Tag: George Copos

  • O prevedere juridică controversată

    O prevedere juridică controversată

    În siniştrii ani 50, a
    existat, spun criticii literari, o generaţie de aur a poeziei carcerale
    româneşti. Deţinuţi politici anticomunişti, poeţi ca Radu Gyr, Nichifor Crainic
    sau Andrei Ciurunga au transfigurat liric calvarul sutelor de mii de români
    trimişi în temniţă fiindcă s-au opus ocupanţilor sovietici şi marionetelor
    băştinaşe din partidul comunist şi poliţia politică, Securitatea.

    În
    tragicomicele vremuri de acum, în închisorile româneşti a apărut o viguroasă
    generaţie de prozatori. Falsele elite politice, mediatice, sportive sau de
    afaceri care-au ajuns, în sfârşit, în celule, după ce au devalizat România,
    şi-au descoperit, brusc, harul de eseişi, memorialişti, istorici, analişti
    financiari. Indivizi cu studii precare şi care făceau deliciul presei cu
    expresii agramate sunt, azi, autori consacraţi, iar numele lor figurează pe
    vrafuri de volume pe care pretind că le-au scris în închisoare. Miza
    acestei frenezii culturale e una pur pragmatică.

    Potrivit actualei
    legislaţii, pentru fiecare lucrare aşa-zis ştiinţifică, considerată o metodă de
    reeducare prin muncă, unui condamnat i se reduce o lună din termenul de
    detenţie. Elocvent studiu de caz, chiar joi Comisia de Etică a Universităţii Bucureşti, responsabilă cu analiza
    cărţilor scrise de persoanele aflate în detenţie pentru a-şi scurta pedepsele,
    a stabilit că o lucrare semnată de omul de afaceri George Copos este un plagiat.
    Fost activist comunist, fost vicepremier postcomunist, fost finanţator al
    popularului club bucureştean de fotbal Rapid, Copos a fost, deja, eliberat deja
    din închisoare, unde intrase pentru infracţiuni financiare de anvergură.

    Sub
    presiunea opiniei publice şi a comunităţii academice scandalizate, ministrul
    Justiţiei în Guvernul tehnocrat de la Bucureşti, Raluca Prună, a decis să
    elaboreze un proiect de ordonanţă de urgenţă care va elimina posibilitatea
    reducerii pedepsei deţinuţilor ce scriu în închisoare. Raluca Prună: Noi
    oricum discriminăm între munca fizică, unde primim o zi liberă la patru zile de
    muncă, şi dăm 30 de zile la o colecţie de hârtii care se numesc lucrare
    ştiinţifică.

    Prudent, Consiliul Superior al Magistraturii şi-a
    manifestat dezacordul faţă de această iniţiativă. Este nevoie, spun membrii
    CSM, într-un aviz cu caracter consultativ, doar de înăsprirea condiţiilor de
    eliberare a deţinuţilor, prin introducerea unor criterii obiective, echitabile
    şi transparente în stabilirea caracterului ştiinţific al cărţilor şi în
    procesul de elaborare a acestora. Judecătorul Adrian Bordea, membru CSM: Abrogarea unei astfel de dispoziţii poate crea mai mult rău. Nu
    abrogarea este poate soluţia cea mai bună.

    Ministrul Prună insistă,
    însă, că modificarea legislativă în regim de urgenţă e absolut necesară, fiindcă impostura
    intelectuală în penitenciare capătă amploare: la sfârşitul anului trecut erau
    45 de lucrări în pregătire, iar la începutul lui ianuarie numărul acestora
    depăşea o sută.

  • 25.08.2014 (mise à jour)

    25.08.2014 (mise à jour)

    Solidarité – La Roumanie est solidaire avec les décisions prises au niveau de l’UE et du partenariat transatlantique en ce qui concerne la crise en Ukraine ; elle soutient parfaitement et inconditionnellement la souveraineté et l’intégrité territoriale de cette ancienne république soviétique. C’est ce qu’a déclaré ce lundi le premier ministre roumain Victor Ponta. Selon lui, Bucarest rejoint la communauté internationale et soutient les sanctions adoptée contre Moscou, demandant que l’intervention de la Russie du côté des séparatistes de l’est de l’Ukraine cesse, pour que ce pays puisse décider librement son futur parcours démocratique et européen. Sur place, les combats entre l’armée ukrainienne et les rebelles se poursuivent. Kiev a accusé lundi, Moscou de vouloir ouvrir un nouveau front de combats dans le sud-est de l’Ukraine après qu’une colonne de blindés eut franchi la frontière depuis la Russie et se fut engagée dans des combats contre les troupes gouvernementales. Par ailleurs, la Russie a fait part de son intention d’envoyer un nouveau convoi humanitaire en Ukraine. L’annonce survient suite après que l’Occident et Kiev ont durement critiqué Moscou pour l’envoi d’un premier convoi humanitaire, la semaine dernière, en l’absence de l’autorisation des responsables ukrainiens et sans escorte de la Croix Rouge.



    Sécurité sociale — Le Sénat de Bucarest, réuni en session extraordinaire, a rejeté lundi la demande de réexamen du chef de l’Etat concernant la loi portant réduction de 5% des contributions à la sécurité sociale payées par l’employeur, à partir du 1er octobre. Elle sera également débattue par la Chambre des députés. La loi a été renvoyée au Parlement par le président Traian Băsescu, parce que les sources qui serviraient à couvrir le manque à gagner au budget de l’Etat n’étaient pas indiquées. Si le Parlement vote de nouveau la loi sous la forme rejetée par le chef de l’Etat, ce dernier ne peut plus la rejeter, mais il peut saisir la Cour constitutionnelle.



    Justice – George Copos, un des hommes d’affaires les plus connus de Roumanie et ancien vice premier ministre, a été condamné définitivement ce lundi par le Tribunal de Bucarest à 4 années de prison ferme dans un dossier d’évasion fiscale. Les juges ont maintenu la décision prononcée en première instance, en janvier 2013. Ministre du cabinet dirigé par le libéral Calin Popescu Tariceanu, il y a une dizaine d’années, George Copos a causé un préjudice à l’Etat de plus d’un million d’euros, par des transactions réalisées avec la Compagnie Nationale de la Loterie Roumaine. Il est détenu depuis mars dernier, lorsqu’il avait été condamné à 3 ans et 8 mois de réclusion, en tant que patron de l’équipe de football Rapid Bucarest, dans une affaire retentissante de transferts illégaux de joueurs, impliquant plusieurs patrons de clubs, financeurs et imprésarios.


  • 25.08.2014

    25.08.2014

    Ukraine – La Roumanie est solidaire avec les décisions prises au niveau de l’UE et du partenariat transatlantique en ce qui concerne la crise en Ukraine ; elle soutient parfaitement et inconditionnellement la souveraineté et l’intégrité territoriale de cette ancienne république soviétique. C’est ce qu’a déclaré ce lundi le premier ministre roumain Victor Ponta. Selon lui, Bucarest rejoint la communauté internationale et soutient les sanctions adoptée contre Moscou, demandant que l’intervention de la Russie du côté des séparatistes de l’est de l’Ukraine cesse, pour que ce pays puisse décider librement son futur parcours démocratique et européen. Sur place, les combats entre l’armée ukrainienne et les rebelles se poursuivent. Par ailleurs, la Russie a fait part de son intention d’envoyer un nouveau convoi humanitaire en Ukraine. L’annonce survient suite après que l’Occident et Kiev ont durement critiqué Moscou pour l’envoi d’un premier convoi humanitaire, la semaine dernière, en l’absence de l’autorisation des responsables ukrainiens et sans escorte de la Croix Rouge.




    Loi – Le Sénat de Bucarest se réunit ce lundi en session extraordinaire pour réexaminer la loi portant sur la réduction de 5 points des charges patronales à partir du 1er octobre. Mardi, ce sera à la Chambre des Députés d’en débattre. La loi a été renvoyée au Parlement par le président Traian Basescu, vu qu’elle ne précisait pas les sources de financement de cette mesure. Si le Parlement vote à nouveau le document dans la forme rejetée par le chef de l’Etat, ce dernier n’aura plus le droit de le rejeter, mais il pourra s’adresser à la Cour Constitutionnelle.




    Justice – George Copos, un des hommes d’affaires les plus connus de Roumanie et ancien vice premier ministre, a été condamné définitivement ce lundi par le Tribunal de Bucarest à 4 ans de prison ferme dans un dossier d’évasion fiscale. Les juges ont maintenu la décision prononcée en première instance, en janvier 2013. Ministre du cabinet dirigé par le libéral Calin Popescu Tariceanu, il y a une dizaine d’années, George Copos a causé un préjudice à l’Etat de plus d’un million d’euros, par des transactions réalisées avec la Compagnie Nationale de la Loterie Roumaine. Il est détenu depuis mars dernier, lorsqu’il avait été condamné à 3 ans et 8 mois de réclusion, en tant que patron de l’équipe de football Rapid Bucarest, dans une affaire retentissante de transferts illégaux de joueurs, impliquant plusieurs patrons de clubs, financeurs et imprésarios.




    Tennis – La joueuse roumaine de tennis Simona Halep, numéro 2 mondial, doit rencontrer l’Américaine Danielle Collins dans le premier tour du tournoi US Open, la dernière compétition de Grand Chelem de l’année, qui s’ouvre ce lundi à Flushing Meadows, New York. Rappelons — le, Simona Halep compte à son palmarès la finale de Roland Garros, la demi — finale de Wimbledon et les quarts de finale de l’Open d’Australie. A l’affiche de l’US Open on retrouve également 4 autres Roumaines, à savoir Monica Niculescu, qui jouera contre Iaroslava Şvedova du Kazakhstan, Sorana Cîrstea qui rencontrera Heather Watson de Grande Bretagne, Irina Begu qui aura pour adversaire Silvia Soler-Espinosa d’Espagne et Alexandra Dulgheru qui jouera contre Kristyna Pliskova de Républque tchèque. Côté messieurs, aucun joueur roumain ne figure sur les tableau de Flushing Meadows.

  • Freiheitsstrafen in der Fußballtransfer-Affäre

    Freiheitsstrafen in der Fußballtransfer-Affäre

    Schon seit langem hat es im rumänischen Fu‎ßball keine Mannschaft mit solch berühmten Namen gegeben, wie die der acht Personen, die am Dienstag verurteilt worden sind. Das Berufungsgericht Bukarest hat die besagten Personen zu Freiheitsstrafen zwischen drei und sechs Jahren verurteilt. Die Liste beinhaltet Namen, die einst lobgehuldigt und respektiert, verabscheut oder befürchtet wurden, von Schlüsselfiguren der beliebtesten Sportart Rumäniens.



    Die Liste der Superlative wird von den Gebrüdern Ioan und Victor Becali eröffnet. Diese sind in den letzten zwei Jahrzehnten die erfolgreichsten einheimischen Spieleragenten gewesen, die die Auslandstransfers der wertvollsten rumänischen Spieler vermittelt haben. Mihai Stoica wurde für Taten verurteilt, die er während seiner Amtszeit als Vorsitzender der Mannschaft Oţelul Galaţi im Südosten Rumäniens begangen hat. Das Urteil erreichte ihn aber, als er den Sitz des Generalmanagers des prestigevollsten Sportklubs des Landes, Steaua Bukarest belegte.



    George Copos von Rapid Bukarest, Cristian Borcea und Gheorghe Neţoiu von Dinamo Bukarest waren nicht nur Aktionäre, sondern allmächtige Chefs, zu der Zeit als die beiden Klubs Rumänien-Meistertitel gewannen und sich an europäischen Meisterschaften beteiligten. Der bald 80-jährige Jean Pădureanu hat jahrzehntelang Gloria Bistriţa im Nord-Westen des Landes geführt. Der besagte Klub war eher mittelmä‎ßig, aber berühmt für seine Verwicklung in den sogenannten strategischen Spielen, mit Ergebnissen, die nicht auf dem Spielfeld, sondern in den Kulissen festgelegt wurden.



    Schlie‎ßlich ist der einzige der Verurteilten, der für Mitleid und Bedauern zu sorgen scheint, der ehemalige gro‎ße Fu‎ßballer Gheorghe Popescu. Dieser war flüchtiger Partner und jetzt Mittäter der Gebrüder Becali. Mit 115 Spielen für die in den 90ern so beliebte Nationalmannschaft, mit zahlreichen Trophäen, die er mit seinen Klubteams — PSV Eindhoven, FC Barcelona und Galatasaray Istanbul — gewonnen hat, ist Popescu bis Dienstag der gro‎ße Favorit der Wahlen für die Präsidentschaft des Rumänischen Fu‎ßballbundes gewesen.



    Obwohl sie die unterschiedlichsten Lebensläufe, Eigenschaften und Erfolgsbilanzen hatten, gab es für sie, au‎ßer Fu‎ßball auch andere gemeinsame Hobbys: Betrug, Geldwäsche und Steuerhinterziehung. Diese ist die juristische Einstufung der illegalen Transaktionen bei den Auslandtransfers von 12 Fu‎ßballern. Diese verursachten dem Staat einen Schaden von rund 1,5 Millionen Dollar und vier Fu‎ßballklubs einen Schaden von insgesamt 10 Millionen Dollar.



    Der kaum subtile Trick ist uralt: der reale Transferbetrag war immer höher als der öffentlich angegebene Betrag, der dem Klub gezahlt und vom Finanzamt besteuert wurde. Die Differenz steckten die sogenannten Fu‎ßballleute ein — Spieleragenten, Aktionäre, Vorsitzende — die Vermittler dieser Transfers waren. Die Straferfolgsbilanz der Mitglieder dieser Mannschaft ist — behaupten die Presse und die Fans gemeinsam — eine der Ursachen für die unheilbare Mittelmä‎ßigkeit, in der sich der ganze rumänische Fu‎ßball seit einem Jahrzehnt befindet.