Tag: Ford V8

  • La Ford V8 et autres motosaures

    La Ford V8 et autres motosaures

    Les voitures anciennes. Qui est-ce qui ne les connaît pas ? On les a vues au cinéma, vedettes muettes de reconstitutions du début du 20e siècle. On les voit encore dans des collections privées et même dans des musées. Nombre de gens ignorent un détail qu’un passionné de ces véhicules nous a révélé : des voitures Ford étaient fabriquées en Roumanie pendant l’entre-deux-guerres et plusieurs d’entre elles sont en cours de restauration. Vlad Capotescu, pendant 10 ans président de la filiale Retromobil Timiş et actuellement membre de la Commission de culture de l’association nationale, nous raconte l’histoire de la Ford: « Henry Ford a littéralement mis le monde sur 4 roues, pour ainsi dire. Avant l’apparition, en 1907, de la Ford T, 95% des gens du monde entier se déplaçaient toute la vie dans un rayon d’une centaine de km autour de leur localité d’origine. A compter de ce moment, les gens se sont mis à voyager, les relations économiques et commerciales se sont développées et le monde a commencé à bouger. La Ford T a donné un coup de pouce à l’économie américaine. En 1930, lorsqu’il a accordé une interview au Figaro, Henry Ford produisait 7.500 voitures par jour. La même année, quand ces automobiles ont fait leur entrée en Europe, on envisageait l’ouverture d’une entreprise, mais l’endroit n’était pas encore choisi. La construction de l’entreprise fut approuvée en 1934. C’était un projet extrêmement moderne pour l’époque, signé par l’architecte et professeur roumain Duiliu Marcu. Un terrain a été acheté à Bucarest, avenue Floreasca, et la société fut baptisée Ford România SAR. Selon les informations dont nous disposons, en 1935 commença l’assemblage du modèle V 8 1935. Une année plus tard fut assemblé le modèle 1936. Sur les plaques d’identification on pouvait lire : Ford România. »



    C’est sur la structure des moteurs V8 qu’ont été construits les moteurs des premières voitures tout terrain fabriquées en Roumanie : IMS 57 et Aro M461. Retour au présent avec Vlad Capotescu : « Actuellement, la situation est un peu triste. Les voitures anciennes sont entre « L’extase et l’agonie », si vous voulez. L’agonie a commencé après 1990, lorsque, dans le chaos législatif qui a suivi la chute du communisme, la plupart des voitures anciennes, auxquelles les films de Sergiu Nicolaescu nous avaient habitués, ont quitté le pays. Jusqu’à l’adhésion de la Roumanie à l’UE, en 2007, il n’y a pas eu de loi qui protège les véhicules historiques. Devenue membre de l’UE, la Roumanie a dû adopter des mesures de protection des automobiles de collection, qui appartiennent au patrimoine universel de l’UNESCO. L’association Retromobil est devenue membre de la Fédération internationale des véhicules anciens et les collectionneurs roumains ont pu reconstituer leurs papiers pour les véhicules historiques qu’ils possédaient, ils pouvaient importer de telles voitures et, à présent, c’est « l’extase » : les autos anciennes retournent au pays. La Roumanie compte actuellement 2.500 véhicules d’époque, enregistrés comme tels. »



    Si nous comparons notre situation à celle de la Slovénie, qui compte 2 millions d’habitants et 8.000 véhicules historiques, c’est peu. Vlad Capotescu précise : « Pour être enregistrée comme véhicule historique, la voiture doit être d’origine et en parfait état, c’est-à-dire que, du point de vue technique et visuel, elle soit comme neuve, comme si elle venait de sortir par la porte de l’entreprise productrice. C’est la condition imposée au niveau européen. Toute vieille bagnole n’est pas un véhicule historique. L’installation d’un système de signalisation — si elle n’en a pas eu un — est la seule modification admise et obligatoire à apporter à une telle voiture. Pour le reste, le véhicule doit être d’origine. »



    12 ou 13 voitures Ford V8 sont actuellement enregistrées en Roumanie, mais elles sont en très mauvais état. Vlad Capotescu nous donne pourtant aussi une bonne nouvelle: « 3 ou 4 voitures anciennes sont en cours de restauration et nous espérons les voir rouler, les prochaines années. S’y ajoutent une dizaine d’autres automobiles Ford V8 qui ont été importées et qui sont quasiment identiques à celles que l’on fabriquait en Roumanie dans les années ’30. Celles-ci sont en bon état et elles ont été enregistrées comme des véhicules historiques. Pourtant, parmi les voitures Ford fabriquées en Roumanie, aucune n’est actuellement en état de fonctionnement. Il faut être passionné pour les remettre en état. Moi, en tant qu’économiste, je peux dire que ce n’est pas rentable. »



    En effet, la restauration d’une telle voiture coûte le double du prix d’achat. Et pourtant, les voitures d’époque de Roumanie ont fait la fête en juin dernier : « Le 1er juin nous nous nous sommes rappelés le premier concours international automobile du Banat, vaste région du sud-ouest de la Roumanie, qui s’étend aussi au-delà des frontières du pays. Ce concours a eu lieu les 19 et 20 mai 1930. Ce fut le premier concours organisé sous les auspices de la Maison royale. Y ont participé, entre autres, le prince Ghica et le prince Nicolae. Le lendemain a eu lieu le premier concours d’élégance de Roumanie, 4 ans avant celui de Sinaia. 6 voitures ont participé au concours automobile et 6 autres au concours d’élégance. Nous avons souhaité réunir dans la région du Banat le plus grand nombre possible de voitures datant de l’entre-deux-guerres. Tout le Banat s’est donné rendez-vous à Timişoara. Le concours a été atypique, car il n’y a pas eu de rallye proprement dit, mais plutôt des épreuves amusantes pour les chauffeurs : une course à obstacles en marche avant et en marche arrière, car ces voitures ne sont pas faciles à manœuvrer. L’année prochaine, quand nous fêterons les 90 ans depuis le premier concours, nous allons organiser, avec nos partenaires de Hongrie et de Serbie, un véritable rallye dans le triangle du Banat. »



    Le concours automobile de Timişoara a lieu avant celui de Sinaia. Le Club Retromobil Roumanie a organisé, le 29 juin, la 9e édition du Concours d’élégance de Sinaia, avec, pour invitées, toujours les voitures d’époque. ( Trad. : Dominique)

  • Oldtimer und ihre Geschichten: Ford V8 ab 1935 auch in Rumänien hergestellt

    Oldtimer und ihre Geschichten: Ford V8 ab 1935 auch in Rumänien hergestellt

    Wir kennen sie vielmehr aus Filmen. Sie konnten ihr Brummen nicht laut werden lassen, spielten dennoch eine wichtige Rolle in den Stummfilmen Anfang des 20. Jahrhunderts. Sie können noch in verschiedenen privaten Sammlungen oder in manchen Museen bewundert werden. Doch die meisten von Ihnen wissen wahrscheinlich nicht, dass in Rumänien in der Zwischenkriegszeit Fahrzeuge der Marke Ford in Bukarest hergestellt wurden. Einige Modelle sollen derzeit wieder belebt werden. Vlad Capotescu war 10 Jahre lang der Vorsitzende der Filiale des Oldtimerclubs Retromobil“ im Landkreis Timiş (dt. Temesch) in Westrumänien. Er ist gleichzeitig auch Mitglied im Kulturausschuss des Vereins. Vlad Capotescu schilderte uns die Geschichte von Ford:



    Henry Ford setzte buchstäblich die Welt in Bewegung, und zwar auf Rädern. Bis zur Herstellung des Ford Modells T im Jahr 1907 bewegte sich die Mehrheit der Bevölkerung höchstens 100 Km vom Geburtsort weg. Und das ein Leben lang. Mit der Herstellung des Ford Modells T begannen die Menschen, weiter zu reisen, sich viel mehr zu bewegen. Das Modell T war ein wichtiger Antrieb für die US-Wirtschaft. 1930 kam der Autohersteller dazu, 7500 Fahrzeuge am Tag zu fertigen. Im gleichen Jahr trat der Autohersteller auch auf den europäischen Markt ein. Ford überlegte, auch hier eine Fabrik zu eröffnen, nur hatten sie den Standort noch nicht festgelegt. 1934 wurde die Errichtung der Autofabrik genehmigt. Die Baupläne — und das Projekt insgesamt — waren sehr fortgeschritten für die damalige Zeit. Es sollte eine Halle mit einer Stahlbetonstruktur gebaut werden. Der rumänische Architekt Duiliu Marcu entwarf die Baupläne. Es wurde ein Grundstück in der Stra‎ße Calea Floreasca angekauft. Das Unternehmen trug den Namen Ford Româna SAR. 1935 wurde hier die Montage des Modells V8 1935 gestartet.“




    Die V8-Motoren wurden bei der Fertigung der ersten rumänischen Geländewagen als Modell verwendet. Doch leider sieht die Lage nicht besonders rosig für die historischen Fahrzeuge in Rumänien aus. Dazu Vlad Capotescu:



    Die Lage ist etwas traurig. Inferno und Ekstase. Nach 1990 ging die Hölle los — da herrschte ein rechtliches Durcheinander. Die meisten Fahrzeuge, die wir aus rumänischen Filmen kannten, wurden ausgeführt. Bis 2007, dem EU-Beitrittsjahr Rumäniens, gab es kein Gesetz, das die Oldtimer schützte. Mit dem EU-Beitritt wurden wir gezwungen, Ma‎ßnahmen diesbezüglich zu treffen. Daher wurde die Entscheidung getroffen, die historischen Fahrzeuge zu schützen, da sie Teil des UNESCO-Kulturerbes waren. Unser Verein, Retromobil, wurde Mitglied im Weltverein der Oldtimer-Clubs, der Fédération Internationale des Véhicules Anciens (FIVA). Die Sammler in Rumänien hatten die Möglichkeit, ihre Papiere zu aktualisieren. Sie erhielten Urkunden, die ihre Autos als historische Fahrzeuge anerkannten. Und nun erleben wir eine Phase der Ekstase — Oldtimer kehren nämlich ins Land zurück. Derzeit gibt es etwa 2500 als historische Fahrzeuge zugelassene Autos in Rumänien.“




    Im Vergleich beispielsweise zu Slowenien steht Rumänien nicht besonders gut. Dort leben rund 2 Millionen Menschen und im Land gibt es mehr als 8000 Oldtimer. Also schneiden wir in Rumänien im Vergleich zu anderen Staaten nicht besonders gut ab, so Vlad Capotescu:



    Damit ein Oldtimer als historisches Fahrzeug dokumentiert wird, muss es funktionsfähig sein. Und es muss das Original sein. Das hei‎ßt, es muss technisch und optisch entsprechen und im gleichen Zustand sein, als ob es gestern gefertigt worden wäre. Das ist ein europaweit gültiger Standard. Denn nicht jedes alte Auto ist ein historisches Fahrzeug. Die einzige Änderung, die erlaubt ist, ist die Blinklichtanlage, falls das Auto keine hatte. Ansonsten muss das Auto dem Original entsprechen.“




    Vlad Capotescu erzählte uns, in Rumänien gäbe es 12 oder 13 Stück vom Ford Modell V8, doch keins davon sei in gutem Zustand. Eine gute Nachricht hatte er aber doch:



    Drei, vier Fahrzeuge werden derzeit repariert. Wir hoffen, sie werden in den kommenden Jahren fahrbar sein. Ansonsten gibt es noch weitere 10 Ford-Autos, ebenfalls Modell V8 in Rumänien, die als historische Fahrzeuge anerkannt wurden und im guten Zustand sind. Diese wurden allerdings importiert, sie wurden nicht in Rumänien hergestellt. Von denen, die in Rumänien gefertigt wurden, fährt derzeit keines. Solche Fahrzeuge sind sehr aufwendig — ich als Finanzmensch kann Ihnen das bestätigen. Da muss man schon eine gro‎ße Leidenschaft dafür haben.“




    Die Restaurierung eines Oldtimers ist zweimal teurer als der Kaufpreis, erklärte uns Vlad Capotescu. Und dennoch, die historischen Fahrzeuge in Rumänien bereiten sich für die Parade vor:



    Im Juni 1930 wurde das erste internationale Automobilrennen im Banat ausgetragen. Das Rennen fand unter der Schirmherrschaft des Königlichen Hauses statt. Es beteiligten sich zwei rumänische Fürsten, Ghica und Nicolae. Am nächsten Tag fand ein Automobil-Eleganz-Wettbewerb statt. Sechs Fahrzeuge machten beim Rennen am ersten Tag mit, weitere sechs nahmen am Eleganz-Contest teil. Wir hoffen, dass an der diesjährigen Parade so viele historische Fahrzeuge wie möglich mitmachen werden. Wir haben Einladungen auch an unsere Kollegen in Ungarn und Serbien geschickt, so dass das gesamte Banat an der Parade in Temeswar mitmachen kann. Wir werden kein klassisches Rennen organisieren, sondern vielmehr verschiedene Proben für die Fahrer überlegen. Alte Fahrzeuge sind nicht leicht zu lenken, also werden die Fahrer ihre Geschicktheit beweisen können. Nächstes Jahr wollen wir aber ein richtiges Rennen organisieren. Wir unterhielten uns schon diesbezüglich mit den Kollegen in Ungarn und Serbien. Das Rennen soll nämlich im Banater-Dreieck ausgetragen werden.“




    Ende Juni findet auch in Sinaia ein ähnlicher Event statt. Der zuständige Verein in Rumänien, Retromobil Club, organisiert nämlich Ende des Monats zum 9. Mal eine Oldtimer-Eleganz-Parade in Sinaia.

  • Ford V8 şi alţi motozauri

    Ford V8 şi alţi motozauri


    Le ştim mai mult din filme, unde au fost vedete mute în reconstituiri ale
    începutului de secol XX. Mai pot fi întâlnite în colecţii particulare sau chiar
    şi în muzee. Ceea ce poate mai puţină lume ştie, iar noi am aflat de la un
    pasionat, este că în România interbelică se fabricau Forduri la Bucureşti, iar
    câteva sunt în curs de resuscitare.


    Vlad Capotescu a fost 10 ani preşedintele Filialei Retromobil, Timiş şi
    este membru în Comisia de cultură a asociaţiei, la nivel naţional şi ne-a spus
    povestea Ford-ului Henry Ford a fost acel care a pus lumea pe
    roţi la propriu. Până sa apară Fordul model T, în anul 1907, 95% din populaţia
    globului se deplasa cel mult 100 de kilometri în jurul localităţii în care se
    năştea, toată viaţa. Apărând Fordul model T, oamenii au început să se
    deplaseze, s-au dezvoltat relaţii economice, comerciale, lumea a început să se
    mişte. Acest ford model T este cel care a impulsionat economia americană. Henry
    Ford a ajuns să producă în anul 1930, când a şi acordat un interviu către
    ziarul parizian Le Figaro, 7500 de maşini pe zi. Tot în acel an, când au ajuns
    în Europa, se punea problema deschiderii unei fabrici, locaţia nu era încă
    aleasă. În 1934 s-a aprobat construirea fabricii. A fost un proiect extrem de
    modern la vremea respectivă, o hală cu structură din beton armat, proiectată de
    profesor arhitect Duiliu Marcu, a fost cumpărat un teren pe Calea Floreasca şi
    societatea s-a numit Ford Româna SAR. Din informaţiile pe care le avem în 1935
    a început asambalrea modelului V 8 1935, pentru ca în 1936 deja să înceapă
    asamblarea modelului 1936, cu plăcuţe de identificare Ford Româna pe el.


    Linia de bază a motoarelor V8 a stat la baza construirii motoarelor pentru
    IMS 57 şi Aro M461, primele modele de maşini de teren româneşti asamblate în
    ţara noastră, după cum ne-a povestit interlocutorul nostru.


    Revenind în prezent am aflat că: Situaţia este
    destul de tristă. Este agonie şi extaz. Agonia a fost după anul 1990, când în
    haosul legislativ de atunci, majoritatea maşinilor cu care suntem familiarizaţi
    din filmele lui Sergiu Nicolaescu, au luat calea străinătăţii, până în 2007,
    când România a aderat la UE, nu a existat o lege care să protejeze automobilele
    istorice. Intrând în UE, am fost obligaţi ca ţară să luăm măsuri în acest sens.
    Şi s-a luat măsura de protejare a vehiculelor istorice, fiind patrimoniu
    universal UNESCO. Retromobil a devenit membru în Federaţia Internaţională de
    Automobile de Epocă şi colecţionarii români au putut să-şi reconstituie actele,
    prin atestatul de vehicul istoric, puteau să importe automobile şi acum suntem
    în starea de extaz: se reîntorc maşini de epocă în ţară. În prezent avem în jur
    de 2500 de automobile de epocă, în România înregistrate ca vehicul istoric.


    Dacă comparăm cu Slovenia unde sunt un pic peste 2 milioane de locuitori şi
    au 8 mii de vehicole istorice este puţin, ne-a mai spus Vlad Capotescu şi a
    adăugat: Una dintre condiţiile de atestare ca vehicul istoric este ca
    automobilul să fie în stare de perfectă funcţionare şi să fie original, adică
    să arate tehnic şi optic ca şi când ar fi ieşit astăzi pe poarta fabricii.
    Aceasta este condiţia la nivel european. Nu orice maşină veche este vehicul
    istoric. Singurele modificări pe care eşti obligat să I le aduci este să-I pui
    instalaţie de semnalizare, dacă nu a avut, dar în rest trebuie să fie original
    automobilul.


    Vlad Capotescu ne-a spus că sunt vreo 12,13 modele Ford V8 în ţară, toate
    în stare de epavă, dar ne-a dat şi o veste bună: Există 3 sau 4
    automobile în curs de restaurare, care sperăm că vor funcţiona în următorii ani
    şi mai sunt vreo 10 automobile tot model Ford V8 importate, aproximativ
    identice cu cele ce se fabricau şi în România, acestea în stare de funcţionare
    şi atestate ca vehicul istoric. Dar dintre cele efectiv fabricate în România
    niciunul nu este în stare de funcţionare în prezent. Trebuie să fii pasionat.
    Eu fiind economist, din punct de vedere al eficienţei, vă spun că nu este
    rentabil.


    Şi asta pentru că restaurarea costă de peste două ori mai mult decât preţul
    de cumpărare, după cum ne-a explicat Vlad Capotescu. Şi totuşi maşinile de
    epocă din România se pregătesc de paradă. În 1 iunie ne vom aduce aminte de
    primul concurs internaţional de automobile, din Banat, care a avut loc în 19-20
    mai 1930, a fost primul concurs organizat sub auspiciile Casei Regale, a
    participat Prinţul Ghica şi Prinţul Nicolae, printre ceilalţi invitaţi, iar a
    doua zi, a avut loc primul concurs de eleganţă automobilistică din România, cu
    patru ani înaintea celui de la Sinaia. La vremea respectivă au participat 6
    automobile la concurs şi încă 6 la concursul de eleganţă. În prezent dorim să
    strângem cât mai multe automobile interbelice din zona banatului, s-au înscris
    7 echipaje din ţară, aşteptăm să confirme colegii din Ungaria şi din Serbia şi
    astfel întreg Banatul va fi prezent la Timişoara. Vă aşteptăm cu drag la
    Timişoara să vedeţi automobilele, pentru că va fi un concurs mai atipic, în
    sensul în care nu vom face un raliu propriu-zis, ci mai mult nişte probe
    distractive pentru şoferi, condusul printre jaloane, cu faţa, cu spatele,
    pentru că astfel de maşini nu sunt uşor de manevrat. În schimb anul viitor,
    când se vor împlini 90 de ani, am pus deja bazele negocierii cu colegii din
    Ungaria şi Serbia, pentru a face un circuit propriu-zis, pe triunghiul
    Banatului.



    Şi de această dată concursul de la Timişoara se
    desfăşoară tot înaintea celui de la Sinaia. Pentru că Retromobil Club România organizează
    sâmbătă, 29 iunie 2019, a IX-a ediție a Concursului de Eleganță Sinaia;
    invitate, tot automobilele de epocă.