Tag: inégalités

  • Comment se déroulera la rentrée scolaire ?

    Comment se déroulera la rentrée scolaire ?

    La sécurité dans les écoles et les mesures préventives pour réduire les cas de violence et lutter contre la consommation de substances interdites restent des priorités pour l’année scolaire qui commence la semaine prochaine. C’est ce qu’a déclaré la ministre de l’Education, Liga Deca, avant la rentrée de lundi prochain.

    Tous les élèves, y compris ceux des établissements scolaires délocalisés, suivront les cours en présentiel, a assuré la ministre de l’Education.

    Ligia Deca : « Au début de l’année scolaire dernière, nous avons eu environ 500 écoles délocalisées pour des raisons de réhabilitation, de modernisation ou de construction; par contre cette année ce nombre a augmenté de 300. A part ce contexte, dans d’autres cas, un déménagement a été nécessaire en raison du manque d’espace. Cependant, je le répète, même dans ces situations, tous les enfants suivront les cours en présentiel dans des espaces qui peuvent soutenir le processus éducatif. J’ai déjà dit que c’était une priorité de ne plus avoir d’écoles qui organisent des cours en rotation sur trois plages horaires différentes. Non seulement cela n’est plus souhaitable, mais à partir de l’année scolaire 2025-2026, cela deviendra illégal »

     

    Le problème de la rotation des cours par plage horaires

    Et pourtant, quelques écoles dans le pays qui organisent toujours les cours en rotation sur trois plages horaires. 70 établissements disposent encore de toilettes qui ne répondent pas aux normes en vigueur. La plupart d’entre eux seront inclus dans une décision gouvernementale de financement, que le ministère de l’Education lancera cette année. La présence des élèves dans les écoles qui organisent les cours sur une seule plage horaire permettrait de réaliser des activités du programme « L’école autrement ».

    Par ailleurs, à l’heure actuelle, seule une école sur trois propose un repas aux enfants pendant la journée, mais le ministère de l’Education compte sur l’extension de ce programme pour que tous les élèves bénéficient à l’avenir d’ au moins un repas à l’école.

     

    Du soutien pour de meilleurs résultats aux examens

    Les écoles ayant de mauvais résultats aux examens doivent être soutenues pour améliorer leurs résultats, a déclaré la ministre de l’Education, Ligia Deca. Et de faire savoir aux inspecteurs généraux que la communication entre l’école et ses bénéficiaires doit être améliorée, afin que l’information parvienne aux élèves et aux parents. La sécurité dans les établissements préuniversitaire reste une priorité.

    Ligia Deca : « Des campagnes, des programmes et des actions auront lieu dans les écoles pour prévenir la violence dans le milieu scolaire préuniversitaire, la traite des êtres humains, ainsi que la consommation de drogues et pour promouvoir un mode de vie sain. D’ailleurs, la semaine « L’école autrement » aura comme thème prioritaire la prévention et la réduction des actes de violence et de la consommation de drogues, d’alcool et de tabac, ainsi que l’éducation routière ».

    Quelques jours avant la rentrée scolaire, l’Exécutif a approuvé l’augmentation du nombre de postes de travail, surtout pour les postes d’enseignants. Ainsi, le nombre de postes dans l’enseignement préuniversitaire a-t-il augmenté de 7 800.

  • Inégalités de développement au sein de l’UE

    Inégalités de développement au sein de l’UE

    Les Etats membres de l’UE sont confrontés à des niveaux dinégalités plus élevés quil y a 30, ce qui constitue une menace pour la mise en œuvre du programme 2030, est-il dit dans un récent rapport du Conseil de l’UE. L’agenda 2030, adopté en 2015, comporte des objectif ambitieux relatifs à l’égalité de genre et de race, à l’éradication de la pauvreté, à l’abolition de la violence et de la haine. Il y a quatre ans, les leaders mondiaux adoptaient un plan de développement durable, dont les coûts annuels sont estimés à plusieurs milliards de dollars. 193 pays membres de l’ONU ont été d’accord avec un nouvel agenda global ambitieux, qui vise à mettre fin à la pauvreté à l’horizon 2030 et à bâtir un avenir durable. Parmi les 17 objectifs de développement durable, mentionnons l’éradication de l’extrême pauvreté, l’accès universel à l’éducation et à la santé, la promotion de la femme, la diminution des inégalités, la lutte contre le réchauffement climatique.


    Quatre ans après l’adoption de ces objectifs, le Conseil de l’UE constate que bien des pays partenaires restent confrontés à des niveaux d’inégalités élevés. Les officiels européens soulignent que « linégalité est un frein majeur à lélimination de la pauvreté et à la croissance économique durable ; elle peut menacer la démocratie, la cohésion sociale et linclusion, la résilience et la stabilité, ainsi que renforcer la dégradation de lenvironnement et le changement climatique ». Tout cela risque de miner la capacité des pays à parvenir à un développement durable, à gérer de manière appropriée les ressources naturelles et à éradiquer les inégalités sous toutes leurs formes.


    Le Conseil de l’UE précise également que les droits de lhomme, la bonne gouvernance et lEtat de droit sont des éléments essentiels à lautonomisation et au soutien des personnes en situation vulnérable. Il recommande d’« investir davantage dans le développement humain, en particulier dans les domaines de la santé et de léducation inclusive et de qualité accessible pour tous, ainsi que dans lenseignement supérieur ».


    La création demplois décents, notamment pour les jeunes et les personnes vivant dans la pauvreté et le plein emploi des femmes, voilà dautres mesures censées contribuer à réduire les inégalités entre les pays membres de l’Europe communautaire.


    Les conclusions du document mentionné reconnaissent « le caractère multidimensionnel des inégalités, qui recouvre des aspects économiques, sociaux, politiques et environnementaux et exige quune attention y soit portée dans les plus brefs délais ».


    De grandes disparités existent entre les revenus aussi. Selon Eurostat, la Roumanie comptait en 2017 parmi les Etats membres au niveau d’inégalité des revenus le plus élevé. Trois pays seulement la devançaient à ce chapitre: la Bulgarie, la Lituanie et l’Espagne. Au pôle opposé on retrouvaient la République tchèque et la Slovénie. La distribution des revenus et de la richesse dans une société détermine dans quelle mesure les citoyens ont un accès égal aux biens et aux services produits par l’économie nationale.


    De l’avis des leaders européens, l’égalité et la solidarité comptent parmi les valeurs et principes qui guident l’UE et son action extérieure.



  • 12.05.2019 (mise à jour)

    12.05.2019 (mise à jour)

    PartenariatLe président roumain Klaus Iohannis participera lundi, à
    Bruxelles, à une réunion avec les représentants des Etats du Partenariat
    oriental, organisée à l’occasion des dix ans de cette initiative. Selon
    l’Administration présidentielle de Bucarest, le chef de l’Etat y soulignera que
    le Partenariat a contribué au renforcement des économies et des sociétés des
    Etats de l’Est, mais aussi à une plus grande stabilité aux frontières de l’UE.
    Le président mettra également en exergue le fait que l’Union européenne attend
    un engagement politique continu des pays partenaires de remplir les obligations
    assumées dans les relations avec l’Union. Le Partenariat oriental est une
    initiative qui consiste à créer une zone commune de démocratie, prospérité,
    stabilité et coopération étroite entre les Etats membres de l’UE et les pays
    partenaires – Arménie, Azerbaïdjan, Belarus, Géorgie, République de Moldova,
    Ukraine. A la réunion de Bruxelles pendront part le président du Conseil
    européen, Donald Tusk, celui de la Commission européenne, Jean-Claude Juncker,
    la Haute représentante pour les affaires étrangères et la politique de sécurité
    de l’UE, Federica Mogherini, ainsi que le président du Parlement européen,
    Antonio Tajani.

    CAE – Le chef de la diplomatie de Bucarest, Teodor Meleşcanu, prendra
    part à la réunion du Conseil Affaires Etrangères (CAE) de l’Union européenne, qui
    aura lieu à Bruxelles, ce lundi. L’agenda des discussions de la réunion inclut aussi
    une analyse de la situation en Libye et au Sahel. Le ministre roumain
    participera également à plusieurs actions organisées dans le contexte du 10e
    anniversaire du Partenariat oriental de l’UE. Mardi, est prévue une session
    commune des ministres des affaires étrangères et de ceux de la défense du bloc
    communautaires avec leurs homologues des Etats du groupe G5 – Sahel: le Burkina
    Faso, le Tchad, le Mali, la Mauritanie et le Niger.












    Elections européennes – En Roumanie, la campagne pour les élections
    européennes du 26 mai se poursuit. 13 partis et formations politiques y présentent
    des candidats: le Parti social-démocrate et l’Alliance des démocrates et des
    libéraux, membres de la coalition au pouvoir, l’Union démocratiques des Magyars
    de Roumanie, liée au pouvoir par un protocole de coopération parlementaire, le Parti
    national libéral, l’Alliance Union Sauvez la Roumanie-PLUS, le Parti du
    Mouvement populaire, le parti Pro Romania (formé de dissidents du PSD), tous
    d’opposition. S’y ajoutent les partis extraparlementaires l’Union nationale
    pour le progrès de la Roumanie, le bloc de l’Unité nationale et les partis Romania Unita,
    PRODEMO, Socialiste Roumain et Social-démocrate indépendant. Il y a aussi trois
    candidatures indépendantes. Si le Royaume-Uni quitte l’Union européenne, Bucarest enverra au
    Parlement européen 33 eurodéputés, un eurodéputé de plus par rapport à la
    législature actuelle. 441 bureaux de vote seront
    ouverts à l’intention des Roumains de l’étranger, la plupart en Italie, Espagne
    et en République de Moldova voisine. Le 26 mai, jour des élections européennes,
    est également prévu le référendum sur la Justice convoqué par le président du
    pays, Klaus Iohannis.




































    Statistiques – Les inégalités se sont creusées dans l’Union
    européenne, au cours des dernières décennies, notamment dans l’ancien bloc de l’Est,
    mais le fossé entre les riches et les pauvres y est moins profond que dans d’autres
    régions du monde, indique l’office européen de l’information statistique
    Eurostat. Selon ces données, la Bulgarie enregistre les inégalités les plus
    fortes parmi les Etats membres de l’UE et elle est suivie par les pays baltes,
    l’Espagne, le Portugal, la Grèce, l’Italie, la Roumanie et le Royaume Uni. Entre
    1980 et 2017, en Europe, le revenu moyen de 1% des citoyens les plus riches a
    augmenté deux fois plus vite que celui de 50% des plus pauvres, selon une
    enquête du Laboratoire d’étude des inégalités dans le monde (WIL), rendue publique
    en avril dernier. Dans les pays d’Europe de l’Est, les écarts entre les revenus
    ont explosé pendant « la transition du socialisme vers le capitalisme »,
    dans les années 1990, une « élite restreinte » ayant profité des
    privatisations, conformément au WIL. En Europe occidentale, 10% des plus riches
    personnes gagnent en moyenne sept fois plus que 50% des plus pauvres, avant l’application
    de l’impôt sur le revenu, et cinq fois plus après l’application de celui-ci.
















    Visite – Les inscriptions
    en ligne aux messes du Pape
    François en Roumanie continuent jusqu’au 31 mai. Aux côtés
    des Roumains, assisteront aux messes des chrétiens des pays voisins, comme la
    Hongrie, la Serbie ou l’Ukraine. Les organisateurs ont également souligné la
    présence de pèlerins de pays lointains, comme Pakistan, Rwanda, Afrique du Sud,
    Namibie, Nigeria, Madagascar, Australie, Israël ou Canada. Le pape François
    effectuera sa visite en Roumanie du 31 mai au 2 juin, à l’invitation du
    président Klaus Iohannis et de l’église catholique roumaine. Placé sous la
    devise « Cheminons ensemble ! », l’itinéraire du Souverain Pontife inclura la
    capitale, Bucarest, les villes de Iaşi (la plus grande agglomération urbaine de
    l’est du pays, où vit une importante communauté de confession catholique) et
    Blaj (centre spirituel des Roumains de confession grecque-catholique), ainsi
    que le sanctuaire marial franciscain de Şumuleu Ciuc (qui se trouve dans une
    zone à population majoritaire d’origine ethnique hongroise). Ce sera la
    deuxième visite d’un Souverain pontife en Roumanie, après la visite du pape
    Jean-Paul II de 1999. C’était alors pour la première fois dans l’histoire qu’un
    pape se rendait dans un pays majoritairement orthodoxe.














    Tennis – La paire
    roumano-néerlandaise Horia Tecău/Jean-Julien Rojer a remporté, au bout de deux
    sets, 6-2 6-3, la finale de double du tournoi de tennis de Madrid, contre Diego Schwartzman (Argentine)/Dominic Thiem (Autriche). Le patron
    du tournoi de la capitale espagnole est l’ancien joueur de tennis et actuel
    homme d’affaires roumain Ion Ţiriac.







    Météo – En Roumanie, le temps deviendra instable mais
    restera chaud dans les prochaines 24 heures. Des pluies à verse tomberont sur l’ouest
    et en montagne. Lundi, les températures de la mi-journée se situeront entre 16 et
    25°.

  • A la Une de la presse roumaine 20.03.2017

    A la Une de la presse roumaine 20.03.2017

    La presse écrite roumaine fait le décompte des raisons pour lesquelles les Roumains ont toujours les salaires les plus bas en Europe, bien qu’ils aient enregistré la plus grande hausse de la productivité sur le marché communautaire de l’emploi. En même temps, en Roumanie, les inégalités sociales ont atteint leur plus haut niveau depuis l’adhésion du pays à l’UE, tandis que, selon des données de lEurostat, l’économie roumaine est la plus dépendante des multinationales européennes. Dans le même temps, les importations de produits agroalimentaires atteignent un maximum historique dans le pays.





  • 16.04.2016 (mise à jour)

    16.04.2016 (mise à jour)

    Extrême droite – Leurodéputé libéral roumain Cristian Buşoi a demandé au ministère roumain des Affaires étrangères et aux autorités roumaines de prendre position au sujet de la tenue, ce samedi, à Sinaia (station de montagne du centre de la Roumanie), dune conférence internationale du Mouvement pour une Europe des Nations et des Libertés. La présidente du FN français, Marine Le Pen, participait à cette réunion. La présence de cette dernière alimente les suspicions des Roumains à légard de lUE et exprime, de manière tacite ou carrément explicite, lintérêt de la Russie de diviser et de maîtriser lEurope, affirme le député européen dans un communiqué. Les eurodéputés socialistes roumains Victor Boştinaru et Ioan Mircea Paşcu avaient auparavant protesté, eux aussi, contre lorganisation de cette conférence et demandé aux autorités de dexpliquer qui a approuvé le déroulement de la conférence sur le territoire de la Roumanie et pour quelle raison. Ioan Mircea Paşcu et Victor Boştinaru attirent l’attention qu’en dehors du Front national, le MENL réunit des partis d’extrême droite tels le FPO d’Autriche, le Vlaams Belang de Belgique ou la Ligue du Nord d’Italie, avec des positions hostiles à l’Union européenne et à l’OTAN et favorables à la Fédération de Russie, qui financerait majoritairement, selon eux, de telles formations politiques.



    Moldova — En marge du Forum global de sécurité GLOBSEC, qui se tient à Bratislava, en Slovaquie, les ministres roumain et moldave des Affaires étrangères, Lazăr Comănescu et, respectivement, Andrei Galbur, ont évoqué les perspectives et le soutien européen aux réformes en République de Moldova. Loccasion pour le chef de la diplomatie de Bucarest de réaffirmer lappui ferme de Bucarest à légard des aspirations et des efforts de la Moldova ex-soviétique de se rapprocher de lUE. Lappui communautaire est essentiel en ce sens, a précisé aussi le ministre moldave. Riche d’une tradition de plus de 10 ans en Europe, GLOBSEC est une importante plate-forme centre-européenne de politique étrangère et de sécurité, qui bénéficie de contributions de hauts responsables politiques et d’experts reconnus d’Europe et d’Amérique du Nord.



    Famille – Plusieurs milliers de Roumains ont manifesté samedi dans le pays ainsi quà létranger par solidarité avec la famille mixte roumano-norvégienne, de Ruth et Marius Bodnariu. Les enfants du couple avaient été repris par la protection de lenfance norvégienne pour avoir subi des corrections physiques de la part des parents. Les protestataires ont demandé aux autorités roumaines de simpliquer davantage dans la solution de ce cas et daider les membres de cette famille à se retrouver, à nouveau, ensemble. Le benjamin de la famille Bodnariu, qui est un nourrisson, a retrouvé récemment ses parents naturels, les autres enfants étant placés, à ce jour, en familles daccueil. Au sujet de ce cas, les ministres norvégiennes pour lEnfance et lEgalité et respectivement aux Affaires européennes, Solveig Horne et Elisabeth Aspaker, ont publié un article où elles invitent au calme et rappellent que lintérêt de lenfant est supérieur à toute autre considération, aux termes de la législation internationale. Les deux responsables détaillent le système de protection de lenfance norvégien, tout en soulignant que “les pressions des hommes politiques nationaux et des particuliers qui mènent des campagnes locales ou internationales ne sont pas prises en compte pour un seul cas spécifique”.



    Inégalités – Les enfants sont encore loin dêtre égaux dans les pays riches et le fossé se creuse dans plusieurs dentre eux entre les plus démunis et les autres, selon un rapport de lUnicef publié cette semaine, cité par lAFP. “Les progrès en vue de réduire les inégalités de bien-être entre les enfants sont assez faibles”, relève ce rapport du centre de recherche Innocenti de lUnicef, qui propose un classement de ces disparités dans 41 pays de lOCDE et de lUnion européenne. Ainsi, “aucun pays na véritablement réussi a réduire lécart concernant les problèmes de santé signalés par les enfants”. Dans tous les pays de lOCDE, les enfants les plus défavorisés éprouvent un retard équivalant à trois ans de scolarisation en lecture par rapport à “lenfant moyen”. En Bulgarie, au Chili, au Mexique et en Roumanie, près dun quart des élèves de 15 ans ne disposent pas des aptitudes et compétences nécessaires pour résoudre des exercices de base en lecture, mathématiques et sciences, ce que lUnicef juge “particulièrement alarmant”. Au chapitre des bonnes nouvelles, certains des pays aux taux de handicap éducatif les plus élevés – dont la Roumanie – ont enregistré une forte diminution des écarts de réussite et une hausse du niveau général de compétence. Le rapport repose sur les données disponibles les plus récentes mais celles-ci varient selon les pays, de 2007 à 2014, précise encore lAFP.



    Tennis — L’équipe de Fed Cup de Roumanie est à égalité avec lAllemagne, à loccasion de la rencontre accueillie par la ville roumaine de Cluj-Napoca (centre-nord). Lévénement compte pour le maintien dans le Groupe mondial de la compétition de tennis féminin par équipes. Samedi, dans le premier match, Irina Begu (35e WTA) sest inclinée devant Angelique Kerber, n° 3 mondiale ; lors du 2e match de l’épreuve de simple Simona Halep, n° 6 mondiale, a eu raison dAndrea Petkovic (30 WTA). Dimanche est prévu le match entre Halep et Kerber, suivi par le dernier de simple, entre Begu et Petkovic. Dans les épreuves de double on attend l’évolution des paires Alexandra Dulgheru/Monica Niculescu et Annika Beck/Julia Goerges. En février dernier, au premier tour de la compétition, la Roumanie a été dépassée par la République tchèque, titulaire du trophée, par 3-2, alors que l’Allemagne a perdu sur le même score devant la Suisse. L’Allemagne est 4e au classement de la Fed Cup, et la Roumanie — 9e.