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  • Vacances tunisiennes pour les Roumains

    Vacances tunisiennes pour les Roumains

    Pour l’été, le ciel bleu, le sable fin, une mer chaude sont des atouts que les Roumains recherchent et apprécient. Si en plus il y a un patrimoine historique exceptionnel à visiter et que tout se passe à l’ombre des palmiers c’est encore mieux, et voilà déjà quelques atouts solides pour leur choix de vacances. Et on peut aussi assaisonner cela d’un mot magique – le désert — à découvrir nécessairement quand on pense à des vacances en Tunisie.



  • Offres à la Foire du Tourisme de la Roumanie

    Offres à la Foire du Tourisme de la Roumanie

    Adrian Vlaicu, chef du Bureau de marketing à la compagnie ferroviaire CFR Călători (CFR Voyageurs) nous suggère, quelle que soit notre destination, de prendre un moyen de transport plus amical avec la nature : « CFR Călători assure le transport au niveau national, mais aussi à l’international. La compagnie propose des connexions directes avec Vienne, Budapest, Sofia, Istanbul ou Chisinau. Ceux qui souhaitent utiliser nos services trouveront des destinations vers toutes les régions de Roumanie. Nous avons des offres pour chaque personne, pour chaque niveau de confort souhaité et pour chaque région du pays. Toutes sont à retrouver sur notre site Internet, et le personnel des gares vous fournira toutes les informations nécessaires afin que vous puissiez choisir la meilleure option qualité-prix. »

    Le littoral de la mer Noire a été bien représenté à la Foire du Tourisme. De grands stands généreux ont été organisés, avec des images envoûtantes des stations roumaines à la mer Noire. Camelia Ciurea, directrice d’une agence de voyages à Constanta, précise : « Depuis 20 ans, nous faisons la promotion du littoral roumain. Ces dernières années, les investissements ont été très importants et un changement majeur s’est opéré sur la côte roumaine. Les anciens hôtels deux étoiles de Neptun, par exemple, ont été rachetés et rénovés. Beaucoup ouvrent leurs portes cette année avec un concept tout compris, avec piscines, terrains de jeux pour enfants, et sont désormais des hôtels de trois ou quatre étoiles. Nous organisons également des excursions d’une journée aux alentours. La plus demandée est celle au delta du Danube. Nous emmenons les touristes de l’hôtel à Murighiol, où ils embarquent dans des bateaux de 8-10 places pour une promenade d’environ trois heures à travers le delta. Un déjeuner à base de poisson leur est ensuite réservé, un vrai régal. Beaucoup de touristes n’ont pas encore découvert le delta du Danube, et ce voyage est littéralement mirifique. »

    Nous restons dans la région et nous entretenons avec Andrei-Răzvan Sorică, vigneron à la Cave Hamangia : « Il ne faut pas rater le delta du Danube et le comté de Tulcea. Nous avons le delta, la mer, les Monts Măcin, mais aussi de nombreux vins. Nous avons de grands vignobles et de belles caves à vin. Les touristes peuvent passer du bon temps dans notre région. Du point de vue gastronomique, il y a beaucoup d’endroits où l’on mange du poisson délicieux. »

    Dan Carpov, directeur du Centre d’information et de promotion touristique de Maramures (nord-ouest), annonce aux touristes que l’application mobile Visit Maramures peut être un guide parfait pour les touristes en vacances : « Nous sommes fiers de notre présence à l’édition de printemps de la Foire du Tourisme de la Roumanie. Pour nous, c’est l’événement du début d’année au niveau national. Nous avons toute une série d’offres pour les vacances de Pâques. Notre application mobile est à jour. Nous sommes heureux d’annoncer aux utilisateurs qu’ils trouveront tous les événements qui ont lieu au Maramures en 2020. Parce que les vacanciers d’Europe Occidentale sont très bien organisés et que nous essayons de reprendre leur modèle, notre application a été recommandée par les voyagistes étrangers, même par les petites organisations, pour le tourisme écologique et rural. En 2020, nous nous sommes alignés à ce défi au niveau mondial. C’est l’année du tourisme rural et écologique. »

    Hunedoara (centre-ouest) propose aussi une application aux touristes. Camelia Bedea, directrice de l’Agence de développement économique et social du comté de Hunedoara, explique : « C’est un département plein d’histoire, de traditions et peuplé de braves gens. Pour le touriste roumain ou étranger, nous avons récemment acheté une application mobile de tourisme, Discover Hunedoara (Découvrir Hunedoara). Vous y trouverez toutes les informations relatives à des sites touristiques, à l’hébergement, aux produits traditionnels, ainsi qu’aux événements. Il y a dix modules et c’est un guide touristique très complet. »

    Au même stand, nous avons également rencontré Sorin Tincu, directeur du Château des Corvin de Hunedoara : «C’est l’un des monuments gothiques du XVe siècle les mieux conservés de Roumanie, et peut-être même de l’Europe du sud-est. En le visitant, on peut faire une découverte de l’histoire de la Transylvanie. Le château est en bon état. Des travaux de restauration sont en cours, et ils prendront deux ans. Pendant ce temps, nous accueillons nos visiteurs, mais avec certaines restrictions, selon les zones en travaux.»

    Alina Ferenț représente le Centre d’information et de promotion touristique de Piatra Neamț (est) : « C’est un espace avec de nombreuses activités de loisirs. Il existe beaucoup d’options pour passer du temps à la fois dans la ville et dans ses environs. Sur une distance de 40 km autour de la ville on organise beaucoup d’excursions vers les monastères vieux de plusieurs siècles. Nous avons des réserves naturelles spéciales, qui se prêtent à la randonnée. Les Gorges de Bicaz sont uniques en Roumanie. Là, des falaises de 300 mètres bordent la route. Le comté de Neamţ est le seul de Roumanie où les bisons d’Europe soient en semi-liberté, dans une zone d’acclimatation. »

    Viorica Flocea, artisane de Bucovine (nord), a fait des démonstrations de peinture sur œufs : « J’ai un atelier à la maison, qui peut être visité, et où je travaille avec des groupes d’enfants. J’accueille aussi des touristes désireux de voir et d’apprendre à travailler dans des ateliers. J’ai reçu des touristes étrangers, de France et d’Angleterre, par exemple. Pour eux, c’était une expérience unique. En région de plaine, les motifs utilisés sont des représentations de feuilles et de fleurs, mais chez nous, dans les montagnes, nous employons des motifs géométriques. Les couleurs de notre région sont le brun et le noir. »

    Traian Bădulescu, consultant en tourisme, vice-président du Club de la presse de tourisme FIJET de Roumanie, a déclaré que la présentation des destinations touristiques en Roumanie à la foire de cette année a été un succès : «Je me félicite de voir toujours plus d’associations régionales et de conseils départementaux avec des stands de plus en plus animés. Non seulement ils sont attrayants, mais ils ont aussi des offres intéressantes, point de vue attractions touristiques, traditions ou gastronomie. J’ai vraiment aimé le stand du comté de Tulcea (est). Depuis plusieurs années, les producteurs de Dobroudja (sud-est) proposent de très bons vins. De nouvelles destinations préférées se sont fait jour. De plus en plus de touristes viennent à Bucarest pour un city break ces dernières années. Une augmentation significative du nombre de touristes a également été constatée dans les villes de Transylvanie, comme Oradea ou Timisoara, en particulier celles qui ont des liaisons aériennes avec l’Occident.»

    Pendant les quatre jours, les visiteurs ont pu profiter de réductions dans toutes les destinations en Roumanie. La prochaine édition de la Foire du tourisme roumain aura lieu en novembre. (Trad. Ligia Mihaiescu)

  • 20.02.2020

    20.02.2020

    Conseil Européen – Le président roumain Klaus Iohannis participe ce jeudi, à Bruxelles, à la réunion extraordinaire du Conseil européen. Le principal sujet de la réunion vise le cadre financier pluriannuel de l’UE pour la période 2021 – 2027. Selon un communiqué de l’Administration présidentielle de Bucarest, Klaus Iohannis y plaidera pour un financement approprié de la politique de cohésion et de la Politique agricole commune, soulignant que la Roumanie doit bénéficier d’allocations substantielles pour ces deux politiques, comme instruments censés réduire les décalages en termes de développement entre les Etats membres. Le chef de l’Etat roumain soulignera aussi l’importance d’assurer des conditions de mise en place flexibles et simplifiées, censées permettre aux bénéficiaires un accès plus facile aux fonds européens. Par ailleurs, les déclarations de mercredi de plusieurs dignitaires européens laissent entendre que les négociations sur le futur budget pluriannuel de l’Union européenne, le premier après le Brexit, seront dures et compliquées.

    Procureurs – Le président roumain Klaus Iohannis a signé jeudi les décrets de nomination des procureurs en chef du Parquet de la Haute Cour de Cassation et de Justice, de la Direction nationale anticorruption (DNA) et de la Direction d’investigation des infractions de crime organisé et de terrorisme. Pendant les 3 années à venir donc, Mme Gabriela Scutea se retrouvera à la tête du Parquet de la Haute Cour de Cassation et de Justice, M Nicu Bologa sera en charge du paquet anticorruption, alors que Mme Elena-Giorgiana Hosu sera la cheffe du parquet antiterrorisme. Notons aussi que les deux dames ont reçu un avis négatif de la part du Conseil Supérieur de la Magistrature, un avis qui est pourtant consultatif.

    Diplomatie – Le ministre désigné des Affaires étrangères, Bogdan Aurescu, a ce jeudi, à Berlin, des consultations politiques avec son homologue allemand, Heiko Maas, et avec le chef de l’Administration présidentielle fédérale, Stephan Steinlein. La visite a lieu, de manière symbolique, le jour du 140e anniversaire des relations diplomatiques roumano-allemandes. Selon le ministère des Affaires étrangères de Bucarest, elle vise à confirmer le caractère privilégié, de nature stratégique, des relations bilatérales. La coopération roumano-allemande se caractérise par un dialogue politique et diplomatique intense, par une dynamique économique en développement continuel et par les contacts interhumains spéciaux, mis en valeur par la minorité allemande de Roumanie et la communauté roumaine d’Allemagne, précise encore le communiqué.

    Attaques – Dans un message posté ce jeudi sur Twitter, le président roumain Klaus Iohannis condamne fermement les attaques violentes sur des personnes innocentes perpétrées dans la ville allemande de Hanau. Le chef de l’Etat transmet des condoléances aux familles des victimes. « La Roumanie est solidaire avec l’Allemagne », écrit encore Klaus Iohannis. Rappelons-le, 9 personnes ont été tuées mercredi soir à Hanau, près de Frankfort (centre) dans 2 attaques sur des bars du centre-ville. Le suspect a été retrouvé mort dans son habitation et il avait laissé une lettre exprimant ses convictions d’extrême – droite a fait savoir la police allemande.

    Tourisme – L’édition de printemps du Salon du tourisme de la Roumanie a démarré ce jeudi à Bucarest. D’ici dimanche, quelque 300 agences de tourisme présenteront leurs meilleurs paquets et leurs offres pour la Roumanie et pour l’étranger. Des réductions substantielles sont prévues allant jusqu’à 50% du prix normal. Les destinations estivales les plus recherchées par les Roumains cette année sont la Turquie, la Grèce, l’Espagne, la Tunisie et l’Egypte, sans oublier les vacances exotiques à Bali ou en Thaïlande.

    Coronavirus – Un deuxième ressortissant roumain, se trouvant à bord du navire de croisière « Diamond Princess », en quarantaine au Japon, a été diagnostiqué positif au nouveau coronavirus. Il a été hospitalisé à Tokyo, selon le ministère des Affaires étrangères de Bucarest. Selon la même source, l’état de santé du Roumain, qui est membre de l’équipage, est bon. Une évolution positive et un état de santé stable caractérise également le premier Roumain infecté au coronavirus, lui aussi membre de l’équipage du paquebot. En même temps deux passagers octogénaires sont décédés en raison du virus, alors que 600 personnes au total sont infectées à bord de ce navire placé en quarantaine dans port japonais de Yokohama. Par ailleurs, ce jeudi, la Chine a rapporté la baisse la plus significative du nombre d’infections par le nouveau coronavirus dans la province de Hubei (centre), soit le quart de la veille. Au niveau national, ls statistiques chinoises font état de 114 nouveaux décès recensés mercredi soir, ce qui porte à 2118 le nombre total des victimes de l’épidémie, alors que le nombre des contaminations est d’environ 74.500.

    Berlinale – La 70e édition du Festival du Film de Berlin, un des plus importants au monde, se déroule dans la capitale allemande à compter de ce jeudi jusqu’au 1er mars. A l’affiche de ces 10 jours de festival : 340 pellicules dont 18 faisant partie de la compétition pour le grand prix, l’Ours d’or. La Roumanie n’y manque pas. Le plus récent long métrage de Cristi Puiu, « Malmkrog » ouvrira, vendredi, la section Encounters. Ce film est une adaptation en langue française du le poème « Trois rencontres » du philosophe et écrivain russe Vladimir Soloviov. Un autre réalisateur roumain, Radu Jude, participe dans la section Forum avec deux films : « Typographique majuscule » et « La sortie des trains de la gare ». Le même Radu Jude est présent aussi à la Foire du film de la Berlinale avec le projet « Les somnambules », décrit par les critiques comme « une comédie populaire sur le sexe, la technologie et la société ».

    Dubaï – Au tournoi de tennis de Dubaï, la Roumaine Simona Hale (n° 2 WTA et principale favorite du tournoi) affronte aujourd’hui la Biélorusse Arina Sabalenka (n° 13 WTA) dans les quarts de finale. Mercredi, notre compatriote a obtenu une victoire difficile face à la Tunisienne Ons Jabeur (n° 45 WTA). Simona Halep a nécessité l’intervention des médecins avant le set décisif, accusant des douleurs de dos. Ancienne leader mondial, Simona Halep a remporté le trophée de Dubaï en 2015, l’année dernière est arrivée dans les quarts de finale de cette compétition.

    Météo – Temps plutôt morose ce jeudi en Roumanie, avec des températures à la baisse sur la plupart du territoire. Des précipitations mixtes sont signalées sur l’ouest, le centre et le nord et de la neige en montagne. Les maxima de la journée iront de 4 à 12 degrés. 6 degrés et de la pluie à midi à Bucarest.

  • 14.11.2019

    14.11.2019

    Budget – Ces trois dernières années, l’économie roumaine a été gérée conformément à deux budgets. L’un, présenté au Parlement, n’était assumé ni par le premier ministre, ni par les ministres des finances des cabinets sociaux-démocrates. L’autre, qui reposait sur des informations réelles, était utilisé pour financer les projets des chefs de conseils départementaux du parti au pouvoir. Ces propos appartiennent au nouveau ministre des Finances, le libéral Florin Cîtu qui promet de saisir les autorités compétentes au sujet de cette situation. Aux dires du ministre, le déficit budgétaire sur les 10 derniers mois s’élève à 2,84% du PIB, un taux qui dépasse les estimations sur l’ensemble de l’année. Si aucune mesure n’est adoptée au cours du prochain mois et demi, le déficit pourra dépasser la barre des 4% du PIB. Il y a un trou d’environ un demi-milliard d’euros dans le budget de la caisse nationale de pensions de retraite, a dit M Cîtu, selon lequel tous les collectifs budgétaires précédents auraient dû être négatifs.

    Décret
    gouvernemental –
    Le cabinet de Bucarest a adopté un décret d’urgence relatif au
    régime juridique des ressortissants britanniques de Roumanie, au cas où le
    Royaume Uni quitte l’Union européenne sans accord. La Roumanie était l’unique
    Etat de l’UE à ne pas avoir adopté un tel document. Ionel Danca, chef de la
    chancellerie du premier ministre a précisé que le Royaume-Uni avait demandé
    l’introduction de ce décret, qui vise à régler cette situation selon le
    principe de la réciprocité, en cas de Brexit sans accord.

    Commissaire européen – L’eurodéputée libérale roumaine Adina Valean, proposée au portefeuille des Transports, est auditionnée aujourd’hui dans les commissions spécialisées du Parlement européen, aux côtés des commissaires proposés par la France et la Hongrie. Mardi, elle a reçu l’avis favorable de la Commission des Affaires juridiques, qui a examiné préalablement « les conflits d’intérêts potentiels ou réels » des trois candidats. Mardi encore, la Roumaine a été auditionnée par les Commissions réunies des Affaires européennes du Parlement de Bucarest, dont l’avis est consultatif. A la fin des auditions, la présidente de la Commission européenne, Ursula von der Leyen, présentera l’équipe de commissaires et le programme de la Commission dans le cadre d’une réunion du plénum communautaire, le 27 novembre.

    Marine – La frégate roumaine Regele Ferdinand (Roi Ferdinand) participe jusqu’au 20 novembre à un exercice multinational de lutte anti-sous-marine, organisé en Méditerranée par les forces navales turques, fait savoir l’État-major des Forces navales roumaines. L’équipage du bâtiment de guerre roumain mène des activités d’instruction spécifiques dans les eaux territoriales de la Turquie et dans les eaux internationales adjacentes, aux côtés de camarades de plusieurs pays : Bulgarie, Canada, Grèce, Jordanie, Italie, Mexique, Pakistan, Espagne, Etats-Unis et Turquie. Selon les Forces navales roumaines, la participation de la frégate Regele Ferdinand à cet exercice contribue à l’accroissement de l’interopérabilité entre les marins roumains et ceux des pays partenaires, ainsi qu’à promouvoir le professionnalisme de l’Armée roumaine en milieu international.

    Economie – Le PIB de la Roumanie a progressé de 4% durant les 9 premiers mois de l’année 2019, par rapport à la période similaire de l’année dernière a annoncé aujourd’hui, l’INS. Et pourtant, la croissance de l’économie roumaine a ralenti durant le troisième trimestre de cette année à 3% par rapport à une avancée de 4,4%, enregistré durant le deuxième trimestre. Le taux de croissance de l’économie roumaine connaitra une progression légère allant jusqu’à 4,1% cette année pour se poser à 3,6% en 2020 et 3,3% en 2021, selon la Commission européenne.

    Foire du tourisme – Coup d’envoi ce jeudi à Bucarest de la foire du tourisme la plus importante de Roumanie, qui réunit 230 entreprises du secteur de 16 pays. Y sont présents agences de voyage et tour-opérateurs, mais aussi régions touristiques représentées par des associations des professionnels du domaine et par des autorités locales. Les visiteurs peuvent trouver toujours des offres de vacances pour l’hiver 2019, mais surtout des options pour la saison de l’été 2020 à des prix cassés. Les rabais vont jusqu’à 45%.

    Handball – Le club champion de Roumanie au handball, Dinamo Bucarest demeure invaincu dans la Ligue des Champions, après le résultat d’égalité enregistré contre les suédois d’IFK Kristianstad, 29 partout dans le groupe D. Dinamo qui est déjà qualifié aux play-offs de la compétition mène le classement avec 13 points suivi par GOG Gudme (du Danemark) 9 points et Orlen Wisla Plock, (Pologne) 7 points. Le classement se poursuit par Kadetten Schaffhausen (Suisse), 6 points, IFK Kristianstad, (Suède) 5 points et Cehovskie Medvedi(Russie), 4 points. Dinamo affrontera ensuite à domicile les Tchèques cu Cehovskie Medvedi, le 20 novembre.

    Foot – La sélection nationale de foot des moins de 21 ans reçoit aujourd’hui la visite de la Finlande, dans le 8 e groupe préliminaire de l’Euro 2021. Le Danemark est en première position dans le groupe avec 9 points, suivie par la Finlande avec 7 points et par la Roumanie avec 6 points.

    Météo
    En Roumanie, les températures demeurent supérieures de beaucoup par rapport aux
    moyennes pluriannuelles de la deuxième moitié du mois de novembre. Le ciel est
    assez nuageux sur la majorité des régions et il pleut sur le relief. Le vent
    est également fort, notamment sur le relief, où sa vitesse dépasse parfois les
    100 km à l’heure. Les températures vont de 12 à 19 degrés. 15 degrés sous un
    ciel de plomb à Bucarest.

  • La Roumanie, une destination touristique attrayante

    La Roumanie, une destination touristique attrayante

    Les paysages montagneux spectaculaires, la biodiversité du Delta du Danube, la beauté inouïe des villages traditionnels ou encore l’attraction que peuvent exercer les monuments historiques multiséculaires ne constituent que les prémisses d’un véritable développement de ce secteur de l’économie. Il faudrait consentir à faire d’autres efforts pour mieux performer. La récente Foire du tourisme de Bucarest a été l’occasion rêvée pour pas mal de compagnies de présenter leur modèle d’affaires, les innovations et les réussites qui ont fait leurs preuves dans le domaine du tourisme en Roumanie.

    Meidan Butnaru est le directeur commercial d’un des plus importants tour-opérateurs israéliens présents sur place. Originaire de notre pays, il est particulièrement sensible aux lieux et aux gens du terroir. Il est également au fait des problèmes et des défis rencontrés par le secteur du tourisme en Roumanie, mais il a aussi remarqué les opportunités spécifiques. Cela a permis à Meidan Butnaru de construire une offre touristique qui s’est avérée viable : « C’est bien moi qui a lancé, il y a 4 ans, si je ne m’abuse, la première offre de type city break à Bucarest. Tout le monde était sceptique, on disait que Bucarest est une ville d’affaires et qu’il n’y aurait rien pour les touristes. Pour ma part, je leur ai dit que, si on savait vendre le produit, les touristes suivraient. Pour preuve, il y a plein de compagnies qui nous ont ensuite emboîté le pas, et actuellement Bucarest est bondée de touristes. Mon ambition c’est de toujours montrer ce que l’on peut faire. J’avais aussi dit que la clé du développement du tourisme en Roumanie c’était la voie aérienne, et ça on le voit clairement. Nous avons ainsi lancé les premiers vols charter vers Bucarest, il y a 4 ans, et nous avons mis en valeur la formule du city break. Et aujourd’hui tout le monde nous suit. Du coup, on encourage le développement du marché aérien. »

    Certaines entreprises du secteur du tourisme visent la côte de la mer Noire, et en particulier la station de Mamaia, située au nord de Constanta, le principal port maritime roumain. Dernièrement, Mamaia est devenue un pôle des attractions estivales, dotée d’hôtels et de boîtes de nuit très à la mode. Meidan Butnaru nous présente toutefois sa vision un peu décalée de cet endroit: « Mamaia, en Roumanie, vise un public qui veut s’éclater. Nous, en revanche, nous l’avons promue à l’intention des familles. Alors, notre trafic aérien destiné aux touristes qui vont rejoindre Mamaia est réalisé à 89% pour des familles. C’est certainement plus rentable. Plutôt que de vendre une place, on en vend 4 ou 5, il y a les deux parents avec leurs enfants. Donc, plutôt que de conclure 5 transactions individuelles, j’en conclus une seule, et 5 places d’avion sont parties. C’est plus facile, j’arrive plus vite au taux d’occupation escompté. »

    Pour satisfaire la demande croissante des touristes israéliens, la compagnie qui emploie Meidan Butnaru a bien dû lancer de nouveaux produits : « Nous, on s’agrandit constamment, depuis 15 ans. Si, jusqu’il y a un an, on n’offrait que des paquets de 6 ou de 7 nuitées, depuis l’année passée nous avons aussi une offre de circuit étalé sur 4 jours. Une autre formule, qui rencontre un franc succès, est le circuit intégré, qui marie le littoral à la montagne, mais qui ne se pratiquait plus de nos jours. Les gens pestaient contre le manque d’infrastructures, contre ceci, contre cela. Or, c’est faux. Tout est affaire de bien présenter l’offre au client, au touriste, c’est ce qui importe. Nous avons donc lancé cette formule et, ça va vous surprendre, le plus grand nombre de clients ce sont des familles avec enfants. Parce que nous y avons introduit toutes les attractions de la côte, le parc aquatique, le cirque, le delphinarium… Puis, si la demande suit, nous allons les amener jusqu’à Tulcea, dans le Delta du Danube, en bateau. L’idée c’est que nous diversifions nos produits, et nous envisageons de réserver un avion pour ce genre de circuits. Les cars attendront les touristes à l’aéroport et, à l’instar de ce qu’on fait à partir de Bucarest, pour aller à Brasov, à Sibiu, on partira depuis le bord de la mer Noire vers le nord… »

    D’évidence, la descente massive de touristes peut mettre à rude épreuve les capacités des opérateurs roumains. Meidan Butnaru, le directeur commercial d’un des plus importants tour-opérateurs israéliens actifs sur le marché roumain, précise: « Les hôteliers, notamment ceux de Bucarest, ont augmenté leurs tarifs dernièrement, surtout les deux dernières années. C’est terrible ! Si cela va continuer, on aura un problème. Nous collaborons avec tout le monde, mais je pourrais leur ramener plus de touristes, à condition de pouvoir bénéficier de chambres à des prix raisonnables. On n’arrête pas de ressasser que la Roumanie est bon marché pour ses restaus, le shopping, les taxis, mais elle devient chère pour ses hôtels, surtout à Bucarest. Très, très chère. Plus chère qu’à Budapest ou à Prague, plus chère que dans bien d’autres destinations. La ville de Bucarest, il est vrai, s’est beaucoup développée, la Roumanie s’est développée… Pour moi, je vous le dis franchement, le seul frein que je voie c’est la hausse des tarifs hôteliers à Bucarest. »

    Malgré tout, on reste optimiste quant aux perspectives de croissance du secteur, affirme Meidan Butnaru. Bien qu’il ne suffise pas de se fier aux projections pour réaliser du profit : « Nous sommes tous d’accord que la Roumanie est un beau pays, n’est-ce pas ? Oui, en effet, elle est belle, et on peut en faire du profit. Certes, il nous manque ceci, il nous manque cela. Mais, s’en plaindre à l’infini n’est pas la bonne solution. Nous avons apporté la preuve que l’on peut faire du bon boulot avec les ressources actuelles. Il est vrai que certaines ressources se laissent attendre. Mais voilà, les mentalités changent, il y a de nouvelles opportunités… Et tout le monde a compris que l’on peut faire un bon travail si on y met du sien. » (Trad. Ionut Jugureanu)

  • Offres à l’édition d’automne de la Foire de tourisme de la Roumanie

    Offres à l’édition d’automne de la Foire de tourisme de la Roumanie

    Au stand du comté de Neamţ régnait une ambiance de fête. Papa Noël était au rendez-vous, avec son traîneau, garé au milieu des maisonnettes de contes de fées.

    La conseillère Luiza Niculei nous présente l’offre du comté : « La foire de Noël de Neamţ sera ouverte du 15 décembre au 1er janvier prochain. C’est une foire des coutumes et des traditions, mais aussi des produits traditionnels. 38 maisonnettes seront installées pour leur commercialisation. Des concerts sont également prévus. Nos visiteurs roumains et étrangers passeront des journées de rêve. Le 15 décembre, le sapin de Noël, placé devant la Cour princière, sera orné. »

    Organisée pour la première fois l’année dernière, la foire de Noël de Neamţ a joui d’un grand succès, attirant plus de 100.000 visiteurs. Cette année, les organisateurs espèrent accueillir 200.000 visiteurs.

    Sanda Viţelar est conseillère chargée de la communication et des médias au Conseil départemental de Mureş. Elle a été présente à la Foire de tourisme avec des cartes et du matériel documentaire sur les plus importants sites du comté, dont la cité médiévale de Sighişoara. A son avis, le comté de Mureş est une destination pour tous, en toute saison.

    Sanda Viţelar: « C’est une destination qui offre tout ce qu’un touriste peut souhaiter – sauf la mer. Nous avons en revanche l’eau salée de nos deux stations balnéaires : Sovata et Sângeorgiu de Mureş. Sovata est largement connue grâce au Lac Ursu, unique dans cette partie de l’Europe pour son effet héliothermique, dû à la rencontre des eaux salées et douces. La station profite de conditions balnéaires et climatiques remarquables. Sângeorgiu de Mureş est devenu une station touristique cette année, elle est donc très jeune. Son centre de remise en forme utilise des sources d’eau salée jaillissantes, très efficaces dans le traitement des maladies du système osseux. Ensuite, il y a le tourisme alpin et les beautés naturelles. Dans la vallée du Mureş se trouvent les Gorges de Deda-Topliţa et la Réserve naturelle des Monts Călimani. Les touristes peuvent également découvrir les nombreuses traditions et coutumes de la région. »

    Violeta Niţescu est la représentante d’une société commerciale de la station balnéaire de Govora, qui gère plusieurs hôtels. Parmi eux, un 4 étoiles qui se distingue par sa somptuosité et sa riche histoire.

    Violeta Niţescu : « Il s’agit d’un édifice construit en 1914. Ce fut le premier hôtel de Roumanie disposant d’un établissement de cure. Grâce à un financement européen obtenu en 2013, il est redevenu ce qu’il était jadis. C’est une construction magnifique. Dans les premiers mois de l’année 2018, un séjour y coûtera 180 euros. Il s’agit d’un paquet promotionnel comportant 5 nuitées avec petit déjeuner compris et un repas à midi ou le soir – au choix -, ainsi que 15 procédures médicales gratuites et la consultation médicale réalisée par notre médecin spécialiste. S’y ajoute l’accès illimité au centre de remise en forme, très moderne, avec jacuzzi, hammam, saunas et piscine pour enfants. Il est agréable de loger dans un bâtiment classique et de profiter d’un centre SPA et d’un établissement balnéaire modernes ».

    Lucia Solomon, du Centre d’information touristique de Timişoara, nous présente la ville désignée Capitale européenne de la culture en 2021: « Notre stand propose du matériel nouveau et des clips vidéo censés promouvoir les festivals annuels accueillis par Timişoara. Nous commençons au printemps par « Tim Floralis », un festival des fleurs organisé d’habitude aux mois d’avril ou de mai. A ce moment-là, toute la ville s’habille en couleurs, les tulipes sont en fleurs, le centre de Timişoara est orné de fleurs et des fleuristes importants de Roumanie et de l’étranger s’y donnent rendez-vous. Ensuite, il y a le Festival de jazz, début juillet, qui se déroule en même temps que le « Festival des cœurs », qui est une manifestation folklorique. Nous avons également un festival d’opéra et d’opérette. Ils sont tous très attractifs. »

    Maximilian Drăgan est le coordinateur du programme « Sibiu, région gastronomique 2019 ». C’est un projet ambitieux qui se propose d’associer tourisme et éducation alimentaire.

    Maximilian Drăgan: «Nous lançons un défi intéressant en matière de tourisme en Roumanie. Si, en 2007, la ville de Sibiu, Capitale européenne de la culture, apportait une teinte culturelle aux programmes touristiques, à partir de 2019, nous nous proposons d’y associer la gastronomie et de promouvoir des destinations touristiques intéressantes de ce point de vue, à commencer par les villes de Sibiu et de Mediaş. Ce projet est orienté vers l’alimentation saine : régimes alimentaires spéciaux et attention à accorder à l’alimentation des enfants, vu que le taux de l’obésité infantile a doublé ces dernières années. Le tout dans des offres touristiques pour un nouveau style de vie en 2019.»

    La renommée du Maramureş a dépassé depuis longtemps les frontières de la contrée et du pays. Dan Carpov, représentant de l’Office de tourisme du Conseil départemental du Maramureş, nous propose son offre pour Noël : « Ces derniers temps, nos offres sont toujours plus diversifiées et plus orientées vers les familles. Au Maramureş, les prix sont compétitifs. Un séjour à Noël y coûte entre 1000 et 1500 lei (soit 215 à 320 euros). Les paquets comportent entre autres des voyages à bord de la « mocăniţa », fameux petit train utilisant des rails à écartement étroit et des locomotives à vapeur. Le séjour du Nouvel an coûte un peu plus cher, car il comprend le repas de la Saint Sylvestre. Les prix vont donc de 1500 à 2000 lei (soit 320 à 430 euros). Les familles bénéficient de promotions. Le taux d’occupation est déjà élevé pour beaucoup de pensions. »

    La Foire de tourisme a fermé ses portes ; pourtant, certaines offres sont toujours valables. Profitez-en ! (Trad. : Dominique)

  • 07.03.2017 (mise à jour)

    07.03.2017 (mise à jour)

    Salaires – Le gouvernement roumain souhaite préparer la loi de la grille unique des salaires avant la fin du 2e trimestre de l’année. C’est ce qu’a déclaré le premier ministre roumain Sorin Grindeanu dans une interview pour la radio publique. Il a affirmé que, dans le secteur public, les salaires en dessous des 4000 lei pourraient doubler d’ici 3 ou 4 ans, un effort financier estimé à 32 milliards de lei. Toutefois, tout dépend des performances de l’économie roumaine, a précisé le premier ministre. Par ailleurs, il a ajouté que son cabinet ne soutenait pas les récents amendements formulés pas le sénateur social-démocrate Serban Nicolae au projet de loi portant grâce à certaines catégories de détenus, dans le sens d’y inclure les personnes condamnées pour des faits de corruption. A son tour, le leader du Parti Social Démocrate, Liviu Dragnea, a déclaré mardi qu’il n’était pas en faveur de la grâce des infractions liées à la corruption.

    Syndicats – Mardi, à Bucarest, un nouveau round de pourparlers au sujet de la loi de la grille unique des salaires, a eu lieu entre les leaders syndicaux des policiers d’une part, les ministres de l’Intérieur Carmen Dan et celui des Finances, Viorel Ştefan, de l’autre. Les discussions se poursuivront jeudi, le ministère des Finances devant présenter une analyse de l’impact budgétaire des exigences des policiers. Néanmoins, la situation de conflit est à moitié résolue, ont précisé les ministres. Les policiers sont surtout mécontents du fait que les bonus ne s’appliquent pas aux employés qui touchent le salaire minimum à l’échelle nationale, qui se chiffre actuellement à 1.450 lei (soit environ 320 euros), mais à une somme qui est gelée depuis décembre dernier. Des négociations au sujet de la grille unique des salaires ont eu lieu mardi aussi avec les syndicats du système sanitaire. Les débats se poursuivront jeudi avec les représentants des syndicats de l’Education et vendredi – avec les syndicats du secteur culturel.

    Réunion – La ministre roumaine déléguée aux Affaires européennes, Ana Birchall, a participé mardi, à Bruxelles, à la réunion du Conseil des Affaires générales. L’occasion pour les participants d’adopter formellement le projet de conclusions du Conseil sur le rapport concernant le Mécanisme de coopération et de vérification. Selon la ministre, ces conclusions sont équilibrées et reflètent l’engagement des autorités roumaines de continuer la lutte contre la corruption et la réforme du système judiciaire. Elles recommandent la poursuite du dialogue avec l’Exécutif communautaire afin de pouvoir atteindre la finalisation du MCV. Par ailleurs, les discussions de Bruxelles ont porté sur les derniers préparatifs en vue du Conseil européen de printemps, prévu les 8 et 9 mars. Toujours lors du Conseil des Affaires générales, la présidence maltaise du Conseil a informé les ministres participants au sujet de la mise en pratique de l’Accord inter institutionnel « Mieux légiférer », adopté en mars 2016. Un accord qui devrait rendre plus transparent et plus facile à comprendre le processus législatif de l’UE.

    Missiles – Le ministère roumain des AE a
    fermement condamné les récents lancements de missiles balistiques par la Corée
    du Nord. Par cette action, les responsables de Pyongyang ont transgressé les
    résolutions du Conseil de Sécurité de l’ONU, leur demandant de renoncer aux
    programmes balistiques, et ont défié l’appel de la communauté internationale
    qui leur a demandé de cesser de commettre des actes provocateurs à l’adresse de
    la paix et de la stabilité dans la Péninsule Coréenne, lit-on dans le
    communiqué du ministère des AE de Bucarest. La Roumanie invite la Corée du Nord
    à respecter les normes internationales en vigueur et à revenir à la table des
    négociations en format de 6. Rappelons-le, lundi, Pyongyang a lancé plusieurs
    missiles dans la Mer du Japon.


    Tourisme – 40 tour-opérateurs roumains participent du 8 au 12 mars à la Foire de Tourisme de Berlin, le plus grand événement du profil au monde. Le stand roumain y présentera des destinations pour l’ensemble du pays et des démonstrations de peinture d’œufs, de designs de costumes traditionnels et de création de bijoux traditionnels roumains. Les visiteurs seront également invités à découvrir la musique et les danses traditionnelles roumaines, sans oublier la gastronomie. Présent à l’événement, le ministre roumain du Tourisme, Mircea Titus Dobre rencontrera ses homologues de Pologne, de Serbie et d’Ukaine. Il a également été invité par les organisateurs de la Foire de Berlin à tenir un discours au Salon du Danube, soit une conférence consacrée aux projets touristiques communs des pays riverains du Danube.

    Prince Charles – Le Prince Charles fera une visite officielle en Roumanie du 29 au 31 mars, a fait savoir l’Ambassade de la Grande Bretagne à Bucarest. C’est la 2e visite officielle en Roumanie de l’héritier de la Couronne royale britannique depuis 1998. La Roumanie est une première étape d’une tournée régionale qui comportera également des visites en Italie et en Autriche, apprend-on de la même source. Ces dernières années, le Prince Charles a fait des visites privées en Roumanie où il détient plusieurs propriétés où il passe une partie des vacances. La dernière en date était en 2016. Prince Charles est passionné par l’architecture médiévale saxonne de Transylvanie.

    Météo – Dans les 24 prochaines heures, il fera toujours très chaud en Roumanie. Le ciel sera pourtant couvert par endroits et l’on attend de la pluie sur le sud et le sud-ouest. Les températures maximales iront de 9 à 19 degrés.