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  • Les groupes d’initiative civique et l’espace vert de la capitale Bucarest

    Les groupes d’initiative civique et l’espace vert de la capitale Bucarest

    Situé dans la partie est du centre de Bucarest, le parc Alexandru Ioan Cuza
    s’étend sur 85 hectares. Entourant un lac, il s’agit de l’un des espaces verts les
    plus étendus de la capitale roumaine. Construit pendant la période communiste,
    il a gardé son surnom de parc IOR, emprunté à l’entreprise de matériel optique alors
    installée aux alentours. Il reste aujourd’hui encore un espace couru des
    habitants de Bucarest qui souhaitent s’aérer. Malheureusement depuis quelques
    années l’air du parc IOR n’est plus aussi sain qu’auparavant. En effet, en
    2005, 12 hectares du parc ont été rétrocédés suite à un procès controversé. Quelques
    temps après cette privatisation, les habitants du quartier ont découvert que
    l’espace vert était régulièrement vandalisé. Par exemple, 21 incendies se sont
    produits sur cette parcelle depuis qu’elle a été rétrocédée. Le Groupe d’initiative
    civique IOR-Titan s’est constitué afin de lutter contre la destruction du parc
    et la dégradation de l’air qui en résulte. Alex Icodin, membre de ce groupe de
    citoyens exprime sa colère face à la confiscation de cet espace public.






    Nous,
    nous sommes nés dans un quartier vert, avec un beau parc plein de végétation,
    des allées et des aires de jeu. Et maintenant nous voyons le parc disparaître chaque
    année un peu plus. Il est empoisonné, incendié, rétrocédé à certaines personnes
    selon des procédures fallacieuses, et nous réussirons à le prouver tôt ou tard.
    Nous ne bénéficions plus de la verdure du parc IOR, de ce lieu où nous avons
    passé notre enfance. Les arbres ont été détruits et empoisonnés de manière
    systématique, ils sèchent sur place et ont commencé à tomber. Le temps qui
    passe et les intempéries n’ont pas suffi. Ils y ont mis le feu. Il y a eu de
    nombreux incendies dans le parc et c’est toujours nous qui alertons les
    pompiers et les remercions pour leur intervention. Vous vous rendez compte de
    ce que ça signifie un parc qui brule sur des centaines de mètres entre les
    immeubles ? Tout ceci est fait pour transformer le parc en une friche
    désertique sans intérêt pour les citoyens, un désert qu’ils espèrent par des
    malversations transformer en un terrain constructible, un désert qui agit comme
    un souvenir douloureux de cet espace vert qui nous rendait heureux et dont on
    aimerait que nos enfants et petits enfants puissent profiter.






    Suite aux manifestations et aux saisines initiées par le groupe
    d’initiative civique IOR-Titan, les autorités ont commencé à prendre quelques
    mesures timides, sans grand succès pour le moment. Le procès par lequel la
    Mairie du secteur 3 de Bucarest où se trouve le parc, a essayé de récupérer la
    propriété de la parcelle a été perdu. Que font les riverains pendant ce
    temps ? Ils continuent à lutter sans faiblir, comme nous l’explique Alex
    Icodin.






    Nous
    essayons d’agir afin que ces 12 hectares du parc IOR reviennent aux citoyens du
    secteur 3. C’est compliqué parce qu’il y a déjà eu des procès que la mairie a
    perdu, parce que les intérêts en jeu ici sont énormes. Rendez-vous compte, il
    s’agit de 12 hectares au cœur de Bucarest que certaines personnes veulent faire
    construire ou y installer des manèges ou je ne sais quoi encore. De notre côté,
    nous avons réussi à mobiliser les citoyens et au printemps dernier nous avons
    réuni 1500 personnes pour une manifestation dans le parc, nous avons réussi à
    ce que les gens sentent que cet espace leur appartient, qu’il leur a été enlevé
    de manière illégale et qu’ils doivent revendiquer leurs droits sur le parc.






    Cet automne, après des années de lutte, le groupe d’initiative civique a
    finalement remporter une victoire symbolique : la mairie centrale de
    Bucarest a décrété une amende record de 35 millions d’euros pour destruction
    d’espace vert. Une somme certes impressionnante mais qui devra s’en
    acquitter ? La propriétaire légale du terrain rétrocédé et vandalisé est
    une retraitée octogénaire. Le groupe IOR-Titan considère qu’elle n’est qu’un paravent
    visant à protéger les hommes d’affaire ayant jeté leur dévolu sur ce terrain.
    Cristian Neagoe du groupe IOR analyse pour nous la portée de cette amende.






    En fait
    de compte cette amende est un signal fort envoyé par la mairie afin que les
    choses n’en restent pas là. C’est une amende record et elle place en quelques
    sorte l’écocide au rang des dommages graves dont peuvent se rendre coupables
    les promoteurs immobiliers ou disons la mafia des rétrocessions. Malheureusement,
    comme toutes les amendes, elle intervient un peu trop tard. L’espace vert a
    été dépouillé, détruit. Il faut beaucoup de temps et de volonté pour
    réparer ce genre de chose. Il faut absolument souligner que nous n’avons pas
    beaucoup de temps à disposition pour reconstituer le parc et les espaces verts
    de Bucarest en général, parce que les températures montent de plus en plus. Les
    villes sont des îlots de chaleur. Nous avons besoin d’espaces verts comme nous
    avons besoin d’air, surtout qu’au jour d’aujourd’hui nous avons 7 m2 d’espace
    vert par habitants à Bucarest alors que selon les recommandations de
    l’Organisation mondiale de la santé il nous en faudrait 50 pour nous assurer
    une vie décente.







    Entretemps, la propriétaire de la parcelle de 12
    hectares a contesté en justice l’amende record émise par la mairie. Un nouveau
    procès devrait donc avoir lieu prochainement. Le groupe IOR-Titan doit aussi
    faire face à une nouvelle manœuvre délictueuse : la constitution d’un tas
    de terre à l’une des entrées du parc visant à en bloquer l’accès depuis la
    station de métro. Mais les membres du groupe d’initiative civique assurent
    qu’ils ne se laisseront pas découragés par de telles tactiques et qu’ils
    continueront à revendiquer leur droit de vivre dans un quartier avec des
    espaces verts et un air propre.

  • Messe für Bürgerinitiativen: „Wem gehört Bukarest?“

    Messe für Bürgerinitiativen: „Wem gehört Bukarest?“





    In Bukarest haben sich kürzlich neun eingetragene Vereine und Bürgerinitiativen auf einer Messe getroffen, die vom Zentrum für Bürgerbeteiligung (CERE) organisiert worden war. Die Zusammenkunft der Bürgervereine fand unter den Stichworten Wem gehörst Du, Bukarest?“ statt und war bereits die dritte Veranstaltung dieser Art, die den Dialog zwischen den lokalen Behörden und den Bürgern fördern und den zivilgesellschaftlichen Akteuren zeigen soll, wie sie ihre Anliegen besser vorbringen können.



    Von Silvia Boeriu, der Beauftragten für Kommunikation und Öffentlichkeitsarbeit des Zentrums für Bürgerbeteiligung, erfahren wir, was für Vereine und Bürgerinitiativen an der Messe teilnahmen.



    Es handelt sich meistens um informelle Gruppen von Menschen, die sich Sorgen machen über Themen wie die Umweltverschmutzung in der Stadt, das Verschwinden von Grünflächen und die Tatsache, dass es in vielen Vierteln keine Spielplätze für Kinder gibt. Zwei wichtige Themen, die auf der Messe zur Sprache kamen, betreffen gro‎ße Parkanlagen in Bukarest, wie den IOR-Park und den Grozăvești-Park. Teile dieser Grünflächen sind derzeit aufgrund von Grundstück-Rückerstattungen und einer juristisch unklaren Situation praktisch brachliegend, für die Öffentlichkeit nicht mehr zugänglich und zudem nicht geschützt. Wir haben auch Initiativen, die darauf abzielen, solche Bürgervereine zusammenzubringen. Auf der Messe haben wir das Online-Portal bucuresticivic.ro vorgestellt, eine Karte, die zu vielen Initiativen in Bukarest verlinkt und Details über die Gruppen und ihre Aktivitäten gibt. Jeder, der eine solche Bürgerinitiative unterstützen möchte oder sich um die Lösung eines Problems in seinem Stadtteil oder Bezirk kümmert, kann mit den betreffenden Vereinen in Kontakt treten.“




    Ein gutes Beispiel für eine informelle Gruppe, die sich für die Belange einer Gemeinschaft einsetzt, ist der im Bukarester Randbezirk 16. Februar“ agierende Bürgerverein. Die Probleme im Kiez seien vielfältig und gravierend, sagt Adriana Pascu vom Verein, doch habe man nach mehreren Jahren aktiven Einbringens leider nicht viel erreicht.



    Wir haben unseren Verein im Jahr 2019 gegründet. Wir haben versucht, uns bei den Behörden Gehör zu verschaffen, die uns seit mehr als 30 Jahren ignoriert haben. Unser Ziel ist es, für unsere Rechte einzustehen und einen besseren Lebensstandard in unserem Stadtteil zu erreichen. Obwohl wir Steuerzahler im 1. Bukarester Stadtbezirk sind und dadurch recht kräftig zur Kasse gebeten werden, erhalten wir im Gegenzug rein gar nichts. Die Infrastruktur ist völlig unzureichend, wir haben immer noch ungepflasterte Stra‎ßen. Versorgungseinrichtungen, Infrastruktur, Kinderspielplätze, öffentliche Verkehrsmittel und vieles mehr fehlen seit über 50 Jahren. Niemand hat sich um Fortschritt gekümmert, wir wurden einfach uns selbst überlassen. Mehr noch, unser Viertel ist zu einer Müllhalde für Abfälle aller Art geworden. Die örtlichen Behörden und die bürgernahe Polizei tun absolut nichts für die Einwohner. All unsere Ansätze, alle Bittschriften und Anträge, selbst die Teilnahme unserer Vereinsmitglieder an Ratssitzungen, sind ins Leere gelaufen. Die Behörden behandeln uns Bürger mit Desinteresse.“




    Während die Einwohner des Bezirks 16. Februar“ immer noch gegen die Gleichgültigkeit der Behörden ankämpfen müssen, hatte die sogenannte Initiative Favorit“ im Stadtteil Drumul Taberei einen beispiellosen Erfolg. Benannt nach einem alten, dem Verfall preisgegebenen Kino, gelang es der Bürgerinitiative, die Behörden davon zu überzeugen, den baufälligen Gebäudekomplex zu sanieren und in ein Kulturzentrum samt Kino umzuwandeln. Den Erfolg verdankt die Initiative einer 13-jährigen Beharrlichkeit, erzählt Tudor Chira, Mitglied der Initiative Favorit“:



    Ich denke, unsere Initiative hat es dank der Verbundenheit mit den Menschen in unserem Stadtteil geschafft. Wir sind eine generationsübergreifende Gruppe, mit jungen und alten Menschen. Die Tatsache, dass wir alle dort leben und jeden Tag durch die Gegend ziehen, hat bei uns allen die Vorstellung hervorgerufen, wie schön es wäre, unser altes Kino wieder zu haben — dazu noch ein Kultur- und Gemeinschaftszentrum. Im Laufe der Zeit haben wir es geschafft, die Menschen im Viertel einzubeziehen, die Behörden zu motivieren, mit dem zivilgesellschaftlichen Netzwerk in ganz Bukarest zusammenzuarbeiten. Und das gab uns die Kraft, weiterzumachen. Die einfache Tatsache, dass sich auch andere Menschen für unser Projekt interessierten, dass wir von Kollegen oder Freunden aus anderen Vierteln besucht wurden, die sich nach dem Stand des Projekts erkundigten, hat die Motivation in der Gruppe gestärkt. In unserem Bürgerverein gibt es einige ganz besondere Menschen, die einfach nie aufgeben.“




    Ziel der Messe für zivilgesellschaftliche Vereine und Bürgerinitiativen war es ausdrücklich, die Vernetzung zu fördern. In dem Sinne waren auch Vertreter der Stadt und der einzelnen Bezirksleitungen Bukarests eingeladen. Unter ihnen sogar der Präfekt von Bukarest höchstpersönlich. In dieser Funktion vertritt Rareș Hopincă die Regierung in der Stadtverwaltung. Er räumt Missstände im Verhältnis der Kommunalpolitik zu den Bürgern ein, glaubt aber, dass Zusammenhalt und Verantwortungsbewusstsein erst aufgebaut werden müssen:



    In der Vergangenheit haben wir uns in dem Glauben geirrt, dass der öffentliche Raum niemandem gehört. Deshalb haben wir gro‎ße Probleme mit der Vermüllung, deshalb ist die Umweltverschmutzung so allgegenwärtig, deshalb sind zum Beispiel alle Seen in Rumänien mit KunststoffAbfälle verschmutzt, weil die Menschen sehr falsch denken, dass der öffentliche Raum niemandem gehört. Das ist völlig falsch. Der öffentliche Raum gehört uns allen, und das müssen wir ganz klar verstehen. Wir, die Behörden und die Zivilgesellschaft, müssen einen Mentalitätswandel herbeiführen und alle Menschen davon überzeugen, dass wir einen gro‎ßen Schritt nach vorn machen, wenn jeder Einzelne sich um diesen einen Quadratmeter im öffentlichen Raum neben dem Wohnblock, neben dem eigenen Haus oder an der Stra‎ße nebenan kümmern.“




    Das Zentrum für Bürgerbeteiligung (CERE), das die Messe organisiert hat, fördert seit 10 Jahren das zivilgesellschaftliche Engagement in Rumänien. In dieser Zeit, haben die Menschen gelernt, sich zu mobilisieren und durchzuhalten, wie Silvia Boeriu, die Kommunikationsbeauftragte der Plattform, feststellt:



    Bukarest verfügt jetzt über eine Menge Ressourcen. Die Bürgervereine sind besser vernetzt, sie wissen, wie sie die Instrumente der Bürgerbeteiligung effektiver einsetzen können, und sie erreichen die Behörden schneller. Wichtig ist jetzt, dass die Behörden auf ihre Stimmen hören. Die Behörden scheinen nun offener zu sein, in dem Sinne, dass sie sich wahrscheinlich daran gewöhnt haben, dass die Menschen hartnäckig sind und ihr Recht auf ein Leben in einer Stadt einfordern, in der wir gerne leben möchten. Die Kommunalpolitiker sind offener, sie sind etwas aufmerksamer geworden, besonders jetzt, wo der Wahlkampf naht. Doch im Allgemeinen ist es eher so, dass Anliegen, die von Bürgern initiiert werden, immer noch äu‎ßerst schwer Gehör bei den Behörden finden, vor allem solche, die Haushaltszuwendungen erfordern oder vor Gericht geklärt werden müssen.“




    Obwohl die Kommunikation mit der Kommunalverwaltung immer noch schwierig ist, haben die Bürger gelernt, nicht aufzugeben, und ihre Beharrlichkeit hat sich offensichtlich gelohnt, zumal auch Vertreter der Behörden an einer Messe für Bürgerinitiativen teilgenommen haben.

  • Le parc IOR

    Le parc IOR

    Sous l’assaut de la pollution atmosphérique et sonore ou tout simplement du stress de leurs obligations quotidiennes, amplifié par l’agitation de la grande ville, les habitants de la capitale roumaine cherchent de plus en plus à se réfugier dans la nature. Heureusement, Bucarest a toujours de nombreux parcs et zones vertes, tant au centre-ville qu’à la périphérie. Un de ces espaces verts se trouve dans sa partie – est : c’est l’ancien parc IOR qu’un pont partage en deux : le Parc Alexandru Ioan Cuza et le parc Titan. Etendu sur 80 hectares avec un lac au milieu, sillonné de promenades et d’aires de jeux aménagées dans des clairières, ce parc était, cinquante ans auparavant, un champ parsemé de trous provenant de l’exploitation de l’argile. En fait, toute cette partie de Bucarest était une zone industrielle.

    D’ailleurs, le nom du parc IOR est l’acronyme de « Intreprinderea Optica Româna », l’Entreprise d’optique de Roumanie, qui fabriquait des systèmes optiques pour l’industrie ainsi que pour l’armée. Avant l’ouverture de cette entreprise dans les années 1930, une autre avait utilisé l’argile de cet endroit pour fabriquer des briques. En 1964, la direction du district Tudor Vladimirescu, l’actuel troisième arrondissement de la capitale roumaine, a décidé d’aménager la zone et de transformer ce champ troué en un parc pour les habitants des nouveaux quartiers dortoirs en construction.

    Gheorghe Petre, le chef de la section « culture et arts » de la municipalité du district Tudor Vladimirescu, se souvient : « C’est ainsi que le parc IOR a été aménagé en 1965, après la décision de la mairie de la capitale de céder au district Tudor Vladimirescu 83 hectares de terrain autour d’un lac formé dans les cavités produites par l’exploitation de l’argile. Les travaux ont démarré en 1965, la première étape s’étant déroulée entre 1965 et 1970. C’est à cette époque-là que la zone où se trouve aujourd’hui le parc Alexandru Ioan Cuza a été aménagée, par le dragage des trous et le renforcement des rives du lac. Des allées ont été dessinées et pavées, ensuite une île a été aménagée au milieu du lac. Enfin, des arbres et un tapis de fleurs ont été plantés. A l’époque, le parc s’étendait sur 60 hectares, mais à présent il couvre 83 hectares, dont 19 sont occupés par le lac Titan. »

    Avant le début des travaux, une délégation de la mairie de Bucarest s’est rendue en France pour étudier les parcs parisiens et y puiser de l’inspiration pour l’élaboration des plans du futur parc IOR.

    Elle a fini par mettre aussi en place des promenades en bateau sur le lac, raconte Gheorghe Petre : « Pour ces promenades, plusieurs embarcations ont été utilisées. Elles étaient offertes par la société Navrom, qui les avait fait venir de la ville danubienne de Giurgiu. Ces bateaux ont navigué sur le lac, en passant sous le pont du boulevard Liviu Rebreanu, tous les jours de la semaine, jusqu’en 1990. En 1965, nous avons commencé à collaborer avec la direction de l’Institut de recherches forestières de Stefanesti, qui nous a fourni des arbres et des arbustes, notamment des saules pleureurs, que nous avons plantés sur les berges du lac, mais aussi des sapins, des peupliers canadiens, des frênes et d’autres espèces. »

    Jusqu’en 1980, le parc a été une véritable oasis de verdure, mais entre 1980 et 1989 le parc a été oublié par la municipalité qui n’a plus alloué des fonds pour son entretien. C’est après 1990, et surtout ces dernières années, que le parc a pu renaître et redevenir un espace de culture et de loisirs pour les habitants du troisième arrondissement de Bucarest, mais non seulement.

    Réaménagés ap

    rès 2010, les deux parcs, réunis jadis sous le nom de Parc IOR, incluent de nos jours cinq îlots, dont quatre sont des espaces de loisirs et un autre, habité uniquement par une faune locale: canards, cygnes et tortues. Les autres îlots sont dédiés à différentes catégories de visiteurs : retraités, artistes, pêcheurs et… toutous, où les habitants de la ville peuvent promener leurs animaux de compagnie. Véritable oasis de verdure et de tranquillité, lieu de détente pour les familles et espace ouvert aux artistes en tout genre. (Trad. Alex Diaconescu)