Tag: gare

  • Ukraine – dernières évolutions

    Ukraine – dernières évolutions

    La présidente de la Commission européenne, Ursula von der Leyen, et le chef de la diplomatie de l’UE Josep Borrell, qui se sont déplacés vendredi à Kiev, ont condamné fermement l’attaque « horrible » et « dépourvue de discernement » de l’armée russe contre les civils qui se trouvaient dans la gare de Kramatorsk. Les dignitaires européens ont également annoncé une nouvelle aide militaire de 500 millions d’euros pour l’Ukraine. Ils ont annoncé par la même voie le retour de la mission de l’UE à Kiev. Le premier ministre slovaque, Eduard Heger, a également fait partie de la délégation européenne. Deux missiles russes ont frappé une gare de Kramatorsk, dans l’est de l’Ukraine, faisant au moins une cinquantaine de morts, dont des enfants, et une centaine de blessés. La gare, où se trouvaient des milliers de personnes, était utilisée pour l’évacuation des zones bombardées par les forces russes. Le président Volodymyr Zelensky affirme que les destructions de Borodyanka, cette ville au nord-ouest de Kiev récemment reprise par les Ukrainiens sont « beaucoup plus atroces » que celles de Boutcha, où des massacres ont été commis. Moscou nie que ses forces auraient tué des civils. Ce vendredi, l’UE a approuvé un cinquième paquet de sanctions contre la Russie, qui prévoit un embargo sur le charbon et la fermeture des ports européens aux navires russes. Ce paquet élargit encore plus la liste noire, affectant les revenus de plusieurs centaines d’oligarques et de responsables politiques de Russie, du Belarus et des régions séparatistes prorusses de Lougansk et de Donetsk d’Ukraine.

  • Ukraine – dernières évolutions

    Ukraine – dernières évolutions

    La présidente de la Commission européenne, Ursula von der Leyen, et le chef de la diplomatie de l’UE Josep Borrell sont à Kiev pour discuter avec le président Volodymyr Zelensky. Ils ont condamné fermement l’attaque « horrible » et « dépourvue de discernement » de l’armée russe contre les civils qui se trouvaient dans la gare de Kramatorsk. Les dignitaires européens ont également annoncé une nouvelle aide militaire de 500 millions d’euros pour l’Ukraine. Ils ont annoncé par la même voie le retour de la mission de l’UE à Kiev. Le premier ministre slovaque, Eduard Heger, est lui aussi dans la capitale ukrainienne. Deux missiles russes ont frappé une gare de Kramatorsk, dans l’est de l’Ukraine, faisant au moins une cinquantaine de morts et une centaine de blessés. La gare, où se trouvaient des milliers de personnes, était utilisée pour l’évacuation des zones bombardées par les forces russes. Le président Volodymyr Zelensky affirme que les destructions de Borodyanka, cette ville au nord-ouest de Kiev récemment reprise par les Ukrainiens sont « beaucoup plus atroces » que celles de Boutcha, où des massacres ont été commis. Moscou nie que ses forces auraient tué des civils.

  • Les Gares de Bucarest

    Les Gares de Bucarest

    Le transport ferroviaire a été la première forme moderne de transport qui a facilité l’échange de marchandises, la mobilité des personnes et de la main-d’œuvre et qui a contribué à la centralisation des États. Dans le cas de la Roumanie, les chemins de fer ont également joué un rôle essentiel dans sa création et sa cohésion après l’Union de 1859 et après la constitution de la Grande Roumanie en 1918. Adoptant le modèle culturel français, la Roumanie a placé Bucarest au centre de son développement ferroviaire, la capitale devenant ainsi le plus important carrefour ferroviaire, où les principales lignes se croisaient. C’est au premier roi de Roumanie, Carol I (1839-1914), que le pays doit la construction des grandes voies ferrées qui arrivaient à Bucarest.

    La capitale de la Roumanie a eu plusieurs gares, des points de repère importants dans le paysage bucarestois. Au fil du temps, le développement et la modernisation des chemins de fer ont mené à la disparition de certaines de ces gares et à l’émergence d’autres, ainsi qu’à leur importance croissante. Si nous regardons un plan de la ville de Bucarest, nous constaterons que les gares de la capitale roumaine sont réparties de manière à ce que chacune d’entre elles desserve un point cardinal. Ainsi, l’importance internationale de la capitale roumaine s’accroit et des trains de l’étranger commencent à y passer, tels que l’Orient Express, un train paneuropéen qui arrivait par l’ouest, s’arrêtait à Bucarest et se dirigeait ensuite vers l’est et le sud.

    L’historien Dorin Stănescu a évoqué la contribution du train paneuropéen à la modernisation de l’infrastructure ferroviaire en Roumanie : « En 1883, l’Orient Express entrait en Roumanie à Vârciorova, dans l’ouest, continuait vers Turnu Severin, puis vers Craiova, Slatina, Pitești et Bucarest. De là, il allait à Giurgiu, dans le sud, au port de Smârdan, et traversait ensuite le Danube en direction de Varna. De Varna, le voyage se poursuivait en bateau et atteignait Constantinople. Mais ce train a également contribué à accélérer la construction des voies ferrées et des objectifs d’infrastructure, construits à cette époque. Le célèbre pont de Cernavodă, imaginé par Anghel Saligny, a joué un rôle important dans le concept d’Orient Express. À un moment donné, le train partait de Bucarest et se dirigeait vers Constanța, en traversant bien évidemment ce pont. Et là, à Constanța, les voyageurs montaient à bord des navires du service maritime roumain, qui les emmenaient à Constantinople. »

    L’histoire des gares de Bucarest commence en 1869 avec la gare de Filaret, ouverte lors de l’inauguration de la première voie de chemin de fer reliant Bucarest à Giurgiu. La gare, en forme de « U », a un rez-de-chaussée, un étage et un toit qui relie les côtés. À Filaret, trois rames de train pouvaient être garées en même temps sur les trois voies. En 1960, la gare Filaret est désaffectée et transformée en gare routière, une fonction qu’elle remplit encore aujourd’hui, le bâtiment étant classé monument historique. Entre la gare de Filaret et la future Gare du Nord se trouvait la gare de Dealul Spirii, qui n’existe plus aujourd’hui. L’endroit se trouve au carrefour de deux grandes avenues bucarestoises, l’Avenue du 13 Septembre et la rue Progresului, dans la partie ouest de la ville. Une autre gare qui n’est plus fonctionnelle aujourd’hui était la Gare Cotroceni, située près du palais Cotroceni, siège actuel de la présidence de la Roumanie, et qui était destinée aux trains royaux. Elle a également été désaffectée en 1960, tout comme la gare Filaret, son bâtiment servant d’entrée au parc Cotroceni. Une seconde gare du même nom fonctionnait à environ 1,5 kilomètre de la première, dans la partie ouest de la ville. Cette gare-ci est fonctionnelle, mais le trafic y est extrêmement faible, à raison de deux trains de marchandises par mois, pour l’approvisionnement des deux centres commerciaux de cette zone. La gare de Herăstrău est une autre gare disparue de la ville de Bucarest. Elle se trouvait à côté du grand parc du même nom, étant située sur la route qui relie le nord et le sud de la capitale.En 1872, Carol I, prince régnant de Roumanie à l’époque, inaugurait la Gare du Nord, le nœud ferroviaire le plus important de Bucarest, avec 14 voies mises en place au fil du temps. Ses bâtiments et dépendances se sont également agrandis avec le temps. Au départ, elle s’appelait la gare de Târgovişte, d’après le nom de la ville située au nord-ouest de la capitale. Son nom actuel date de 1888 et sa forme est identique à celle de la gare Filaret. Le plus grand afflux de voyageurs a été enregistré entre 1950 et 1990, suivi, depuis, par une baisse significative. La Gare du Nord, dans son ensemble, est un monument classé.

    Une des plus belles gare de Bucarest est la Gare Obor ou de l’Est, qui dessert l’est de la capitale et la relie à la ville portuaire de Constanţa, à la mer Noire. Elle est utilisée à la fois par les voyageurs et les transporteurs de marchandises. La gare n’est pas loin d’un des marchés les plus anciens et les plus grands de Bucarest, le marché Obor. Le bâtiment est également classé.Une des gares bucarestoise les plus discrètes est celle de Băneasa, située au nord de la ville, tout près de la route nationale 1. Construite en 1936 selon les plans du célèbre architecte Duiliu Marcu, la gare était destinée aux réceptions protocolaires de la Maison royale, statut protocolaire qu’elle a gardé sous le régime communiste. Le trafic de voyageurs y est très faible, se manifestant surtout pendant l’été, lorsque les trains à destination du littoral de la mer Noire s’arrêtent ici. Les gares les plus récentes de Bucarest sont Basarab, Progresu et Titan, construites après 1945. Aujourd’hui, seule la première d’entre elles est encore utilisée par les trains partant vers le sud-ouest de la Roumanie. (Trad : Ileana Ţăroi)

  • Le premier chemin de fer des Principautés roumaines : Bucarest – Giurgiu

    Le premier chemin de fer des Principautés roumaines : Bucarest – Giurgiu

    En plein processus de modernisation, les Principautés roumaines inauguraient au milieu du 19e siècle le premier chemin de fer qui reliait la gare de Filaret au port de Giurgiu, soit au total 67 kilomètres. Mais pourquoi a-t-on choisi ce trajet comme premier chemin de fer des Principautés roumaines ? Réponse avec Mircea Dorobantu, directeur du musée des chemins de fer de Bucarest : « A l’époque, soit dans les années 1860, on a pensé construire des voies ferrées dans le sud de Bucarest puisque c’était là que se trouvait la voie commerciale la plus importante : le Danube. Tout comme de nos jours, le fleuve reliait de nombreuses capitales européennes. L’idée de la construction d’un chemin de fer est apparue dès le règne d’Alexandru Ioan Cuza, soit dans les années 1850, mais malheureusement, à l’époque, la Roumanie ne possédait pas de spécialistes dans ce genre de constructions. Les entreprises privées qui possédaient le réseau ferroviaire britannique étaient intéressées par le développement des relations commerciales avec les pays de cette partie de l’Europe. Une de ces sociétés a proposé de construire un chemin de fer entre Bucarest et Giurgiu afin de pouvoir l’exploiter en concession pendant 99 ans. L’entrepreneur John Trevor Barclay est celui qui a construit cette voie ferrée selon des principes typiquement anglais. De nos jours encore, en marchant le long des voies, on peut observer les châteaux d’eau de 1869 : un à la station de Comana et un autre à celle de Giurgiu, près du dépôt de locomotives. On peut y voir encore des plaques d’origine de 1869. »

    La société anglaise « John Trevor Barclay & John Staniforth » a démarré les travaux en 1866 et le 19, soit le 31 octobre 1869, le chemin de fer Bucarest – Giurgiu était inauguré. Les locomotives, les voitures et les wagons étaient évidemment similaires à ceux d’Angleterre, explique Mircea Dorobantu : « Les premières séries de locomotives étaient utilisées pour tirer des trains de voyageurs et de marchandises. Il y avait pourtant une différence entre les deux types. Les locomotives utilisées pour des trains de voyageurs avaient deux essieux moteurs qui mettaient le train en marche à l’aide de roues à grand diamètre. Les locomotives devaient circuler à une vitesse assez élevée pour l’époque, soit 83 km à l’heure. Les locomotives utilisées pour les trains de fret avaient trois essieux moteurs pour pouvoir tirer des rames beaucoup plus lourdes. Un train de voyageurs, par exemple au début des chemins de fer de Roumanie, sur la ligne Bucarest-Giurgiu même, comprenait deux voitures de première classe, deux voitures de deuxième classe, trois voitures de troisième classe et deux wagons à bagages. Tant les voyageurs que le grand public en général étaient souvent terrifiés. Pour eux, voyager avec ce qu’ils appelaient « le carrosse de feu » était une expérience très étrange puisqu’ils étaient habitués aux attelages tirés par des chevaux qui pouvaient contourner les obstacles dans la rue. C’est pourquoi des accidents ont eu lieu. Des trains ont heurté des gens se trouvant sur les lignes ou tout près de celles-ci. C’est pourquoi, avant les tout premiers voyages en train, un homme à cheval filait en avant du train pour annoncer son arrivée en sonnant du cor. »

    Le deuxième chemin de fer à être construit dans les Principautés roumaines traversait la Moldavie, en prolongement d’un chemin de fer existant provenant de l’extérieur des frontières du pays, sur la route Lemberg – Cernauti – Suceava – Roman. Le prolongement roumain commençait à Roman et se poursuivait vers le sud, jusqu’à Bucarest. Mais dans ce cas, le terminus n’était pas la gare de Filaret dans le sud de la capitale, mais une nouvelle gare, érigée sur la route Bucarest – Târgoviste.

    La gare du Nord, qui allait devenir le principal nœud ferroviaire de la capitale, fut inaugurée en 1872. Au début, les gares de Filaret et du Nord ne communiquaient pas, explique le directeur du Musée des Chemins de fer roumains, Mircea Dorobantu :« A compter de 1880, en raison notamment de l’importance des chemins de fer, on a pensé créer une administration unique et très bien organisée. C’est ainsi que les deux gares bucarestoises ont été reliées par un autre chemin de fer. Entre temps, l’Etat roumain a racheté les chemins de fer aux sociétés qui les avaient construites et qui les exploitaient en concession pour les inclure dans un système unitaire, dirigé par une seule et unique administration », conclut Mircea Dorobantu.

  • 30.12.2013 (mise à jour)

    30.12.2013 (mise à jour)

    Attentats – Le président de la Roumanie, Traian Băsescu, a transmis ce lundi un message de condoléances au président de la Fédération russe, Vladimir Poutine, après les attentats terroristes perpétrés à Volgograd. Le chef de l’Etat roumain a assuré son homologue russe de l’entier appui à l’effort visant à combattre le phénomène terroriste qui menace les valeurs fondamentales que partagent les deux pays. Le premier ministre roumain Victor Ponta a lui aussi adressé à son homologue russe Dmitri Medvedev une lettre de condoléances dans laquelle il exprime la compassion et la solidarité du gouvernement de Bucarest avec les familles des victimes et le peuple russe. Les mesures de sécurité ont été durcies dans toutes les gares et dans les principaux aéroports de Russie, après les deux attaques qui ont eu lieu à Volgograd, dans le sud-ouest du pays. Lundi, une explosion s’est produite dans un trolleybus, tandis que l’attentat suicide perpétré dimanche dans la gare centrale de cette ville a fait plusieurs dizaines de morts.



    Economie – La Commission européenne a confirmé la position dominante de la Roumanie au classement communautaire de la performance macroéconomique, a déclaré Cristian Socol, conseiller spécialisé du premier ministre Victor Ponta. La convergence soutenable de l’économie roumaine vers celles des pays développés de l’UE est affirmée par plusieurs facteurs, a indiqué Cristian Socol. Et lui de citer — la consolidation fiscale qualitative donnée par un déficit budgétaire maximum de 2,5% du PIB, soit le moindre pourcentage depuis l’adhésion à l’UE, la désinflation substantielle — avec la moindre inflation depuis 1989 –, l’ajustement des déséquilibres extérieurs — avec la baisse du déficit du compte courant jusqu’à 2% du PIB tout au plus –, une croissance économique ayant dépassé les attentes, une absorption quadruplée des fonds européens, de même que les dynamiques record des exportations ainsi que des productions industrielle et agricole.



    Tourisme – Une campagne de promotion du tourisme roumain se déroulera à compter de 2014 aussi bien en Roumanie qu’à l’étranger. Selon l’Autorité nationale du tourisme, quelque 25 millions d’euros devraient être dépensés à cette fin. L’institution organisera également des appels d’offres pour la promotion du tourisme roumain à travers les télévisions et la presse écrite aussi bien de Roumanie que des Etats Unis, de France, d’Allemagne, du Royaume Uni et d’Italie. L’Autorité nationale du tourisme a précisé que cette campagne vise à accroître la notoriété de la marque touristique roumaine et que les 25 millions d’euros proviennent de fonds européens. Selon l’Institut national de la statistique, environ 1 million 500 mille touristes étrangers ont visité la Roumanie dans les 10 premier mois de cette année, soit 3,3% de plus par rapport à la même période de 2012.




  • 30.012.2013

    30.012.2013

    Attentats – La communauté internationale a vivement condamné les attaques terroristes perpétrées à Volgograd, en Russie, ces dernières 24 heures. Le président roumain, Traian Basescu, et le premier ministre, Victor Ponta, ont envoyé des messages de condoléances pour les familles des victimes à leurs homologues russes, Vladimir Poutine et respectivement Dmitri Medvedev.


    Les mesures de sécurité ont été durcies dans toutes les gares principales et dans tous les aéroports importants de Russie, tandis que le niveau d’alerte a été augmenté pour les 15 prochains jours dans la région de Volgograd, du sud-ouest de la Fédération russe. Lundi matin, au moins 14 personnes ont été tuées et une trentaine blessées lors dune explosion survenue dans un trolleybus de Volgograd. Lexplosion de lundi, survenue peu avant 08H30 locales, a désintégré larrière dun trolleybus, qui se trouvait a un arrêt proche du centre ville. La ligne 15A est en effet très fréquentées à cette heure de pointe, notamment par des étudiants, précise lAFP. Dimanche, un premier attentat dans la gare centrale de cette ville avait déjà causé la mort de 17 personnes et blessé au moins 45.



    Economie – La Commission européenne a confirmé la position dominante de la Roumanie au classement communautaire de la performance macroéconomique, a déclaré Cristian Socol, conseiller spécialisé du premier ministre Victor Ponta. La convergence soutenable de l’économie roumaine vers celles des pays développés de l’UE est affirmée par plusieurs facteurs, a indiqué Cristian Socol. Et lui de citer — la consolidation fiscale qualitative donnée par un déficit budgétaire maximum de 2,5% du PIB, soit le moindre pourcentage depuis l’adhésion à l’UE, la désinflation substantielle — avec la moindre inflation depuis 1989 –, l’ajustement des déséquilibres extérieurs — avec la baisse du déficit du compte courant jusqu’à 2% du PIB tout au plus –, une croissance économique ayant dépassé les attentes, une absorption quadruplée des fonds européens, de même que les dynamiques record des exportations ainsi que des productions industrielle et agricole.



    Tourisme – La Roumanie s’apprête à démarrer une campagne pour promouvoir son tourisme à l’étranger, en 2014-2015. Selon l’Autorité nationale du tourisme, plus de 25 millions d’euros de fonds européens devraient être dépensés pour la publicité extérieure et de la publicité média en Roumanie et à l’étranger. L’institution organisera également des appels d’offres à hauteur de 18-19 millions d’euros pour une promotion du tourisme roumain à travers les télévisions et la presse écrite de France, Allemagne, Italie, Royaume Uni, Etats Unis et Roumanie. La campagne vise à accroître la notoriété de la marque touristique roumaine, conçue il y a quelques années. Selon l’Institut national de la statistique, environ 1 million 500 mille touristes étrangers ont visité la Roumanie dans les 10 premier mois de cette année, soit 3,3% de plus par rapport à la même période de 2012.