Tag: improvisation

  • Bühne für alle: Improvisationsfestival 2022

    Bühne für alle: Improvisationsfestival 2022

    Die Bühne steht allen offen, die sich an der Improvisation versuchen wollen, und das Publikum ist eingeladen, die Gelegenheit zu nutzen und mit erfahrenen Improvisatoren zu spielen. Wenn du willst, gehört die Bühne dir – so lautet das Motto der Organisatoren für diese Ausgabe. Adina Maria Sandu hat in der Organisation von Bildungsprogrammen gearbeitet, und die Improvisation, sagt sie, habe ihr geholfen, ihre Grenzen zu erweitern. 2018 entschied sie sich, dem IMPRO Fest-Team beizutreten, und 2019 übernahm sie die Rolle der künstlerischen Leiterin.



    Ich entdeckte die Improvisation im Jahr 2014, damals war ich Mitglied einer Nichtregierungsorganisation, wo ich Bildungsprogramme für Studenten organisierte. Um die Interaktion mit den Schülern zu fördern, hielten wir es für eine gute Idee, diesen Teil der Kunst in unsere Programme aufzunehmen, und so lernten wir das Improvisneyland-Team kennen, zu dem auch Monica Anastase, die Gründerin des IMPRO International Festival, gehört. Monica Anastase habe ich auch zu verdanken, dass ich mit dem Improvisationsunterricht begonnen und entdeckt habe, wie wertvoll diese Erfahrung ist und wie sehr sie einem im Alltag hilft.


    Das Improvisneyland-Team war eines der ersten, das Kurse in diesem Genre organisierte und eine Improvisations-Akademie einrichtete, an der man teilnehmen konnte. Nach jedem Modul gab es eine Aufführung, in der man dem Publikum zeigen konnte, welche Fähigkeiten man entdeckt hatte. Ich erinnere mich, dass diese Kurse im Jahr 2014 eingeführt wurden und sehr hilfreich waren. Diese Akademie gibt es immer noch, aber seitdem sind andere Impro-Schulen entstanden, und irgendwie ist das Phänomen gewachsen, sowohl wegen des Festivals als auch wegen der Improvisatoren, die sich die Mühe gemacht und den Wert dieser Kunst entdeckt haben, ein wachsendes Phänomen, denke ich.



    Bei dieser Ausgabe des Nationalen Improvisationsfestivals waren sechs Trainer und über 40 erfahrene und unerfahrene Improvisatoren an der Produktion von sechs Aufführungen beteiligt, die vom Festival im Anschluss an Audition-Sessions produziert wurden. Adina Maria Sandu, künstlerische Leiterin des Nationalen Improvisationsfestivals fasst zusammen.



    Die sechs Regisseure, die an dieser Ausgabe beteiligt sind, wurden aufgrund der Ergebnisse ausgewählt, die sie im Laufe der Jahre erzielt haben, und zwar in Bezug auf die von ihnen geschaffenen Improvisationsshows und die Ausbildung von Improvisatoren. Wir hoffen, dass wir die besten und engagiertesten Menschen in der Gemeinschaft ausgewählt haben. Jeder von ihnen hat eine Idee für eine Show, eine Aufführung, die sie direkt während des Festivals inszenieren und die bei der Veranstaltung Premiere haben wird. Wir haben das Casting mit ihnen organisiert, um die besten Improvisatoren für jede Art von Show auszuwählen.


    Und wir brauchten diese Castings wirklich, denn wir haben eine Vielzahl von Shows, Musicals, romantische Komödien, Shows im Stil von David Mamet, Bewegungsshows oder Poesie-Shows. Wie ich schon sagte, haben wir eine große Vielfalt an Shows, und wir freuen uns, dass jeder Improvisator seinen Platz in einer Art von Show finden konnte, mit der er sich am besten auskennt.



    Da das Publikum bei einer Improvisationsaufführung eine wichtige Rolle spielt, haben wir Adina Maria Sandu gebeten, über die Beziehung zwischen dem Publikum und den Künstlern auf der Bühne zu sprechen.



    Das Publikum ist einer der wichtigsten Motoren des Festivals. Generell hat das Publikum bei jeder Improvisationsshow nicht nur die Möglichkeit, mit viel Energie und Offenheit zu kommen, sondern auch Vorschläge zu machen, die für die Schauspieler nützlich sind. Es gibt auch Vorschläge, die die Schauspieler vom Publikum bekommen können, bevor die Show beginnt, wie in Doina Antohis Debüt-Show, Der Ideeneintopf.


    Bei dieser Show gehen die Schauspieler auf die Bühne und führen vor der Aufführung eine Diskussion mit dem Publikum, um die Anregungen, die sie erhalten, in ihre Aufführung einfließen zu lassen. Und wir freuen uns sehr, wenn sich Leute aus dem Publikum der Improvisationsgemeinschaft anschließen. Wir bieten im Rahmen des Festivals auch Workshops für Menschen an, die keinerlei Erfahrung mit Improvisation haben, aber lernen wollen, was es bedeutet, zu improvisieren. In diesem Jahr werden alle angekündigten Workshops von dem amerikanischen Improvisator und Trainer Joe Bill geleitet und richten sich sowohl an erfahrene Improvisatoren als auch an ein Anfängerpublikum.


    You’ve got Improv ist der Titel der Aufführung unter der Regie von Vlad Pasencu, die das Festival abschließt. In einer romantischen Musikkomödie über erste romantische Begegnungen erinnern uns die Improvisatoren Adriana Bordeanu, Alex Cătănoiu, Mihaela Georgescu, Oana Laura Gabriela, Tibi Spătăreanu und Răzvan Teodorescu daran, dass die Liebe einfach ist, aber die Menschen oft die komplizierten sind.

  • Le pianiste et le compositeur, Jean-François Zygel

    Le pianiste et le compositeur, Jean-François Zygel

    Après
    des concerts en Roumanie en 2019 et 2020, le compositeur et pianiste,
    Jean-François Zygel est de retour dans notre pays pour participer aussi bien à
    la Fête de la musique que pour un ciné-concert à Filarmonica Banatul, de
    Timisoara, à l’occasion des Journées du film de l’humour. Considéré comme un
    véritable maître de l’improvisation, Jean-François Zygel est invité au micro de
    Ioana Stancescu, de RRI.

  • Festivals d’automne

    Festivals d’automne

    Commençons par ce dernier, Festival national de l’Improvisation IMPRO, dont la 5e édition a réuni 75 acteurs, 17 spectacles, 2 sessions de débats et 8 ateliers de création sous le titre « Contes de nous ! » (Poveşti cu noi!). Des événements accueillis par le Musée national du paysan roumain. Mettre sur pied le tout premier festival d’improvisation de Roumanie, est-ce un acte de courage ? Réponse avec Monica Anastase, directrice créative de la manifestation : « Nous avons eu peur et elle n’est pas encore passée. Je sais que l’une des définitions du courage c’est de faire quelque chose en surmontant la peur. Or, nous montons sur scène sans savoir ce qui va se passer : c’est un risque que nous vivons. C’est le risque de se révéler soi-même de manières impossibles à contrôler à 100%. Ce qui est merveilleux, c’est qu’une fois ce risque assumé, le public, les spectateurs nous rejoignent, parce qu’ils admirent ce courage. Et même si certains moments sont imparfaits, ce courage et cette plongée dans l’inconnu sont très appréciés. Nous aimons dire que l’improvisation est mise en scène dans la mesure où il existe des règles, comme dans le sport. Tout match, car l’improvisation a le même spécifique, tout match donc est joué en équipe et suit des règles. Mais c’est tout. On ne sait jamais ce qui pourrait arriver. C’est dire que l’improvisation, ce n’est pas le chaos total, mais on n’a pas non plus la capacité de tout contrôler. Selon le type de spectacle, il existe des règles plus ou moins nombreuses. Et puis, à part la structure proprement dite du spectacle, les suggestions des spectateurs, qui ne manquent jamais, d’ailleurs, offrent elles aussi une direction. »

    Les sessions IMPRO TALKS se sont poursuivies cette année aussi dans le cadre du Festival national d’Improvisation. Il s’agit de débats interactifs sur la manière dont les industries créatives se servent de l’improvisation pour écrire ou pour leur carrière en général. Un défi relevé entre autres par l’écrivaine Simona Popescu. Monica Anastase explique : « La section Impro Talks que nous avons lancée l’année dernière se propose de faire connaître au public le fait que le terme d’improvisation ne se limite pas à un sens négatif. L’auteure Simona Popescu a été très impressionnée de découvrir qu’elle utilisait elle-même des techniques de l’improvisation avec ses étudiants de la faculté de Lettres. En 2009 ils avaient écrit ensemble un roman collectif, « Rubik », fondé justement sur l’improvisation. La bonne nouvelle, c’est que pour cette 2e édition nous avons eu des invités étrangers et que tous ont été enchantés de ce qu’ils ont découvert sur place. Notre festival devient donc de plus en plus connu. Au moment où nous avons invité les artistes qui avaient participé l’année dernière, ils savaient déjà que c’est un très bon festival. Nous avons fait la sélection après avoir vu des spectacles de plusieurs pays. Cela fait 2 – 3 ans déjà que nous voyageons pas mal pour être au courant de ce qui se passe dans le domaine de l’improvisation au niveau international. »

    Sachez aussi que la section internationale du Festival national d’Improvisation a comporté 3 spectacles en anglais, joués par des artistes de renommée mondiale. La troupe britannique The Maydays a présenté un spectacle d’histoires d’amour, Dave Morris et Missie Peters du Canada ont fait de l’improvisation à l’aide de la poésie, alors que la dernière soirée de festival les a tous réunis sur scène pour un spectacle surprise. Direction la ville de Turda maintenant, pour un festival de théâtre devenu déjà une tradition. Cette année la manifestation a élargi ses horizons pour devenir un festival international. Détails avec Cătălin Grigoraş, manager du théâtre Aureliu Manea de Turda : « C’est pour la première fois que la ville de Turda accueille tant d’événements en même temps, tant dans des espaces conventionnels que non conventionnels, tels l’ancienne fabrique de bière ou la mine de sel de Turda. La zone piétonne de la ville a servi elle aussi de scène de théâtre. Nous avons présenté une comédie musicale d’exception de Hongrie (The Woman Sitting 42th Seat) et un fabuleux spectacle de rue de la troupe du Teatro dei Venti d’Italie. S’y ajoute un spectacle de Pologne. Une autre pièce qui nous est très chère appartient au Théâtre du Nord de Satu Mare. Nous sommes contents de pouvoir compter sur l’administration locale et nous espérons que le milieu privé viendra nous rejoindre pour les futures éditions. Et pour cause. Turda dispose d’un potentiel extraordinaire : ses mines de sel, le castrum romain et bien d’autres monuments valent la peine d’être mis à profit et en valeur par ces événements. » (Trad. Valentina Beleavski)

  • Little Impro

    Little Impro

    Depuis le début de cette année, plus précisément, depuis le 10 janvier, les enfants de Bucarest sont bien gâtés. Car, au bout des années passées surtout en silence dans les salles de spectacles, les enfants se voient enfin inviter au théâtre pour jouer et improviser coude à coude avec des comédiens professionnels dans le premier spectacle d’improvisation consacré exclusivement aux gamins. Lancé sous le nom de « Little Impro » « La petite impro », ce spectacle cartonne auprès du jeune public de la capitale roumaine qui s’enthousiasme de se voir inviter sur scène pour faire de l’improvisation, chanter et danser une heure durant. Présent dans la salle, RRI fait le point. Un reportage de Ioana Stancescu


  • Das internationale Kinderfilmfestival KINOdiseea

    Das internationale Kinderfilmfestival KINOdiseea

    Im Zeitraum 15.-22. November 2013 waren etwa 10.000 Zuschauer in den drei Bukarester Partnerkinos der KINOdiseea“ zu Gast. Kinder im Alter zwischen 6 und 14 Jahren und ihre Eltern und Gro‎ßeltern hatten die Gelegenheit, zehn neue internationale Filme zu sehen, die bei wichtigen Festivals wie jene in Toronto und Berlin ausgezeichnet wurden. Au‎ßerdem im Programm die ersten Zeichentrickfilme in Spielfilmlänge von Walt Disney, Schneewittchen und die sieben Zwerge“ und Pinocchio“. Ligia Mitulescu ist als künstlerische Leiterin des Internationalen Filmfestivals für Kinder KINOdiseea“ stolz auf die Entwicklung der Veranstaltung:



    ‚KINOdiseea‘ ist in diesen fünf Jahren um ein Vielfaches grö‎ßer geworden. Wenn vor einem Jahr 8500 Kinder die Filme gesehen haben, so waren heuer bereits 9000 Kartenreservierungen eine Woche vor Beginn des Festivals eingegangen. Die Kinosäle waren voll. Mit Sicherheit liegt das Hauptaugenmerk auf den Filmen, die man nicht au‎ßerhalb unseres Festivals sehen kann, es sind nicht die Filme, die man sonst im Fernsehen austrahlt oder in den Kinos sieht. Es sind Filme, die auf Filmfestivals präsentiert werden, die neben der Unterhaltung, auch eine soziale, erzieherische Komponente beinhalten. Wir hoffen, jedes Jahr weiter zu wachsen und das Festival ‚KINOdiseea‘ jedesmal organisieren zu können. Die Förderung der Kultur ist scheinbar von Jahr zu Jahr geringer und wir hoffen, weitere Ressourcen zu finden. Die Kinder brauchen die Filme.“



    Au‎ßer den Uraufführungen hat die KINOdiseea“ 2013 den jungen Filmfans auch spezielle Workshops geboten: Schauspiel, Spezialeffekte, Bildschnitt, Kostüme, kreatives Recycling, Improvisation und viele andere Themen. Für das Konzept des Workshops für Spezialeffekte beauftragte die KINOdiseea“ den US-Amerikaner Jor van Kline. Anhand von interaktiven Demonstrationen veranschaulichte er den Kindern die Methoden hinter seinen Spezialeffekten für Filme wie Star Wars“ und Star Trek“. Van Kline erzählte in einem Interview mit Radio Rumänien von seinen Anfängen in der Filmindustrie:



    Ich hatte mein Debüt in den 1960er Jahren und damals hatte ich nichts mit Spezialeffekten am Hut. Ich habe als Techniker, als Elektriker und als Kameraassistent gearbeitet. Sehr viele Aufgaben habe ich übernommen, alles im Bereich der Filmproduktion. 1975 traf ich mit Douglas Trumbull zusammen, einem der vieleicht berühmtesten Erzeuger von Spezialeffekten. Ich habe diesem Menschen und seinem Team, dem ich mich in jenem Jahr anschloss, sehr viel zu verdanken. Ich habe an einem Projekt von Steven Spielberg für ‚Columbia Pictures‘ teilgenommen, der Film hie‎ß ‚Unheimliche Begegnung der dritten Art‘. Ich habe mit Douglas, mit Steven Spielberg, mit François Truffaut und vielen anderen sehr bekannten Filmemachern zusammengearbeitet.“



    Die Werkstatt von Jor van Kline im Rahmen des KINOdiseea“-Filmfesivals kam bei den Teilnehmern gut an. Die Geheimnisse hinter den Spezialeffekten und das Perspektivenspiel faszinierten die anwesenden Kinder, wie van Kline selbst berichtete.



    Es gibt einen kreativen Workshop am Ende der ‚KINOdiseea, dabei leite ich eine Übung, bei dem ich einige Tricks anhand von interaktiven Miniaturen verrate. Eine davon befindet sich hier, im Kino ‚Studio. Sie stellt eine Fernsehshow dar, die ich mit Bruce Willis und Cybill Shepherd produziert habe. Die Sendung war in Rumänien unter dem Namen ‚Maddie und David‘ bekannt, in Deutschland hie‎ß sie ‚Das Model und der Schnüffler. Die Serie war sehr populär, über fünf Staffeln liefen bei ABC. Die Hauptcharaktere Maddie und David verlieben sich, sie wird schwanger, und diese nachgestellte Ecke für die ‚KINOdiseea war die Ausgangsbasis für die erste Folge der letzten Staffel der Serie. Dabei wird das ungeborene Kind in der Gebärmutter Maddies dargestellt, das Baby hat bereits die Gesichtszüge des Vaters angenommen. Bruce Willis ist klar erkennbar, er ist als Embryo dargestellt, in einem biologischen Umfeld in natürlicher Grö‎ße. Die Nachstellung ist von gigantischem Ausma‎ß, es sind fast vier Quadratmeter. Ein Engel steigt herab und erzählt ihm, was in der Welt nach seiner Geburt passieren wird.“



    Die Besucher des diesjährigen Filmfestivals für Kinder KINOdiseea“ konnten nach den Vorführungen über die Filme diskutieren und für die besten Filme stimmen. Die Jury bestand diesmal aus kleinen, anspruchsvollen Filmkritikern und Kunstliebenden. Von den bevorzugten internationalen Filmen erwähnen wir Der Schmied von Woodham“ (Tschechien), Mein Freund, der Orangenbaum“ (Brasilien), Erde und Sterne“ (Australien), Nono, das Zick-Zack-Abenteuer“, Das Haus der Krokodile” (Deutschland) und Das Pferd auf dem Balkon“ (Österreich).



    Audiobeitrag hören: