Tag: Herman van Rompuy

  • 17.11.2014 (mise à jour)

    17.11.2014 (mise à jour)

    Elections – Le candidat à la présidentielle de la principale force d’opposition de Roumanie, l’Alliance Chrétienne Libérale (centre-droit), Klaus Iohannis, s’est adjugé la victoire au deuxième tour de scrutin organisé dimanche. Selon le Bureau électoral central, après le dépouillement de 99,07% des bulletins, Iohannis, maire de Sibiu, (centre) a remporté 54,50% des suffrages et son contre-candidat, le premier ministre social-démocrate Victor Ponta 45,49%. Ce dernier avait été proposé par l’alliance formée du Parti Social Démocrate, de l’Union Nationale pour le Progrès de la Roumanie et du Parti conservateur, au pouvoir. La présence aux urnes a été de presque 54%, la plus importante des 18 dernières années. Le premier ministre Ponta a déclaré lundi sa volonté de dialoguer avec le nouveau président élu, mentionnant son souhait de continuer d’être premier ministre tant qu’il bénéficie de l’appui des partenaires actuels au gouvernement. Il a opiné que les élections ont montré que les Roumains ont besoin d’une nouvelle législation et une nouvelle logistique pour le vote dans la diaspora.



    Réactions – Le président en exercice du Conseil Européen, Herman Van Rompuy, a félicité lundi Klaus Johannis, pour son élection à la fonction suprême du pays. Herman Van Rompuy sest déclaré confiant que celui-ci déposerait tous les efforts nécessaires et quil simpliquerait en entier, aux côtés du gouvernement, pour aider la Roumanie à affronter les futurs défis politiques, économiques et sociaux, et quil continuerait de contribuer au développement de lUE.



    A son tour, le président de la République de Moldova, Nicolae Timofti, a félicité par téléphone le président élu de la Roumanie, Klaus Johannis, linvitant à effectuer une visite à Chisinau dans le proche avenir. Timofti sest également dit confiant que les relations bilatérales damitié et de bon voisinage, qui ont connu un essor considérable ces dernières années, continueraient à se développer avec la même intensité. Le président moldave a aussi affirmé être persuadé quau cours du mandat de Klaus Johannis, la Roumanie enregistrerait des succès visant à renforcer lEtat de droit, devenant un pays plus fort et plus prospère.




    Excuses – Le chef de la diplomatie de Bucarest, Teodor Meleşcanu, a adressé lundi des excuses aux citoyens roumains qui n’ont pas pu voter aux bureaux de vote de l’étranger, ajoutant néanmoins que le ministère roumain des Affaires étrangères avait pris toutes les mesures pour que ce processus puisse se dérouler dans des conditions correctes, légales et neutres. Et Melescanu de préciser que plus de 379 milliers de citoyens roumains ont voté au second tour de la présidentielle de dimanche à l’étranger, un record absolu de participation par rapport à tous les scrutins qui ont eu lieu dans la diaspora depuis 1990. Les plus nombreux ont voté en Italie, 96 milliers, et en Espagne, 83 milliers ; il s’agit des pays avec les plus nombreuses communautés de Roumains de la diaspora. La République de Moldova arrive ensuite, avec plus de 35 milliers, et la Grande Bretagne avec plus de 26 milliers. Des chiffres significatifs, supérieurs à 15 milliers, ont été enregistrés aux Etats Unis, en Allemagne et en France.




    Visite – Le ministre roumain de la Défense, Mircea Dusa, a discuté lundi à Bucarest avec Rose Gottemoeller, sous-secrétaire d’Etat américain pour le contrôle de l’armement et la sécurité internationale. Les sujets discutés ont visé le Partenariat stratégique, la défense anti-missile, ainsi que la base militaire de Deveselu. Dusa a déclaré entre autres que la partie roumaine souhaitait un élargissement et un renforcement du rôle de la base militaire de Mihai Kogàlniceanu (sud-est) dans le contexte de sécurité actuel. L’agenda des discussions a également comporté la situation de sécurité du flanc est de l’Alliance et la manière dont celle-ci influence la zone, ainsi que la contribution de la Roumanie à la future mission de l’OTAN en Afghanistan. Rose Gottemoeller fait une visite de deux jours en Roumanie, deuxième étape, après la Jordanie, d’une tournée que l’officiel américain entreprend du 14 au 26 novembre et qui comprend aussi la Russie et la Grande Bretagne.





    Réunion – La Roumanie a été représentée par le secrétaire d’Etat aux Affaires européennes, George Ciamba, à la réunion des ministres des Affaires étrangères des Etats de l’UE, qui a lieu aujourd’hui à Bruxelles. Selon le ministère des Affaires étrangères de Bucarest, parmi les thèmes en débat l’on comptait la crise d’Ukraine, le stade du processus de paix au Proche Orient et l’épidémie d’Ebola. Dans les discussions sur le dossier ukrainien ont été débattues les implications des élections dans les régions séparatistes de Lougansk et de Donetsk, du 2 novembre dernier, le régime de sanctions imposé à la Russie et la problématique énergétique, précise le communiqué du ministres des Affaires étrangères.





    Exercice — Environ 180 soldats roumains des Forces terrestres et 250 militaires roumains d’une brigade aéroportée participent à partir d’aujourd’hui à l’exercice Phoenix Baneasa 2014, dans le stand de tir militaire de Babadag, situé dans le sud-est de la Roumanie. Au cours de ces manœuvres, les soldats roumains et américains réalisent des parachutages et des tirs. Les missions déroulées lors de cet exercice sont appuyés aussi par des aéronefs des Forces aériennes roumaines.





    Condamnation — Le ministre roumain des Affaires Etrangères condamne fermement l’assassinat brutal de l’Américain Peter Kassig par le groupement térroriste de l’Etat Islamique, selon un communiqué de presse. La diplomatie roumaine affirme que cet assassinat est un acte barbare et cruel et souligne l’appui ferme que la Roumanie accorde à la coalition internationale contre l’Etat Islamique.




    Inventions – Au Salon des Inventions, Eureka, organisé du 13 au 15 novembre à Bruxelles, linventeur roumain Ionuţ Budişteanu a été récompensé de 5 prix et 2 médailles pour son dispositif électronique censé améliorer la sécurité des distributeurs de billets. Il sagit dun dispositif électronique connecté à plusieurs camérasd de surveillance et dun microphone qui identifie automatiquement le bruit provoqué par les disqueses utilisées par les malfaiteurs qui essayent de couper lappareil. Son invention peut également identifier les personnes qui portent de cagoules dès leur entrée dans une certaine intitution telle une banque. Ionut Budisteanu, 21 ans, est renommé pour les résultats quil a obtenuis à des dizaines de concours intérnationaux en 11 pays. En 2013, le magazine TIME a classé le jeune roumain en 9e position parmi les plus influents adolescents au monde. En 2014, Ionut Budisteanu a réalisé une application qui permet aux no-voyants de se déplacer à laide de leur téléphone portable.


  • 17.11.2014 (mise à jour)

    17.11.2014 (mise à jour)

    Réactions – Le président en exercice du Conseil Européen, Herman Van Rompuy, a félicité lundi Klaus Johannis, pour son élection à la fonction suprême du pays. Herman Van Rompuy sest déclaré confiant que celui-ci déposerait tous les efforts nécessaires et quil simpliquerait en entier, aux côtés du gouvernement, pour aider la Roumanie à affronter les futurs défis politiques, économiques et sociaux, et quil continuerait de contribuer au développement de lUE.



    A son tour, le président de la République de Moldova, Nicolae Timofti, a félicité par téléphone le président élu de la Roumanie, Klaus Johannis, linvitant à effectuer une visite à Chisinau dans le proche avenir. Timofti sest également dit confiant que les relations bilatérales damitié et de bon voisinage, qui ont connu un essor considérable ces dernières années, continueraient à se développer avec la même intensité. Le président moldave a aussi affirmé être persuadé quau cours du mandat de Klaus Johannis, la Roumanie enregistrerait des succès visant à renforcer lEtat de droit, devenant un pays plus fort et plus prospère.


  • EU-Gipfel entscheidet über Klimaziele 2030

    EU-Gipfel entscheidet über Klimaziele 2030

    Die Treibhausgas-Emissionen sollen in der EU bis 2030 um mindestens 40 % gegenüber 1990 gesenkt werden. Das haben die EU-Staats- und Regierungsschef bei einem Gipfeltreffen in Brüssel vereinbart. Die Einigung sei historisch, meinen Politanalysten. Laut dem Radio Rumänien Korrespondenten in Brüssel werde dieses Ziel in der EU verbindlich sein. Die 28 Staats- und Regierungschefs haben weiter beschlossen, dass der Anteil der erneuerbaren Energien auf 27 % des Energiekonsums steigen soll. Zugleich soll der Konsum auch um 27 % sinken.




    Eu- Ratspräsident Herman Van Rompuy zeigte sich mit den Beschlüssen am Ende seiner Amtszeit zufrieden. Es ist eine gute Nachricht für das Klima, für die Bürger, für die Gesundheit“, erklärte der hochrangige EU-Vertreter über Twitter. Das sei das ehrgeizigste Ziel einer Energie-und Umweltpolitik weltweit, sagte dieser weiter. Auch Generalsekretär Ban Ki-Moon begrüsste die Entscheidung der Europäischen Union die Treibhausgas-Emissionen zu senken.




    “Die Entscheidung beweist die anhaltende globale Führung der EU, mutige Massnahmen für die Bekämpfung des Klimawandels zu treffen“, heisst es in einem Presse-Kommunique der UNO. Europa habe bewiesen, dass die Handhabung der globalen Klimaprobleme langfristig im eigenen Interesse ist, sagte weiter der UNO-Generalsekretär.




    Umweltschützer meinen hingegen, die in Brüssel getroffenen Massnahmen seien bescheiden. Sie würden die Produktion von sauberer Energie in Europa zurück halten.




    Ebenfalls am Freitag hat der Europäische Rat neue Massnahmen zur Reduzierung der Energie-Abhängigkeit der EU und zur Verbesserung der eigenen Sicherheit im Bereich verabschiedet. Das betrifft sowohl den Gas- als auch den Strom-Bereich. Laut den offiziellen Mitteilungen, müsse man die Instrumente der EU-Aussenpolitik einsetzen um einheitliche Botschaften in puncto Energie-Sicherheit zu schicken, insbesondere den strategischen Partnern und den wichtigen Lieferanten.




    “Die Krisen in der Ukraine und die Probleme im Nahen Osten haben klar gezeigt, wie dringend und wichtig es ist die Energie-Abhängigkeit Europas zu senken“, erklärte nach den Verhandlungen in Brüssel EU-Ratspräsident Herman Van Rompuy. Die Erklärung zeigt die Unruhe in Europa, kurz vor dem Winter. Ein unberechenbarer Lieferant wie Russland könnte erneut die Energie-Waffe einsetzen um seine geopolitischen Ziele zu erreichen.

  • Summit european la Bruxelles

    Summit european la Bruxelles

    Analiştii califică drept istoric acordul la care au ajuns, joi, liderii Uniunii Europene, privind reducerea cu cel puţin 40%, în raport cu nivelul din 1990, a emisiilor de gaze cu efect de seră până în 2030.



    Corespondentul Radio România la Bruxelles transmite că acest obiectiv va fi obligatoriu la nivelul Uniunii şi va fi îndeplinit prin contribuţii din partea statelor membre. Cei 28 de şefi de stat şi de guvern au convenit, de asemenea, asupra a două obiective conexe: creşterea ponderii energiei regenerabile la 27% din consum şi reducerea, tot cu 27 de procente, a consumului de energie.



    Preşedintele în exerciţiu al Consiliului European, Herman Van Rompuy, nu şi-a ascuns satisfacţia faţa de această reuşită, care-i marchează finalul de mandat. “Este o veste bună pentru climat, cetăţeni, sănătate” — a exclamat responsabilul comunitar pe contul său de Twitter. Van Rompuy mai apreciază că acesta este cel mai ambiţios obiectiv de politică energetică şi de mediu din lume.



    Şi secretarul general al ONU, Ban Ki-moon, a salutat decizia Uniunii Europene de a-şi reduce emisiile de gaze cu efect de seră. “Decizia demonstrează leadership-ul global continuu al Uniunii Europene în a întreprinde acţiuni curajoase pentru a combate modificările climatice”, potrivit unui comunicat de presă, emis în numele Naţiunilor Unite. Secretarul general apreciază că Europa a dovedit că gestionarea nevoilor climatice globale este în propriul său interes pe termen lung. Asumându-şi rolul de sceptic de serviciu, organizaţiile ecologiste susţin, în schimb, că măsurile decise la Bruxelles sunt modeste şi încetinesc, de fapt, producerea de energie curată în Europa.



    Tot vineri, Consiliul European a aprobat noi acţiuni de reducere a dependenţei energetice a UE şi de îmbunătăţire a securităţii sale în domeniu, atât pentru gaze cât şi pentru energia electrică. Conform comunicatelor oficiale, şefii de stat şi de guvern au decis că trebuie utilizate instrumentele de politică externă ale UE pentru a transmite mesaje coerente legate de securitatea energetică, în special partenerilor strategici şi furnizorilor importanţi. “Odată cu crizele din Ucraina şi problemele din Orientul Mijlociu a devenit foarte clar cât de urgent şi de vital este să reducem dependenţa energetică a Europei” — afirma, dupa negocieri, tot preşedintele Van Rompuy. Defel formală, declaraţia exprimă neliniştea generală a Europei în preajma iernii, când, furnizor imprevizibil, Rusia ar putea uza, din nou, de arma energetică pentru a-şi atinge obiectivele geopolitice.

  • Schottland: Was kommt nach dem Referendum?

    Schottland: Was kommt nach dem Referendum?

    Ein Referendum über die Unabhängigkeit Schottlands vom Vereinigten Königreich (engl. Scottish Independence Referendum) fand am 18. September 2014 statt. Das Endergebnis betrug 55,3% Nein-Stimmen und 44,7% Ja-Stimmen bei einer Beteiligung von 84,59%, wodurch die Unabhängigkeit Schottlands von der Mehrheit der Wähler abgelehnt wurde.



    Das Ergebnis des Referendums über die Unabhängigkeit Schottlands vom Vereinigten Königreich bestätigte die Meinungsumfragen, laut denen die Unionisten um eine Nasenlänge gewinnen sollten. Die Schotten haben beschlossen, Gro‎ßbritannien nicht zu zerteilen. Nach dem schottischen Nein“ atmete Brüssel erleichtert auf. EU-Ratspräsident Herman Van Rompuy erklärte, er respektiere die willkommene Wahl der Schotten. Gro‎ßbritannien sei ein wichtiges EU-Mitglied, so profitieren alle Bürger und Mitgliedstaaten, sagte Van Rompuy. Der scheidende EU-Kommissionspräsident Manuel Barroso begrü‎ßte das Nein“ Schottlands zur Loslösung von Gro‎ßbritannien. Das Ergebnis ist gut für ein einiges, offenes und stärkeres Europa, für das die EU-Kommission steht.“ Die Kommission begrü‎ße zugleich die Tatsache, dass Schottlands Regierung und Bevölkerung wiederholt ihr Engagement für Europa bekräftigt habe, so Barroso.



    Auch der Präsident des Europäischen Parlaments, Martin Schulz, war mit dem Ergebnis zufrieden, da die EU nicht einmal einen Plan A“ hatte, wie sie mit einem unabhängigen Schottland umgehen sollte. Ferner äu‎ßerte Martin Schulz die Bereitschaft der Europäischen Union zu einem konstruktiven Dialog mit der schottischen Regierung in wichtigen Bereichen wie das Schaffen von neuen Arbeitsplätzen, Wirtschaftswachstum, Politik, Energie und Klimawechsel. Diese heiklen Themen waren auch von den Unionisten angesprochen worden, deren Kampagne auf die wirtschaftlichen Folgen einer Separation pochte und die Schotten über den Verlust von Arbeitsplätzen und eine schlechtere Position in Europa und in der Welt warnte. Andererseits sagten die schottischen Separatisten, Gro‎ßbritannien werde von Westminster aus von einer englischen Elite regiert, die es in der Regel ablehnt, die Interessen Schottlands zu berücksichtigen. In der Nordsee werde schottisches Rohöl gefördert, aber nur ein kleiner Teil des Gewinns bleibe in Schottland, so die Separatisten. Und auch die Tatsache, dass die Schotten in puncto Atomwaffen in ihrem Land nicht mitreden könnten, führte in den letzten Jahren zu starken Ressentiments. Der Polit-Kommentator Cristian Mititelu demontiert aber teilweise diese Argumente:



    Es gibt keinen bestimmten Grund dafür, dass die schottische Bevölkerung heute wirtschaftlich schlechter dran sein sollte, denn die gro‎ße Deindustrialisierung hat schon vor 20 Jahren, während der Thatcher-Regierung stattgefunden. Dann wurde die schottische Wirtschaft umstrukturiert und zurzeit erlebt sie eine steigende Tendenz, wie auch die Wirtschaft Gro‎ßbritanniens. Wenn man genau hinschaut, ist das Bruttoinlandsprodukt pro Einwohner in Schottland höher als in England. Die wirtschaftlichen Begründungen sind meistens perzeptionsbedingt: ‚Ich habe den Eindruck, dass es mir schlechter geht als den anderen‘, sagt man. Das entspricht aber nicht immer der Wahrheit.“




    Was wäre gewesen, wenn Schottland sich von Gro‎ßbritannien getrennt hätte? Wie wären die EU oder die NATO mit einem neuen Land, mit einem neuen unabhängigen Staat umgegangen, der auf seine EU-Mitgliedschaft bestanden hätte? Die EU-Staatschefs hatten schon vor dem Referendum gewarnt: Sollte Schottland unabhängig werden und wollte es der Europäischen Union angehören, so müsste es das gesamte EU-Beitrittsverfahren von vorne anfangen und durchziehen. Der Fall Schottland wird umso interessanter, da er keine isolierte Erscheinung in Europa ist. Der Journalist und Mitglied des Internationalen Presseverbands Thomas Friedrich, der sich auf EU-Angelegenheiten spezialisiert hat, äu‎ßerte sich darüber in einem Interview mit dem RRI-Korrespondenten in Brüssel:



    Der Fall Schottland ist nicht der einzige seiner Art, generell in Europa und speziell in der Europäischen Union. Wir haben den Fall Katalonien, das seine Autonomie fordert, wir haben eine ähnliche Bewegung in Norditalien, und sogar hier, in Belgien, erleben wir die Neigung, dieses kleine Land zu spalten. Wenn wir die Perspektive erweitern, können wir diese Bewegungen auch im Fall der Ukraine feststellen. Ich glaube, dass jedes Land in Europa, und zwar auf dem gesamten europäischen Kontinent, nicht nur in der Europäischen Union, die schon in mehreren Teilen gespalten ist, dadurch viel schwächer und viel anfälliger gegenüber Risiken und Gefahren aller Art wird. Ich würde eher ein föderales System wie in Deutschland empfehlen. Ein solches Modell wäre eine mögliche Lösung für die Ukraine — man würde den einzelnen Regionen mehr Verwaltungsbefugnisse und mehr Autonomie gewähren, aber die gesamte Nation könnte doch eine Einheit bleiben.“




    Der rumänische Au‎ßenminister Titus Corlăţean begrü‎ßte das Ergebnis des Referendums in Schottland und sagte, Gro‎ßbritannien sei mit Schottland als Teil des Vereinigten Königreichs ein strategischer Partner Rumäniens, sowohl in puncto bilaterale Beziehungen als auch im Rahmen der Europäischen Union und der NATO.




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  • Rumänien bei der 69. UN-Generalversammlung

    Schwerpunkt der 69. UN-Generalversammlung war am Donnerstag die jüngste politische Entwicklung in der Welt. Im Mittelpunkt der Gespräche standen zudem die Herausforderungen der modernen Welt. Diesbezüglich plädierten die Teilnehmer für Einigkeit und wirksame Aktionspläne. Der Präsident des Europäsichen Rates, Herman van Rompuy, erinnerte in seiner Rede an den Ausbruch des Ersten Weltkriegs vor 100 Jahren und betonte, die Staats- und Regierungschefs der Welt müssen sich dafür einsetzen, um einen neuen Weltkrieg zu vermeiden.



    Rumäniens Ministerpräsident Victor Ponta gab bei der 69. UN-Generalversammlung bekannt, Rumänien werde sich nicht nur den internationalen Bemühungen zur Bekämpfung des Terrorismus und der Aggressionen anschlie‎ßen, die die Bedingngen für Instabilität und Sicherheit in der Region schaffen, sondern sich auch mit logistischer Hilfe für derartige Missionen einsetzen.



    Ein Schwerpunkt in der Rede des rumänischen Ministerpräsidenten war die Ukraine-Krise. Premierminister Ponta plädierte für die Einhaltung der territorialen Integrität des Nachbarlandes Rumäniens und fügte hinzu, der militärische Einsatz Russlands in der Ukraine habe sich negativ auch auf die Situation der anderen osteuropäischen Staaten auswirken lassen: “Rumänien verurteilt jede Form von Au‎ßendruck auf osteuopäische Staaten, die die EU-Integration anstreben. Rumänien unterstützt die territoriale Integrität und Souveranität der Ukraine und aller Länder in der Region.“



    Die Ausbreitung der radikal islamischen Bewegungen und die Gründung von Gruppen wie der Islamische Staat, die die Stabilität im Mittleren Osten bedrohen, sei zudem besorgniserregend für die rumänischen Behörden, fügte Ministerpräsident Victor Ponta hinzu: “Die islamischen Gruppen weiten sich über die Grenzen Iraks und Syriens aus und stellen eine wesentliche Bedrohung für die internationale Ordnung dar. Das soll ein wichtiges Thema für alle Staaten darstellen. Wir müssen solidarisch bleiben und vereint gegen Terrorismus kämpfen.”



    Trotz unzulänglicher Finanzmittel unternimmt Rumänien gro‎ße Bemühungen, um einen wichtigen Beitrag zur Flüchtlingshilfe aus Konfliktregionen zu bringen. Ein Beispiel in diesem Sinne sei die Aufnahmestelle für Flüchtlinge im westrumänischen Temeswar. Rumänien werde auch ferner einen bedeutenden Beitrag zu den internationalen Bemühungen um Sicherheit in der Welt bringen, wie früher in den Konfliktregionen Irak, Afganistan, Kosovo und in afrikanischen Ländern, fügte Ministerpräsident Victor Ponta hinzu.

  • Poziţia României la ONU

    Agenda celei de-a 69-a sesiuni a Adunării Generale a ONU a fost dominată, joi, de ultimele evoluţii internaţionale. Majoritatea vorbitorilor şi-au axat discursul pe provocările lumii moderne, pronunţându-se pentru unitate în decizie şi acţiune.



    Corespondentul Radio România aminteşte, în context, alocuţiunea preşedintelui Consiliului European, Herman van Rompuy care a susţinut necesitatea evitării unui nou război mondial, mai ales acum, când s-au implinit 100 de ani de la izbucnirea primei conflagraţii mondiale, cu repercusiuni umane şi materiale considerabile.



    În aceeaşi notă s-a incadrat şi intervenţia premierul Victor Ponta, care a anunţat, în plenul Adunării Generale a ONU, că România nu numai că va susţine eforturile internaţionale pentru combaterea terorismului şi agresiunii care creează insecuritate în regiune şi în lume, dar va participa şi logistic, efectiv în funcţie de ce se va decide. Principala temă din discursul premierului a fost criza din Ucraina. El a pledat pentru respectarea integrităţii teritoriale a acesteia, precizând că acţiunile Rusiei în ţara vecină au avut un puternic impact asupra statelor din estul Europei. Victor Ponta: România respinge orice formă de presiune externă asupra tuturor statelor din estul Europei care au aspiraţii de integrare europeană. România sprijină ferm integritatea teritorială şi suveranitatea Ucrainei şi a tuturor ţărilor.



    Un alt motiv de îngrijorare – a mai spus premierul – îl reprezintă proliferarea mişcărilor islamice radicale şi apariţia unor grupări ca Statul Islamic, care ameninţă să destabilizeze întreg Orientul Mijlociu şi nu numai. Victor Ponta: Ele se extind, dincolo de Irak şi Siria şi astfel, reprezintă o provocare majoră la adresa ordinii internaţionale. Această chestiune trebuie abordată de toate statele. Trebuie să rămânem uniţi şi să luptăm împotriva terorismului, oriunde apare acesta.



    In ciuda resurselor financiare limitate, România face eforturi pentru a contribui la procesul de asistenţă a refugiaţilor din zonele de conflict. De exemplu, Centrul de tranzit in Regim de Urgenţă de la Timişoara, primul de acest fel din lume, se dovedeşte, deja, a fi un mecanism fezabil, care oferă siguranţă persoanelor care au nevoie urgentă de protecţie internaţională, aceasta devenind o expresie practică a conceptului de securitate umană.



    Vom continua, menţiona în discursul său la ONU, Victor Ponta să contribuim la eforturile internaţionale cu aceeaşi dedicaţie şi responsabilitate pe care trupele şi experţii noştri civili le-au dovedit în numeroase zone precum Irak, Afganistan, Kosovo şi locuri din Africa.

  • EU und Nato vor neuen Herausforderungen

    EU und Nato vor neuen Herausforderungen

    Der 9. Mai hat für die Rumänen eine dreifache Bedeutung und zwar ist er der Tag des Sieges der Alliierten gegen Nazi-Deutschland, der Tag der Unabhängigkeit vom Osmanischen Reich 1877 sowie der Europatag, den Rumänien zusammen mit den anderen 27 EU-Mitgliedsstaaten feiert. Laut der Meinung des rumänischen Staatschefs Traian Băsescu sollte sich die EU für die Einheit stark machen. Dies sei umso mehr notwendig, als das Gleichgewicht zwischen der Verteidigung der nationalen Interessen und der Beibehaltung der internationalen Legitimität ins Wanken kommt. Traian Băsescu dazu:



    Wir brauchen Einheit und Solidarität, um der Offensive der populistischen und extremistischen Parteien Stand zu halten und unsere Interessen vor den äu‎ßeren Angriffen, die nicht nur aus dem Osten kommen, zu verteidigen.“



    José Manuel Barroso, EU-Kommissionspräsident, sprach anlässlich des Europatages über die Vergangenheit und die Zukunft Europas und erinnerte daran, dass die EU im letzten Jahrzehnt historische Erfolge erzielte und erwähnte die EU-Erweiterung 2004, die Aufnahme von mittel- und osteuropäischen Ländern sowie die Integration einiger Mittelmeerstaaten. 2008 begann die finanzielle Krise, die von den Folgen der souveränen Schulden, der Wirtschafts- und der sozialen Krise vertieft wurde. José Manuel Barroso erklärte über die gemeinschaftliche Zukunft, die 1950 statuierten Prinzipien seien auch heute noch aktuell:



    Wir müssen Brücken zwischen der Vergangenheit und der Zukunft bauen, damit wir unsere gemeinsamen Werte bewahren können. Wir bilden eine Gemeinschaft, die aus dem Wunsch der Menschen, ein friedliches, freies und einheitliches Europa zu schaffen, entstanden ist. Der Integrationsprozess ist dynamisch und war in den letzten Jahrzehnten zahlreichen Krisen gewachsen. Europa machte schrittweise Fortschritte, denn, so wie Robert Schuman sagte, kann Europa nicht auf einmal und nach einem einzigartigen Plan aufgebaut werden, sondern durch konkrete Erfolge, die Solidarität schaffen sollen. Wir befinden uns in einem Moment, in dem die EU nicht mehr durch impliziten Konsensus, durch technokratische, bürokratische oder sogar diplomatische Methoden fortschreiten kann. Für den Aufbau eines europäischen Raumes brauchen wir demokratische Methoden.“




    EU-Kommissionspräsident José Manuel Barroso äu‎ßerte sich für eine reale Debatte über die Zukunft der EU, weil wir die Zeugen der Meinungsunterschiede zwischen dem Norden und den Süden, zwischen Armen und Reichen, zwischen Ländern, die Schulden haben, und Staaten, die Kredite gewähren, zwischen Zentrum und Peripherie sind.



    Barroso sprach weiter über die neuen Herausforderungen, die von der Situation in der Ukraine verursacht wurden. Der EU-Kommissionspräsident sagte, diese sei die grö‎ßte Herausforderung für die Sicherheit und den Frieden in Europa nach dem Fall des Eisernen Vorhangs und der Berliner Mauer. Die Annexion der Krim durch Russland und die eskalierende Gewalt in der Ostukraine dominieren die Au‎ßenpolitik. Die Nachrichten aus dieser Region seien besorgniserregend und zeigten einen immer tiefer werdenden Graben zwischen Moskau und dem Westen. Die Sanktionen gegen Russland hatten nicht die erwarteten Folgen.




    Cătălin Harnagea, ehemaliger Leiter des rumänischen Aufklärungsdienstes, analysiert die Situation:



    Die NATO versucht ihre Ostgrenzen zu sichern. Wir können beobachten, dass zahlreiche Persönlichkeiten, hochrangige Politiker, Vertreter von Organisationen, die die militärische Kontrolle und Macht haben, Polen und Rumänien besucht haben. Dies ist kein diplomatisches Hin und Her, sondern bekundet das Interesse und die Entschiedenheit Washingtons, der russischen Bedrohung entgegenzuwirken. Washington hatte bisher nicht mehr damit gerechnet, dass nach 1990 derartige Konflikte entstehen können. Die USA waren mit anderen Konflikten, Kriegen und Interessen beschäftigt. Nun ist es doch passiert und Washington reagiert darauf. Rumänien hat in diesem Zusammenhang und in diesem Moment eine privilegierte Stellung. Es kann zusammen mit Polen eine militärische Linie vor einer Gefahr aus dem Osten ziehen, egal, welche diese ist.“




    Die Republik Moldau, ein Schlüsselspieler in dieser Region des Kontinents, wird am 27. Juni das Assoziierungsabkommen mit der EU unterzeichnen — so der Präsident des Europäischen Rates Herman Van Rompuy in Chişinău. Die Ereignisse in der Ukraine scheinen eine gewisse Rolle in der Beschleunigung der Annäherung Chişinăus an Brüssel gespielt zu haben.



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  • La semaine du 13 au 18 janvier 2014

    La semaine du 13 au 18 janvier 2014

    Rencontre entre les présidents roumain, Traian Basescu, et respectivement du Conseil européen, Herman van Rompuy



    La Roumanie se propose de devenir membre de lespace Schengen avant la fin de cette année, a fait savoir le président de la Roumanie, Traian Băsescu, lors dune réunion à Bruxelles avec le président du Conseil européen, Herman van Rompuy. Par le fonctionnement correct de ses institutions, Bucarest garantit le respect de lEtat de droit, a encore précisé le chef de lEtat roumain. Et lui de solliciter, en ce sens, que le prochain rapport du Mécanisme de coopération et de vérification pour la justice constate de manière objective lévolution positive des institutions roumaines, qui ont prouvé, à plusieurs reprises, leurs capacités à stopper les dérapages du politique. En outre, le président Traian Basescu a exprimé son mécontentement à légard de labandon du projet Nabucco, qui aurait diminué la dépendance énergétique de lUE par rapport à la Fédération russe.




    Le Parlement européen discute de la libre circulation des ressortissants communautaires



    Le législatif communautaire sest penché cette semaine sur la libre circulation des Européens, sur la toile de fonds de la levée des restrictions imposées aux Roumains et aux Bulgares sur le marché européen de lemploi. La libre circulation est un des piliers fondamentaux de la construction européenne et elle ne saurait être interdite – a souligné la commissaire à la Justice, Viviane Reding, en présentant aux eurodéputés le point de vue de la Commission. Dans la résolution adoptée à la fin du débat, le Parlement européen a contesté “avec vigueur la position adoptée par certains dirigeants européens, qui demandent que la libre circulation des citoyens soit modifiée et restreinte”. Il appelle également les Etats membres à ne pas discriminer les travailleurs mobiles de l’UE et à utiliser les fonds structurels afin de promouvoir l’insertion sociale, tout en rappelant que les 28 ont eu suffisamment de temps à leur disposition pour adapter leurs systèmes de sécurité sociale à la réalité de la libre circulation de la main dœuvre. Depuis le 1er janvier, Roumains et Bulgares peuvent travailler librement dans lensemble de lUnion européenne, ce qui a alimenté des craintes liées à une déferlante dimmigrants dans certains Etats membres, des inquiétudes qui se sont avérées injustifiées, par la suite.




    Les changements apportés au Code pénal sont inconstitutionnels



    La Cour constitutionnelle de la Roumanie a décidé ce mercredi que les modifications apportées par les députés, le mois dernier, au Code pénal, étaient inconstitutionnelles. La Cour a ainsi répondu aux saisines de la Haute cour de cassation et de justice et du principal parti d’opposition, le Parti démocrate-libéral (PDL). La Haute cour avait considéré les modifications incompatibles avec le fonctionnement de l’Etat de droit. A son tour, le PDL avait contesté le fait que le chef de l’Etat, les parlementaires et les professions libérales ne faisaient plus partie des fonctionnaires publics, donc ils ne pouvaient pas être enquêtés ni punis pour des faits assimilés à la corruption — l’abus de fonctions, corruption passive ou trafic d’influence — ou pour conflit d’intérêts. Le chef de l’Etat, Traian Băsescu, les principales institutions judiciaires, le Parquet national anticorruption, le Conseil supérieur de la magistrature et l’Agence nationale d’intégrité, comme certaines ambassades occidentales, ont fermement réagi après l’adoption des modifications. Ultérieurement, l’alliance au pouvoir – lUnion sociale-libérale – a annoncé qu’elle souhaitait rediscuter le Code pénal.




    L’Exécutif de Bucarest modifie la loi sur la vente des terrains agricoles



    Le gouvernement roumain va modifier la loi sur les ventes de terrains agricoles, suite à la demande du président de la République, Traian Băsescu, relative au réexamen du texte législatif. Dans sa nouvelle forme, l’acte normatif en question prévoit entre autres que le terrain ne saurait être vendu à un prix plus bas que celui de l’offre et que l’aliénation des superficies excédants les 30 hectares doit être approuvée par un organisme créé expressément. Par ailleurs, la vente d’un terrain sera annulée si la transaction est faite à un meilleur prix ou dans des conditions plus avantageuses que celles présentées par l’offre de vente. Pour plus de clarté, le titre du texte sera lui aussi changé. Il va renvoyer aux terrains situés intra muros et préciser que les conditions de vente établies s’appliquent aussi bien aux personnes physiques qu’aux personnes morales




    En Roumanie, les élections européennes seront organisées conjointement avec le référendum pour la modification de la Constitution



    L’USL a présenté son plan d’action politique pour 2014. Il vise entre autres la tenue simultanée du référendum sur la modification de la Constitution et des élections pour le Parlement européen, vers la fin du mois de mai. Le référendum devrait durer deux jours, afin d’assurer le taux de participation nécessaire pour la validation, vu que le taux requis ne doit pas être inférieur à 50% du nombre des électeurs figurant sur les listes électorales. Alors que le premier ministre social-démocrate Victor Ponta et le libéral Crin Antonescu, co-présidents de l’USL, la coalition au pouvoir, affirment que cette fusion ne prête pas à confusion, l’opposition démocrate-libérale et les représentants de la minorité ethnique hongroise soutiennent le contraire. Les leaders de l’USL ont également décidé d’organiser des présidentielles début novembre, 45 jours avant la fin du mandat du président en exercice, Traian Băsescu.




    La Fête de la culture nationale a été marquée aussi bien dans le pays qu’à l’étranger


    Depuis 2011, au 15 janvier, date de naissance du poète national Mihai Eminescu, les Roumains marquent également la Fête de la culture nationale. L’événement a été célébré dans le pays comme à l’étranger, par de nombreuses manifestations avec la participation de personnalités de marque de la vie culturelle et artistique. Parmi celles organisées sous le patronage de l’Institut Culturel Roumain, notons un spectacle de théâtre à Berlin, l’exposition «Excelsior — peintres contemporains roumains” à Budapest, le récital de poésies d’Eminescu donné à Prague par le comédien Emil Boroghină, la présentation à Stokcholm par Gabriela Melinescu de plusieurs volumes de poèmes roumains traduit en suédois et le récital de la joueuse de flûte de Pan, Dana Dragomir et puis, à Londres, le récital extraordinaire de poésie du comédien Constantin Chiriac, suivi par la projection du film «Quelque part à Palilula» du réalisateur roumain Silviu Purcărete. (trad.: Mariana Tudose, Andrei Popov)

  • Nachrichten 16.01.2014

    Nachrichten 16.01.2014

    Bukarest — Die Erklärungen vom Ministerpräsidenten Victor Ponta zur rechtskräftigen Verurteilung des ex-Premiers Adrian Nastase in einer Korruptionakte zu einer Haftstrafe von 4 Jahren haben sich auf die rumänische Justiz negativ auswirken lassen. Das ist das Fazit eines Berichts, der am Donnerstag im Plenum des Obersten Richter-Rates abgestimmt wurde. Der Bericht wurde von der Justizüberwachungsbehörde verfasst. Premierminister Victor Ponta hatte am 6. Januar, als das endgültige Urteil im Fall Nastase verkündet wurde, die Verurteilung als politisch motiviert bezeichnet. Der ex-Premier sei ein Opfer des Regimes Basescu gewesen, sagte Ponta anschlie‎ßend. Ferner erklärte Premierminister Victor Ponta, Nastase sei genau wie die ukrainische Oppositionsführerin Julia Timoschenko, ein politischer Häftling. Adrian Nastase hatte das Premierministeramt ziwschen 2000 und 2004 bekleidet und ist Vorsitzender des Nationalrates der Sozial-Demokratischen Partei, die vom Premierminister Victor Ponta geleitet wird. Victor Ponta erklärte nach dem Fazit des Obersten Richter-Rates, die Justiz sei in Rumänien derartig unabhängig, niemand könne die beeinflussen.




    Brüssel — Rumäniens Staatschef Traian Băsescu ist am Donnerstagin Brüssel mit dem Vorsitzenden des EU-Rates Herman van Rompuy zu Gesprächen zusammen gekommen. Das Treffen fand auf Anforderung des rumänischen Staatschefs statt. Die Hauptthemen des Treffens waren die politische Lage in der Moldaurepublik, der Schengen-Beitritt Rumäniens und die Entwicklung des Süd-Korridors, der Gas direkt vom Kaspischen Meer nach Europa leiten soll. Präsident Basescu teilte dem EU-Ratspräsidenten, Rumänien habe das Ziel bis Ende dieses Jahres dem Schengen-Raum beizutreten. Der Schengenbeitritt Rumäniens wurde ursprünglich für 2011 geplant, einige Mitgliedstaaten hatten aber die Annahme Rumäniens mehrmals blockiert, indem sie breite Kritik am Kampf gegen Korruption und organisierte Kriminalität übten. Die beiden Politiker haben auch über die Lage in der Moldaurepublik diskutiert, insbesondere über die abtrünnige Region Transnistrien, im Osten der Moldaurepublik.




    Brüssel – Das EU-Parlament hat am Donnerstag eine Resolution betreffend die Freizügigkeit der Arbeitnehmer angenommen. Die EU-Staaten werden aufgefordert die Arbeitnehmer in der EU nicht zu diskriminieren und EU-Fonds für die Förderung der sozialen Eingliederung zu benutzen. Die Resolution lädt die Mitgliedstaaten ein, die EU-Richtlinien einzuhalten. Das EU-Parlament lehnt jeden Vorschlag zur Begrenzung der Anzahl von Einwanderern aus einem anderen EU-Staat kategorisch ab, so die Resolution. Die rumänischen und bulgarischen Bürger haben seit dem 1. Januar 2014 vollen Zugang zum Arbeitsmarkt der EU.

  • Le 12 août – la Journée mondiale de la jeunesse

    Le 12 août – la Journée mondiale de la jeunesse

    Selon les plus récentes statistiques de l’Organisation mondiale du travail, plus de 70 millions de jeunes sont au chômage, ce qui s’explique surtout par leur manque d’expérience. La probabilité de se retrouver sans emploi est trois fois plus élevée pour les jeunes que pour les adultes — indiquent les estimations. Paradoxalement, c’est dans les pays développés que la jeunesse est le plus touchée par le chômage. Au sein de l’UE, dans des pays comme la Grèce ou l’Espagne, par exemple, 50% des jeunes n’ont pas d’emploi.



    C’est pourquoi, en 2013, la Journée internationale de la jeunesse, fêtée le 12 août, n’est plus tellement une occasion de se réjouir. Elle ne l’a plus été d’ailleurs depuis que la crise économique a touché le continent, faisant monter en flèche le chômage et plongeant le marché de l’emploi dans l’incertitude. Les mécontentements liés au niveau très bas des salaires ajoutent une dernière touche au tableau général que le monde offre aux jeunes lors de cette journée, fêtée pour la 14e fois, à l’initiative de l’Assemblée générale des Nations Unies.



    Inquiétés par cette évolution du marché, les dirigeants de l’UE ont convenu récemment, d’allouer 6 milliards d’euros sur deux ans pour améliorer la situation des jeunes.



    John Springford, analyste économique travaillant pour la Voix de l’Amérique, considère pourtant cette initiative avec scepticisme. Selon lui, les aides ponctuelles ne peuvent résoudre le problème, des solutions sur le long terme étant nécessaires dans ce domaine. John Sprigford estime que, selon un calcul sommaire, chaque jeune bénéficie d’un millier d’euros environ. De tels problèmes nécessitent des politiques macroéconomiques, structurelles et non pas des mesures conjoncturelles — affirme-t-il.



    La président du Conseil européen, Herman van Rompuy, appelle, lui, à la patience, en soulignant que « les leaders sont conscients du fait que les réformes ont besoin de temps pour être appliquées et que les résultats ne seront pas immédiats. »



    Toujours selon les statistiques de l’Organisation mondiale du travail, la Roumanie est confrontée à un phénomène particulier : 15% des jeunes y sont trop qualifiés pour ce que le marché leur offre. Ils ont suivi des écoles techniques ou des facultés, ils ont une très bonne formation professionnelle, mais ils ne trouvent pas de travail. Alors, soit ils doivent se contenter d’un emploi inférieur à leur qualification, soit ils partent à l’étranger.



    Le pape François exhortait, lui, les jeunes à bâtir le monde de leurs rêves. Récemment, au Brésil, lors des Journées mondiales de la jeunesse catholique, le souverain pontife les a appelés à sortir de leurs groupes fermés, de l’anonymat et à lutter pour leurs valeurs et pour leur foi. (trad.: Dominique)

  • Criza economică nu s-a încheiat!

    Criza economică nu s-a încheiat!

    Europa, lovită puternic de şomaj a manifestat, cu prilejul Zilei Internaţionale a Muncii, împotriva politicilor de austeritate şi pentru mai multe măsuri menite să creeze locuri de muncă. În Grecia, Franţa, Italia şi Cipru, sute de mii de persoane au protestat în marile oraşe, iar în Spania, unde, potrivit Institutului Naţional de Statistică, numărul persoanelor fără slujbă trece acum de 6,2 milioane, sindicatele au organizat peste 80 de mitinguri. 2 milioane de familii din Spania au toţi membrii în şomaj, foarte mulţi dintre ei fiind în căutarea unui loc de muncă de mai bine de doi ani. Iar situaţia este încă şi mai gravă, dacă privim rata şomajului în rândul tinerilor – aproape 60% dintre ei sunt afectaţi de lipsa locurilor de muncă.



    Corespondentul Radio România la Madrid, Ana Maria Damian: “Cu un şomaj de 27% în rândul populaţiei active, Spania se confruntă cu probleme grave şi proteste aproape zilnice din cauza distrugerii locurilor de muncă. Pentru a combate creşterea şi mai mare a ratei şomajului, guvernul a acceptat un dialog cu sindicatele şi principalele organizaţii patronale în 16 mai, cu scopul de a discuta un posibil acord la nivel naţional. Centrul de Cercetări Sociologice a publicat datele barometrului privind preocupările populaţiei şi intenţia de vot. Şomajul este pe primul loc în lista îngrijorărilor pentru 80% din spanioli, pe locul al doilea figurând corupţia şi frauda; pe locul al treilea sunt problemele economice, o preocupare majoră pentru o treime din populaţie.”



    O rază de speranţă se întrevede, totuşi, dinspre Grecia. Bruxellesul prognozează revenirea acesteia la creştere economică în 2014, Atena punând, astfel, capăt unei perioade de şase ani de recesiune.



    O relansare economică treptată este anticipată şi pentru România, care ar urma să înregistreze în acest an o creştere economică de 1,6%, potrivit previziunilor economice de primăvară ale Comisiei Europene. În acest an, România ar urma să aibă o rată anuală a inflaţiei de 4,3%, în timp ce rata şomajului, de 6,7% în prezent, este aşteptată să rămână sub 7% şi anul acesta şi anul viitor. Potrivit comisarului pentru afaceri economice, Olli Rehn, din cele 20 de ţări ale Uniunii aflate sub procedura de deficit excesiv, România, alături de Letonia, ar putea să iasă din această procedură, cu şanse bune fiind şi Lituania. Pentru UE, prognoza de primăvară prevede o scădere de 0,1% a PIB în acest an, urmată de o revenire cu 1,4% anul viitor.



    La Bucureşti, preşedintele Consiliului European, Herman Van Rompuy, a amintit că deocamdată criza economică nu s-a încheiat şi, în pofida unor rezultate pozitive obţinute în special în domeniul reducerii şomajului, lipsa locurilor de muncă pentru tineri continuă să fie acută. Există, însă, şi veşti bune, spune Rompuy, referindu-se la stabilizarea situaţiei financiare în zona euro, creşterea competitivităţii şi a exporturilor şi la finanţe publice mai sigure. Analistul economic Valentin Ionescu: Situaţia, acum, pare să arate în felul următor: a început să se stabilizeze economic zona euro, s-a stopat creşterea deficitelor, dar acestea nu s-au redus substanţial decât în anumite ţări. În Europa, zona euro este împărţită în două. Este o zonă competitivă, în nord, şi o zonă mai puţin competitivă sau deloc în sud, cu excepţia Spaniei, care s-a redresat substanţial. Eu aş fi mai rezervat în estimări. Văd mai degrabă anul 2014 ca fiind mult mai relevant în privinţa interpretărilor, pentru că vom avea alte cifre cu privire la deficitele publice şi întărirea competitivităţii, care se vede, de pildă, în balanţa comercială a fiecărei ţări şi care nu s-a îmbuntăţit peste tot. Sunt numai anumite ţări care exportă, sunt puteri exportatoare mari şi acolo, într-adevăr, balanţa este pozitivă sau pe zero.”



    Nu există alternativă la politicile de austeritate dacă statele lumii doresc să iasă din actuala criză, subliniază, pe de altă parte, directorul general al FMI, Christine Lagarde. Într-un interviu acordat televiziunii elveţiene RTS, ea a subliniat, însă, că fiecare ţară trebuie să aibă ritmul său propriu de implementare a reformelor, în funcţie de situaţia fiecăreia. Christine Lagarde spune că acum nu mai este posibilă recurgerea la împrumuturi şi, pe de altă parte, nicio politică de refacere a deficitelor şi de relansare economică nu se va putea face fără suportul financiar adecvat. Directorul FMI atrage atenţia că situaţia economică pe plan mondial este în continuare dificilă şi că disciplina bugetară şi politicile de creştere trebuie aplicate dacă se doreşte atragerea investiţiilor şi crearea de locuri de muncă. Există trei viteze diferite de creştere economică în lume — mai spune şefa FMI. Cele mai rapide sunt ţările emergente, urmează grupul statelor care încep să revină pe creştere, precum Statele Unite, Suedia şi Elveţia, apoi grupul al treilea, din care fac parte zona euro şi Japonia, ţări care au, încă, dificultăţi de a-şi regăsi drumul către creşterea economică.

  • Wirtschaftskrise noch nicht vorbei

    Wirtschaftskrise noch nicht vorbei

    Die Arbeitslosigkeit in Europa ist in den letzten Jahren stark angestiegen. Anlässlich des Internationalen Tags der Arbeit wurden Proteste gegen die Sparpolitik in der EU und für die Schaffung von Arbeitsplätzen organisiert. In Griechenland, Frankreich, Italien und Zypern haben Hunderttausende Personen in den Gro‎ßstädten protestiert.



    In Spanien, wo laut dem spanischen Statistikamt mehr als 6,2 Millionen Menschen arbeitslos sind, haben die Gewerkschaften über 80 Proteste organisiert. Viele Erwerbslose sind seit mehr als zwei Jahren auf der Suche nach einem Arbeitsplatz. Noch dramatischer ist die Arbeitslosenquote in den Reihen der jungen Menschen: Knapp 60% dieser haben keinen Job. Die Radio-Rumänien-Korrepondentin in Madrid, Ana Maria Damian, erläutert:



    Bei einer Arbeitslosigkeit von 27% der aktiven Bevölkerung konfrontiert sich Spanien mit schweren Problemen und fast täglichen Protesten wegen des Abbaus der Arbeitsplätze. Um die weitere Steigerung der Arbeitslosenquote zu vermeiden, hat die Regierung ein Treffen mit den Gewerkschaften und den wichtigsten Arbeitgeberverbänden am 16. Mai akzeptiert. Ziel ist es, über ein mögliches landesweites Abkommen zu sprechen. Das Zentrum für Soziologische Forschungen hat die Ergebnisse einer Umfrage betreffend die Beschäftigungen der Bevölkerung und deren Wahlabsicht veröffentlicht. Die Arbeitslosigkeit nimmt mit 80% den ersten Platz in der Rangliste der Sorgen der Spanier ein, auf dem zweiten Platz stehen die Korruption und der Betrug. Auf dem dritten Platz sind die wirtschaftlichen Probleme, ein Drittel der Bevölkerung ist darum besorgt.“



    Hoffnung ist jedoch in Sicht für Griechenland. Laut Prognosen in Brüssel werde die griechische Wirtschaft 2014 nach sechs Jahren Rezession wieder wachsen. Eine Ankurbelung der Wirtschaaft ist auch in Rumänien zu erwarten. Laut den Frühjahrs-Prognosen der EU-Kommission werde die rumänische Wirtschaft dieses Jahr um 1,6% wachsen.



    2013 werde Rumänien eine Jahresinflationsrate von 4,3 % verzeichnen. Die Arbeitslosigkeit, die im Moment bei 6,7% liegt, sollte auch in diesem Jahr, aber auch 2014 unter 7% bleiben. Laut EU-Wirtschafts- und -Währungskommissar Olli Rehn könnten die gegen Rumänien, Lettland und Litauen laufenden Defizitverfahren schon bald eingestellt werden. 20 EU-Länder sind zur Zeit davon betroffen. Die EU-Wirtschaft werde in diesem Jahr um 0,1% schrumpfen, um dann 2014 wieder um 1,4% zu wachsen, so die EU-Kommission.



    EU-Ratspräsident Herman Van Rompuy erinnerte in Bukarest daran, dass die Wirtschaftskrise vorläufig kein Ende gefunden habe. Trotz der positiven Ergebnisse, insbesondere bei der Verminderung der Arbeitslosigkeit, bleibe das Problem der Arbeitsplätze für die Jugend akut. Es gebe jedoch auch gute Nachrichten, erklärte Rompuy. Damit meinte er die Stabilisierung der Finanzlage der Euro-Zone, die Erhöhung der Wettbewerbsfähigkeit und der Exporte und sicherere Staasfinanzen. Wirtschaftsanalyst Valentin Ionescu dazu:



    Die Lage scheint im Moment so auszuschauen: Die Euro-Zone beginnt sich wirtschaftlich zu stabilisieren, der Anstieg der Defizite wurde gestoppt, diese sind jedoch nur in bestimmten Ländern erheblich zurückgegangen. Die Euro-Zone ist gespalten. Es gibt eine wettbewerbsfähige Region im Norden und eine weniger oder sogar überhaupt nicht wettbewerbsfähige Region im Süden, ausschlie‎ßlich Spanien, das sich erheblich verbessert hat. Ich würde etwas zurückhaltender mit den Prognosen sein. Das Jahr 2014 sehe ich relevanter in puncto Aswertungen. Uns werden andere Daten betreffend die Haushaltsdefizite und die Stärkung der Wettbewerbsfähigkeiten vorliegen, die sich in der Handelsbilanz eines jeden Landes widerspiegelt und die sich nicht überall verbessert hat. Es gibt nur bestimmte Länder, die exportieren, und da ist die Bilanz positiv oder gleich Null.“



    Es gebe keine Alternative zu den Sparpolitiken, wenn die Staaten die jetzige Krise überwinden möchten, betont andererseits die IWF-Chefin Christine Lagarde. In einem Interview für das schweizerische Fernsehprogramm RTS erklärte sie jedoch, jedes Land müsse seinen eigenen Rhythmus bei der Reformumsetzung einhalten.



    Christine Lagarde meint, die Verschuldung sei jetzt keine Lösung mehr. Andererseits könne man keine Politik zur Verminderung der Defizite und zur Wirtschaftsankurbelung ohne angemessene finanzielle Unterstützung implementieren. Die Weltwirtschaftslage sei weiterhin schwierig und die Haushaltsdisziplin sowie auch die Wachstumspolitiken müssten eingehalten werden, um Investitionen anzuziehen und Arbeitsplätze zu schaffen, so die IWF-Chefin.



    Es gebe drei unterschiedliche Wirtschaftswachstum-Geschwindigkeiten in der Welt, fügte Christine Lagarde hinzu. Die schnellsten seien die Schwellenländer, gefolgt von den Staaten, die sich erholen, wie die USA, Schweden und die Schweiz und der dritten Gruppe, zu der die Euro-Zone und Japan gehören. Die Staaten dieser dritten Gruppe haben noch Schwierigkeiten, den Weg zum Wirtschaftswachstum zu finden, so die geschäftsführende Direktorin des IWF.



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