Tag: hotels

  • La côte roumaine de la mer Noire

    La côte roumaine de la mer Noire

    La plupart des touristes peuvent y arriver en quelques heures avec leur propre voiture, en train ou en bus, en partant de n’importe quelle zone du pays. En plus, à Constanţa il y a un aéroport international qui rend les stations balnéaires très facilement accessibles. Le littoral roumain a de grandes plages dont l’aménagement est quotidien, avec des transats, des parasols et des bars. Il convient de mentionner qu’en Roumanie il y a déjà quatre plages Pavillon bleu : deux à Năvodari, une à Mamaia et une à Eforie. Traian Bădulescu, consultant en tourisme, a mis en exergue quelques-uns des avantages de notre littoral :



    « La côte roumaine offre beaucoup de surprises d’une année à l’autre. Par exemple, peu de gens savent que la base hôtelière est réhabilitée ou complètement rénovée. Pendant ces dix dernières années, beaucoup de nouveaux hôtels ont été construits. Étant donné le contexte actuel, les offres du type réservation anticipée ont été prolongées jusqu’au 31 mai ; c’est donc une très bonne nouvelle pour ceux qui veulent profiter des réductions allant jusqu’à 20 %. Il y a des tarifs pour tous les budgets. Pour donner un exemple, hors-saison, en juin ou en septembre, un touriste peut loger dans un hôtel trois étoiles dans le sud de la côte même avec un budget de 400-500 lei (80-100 euros) par personne. Bien évidemment, les tarifs peuvent être beaucoup plus grands à Mamaia Nord-Năvodari. La côte roumaine dispose de plus de 30 hôtels tout compris, car il y a une forte demande pour ce type d’hébergement. Ce qui compte beaucoup, c’est que le bord de mer est enfin redevenu la capitale du divertissement après deux années de restrictions ; toutes les boites de nuit ont rouvert leurs portes, il n’y a plus d’heure limite de fermeture ou de nombre limité de participants et il y a de nouveau de plus en plus de festivals. Le littoral roumain est reconnu comme étant celui des événements et des festivals. »



    À part les boites de nuit qui ont commencé à ouvrir aussi dans le sud de la côté roumaine, il y a de différentes manières de s’amuser. Par exemple, à Mamaia ainsi que dans le sud du littoral, il y a des parcs aquatiques et à Neptun – un parc aventure. Le Delphinarium de Constanţa reste une attraction unique. Le port de plaisance de Constanţa et la falaise du Casino sont une des zones principales de détente et de promenade.



    Le bord de mer propose de nombreux restaurants roumains, turcs, grecs, méditerranéens etc. et les nombreux élevages de poissons attirent de plus en plus de touristes.



    Il est également possible de décompresser par des promenades en bateau qui commencent dans les ports nautiques de Constanţa, Eforie, Mangalia et Limanu. Pour un peu d’adrénaline, il y a les sports nautiques, le scooter, le kayak, le surf, les cours de pilotage pour les petits avions ainsi que ceux de plongée. Également, les nombreuses caves à vin de Dobroudja qui se sont développées ces dernières années — beaucoup d’entre elles devenant ainsi de nouvelles marques -, proposent des dégustations et différents programmes de divertissement.


    (Trad.: Rada Stànicà)

  • Nouvelles mesures de relâchement

    Nouvelles mesures de relâchement

    L’évolution favorable de la pandémie de coronavirus en Roumanie a permis aux autorités locales de prévoir un assouplissement des mesures de restrictions à partir du 1er juillet. Dorénavant, les spectacles, les événements privés, les concerts, les festivals ou les événements culturels pourront accueillir plus de participants. Même situation pour les hôtels au bord de la mer Noire qui seront autorisés à afficher complet.

    Avec des détails sur les nouvelles mesures de relaxation, le chef du Département pour les situations d’urgence, Raed Arafat :« Désormais, le nombre de participants pouvant assister aux différents événements privés tels mariages ou baptêmes sera porté à 150 pour les cérémonies déroulées en plein air, à 100 pour celles organisées à l’intérieur et à 300 dans le cas des personnes testées, vaccinées ou immunisées suite à une contamination. La circulation par groupes de dix personnes tout au plus a été supprimée. Les cafés et les restaurants, tout comme les terrasses, fonctionneront à pleine capacité et les horaires de fermeture se prolongeront jusqu’à 2 heures du matin. Le taux d’occupation dans les structures d’hébergement sur la côte roumaine de la mer Noire passera de 85 % à 100 %, mais le port du masque restera obligatoire dans les lieux publics tels ascenseurs, halls, couloirs et ainsi de suite. »

    La situation s’avère plutôt favorable, mais cela dépend de nous aussi d’assurer une bonne évolution pandémique, a déclaré pour sa part le médecin Valeriu Gheorghiță. En charge de la campagne de vaccination lancée le 27 décembre dernier, celui-ci a dressé le bilan de ces six premiers mois. La Roumanie nécessite un contexte épidémiologique stable qu’elle ne pourrait obtenir qu’à travers la vaccination de la population, a précisé Valeriu Gheorghiță. Et lui de rappeler qu’à l’heure où l’on parle, plus de 4,6 millions de personnes se sont fait vacciner en Roumanie, dont 4,4 millions complètement. Cela veut dire qu’un quart de la population roumaine éligible a été immunisée par vaccination, un pourcentage auquel s’ajoute aussi celui des personnes immunisées suite à la contamination au coronavirus. Le taux de vaccination le plus élevé est à retrouver au sein de la catégorie des 60 à 69 ans. 16 200 jeunes roumains de 12 à 15 ans ont reçu au moins une dose de vaccin, ce qui représente un pourcentage de seulement 1,9 % dans cette catégorie.

    Sur l’ensemble du pays, c’est la capitale, Bucarest, avec un taux d’immunisation de plus de 45 %, qui se trouve en tête. Elle devance de peu sept autres départements dont la couverture vaccinale est de 30 %.Le médecin Valeriu Gheorghiță a affirmé s’attendre à une recrudescence des cas de contamination pendant la saison froide, qui pourrait être limitée si la population accepte de se faire vacciner dans les deux mois à venir. (Trad. Ioana Stancescu)

  • L’état d’alerte – prolongé

    L’état d’alerte – prolongé

    La Roumanie reste en état d’alerte pour les fêtes, sur la toile de fond de la pandémie de coronavirus. La décision de le prolonger de 30 jours est entrée en vigueur ce lundi. L’état d’alerte, qui a été prolongé plusieurs fois de suite, a été mis en place à la mi-mai, après la déclaration de l’état d’urgence pour deux mois, à compter du 16 mars. La nouvelle décision de l’exécutif maintient les restrictions précédemment proposées par le Comité des situations d’urgence, y compris celle sur l’interdiction de circuler après 23h00 sans raison justifiée, qui sera également valable pendant la période des fêtes. Toutefois, une décision supplémentaire vient s’ajouter à celles en vigueur jusqu’à présent. Il s’agit de l’organisation et du déroulement des activités des opérateurs de transport par câble sur les pistes de ski, qui seront ouvertes, mais les autorités entendent éviter la promiscuité. Les restaurants et les hôtels sis à proximité des pistes fonctionneront dans les conditions déjà établies.



    Pendant ce temps, le nombre de cas de contamination continue de croître en Roumanie, et ces derniers temps, de nouveaux records négatifs ont été atteints en matière de nombre de décès des suites de la COVID-19 ou de patients infectés par le nouveau coronavirus en état grave admis en soins intensifs. La capitale continue d’enregistrer le plus grand nombre de malades au niveau national. Les autorités mettent en garde que la pression sur le système de santé de Bucarest augmentera et qu’il sera nécessaire de poursuivre le transfert de patients vers les villes où la pression sanitaire est plus faible.



    À cet égard, le secrétaire d’État et chef du Département pour les situations d’urgence, Raed Arafat, a annoncé la distribution dans les établissements médicaux de 500 générateurs d’oxygène individuels, afin d’accroitre le nombre de postes où les patients atteints par le COVID-19 puissent recevoir de l’oxygène. Bien que le nombre d’infections à Bucarest ne cesse d’augmenter, les autorités n’envisagent pas de placer la ville en confinement, faisant valoir que les mesures en vigueur sont suffisantes en ce moment. Cependant, il y a plusieurs localités confinées près de la capitale et où le taux d’infection se situe entre 7 et près de 9 pour mille habitants. Des mesures restrictives ont été élargies dans d’autres localités du pays.



    En revanche, dans le comté de Sibiu (centre), les autorités ont décidé de lever le confinement à partir de ce lundi dans le chef-lieu et dans sept autres localités, après que le taux d’infections dans l’ensemble du département est passé de plus de 9 à 3,65 cas pour mille habitants. Les hôpitaux ne sont plus surpeuplés, ils sont occupés à 50% de leur capacité pour les patients positifs. Cependant, les lits de réanimation sont toujours occupés, y compris avec des patients transférés d’autres comtés.


    (Trad. : Ligia)


  • Talks on supporting the hospitality industry

    Talks on supporting the hospitality industry

    Representatives of the hotel, restaurant and café sector (HoReCa), one of the most affected by the COVID-19 crisis in Romania, discussed with PM Ludovic Orban and the economy minister Virgil Popescu about a state-aid scheme to offset the losses incurred by the companies in this sector.



    According to the economy minister, the estimated budget is 500 million euros, and the financing ceiling for a company will be 800,000 euro. Next week at the latest, the Government will come up with a bill approving the mechanism under which hospitality companies and travel agencies will receive these grants.



    The state-aid scheme will be implemented after being approved by the European Commission, and the implementation mechanism will be facilitated by a software solution to cut the red tape.



    Other measures discussed at the meeting were the granting of furlough payments to employees, and means to implement flexible working hours. The PM believes a 6-month extension of the furlough programme to be necessary for the employees whose activity was affected by the health crisis, and flexible working hours to be useful and meeting the needs of the HoReCa sector.



    The talks between the government and industry officials will continue in the coming period. So far, the government has granted tax cuts, continued to pay furlough benefits and paid over 41% of the salaries of employees.



    Restaurants are currently closed in Romania over the large number of coronavirus infections, and the cold weather prevents outdoor bars, cafes and restaurants from running at full capacity. According to statistics, 10,000 restaurants have been closed in Romania so far over the pandemic. Moreover, estimates indicate that the next 6 months will be dramatic for the hospitality industry, with 70-80% of the hotels expected to shut down. Business owners say they have lost nearly 80% of their turnout and that almost 100,000 jobs in the sector, accounting for almost half of the total, will be lost by the end of the year.



    This is why representatives for the industry request concrete measures to be taken by the government, so that the industry may survive in the forthcoming period. According to entrepreneurs, the industry will not return to normal parameters until 2023, and the hotel industry in another 2 years.



    A survey conducted recently at the request of the HORA Romanian Hotel and Restaurant Employers Organisation says that almost 8 out of 10 Romanians believe restaurants should be reopened. (translated by A.M.Popescu)

  • Sauver l’HoReCa

    Sauver l’HoReCa

    Le premier ministre Ludovic Orban et le ministre de l’Economie Virgil Popescu ont rencontré ce mercredi les représentants du secteur « hôtellerie-restauration-cafés ». Le but : discuter du plan d’aide de l’Etat qui vise à compenser les pertes de chiffres d’affaires des entreprises du secteur, un des plus touchés par la crise de Covid-19 en Roumanie.

    D’après le ministre de l’Economie, le budget estimé est de 500 millions d’euros et le montant maximal pour une société ne pourra pas dépasser les 800.000 euros. L’Exécutif devrait finaliser au plus tard la semaine prochaine le projet de loi qui détaillera les mesures qui permettront aux entreprises de l’hôtellerie, de la restauration et du tourisme d’accéder au fonds de soutien. Le mécanisme d’aide sera soumis à l’approbation de la Commission européenne et une application devrait faciliter l’accès au fonds.

    Jusqu’à présent, le gouvernement a accordé diverses facilités financières et fiscales, a couvert l’indemnité d’activité partielle ainsi que plus de 41% du salaire de base pour les salariés. Lors des discussions, mercredi, le premier ministre a évoqué la nécessité de prolonger de six mois la possibilité pour les patrons de recourir au chômage partiel pour les salariés dont l’activité a été impactée par la crise sanitaire. De même, au vu de Ludovic Orban, il serait utile d’appliquer des horaires de travail plus flexibles, pour mieux répondre aux besoins du secteur HoReCa. Les consultations entre le gouvernement roumain et les représentants du domaine devraient se poursuivre dans la période à venir.

    Les restaurants sont actuellement fermés en Roumanie à cause du nombre important de contaminations au nouveau coronavirus à travers le pays. Les terrasses ont le droit de rester ouvertes, mais le mauvais temps ne permet plus vraiment de les utiliser. Les statistiques font état de 10.000 restaurants fermés actuellement en Roumanie en raison de la pandémie. En plus, on estime que les six mois à venir seront dramatiques pour l’industrie hôtelière, avec 70-80% des hôtels du pays qui pourraient fermer.

    Les entrepreneurs de l’HoReCa disent avoir subi jusqu’à 80% de perte de chiffre d’affaires et affirment que près de 100.000 personnes, soit la moitié des salariés du secteur, perdront leur emploi d’ici la fin de l’année. C’est pourquoi ils réclament des mesures concrètes de la part de l’exécutif, des mesures qui assurent la survie du secteur dans la période à venir. Les entrepreneurs estiment qu’il faudra attendre l’année 2023 pour retrouver une activité « normale » dans les cafés et restaurants et encore deux ans de plus pour permettre aux hôtels de se redresser complétement.

    Notons qu’une récente enquête, réalisée à la demande de l’Organisation patronale des hôtels et des restaurants de Roumanie (HORA), montre que près de 8 Roumains sur 10 trouvent qu’il faudrait rouvrir les restaurants. (Trad. Elena Diaconu)

  • 19.08.2020

    19.08.2020

    Coronavirus en Roumanie – La Roumanie a recensé plus de 73.600 mille cas confirmés de coronavirus depuis le début de la pandémie et 3.106 décès associés à l’infection au nouveau coronavirus. Les autorités rapportent 1.409 nouveaux cas d’infection d’hier à aujourd’hui. Selon un rapport de l’institut national de Santé publique, la semaine dernière le nombre de nouveaux cas de coronavirus, mais aussi celui des décès a été inférieur, de peu, à celui de la semaine précédente. Un tiers des nouveaux cas ont été enregistrés dans les comptés de Prahova et Arges dans le sud, Bihor, dans le nord-ouest et Timis dans l’ouest. La majorité des cas enregistrés depuis le début de la pandémie ont été recensés à Bucarest, ensuite à Suceava, dans le nord-est et dans la région d’Arges, dans le sud. Près de 95% des personnes ayant décédé souffraient aussi au moins d’une autre maladie et 80% des victimes étaient âgées de plus de 60 ans.

    Protestation – Les terrasses et les restaurants à travers la Roumanie ferment leurs portes cet après midi pendant une heure, pour protester contre l’absence de mesures d’appui des autorités à ce secteur. Les restaurateurs déplorent la décision des autorités de Bucarest de les obliger à ne pas ouvrir aussi l’intérieur des restos. C’est pourquoi, cet hiver 400 mille salariés pourraient se retrouver sans emploi, mettent en garde les représentants de l’industrie de la restauration et de l’hôtellerie. La réouverture des restaurants sera possible si la situation épidémiologique s’améliore, a précisé le premier ministre Ludovic Orban, soulignant que la décision du gouvernement de préserver les restrictions n’était pas une preuve de mauvaise foi, mais une action visant à protéger la santé publique. Le domaine de l’hôtellerie et de la restauration compte pour 5% au PIB de la Roumanie.

    Elections – L’inscription des candidats aux élections municipales de Roumanie, du 27 septembre s’est achevée. Les bureaux électoraux doivent annoncer aujourd’hui les candidatures tant acceptées que rejetées, alors que demain les candidats qui se sont vu refuser l’accès aux municipales auront l’occasion de déposer des contestations. Après l’analyse de ces dernières, les candidatures seront déclarées définitives le 24 août. A Bucarest, remporter la mairie générale est l’objectif du PSD, d’opposition qui souhaite que l’actuel édile en chef, Gabriela Firea, obtienne un nouveau mandat, alors que l’Union Sauvez la Roumanie PLUS et le Parti national libéral, le dernier au gouvernement, soutiennent l’indépendant Nicusor Dan. Alliés et ensuite adversaires politiques l’ancien président roumain Traian Basescu, soutenu par le Parti du mouvement populaire et l’ex premier ministre Calin Popescu Tariceanu, soutenu par l’Alliance démocrate-libérale sont à nouveau adversaires dans la course électorale pour le fauteuil de maire de la Capitale. La campagne électorale pour les municipales commencera officiellement le 28 août pour s’achever dans la matinée du 26 septembre. Le lendemain les Roumains sont attendus aux urnes nous un scrutin qui se déroulera dans des conditions spéciales imposées par l’actuelle crise sanitaire.

    Sommet sur la crise en Biélorussie – Les leaders de l’UE, dont le président roumain Klaus Iohannis, se réunissent aujourd’hui en visioconférence dans le cadre d’un sommet extraordinaire consacré à la crise en Biélorussie. La candidate de l’opposition aux récentes élections présidentielles de ce pays, Svetlana Tihanovskaia, réfugiée en Lituanie a appelé le Conseil Européen a ne pas reconnaitre le scrutin « frauduleux » du 9 août. Hier, quelque 200 protestataires se sont rassemblés devant le Centre de détention de Minsk, où se trouve incarcéré l’époux de SvetlanaTihanovskaia, demandant que celui-ci soit mis en liberté. Rappelons que celui-ci a été arrêté le 29 mai pour des faits de « trouble de l’ordre public ». Bloggeur connu, Sergueï Tihanovski s’était porté candidat aux présidentielles et avait démarré sa campagne contre l’actuel président Aleksandr Loukachenko, avant d’être remplacé par son épouse, suite à son arrestation. Des protestations massives ont éclaté il y a 10 jours, juste après la conclusion des élections suite auxquelles Loukachenko, président biélorusse depuis 25 ans, a remporté le scrutin présidentiel avec 80% des voix. Dans les protestations qui ont suivi, au moins de personnes ont été tuées, plusieurs centaines ont été blessées et plus de 6700 ont été arrêtées.

    Valletta – FOOT – Il n’y a pas de favoris dans le match contre les maltais de Floriana FC – a déclaré Dan Petrescu, coach du CFR Cluj, dans le centre-ouest, qui a précisé que chaque club avait des chances des remporter la partie et de se qualifier dans la phase suivante de la compétition. CFR Cluj rencontre ce soir, Floriana FC, dans le premier tour préliminaire de la Ligue des Champions. Il y aura un seul match et le gagnant affrontera dans le 2e tour des préliminaires de la compétition les Champions de Croatie, Dinamo Zagreb.

    Inflation – La Roumanie a compté parmi les Etats de l’UE ayant enregistré le taux annuel d’inflation le plus élevé au mois de juillet aussi, à savoir 2,5% par rapport à 2,2% au mois de juin, annonce Eurostat. Selon l’Office européen de la statistique, les Etats membres ayant enregistré les taux d’inflation les plus élevés sont la Hongrie, la Pologne, la République Tchèque et la Roumanie. Au pôle opposé se trouvent la Grèce, Chypre et l’Estonie. Par rapport à la situation du mois de juin, le taux annuel d’inflation en juillet a baissé dans 10 Etats membres, est resté stable en trois pays et a augmenté dans 14 Etats de l’Union.

    Météo – L’ouest, le centre, le nord-est et le nord de la Roumanie font l’objet jusqu’à ce soir d’alertes météorologiques orange et jaune à cause de l’instabilité accentuée. Dans ces régions, les températures ne dépassent pas les 20 degrés. Sur l’est le mercure des thermomètres grimpera jusqu’à 33 degrés. 24 degrés, avec un peu de vent et du soleil à Bucarest.

  • Wiederankurbelung des Tourismus: Werden sich Reisegewohnheiten ändern?

    Wiederankurbelung des Tourismus: Werden sich Reisegewohnheiten ändern?

    Die Branche bietet 10% der weltweiten Arbeitsplätze, fast 12% der EU-Arbeitsplätze, und benötigt jetzt eine koordinierte internationale Reaktion, die auf rund 375 Milliarden Euro geschätzt wird, um sich zu erholen. Es geht um den Tourismus — einen Sektor, der extrem stark von Reisebeschränkungen und Ma‎ßnahmen zur sozialen Isolation betroffen sind, die Regierungen auf der ganzen Welt verhängt haben, um die Ausbreitung des neuen Coronavirus zu stoppen. Betroffen sind alle, die in dieser Branche tätig sind, von Kleinunternehmern und Hotels bis hin zu Reiseveranstaltern. Weltweit könnte die Tourismusbranche in diesem Jahr im Vergleich zu 2019 um 80% zurückgehen, so die Angaben des World Travel and Tourism Council. Im Vergleich dazu betrug der Rückgang während der Wirtschaftskrise 2009 4%.



    Europa hat ein sehr aktives touristisches Ökosystem. Transport, Unterkunft, Gastronomie, Erholung und Kultur tragen fast 10% zum BIP der EU bei und sind in vielen Regionen eine wichtige Quelle für Beschäftigung und Einkommen. 267 Millionen Europäer — oder 62% der Bevölkerung — unternehmen mindestens eine private Urlaubsreise pro Jahr, und 78% der Europäer verbringen ihren Urlaub in ihrem Herkunftsland oder in einem anderen EU-Land, so die EU-Exekutive. Der Sommer ist eine entscheidende Jahreszeit für die Branche und bringt dem europäischen Tourismussektor durchschnittlich 360 Millionen Touristen und 150 Milliarden Euro Umsatz ein. Deshalb hat Brüssel eine Reihe von Richtlinien und Empfehlungen entwickelt, um den Tourismus wieder zu beleben. Das Tourismus- und Verkehrspaket“ der Kommission umfasst eine Strategie für den Aufschwung im Jahr 2020 und darüber hinaus einen gemeinsamen Ansatz zur schrittweisen und koordinierten Wiederherstellung der Freizügigkeit und zur Beseitigung von Beschränkungen an den Binnengrenzen der EU. Es enthält auch einen Rahmen zur Unterstützung der schrittweisen Wiederherstellung des Verkehrs bei gleichzeitiger Gewährleistung der Sicherheit von Passagieren und Mitarbeitern.



    Diese Empfehlung zielt darauf ab, Reisegutscheine zu einer attraktiven Alternative zu Rückerstattungen in bar zu machen. Die Unterstützung der Kommission für Tourismusunternehmen würde in verschiedene Richtungen gehen, beispielsweise durch die Bereitstellung von Liquidität für KMU und durch die Rettung von Arbeitsplätzen mit einer finanziellen Unterstützung von bis zu 100 Mrd. Euro durch das SURE-Programm.




    Ein wichtiges Bindeglied im Tourismus ist der Verkehr. Ein klares Datum für die normale oder schrittweise Wiederaufnahme des Verkehrs kann nicht festgelegt werden, da wir nicht wissen, wie sich die Pandemie entwickeln wird, erklärte die Verkehrskommissarin Adina Vălean für Radio Rumänien, aber die von der Kommission verabschiedeten Regeln zeigen, unter welchen Bedingungen wir reisen werden:



    Ich bekomme oft die Frage: ‚Wann dürfen wir wieder reisen?‘ Die Antwort auf diese Frage muss von den Behörden jedes Mitgliedstaats gegeben werden, wobei einige Kriterien im Zusammenhang mit der epidemiologischen Situation im jeweiligen Staat berücksichtigt werden müssen, die von meinen Kollegen aus dem Gesundheitswesen hervorgehoben wurden. Dann müssen wir uns entscheiden, welche Ziele wir für den Tourismus freigeben, denn wir erwarten natürlich nicht, dass in ganz Europa die gleiche Situation herrscht, die Grenzen geöffnet werden oder die Quarantäne- und Isolationsma‎ßnahmen in jedem Mitgliedstaat gleich sind. Dies sind Entscheidungen, die die nationalen Behörden treffen müssen.“




    Es ist bekannt, dass die Wiederaufnahme des Verkehrs in mehreren Phasen auf flexible und koordinierte Weise zwischen den Mitgliedstaaten erfolgen wird. Es gibt auch klare Bedingungen für den Tourismus, um die Beschränkungen in einem Gebiet oder Mitgliedstaat zu lockern, nämlich dass die Zahl der Infektionen abnimmt und niedrig bleibt, und dass die Staaten den Zugang zum Gesundheitssystem sicherstellen, auch für Touristen. In Rumänien hat der Tourismus in den letzten Monaten 6 Millionen Übernachtungen und rund 250 Millionen Euro verloren, so der Präsident des Verbandes der Hotelindustrie in Rumänien, Călin Ile.



    Die Lage des Tourismus ist sehr kompliziert. Wir waren im Grunde eine rasende Lokomotive und plötzlich sto‎ßen wir gegen eine Mauer. Dies hat zu gro‎ßen Problemen geführt, die derzeitige Situation ist dramatisch“, sagt Călin Ile, der schätzt, dass die Auswirkung der Lage des Tourismus auf das rumänische BIP 5% übersteigen wird. 90% der Hotels in Rumänien wurden wegen der Pandemie geschlossen, und 150.000 der 180.000 Beschäftigten in der Hotel- und Restaurant-Branche wurden in die Kurzarbeit versetzt oder entlassen, sagt Răzvan Pascu, Gründer eines in diesem Bereich tätigen Unternehmens. Seiner Meinung nach könnte die Situation, die wir durchmachen, jedoch eine Chance für den rumänischen Tourismus darstellen:



    Es ist klar, dass sich das Verhalten des Touristen ändern wird. Höchstwahrscheinlich werden sie es nicht mehr vorziehen, gro‎ße Hotels mit All-inclusive-Angeboten beispielsweise in der Türkei zu wählen, wo sie sich mit Tausend Menschen zum Frühstück drängen, sondern andere Reisemöglichkeiten wählen. Ich glaube, dass in der nächsten Zeit Autofahrten und Naturfahrten zunehmen werden, das Verhalten der Menschen wird sich irgendwie ändern. Es kann auch eine Gelegenheit sein, Rumänien als eine andere Art von Reiseziel zu fördern, ein Reiseziel, das Reisemöglichkeiten anbietet, nicht mit anderen eng aneinander zu sein, und ich denke, dass dies in den nächsten 2–3 Jahren die Strategie für Rumänien sein sollte.“




    Die Ergebnisse jüngster Studien zeigen, dass die Menschen in diesem Jahr ihren Urlaub im Ausland aufgeben und den lokalen Tourismus bevorzugen werden.

  • 22.10.2019

    22.10.2019

    Japon – Le chef de l’Etat roumain, Klaus Iohannis, et son épouse Carmen ont participé mardi à Tokyo à la cérémonie du Couronnement de l’Empereur Naruhito. Ce dernier a officiellement proclamé son ascension au trône en présence de plus de 180 dignitaires étrangers. Parmi les invités, le prince Charles, l’héritier de la couronne britannique, le roi Felipe VI d’Espagne et la reine Letizia. Le président Iohannis participe aussi au banquet impérial organisé à cette occasion. Lundi, Klaus Iohannis s’est entretenu à Tokyo avec le premier ministre japonais Shinzo Abe sur le Partenariat stratégique entre la Roumanie et le Japon. 126e monarque japonais, Naruhito a repris ses prorogatifs au 1er mai 2019, suite à la décision de l’empereur Akihito que quitter son trône.


    Corruption – La Direction nationale anticorruption de Bucarest s’est saisie suite aux récentes révélations parues dans la presse relatives au leader de l’Union Sauvez la Roumanie, Dan Barna, candidat aux élections présidentielles du mois prochain, ont confirmé des sources judiciaires pour la radio publique roumaine. Les vérifications visent certains projets aux fonds européens déroulées il y a plusieurs années par plusieurs entreprises, dont une qui appartenait à M Barna. Celui-ci a promis de mettre à la disposition des procureurs anticorruption toutes les infos dont il dispose. La semaine dernière le département de lutte antifraude du gouvernement a démarré une série de vérifications visant Dan Barna, que ce dernier a jugé d’actions politiques. Les ennuis avec la Justice n’épargnent non plus la première ministre suspendue, Viorica Dancila, elle aussi candidate à la présidence. L’ancienne directrice de la compagnie aérienne roumaine TAROM, Madalina Mezei, accuse le ministre par intérim des Transports, Razvan Cuc de lui avoir demandé d’annuler des vols de sa compagnie, le 10 octobre dernier afin d’empêcher des sénateurs et députés de voter la motion de censure contre le gouvernement social-démocrate, motion qui a mené à la destitution du cabinet. Madalina Mezei, a été auditionnée en tant que témoin par la Direction nationale anticorruption, alors que pour sa part, Razvan Cuc nie ces accusations.

    Gouvernement – Le premier ministre désigné, Ludovic Orban, leader du Parti national libéral, doit rencontrer aujourd’hui et demain les représentants de l’Alliance des libéraux et des démocrates, de l’Union sauvez la Roumanie, du Parti du Mouvement Populaire et de Pro Romania, soit des partis qui ont voté en faveur de la motion de censure qui a renversé le gouvernement de la sociale-démocrate Viorica Dancila. Une première série de consultations politiques a eu lieu la semaine dernière. Selon M Orban, ses interlocuteurs seraient prêts à soutenir un gouvernement libéral. Ludovic Orban a précisé que la liste des propositions de ministres et le programme de gouvernance seraient déposés vendredi, au plus tard, alors que la direction du législatif se réunira lundi prochain pour établir un calendrier d’auditions censé permettre l’investiture du gouvernement mercredi prochain. La Roumanie, a souligné Ludovic Orban a besoin d’urgence d’un gouvernement légitime capable d’exercer pleinement le pouvoir.

    Hôtels – 28 hôtels à 5 étoiles fonctionnaient en Roumanie ce 31 juillet, soit 2 de plus par rapport à l’année précédente, selon les chiffres de l’Institut national de la statistique rendus publics ce mardi. La vaste majorité des hôtels de Roumanie, doit 75% étaient pourtant des hôtels à 3 et 4 étoiles. Sur le total de la capacité d’hébergement de la Roumanie, la majorité des places étaient dans des hôtels, suivis par les pensions et les gîtes ruraux ainsi que par les auberges de jeunesse.

    Défense – Plus d’un millier de militaires et 9 bâtiments de guerre des Forces navales roumaines et de plusieurs alliés de l’OTAN participent jusqu’au 27 octobre à l’exercice Fall Storm 2019, un des exercices les plus importants déroulés en Roumanie et en Mer Noire. Cet exercice vise à renforcer l’interopérabilité et à perfectionner la capacité de planification et de coordination des forces au niveau multinational et interinstitutionnel. D’ailleurs, l’exercice Fall Storm 19 implique les Forces navales, terrestres et aériennes roumaines.

    Foot – Le club de foot champion de Roumanie, CFR Cluj doit affronter jeudi le Stade rennais football clubdans le groupe E de la Ligue Europa. Le CFR a remporté déjà à domicile le match contre les italiens de Lazio Rome sur le score de 2 buts à 1 et perdu la rencontre avec les Ecossais de Celtic Glasgow, sur le score de 2 à 0.

  • 05.01.2019

    05.01.2019

    Ministères – A Bucarest, la situation des ministères des Transports et du Développement régional est toujours incertaine. Suite à la publication des décrets de révocation des anciens titulaires, le président Klaus Iohannis a déclaré vendredi qu’il n’acceptait pas les propositions du Parti Social-Démocrate (au pouvoir) qui doit avancer de nouvelles nominations. M Iohannis a également fait savoir qu’il allait se porter candidat pour un nouveau mandat de chef de l’Etat aux élections présidentielles de cette année. Vendredi encore, il a précisé qu’il n’allait pas révoquer de ses fonctions le procureur général de la Roumanie, Augustin Lazar, se déclarant content de l’activité de celui-ci. Quant à la demande de révocation formulée par le ministre de la Justice, le président estime qu’elle n’est pas conforme à la loi. En réplique, le PSD accuse de chef de l’Etat de vouloir bloquer l’activité du gouvernement par son refus de nommer les ministres des Transports et du Développement régional, la Roumanie étant obligée d’assumer la présidence tournante de l’UE avec deux ministères sans direction. Les sociaux-démocrates dénoncent également « une complicité de nature pénale entre le président et le procureur général, à même de défier la Constitution et l’Etat de droit. Pour rappel, le ministre de la Justice avait avancé la proposition de destitution du procureur général, l’accusant d’avoir outrepassé ses attributions et d’avoir enfreint grièvement les lois et les droits fondamentaux de l’homme.

    Ambassadeur – Le Sénat américain a renvoyé au président Donald Trump la nomination d’Adrian Zuckerman au poste d’ambassadeur des Etats-Unis en Roumanie, pour des raisons de procédure. Selon le règlement du Sénat américain, les nominations qui n’ont pas été examinées lors d’une session ne peuvent pas être reportées à une autre sans être envoyées par le président. Fin juillet 2018, le président américain avait envoyé au Sénat la nomination d’Adrian Zuckerman au poste d’ambassadeur. Dans sa présentation il est mentionné que M Zuckerman avait quitté la Roumanie pour les Etats Unis à l’âge de 10 ans et qu’il parle couramment le roumain. Il est actuellement partenaire au sein d’une société d’avocats de New York spécialisée dans les transactions immobilières. Il est un proche de la famille Trump depuis deux décennies et un membre connu du milieu des affaires de New York. S’il est voté par le Congrès Américain, Adrian Zuckerman remplacera l’actuel ambassadeur à Bucarest, Hans Klemm. Une nouvelle séance du Congrès américain a démarré jeudi.

    Vacances – En Roumaine, le secteur de l’hôtellerie a gagné plus de 40 millions d’euros pendant ces vacances de fin d’année, constate un bilan des Patronats du Tourisme. Quelque 166.000 Roumains ont fêté le Nouvel An dans les stations touristiques, une croissance considérable par rapport au nombre de touristes autochtones recensés une année auparavant. Les zones pittoresques riches en traditions ont été les plus recherchées, tout comme les villes thermales, sans oublier le littoral, le delta du Danube ou les grandes villes. Les Roumains qui ont préféré se rendre à l’étranger pour marquer le Nouvel An ont opté, eux, pour les stations de montagne d’Autriche, de France, d’Italie ou de Bulgarie ou bien pour des destinations exotiques.

    Epiphanie – Les chrétiens orthodoxes célèbrent dimanche le Baptême de Jésus Christ, une des fêtes les religieuses les plus anciennes connues sous le nom de l’Epiphanie. Lundi, les Roumains célébreront la Saint Jean, la derrière grande fête religieuse de l’hiver. En revanche, pour les chrétiens de rite ancien, notamment d’ethnie russe, ukrainienne et serbe, les célébrations ne font que commencer. Ils marqueront Noël le 7 janvier. A noter que de nombreux habitants de la République de Moldova voisine se rendent ces jours-ci en Roumanie pour marquer les fêtes selon le rite ancien. Rappelons-le, la division de l’église orthodoxe a eu lieu au début du 20e siècle, lorsque la Patriarchie de Constantinople a fait le passage du calendrier julien à celui grégorien, qui comporte un décalage de 13 jours.

    Sport – La sélection nationale de volleyball féminin de la Roumanie rencontrera ce samedi dans la ville d’Alexandria, dans le sud du pays, la sélection espagnole dans le match décisif des préliminaires du groupe F comptant pour le Championnat européen. L’équipe gagnante sera qualifiée au tournoi final qui se déroulera du 23 août au 8 septembre, et dont l’organisation est partagée entre la Turquie, la Pologne, la Hongrie et la Slovaquie. A part la Roumanie et l’Espagne, le groupe F compte les sélections de Lettonie et de Bosnie-Herzégovine. Les deux premières classées de chacun des 6 groupes préliminaires sont assurées d’avoir leur ticket pour la finale.

    Météo – Il fait froid aujourd’hui en Roumanie et il neige sur l’ouest, le nord et par endroits sur le centre du pays. Les températures maximales iront de – 8 à 2°. -3 degrés et du soleil à midi à Bucarest. Par ailleurs, le temps est extrêmement défavorable ces jours-ci en Grèce, en Bulgarie et en Serbie, met en garde le ministère roumain des AE. En Bulgarie, une alerte orange est en vigueur dans le nord en raison des chutes abondantes de neige et du vent très fort. En Grèce l’on enregistre des températures polaires, des chutes massives de neige et de rafales de vent allant jusqu’à 105 km/h ainsi que des vagues géantes hautes de plus de 12 m en Mer Egée. La Serbie aussi est concernée par des alertes jaune et orange à la neige.

  • Start of the summer season in Mamaia resort

    Start of the summer season in Mamaia resort

    The most popular and largest festivals are held here, with the best DJs. Accommodation comes in all shapes and forms, and entertainment is to match. You can take the gondola, you can visit the water park, and you have a variety of trips available in Dobrogea region and the Danube Delta.




    However, in order to get to know Mamaia better, we should take you on a trip back in time. 112 years ago, Mamaia opened for business as a summer vacation destination, more precisely in 1906. Organizing the facilities started in 1905.



    Razvan Victor Pantelimon, a lecturer with the School of History and Political Sciences at the Ovidius University of Constanta, told us some details: “This was the vision of a few very important people. First there was engineer Anghel Saligny, who built a number of administration and infrastructure buildings, starting with the famous bridge over the Danube. Once Constanta harbor was improved, he also had the idea to build a number of spas close to the city of Constanta. Another visionary with a very important role was the mayor of the city at the time, Ion Banescu. He held the position for a very short time, only two years, between 1905 and 1907. The citys local council leased an area north of the city, which was initially a fishing village. This is the origin of what is now known as Mamaia.”



    This was an international resort right from the start, because the landscaping was made by a French architect, Edouard Redont, who made the blueprints, turning the beach into parks, according to Razvan Victor Pantelimon: “The first map of Mamaia resort was made in France, in December 1905, by the Architecture and Landscaping Service with Paris City Hall. Also in Paris, France, in early 1906, one thousand copies of photos of the beach were made. The official inauguration of Mamaia resort was in August 1906, when two trains left from Constanta. The inauguration was attended by a large crowd. What is interesting is that they built a railroad between the old railway station in Constanta and the resort, over 8 km long. Success came quickly. Statistics show that within a few months, in 1906, over 45,000 tourists visited Mamaia. It was a success, considering that the city of Constanta had only 12,000 inhabitants.”



    Along the years, Mamaia saw some hard times as well. The first was during WWI and its immediate aftermath. Here is Razvan Victor Pantelimon, a lecturer with the School of History and Political Sciences at Ovidius University of Constanta with details: “We can say there was a slump until the 1920s, when construction resumed. The Royal Palace was built starting in the 1920s, with blueprints made by Italian architect Mario Stoppa. The resort flourished in the 1930s. The casino was built, and the first large hotel, The Rex. What is interesting is that in 1934 there were 12,000 foreign tourists from surrounding countries, like Poland, Hungary, and Czechoslovakia. Then, during WWII and in the 1950s, the resort took a step backward too — it was left in dereliction, but in the 1960s a new policy for development was implemented, aimed at bringing foreign tourists to Mamaia. We can say that it gained international recognition in 1968, when Miguel Angel Asturias, South American Nobel Prize winner, came to Mamaia and said that it could rival any resort on the French Riviera – Cote dAzur, the Italian Riviera, or the beaches of Florida. After the 1990s it once again went into a slump, and growth resumed only after 2000.”



    It would be worth mentioning that the resort of Mamaia hosted the Radio Holiday headquarters, the foreign language station of Radio Romania. This famous station enjoyed great success during the communist period with entertainment programming.



    After the year 2000, the resort developed a lot, as confirmed by Stefan Necula, the director of a travel agency focused on the seaside: “We tried to cater for all types of tourists, with offers in all inclusive hotels and also in boutique hotels. We consider that this will be more and more a favorite destination for foreign tourists. We are trying to open up more and more towards festivals, because it would attract foreign tourists, who are used to having such events at the beach. One very important event is Neversea, one of the biggest music festivals in Eastern Europe. I think the trips we organize and introduce in our tourist packages are good for the development of the resort. We want tourists to get to know the local culture instead of just spending time on the beach.”



    Mamaia is not an exclusive destination, Stefan Necula told us: “We have a variety of prices around the resort. We have two star units for tourists on a budget, but also four and five star hotels, with matching prices. They offer services comparable to Western European ones. The feedback from tourists has been positive. The latest round came around the May Day holiday, when tourists flocked to the clubs in the north of the resort. As you know, the entertainment was exceptional. Loads of tourists came for May Day from the UK, Germany and Italy, many of them accompanied by Romanians who promoted the resort. We are eagerly awaiting tourists who want to get to know the place and feel its vibe. The hotels, restaurants, and clubs here, as well as the beach facilities, are eager to accommodate any tourist.”



    In Mamaia you have a rich history, with lots of events and all sorts of entertainment. Contact soon your travel agent to check out what is on offer this summer season.

  • Vacances de Pâques en Roumanie

    Vacances de Pâques en Roumanie

    Située dans le nord-est de la Roumanie et constituée des comtés de Suceava et de Botoşani, la Bucovine a toujours attiré les touristes, surtout pendant la période des fêtes, grâce à ses églises anciennes et à ses traditions. Voilà une contrée où les vacances peuvent être de belles expériences. Un séjour peut commencer au Musée de l’Oeuf de Vama, recelant plus de 7.000 œufs décorés, dont plus de 3.500 provenant de 82 pays de 5 continents. Letiţia Orşinschi, professeur d’art textile et d’arts décoratifs, membre de l’Académie des arts traditionnels de Roumanie, explique: « En Bucovine, les œufs de Pâques étaient décorés jadis de manière très simple ; les éléments utilisés étaient grossiers, il n’y avait qu’un seul motif dominant. Les couleurs étaient celles utilisées de nos jours encore sur les serviettes décoratives et sur les costumes traditionnels. Dans ce musée, vous découvrirez des œufs vieux de 50 à 100 ans, dont certains ont appartenu à ma famille. Ces œufs n’étaient pas vidés, mais le fait qu’ils n’étaient pas enduits de vernis a permis l’évacuation du blanc par les pores de la coque, alors que le jaune s’est coagulé à l’intérieur. Dans les maisons traditionnelles, ces œufs étaient gardés notamment pour les jours d’orage. L’œuf de Pâques béni à l’église était déposé dans l’encadrement des fenêtres, pour protéger les habitants de la maison du mal qui pouvait venir de dehors. S’il y avait des filles à marier dans la maison, ces œufs étaient censés les protéger du mauvais œil et favoriser un bon mariage. L’intensité de la couleur fournissait jadis des indices sur le statut de la femme en question : le rouge clair était la couleur des jeunes filles pas encore mariées, le rouge foncé tirant sur le brun – celle des femmes mariées et le noir – celle des veuves. De nos jours, les techniques utilisées pour décorer des œufs ont progressé. En Bucovine on utilise entre autres la décoration à la cire, unique au monde. »

    Nous nous attardons quelques minutes encore dans le nord du pays, car la célèbre contrée de Maramureş figure sur la liste des destinations roumaines incontournables – surtout à Pâques. Dan Carpov, représentant du Bureau d’information touristique du comté de Maramureş, précise : « Partout au Maramureş, les fêtes pascales sont célébrées avec beaucoup d’enthousiasme et de piété, dans l’esprit des traditions anciennes. Dans tous les villages, les gens portent leurs costumes traditionnels et respectent leurs coutumes liées à cette fête. Le Maramureş compte toujours parmi les destinations les plus recherchées, ce qui nous oblige à renouveler sans cesse notre offre, pour répondre aux attentes des touristes. La « mocăniţa », petit train à vapeur circulant sur une voie à écartement réduit, figure en tête des préférences. Le Maramureş compte 8 sites touristiques figurant sur la Liste du Patrimoine mondial de l’UNESCO. S’y ajoutent des églises très anciennes en bois qui mériteraient bien d’y être inscrites. Le tourisme de montagne gagne du terrain et les touristes apprécient beaucoup notre itinéraire cyclable totalisant 80 km le long duquel on ne rencontre pas de voitures. »

    Claudia Andron, présidente de l’Association « Touriste à Bistriţa-Năsăud », ajoute à cette offre de Pâques une visite des caves à vin de la région. « Les parages sont magnifiques et de nombreuses pensions rurales vous y attendent, où vous pouvez voir comment on fête Pâques à Bistriţa-Năsăud. Nous avons de belles églises où vous pouvez assister à la Messe de la Résurrection. Nous avons aussi de belles coutumes. Un séjour à Pâques dans notre contrée est une expérience inédite que vous ne regretterez pas. Une des choses à découvrir est la Route du vin. La vigne a été apportée dans la région par les Saxons, vers 1600 ; pendant le régime communiste, les vignobles ont été entretenus, mais après 1989, ils ont dépéri. Depuis plusieurs années, quelques agriculteurs passionnés se sont proposé de raviver la tradition du vin à Bistriţa-Năsăud. Nous avons de belles caves qui peuvent accueillir des touristes en toute saison. »

    Située en Transylvanie, à l’intérieur de l’arc des Carpates, Sovata est une station balnéaire connue en Europe dès 1850 pour le traitement des troubles digestifs. Kacso Marta est la représentante d’un ensemble hôtelier de la station : « L’offre de Pâques comporte 3 nuitées, en chambre double, dans un 4 étoiles, petit déjeuner inclus et buffet suédois le soir. S’y ajoute un repas de fête le jour de Pâques. L’accès au centre de remise en forme est illimité. Le séjour coûte 960 lei (soit 207 euros) par personne. »

    La station de Straja nous attire dans le sud-ouest de la Roumanie. Mihai Dumitrascu y gère une villa 3 étoiles : « Très connue comme station hivernale, Straja devient de plus en plus une station estivale aussi. Elle a l’avantage de se trouver à proximité de sites touristiques du comté de Hunedoara : le château des Corvin, le monastère de Prislop, la grotte Bolii et le massif de Retezat des Carpates Méridionales. La période des fêtes pascales est idéale pour une visite à Straja. Nous proposons un paquet touristique avantageux, comportant une visite à l’Ermitage de Straja et sur le Chemin de la Croix le plus long de l’Est de l’Europe. Un séjour de 4 ou 5 nuitées, en demi-pension, repas de fête compris, coûte 595 lei (soit 127 euros).

    Lucian Ţăranu, propriétaire d’une pension des Carpates Occidentales, plus exactement dans les Monts Trascău, nous invite dans un endroit situé loin de l’agitation de la ville : « C’est un coin oublié du monde, où le calme et la beauté sont chez elles. Si vous êtes de passage à Valea Gărzii, si vous passez le pont que nous avons construit nous-mêmes, vous découvrirez le Paradis sur terre. La nourriture est délicieuse et elle est préparée avec des légumes du jardin. Nous allons cuire ensemble du pain dans le four et vous pourrez goûter une boisson préparée par l’aubergiste Lenuţa et qui s’appelle « la joie de la forêt ».

    Si vous restez chez nous une semaine, vous pourrez visiter des grottes, des lacs, des défilés, des rivières de montagne et des chutes d’eau. » Bien que des séjours pour les fêtes pascales soient proposés par de nombreux hôtels de Roumanie, les pensions rurales vous plongent, elles, dans le monde des coutumes et des traditions qui font la beauté et l’unicité de cette période de l’année. (Aut. : Daniel Onea ; Trad. : Dominique)

  • Nouari Naghmouchi (Algérie) – le tourisme en Roumanie en 2017

    Nouari Naghmouchi (Algérie) – le tourisme en Roumanie en 2017

    L’année dernière a déterminé un tournant pour le tourisme roumain. En fait, jusqu’à la fin de l’année, plus de 12 millions de touristes ont choisi la Roumanie, un record qui n’avait plus été atteint depuis 1990. Beaucoup d’étrangers se sont sentis attirés par la Roumanie, tandis que les Roumains ont donné la préférence aux stations autochtones, délaissant les stations étrangères.



    Les promotions avantageuses, les petits prix, une offre variée mais aussi l’absence d’attentats terroristes peuvent constituer de bonnes raisons pour visiter la Roumanie. Ainsi, selon l’Institut national de la statistique, les 11 premiers mois de 2017, le nombre de touristes qui ont logé dans les structures hôtelières de Roumanie a atteint les 11,2 millions, soit une hausse de 10% par rapport à la période similaire de 2016. Un quart des touristes étaient étrangers, 75% étaient Européens et 86% d’entre eux provenaient d’Etats de l’UE. Il est vrai que la capacité d’hébergement s’est accrue en Roumanie, de 5% entre le 1er janvier et le 30 septembre, par rapport à la période similaire de 2016, et la qualité des services aussi. Ces dernières années, le nombre des hôtels de quatre ou cinq étoiles a connu un bond de 50%. Pourtant, le taux d’occupation des hôtels roumains est de 35% tout au plus.



    La plupart des vacanciers ont préféré les hôtels, avec 60%, suivis par les pensions d’agritourisme, avec 12%, les pensions avec 11%, alors que 4% ont logé dans des auberges de jeunesse, par exemple. Ce qui est important, c’est que la Roumanie revient sur la carte touristique du monde, car elle n’y figurait plus pendant un moment. La plupart des touristes étrangers provenaient d’Allemagne, d’Israël, d’Italie, de France et de Hongrie. Mais les Polonais et les Anglais ont également commencé à regarder vers la Roumanie, selon les données de l’INS. Effectivement, la Roumanie est un pays varié : il y a la mer, la montagne, les prix sont abordables, et puis il y a les promotions. En plus, les sites de voyages parlent maintenant de ce pays. La plupart des touristes étrangers et aussi les Roumains qui ont passé leurs vacances en Roumanie ont préféré la voiture. Les neuf premiers mois de l’année, le nombre de touristes roumains en Roumanie a connu un bond de 1 million.



    Les statistiques ne sont pas au même niveau ; ainsi, au 2e trimestre de 2017, la majorité des étrangers en Roumanie sont venus pour le tourisme d’affaires, pour participer à des congrès, conférences, cours, foires et expositions, et leurs dépenses ont été de près de 60% de l’ensemble. Les voyages à titre privé ont été la deuxième raison de leur présence dans ce pays, avec 40%. Les voyages à des fins privées comprennent les vacances, le shopping, les évènements culturels et sportifs, des visites de parents ou d’amis, le tourisme religieux et le transit. Le tourisme de city break est de plus en plus pratiqué. Le tourisme balnéaire est une destination de plus en plus appréciée. Les touristes étrangers ont dépensé en moyenne 500 euros par personne en Roumanie, et le séjour moyen a été de deux jours.



    Même le tourisme médical a connu une hausse en 2017. Parmi nos atouts, on peut mentionner les prix attractifs et l’absence de listes d’attente. Ce type de tourisme a diversifié l’offre des établissements de santé, aussi. Les Allemands, les Français, les Anglais mais aussi les Italiens et les Israéliens ont fait appel le plus souvent aux services des médecins roumains — une tendance qui se maintiendra, semble-t-il, en 2018 aussi. Sur l’ensemble des dépenses, le poids le plus important revient à l’hébergement, qui représente la moitié des dépenses. Les touristes ont dépensé environ 20% dans des restaurants et des bars et 13% pour le shopping. Le secrétaire général de l’Association nationale des agences de tourisme prévoit pour cette année une hausse du nombre de touristes.

  • Investissements dans l’hôtellerie

    Investissements dans l’hôtellerie

    La Roumanie est devenue ces dernières années une destination touristique de plus en plus attractive, ce qui a entraîné un accroissement du volume des investissements dans l’hôtellerie. Notre pays n’est pas le seul à susciter plus d’intérêt de la part des touristes et à bénéficier de plus d’investissements dans ce domaine, d’autres Etats d’Europe Centrale et Orientale s’avèrent aussi plus attrayants. L’année dernière, le volume total des investissements hôteliers a atteint 1,2 milliards d’euros, contre 700 millions en 2015, ce qui représente une progression significative. Le taux d’occupation des hôtels est en hausse, dépassant le niveau enregistré en 2007 et 2008 – raison de plus pour les hommes d’affaires d’investir dans l’hôtellerie.

    Călin Ile, président de la Fédération de l’Industrie hôtelière de Roumani, nous explique ce regain d’intérêt des investisseurs pour ce secteur : « D’une part, un contexte régional favorable est un élément de stabilité et de sécurité qui a rendu les marchés d’Europe de l’Est plus attractifs. Pour la même raison, les touristes sont eux aussi davantage attirés par l’Est du continent. Ils trouvent ici une zone stable, sans afflux de migrants et donc sans les risques que la migration entraîne en Europe Occidentale. D’autre part, cela s’explique par un changement de comportement chez les jeunes, qui ne voient pas autant de barrières partout et qui sont en quête d’expériences nouvelles, ce qui les incite à découvrir l’Europe de l’Est. »

    L’intérêt accru des touristes pour cette partie de l’Europe a déterminé une hausse des tarifs hôteliers et implicitement des profits. Les tarifs ont augmenté le plus en 2016 par rapport à 2015 à Bratislava (de 9,5%), à Budapest (de 6,1%), à Bucarest et Sofia (de 5,8%), à Prague (de 3,4%).

    Quant à la Roumanie, plusieurs zones touristiques pourraient focaliser l’intérêt des investisseurs. Călin Ile : « Moi, je privilégierais trois zones. Premièrement : la Transylvanie, dont l’image s’améliore de plus en plus, c’est un moteur de l’image, si vous voulez, notamment les villes. Deuxièmement : la capitale, Bucarest, qui s’est beaucoup développée du point de vue économique ces dernières années et qui est devenue plus attractive grâce à ses loisirs. Et troisièmement, le littoral de la mer Noire et le delta du Danube, qui ont bénéficié d’investissements ces derniers temps. Le delta attire par son unicité et la côte par les possibilités qu’ils offrent aux touristes de se détendre, se divertir et profiter de la vie. »

    La station de Mamaia est la capitale estivale du littoral roumain. Elle attire par ses nombreux loisirs. Bucarest est devenue une destination de city-break pour 20% du total des visiteurs étrangers en 2016. Pourtant, 60% s’y sont rendus pour des conférences et différents autres événements.

    Selon les statistiques, à part Bucarest et Constanţa, la plus grande ville du littoral roumain, en 2016 les zones les plus visitées ont été les comtés de Timiş (dans l’ouest du pays) ainsi que Sibiu et Braşov (dans le sud de la Transylvanie). A la différence du comté de Timiş et de son chef-lieu, la ville de Timişoara, qui se trouvent à la frontière ouest du pays, les comtés de Sibiu et Braşov ne sont pas très faciles d’accès, mais ils jouissent quand même d’une grande visibilité. La ville de Braşov compte de nombreux sites touristiques, d’autres sont situés à proximité. Il suffit de mentionner la cité de Râşnov, l’église saxonne fortifiée de Prejmer ainsi que la station de Poiana Braşov qui dispose de la meilleure infrastructure pour les sports d’hiver de Roumanie. Son offre dans le domaine de l’hôtellerie et de la restauration est très diversifiée. La ville de Sibiu a été propulsée parmi les destinations touristiques privilégiées du pays par son statut de Capitale européenne de la culture en 2007. La ville dispose aussi d’un aéroport. La Roumanie compte également un grand nombre de stations balnéaires et le potentiel touristique de notre pays dans ce domaine est important, pourtant il ne suscite pas encore l’intérêt des investisseurs.

    Călin Ile, président de la Fédération de l’Industrie hôtelière de Roumanie : « Le tourisme balnéaire est, depuis quelques années, notre principal espoir, mais il demeure un espoir. L’infrastructure des stations et leurs établissements de cure nécessitent des investissements importants, que les investisseurs ne sont pas prêts à faire. Le potentiel de notre pays dans ce domaine reste important et je pense que si certaines destinations réussissent à s’imposer sur les marchés internationaux par une bonne stratégie, nous réussirons à attirer aussi des investissements. »

    Les compagnies aériennes low-cost ont contribué à accroître le nombre de touristes étrangers qui visitent la Roumanie, notamment la ville de Bucarest, qui pour l’instant n’est pas une destination chère. Selon les estimations, 40 euros suffiraient à un jeune pour une nuitée d’hébergement à Bucarest – repas et transport compris. Les investisseurs ont senti la tendance ascendante du marché hôtelier. Aussi, depuis 15 ans, le nombre des places d’hébergement a triplé à Bucarest, se chiffrant actuellement à 20 mille. La capitale roumaine compte surtout des 3 et 4 étoiles. (Trad. : Dominique)

  • Le littoral roumain fait peau neuve

    Le littoral roumain fait peau neuve

    Plusieurs hôtels des stations de cette région seront modernisés et leur classification sera améliorée. Si le nord du littoral roumain est destiné notamment aux jeunes, le sud est réservé aux familles. Les hommes daffaires ont réagi à cette situation et ont déjà démarré damples travaux de rénovation et de modernisation des capacités dhébergement, affirme le maire de la ville de Mangalia, Cristian Radu.



    Cristian Radu: «Les six stations que la municipalité de Mangalia gère, cest-à-dire Olimp, Neptun, Jupiter, Cap Aurora, Venus, Saturn et Mangalia, qui est également une station touristique, ont été conçues à la fin des années 60 et introduites dans le circuit touristique au début des années 70. Ce que nous souhaitons, cest de les inscrire définitivement sur la carte touristique du monde. Cest dailleurs ce que nous essayons de faire depuis cinq ans déjà et jespère arriver à accomplir cet objectif à lavenir. Un seul exemple : le complexe hôtelier dOlimp – Panoramic, Belvedere et Amfiteatru -, qui était à labandon depuis près de 7 – 8 ans. Parfois ces hôtels étaient ouverts, mais ils étaient classés deux, voire une étoile. Ces trois hôtels ont été rachetés par un investisseur roumain. Celui-ci a fait plusieurs investissements tant à Bucarest que sur la côte roumaine et cest un avantage pour cette zone. A Venus, il y a plusieurs hôtels qui ont été rachetés par un autre investisseur de Roumanie, alors quà Saturn, deux hôtels appartiennent désormais à un investisseur chinois. Donc, les investisseurs commencent à arriver sur la côte roumaine, ils sintéressent à la région et cela prouve que ladministration locale fait son travail.»



    Les Chinois feront des investissements dans plusieurs centaines dappartements de vacances dans la station de Saturn, sur lemplacement de plusieurs immeubles qui étaient délabrés depuis des années. Linvestissement sélève à 5 ou 6 millions deuros, selon les spécialistes du tourisme. Six autres hôtels sont à vendre dans le sud de la côte roumaine. Pour sa part, la mairie de Mangalia a rejoint ce processus de transformation et de modernisation et investit dans linfrastructure. Les autorités locales ont utilisé ces dernières années pas moins de 21 millions deuros de fonds structurels de lUE. Les projets les plus récents visent la création dun nouveau parc, appelé Evergreen, et la modernisation de lancienne promenade en bord de mer de la ville.




    Cristian Radu : « Il sagit de 9 km de côte, et nous nous proposons de réhabiliter toutes les promenades en bord de mer que Mangalia possède et qui nont plus bénéficié de tels travaux depuis le début des années 1970. Nous avons commencé par Neptun et nous avons achevé cette année aussi lancienne promenade en bord de mer de Mangalia, à savoir lallée des Tilleuls. Sur les quatre hôtels qui se trouvaient sur la plage de Mangalia, deux seulement étaient ouverts. Un autre hôtel situé au même endroit, le Scala, a changé de nom et appartient désormais à un investisseur de Bacau. Il sera ouvert aussi pendant lhiver puisquil se trouve tout près du complexe de cures balnéaires de la ville. Le casino de Mangalia, lui aussi à labandon depuis un certain temps, a été racheté et sera réintroduit dans le circuit touristique. Nous effectuons aussi des investissements dans linfrastructure à Saturn et nous souhaitons construire prochainement une promenade en bord de mer dans toutes les stations littorales, de Mangalia à Olimp. Nous allons utiliser des fonds européens, mais aussi des fonds gouvernementaux parce quune ville de seulement 44 mille habitants ne peut pas soutenir à elle seule tous ces investissements dans toutes les stations. Nous souhaitons donc utiliser les fonds européens parce que nous tenons à ce que limage de ces stations littorales soit conforme aux attentes des touristes qui visitent la région. »




    Par ailleurs, lérosion est un phénomène de plus en plus présent sur le littoral roumain. Ces 50 dernières années, lérosion a touché des centaines de mètres sur les plages roumaines. Il est urgent donc de lutter contre ce phénomène en réhabilitant les plages.



    Un processus qui bénéficiera dun investissement de 800 millions deuros de fonds européens, précise Cristian Radu, le maire de Mangalia : «Ce projet démarrera cette année. Les plages ne sont pas gérées par la Municipalité, elles appartiennent du département Apele Romane (Les Eaux Roumaines) du ministère de lEnvironnement. Il y a eu de petits problèmes dans ce secteur, mais nous allons y remédier cette année et commencer à élargir les plages. Cette action sera terminée dici deux ou trois ans, lorsque cet investissement prendra fin. Nous nous sommes également occupés du parc de Mangalia. Placé sur une ancienne décharge publique, il sétale sur 3 hectares. Nous y avons investi 9 millions de lei, provenant, au début, de fonds européens, puis de nos propres fonds. Nous tentons de transformer Mangalia en une ville touristique. On nous demande souvent si nous sommes en concurrence avec dautres stations de Roumanie ou de Bulgarie. Nous répondons à chaque fois que nous sommes en concurrence avec nous-mêmes. Toutes ces stations étaient dans un très bon état dans les années 70-80, elles étaient très recherchées. Dans la région de Neptun – Olimp on parlait très peu le roumain, tellement les touristes étrangers y étaient nombreux. Nous voulons donc remettre ces stations sur la carte touristique du monde ».





    Notons pour terminer, que le Complexe de cure de Mangalia bénéficiera lui aussi dinvestissements denviron 40.000 euros qui seront utilisés pour le doter déquipements de dernière génération pour la section de récupération neuro-psycho-motrice des enfants touchés de troubles de la colonne vertébrale. Ce complexe est dailleurs connu en Roumanie et à létranger pour les cures à base de boue sapropélique, unique en Europe, pour son bio climat riche en aérosols et pour ses eaux thermales sulfureuses. (Trad. Alex Diaconescu, Valentina Beleavski)

  • Nachrichten 02.05.2017

    Nachrichten 02.05.2017

    Der rumänische Senat hat am Dienstag beschlossen, den Gesetzentwurf über die einheitliche Entlohnung im Eilverfahren zu besprechen. Ebenfalls am Dienstag hat das ständige Büro des Senats besagten Gesetzentwurf zwecks Stellungnahme an die Regierung, an den Rat über Wirtschaft und Soziales, an den Legislativrat und an andere Einrichtungen geschickt. Für die Stellungnahme haben die zuständigen Einrichtungen eine Woche zu Verfügung. Das geplante Gesetz über die einheitliche Entlohung sieht unter anderen eine etappenweise Steigerung der Gehälter der Staatsbediensteten in den nächsten fünf Jahren. Die erste Gehaltserhöhung sollte am 1. Juli erfolgen.



    Rumänische und bulgarische Staatsangehörige, die in den letzten 10 Jahren ein Reisevisum für Kanada hatten oder im Moment ein gültiges USA-Einreisevisum besitzen, dürfen seit dem 1. Mai ohne Visum nach Kanada reisen. Sie müssen nur einen Antrag auf eine Reisegenehmigung stellen. Das ist die Folge der Zustimmung des kanadisch-europäischen Freihandelsabkommens CETA durch das Europäische Parlament in Strassburg im Februar dieses Jahres. Das Abkommen beseitigt 99 Prozent aller Zollgebühren. Ein separates Abkommen der Regierungen Rumäniens und Kanadas sieht vor, dass ab dem 1. Dezember 2017 die visumsfreie Einreise für alle rumänischen Staatsangehörigen möglich ist.



    Die Devisenreserven der rumänischen Zentralbank sind im April dieses Jahres um 3,6% gegenüber dem Vormonat auf fast 36 Milliarden Euro gestiegen. Das teilte die Bank am Dienstag mit. Im Verlauf des Monats kassierte die Zentralbank fast 2 Milliarden Euro. Umgekehrt überwies die Bank über 650 Millionen Euro. Die Goldreserven hielten sich konstant bei rund 104 Tonnen. Im Mai werden Schulden von insgesamt 158 Millionen Euro fällig, informiert die Notenbank .



    Rund 70 Tausend Besucher haben sich am verlängerten Wochenende an der rumänischen Riviera aufgehalten, davon 7.000 ausländische Touristen. Das meldete der Branchenverband ANAT. Die Zahl der Buchungen bei Reisebüros stieg in diesem Zeitraum um 12 Prozent gegenüber dem Vorjahr. Rund 70-80 Prozent der Hotels hatten am Meer offen, Ferienorte wie Mamaia oder Vama Veche waren voll belegt. 10 Tausend rumänische Touristen entschieden sich hingegen, das Ferienwochenende in Bulgarien oder beim Stadturlaub im restlichen Europa zu verbringen.



    In der Zeit vom 1. Mai bis zum 31. August hält sich eine Einheit der britischen Luftwaffe am militärischen Stützpunkt Mihail Kogalniceanu (im Südosten Rumäniens) auf, um gemeinsame Einsätze mit den rumänischen Luftstreitkräften zu üben. Die Einheit besteht aus 150 Piloten und Technikern und mehreren Mehrzweckkampfflugzeugen vom Typ Typhoon, gab das rumänische Verteidigungsministerium bekannt. Die Stationierung von Royal-Air-Force-Einheiten und Kampfflugzeugen in Rumänien gehört zur Umsetzung des Aktionsplans für die Sicherung der NATO-Kapazitäten an der südlichen und nördlichen Ostflanke..



    Der IWF hat seine Bewertung des Finanzierungsprogramms für die Republik Moldau abgeschlossen. Das ermöglicht die Freischaltung einer neuen Teilzahlung von 21,5 Millionen Dollar an das osteuropäische Land. Dem Bericht zufolge erreichte die Regierung signifikante Fortschritte bei den Strukturreformen und beim Umgang mit langfristigen Risiken. Die Finanzen seien stabiler geworden und es werde wieder Wirtschaftswachstum registriert. Die Moldau hatte im November letztes Jahres ein Hilfsprogramm von rund 179 Millionen Dollar über drei Jahre unterschrieben.