Tag: Henri Coanda

  • Les aéroports internationaux de Roumanie

    Les aéroports internationaux de Roumanie


    Bucarest: aller à l’aéroport en navette

    Depuis le 2 décembre, les voyageurs en route vers
    l’Aéroport Henri Coanda de Bucarest peuvent s’y rendre plus facilement depuis
    le centre-ville, en prenant la navette express nr.100. Elle circule sur le même
    trajet que l’ancien bus 783 sauf qu’elle n’arrête que dans les stations
    principales. Elle circule 24 sur 24, toutes les 15 minutes dans la journée et
    toutes les 30 minutes pendant la nuit. Toujours depuis le 2 décembre, le bus
    442 a changé son itinéraire et à présent, il fait station devant l’Aéroport
    international Henri Coanda. Il circule toutes les 20 minutes durant les heures de
    pointe.

    Brasov: le parking de l’Aéroport International Ghimbav est désormais payant



    Dirigeons-nous vers Brasov où le parking de l’Aéroport
    International Ghimbav est désormais payant. Pour une durée maximales de 6
    heures, le tarif est de 5 lei, soit un euro par heure. Entre 6 et 12 heures de
    stationnement, le tarif est de 45 lei, soit 9 euros, tandis qu’entre 12 et 24
    heures, il montera à 60 lei, soit 12 euros. Pour chaque journée supplémentaire,
    le parking vous coûtera 10 euros de plus. Précisons que l’aéroport est doté
    d’un parking de 175 places, prévus de 6 stations de recharge pour les voitures
    électriques, de 4 places pour les chauffeurs handicapés et de 4 places de
    parking pour les cars.

    Hausse du nombre des passagers pour le transport aérien de Roumanie



    En Roumanie, le transport aérien de passagers a
    connu une hausse de 18,8% durant les 9 premiers mois de l’année, par rapport à
    la même période de 2022, en se chiffrant à plus de 18,7 millions de voyageurs.
    Le trafic le plus intense a été enregistré sur l’aéroport international Henri
    Coanda de Bucarest, avec plus de 5,5 millions de passagers embarqués et 5,5
    millions débarqués, sur l’aéroport Avram Iancu de Cluj, presque 1,27 millions
    de passagers embarqués et 1,23 millions débarqués et sur l’Aéroport
    international de Iasi, avec plus de 880 milles passagers embarqués et 877.000
    débarqués.

    Quelles destinations internationales ?



    A parler du transport aérien international, les
    dix premiers aéroports de destination ou d’embarquement initial ont été Luton
    de Londres, Milan-Bergamo, Istanboul International, Tel-Aviv,
    Bruxelles-Charleroi, Vienne, Münich, Barajas de Madrid, Paris-Beauvais et
    Dortmund. Les principaux pays d’où ou vers lesquels les Roumains ont voyagé en
    avion ont été l’Italie, la Grande Bretagne, l’Allemagne, l’Espagne, la France,
    la Turquie, la Grèce, la Belgique, Israél et les Pays-Bas.

    Quelles destinations locales?






    Les villes roumaines entre lesquelles les Roumains
    ont le plus voyagé en avion dans le courant de cette année sont Bucarest,
    Timişoara (vest), Cluj-Napoca et Oradea (nord-vest). Les courses aériennes les
    plus populaires ont été celles entre Bucarest et Timisoara, dans le contexte où
    cette dernière a été capitale culturelle européenne en 2023 et entre Bucarest
    et Cluj Napoca. 37% des passagers ont voyagé en avion entre la capitale et
    Timisoara et 33% entre la capitale et la ville de Cluj. En troisième place dans
    le top des destinations les plus prises de Roumanie on retrouve la ville de
    Oradea, avec un taux de passagers de 9%, suivi par Iasi, 8% des voyageurs et
    Suceava, 5%. (trad. Ioana Stancescu)





  • Le trafic aérien de plus en plus intense

    Le trafic aérien de plus en plus intense

    Selon
    une enquête menée par l’Institut national de la Statistique, au premier
    trimestre de l’année en cours, le trafic aérien a connu une hausse de 26,3% par
    rapport à la même période de l’année dernière. Concrètement, le nombre de
    passagers est passé de 8,94 millions à presque 11,3 millions. Dans un
    classement des aéroports internationaux de Roumanie, c’est l’aéroport Henri
    Coanda de Bucarest qui affiche le trafic le plus intense, avec 3,4 millions de
    passagers embarqués et débarqués durant les quatre premiers mois de l’année,
    suivi par l’aéroport Avram Iancu de Cluj, avec un total de 740.000 voyageurs et
    l’Aéroport international de Iasi, avec 520.000 passagers.


    La plupart des passagers arrivés en Roumanie ont décollé
    des aéroports de Luton de Londres, de Bergamo de Milan, de Tel Avis, d’Istanbul
    International, de Charleroi Bruxelles, de Barajas à Madrid, de Vienne, de
    Muniche ou de Beauvais, près de Paris. A vrai dire, ces aéroports de provenance
    représentent aussi les aéroports de destination de la plupart des passagers qui
    s’embarquent en Roumanie.


    Dans
    un classement des pays d’origine des voyageurs débarqués en Roumanie, on
    retrouve en tête l’Italie, suivie par la Grande Bretagne, l’Allemagne,
    l’Espagne, la France, la Turquie, la Belgique, Israël, les Pays Bas et
    l’Autriche.


    A
    parler du trafic aérien interne, c’est toujours l’aéroport Henri Coanda de
    Bucarest qui affiche le nombre le plus importants de passagers, presque 50% du
    total des voyageurs embarqués, suivi par l’aéroport Avram Iancu de Cluj, plus
    de 16% des passagers et Traian Vuia de Timisoara, plus de 15% des passagers.
    N’oublions pas que cette année, le nombre de voyageurs à destination de
    Timisoara a augmenté dans le contexte où la ville a été capitale européenne de
    la culture.


    Par
    ailleurs, la compagnie aérienne à bas prix, Wizz Air a lancé une nouvelle route
    depuis l’aéroport International Brasov- Ghimbav, à destination de Dortmund. Les
    vols ont lieu deux fois par semaine, mardi et samedi. Et puis, toujours la même
    compagnie aérienne low-cost aura une nouvelle route à partir de 29 octobre
    prochain à destination de Tirana. Les courses sont prévues trois fois par
    semaine, le mercredi, le jeudi et le samedi depuis l’aéroport international
    Henri Coanda de Bucarest.


    En
    revanche, la même compagnie annonce la fermeture à partir du 28 octobre de sa
    base de Suceava, dans le nord de la Roumanie. N’empêche, Wizz Air continuera à
    assurer des vols vers cinq destinations au départ de Suceava. Il s’agit de
    Luton Londres, de Rome, de Milan Malpensa, de Dortmund et de Munich Memmingen.
    Quant aux vols vers Larnaca, Eindhoven, Bruxelles Charleroi, Paris Beauvais et
    Bologne, ceux-ci s’effectueront au départ de l’aéroport international de Iasi.
    Les passagers recevront des notifications par mail et ils auront le droit de
    reprogrammer gratuitement leur vol, se voir rembourser intégralement le prix du
    billet ou se voir verser un crédit d’une valeur de 120% du tarif initial.

  • De nouvelles courses aériennes pour la saison estivale.

    De nouvelles courses aériennes pour la saison estivale.

    Plusieurs
    aéroports de Roumanie ont annoncé de nouvelles courses aériennes pour cet été.
    C’est le cas de l’aéroport international Mihail Kogalniceanu, de Constanta, desservi
    par la compagnie aérienne roumaine, AirConnect. Les vols opérés sont à
    destination de Timisoara, et Cluj et ils seront en place les jeudis et les
    dimanches d’ici au 17 septembre. A partir du 24 juillet, la même compagnie
    déménagera de l’aéroport Bucarest Băneasa – Aurel Vlaicu à celui d’Henri
    Coanda, ce qui permettra aux voyageurs de bénéficier d’un terminal moderne, à
    quelques minutes de la capitale roumaine. AirConnect a sur la carte de ses
    itinéraires des destinations internationales, telles Budapest, mais surtout des
    destinations internes comme par exemples, Baia Mare – nord, Sibiu – centre,
    Suceava – nord, Târgu Mureș – centre).


    A partir du mois
    de septembre, la compagnie low-cost Wizz Air réintroduit deux vols à
    destination d’Antalya depuis les aéroports de Bucarest et de Cluj. Les courses
    au départ de l’aéroport international Henri Coanda, près de la capitale, auront
    lieu chaque lundi et vendredi à partir du 1 septembre et celles au départ de
    Cluj sont prévues deux fois par semaine, jeudi et dimanche, à commencer par le
    3 septembre.


    Parmi les
    aéroports de Roumanie, celui d’Otopeni est le plus fréquenté, avec 72,5% du
    total des voyageurs roumains. Il est suivi par celui de Iasi, plus de 8% et
    Cluj, presque 8%. Il s’agit en fait des trois aéroports internationaux les plus
    importants de Roumanie. La liste se complète par les aéroports de Suceava,
    Craiova, Bacău, Sibiu, Oradea, Baia Mare, Constanţa, Târgu Mureș et Satu Mare,
    beaucoup moins fréquentés que les trois autres. En revanche, la situation peut
    changer, puisque le nombre des Roumains qui optent pour des aéroports de
    petites dimensions est à la hausse. Les principales destinations des voyageurs
    qui préfèrent les aéroports moins fréquentés sont les villes à recenser
    d’importantes communautés de ressortissants roumains, à savoir Londres, Rome,
    Milan, Bruxelles, Paris, Dublin, Venise, Francfort.



    Quant aux prix des billets au départ des aéroports de
    Roumanie, sachez que les tarifs les plus chers sont ceux pratiqués par
    l’aéroport de Cluj. Au pôle opposé, on trouve l’aéroport Henri Coanda
    d’Otopeni. Le fait qu’un aéroport plus petit pratique des tarifs plus élevés
    s’explique par le principe de l’offre et de la demande. Les aéroports moins
    fréquentés n’arrivent pas à générer un trafic suffisamment grand pour remplir
    les avions ou attirer les compagnies low-cost.

  • Le paiement sans contact du parking sur l’aéroport Internaţional «Henri Coandă»

    Le paiement sans contact du parking sur l’aéroport Internaţional «Henri Coandă»

    Récemment, l’aéroport international Henri Coanda, près de Bucarest, a mis
    en place un système de paiement sans contact pour ses parkings. Le tarif est de
    5 lei, soit 1 euro pour les premières 30 minutes de stationnement et de 10 lei,
    soit 2 euros, par heure. L’accès au parking se fait à base d’un ticket
    comportant un code de barres qui vous permettra par la suite, payer le tarif en
    fonction de votre durée de stationnement. Le paiement pourra se faire soit par
    carte, directement aux barrières, soit par carte ou en liquides, auprès d’une
    des machines installées dans les parkings et même dans l’aéroport.


    Si vous optez pour la première variante, le système intégré mis en place
    aux barrières de sortie identifiera votre numéro d’immatriculation, fera
    directement le calcul de la somme qui vous sera débitée et l’affichera sur
    l’écran. Le principe est en fait celui utilisé par les stations de péage, en
    France. En revanche, pas besoin d’introduire la carte dans la machine, puisque
    le paiement pourra se faire sans contact, juste en approchant la carte ou
    n’importe quel autre dispositif intelligent du type Smartphone ou montre
    connectée. Le système accepte des cartes Visa ou Mastercard.


    Si vous êtes à la recherche d’un parking longue durée, pas de souci,
    l’aéroport international Henri Coanda vous le permet pour un tarif calculé en
    fonction du nombre de jours de stationnement. Pour les 4 premières journées,
    vous aurez un tarif de 50 lei, soit une dizaine d’euros par jour. Au-delà du 5ème
    jour et jusqu’à un mois de stationnement, comptez deux euros de plus par jour.
    Prenons un exemple : un touriste qui se rend à l’aéroport en voiture pour
    s’offrir 7 jours de vacances, de retour, il paiera le parking 230 lei, soit 46
    euros. Tandis que s’il revient au bout de 30 jours, il aura 460 lei à payer,
    soit quelque 92 euros. Il convient aussi de préciser que le stationnement
    au-delà de 30 jours n’est pas possible.


    Par ailleurs, cela fait un an déjà que le paiement par carte est possible
    dans les trains qui desservent l’Aéroport Henri Coanda, avec pour point de
    départ la Gare du Nord, de Bucarest. Les trains circulent toutes les 40
    minutes, 24 sur 24. Le trajet est de 20 à 25 minutes et le prix d’un billet est
    de 5 lei, soit 1 euro seulement. Les billets sont disponibles également en
    ligne, ou encore dans le train, au guichet de la gare ou auprès des
    distributeurs installés sur place.



  • Anti-COVID measures

    Anti-COVID measures

    The most contagious strain of the SARS-CoV-2 coronavirus detected so far, the Delta variant, which is at the origin of the devastating wave of COVID-19 cases in India, is spreading, which has prompted world authorities to take action to counter a 4th wave of the pandemic. In Israel, for instance, vaccination with the 3rd dose has been launched for people with immunity problems, and, in France, the most important measure to fight the Delta variant, announced by President Emmanuel Macron, refers to compulsory vaccination for healthcare and non-healthcare workers in hospitals, clinics and nursing homes, as well as for professional and voluntary staff involved in the care of the elderly, including at home.



    After France, Greece has announced the same measure for the medical staff, starting on September 1. In Romania, the Delta variant appeared a few weeks ago, and the first death associated with it was registered in the second half of June. Meanwhile, the number of such cases and associated deaths has slightly increased, and the authorities continue to call for the peoples vaccination. The medical staff that refuses to be vaccinated against COVID could pay for the tests from their own pockets, Prime Minister Florin Cîțu said on Tuesday, when answering the question whether the executive is considering the measure of compulsory immunization of the medical staff or of the employees involved in the care of the elderly.



    Florin Cîțu: “Romania has the lowest infection rate in Europe. Regarding vaccination of the medical staff, we propose to test those who do not want to be vaccinated and have them pay for the test. This is the proposal I made to the Health Ministry officials.”



    The move is caused by fears regarding the possibility of a 4th wave emerging in Romania, even if, at present, the positive test rate stands somewhere around 0.3% and the medical system no longer has to work under the pressure of a very large number of infected people.



    In another move, as of Tuesday, passengers arriving at the Henri Coandă Airport from countries on the yellow list and holding a EU digital COVID certificate or a PCR test can use the green flow corridor, without being checked by the Public Health Directorate employees. The same corridor can be used by those who come from the red-list countries but hold a certificate. The Bucharest Airports National Company specified that the digital certificates issued by Great Britain or by non-EU countries are not valid and recommends passengers arriving from countries on the red or yellow lists to fill in, in due time, the form requested by the Romanian health authorities. The form can be downloaded from the airlines websites or from the website of the Romanian Foreign Ministry. (LS)

  • O întâmplare cu Henri Coandă

    O întâmplare cu Henri Coandă

    L-a cunoscut pe
    generalul francez Charles de Gaulle, a scris peste 50 de cărți, a condus
    redacții de ziar, a predat studenților meseria de jurnalist, dar cea mai
    frumoasă amintirede tinerețe a profesorului George Coandă (82 de ani) este
    întâlnirea cu savantul român, Henri Coandă.



  • Aceşti români care au făcut Franţa, aceşti francezi care au făcut România”

    Aceşti români care au făcut Franţa, aceşti francezi care au făcut România”

    După
    patru luni de evenimente prin care țara noastră a dezvăluit Franței o imagine
    inedită, creativă și inovatoare, Sezonul România – Franța a fost inaugurat pe
    18 aprilie în România, urmând să se desfăşoare în peste 30 de orașe.
    Expoziţiile Dessine-moi la guerre. 1914 – 2014: desene din presă despre
    conflictele secolelor XX şi XXI (deschisă la Muzeul Naţional de Istorie a României),
    Eli Lotar (1905-1969) (deschisă la Muzeul Colecţiilor de Artă, în colaborare
    cu Muzeul Naţional al Literaturii (MNLR), Aceşti români care au făcut Franţa,
    aceşti francezi care au făcut România (pe gardul MNAR), Specii de spaţii
    (lucrările de artă din colecţia de artă contemporană Société Générale de la Muzeul
    Naţional de Artă a României) sunt câteva dintre evenimentele care au deschis
    sezonul România – Franța la Bucureşti.

    Am vorbit cu Marcela Feraru, curatorul
    expoziţiei Românii care au făcut Franța, francezii care au făcut România – 100
    de ani de intimitate despre acest proiect care şi-a propus să readucă în
    atenţie opera scriitorilor, oamenilor de știință, artiștilor, actorilor,
    muzicienilor, arhitecților sau compozitorilor care au țesut legături
    indestructibile între Franța și România. Românii care au făcut Franța,
    francezii care au făcut România – 100 de ani de intimitate este o expoziție
    pedagogică (fotografie și text) reprezentând marile personalități române din
    Franța și franceze din România care, de-a lungul istoriei, au participat la
    construcția și strălucirea culturală a celor două țări. Expoziția retrasează
    prezența marilor personalități române în Franța și franceze în România.
    Intenția proiectului este aceea de a pune în lumină opera scriitorilor,
    oamenilor de știință, artiștilor, actorilor, muzicienilor, arhitecților sau
    compozitorilor care au reușit să construiască legături indestructibile între
    Franța și România. Elena Văcărescu, Sarmiza Bilcescu, Ion Cantacuzino,
    Constantin Brâncuși, Anna de Noaille, Martha Bibescu, George Enescu, Elvira
    Popescu, Tristan Tzara, Benjamin Fondane, Emil Cioran, Eugen Ionesco, Mircea
    Eliade, Sergiu Celibidache, Virgil Gheorghiu, Horia Damian, Ștefan Lupașcu,
    Henri Coandă sunt câteva dintre numele
    care au reușit să creeze această legătură.

    Marcela Feraru, curatorul expoziției
    Românii care au făcut Franța, francezii care au făcut România – 100 de ani de
    intimitate. Foarte greu am făcut această selecţie şi
    am regretat foarte tare de fiecare dată când a trebuit să las deoparte o
    personalitate. Pentru că a trebuit să mă limitez la cincisprezece personalităţi
    române şi cincisprezece personalităţi franceze, iar dacă vorbim de românii care
    au venit şi au creat în Franţa, numărul lor este impresionant. Astfel că până
    la urmă am fost constrânsă de acest număr şi am vrut neapărat să prezint şi câteva
    femei care şi-au pus amprenta asupra culturii franceze, chiar dacă unele dintre
    ele nu mai sunt astăzi atât de cunoscute. De exemplu, Sarmiza Bilcescu, prima
    femeie avocat din lume, care a obținut licența în drept la Universitatea din
    Paris și prima femeie din lume cu un doctorat în drept. De asemenea,
    scriitoarea română stabilită în Franța, Elena Văcărescu, Anna de Noailles,
    scriitoare și poetă franceză de origine română.

    Cine mai știe în România că fața actuală a Bucureștiului se
    datorează marilor arhitecți francezi – de la Ateneul Român la sediul Băncii
    naționale sau a Politehnicii? Că unirea principatelor și crearea instituțiilor
    moderne ale tinerei Românii i se datorează împăratului francezilor, Napoleon al
    III-lea? Sau că generația pașoptistă a fost educată, la Paris, de Edgar Quinet
    și Jules Michelet, care au scris minunate cărți consacrate României?… Cioran,
    Eliade, Brâncuși. Toata lumea cunoaște aceste nume, dar câți știu în Franța că
    aceștia sunt români? Cine își mai amintește ca Dadaismul a fost creat de un
    român, Tristan Tzara? Că motorul cu reacție a fost inventat de un alt român,
    Henri Coandă?

    Marcela Feraru, curatorul expoziției Românii care au făcut
    Franța, francezii care au făcut România – 100 de ani de intimitate. Elvira Popescu, una dintre marile actriţe, spre sfârşitul vieţii
    directoare directoare la Théâtre Marigny și Théâtre de Paris, îşi cultiva
    accentul românesc, care îi dădea un farmec aparte şi care o făcea şi mai
    îndrăgită de publicul francez. Ştim cu toţii că, din păcate, situaţia s-a
    degradat în perioada comunistă şi în anii care au urmat Revoluţiei. Dar de
    câţiva ani tot mai mulţi români au venit aici, români care muncesc uneori şapte
    zile pe săptămână, unii dintre ei în construcţii, alţii făcând menajul, dar şi
    foarte mulţi intelectuali, arhitecţi, medici. Marea comunitate a medicilor
    români din Franţa a devenit o comunitate atât de numeroasă, încât o depăşeşte
    pe cea a medicilor francofoni.

    Expoziția
    Aceşti români care au făcut Franţa, aceşti francezi care au făcut România,
    prezentată pe grilajele Muzeului Național de Artă al României, merge în
    întâmpinarea publicului. Este prezentată în trei limbi – română, franceză și
    engleză – pentru a fi accesibilă tuturor.

  • Henri Coandă

    Henri Coandă

    Fils du général Constantin Coandă, le premier ministre de la Roumanie en 1918, Henri est né en 1886 à Bucarest. Passionné par les mathématiques et la physique comme son père, Henri a fait ses études à la célèbre Université technique de Berlin-Charlottenburg. Il a été l’auteur de nombreuses inventions parmi lesquelles un appareil pour mesurer la portance et la résistance au déplacement dans l’air des différents types de surfaces portantes. En 1911, Coandă présente en France un appareil de vol avec deux moteurs couplés qui mettaient en fonction une seule hélice. Il construit quelques appareils de vol classiques avec des hélices et, en 1912, il gagne avec l’un d’entre eux le premier prix au Concours international de l’aviation militaire d’Angleterre. Sa plus importante découverte, celle qui a révolutionné l’aviation mondiale, a été nommée « l’effet Coandă ».

    Présent en Roumanie au début des années 1970, après avoir quitté le pays pour l’Occident en 1945, on lui a posé la question d’où venait sa passion pour l’aviation. Le savant a répondu qu’elle était due à son attraction pour le vent, attraction qu’il avait depuis l’enfance.

    Henri Coandă : « J’avais moins de 14 ans quand j’ai créé une moissonneuse qui était activée par un moulin à vent. Parce que quand j’ai été très jeune, j’ai été impressionné par le vent. J’étais au bord de la mer et elle était calme. Mon nom est Henri, mais on m’appelle Micu, le Petit, parce que j’étais le plus petit de la famille. Lorsque j’étais au bord de la mer, le plus petit mouvement des vagues me frappait. Le vent s’élevait et je ressentais une sorte d’admiration pour ce vent qui pouvait lever ces vagues. J’avais deux ou trois ans et cela m’a énormément impressionné. Ce fait, de m’être tellement attaché au vent, m’a poussé à faire des cerfs-volants et, avec mon père, qui était très doué pour cela, nous faisions des cerfs-volants toute la journée. Et puis, j’ai essayé de voir ce qui se passait avec le cerf-volant et si je pouvais m’en servir pour faire un moulin à vent. Et la force du moulin à vent m’a ébloui et j’ai construit ma première machine, une moissonneuse qui a été mise en fonction par un moulin à vent. »

    En dépit de son esprit créateur, que tous les inventeurs possèdent, Coandă était pessimiste pour l’avenir.

    Henri Coandă : « Je ne pense pas que l’individu va vers l’avenir. Il va, comment dire, « à l’envers » comme on dit en français, il est comme quelqu’un qui se trouve dans une barque. Il rame, va derrière lui en regardant le passé et, en même temps, il avance, mais il ne voit pas l’avenir, il ne peut pas le voir. Parfois, dans cette barque il y a un timonier. De temps en temps, celui-là bouge et voit quelque chose: il est l’inventeur. Il est celui qui va modifier l’avenir, sans le savoir, car il ne s’en rend pas compte encore. Ne faites pas l’erreur de croire, au moment ou vous inventez quelque chose, que vous pourrez connaître toutes les applications ultérieures de votre invention. Car l’avenir n’à pas à être vu par nous. »

    En 1972, 3 ans après s’être rapatrié, Henri Coandă mourait à Bucarest, à 86 ans. Parmi d’autres distinctions reçues, il a été aussi membre de l’Académie Roumaine. (Trad. Nadine Vladescu)

  • Nachrichten 09.01.2018

    Nachrichten 09.01.2018

    Bukarest: Der sozialdemokratische Premierminister Rumäniens
    Mihai Tudose hat am Dienstag Morgen dem
    rumänischen Präsidenten Klaus Iohannis
    den Vorschlag gerichtet, den Senator
    Ioan Deneş zum Minister für Wasser und Wald zu ernennen. Dieser wurde am Montag
    bei der Sitzung des Nationalen Exekutivbüros der
    sozialdemokratischen Partei nominiert. Die
    ehemalige Ministerin für Wasser und Wald Doina Pana war vergangene Woche aus
    Gesundheitsgründen zurückgetreten. Andererseits soll die von Ministerpräsident
    Mihai Tudose vorgeschlagene Umbildung der Regierung Ende des Monats bei einer
    neuen Sitzung des Exekutiv-Kommittees der Partei im nordrumänischen Iaşi zur
    Sprache kommen. Die Koalitionsregierung, der auch der Junior-Partner der PSD,
    die ALDE, angehört, umfasst 27 Ministerposten. Davon sind drei stellvertretende
    Ministerpräsidenten und zwei beigeordnete Minister. Die Opposition spricht von
    einer unnötig aufgeblähten Regierungsmannschaft. Mehr dazu nach den
    Nachrichten.


    Bukarest: Die rumänische Innenministerin Carmen Dan zieht Konsequenzen aus einem Skandal, bei dem es um die mutmaßliche Verwicklung eines Beamten der Verkehrspolizei in mehrere Fälle sexuellen Missbrauchs von Kindern geht. Der Mann könnte hinter einer Reihe bisher ungeklärter Belästigungsfälle stecken, glauben Ermittler. Die Ministerin will jetzt Polizeichef Bogdan Despescu, aber auch den Chef der Innenrevision bei der Verkehrspolizei und den Leiter des Morddezernats bei der Polizei Bukarest entlassen. Die Innenministerin zeigte sich mit den Erklärungen der Polizeiführung unzufrieden und verlangte auch neue Vorschriften zu den internen Prüfungsverfahren in ihrem Haus.



    Bukarest: Rumänien hat in den ersten 11 Monaten des Jahres 2017 ein Handelsdefizit von rund 11,35 Milliarden Euro eingefahren – das sind fast 2,6 Milliarden Euro oder rund 30% mehr als im selben Zeitraum von 2016. Das gab am Dienstag das nationale Statistikinstitut bekannt. Die Exporte stiegen somit um 9,5% auf über 58 Milliarden Euro, die Importe um 12,3% auf fast 70 Milliarden Euro.



    Bukarest: Die beiden Bukarester Flughäfen Henri Coandă in Otopeni und Aurel Vlaicu im Stadtteil Băneasa haben letztes Jahr einen Rekord an Fahrgästen aufgestellt – fast 13 Millionen Passagiere, 16,8% mehr als 2016, fertigten die beiden Flugplätze ab. Das Wachstum lag so über dem europäischen Durchschnitt. Nach Daten der Betreibergesellschaft starteten und landeten ungefähr 130.000 Maschinen, das sind 7,7% mehr als 2016. Nach der Wachstumsdynamik liegt der Hauptstadtflughafen Henri Coandă noch vor jenen in Lissabon, Berlin, Brüssel, Athen, Mailand, Prag oder Budapest, besagt ein Bericht des Fachvereins Airports Council International Europe.



    Bukarest: Drei politische Kräfte, die die Belange der ungarischen Minderheit in Rumänien vertreten, wollen zusammen territoriale, lokale und kulturelle Autonomie für das sogenannte Szeklerland vorschlagen. In diesem Gebiet in der Mitte Rumäniens leben zumeist Angehörige der ungarischen Minderheit. Vertreter der Mehrheitskoalition, aber auch der Opposition lehnten den Vorstoß als verfassungswidrig ab und schlossen jede Verhandlung zum Thema aus. Die Initiative, die auch die Parlament vertretene Ungarnpartei UDMR unterstützt, sei aussichtslos, da sie die Voraussetzungen eines demokratischen Systems nicht berücksichtige und der Spaltung der Gesellschaft Vorschub leiste.



    Sport: Die Rumänin Mihaela Buzărnescu hat am Dienstag beim Tennisturnier im australischen Hobart ihre deutsche Gegnerin Anna-Lena Friedsam besiegt und sich für das Viertelfinale qualifiziert, wo sie gegen Alison Riske aus den USA spielt. Eine andere Rumänin, Monica Niculescu spielt im Achtelfinale gegen die Amerikanerin Varvara Lepchenko. Am Montag beginnt das Australien Open, das erste große Turnier des Jahres. Hauptfavoritin ist die Rumänin Simona Halep.

  • January 9, 2018

    January 9, 2018

    CABINET – Romanias Social Democratic Prime Minister Mihai Tudose this morning sent to President Klaus Iohannis the nomination of Senator Ioan Deneş for the Water and Forestry Minister post. In Mondays meeting of the National Executive Committee of the Social Democratic Party Deneş was chosen to replace Doina Pana, who last week resigned because of health reasons. The Social Democrats postponed for the end of this month discussions on a possible reshuffling, after the Prime Minister announced he would like his Cabinet downsized from 27 to 16 ministries.




    DIPLOMACY – The Minister Delegate for European Affairs, Victor Negrescu, discussed in The Hague on Monday with the Dutch Foreign Minister Halbe Zijlstra about Romanias Schengen accession and the relations between the two countries as EU members, particularly the good economic relations. The two officials also looked at the key elements currently on the European agenda, including the Multiannual Financial Framework, the future of the EU and the common defence policy, in the context of Romania holding the rotating presidency of the EU Council in the first half of 2019. Known for the successive EU-wide campaigns for Romanias Schengen accession, including a petition, #RomâniaCereSchengen, signed by tens of thousands of Romanians and submitted to the European Parliament, the Minister Delegate for European Affairs suggested a vote in the Justice and Home Affairs Council. The Netherlands has repeatedly opposed Romanias joining the border-free area, on grounds of insufficient judicial reforms.




    AIRPORTS – Bucharests 2 international airports, Henri Coandă and Băneasa, reported for 2017 record-large passenger numbers: nearly 13 million, which is 16.8% more than in 2016. According to the National Airport Corporation, in 2017 the number of takeoffs and landings was also 7.7% higher than in the previous year, reaching 130,000. In fact, Airports Council International-Europe has ranked Henri Coandă as one of Europes top 5 airports in terms of the increase in air traffic figures in the first 10 months of the year, in the category of airports with 10-25 million passengers a year. Henri Coandă airport came ahead of the international airports in Lisbon, Berlin, Brussels, Athens, Milan, Prague and Budapest.




    TRADE – Romania continued to import more than it exported last year, and the trade deficit deepened by nearly 3%, according to the National Statistics Institute. Although exports grew by around 9%, they remain below imports, generating a trade deficit of 1.12 billion euro. The most important trade partners were EU member states.




    ETHNIC AUTONOMY – Officials for 3 political entities representing the interests of ethnic Hungarians in Romania, including the Democratic Union of Ethnic Hungarians in Romania, a parliamentary party, Monday agreed to propose territorial, local and cultural autonomy for the so-called Szeckler County, a region in central Romania where ethnic Hungarians outnumber the other communities. The leaders of the other parliamentary parties in Power and in Opposition dismissed the idea as unconstitutional. They argued that Romania is one of the countries where the Hungarian minority enjoys the most extensive rights, and ruled out any autonomy negotiations. According to them, the initiative stands no chances because it comes against the requirements of a democratic system and fuels division within society.




    TENNIS – The Romanian tennis player Mihaela Buzărnescu Tuesday qualified into the quarter-finals of the Hobart tournament in Australia, which has 226,750 US dollars in total prizes, while Monica Niculescu has reached the eighth-finals. Buzărnescu outplayed Germanys Anna-Lena Friedsam, and is to play next against the American Alison Riske. Monica Niculescu will take on Varvara Lepchenko, also of the USA. On Monday the first Grand Slam tournament of the year, the Australian Open, begins, with world no. 1 Simona Halep seeded first.


    (translated by: Ana-Maria Popescu)

  • Rumänien bei der Internationalen Messe für Erfindungen ausgezeichnet

    Rumänien bei der Internationalen Messe für Erfindungen ausgezeichnet

    Die rumänischen Erfinder haben in diesem Jahr bei der Internationalen Messe für Erfindungen in Genf zahlreiche Auszeichnungen erhalten. Es geht um die bedeutendste Veranstaltung in diesem Bereich, die im Zeitraum 29. März- 2. April stattfand. Die Rumänen wurden bei der 45. Messe von der Jury mit 34 Goldmedaillen, 8 Silbermedaillen und 10 Sonderpreisen ausgezeichnet. Hinzu kamen weitere 17 Preise, die von den ausländischen Delegationen, die bei dem Tag Rumäniens anwesend waren, verliehen wurden. Rumänien beteiligte sich mit 40 Erfindungen. Die Teilnahme wurde vom Staatshaushalt finanziert. Das Forschungsministerium gab bekannt, 8 Erfindungen wurden durch Eigenmittel finanziert.



    Insgesamt wurden über 2.000 Erfindungen aus der ganzen Welt ausgestellt. Unternehmen, Universitäten, Staatsorganisationen, Erfinder und private Forscher waren präsent. Mihai Receanu, einer der rumänischen Erfinder, wurde mit dem Sonderpreis der Weltorganisation für geistiges Eigentum der UN ausgezeichnet. Der 23-jährige Student an der Bukarester Universität wurde für eine Erfindung ausgezeichnet, die den elektrischen Sicherheitsgrad in Fahrzeugen, Flugzeugen und anderen Verkehrsmitteln mit ähnlichen elektrischen Ausrüstungen vergrö‎ßert. Seine Erfindung wurde beim Europäischen Zentrum für Interdisziplinäre Angewandte Forschung in Otopeni, geleitet von Mircea Tudor, Koautor der Erfindung und Gewinner des Gro‎ßen Preises im Jahre 2009 und 2013, entwickelt.



    Unter den bedeutendsten rumänischen Erfindungen aller Zeiten zählt das Insulin, das Millionen Leben gerettet hat. Nicolae Păulescu, Professor an der Medizin- und Pharmazie-Universität in Bukarest, entdeckte das Hormon 1921. Er bewies als erster die Wirkung dieser Substanz, die die Hyperglykämie reduzierte und bei der Behandlung von Diabetes gebraucht wird. Eine andere besondere rumänische Erfindung ist auch das Düsenflugzeug. Der Ingenieur Henri Coandă sorgte für Sensation im Oktober 1910 bei dem zweiten Internationalen Luftfahrt-Salon in Paris. Sein Flugzeug war eine echte Revolution im Bereich und war die Lösung der Zukunft.

  • The National Aviation Museum

    The National Aviation Museum

    Aeronautics is a field with a long-standing tradition in Romania since the very beginning. Romanian aviators went down in history for their acts of heroism in times of war and as part of humanitarian missions, and have achieved notable results in utilitarian, sports and transport aviation. Romanian engineers have played a significant role in maintaining this tradition and achieved fame in the field of aircraft manufacturing, despite the many setbacks. 2nd of March 1990 saw the creation of the National Aviation Museum, which showcases the history of Romanian aviation.



    Curator Carmen Bescuca, the head of the museum’s collection dedicated to the history of aeronautics, described some of the most important exhibits: “Starting with the three pioneers of aviation, Vuia, Vlaicu and Coanda, visitors can see a scale model of the Vuia no.1 aircraft used by Traian Vuia to conduct the first flight in the world with a heavier-than-air machine. Also on display are the Vlaicu 2 and Vlaicu 3 aircraft designed by engineer Aurel Vlaicu, as well as the scale model of the first jet in the world, Coanda 1910, that of famous IAR 80 fighter plane, built in 1939 by IAR factory in Brasov, a plane used by Romanian pilots in the second world war to obtain over 2,000 victories. Visitors can also see the scale models of reactive planes, from the Yak 23 model MiG29 and, of course, the IAR 93 plane, which was made in Romania.”



    Romania wrote important pages in the world history of aviation, at a time when human flying was still a dream. Between 1529 and 1555, the Austrian Conrad Haas designed and tested a multistage rocket in Sibiu. At the beginning of the 20th century, Traian Vuia, Aurel Vlaicu and Henri Coanda are names any country would be proud of Coanda’s invention, the jet engine, caused a revolution in the field. The National Aviation Museum contains reproductions of the famous aircraft used by Romanian aviators.



    Carmen Bescuca tells us more: “Vuia’s plane is on display now in France, the place where he built it and where he was carrying out his activity. Vlaicu 2 is the one with which Vlaicu sadly crashed in his attempt to fly over the Carpathians back in 1913. ‘Coanda 1910’, also built in France, is the aircraft with which the inventor tried to fly in December 1910. The plane did take off, but Coanda, who was not a pilot at that time, failed in his attempt and the plane went down and was destroyed. We have a replica of WWII fighter IAR 80, because all those left after the war were dismantled.”



    Besides the exhibits already mentioned, the National Aviation Museum also boasts an archive of objects that belonged to the people that made history in aviation in Romania.



    Here is Carmen Bescuca again: “I would like to refer to a series of documents and personal belongings of some leading figures of the Romanian aeronautics, such as engineer Aurel Vlaicu; we have on display his pocket watch, which accompanied him in all his flights. I would also mention the archived documents about the first woman skydiver of Romania, Smaranda Braescu, who, back in 1931 set a world record with a jump from 6,000 meters. A year later she broke that record after she jumped from an altitude of 7233 meters. There are also a series of flight records, flying licenses and captain’s logs that belonged to WW2 and post-WW2 airmen. There are also documents of Romanian Air Forces pilots who flew jet fighters. “



    A visit at the National Aviation Museum is tantamount to discovering an impressive aeronautics heritage. Visitors are impressed by the wide variety of objects on display here, such as costumes, insignia, drawings and replicas. However, the objects with the strongest impact upon visitors are the planes, the helicopters, the rockets, the command centres, the communication gear, the ejection seats, the engines and other pieces of equipment. The Romanian aviation has a museum in which the planes enthusiasts and future pilots can indulge their hobby or get a glimpse of their future career.