien und die Rumänen von überall, wohin? Bei der Eröffung der Sommeruniversität apellierte der Abgeordnete der Partei Volksbewegung, Eugen Tomac, an alle politische Parteien und Gruppierungen, Lösungen für die Probleme der rumänischen Gemeinden in den Nachbarstaaten zu finden. Der rumänische Staat sollte sich mehr dafür einsezten und Aktionen zur Bewahrung der rumänischen Sprache und der rumänischen Traditionen bei den Gemeinden in den Nachbarstaaten organisieren, so Tomac. Ein wichtiger Punkt auf der Agenda der Sommeruniversität war die Vereinigung der Republik Moldau mit Rumänien im Jahr 2018, die von den Teilnehmern unterstützt wurde. Auf dem Programm stehen weiterhin Buchvorstellungen, Rundtischgespräche, Debatten, Volksmusik- und Volkstanzaufführungen. An der Sommeruniversität beteiligen sich Studenten und Hochschullehrer aus Rumänien, der Republik Moldau, aus der Ukraine, Serbien, Bulgarien, Albanien und Mazedonien.

  • Quelle pisciculture en Roumanie ?

    Quelle pisciculture en Roumanie ?

    Bien développée pendant la période communiste, l’industrie roumaine du poisson classait à l’époque la Roumanie 3e en Europe, après l’URSS et la RDA. Dans les années ’60 déjà, la Roumanie possédait une immense flotte de pêche, dont les dizaines de bateaux, sur lesquels travaillaient 6 mille personnes, sillonnaient les océans du monde et en rapportaient des chinchards, des maquereaux, des sardines, des cabillauds et des harengs. Pendant cette même période, la Roumanie exploitait à des fins piscicoles 90% de ses 500 mille hectares de plans d’eau. S’y ajoutaient les rivières, totalisant 76 mille km, et le Danube, dont le cours mesure 1.075 km sur le territoire roumain. Les rivières intérieures assuraient 60 mille tonnes de poisson par an, auxquelles s’ajoutaient quelque 150 mille tonnes pêchées dans les océans. Une grande partie de ce poisson était vendu frais, mais des quantités importantes prenaient aussi la route des fabriques de conserves de Galaţi, Tulcea, Sulina et Constanţa. La quantité de poisson couvrait largement la consommation interne, 100 mille tonnes étant exportées annuellement.

    De nos jours, soit après un quart de siècle, la production de poisson de la Roumanie a baissé à moins de 11 mille tonnes par an, représentant 8% de la consommation interne, bien que la Roumanie compte le plus vaste réseau hydrographique de l’UE, avec des rivières dont les cours totalisent plus de 8 mille km, le Danube et l’accès, par la mer Noire, à l’océan planétaire.

    Marian Cuzdrioreanu, président de l’Association des Importateurs, Exportateurs et Fournisseurs de poisson de Roumanie, explique : « Du poisson assuré par l’industrie roumaine de la pêche, nous en avions beaucoup plus avant la Seconde Guerre mondiale. Dans les années ’20 et ’30, la Roumanie comptait des plans d’eau totalisant environ 1.800.000 hectares. Côté aquaculture, la Roumanie occupait la première place en Europe. Pourtant, après l’installation du régime communiste, les étangs ont été asséchés pour rendre ces terrains à l’agriculture. Pendant la période communiste, la consommation de poisson était beaucoup plus grande, soit 8-10 kilos par habitant, mais une très grande partie du poisson consommé provenait des océans. La Roumanie possédait une importante flotte de pêche, qui était la 3e grande flotte d’Europe et la 10e dans le monde. A l’époque, on exportait du poisson. A présent, on en importe. La pisciculture roumaine couvre 10-15% seulement de la demande interne, le reste, on l’importe. Entre temps, la consommation a elle aussi baissé à moitié – soit 4-5 kilos par habitant. La Roumanie ne possède plus de flotte de pêche, par conséquent on ne pêche plus dans les océans. Nous ne disposons plus des fameux bateaux Polar, où le poisson était tout de suite transformé, ce qui est le mieux. Depuis 27 ans que je travaille dans la pisciculture, j’ai appris que pour préserver la qualité du poisson, on doit le transformer tout de suite après la pêche. Or, ces bateaux Polar étaient aussi de véritables entreprises de transformation flottantes. »

    Des centres d’élevage ont été créés ces dernières années, dans tous les départements du pays. La Roumanie compte actuellement des étangs totalisant 84.500 ha et 300 fermes piscicoles, dont 60 destinées à l’élevage des truites, qui couvrent 44 hectares. La production aquacole est dominée par les cyprinidés (tanche, carassin, carpe, brème). Dans les fermes de reproduction et les fermes aquacoles se retrouvent aussi la truite, la sandre, le brochet, la perche, le silure et l’esturgeon.

    Marian Cuzdrioreanu: « En Roumanie vivent 7 espèces importantes de la famille des cyprinidés – famille qui compte plus de 2000 espèces dans le monde entier. Les principales espèces en sont pourtant la carpe commune – fréquemment élevée en aquaculture – et ses dérivés : la carpe argentée et la carpe à grosse tête. La Roumanie n’en exporte presque pas. Nous exportons, en revanche, une espèce d’escargots, appelés justement escargots de mer Noire. Ce gastéropode est arrivé dans eaux de la mer Noire collé aux carènes de bateaux, il s’est acclimaté et y a proliféré. Pas très grandes, les quantités exportées sont destinées à la Corée et au Japon. Quant au poisson, on n’en a pas assez pour exporter. »

    Les poissons préférés des Roumains sont la sandre et le maquereau, dont les ventes ont progressé de 5% par rapport à l’année dernière, selon une étude réalisée par un des principaux importateurs et distributeurs de poisson et de produits à base de poisson de Roumanie. Cette étude montre aussi que les Roumains sont de plus en plus attirés par les fruits de mer, et les ventes chiffrées en 2016 à 35 millions d’euros pourraient augmenter de 5% cette année. Ce sont les crevettes qui occupent la première place dans les préférences des Roumains, suivies par les moules, les calmars et les pieuvres. Les ventes de poissons et de fruits de mer se chiffrent à 350 millions d’euros par an.

    Le Programme Opérationnel relatif au Fonds européen pour les affaires maritimes et la pêche offre aux personnes intéressées par l’aquaculture des fonds se chiffrant à 170 millions d’euros pour la période 2014-2020. Le petit nombre de bateaux de pêche en mer Noire dont la Roumanie dispose, le manque d’une flotte pour la pêche dans les océans, l’absence des ports de pêche rend le pays dépendant des importations, malgré son immense potentiel non exploité dans ce domaine. (Trad. : Dominique)

  • Großbritannien schickt Eurofighter Typhoon Flugzeuge nach Rumänien

    Großbritannien schickt Eurofighter Typhoon Flugzeuge nach Rumänien

    Die Sicherheit im Schwarzmeerraum, einer Region, die in den letzten Jahren von einer Dynamik, die von den militärischen Aktionen Russlands erzwungen wurde, dominiert wird, bleibt eine Priorität der NATO. Rumänien, Mitglied der militärischen Allianz seit 2004, ist wegen der geostrategischen Lage stark impliziert. Das Schwarze Meer ist eine Brücke, die zwei Kontinente verbindet. Sie ist aus strategischer Sicht sehr bedeutend und umstritten. Für das militärische Bündnis ist es heute bedeutender als je, eine kräftige Präsenz zu haben. – erklärte die Allianz vor einem Jahr auf ihrer offiziellen Facebook-Seite, wo sie auch den herausfordernden und spannungsvollen Hintergrund hervorhob. Bukarest engagierte sich damals in eine strategische, mutige Initiatiave. Rumänien hat die Nato dazu aufgefordert, im Schwarzen Meer eine ständige Einsatz-Flotte zu stationieren. “Der Zweck sei die Verteidigung und die Entmutigung. Es geht um eine normale Haltung des alliierten Bodeneinsatzes, den wir als Teil der Verteidigung- und Entmutigungsaktion erdenken“, erklärte der damalige Verteidigungsminister Rumäniens Mihnea Motoc. Nur die NATO-Staaten Rumänien, die Türkei und Bulgarien, die Zugang zum Schwarzen Meer haben, könnten Teil der Flotte sein. Das Meerengen-Abkommen von Montreux besagt, ein ausländisches Kriegsschiff darf sich nicht länger als 21 Tage im Schwarzen Meer aufhalten.




    Rumänien beteiligt sich auch an zahlreichen militärischen Übungen, deren Zahl weiterhin steigt und als Ziel die Verstärkung der Interoperabilität haben. Eine derartige Übung ist die rumänisch-amerikanische Übung im März von Kap Midia, an der sich 1200 Militärs beteiligen. Die Truppen mussten, laut der Übung, die militärischen Stützpunkte im Südosten Rumäniens befreien. Diese wurden von paramilitärischen Gruppierungen angegriffen, so das Szenario. Großbritannien wird vier Typhoon-Kampfflugzeuge nach Rumänien entsenden, um an Missionen der Luftpolizei an der Südflanke der NATO- teilzunehmen. Der britische Verteidigungsminister Michael Fallon gab bekannt, die Mehrzweckkampfflugzeuge werden ab Mai vier Monate beim militärischen Stützpunkt von Mihail Kogălniceanu stationieren. Die britischen Militärs werden mit den rumänischen Soldaten zusammenarbeiten, um die Flugsicherheit über dem Schwarzen Meer zu sichern.

  • Nachrichten 16.06.2016

    Nachrichten 16.06.2016

    Mircea Basescu, der Bruder des früheren rumänischen Staatschefs Traian Basescu ist am Donnerstag rechtskräftig zu vier Jahren Haft wegen Einflussnahme verurteilt. Nach Auffassung der Nationalen Antikorruptionsbehörde DNA soll er zwischen Februar 2011 – Februar 2012 den Betrag von 250 Tausend Euro von der Familie eines Angeklagten kassiert haben, um das Urteil in dessen Strafprozess zu beeinflussen.



    Rumäniens Staatspräsident Klaus Iohannis hat am Donnerstag zum Abschluss seines offiziellen Besuches in Bulgarien die Gaspipeline Giurgiu-Ruse besichtigt, die Ende des Jahres in Betrieb genommen werden soll. Auch besuchte Iohannis mehrere Ortschaften in den bulgarischen Regionen Pleven, Grivita und Pordim. Dort gedachte er den rumänischen und russischen Soldaten, die im Krieg von 1877 bei der Befreiung Bulgariens von der osmanischen Herrschaft gefallen sind. Am Mittwoch war Iohannis mit seinem bulgarischen Amtskollegen, Rosen Plevneliev, zusammen gekommen. Die beiden haben über die Konsolidierung der bilateralen wirtschaftlichen, politischen und militärischen Beziehungen diskutiert. Die beiden Staatschefs wünschen sich ebenfalls eine bessere Verteidigung des Scharzmeer-Raumes, angesichts der neuen Sicherheitslage in der Region. Der bulgarische Premierminister Boiko Borisov hat allerdings inzwischen am Donnerstag auf einer Pressekonferenz mit seinem Verteidigungsminister und dem bulgarischen Staatspräsidenten die Teilnahme Bulgariens an einer gemeinsamen Flotte am Schwarzen Meer ausgeschlossen, nachdem Präsident Plevneliev am Mittwoch seine Zusage für eine solche Initiative gegeben hatte. Im Gegenzug stellte Präsident Iohannis klar, dass es bei der Initative um einen gemeinsamen Flottenverband ging, der unter NATO-Schirmherrschaft üben sollte, nicht um eine ständige Flotte.



    In Rumänien hat sich die parlamentarische Mehrheit von PSD, UNPR und ALDE entschlossen, doch keinen Misstrauensantrag gegen die Regierung des parteifreien Dacian Cioloş zu stellen. Das kündigte am Donnerstag der Parteichef der Sozialdemokraten, Liviu Dragnea, nach Gesprächen mit den anderen beiden Parteien an. Ein solcher Antrag, der die Regierung stürzt, werde wahrscheinlich zu vorgezogenen Wahlen führen, weil Präsident Klaus Iohannis keinen Premierminister aufstellen werde, den die Mehrheit will, so Dragnea. Sollte es aber zu irgendwelchen schweren Entgleisungen kommen, sei ein Misstrauensantrag jedoch nicht auszuschließen, sagte der Parteichef der PSD.



    Der rumänische Generalstabschef, General Nicolae Ciucă, hat in Polen an der größten internationalen Militärübung seit der Wende in diesem Land teilgenommen. 19 Staaten der NATO und vier Partnerländer sind beteiligt, darunter auch eine Einheit von 250 Soldaten aus Rumänien. Die Übung unter dem Namen Anakonda 16 findet im Vorfeld des NATO-Gipfels in Warschau statt und prüft die Fähigkeit der Allianz, mit konventionellen und unkonventionellen Bedrohungen an der Ostflanke fertigzuwerden.



    Beim Internationalen Theaterfestival von Sibiu wird an diesen Tagen ein ambitioniertes Programm als Hommage an William Shakespeare gegeben, dessen Geburt sich zum 400. Mal jährt. Unter der Regie des Hollywoodstars Tim Robbins zeigt die US-Theatertruppe The Actors Gang Shakespeares Sommernachtstraum. Oscar-Preisträger Robbins wird seinerseits am Samstag einen Stern auf dem Walk of Fame in Sibiu bekommen. Rund 2500 Artisten aus 70 Ländern nehmen in diesem Jahr an der 23. Ausgabe des Theaterfestivals teil.



    Der Kurs der rumänischen Landeswährung zum Euro ist am Donnerstag auf den tiefsten Punkt der letzten etwa dreieinhalb Jahre gerutscht. Ein Euro kostet demnach 4,5396 RON. Ein SFR war 4,1950 RON wert. Zum US Dollar wertete sich der RON leicht bis zum Kurs von 4,0348 auf.



    Eine Front afrikanischer Luft bringt in den nächsten Tagen eine Hitzewelle nach Rumänien. Die Temperaturen erreichen am Freitag in Südrumänien bis zu 37 Grad. Heftige Sommerstürme sollen ebenfalls möglich sein.




  • 15.06.2016 (mise à jour)

    15.06.2016 (mise à jour)

    Coopération — L’intérêt de la Roumanie d’adhérer à l’espace Schengen reste inchangé et Bucarest poursuivra les démarches de renforcement des parties des frontières extérieures de l’UE qui lui reviennent, a affirmé mercredi le président roumain Klaus Iohannis à l’issue d’une entrevue, à Sofia, avec son homologue bulgare, Rosen Plevneliev. A son tour, celui-ci a appelé tous les Etats communautaires à mieux coopérer afin que le projet de l’espace sans passeports ne subisse pas d’altérations. Les deux hommes ont, par ailleurs, évoqué l’amélioration de la coopération économique et commerciale bilatérale, le partenariat de la Bulgarie et de la Roumanie au sein de l’UE et l’OTAN ou encore la situation en Europe du Sud-Est, sur la toile de fond des risques sécuritaires et de la pression migratoire. A noter que la Roumanie est le 3e partenaire commercial européen de la Bulgarie.



    OTAN — Le président bulgare, Rosen Plevneliev, a annoncé que son pays participera avec des militaires à la constitution de la prochaine brigade multinationale de l’OTAN, qui sera stationnée en Roumanie. Dans le même temps, le chef de l’Etat roumain, Klaus Iohannis, a précisé qu’au prochain sommet de l’OTAN, à Varsovie, Bucarest et Sofia demanderont aux pays alliés de créer une flotte permanente de l’organisation en mer Noire. Par cette initiative, « nous ne souhaitons ni revenir à la guerre froide ni laisser penser que nous nous préparons à attaquer quiconque. Nous souhaitons juste assurer notre défense et montrer que nous sommes présents dans la région », a indiqué le président roumain.



    Abus de fonction — La Cour constitutionnelle roumaine a partiellement donné raison, mercredi, aux contestataires d’un article du Code Pénal réglementant l’abus de fonction, qui arguaient du caractère non-constitutionnel et ambigu du texte. La définition de l’abus de fonction change désormais. Il ne s’agit plus d’un « agissement défectueux » d’un fonctionnaire public, mais d’un « agissement violant la loi », a statué la Cour constitutionnelle. Celle-ci a par ailleurs rejeté toutes les autres requêtes visant le caractère non-constitutionnel de textes de loi qui servent de fondement à l’activité du Parquet anti-corruption. Parmi les signataires de ces saisines comptent d’anciens ministres et une ancienne cheffe du parquet anti-mafia qui figurent sur la liste des personnes accusées d’abus de fonction. La procureure en chef de la Direction nationale anticorruption, Laura Codruta Kovesi, avait attiré l’attention sur le fait que si l’abus de fonction n’était plus incriminé il serait impossible de récupérer les préjudices causés en commentant cette infraction. L’année dernière, ces préjudices se sont montés à 620 millions d’euros. A présent, plus de 40% des dossiers de corruption portent sur des abus de fonction.



    Foot — L’équipe nationale de Roumanie a fait match nul mercredi, à Paris, avec la sélection suisse, 1-1, dans le cadre de la poule A de l’Euro 2016 de foot. C’est la deuxième partie pour les Roumains après s’être inclinés devant la France, 2 buts à 1, vendredi dernier, lors du match d’inauguration de la compétition. Samedi la Suisse, elle, s’est imposée face à l’Albanie. Les derniers matchs du groupe sont prévus dimanche, lorsque la Roumanie jouera contre l’Albanie et la France contre la Suisse.

  • 29.04.2016 (mise à jour)

    29.04.2016 (mise à jour)

    Colectiv — Le dossier de l’incendie de la discothèque Colectiv de Bucarest a été envoyé devant la justice. 139 personnes, 11 hôpitaux et 5 institutions s’y sont constituées parties civiles. 6 personnes y sont mises en examen. Il s’agit des 3 patrons de la discothèque et des représentants de la société responsable du feu d’artifices, à savoir la patronne, le directeur et l’employé qui a installé les feux d’artifices. Rappelons — le, l’incendie survenu le 30 octobre dernier dans la discothèque Colectiv de la capitale roumaine a fait 64 morts et plus d’une centaine de blessés. Cet incident a eu un fort impact social, étant suivi par damples protestations de rue suite auxquelles le premier ministre de lépoque, Victor Ponta, a démissionné.



    Opéra — Le Corps de contrôle du premier ministre a initié une enquête à l’Opéra national de Bucarest. Celle-ci vise entre autres à vérifier la procédure d’embauche des personnes qui ont occupé ou occupent actuellement des postes de direction. Ces derniers jours, trois représentations ont dû être annulées en raison des mécontentements exprimés par le personnel au sujet des nominations successives pour le poste de directeur général et des inégalités de revenus salariaux entre les danseurs roumains et ceux étrangers qui évoluent à l’Opéra de Bucarest. Sur la toile de fond de ce scandale, le ministre de la culture, Vlad Alexandrescu, a fait savoir jeudi qu’il allait déposer son mandat, à la demande du chef du gouvernement, Dacian Cioloş, lequel devrait nommer une autre personne à la tête de ce ministère. Vlad Alexandrescu a pourtant précisé avoir convenu avec le premier-ministre de ne pas présenter sa démission avant la fête de Pâques.



    Flotte — Les policiers aux frontières de Roumanie, d’Ukraine et de Turquie se proposent de créer une flotte commune de patrouille en mer Noire, censée être un facteur de stabilité dans la région. La mission des équipes mixtes des navires de combat visera les braconniers, les trafiquants de drogue et les équipements militaires navals qui franchissent illégalement la frontière maritime. A Bucarest, le ministre de la Défense, Mihnea Motoc, a fait savoir récemment que la Roumanie procéderait à la création d’une flotte de l’OTAN en mer Noire, ayant pour principal objectif la défense et la dissuasion. En réplique, la porte-parole du ministère russe des Affaires étrangères, Maria Zaharova, a déclaré qu’une flotte internationale de l’OTAN en mer Noire «minerait sévèrement la sécurité et la stabilité dans cette partie du continent et forcerait la Russie à répondre pour maintenir son niveau de sécurité. »



    Emploi — Le taux de chômage est toujours à la baisse en Roumanie, ayant légèrement diminué en mars par rapport février : de 6,4% à 6,5%, lit-on dans un rapport de l’Institut national de la statistique, qui a analysé le taux d’emploi des personnes âgées de 15 à 74 ans. De même, le nombre des personnes à la recherche d’un emploi a baissé en dessous des 600.000 au mois de mars. Par ailleurs, selon la même source, les managers de Roumanie s’attendent à une croissance de l’activité dans tous les secteurs de l’économie entre avril et juin 2016. Ils constatent une tendance d’augmentation modérée du nombre des salariés dans 3 secteurs : le BTP, le commerce de détail et les services. L’annonce a été faite par l’Institut national de la statistique. Selon l’institution, les prévisions pour les trois mois à venir indiquent une hausse des prix dans le commerce de détail.



    Salaires — Le président roumain Klaus Iohannis a promulgué vendredi la loi aux termes de laquelle les personnels de l’enseignement public recevront les sommes restantes représentant les bonus et les majorations salariales pour la période 2008-2011 sans avoir à agir en justice pour faire valoir leurs droits. Le document avait été adopté début avril par la Chambre des députés, qui est l’assemblée décisionnelle. Il prévoit que les personnels enseignants qui, à la date de l’entrée en vigueur de ladite loi, n’ont pas touché les différences salariales pour l’intervalle de temps mentionné toucheront cet argent de manière échelonnée sur une période de 5 ans.



    Visite — La princesse héritière Margareta de Roumanie et le prince Radu ont entamé vendredi une visite officielle à Stockholm, à l’invitation du roi Carl XVI Gustaf de Suède et de la reine Silvia. Ils participeront aux événements marquant le 70e anniversaire du souverain suédois. Par ailleurs, la princesse héritière Margareta de Roumanie et le prince Radu vont assister à l’office divin qui sera célébré le deuxième jour de Pâques, à l’Evêché orthodoxe roumain de Stockholm et rencontreront des membres de la communauté roumaine vivant en Suède. C’est la troisième visite officielle effectuée par la famille royale à l’étranger depuis le début de l’année, après la Turquie et la République de Moldova. La Maison royale rappelle qu’en 2002 le roi Michel 1er s’est rendu en visite officielle en Suède pour soutenir la candidature de la Roumanie à l’UE.



    Boxe — Le Roumain Lucian Bute doit rencontrer, dans la nuit de samedi à dimanche, à Washington, le Suédois Badou Jack, dans un match comptant pour le titre mondial WBC, soit la plus ancienne et la plus prestigieuse compétition de boxe. Bute (36 ans), ancien champion des super – moyens pendant quatre ans et demi, a 9 fois défendu avec succès son titre. S’il remporte le combat à Washington, Lucian Bute sera le seul Roumain détenteur de deux ceintures. Quant à son adversaire, Badou Jack (32 ans), il aura à défendre pour la deuxième fois son titre WBC.

  • 29.04.2016

    29.04.2016

    Colectiv — Le dossier de l’incendie de la discothèque Colectiv de Bucarest a été envoyé devant la justice. 139 personnes, 11 hôpitaux et 5 institutions s’y sont constituées parties civiles. 6 personnes y sont mises en examen. Il s’agit des 3 patrons de la discothèque et des représentants de la société responsable du feu d’artifices, à savoir la patronne, le directeur et l’employé qui a installé les feux d’artifices. Rappelons — le, l’incendie survenu le 30 octobre dernier dans la discothèque Colectiv de la capitale roumaine a fait 64 morts et plus d’une centaine de blessés. Cet incident a eu un fort impact social, étant suivi par damples protestations de rue suite auxquelles le premier ministre de lépoque, Victor Ponta, a démissionné.



    Flotte — Les policiers de frontières de Roumanie, d’Ukraine et de Turquie se proposent de créer une flotte commune de patrouille en mer Noire, censée être un facteur de stabilité dans la région. La mission des équipes mixtes des navires de combat visera les braconniers, les trafiquants de drogue et les équipements militaires navals qui franchissent illégalement la frontière maritime. A Bucarest, le ministre de la Défense, Mihnea Motoc, a fait savoir récemment que la Roumanie procéderait à la création d’une flotte de l’OTAN en mer Noire, ayant pour principal objectif la défense et la dissuasion. En réplique, la porte-parole du ministère russe des Affaires étrangères, Maria Zaharova, a déclaré qu’une flotte internationale de l’OTAN en mer Noire «minerait sévèrement la sécurité et la stabilité dans cette partie du continent et forcerait la Russie à répondre pour maintenir son niveau de sécurité. »



    Sécurité — Le ministre roumain de l’Intérieur, Petre Tobà, s’est entretenu jeudi à Bucarest avec son homologue de République de Moldova, Alexandru Jizdan. L’occasion de souligner l’importance de poursuivre la coopération bilatérale dans la lutte contre le crime organisé et transfrontalier. Les deux responsables ont signé un Protocole interministériel qui porte sur la formation des personnels et qui permet un accès plus large aux formes d’enseignement du ministère de l’Intérieur roumain et moldave. Selon Petre Toba, le ministère de l’Intérieur de Bucarest est toujours disposé à contribuer au processus de réforme au sein du ministère moldave, en renforçant son soutien tant au niveau opérationnel qu’à celui de la formation professionnelle.



    Opéra — Le Corps de contrôle du premier ministre a lancé un contrôle à l’Opéra national de Bucarest, visant entre autres à vérifier la manière dont les personnes ayant occupé ou occupant des fonctions dirigeantes ont été embauchées. Ces derniers jours, trois représentations ont dû être annulées en raison des mécontentements exprimés par le personnel de l’Opéra au sujet des nominations successives pour le poste de directeur général et des inégalités de revenus salariaux entre les danseurs roumains et ceux étrangers qui évoluent à l’Opéra de Bucarest. Sur la toile de fond de ce scandale, le ministre de la Culture Vlad Alexandrescu a démissionné, à la demande du premier ministre Dacian Ciolos, qui doit maintenant nommer un nouveau ministre.



    Emploi — Le taux de chômage est toujours à la baisse en Roumanie, ayant légèrement diminué en mars par rapport février : de 6,4% à 6,5%, lit-on dans un rapport de l’Institut national de la statistique, qui a analysé le taux d’emploi des personnes âgées de 15 à 74%. De même le nombre des personnes à la recherche d’un emploi a baissé en dessous des 600.000 au mois de mars. Par ailleurs, selon la même source, les managers de Roumanie s’attendent à une croissance de l’activité dans tous les secteurs de l’économie entre avril et juin 2016. Ils constatent une tendance d’augmentation modérée du nombre des salariés dans 3 secteurs : le BTP, le commerce de détail et les services. L’annonce a été faite par l’Institut national de la statistique. Selon l’institution, les prévisions pour les trois mois à venir indiquent une hausse des prix dans le commerce de détail.



    Boxe — Le Roumain Lucian Bute doit rencontrer, dans la nuit de samedi à dimanche, à Washington, le Suédois Badou Jack, dans un match comptant pour le titre mondial WBC, soit la plus ancienne et la plus prestigieuse compétition de boxe. Bute (36 ans), ancien champion des super – moyens pendant quatre ans et demi, a 9 fois défendu avec succès son titre. S’il remporte le combat à Washington, Lucian Bute sera le seul Roumain détenteur de deux ceintures. Quant à son adversaire, Badou Jack (32 ans), il aura à défendre pour la deuxième fois son titre WBC.

  • A la Une de la presse roumaine 29.04.2016

    A la Une de la presse roumaine 29.04.2016

    La Russie menace de mesures de rétorsion contre la Roumanie en cas daboutissement du projet de lOTAN, épaulé par Bucarest, visant la création dune flotte alliée en mer Noire et léchange sec entre les diplomatie des deux pays sétale dans les pages des journaux roumains. En outre, les journalistes bucarestois se penchent sur les raisons pour lesquelles un million et demi de Roumains “sont condamnés” à travailler au noir ou encore sur les négociations visant à créer une usine de voitures électriques sur le territoire roumain.


  • Nachrichten 05.03.2015

    Nachrichten 05.03.2015

    BUKAREST: Die Moldaurepublik bleibt nach wie vor eine Priorität der rumänischen Au‎ßenpolitik, auch im Kontext der Vorbereitungen für den Gipfel der Östlichen Partnerschaft in Riga kommenden Mai. Das erklärte der Staatssekretär für europäische Angelegenheiten im rumänischen Au‎ßenministerium, George Ciamba. Die Moldaurepublik müsse von der Amtseinführung einer neuen Regierung profitieren, um ihren europäischen Bestrebungen Nachdruck zu verleihen, so der rumänische Diplomat. Bukarest und Kischinew haben ihren Wunsch geäu‎ßert, dass die EU die Fortschritte der Moldaurepublik auch durch eine Neugestaltung der Nachbarschaftspolitik und der Östlichen Partnerschaft, anerkennt.



    BUKAREST: Eine NATO-Flotte befindet sich für gemeinsame Manöver mit den bulgarischen, rumänischen und türkischen Seestreitkräften im Schwarzen Meer. Die multinationalen Schnelleinsatz-Seestreitkräfte bestehen aus dem Lenkwaffenkreuzer USS Vicksburg und weiteren fünf Schiffen. Im Rahmen der Militärübungen werden Luftabwehr- und U-Boot-Abwehr-Attacken simuliert, sowie auch Militärstützpunkt-Manöver durchgeführt. Die rumänische Fregatte Regina Maria beteiligt sich ebenfalls an den Übungen. Die Spannungen in der Schwarzmeer-Region haben wegen des Konflikts in der Ostukraine und der Krim-Annexion durch Russland zugenommen.



    BUKAREST: Die frühere Ministerin für Fremdenverkehr, Elena Udrea, bleibt in Untersuchungshaft. Das Oberste Gericht wies die Klage gegen die in einem Korruptionsverfahren beschlossene Verhaftung vor einer Woche ab. Staatsanwälte werfen Udrea Bestechlichkeit und Amtsmissbrauch vor. Die als einflussreiche Nahestehende des Ex-Präsidenten Traian Basescu geltende Politikerin steht seit Tagen in den Schlagzeilen.



    BUKAREST: Rumäniens Justizminister Robert Cazanciuc hat Mängel im rumänischen Strafvollzug eingeräumt. Die Haftbedingungen in den rumänischen Justizvollzugsanstalten seien nicht die besten, sagte er. Für die Modernisierung der bestehenden Räumlichkeiten und den Bau neuer Gefängnisse müsse man mindestens eine Milliarde Euro auftreiben, erklärte der Minister weiter. Die Anzahl der Insassen habe in den vergagenen drei Jahren konstant rund 30.000 betragen, so Cazanciuc noch. Es sei keine Steigerung der Zahl absehbar, auch wenn die Öffentlichkeit über eine Welle von neuen Häftlingen spekuliere.