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  • Les gagnants du jeu-concours «Iaşi, capitale historique de la Roumanie»

    Les gagnants du jeu-concours «Iaşi, capitale historique de la Roumanie»

    Chers amis, cet été, jusqu’au 31 août, RRI vous a invités à participer à un jeu-concours de culture générale intitulé « Iaşi, capitale historique de la Roumanie » et consacre à la ville de Iasi ainsi qu’au département homonyme dont elle est le chef-lieu. Nous avons reçu au total 193 réponses correctes et complètes et nous vous en remercions à toutes et à tous !

    Deux grands prix étaient à décrocher, à savoir : deux séjours pour une personne, de 8 jours, respectivement 7 nuitées, en pension complète, du 10 au 17 octobre 2019, offerts par l’Hôtel « Majestic » de Iaşi. Comme d’habitude, le transport international jusqu’en Roumanie et le visa pour la Roumanie si nécessaire, sont à la charge des gagnants.

    A part les deux voyages mentionnés, nous vous proposons également des prix et des mentions spéciales. Le concours est organisé avec l’appui de la Municipalité de Iaşi, de la Métropolie de la Moldavie et de la Bucovine, de l’Evêché catholique de Iaşi, de l’Ensemble muséal national Moldova de Iaşi, de la Fédération des Organisations non gouvernementales pour la Jeunesse de Iaşi, de Radio Roumanie Iaşi et d’autres partenaires.

    Il fallait suivre les émissions de RRI, notre site www.rri.ro et nos profils sur les réseaux sociaux, dont Facebook, afin de pouvoir répondre correctement, par écrit, aux questions de notre jeu. Le concours a duré jusqu’au 31 août 2019, le cachet de la poste faisant foi, et respectivement jusqu’au 31 août 2019, à 24 heures, heure roumaine, pour les réponses en ligne.

    Avant de connaître les gagnants, voyons les réponses correctes à nos questions.

    1. Dans quel contexte Iaşi a-t-elle été la capitale de la Roumanie ? Réponse correcte : Iaşi a été la capitale de la Principauté de Moldavie entre 1564 et 1859, une des deux capitales des Principautés unies de Moldavie et de Valachie entre 1859 et 1862 et capitale du Royaume de la Roumanie entre 1916 et 1918, pendant la Première guerre mondiale, lorsque Bucarest était sous occupation allemande.

    2. Quel est le titre de la ville d’Iaşi entre 2019 et 2020 ? Réponse correcte : Du 2 mai 2019 au 1er mai 2020, Iaşi est Capitale de la Jeunesse roumaine.

    3. Quel grand leader du monde a visité Iaşi au début de cet été ? Réponse correcte : Le Pape François.

    4. Il fallait aussi nous expliquer ce qui vous a déterminé à participer à ce jeu, et surtout pourquoi vous écoutez les émissions de RRI ou pourquoi vous nous suivez en ligne.

    Et maintenant, voici les gagnants :

    Parmi les 10 gagnants des Mentions compte aussi une participante du Service Français : Cătălina Leneutre, une Roumaine établie en France.

    Elle nous a écrit : « Je participe à ce concours car je souhaite visiter Iasi cette ville emblématique de Roumanie que je ne connais pas. J’écoute RRI car je suis d’origine roumaine établie en France depuis plus de 18 ans, ça me tient au courant des actualités et ça me rapproche de mon pays d’origine. Merci RRI. »

    10 amis de RRI ont décroché le IIIe Prix de notre jeu – concours « Iaşi, capitale historique de la Roumanie ». Parmi eux, notre ami de longue date Robert Essoh du Cameroun.

    Voici sa motivation : « Je participe à la vie de RRI en participant à ce jeu, en tentant de gagner un voyage ou des articles qu’offre la Radio amie à ses nombreux amis auditeurs à travers le monde. Grâce à RRI, je découvre la Roumanie, la culture de son peuple, son économie… L’écoute en ligne étant à la mode, à la place de nos vieilles ondes courtes moins chères à écouter, les récepteurs radio à bon prix, contrairement au coût élevé du matériel d’écoute en ligne, la qualité du son est bonne, mais Internet n’est pas disponible partout ni pour tous, c’est dommage, c’est du luxe ».

    Ils sont toujours 10, les gagnants du IIe Prix de notre jeu sur la ville de Iaşi, et notre fidèle auditeur Nouari Naghmouchi d’Algérie en est un.

    Voici un extrait de sa participation: « J’ai participé à vos concours depuis longtemps et je participerai pour toujours jusqu’au jour où je serais un gagnant pour réaliser mon rêve de visiter la Roumanie et discuter avec des gens de ce pays, je souhaiterais être cette fois-ci le gagnant à visiter Iasi, cette belle ville de Roumanie. Auditeur fidèle à RRI et ce depuis plusieurs années et je resterais pour toujours puisque c’est ma chaine préférée d’Europe, elle a de bonnes émissions et en plus je visite souvent le Site et j’écoute par la radio en ondes courtes et la qualité de réception est toujours bonne en Algérie. Grâce à RRI j’ai connu la Roumanie, sa culture, ses villes, son histoire surtout, je resterais l’auditeur le plus fidèle de Radio Roumanie International et, sans oublier, un grand bravo à toute l’équipe du service français de RRI pour le programme. »



    10 participants auront droit au Premier Prix. Et nous félicitons notamment notre auditeur Paul Jamet de France qui en recevra un.

    Voici ce qu’il nous a écrit : « En matière de contenus, surtout pour ce qui concerne l’actualité, RRI est maintenant la seule voix francophone de l’Europe du Sud-Est. J’écoute essentiellement RRI pour l’intérêt des contenus… A la limite, peu m’importe l’aspect technique ; même si un temps, je me suis vraiment intéressé à la diffusion en DRM. En effet, il faut souligner les efforts faits par RRI qui utilise tous les moyens techniques, anciens et modernes, pour diffuser ses émissions : Internet, applications pour tablettes et smartphones ; ondes courtes analogiques et numériques (DRM) sans oublier la diffusion par satellite … Il est donc toujours possible d’écouter RRI ! Je n’ai jamais écouté RRI par satellite ! Mais j’ai utilisé tous les autres moyens de diffusion ! Y compris les OC analogiques avec un vieux poste à lampes qui avait repris du service grâce à Philippe Marsan ! RRI est actuellement, sauf erreur de ma part, la seule station de radiodiffusion internationale qui organise des concours dotés d’aussi beaux prix. Et ces concours nous amènent toujours à découvrir une partie des mille et une facettes de la Roumanie : qu’il s’agisse de Géographie, d’Histoire, de Culture littéraire, musicale, artistique etc. Participer à ces concours est toujours enrichissant. Enfin, je voudrais signaler que depuis 1969 – cela fait donc 50 ans – Iaşi est officiellement la première ville jumelle de Poitiers, une ville que je connais. Aussi, il est évident que tout cela donne vraiment envie d’aller découvrir une semaine durant Iaşi, la ville aux sept collines. »

    Le Prix Spécial ne manque pas non plus. En nous l’avons accordé aux 10 participants suivants: Mei Lin de Chine, Amer Horbit Ouni de Tunisie, Olexandr Moseychuk d’Ukraine, Tiziana Savarese d’Italie, Christian Ghibaudo de France, Tony Morilla d’Espagne, Victor Varzin de Russie, Michael Cunnigham d’Australie, Carrie Hopper et Roberta Selesky des Etats-Unis.

    Comme d’habitude, notre cher ami Christian Ghibaudo de France a très bien expliqué d’où vient sa passion pour les OC et pour la Roumanie: « Alors, j’ai participé à ce jeu, car en principe je participe à tous les jeux organisés par RRI depuis au moins 20 ans. Cela va d’ailleurs faire 20 ans que j’écoute régulièrement le service français de RRI. Pendant longtemps j’ai écouté sur les ondes courtes, mais maintenant c’est essentiellement en ligne. Grâce au site Internet, mis à jour régulièrement je suis toujours au jour de l’actualité roumaine, même si je je n’ai pas le temps d’écouter l’émission en entier. En parcourant le site, on a l’essentiel de la programmation. J’écoute RRI, parce que depuis toutes ces années, j’ai appris à aimer la Roumanie. Et maintenant RRI est devenu le seul moyen pour moi, de savoir ce qui se passe dans votre pays. De plus RRI a de très bons liens d’amitié avec les auditeurs, et cela nous incitent toujours à rester à l’écoute. J’espère ainsi avoir la possibilité de faire un autre voyage en Roumanie et de découvrir la région de Iasi.»

    Et maintenant le moment que vous attendiez tous est enfin arrivé ! Le grand gagnant du jeu-concours « Iaşi, capitale historique de la Roumanie » et une auditrice du Service Russe de RRI. C’est Anna Nakhapetian, de Moscou, qui nous rendra visite du 10 au 17 octobre aux côtés de son époux Kiril. Félicitations et bonne découverte de la ville de Iaşi et de la Roumanie !

    Voici la manière dont Anna Nakhapetian motive sa participation : « Pourquoi est-ce que je participe aux concours et j’écoute les émissions de RRI ? Les réponses à ces deux questions vont de pair : parce que je m’intéresse vivement à la Roumanie et je souhaite vivement la visiter. C’est pourquoi je lis, le regarde et j’écoute beaucoup sur ce pays unique. Une des plus belles émissions c’est le Radio Tour qui nous convie à voyager dans ce pays merveilleux. Et comme le disait Daniel Onea : « Iaşi est une ville qui tourbillonne tout le long de l’année, grâce à ses festivals, musées, théâtres et à plein d’autres choses fort intéressantes. Vous avez mentionné des statistiques, des touristes qui ont visité la ville, vous avez mentionné les Français, les Italiens, les Espagnols, les Allemands, même les Israéliens, mais vous n’avez rien dit sur touristes Russes. Alors, mon mari et moi, nous sommes prêts à combler ce manque ! ».

    Voilà tout pour le jeu-concours « Iaşi, capitale historique de la Roumanie ». Les gagnants recevront leurs prix et mentions par la poste et nous les prions de confirmer la réception et le contenu du colis. Un grand merci à toutes et à tous pour vos participations. Nous espérons que la découverte de la ville de Iaşi a été une belle expérience pour vous. Alors n’hésitez pas à participer à nos prochains jeux ! A très bientôt ! (Alecu Marciuc, Răzvan Emilescu, Eugen Cojocariu)

  • A la découverte de Iasi (édition concours)

    A la découverte de Iasi (édition concours)

    Nous partons aujourd’hui pour le nord-est du pays, dans une ville chargée d’histoire, avec une vie culturelle intense : Iaşi. Le visiteur qui arrive là pour la première fois découvre que, dans cette ancienne capitale de la Moldavie, l’histoire accompagne chacun de ses pas. Iaşi illustre l’histoire de la Roumanie à travers son art et sa science, à travers l’ancienne culture de Cucuteni et les pages écrites par les grandes familles de boyards, à travers la nomination d’Alexandru Ioan Cuza comme prince régnant des Principautés roumaines. Ce n’est pas un hasard si nous faisons une halte à Iaşi aujourd’hui même.

    Il y a 160 ans, le 5 janvier, l’Assemblé élective de Iaşi désignait Alexandru Ioan Cuza comme prince régnant de la Moldavie. Moins de trois semaines plus tard, le 24 janvier 1859, l’Assemblée de Bucarest élisait le même Alexandru Ioan Cuza comme prince régnant de la Valachie. C’était un pas crucial dans la voie de la création de l’Etat national roumain.

    La coordinatrice du Centre d’information touristique de Iași, Anca Zota, recommande la ville de Iași notamment pour son ambiance agréable et accueillante. « On peut y pratiquer le tourisme culturel et nous avons aussi de bonnes offres pour le tourisme actif. Le pèlerinage pour Sainte Parascève, comme les paquets touristiques à spécifique religieux, sont bien connus. Ces derniers temps, le tourisme d’affaires, ainsi que le tourisme médical, se sont développés à leur tour. Pour ne pas rater l’essentiel de la ville, je vous recommande de commencer votre visite par le Palais de la culture, qui comprend quatre musées très intéressants. Le Musée d’histoire vous donne une idée du contexte qui a conduit à l’apparition de la ville. Le Musée ethnographique parle des occupations de nos ancêtres. Le Musée d’art possède une excellente collection de peinture roumaine. Une autre collection intéressante est celle du Musée de la musique mécanique. Les responsables de ce musée organisent aussi un festival biennal qui a lieu les années paires. Le Musée métropolitain, qui se trouve à l’entresol de la Cathédrale métropolitaine de la ville, est aussi un espace qui mérite le détour. Citons aussi le Musée de l’Université qui est un objectif emblématique pour Iaşi. C’est là que vous pouvez vous informer sur la civilisation Cucuteni ou sur l’Université Alexandru Ioan Cuza, la toute première université de Roumanie. Une recommandation que nous ne manquons pas à faire aux touristes, c’est de visiter la maison musée de Ion Creangă ! Elle est intéressante non seulement pour les Roumains qui connaissent l’écrivain, mais aussi pour les étrangers qui ont ainsi l’occasion de voir une maison traditionnelle roumaine en bon état et qui, en plus, se trouve dans un joli quartier. Et j’y ajouterai une destination pour les amateurs de promenades en plein air : notre très beau Jardin botanique. »


    Si vous pensiez visiter la ville au moment des vacances d’hiver, sachez que c’est un excellent choix ! Vous y trouverez une ambiance détendue, agréable, des restaurants à spécifique local, mais qui proposent en plus une cuisine internationale. Il y a également beaucoup de boîtes de nuit et de cafés où on joue de la musique live. Des groupes locaux de jazz, blues et rock s’y produisent jusqu’à tard dans la nuit. Vous avez aussi l’option de consulter le calendrier des événements pour vous laisser guider dans le choix de vos vacances.

    Le nombre de touristes n’a pas cessé d’augmenter ces dernières années, précise Anca Zota : « Depuis l’ouverture du Centre d’information touristique et jusqu’à présent, ce sont les Français qui tiennent la première place. Suivent de près les touristes italiens, espagnols et allemands. Récemment, on a aussi vu augmenter le nombre de vacanciers israéliens. Les gens sont ravis que la ville ne ressemble à aucune autre, que les gens sont accueillants et qu’il y a beaucoup de choses intéressantes à voir et à faire. Nous leurs offrons la carte de la ville et autres documents qui visent des attractions touristiques spécifiques en anglais, français et allemand. »

    Iași propose aussi de nombreuses activités en plein air. Anca Zota, du Centre d’information touristique : « La ville est pratiquement entourée de forêts où on peut faire de longues promenades. C’est une activité très sûre, il y a quelques sentiers balisés, et on propose aussi des itinéraires pour la randonnée à vélo. Il existe des options pour les plus chevronnés, mais aussi pour ceux qui veulent tout simplement se balader à bicyclette à 20 km/h dans une très belle forêt. A Iași, il y a des centres pour louer des vélos que nous recommandons volontiers aux touristes intéressés. »

    Vous l’aurez compris, Iași est une destination qui répond à toutes les attentes, et qu’il est possible de visiter à tout moment de l’année.(Trad. Elena Diaconu)

  • Impressions sur la Roumanie des gagnants du concours sur Govora les Bains

    Impressions sur la Roumanie des gagnants du concours sur Govora les Bains

    Chers amis, RRI vous a invités à participer à un concours doté de prix intéressants, intitulé « Tourisme balnéaire à Govora-les-Bains ». Ce jeu-concours a connu un grand succès. A preuve, les centaines de réponses correctes et complètes que nous avons reçues. L’heureux gagnant du Grand prix a été notre auditeur danois Hans Verner Lollike. Il est arrivé en Roumanie accompagné de son épouse, Inge-Lise Lollike. Les deux passent neuf jours, du 15 au 30 juin, en pension complète, à l’Hôtel Palace de Govora-les-Bains.

    Hans n’en est pas à son premier séjour dans notre pays: « C’est la quatrième fois que je m’y trouve. La dernière, c’était il y a dix ans. Entre temps, le pays a beaucoup changé. Je constate qu’il a énormément progressé. J’espère que l’Union européenne y est pour quelque chose. Mon épouse et moi, nous sommes tous les deux issus de la campagne. Chacun aime revoir des choses qui lui rappellent l’enfance. Dans vos villages, par exemple, on peut toujours rencontrer des bergers, alors qu’au Danemark, ils ont disparu. Nous y avons vu aussi des chariots, beaucoup de chevaux et des oies. J’espère que l’avancée de votre pays ne vous fera pas oublier le passé, car l’identité culturelle roumaine est très forte. Enfin, même les Roumains qui ne sont pas des fidèles pratiquants gardent des liens avec la tradition orthodoxe ».

    C’était un séjour passé dans une atmosphère des plus amicales. Un soir, après la visite dans les alentours de Govora les Bains, nos auditeurs ont eu l’occasion de voir un match de football en compagnie de leurs hôtes.

    Inge-Lise Lollike s’en souvient : « J’ai beaucoup aimé ces endroits, l’atmosphère des lieux et toutes les randonnées que nous avons faites cette semaine. J’ai vu de très beaux paysages et une partie assez grande de la Roumanie. Le match de foot a été très bon surtout que nous avons soutenu la Roumanie. »

    Pour sa part, Hans Verner Lollike a été très impressionné par l’Hôtel Palace, lieu de leur séjour à Govora les Bains, et qui est aussi un monument historique : « Il est unique et son histoire est très riche. Il a été inauguré en 1914 et fut rénové 99 ans plus tard. Maintenant c’est un hôtel de luxe et j’avoue qu’il est très facile de s’habituer au luxe. Ma femme est une très bonne nageuse et elle s’est rendue au SPA tous les jours. Moi, j’ai fait des cures tous les jours. C’est quelque chose de très inhabituel pour notre culture. Mes compatriotes se rendent parfois en Allemagne, mais les cures thermales, cela n’existe pas au Danemark. Ce fut quelque chose de très spécial et je vous en remercie. »

    Le département de Vâlcea est le 2e en Roumanie pour ce qui est du nombre de lieux de culte. Bâtis il y a des centaines d’années et inclus sur la liste des monuments nationaux, ces églises et monastères sont impressionnants de par leur histoire.

    Hans Verner Lollike : « Nous avons visité 6 ou 7 monastères. C’est une autre chose très différente par rapport à notre culture. Nous n’avons pas de nonnes, nous avons quelques communautés de sœurs, mais elles sont en voie de disparition. En Roumanie il y a plein d’endroits spirituels à découvrir. On peut les visiter avec toute la famille, faire un pique-nique, participer à la messe. Les lieux de culte que nous avons vus ont été rénovés et sont très beaux. Nous aimons beaucoup les fleurs et nous en avons vu une multitude ici. Nous avons aussi beaucoup appris sur l’architecture de ces monuments. ».

    Les gagnants du concours Govora – tourisme balnéaire au niveau européen ont également fait une petite excursion au département de Gorj, à Târgu Jiu, pour voir les œuvres du sculpteur Constantin Brâncuşi.

    Hans Verner Lollike : « Je suis très reconnaissant, RRI m’a fait connaître l’œuvre de Constantin Brâncuşi il y a beaucoup d’années. Etant chrétien, je suis intéressé par les nouvelles formes d’expression de la foi. Ce fut le coup de foudre et de la fascination. Son œuvre est intellectuelle d’une part et simple de l’autre. Voir les sculptures de l’artiste a été quelque chose de spécial pour moi. Je crois vraiment qu’il a exprimé quelque chose qu’il est impossible d’exprimer en mots. Nous avons aussi été à Paris, voici quelques années, et avons visité son atelier. Donc merci à RRI. Nous avons connu Brâncuşi d’une manière spéciale. »


    D’autre part, Inge-Lise Lollike a été impressionnée par Bucarest, la capitale de la Roumanie : « C’est une ville très belle et ancienne. Et toutes les époques historiques sont représentées par des bâtiments. Je ne m’attendais pas à voir autant de beaux bâtiments d’avant la période communiste, à l’architecture française, autrichienne, roumaine. Notre guide nous a aussi montré la brasserie Caru’ cu bere. Très belle bâtisse ! J’en ai admiré le plafond et les différentes pièces, puis le sous-sol qui est tout aussi impressionnant. Le tour a pris fin dans un des beaux parcs de Bucarest. »

    RRI est, après Radio Chine et la BBC, la plus grande station du monde qui émet en OC, dit Hans Verner Lollike : «Beaucoup de gens qui ne peuvent plus écouter d’autres stations vous écoutent, vous. Et ils sont nombreux, ils sont du monde entier. Je voudrais les inciter à continuer de suivre vos émissions et à vous écrire, c’est très important. J’écoute les infos, les programmes sportifs, mais j’aime aussi les programmes culturels. Vous avez un très bon style. Il y a des émissions de courte durée sur la nature, le tourisme, et j’aime ce style-là ».

    Enfin, Inge-Lise Lollike a été le plus impressionnée par les gens qu’elle a rencontrés. Mais aussi par les belles expériences qu’elle a vécues en Roumanie : « Les gens sont ceux qui comptent le plus. Quand on rencontre de bonnes personnes, on garde une bonne impression générale sur tout le pays. Je souhaite à Radio Roumanie Internationale d’avoir de la force, de l’énergie et plein de bonnes idées. Je vous remercie de capter si souvent l’attention de mon mari. Maintenant c’est plus simple, mais au début il avait une chambre spéciale pour écouter la radio. Il est très heureux d’entrer en contact avec vous, de vous écouter et de vous écrire ».

    Voilà, autant de mots chaleureux qui nous encouragent à organiser plus de concours qui vous donneront l’occasion de visiter la Roumanie. (Trad. Mariana Tudose, Valentina Beleavski, Ligia Mihaiescu)

  • Le flash 24.06.2019

    Le flash 24.06.2019

    Présidence tournante – Après le moment de l’adhésion à l’UE, il y a 12 ans, le mandat de la Roumanie à la présidence tournante de l’UE représente une confirmation de notre attachement face au projet européen, a déclaré lundi la première ministre roumaine Viorica Dancila. Elle s’exprimait en ouverture de la Conférence des organes spécialisés dans les affaires communautaires (COSAC). Selon la Mme Dancila, la présidence roumaine a géré entre autres des dossiers dont l’objectif était d’informer correctement les consommateurs sur la qualité des aliments et de sanctionner les violations des normes, ou bien des dossiers visant à établir un équilibre entre la vie professionnelle et privée, d’assurer et de promouvoir l’égalité des chances et des sexes sur le marché du travail. La Roumanie continuera à agir pour remplir l’objectif de consolidation de l’UE, pour renforcer les politiques européennes et pour promouvoir la solidarité et l’unité au sein de l’Union en tant qu’éléments d’une importance cruciale, a encore souligné la première ministre roumaine.

    Vote – Une commission spéciale du Parlement roumain se réunit ce lundi pour débattre de la modification de la législation électorale. Ce sera l’occasion pour les représentants de l’Autorité électorale permanente, du ministère des AE, du ministère de l’Intérieur et du ministère chargé de la relation avec les Roumains de l’étranger de présenter leurs points de vue. La semaine dernière la même commission a décidé d’élaborer, avant le 5 juillet, un projet de loi sur les manières de faciliter le vote à l’étranger, un projet qui devrait être mis en place pour les élections présidentielles prévues à la fin de cette année. Rappelons-le, le chef de l’Etat a demandé que des mesures soient prises d’urgence pour que les Roumains vivant à l’étranger puissent voter dans des conditions adéquates. Cela, parce que lors du récent scrutin européen, des dizaines de milliers de Roumains de la diaspora ont attendu pendant des heures devant les bureaux de vote et nombre d’entre eux n’ont même pas pu exercer leur droit de vote.

    Concours Govora – Fin de séjour en Roumanie pour les gagnants du jeu-concours « Tourisme balnéaire à Govora les Bains » – Hans Verner Lollike et son épouse, Inge-Lise, du Danemark. Accompagnés par le journaliste RRI Razvan Emilescu, les deux auditeurs de RRI ont passé une semaine à l’Hôtel Palace de Govora les Bains et ont visité les principales attractions touristiques de la zone de Vâlcea, dans le sud de la Roumanie. Parmi les endroits visités mentionnons le monastère de Govora, le musée d’art de Ramnicu Vâlcea, la mine de sel d’Ocnele Mari, la Vallée de la rivière Olt avec le célèbre monastère de Cozia, les ateliers de céramique de Horezu et le monastère du même nom, qui un monument historique inclus au patrimoine de l’UNESCU. Les gagnants de notre jeu-concours ont eu également la chance de découvrir la route la plus haute de Roumanie, Transalpina et ils ont visité la ville de Târgu Jiu avec les célèbres sculptures en plein air de Constatin Brancusi. A la fin de leur séjour, les deux auditeurs ont accordé une interview pour RRI, que vous pourrez écouter bientôt dans notre chronique touristique Radio Tour.

    La blouse roumaine – Ce 24 juin c’est la Journée mondiale de la blouse roumaine, ia, un événement célébré chaque année depuis 2013, grâce à une démarche de la communauté en line La blouse roumaine qui a souhaité mettre à l’honneur ce vêtement traditionnel roumain. Son nom provient du tableau d’Henri Matisse, le premier à avoir rendu la blouse roumaine célèbre dans le monde entier. Ce 24 juin, en Roumanie, c’est aussi la fête des Sânziene, un jour qui marque le début de l’été astronomique et qui correspond dans le calendrier orthodoxe avec la Naissance de Saint Jean Baptiste.

    FITS – Quelque 123.000 spectateurs ont participé dimanche à la dernière journée du Festival international de théâtre de Sibiu, un véritable record pour cette manifestation qui en est à sa 26e édition. Au programme des 10 jours du festival – théâtre, danse, musique, cinéma, conférences, lancements de livres, cirque contemporain, expositions et la liste se poursuit. Au total il y a eu quelque 540 événements dans 75 espaces, réunissant 3300 artistes et invités de 73 pays. Le Festival international de théâtre de Sibiu est l’événement du genre le plus grand et le plus complexe de Roumanie, voire d’Europe. Radio Roumanie figure parmi les coproducteurs.

    Football – L’équipe nationale roumaine de football des jeunes espoirs affronte la France, ce lundi, dans le cadre du Groupe C du Championnat européen de football des Moins de 21 ans accueilli par l’Italie et le Saint Marin. Les jeunes footballeurs roumains ont débuté mardi dernier par une victoire catégorique, 4-1, contre la Croatie, suivie par une autre, face aux Britanniques, score 4-2. C’est la deuxième participation de l’équipe roumaine des Moins de 21 ans à un tournoi final, après celui de 1998, organisé à Bucarest.

    Météo – L’avertissement à l’instabilité atmosphérique et à l’inconfort thermique a été prolongé jusqu’à mardi dans la soirée sur l’ensemble du territoire de la Roumanie. On attend des pluies torrentielles, des averses orageuses, des chutes de grêle. Les précipitations peuvent aller jusqu’à 40 l/m² par endroits. Déjà, ces derniers jours, les pluies abondantes ont entraîné la hausse de niveaux de plusieurs rivières qui ont inondé de nombreuses localités. En même temps, les températures sont à la hausse, avec des maxima qui iront aujourd’hui de 25 à 33 degrés. 24 degrés et du soleil à midi à Bucarest.

  • 16.06.2019 (mise à jour)

    16.06.2019 (mise à jour)

    Message – La première
    ministre de la Roumanie Viorica Dăncilă a transmis un message de soutien à son
    homologue de République de Moldova, Maia Sandu, qu’elle a invitée à Bucarest
    pour la première visite officielle à l’étranger en tant que cheffe du gouvernement
    moldave. Un communiqué de presse du gouvernement roumain informe que Mme
    Dăncilă exprime sa confiance que l’Exécutif de Chişinău continuera le parcours
    européen de la République de Moldova, en appliquant les réformes nécessaires, l’Accord
    d’association et l’Accord de libre-échange avec l’UE. La première ministre Viorica
    Dăncilă réaffirme l’entière disponibilité du gouvernement de la Roumanie de continuer
    le partenariat stratégique pour l’intégration européenne de la République de Moldova,
    éléments essentiel de la relation bilatérale entre les deux pays. Par ailleurs,
    la première ministre moldave Maia Sandu a demandé aux magistrats de la Cour
    constitutionnelle de Chişinău de démissionner, après qu’ils ont annulé, hier,
    leurs décisions favorables au Parti démocrate de l’oligarque Vlad Plahotniuc,
    des décisions de dissolution du parlement et d’invalidation du nouveau gouvernement,
    arguant du retard pris par rapport aux dispositions de la loi. Vendredi, le Parti
    démocrate a renoncé au pouvoir, son leader ayant quitté le pays.

    CAE – Le chef
    de la diplomatie roumaine, Teodor Meleşcanu, participera à la réunion du
    Conseil Affaires Etrangères (CAE) de l’Union européenne, qui aura lieu à Luxembourg,
    ce lundi. Au menu des discussions, entre autres – une politique extérieure et
    de sécurité commune plus efficace, la situation en République de Moldova et les
    évolutions au Soudan. Un déjeuner de travail informel permettra aux ministres
    des affaires étrangères de l’UE et à leur homologue jordanien, Ayman Safadi, d’échanger
    des points de vue sur les évolutions au Moyen Orient. Egalement ce lundi, les
    ministres des affaires étrangères et ceux de la défense de l’UE auront une
    réunion d’évaluation du processus de mise en place de la Stratégie globale de l’Union
    européenne.

    FITS – L’ambassadrice de France en Roumanie, Son Excellence,
    Michèle Ramis figure parmi les invités de marque de la 26ème édition
    du Festival international de théâtre de Sibiu (FITS), qui se poursuit. A cette
    occasion, Mme Ramis a participé à une conférence ciblée sur la Saison croisée
    France-Roumanie et à la cérémonie d’inauguration d’une plateforme numérique. Ce
    dimanche, le public a pu assister, entre autres, à une représentation de
    théâtre japonais et au concert du Français Adam Naas. 3300 artistes et
    invités de 73 pays participent à l’actuelle édition dont le thème est « L’art
    de donner ». Au programme des 10 jours du festival : 540 événements dans 75
    espaces. Le Festival international de théâtre de Sibiu est l’événement du genre
    le plus grand et le plus complexe de Roumanie, voire d’Europe. Radio Roumanie
    en est un des coproducteurs.

    Jeu-concours -
    Les gagnants du jeu-concours de RRI « Tourisme balnéaire à Govora-les-Bains »,
    Hans Verner Lollike et son épouse, Inge-Lise, du Danemark, sont arrivés à
    Bucarest en ce 15 juin et ont débuté leur voyage dans le département de Vâlcea,
    au sud de la Roumanie, étant accompagné par Răzvan Emilescu, journaliste à
    Radio Roumanie Internationale. Pendant leur séjour, les gagnants de notre
    jeu-concours bénéficieront de procédures thérapeutiques au Centre spa de l’Hôtel
    Palace, à Govora-les-Bains, où ils sont logés. Nos amis ont déjà commencé à
    faire le tour des principales attractions touristiques, culturelles et
    religieuses du département de Vâlcea. La liste des sites inclut la station de Govora
    elle-même, la ville de Râmnicu Vâlcea, chef-lieu du département, la mine de sel
    d’Ocnele Mari, la Vallée de l’Olt, où se trouvent les monastères de Cozia et de
    Turnu, la station balnéaire de Călimăneşti, la très connus ateliers de poterie
    de Horezu, le monastère de Horezu (inscrite au patrimoine mondial de l’UNESCO),
    le monastère de Dintr-un lemn (d’un seul bois, en français), le monastère d’Arnota.
    Hans Verner Lollike et son épouse, Inge-Lise, du Danemark, auditeurs de RRI,
    feront aussi une excursion sur Transalpina, la route la plus haute de Roumanie.
    Le séjour des époux Lollike dans le département de Vâlcea prendra fin le 23
    juin. Pour mémoire, nous avons reçu 225 réponses correctes et complètes au jeu-concours
    « Tourisme balnéaire à Govora-les-Bains ».

    Course d’aventures – Le sportif roumain Toma Coconea a entamé ce dimanche la neuvième
    édition de la Red Bull X-Alps, une des courses d’aventures les plus dures au
    monde, déroulée à pied ou en parapente sur 1.138 km, entre les villes de Salzburg
    et de Monaco. Y participent 32 athlètes de 20 pays. Toma Coconea, qui a été
    présent aux huit éditions précédentes, s’est classé deuxième en 2011 et il a
    fini la course sur la 10e place en 2013. En 2015, il a dû abandonner
    à cause d’un grave accident de parapente.

    Météo – Il continuera de faire chaud
    en Roumanie, dans les prochaines 24 heures, notamment dans le dus, l’est et le
    centre. L’instabilité amosphérique se manifestera dans l’ouest, le sud-ouest,
    le nord, l’est et le centre du territoire national, ainsi que sur les reliefs. Le
    stempératures maximales de ce lundi se situeront entre 26° et 36°.

  • Les gagnants du jeu-concours « Alba Iulia – la ville de l’Union » racontent leur séjour

    Les gagnants du jeu-concours « Alba Iulia – la ville de l’Union » racontent leur séjour

    Les gagnants de notre jeu-concours « Alba Iulia – la ville de l’Union », Jonas Sell et Sabrina Friesenborg d’Allemagne, se sont vu offrir, du 10 au 18 septembre, un séjour dans une région roumaine qui leur était presqu’inconnue, mais qui leur a réservé d’agréables surprises. La première est arrivée au moment où ils ont appris qu’ils avaient gagné le concours organisé par RRI à l’occasion du centenaire de la Grande Union de 1918.

    Comment Jonas Sell en est-il arrivé à participer à ce jeu-concours ? Il nous le dit lui-même : « Ce jeu-concours a été diffusé pendant plusieurs semaines et il a capté de plus en plus mon attention. Un jour, j’ai complété les réponses et je les ai expédiées. Je me suis dis : « On va voir !» Après, j’ai reçu un e-mail m’annonçant que j’avais gagné. »

    Jonas Sell a découvert sa passion pour la radio il y a longtemps. Tout a commencé avec un petit appareil acheté sur eBay, pour écouter les radios locales.

    Comment en est-il arrivé à écouter les émissions en allemand de Radio Roumanie Internationale ? Joans Sell : « En utilisant ce petit appareil, j’ai constaté que ses performances techniques étaient meilleures que je ne l’avais soupçonné et j’ai commencé à écouter les ondes courtes. Je suis resté plus longtemps sur RRI parce que son indicatif me faisait dresser l’oreille et je l’ai retenu. Ensuite, peu à peu, j’ai commencé à écouter de plus en plus cette radio. »

    Le jeu-concours organisé par RRI a offert à Jonas Sell et à Sabrina Friesenborg la chance de connaître la Roumanie autrement que par la voie des ondes. Ils sont venus l’esprit ouvert, prêts à explorer l’inconnu. Ce qui les a impressionnés le plus, à Arieșeni, ce fut, tout d’abord, la nature.

    Quelle étaient leur attentes ? Sabrina Friesenborg : « Je n’ai eu aucune attente. Je voulais voir. Et il faut dire que c’est très beau. On est entouré de nature, il y a la montagne, on peut faire des randonnées. J’ai vu une petite chute d’eau et j’ai pris de très belles photos. Ces deux journées ont été magnifiques. »

    C’est le ravin de Ruginoasa ainsi que les grottes de la zone d’Arieșeni et les mines d’or de Roșia Montană qui ont le plus impressionné nos hôtes. Jonas Sell : « La nature est impressionnante, il y a des forêts, des collines et des montagnes à perte de vue. On peut s’y promener pendant des heures sans rencontrer âme qui vive. Ce sont des lieux peu fréquentés. Nous avons été très impressionnés par la mine d’or datant de l’époque romaine. Nous avions déjà vu des mines de charbon ou d’autres minerais, mais une mine d’or, c’était pour la première fois. Je ne m’attendais pas à y trouver une mine de l’époque romaine. »

    Sabrina Friesenborg : « Je dois préciser que nous venons de la Ruhr, une région riche en exploitations minières, depuis les anciennes, jusqu’à celle très moderne et très profonde de Bochum. Cela a été d’autant plus intéressant, que ce que nous avons vu et appris complétaient nos connaissances sur les mines. Là, c’était tout à fait différent. »

    En Roumanie, la nature n’a pas été la seule à émerveiller Jonas Sell et Sabrina Friesenborg. Ils ont également été très impressionnés par la maison-musée d’Avram Iancu, héros de la lutte pour les droits des Roumains de Transylvanie. Là, ils ont appris une partie de l’histoire roumaine inconnue en Allemagne, notamment la révolution roumaine de 1848 en Transylvanie. L’histoire a impressionné nos hôtes à Alba Iulia aussi, ville de l’Union.

    Jonas Sell : « La forteresse, emblème de la ville, est tout à fait impressionnante et très bien mise en valeur, étant entourée de parcs. S’y ajoutent des attractions touristiques, par exemple la relève de la garde, constituée de gens en uniformes d’époque, qui traversent la ville, faisant revivre les temps anciens. »

    Paysages à couper le souffle, histoire, plats savoureux… voilà la promesse d’un séjour dont on se souviendra longtemps après. On ne peut pas en dire autant de l’infrastructure de transport de Roumanie, hélas, ce dont nos hôtes n’ont pas manqué de s’apercevoir. Ils ont notamment parlé de la nécessité de meilleures liaisons entre l’aéroport de Cluj et les villes situées à proximité.

    Jonas Sell : « Quand on ne fait pas le voyage dans sa propre voiture, on doit calculer son temps. Les distances ne sont pas très grandes, pourtant on met beaucoup de temps à les parcourir, car il n’y a pas de routes rapides. Il faut emprunter des routes de campagne, qui sillonnent à travers les collines et on ne peut pas rouler vite. C’est un facteur à ne pas ignorer. »

    Ce petit bémol n’a pourtant pas jeté de l’ombre sur le séjour de Jonas Sell et de Sabrina Friesenborg. Un séjour qui leur a donné l’envie de revenir en Roumanie. Jonas Sell : « La Roumanie, telle que nous l’avons connue, est un beau pays, les gens sont accueillants, la nature est très belle. Ça vaut la peine de visiter même les petites villes et les villages. Bref, je garde de bons souvenirs. On découvre une meilleure image que celle que mes concitoyens allemands se sont forgée, à partir de préjugés. » (Trad. : Dominique)

  • De Radio Roumanie 90 à RadiRo 2018

    De Radio Roumanie 90 à RadiRo 2018

    Chers amis, RRI vous invite à participer à un nouveau concours doté de prix, « De Radio Roumanie 90 à RadiRo 2018 ». Le concours est consacré au 90e anniversaire de la radiophonie roumaine, mais aussi à l’édition de cette année du Festival international des orchestres de radio, RadiRo, organisé par la station nationale publique de radio de Roumanie.

    Le premier programme de radio de Roumanie a été diffusé le 1er novembre 1928. Neuf décennies se sont écoulées depuis, pleines d’histoire et de moments à part, que la chaîne publique de radio célèbre à vos côtés par un nouveau jeu-concours. Novembre 2018 est aussi riche en événements culturels, et le concours de RRI est également dédié à l’un d’entre eux, à savoir le Festival International des orchestres de Radio, RadiRo, dont la 4e édition se déroule du 18 au 25 novembre prochains.

    La Radio publique roumaine est leader de l’industrie du domaine avec une audience quotidienne cumulée d’environ 4,5 millions d’auditeurs et une part de marché cumulée de 30%. Radio Roumanie compte plusieurs stations : Radio Roumanie Actualités, RRI, Radio Roumanie Culture, Radio Roumanie Musique, l’Antenne des Villages ainsi qu’une dizaine de stations territoriales. S’y ajoute la radio en ligne Radio3net, Radio Chisinau (en République de Moldova), la Rédaction du Théâtre National Radiophonique, L’agence de presse RADOR et les chorales et les orchestres de la Radio.

    En plus de cela, tous les deux ans, en alternance avec le célèbre festival international de musique classique George Enescu, Radio Roumanie organise son propre festival international consacré aux orchestre de radio, intitulé RadiRo. Cette année, RadiRo en arrive à sa 4e édition. A l’affiche nous retrouverons les meilleurs orchestres de radio du monde, des solistes de premier rang et des chefs d’orchestre de renommée mondiale. Enfin, pour la première fois depuis sa création le festival comportera aussi des concerts de jazz.

    Nous vous invitons à suivre les émissions de RRI, le site www.rri.ro, ainsi que nos profils Facebook, Twitter, Google+, LinkedIn et à répondre correctement, par écrit, à quelques questions, pour avoir une chance de remporter un des prix mis en jeu !

    Le concours dure jusqu’au 30 novembre 2018, cachet de la poste faisant foi (soit le 30 novembre 2018 à 24h00, heure roumaine, pour les messages en ligne).

    Les prix et mentions sont constitués de produits de découverte/connaissance de la culture roumaine, de la musique culte, mais aussi de promotion de la chaîne publique de radio. Le concours est organisé en partenariat avec les Editions « Casa Radio » et la Mairie de Bucarest.

    Et maintenant, les questions :

    1. Voici combien d’années le premier programme de radio de Roumanie a-t-il été diffusé ?

    2. Nommez trois chaînes qui font partie de la Société roumaine de radiodiffusion.


    3. Le Festival international des orchestres de radio, RadiRo, est arrivé à quelle édition ?

    4. Qui est l’organisateur du Festival RadiRo ?

    5. Dites-nous ce qui vous a déterminés à participer à ce concours, et surtout pourquoi vous écoutez les émissions de RRI ou pourquoi vous nous suivez en ligne.

    Nos coordonnées, vous les connaissez bien:

    – Radio Roumanie Internationale, Rédaction française, 60-64 rue du Général Berthelot, Boîte Postale 111, secteur 1, Bucarest, Roumanie, code postal 010165
    -numéro de fax 00.40.21.319.05.62;
    -email: fran@rri.ro, service_francais_rri@yahoo.fr .

    Nous attendons vos réponses jusqu’au 30 novembre 2018, le cachet de la poste faisant foi (soit le 30 novembre 2018 à 24h00, heure roumaine, pour les messages en ligne). Le règlement du concours est à retrouver sur le site de RRI et sur Facebook.

    Bonne chance !

  • Règlement du jeu concours «De Radio Roumanie 90 à RadiRo 2018»

    Règlement du jeu concours «De Radio Roumanie 90 à RadiRo 2018»

    1. L’organisateur

    La Société roumaine de radiodiffusion, sise aux 60-64 rue General Berthelot, Bucarest, identification fiscale RO8296093, organise le jeu-concours doté de prix intitulé « Alba Iulia – la ville de l’Union», par le biais de la station Radio Roumanie Internationale (RRI).

    L’organisateur se réserve le droit de modifier le concept et le format du jeu-concours, s’il l’estime nécessaire, ou de suspendre son déroulement, en informant le public des modifications opérées avant leur entrée en vigueur, à travers le site www.rri.ro et les émissions de Radio Roumanie Internationale.

    2. Durée du jeu-concours

    Le jeu-concours se déroule dans toutes les langues d’émission de RRI, du 1er octobre au 30 novembre 2018, le cachet de la poste faisant foi et jusqu’au 30 novembre 2018, 24h00, heure de Roumanie, pour le milieu en ligne.

    3. Conditions de participation

    Les participants au jeu-concours doivent avoir au moins 18 ans révolus avant le 1er avril 2018. N’ont pas le droit de participer au jeu-concours les salariés, les collaborateurs sur contrat des Partenaires et les membres jusqu’au deuxième degré de parenté des familles des salariés et des collaborateurs de la Société roumaine de radiodiffusion.

    4. Le concept

    a) Le jeu-concours se déroule du 1er octobre au 30 novembre 2018, dans toutes les langues d’émission de RRI.

    b) Un auditeur ou un utilisateur d’Internet peut gagner un seul prix.

    c) Les questions du jeu-concours seront diffusées dans les émissions de RRI et postées sur le site www.rri.ro ainsi que sur les profils de RRI sur les réseaux sociaux (Facebook, Google+, LinkedIn).

    d) Les participants doivent envoyer les réponses écrites à toutes les questions du jeu-concours, en utilisant le moyen de leur choix : les adresses d’email affichées sur la Page Internet de la rédaction à laquelle ils envoient les réponses, sur le profil Facebook de la rédaction, par courrier à l’adresse Radio Roumanie Internationale, 60-64 rue General Berthelot, sector 1, BP 111, code postal 010165, Bucarest, Roumanie, sur les profils Google+ et LinkedIn, ou par fax au numéro 00.40.21.319.05.62. Nous encourageons les participants à écrire aussi les raisons qui les ont poussés à participer au jeu-concours et surtout pourquoi ils écoutent les émissions de RRI ou suivent l’activité en ligne de RRI.

    e) Les réponses d’un même auditeur ou utilisateur envoyées à plusieurs rédactions de RRI seront prises en compte uniquement par la première rédaction destinataire.

    f) Le prix comportera des séjours en Roumanie ou des objets de promotion culturelle (CDs, albums, livrets, DVDs). On ne peut pas solliciter ni accorder la contrevaleur en argent de ces objets.

    5. Validation des gagnants et la réception des prix

    L’auditeur ou l’utilisateur participant au concours est prié d’envoyer à RRI, par lettre ou par email, ses données d’identification et son adresse de correspondance (et de domicile, si elles sont différentes), afin de pouvoir recevoir un éventuel prix.

    a) Seules les réponses correctes et complètes, envoyées dans les délais mentionnés, se qualifient pour les prix mis en jeu.

    b) Les prix seront envoyés par la poste, aux frais de RRI, dans les limites des fonds alloués par le budget de l’Etat, dans les plus brefs délais possibles.

    c) Pour les Grands Prix (des séjours en Roumanie), les frais de transport international jusqu’en Roumanie et de visa, si nécessaire, sont à la charge des gagnants. Les prix consistant en objets seront envoyés par la poste, sur les frais de RRI, dans les plus brefs délais et dans les limites des fonds alloués du budget de l’Etat.

    d) Lors de la réception des prix, les gagnants ne peuvent refuser ou renvoyer le colis que pour des raisons objectives, justifiées par écrit, afin de ne pas produire des coûts supplémentaires à RRI. Le refus ou le renvoi du prix sans aucune justification claire, acceptée par écrit par RRI, entraîne la sortie de la personne en question de la liste de participants éligibles pour les prix du jeu-concours suivant qui sera organisé par la SRR à travers RRI. Cela s’applique aussi en cas d’erreurs de communication de l’adresse de domicile par les participants.

    e) Les gagnants sont priés d’informer par écrit et par tout moyen RRI de la réception du colis et de son contenu (le prix), afin de vérifier l’intégrité de l’envoi postal.

    6. Responsabilité

    En envoyant les réponses au concours, tous les participants expriment leur accord avec et s’obligent à respecter les demandes et les conditions imposées par l’Organisateur par ce règlement.

    7. Protection des données personnelles

    Conformément à la législation en vigueur, l’Organisateur est tenu de rendre publics les noms des gagnants et les prix accordés, de respecter les termes du Règlement général no. 2016/679 de l’Union Européenne sur la protection des données à caractère personnel stockées durant le concours. Par conséquent, l’Organisateur s’engage à assurer la confidentialité des données personnelles des participants à ce concours. Par la simple participation au concours, les participants expriment leur accord de fournir leurs données personnelles à l’Organisateur et ils sont d’accord qu’elles soient stockées dans la base de données de l’Organisateur. C’est seulement à la demande écrite des participants que l’Organisateur n’utilisera pas les données des participants après la fin du concours.

    8. Force majeure

    Conformément à ce règlement, la force majeure consiste en tout événement qui ne peut être contrôlé, corrigé, ni prévu par l’Organisateur et dont l’apparition met celui-ci dans l’impossibilité d’accomplir ses obligations assumées. Il s’agit, entre autres, de guerres, incendies, inondations, grèves et blocus, tremblements de terre, tempêtes, et autres catastrophes, et non seulement. Si une situation de force majeure empêche totalement ou partiellement le déroulement du concours conformément aux conditions prévues par l’actuel règlement, l’Organisateur sera exonéré de toute responsabilité pour la période durant laquelle il a été affecté par la situation de force majeure.

    9. Litiges

    Les éventuels litiges apparus entre l’organisateur et les participants au concours seront résolus à l’amiable. Si la solution à l’amiable n’est pas possible, le litige sera porté devant les instances compétentes roumaines de Bucarest.
    10. Publication du règlement

    Le règlement du concours sera publié sur le site www.rri.ro et sur les profils de RRI sur les profils Facebook de RRI. La version de base de ce règlement est celle en anglais.

  • Alba Iulia – la ville de l’Union

    Alba Iulia – la ville de l’Union


    Chers amis, RRI vous invite à participer à un nouveau jeu-concours doté de prix, intitulé « Alba Iulia – la ville de l’Union » et consacré au centenaire de l’Union des territoires habités majoritairement par des Roumains dans un Etat national unitaire.



    Ce fut le 1er décembre 1918 qu’a eu lieu dans la ville transylvaine d’Alba Iulia, dans l’ouest de la Roumanie actuelle, une Grande assemblée nationale qui a marqué l’Union des provinces de Bessarabie, Bucovine, Transylvanie, Banat, Crișana, Maramureș et Satmar avec le Royaume de la Roumanie. Le 1er décembre est également la fête nationale de Roumanie, célébrée depuis 1990.



    Le 27 mars 1918, l’Union de la Bessarabie avec le Royaume de Roumanie a été le premier moment d’une série d’actes similaires qui allait culminer le 1er décembre 1918, par l’Union avec la Transylvanie et la naissance de la Grande Roumanie. En 1918, de nouveaux Etats sont apparus sur la carte de l’Europe centrale et de l’est, dont la Grande Roumanie. Ce moment a également marqué un réarrangement des structures politiques sur des critères nationaux. Le principe de l’autodétermination nationale sur la base de la majorité ethnique a joué un rôle majeur dans la constitution des nouvelles entités étatiques, principe qui fonctionne aujourd’hui dans les relations internationales.



    Suivez les émissions de RRI, notre site et nos profils Facebook, Google+ et LinkedIn afin de pouvoir répondre correctement, par écrit, aux questions de notre jeu. Vous pourrez ainsi gagner des prix très intéressants. Le concours dure jusqu’au 30 juin 2018, le cachet de la poste faisant foi, et respectivement jusqu’au 30 juin 2018, à 24 heures, pour les réponses transmises en ligne.



    Deux grands prix sont à décrocher. A savoir : deux voyages pour une personne, en pension complète, du 10 au 18 septembre 2018, offerts par l’hôtel « Transilvania » d’Alba Iulia et par la pension touristique « Casa Mouțului » d’Arieșeni, comté d’Alba. Comme d’habitude, le transport international jusqu’en Roumanie et le visa pour la Roumanie si nécessaire, sont à la charge des gagnants.



    A part les deux voyages mentionnés, nous vous proposons également de prix et des mentions spéciales. Le concours est organisé avec l’appui du Conseil départemental d’Alba, de la Municipalité d’Alba Iulia, de l’Union des plasticiens d’Alba Iulia, de l’Archevêché orthodoxe d’Alba Iulia, de la fabrique de porcelaine Apulum SA Alba Iulia.



    Voici les questions :


    1. Quelle fête est célébrée en Roumanie le 1er décembre et quelle est sa signification ?


    2. Où a eu lieu la Grande assemblée nationale du 1er décembre 1918 ?


    3. Dans quelle région de la Roumanie se trouve la ville d’Alba Iulia ?


    4. N’oubliez pas de nous expliquer ce qui vous a déterminés à participer à ce jeu et quelles ont été vos sources de documentations pour les réponses données à nos questions.



    Nos coordonnées:


    – Radio Roumanie Internationale, Rédaction française, 60-64 rue du Général Berthelot, Boîte Postale 111, secteur 1, code postal 010165, Bucarest, Roumanie ;


    – numéro de fax 00.40.21.319.05.62;


    – email: service_francais_rri@yahoo.fr, fran@rri.ro



    Le règlement du concours est à retrouver ICI. Nous vous attendons nombreux !

  • Les gagnants du jeu concours RadiRo 2016

    Les gagnants du jeu concours RadiRo 2016

    Chers amis, RRI vous a invités à participer à un nouveau concours doté de prix, sur le Festival international des orchestres de radio, RadiRo, 3e édition. Cet événement musical unique en Europe a fait venir à Bucarest, sur la scène de la Salle de la Radio, six grands orchestres, mais aussi des solistes et des chefs d’orchestres de renommée mondiale.

    Nous avons reçu au total 198 réponses correctes et nous vous en remercions à toutes et à tous!

    Les prix et mentions du concours seront des CDs de musique symphonique roumaine et étrangère, des œuvres d’art plastique signées par des artistes roumains appréciés, ainsi que des objets de promotion culturelle. Le concours est organisé avec le Lycée d’art «Nicolae Tonitza» de Bucarest, les Editions « Casa Radio » et la maison de disques «Electrecord».

    Le jeu a pris fin le 1er octobre 2016.

    Les réponses à nos questions étaient à retrouver dans nos émissions, sur notre site www.rri.ro, ainsi que sur nos profils Facebook, Twitter, Google+, LinkedIn.

    Mais avant de vous dévoiler le nom des gagnant, voyons quelles étaient les questions auxquelles vous deviez répondre et que les réponses correctes:

    – En quelle année a eu lieu la première édition du Festival international des orchestres de radio ? Réponse correcte : En 2012.

    – Qui est le directeur honoraire de la 3e édition du Festival ? Réponse correcte, le chef d’orchestre Kristjan Järvi.

    – Combien d’orchestres prennent part à la l’édition 2016 de RadiRo. Réponse correcte : 6 orchestres.

    – Qui est l’organisateur du festival ? Réponse correcte : Radio Roumanie.

    – Il fallait nous dire aussi ce qui vous a déterminés à participer à ce concours, et surtout pourquoi vous écoutez les émissions de RRI ou pourquoi vous nous suivez en ligne.

    Et maintenant, les gagnants !

    RRI a accordé 20 Mentions aux participants suivants : Lidia Dobrescu (Roumanie), Dejan Mijatovic (Serbie), Fritz Andorf (Allemagne), He Xige, Xue Fei et Jin Tao (Chine), Egor Auchev et Alexeï Ihnenko (Russie), Adervall Lima Gómez et Antonio Pereira dos Santos (Brésil), Juan Franco Crespo et Juan Antonio Morales (Espagne), Abdulkarim Ahmed Ali (Lybie), Mitul Kansal, Mohammad Shamim et Syampada Sarkar (Inde), Keith Simmonds (France) Mr. Najimmudin (Inde), Sola Agboola (Nigéria) et Larry Grabow (SUA).

    Keith Simmonds, qui vit en France, expliquait entre autres : « J’ai tellement écouté et lu sur ce pays surprenant et sur ces gens merveilleux qu’il m’est impossible de ne pas en être fasciné. Par conséquent, à chaque fois que vous annoncez un nouveau jeu, j’ai hâte d’y participer parce que je sais qu’en faisant des recherches sur le sujet proposé, je gagnerai davantage de connaissances sur ce pays et sur ses habitants. »

    10 auditeurs de RRI ont été récompensés du IIIe Prix du jeu RadiRo: Jean-Michel Aubier (France), Emad Ali Abdel-Wahed (Irak), Ji Yuan (Chine), Alvydas Alijosaitis (Lituanie), Nikolai Matveev (Russie), Rosa Chumpitaz (Pérou), José Luis Corcuera (Espagne), Henk Poortvliet (Pays Bas), Chin Fok Min (Malaisie) et Christer Brunstrom (Suède).

    Parmi eux: Jean-Michel Aubier de France, qui nous a écrit: « La musique classique a toujours été présente dans ma vie. A la maison, France Musque était la radio que l’on écoutait quasiment toute la journée, ma mère étant adepte de la « grande » musique. Et je l’entendais aussi jouer du piano. Très jeune, j’ai été inscrit dans une école de musique et j’ai appris le piano, sous la direction de plusieurs professeurs, dont l’actuel titulaire des Orgues de l’église de La Madeleine à Paris, et comme d’autres élèves, je jouais devant un public composé essentiellement de parents, mais qui atteignait presque le millier de personnes. Les aléas de la vie ont fait que j’ai abandonné la pratique du piano, mais mon instrument me suit au gré des déménagements, et j’espère bien m’y remettre quand j’aurai plus de temps, à la retraite par exemple. Mais il va falloir attendre un petit peu ! Un des liens avec l’écoute de RRI est justement la musique. RRI n’est certes pas Radio România Muzical, mais la présence d’émissions musicales est notoire. Normal, me direz-vous, la Roumanie est le berceau de musiciens de renom, compositeurs ou interprètes, tels Angela Gheorghiu, Vladimir Cosma, Ciprian Porumbescu ou bien sûr George Enescu dont un extrait de la rhapsodie roumaine N° 1, mondialement connue, ouvre les émissions de RRI. Cantonner l’écoute de RRI à la musique serait bien restrictif. Ayant la chance de disposer de créneaux horaires relativement importants, vous êtes à même d’offrir une programmation variée, regroupant la plupart des domaines auxquels l’auditeur est en droit d’attendre. Le domaine politique, et dans une moindre mesure, celui de l’économie, ont ma préférence. L’Europe connaît aujourd’hui des turpitudes et elle a un besoin urgent de réaffirmer la nécessité de son existence, face aux populismes de plus en plus présents sur notre continent. Avec Klaus Iohannis, héraut de la lutte contre la corruption et Dacian Ciolos, européen convaincu, l’Europe peut compter sur la Roumanie. En arrivant dans l’UE, la Roumanie présentait de nombreux handicaps parmi lesquels une corruption omniprésente. 10 ans après, la situation économique est relativement saine et la lutte contre la corruption a connu des succès, notamment ces dernières années. Il reste néanmoins beaucoup à faire et je compte sur RRI pour continuer à accompagner l’auditeur dans cette marche ».

    10 auditeurs de RRI recevront le II Prix de notre jeu : Amady Faye, Sénégal, Noureddine Ahmad Hussein, Jordanie, Daniele Giaccari, Italie, Ihor Danilevici, Ukraine, Ralf Urbanczyk, Allemagne, Alexandr Abramov, Russie, Graciela Mastrogiacomo, Argentine, Carrie Hooper, Etats-Unis, Chun-Quan Meng, Chine et Jonathan Murphy, Irlande.

    Parmi eux, notre cher ami Amady Faye du Sénégal affirme dans sa lettre de participation: « Pourquoi je participe à ce concours ? Parce que RRI est le magnifique portail musical où je découvre les plus grands orchestres du monde et cet agréable, formidable genre musical très répandu en Occident. Pourquoi j’écoute les émissions de RRI en ondes courtes et en ligne ? Parce que sur les ondes de Radio Roumanie Internationale, l’information est transmise en temps réel. »

    Et maintenant le Premier Prix. Voici les gagnants : Thomas Bégué, France, Stefano Citterio, Italie, Vitali Efimenko, Biélorussie, Marco Lehner, Allemagne, Fan Hongjie, Chine, Andrei Kuzmin, Russie, Luis Gerardo Pérez Loyola, Mexique, Hans Verner Lollike, Danemark, Grant Skinner, UK, et John Cooper, USA.

    Thomas Bégué de France est un des gagnants du Premier Prix du jeu RadiRo. Voici ce qu’il nous a écrit.

    « J’ai toujours aimé participer aux concours de toutes sortes, c’est un hobby, que ce soit par la presse, la télévision, la radio et par Internet. C’est très instructif. Je m’aperçois que beaucoup de radios d’ondes courtes organisent des concours concernant l’histoire de leurs pays respectifs. Même si je ne gagne aucun prix c’est la joie et le plaisir d’y participer. (…) C’est ma première participation. J’écoute RRI quand le temps me le permet, je le fais volontiers. La Roumanie est riche en histoire, aussi en littérature que j’apprécie beaucoup – maintenant c’est plus facile par Internet. J’ai eu l’occasion de visiter votre beau pays à plusieurs reprises. La langue roumaine est assez facile, c’est un dérivé du latin ; je me sens très proche de ce pays, c’est pour cela que je m’intéresse beaucoup à la Roumanie ».

    Comme d’habitude, nous avons accordé un Prix Spécial à 14 participants : Christian Canoën, France, le Roumain Alexandru Bușneag, Allemagne, Ivana Krickovic, Serbie, Farid Boumechaal, Algérie, Helmut Matt, Allemagne, Victor Lu et Guo Huimin, de Chine, Nikolai Loghinov et Nikolai Larin, Russie, Justino Losada Gómez, Espagne, Sandra Graciela Espósito, Argentine, Alastair Pamphilon, Grande Bretagne, Atilio Orellana Rojas, Japon, et Najim Uddin, Inde.

    Voici ce que nous a écrit notre cher ami Christian Canoën de France. «En tant qu’amateur de musique classique, je ne pouvais qu’apprécier la décision de Radio Roumanie d’organiser tous les deux ans le festival RadiRo (…). RRI nous offre un superbe panorama de la Roumanie, pays que j’aime beaucoup et que j’ai eu l’occasion d’apprécier à maintes reprises, tant pour ses attraits touristiques – montagne (Sinaia, Poiana Brasov, Monts Apuseni), mer (Mamaia et les stations balnéaires d’Eforie Nord), que pour le caractère chaleureux de ses habitants ».

    Quant à Najim Uddin, d’Inde, il avoue: « J’écoute les programmes RRI à la radio et en ligne pour mieux comprendre la Roumanie, son histoire, sa culture, sa politique et ses gens. Cela fait longtemps que je m’intéresse à la Roumanie. Je suis reconnaissant à RRI parce que c’est une source précieuse d’informations et de commentaires, mais aussi un bon ami. Je vous remercie d’organiser de tels concours et de donner à vos auditeurs la chance d’y participer, dans l’espoir de visiter un jour la Roumanie. Une des raisons pour lesquelles je participe aux jeux de RRI est le fait que l’on a beaucoup de chances de gagner. Je pense aussi que la Roumanie est en train de traverser une période intéressante, qu’elle a de bonnes perspectives et je me réjouis d’en être au courant. Mais vu que les médias indiens n’offrent pas beaucoup d’informations sur la Roumanie, les seules sources restent RRI et Internet.»

    Chers amis, une fois de plus, nous vous remercions à tous d’avoir participé à jeu du festival RadiRo, un concours et un festival consacrés à la musique classique, organisé par Radio Roumanie.

    Les prix et les mentions seront envoyés par la poste dans les semaines à venir. Nous vous prions de confirmer, par lettre, e-mail ou fax, l’arrivée de l’envoi postal ainsi que son contenu. A très bientôt pour de nouveaux concours ! (Alecu Marciuc, Răzvan Emilescu, Eugen Cojocariu; trad.: Valentina Beleavski)

  • Les gagnants du jeu concours RadiRo 2016

    Les gagnants du jeu concours RadiRo 2016

    Chers amis, RRI vous a invités à participer à un nouveau concours doté de prix, sur le Festival international des orchestres de radio, RadiRo, 3e édition. Cet événement musical unique en Europe a fait venir à Bucarest, sur la scène de la Salle de la Radio, six grands orchestres, mais aussi des solistes et des chefs d’orchestres de renommée mondiale.

    Nous avons reçu au total 198 réponses correctes et nous vous en remercions à toutes et à tous!

    Les prix et mentions du concours seront des CDs de musique symphonique roumaine et étrangère, des œuvres d’art plastique signées par des artistes roumains appréciés, ainsi que des objets de promotion culturelle. Le concours est organisé avec le Lycée d’art «Nicolae Tonitza» de Bucarest, les Editions « Casa Radio » et la maison de disques «Electrecord».

    Le jeu a pris fin le 1er octobre 2016.

    Les réponses à nos questions étaient à retrouver dans nos émissions, sur notre site www.rri.ro, ainsi que sur nos profils Facebook, Twitter, Google+, LinkedIn.

    Mais avant de vous dévoiler le nom des gagnant, voyons quelles étaient les questions auxquelles vous deviez répondre et que les réponses correctes:

    – En quelle année a eu lieu la première édition du Festival international des orchestres de radio ? Réponse correcte : En 2012.

    – Qui est le directeur honoraire de la 3e édition du Festival ? Réponse correcte, le chef d’orchestre Kristjan Järvi.

    – Combien d’orchestres prennent part à la l’édition 2016 de RadiRo. Réponse correcte : 6 orchestres.

    – Qui est l’organisateur du festival ? Réponse correcte : Radio Roumanie.

    – Il fallait nous dire aussi ce qui vous a déterminés à participer à ce concours, et surtout pourquoi vous écoutez les émissions de RRI ou pourquoi vous nous suivez en ligne.

    Et maintenant, les gagnants !

    RRI a accordé 20 Mentions aux participants suivants : Lidia Dobrescu (Roumanie), Dejan Mijatovic (Serbie), Fritz Andorf (Allemagne), He Xige, Xue Fei et Jin Tao (Chine), Egor Auchev et Alexeï Ihnenko (Russie), Adervall Lima Gómez et Antonio Pereira dos Santos (Brésil), Juan Franco Crespo et Juan Antonio Morales (Espagne), Abdulkarim Ahmed Ali (Lybie), Mitul Kansal, Mohammad Shamim et Syampada Sarkar (Inde), Keith Simmonds (France) Mr. Najimmudin (Inde), Sola Agboola (Nigéria) et Larry Grabow (SUA).

    Keith Simmonds, qui vit en France, expliquait entre autres : « J’ai tellement écouté et lu sur ce pays surprenant et sur ces gens merveilleux qu’il m’est impossible de ne pas en être fasciné. Par conséquent, à chaque fois que vous annoncez un nouveau jeu, j’ai hâte d’y participer parce que je sais qu’en faisant des recherches sur le sujet proposé, je gagnerai davantage de connaissances sur ce pays et sur ses habitants. »

    10 auditeurs de RRI ont été récompensés du IIIe Prix du jeu RadiRo: Jean-Michel Aubier (France), Emad Ali Abdel-Wahed (Irak), Ji Yuan (Chine), Alvydas Alijosaitis (Lituanie), Nikolai Matveev (Russie), Rosa Chumpitaz (Pérou), José Luis Corcuera (Espagne), Henk Poortvliet (Pays Bas), Chin Fok Min (Malaisie) et Christer Brunstrom (Suède).

    Parmi eux: Jean-Michel Aubier de France, qui nous a écrit: « La musique classique a toujours été présente dans ma vie. A la maison, France Musque était la radio que l’on écoutait quasiment toute la journée, ma mère étant adepte de la « grande » musique. Et je l’entendais aussi jouer du piano. Très jeune, j’ai été inscrit dans une école de musique et j’ai appris le piano, sous la direction de plusieurs professeurs, dont l’actuel titulaire des Orgues de l’église de La Madeleine à Paris, et comme d’autres élèves, je jouais devant un public composé essentiellement de parents, mais qui atteignait presque le millier de personnes. Les aléas de la vie ont fait que j’ai abandonné la pratique du piano, mais mon instrument me suit au gré des déménagements, et j’espère bien m’y remettre quand j’aurai plus de temps, à la retraite par exemple. Mais il va falloir attendre un petit peu ! Un des liens avec l’écoute de RRI est justement la musique. RRI n’est certes pas Radio România Muzical, mais la présence d’émissions musicales est notoire. Normal, me direz-vous, la Roumanie est le berceau de musiciens de renom, compositeurs ou interprètes, tels Angela Gheorghiu, Vladimir Cosma, Ciprian Porumbescu ou bien sûr George Enescu dont un extrait de la rhapsodie roumaine N° 1, mondialement connue, ouvre les émissions de RRI. Cantonner l’écoute de RRI à la musique serait bien restrictif. Ayant la chance de disposer de créneaux horaires relativement importants, vous êtes à même d’offrir une programmation variée, regroupant la plupart des domaines auxquels l’auditeur est en droit d’attendre. Le domaine politique, et dans une moindre mesure, celui de l’économie, ont ma préférence. L’Europe connaît aujourd’hui des turpitudes et elle a un besoin urgent de réaffirmer la nécessité de son existence, face aux populismes de plus en plus présents sur notre continent. Avec Klaus Iohannis, héraut de la lutte contre la corruption et Dacian Ciolos, européen convaincu, l’Europe peut compter sur la Roumanie. En arrivant dans l’UE, la Roumanie présentait de nombreux handicaps parmi lesquels une corruption omniprésente. 10 ans après, la situation économique est relativement saine et la lutte contre la corruption a connu des succès, notamment ces dernières années. Il reste néanmoins beaucoup à faire et je compte sur RRI pour continuer à accompagner l’auditeur dans cette marche ».

    10 auditeurs de RRI recevront le II Prix de notre jeu : Amady Faye, Sénégal, Noureddine Ahmad Hussein, Jordanie, Daniele Giaccari, Italie, Ihor Danilevici, Ukraine, Ralf Urbanczyk, Allemagne, Alexandr Abramov, Russie, Graciela Mastrogiacomo, Argentine, Carrie Hooper, Etats-Unis, Chun-Quan Meng, Chine et Jonathan Murphy, Irlande.

    Parmi eux, notre cher ami Amady Faye du Sénégal affirme dans sa lettre de participation: « Pourquoi je participe à ce concours ? Parce que RRI est le magnifique portail musical où je découvre les plus grands orchestres du monde et cet agréable, formidable genre musical très répandu en Occident. Pourquoi j’écoute les émissions de RRI en ondes courtes et en ligne ? Parce que sur les ondes de Radio Roumanie Internationale, l’information est transmise en temps réel. »

    Et maintenant le Premier Prix. Voici les gagnants : Thomas Bégué, France, Stefano Citterio, Italie, Vitali Efimenko, Biélorussie, Marco Lehner, Allemagne, Fan Hongjie, Chine, Andrei Kuzmin, Russie, Luis Gerardo Pérez Loyola, Mexique, Hans Verner Lollike, Danemark, Grant Skinner, UK, et John Cooper, USA.

    Thomas Bégué de France est un des gagnants du Premier Prix du jeu RadiRo. Voici ce qu’il nous a écrit.

    « J’ai toujours aimé participer aux concours de toutes sortes, c’est un hobby, que ce soit par la presse, la télévision, la radio et par Internet. C’est très instructif. Je m’aperçois que beaucoup de radios d’ondes courtes organisent des concours concernant l’histoire de leurs pays respectifs. Même si je ne gagne aucun prix c’est la joie et le plaisir d’y participer. (…) C’est ma première participation. J’écoute RRI quand le temps me le permet, je le fais volontiers. La Roumanie est riche en histoire, aussi en littérature que j’apprécie beaucoup – maintenant c’est plus facile par Internet. J’ai eu l’occasion de visiter votre beau pays à plusieurs reprises. La langue roumaine est assez facile, c’est un dérivé du latin ; je me sens très proche de ce pays, c’est pour cela que je m’intéresse beaucoup à la Roumanie ».

    Comme d’habitude, nous avons accordé un Prix Spécial à 14 participants : Christian Canoën, France, le Roumain Alexandru Bușneag, Allemagne, Ivana Krickovic, Serbie, Farid Boumechaal, Algérie, Helmut Matt, Allemagne, Victor Lu et Guo Huimin, de Chine, Nikolai Loghinov et Nikolai Larin, Russie, Justino Losada Gómez, Espagne, Sandra Graciela Espósito, Argentine, Alastair Pamphilon, Grande Bretagne, Atilio Orellana Rojas, Japon, et Najim Uddin, Inde.

    Voici ce que nous a écrit notre cher ami Christian Canoën de France. «En tant qu’amateur de musique classique, je ne pouvais qu’apprécier la décision de Radio Roumanie d’organiser tous les deux ans le festival RadiRo (…). RRI nous offre un superbe panorama de la Roumanie, pays que j’aime beaucoup et que j’ai eu l’occasion d’apprécier à maintes reprises, tant pour ses attraits touristiques – montagne (Sinaia, Poiana Brasov, Monts Apuseni), mer (Mamaia et les stations balnéaires d’Eforie Nord), que pour le caractère chaleureux de ses habitants ».

    Quant à Najim Uddin, d’Inde, il avoue: « J’écoute les programmes RRI à la radio et en ligne pour mieux comprendre la Roumanie, son histoire, sa culture, sa politique et ses gens. Cela fait longtemps que je m’intéresse à la Roumanie. Je suis reconnaissant à RRI parce que c’est une source précieuse d’informations et de commentaires, mais aussi un bon ami. Je vous remercie d’organiser de tels concours et de donner à vos auditeurs la chance d’y participer, dans l’espoir de visiter un jour la Roumanie. Une des raisons pour lesquelles je participe aux jeux de RRI est le fait que l’on a beaucoup de chances de gagner. Je pense aussi que la Roumanie est en train de traverser une période intéressante, qu’elle a de bonnes perspectives et je me réjouis d’en être au courant. Mais vu que les médias indiens n’offrent pas beaucoup d’informations sur la Roumanie, les seules sources restent RRI et Internet.»

    Chers amis, une fois de plus, nous vous remercions à tous d’avoir participé à jeu du festival RadiRo, un concours et un festival consacrés à la musique classique, organisé par Radio Roumanie.

    Les prix et les mentions seront envoyés par la poste dans les semaines à venir. Nous vous prions de confirmer, par lettre, e-mail ou fax, l’arrivée de l’envoi postal ainsi que son contenu. A très bientôt pour de nouveaux concours ! (Alecu Marciuc, Răzvan Emilescu, Eugen Cojocariu; trad.: Valentina Beleavski)

  • La Vallée de Bârgău (édition concours)

    La Vallée de Bârgău (édition concours)

    C’est ici que se trouve la forêt séculaire qui sépare les Monts Călimani et ceux de Bârgău. Une zone très attrayante en toute saison pour ceux qui aiment les parcours en montagne. Randonnées à pied ou à vélo, alpinisme, pêche, kayak – ce ne sont que quelques activités à pratiquer dans la région, sans oublier une visite au Chateau Dracula, dans le col de Tihuţa.

    En quittant la commune de Bistrița-Bârgăului, à mesure que l’on monte en montagne, le paysage devient de plus en plus sauvage. A 7 km de la commune, on arrive au barrage et au lac de retenue de Colibiţa. On met deux heures environ pour faire le tour du lac en voiture.

    C’est pourquoi on l’appelle « la petite mer de la montagne ». Ici, l’équipe de RRI s’est arrêtée à l’hôtel Fishermans Resort, un des sponsors de notre jeu concours, pour parler avec Vasile Coruţiu des attractions de la zone: « Nous sommes au pied des monts Călimani, à 40 km de Bistriţa et à 17 km du Col de Tihuţa. Nous nous trouvons dans une dépression, c’est donc un avantage du point de vue du climat. En plus on peut en profiter de la mer aussi bien que de la montagne, d’où notre slogan « La mer de la montagne ». Nous vous attendons dans notre hôtel 3 étoiles, avec restaurant, cave à vin, un petit centre SPA, une salle de fitness, terrain de sport à l’extérieur, barques pour des randonnées sur le lac ou pour la pêche. Nous organisons des trajets en 4×4 et des randonnées guidées vers le pic de Călimani se trouvant à 18 km de distance de l’hôtel, à 2000 m d’altitude. Ou bien vous pouvez faire de l’équitation ou des randonnées en charrette. »

    Dans la Vallée de Bârgău les métiers traditionnels sont toujours vivants. La zone est connue pour ses vergers de pruniers et ses bergeries. Mais la renommée internationale de la contrée vient du fait qu’elle est associée au Comte Dracula. Et pour cause : il y a un siècle et demi, Bram Stoker y a trouvé un univers plein de mystère, source d’inspiration pour son roman « Dracula ». Pour faire vivre les légendes locales, on envisage la création d’un parc d’attractions tournant autour du mythe de Dracula, un parc regroupant : montagne russe, luges alpines sur rails du type Alpine Coaster, tyrolienne pour toutes les catégories d’âge, zones d’escalade, de sauts, de tir à l’arc, sans oublier un Château consacré à Dracula.

    Dans l’espoir de vous avoir convaincus de visiter la Vallée de Bârgău, nous vous invitons à participer à notre jeu concours qui vous fera découvrir cette contrée époustouflante et mystérieuse. Rappelons-le, le grand prix du jeu «Vacances à Bistriţa-Năsăud » est une excursion de 8 jours (7 nuitées) en pension complète, du 15 au 30 septembre 2016, pour deux auditeurs de RRI. Les grands gagnants auront l’occasion de découvrir l’Hôtel le Château de Dracula ou bien la région du lac Colibiţa dont nous avons parlé aujourd’hui. Bonne chance à tous et bon voyage ! (Trad. Valentina Beleavski)

  • Sibiu, destination de vacances

    Sibiu, destination de vacances

    Nous irons aujourdhui au centre de la Roumanie, plus précisément dans le comté de Sibiu, destination idéale de séjour en famille. Le chef- lieu de Sibiu abonde en attractions touristiques. La plupart dentre elles se trouvent au centre historique de la ville et dans ses environs. Pas besoin donc dutiliser des moyens de transport en commun pour y arriver. Vous pouvez arpenter toute la zone, histoire de vous imprégner de lambiance médiévale des lieux.



    Cest à Sibiu que le touriste peut visiter le premier théâtre ouvert au grand public de la province historique de Transylvanie. Et cest toujours là que le visiteur de passage peut marcher le long de lAllée des célébrités, celle qui rend hommage aux noms les plus sonores du monde du théâtre. Il ne manquera pas de passer devant les vieilles murailles denceinte et les tours de la citadelle dantan, dadmirer le buste de lempereur François – Joseph 1er dAutriche. La statue rappelle les temps où Sibiu comptait pour la troisième ville de lEmpire austro-hongrois, après Vienne et Timişoara, à disposer dun système déclairage électrique. Il ne faut pas manquer non plus de voir le buste en bronze de Friedrich Schiller, signe dappréciation de la contribution du poète et dramaturge à lessor de lenseignement en langue allemande.



    A Sibiu, tous les chemins mènent à la Grande Place. Celle-ci accueille nombre évènements, dont les fameux marchés de Noël et de Pâques. Tous les dimanches, à 10 heures pile, les cloches des églises catholique, évangélique, orthodoxe et réformées résonnent dans le Vieux centre – ville. Sibiu est un véritable modèle dharmonie interethnique et culturelle, affirme le professeur des universités Ioan Cindrea, qui est également président du Conseil départemental de Sibiu: « A Sibiu, vous allez tout de suite constater que les différents cultes religieux (orthodoxe, gréco-catholique, évangélique et catholique) se côtoient sur un rayon de plusieurs centaines de mètres, à savoir sur la Petite Place et la Grande Place et dans la rue de lEglise métropolitaine. Chacun se rend à son église, mais après loffice divin, tout le monde se réunit sur la Grande Place pour se saluer. Ici, la culture occupe une place de choix. Depuis 2007, année où Sibiu a été désignée capitale européenne de la culture, lactivité culturelle sest sensiblement intensifiée, ce qui a attiré de plus en plus de touristes. Leur nombre, qui a doublé par rapport à celui des habitants de la ville, ne cesse de monter. Chaque année, notre ville accueille le Festival international de théâtre, troisième grand événement au monde en son genre, le Festival du film documentaire Astrafilm, le plus important dEurope centrale et de lest, le Festival de jazz, le Festival de musique traditionnelle “Les chants des montagnes”, qui attire plus de 100 mille touriste au début du mois daoût. Nous essayons aussi de promouvoir les différentes localités du comté. En organisant, tous les quatre ans, un festival local, les différentes zones du département sont mises en valeur. »



    Ioan Cindrea, le président du Conseil départemental, a également énuméré quelques zones dintérêt des alentours de Sibiu et souligné limportance que les autorités locales prêtent au tourisme: «Je mentionnerais Bâlea, la zone de plus haute altitude du pays, où lon peut faire du ski 10 mois par an, les lacs salés de Bazna et dOcna et puis Păltiniş, la plus grande station climatique de Roumanie. Après avoir exposé notre plan de promotion touristique, nous attendons les investisseurs. Le tourisme suppose aussi une infrastructure de communication. Elle comporte des centres dinformation touristique, une association départementale de tourisme, des sites web dédiés, des codes QR installés sur les immeubles. En scannant ces codes, les visiteurs peuvent apprendre bien des choses sur lhistoire des bâtiments respectifs. De tels codes, il y en a même sur les façades des principaux musées: le Musée Brukenthal, le Musée des Sciences naturelles, le Musée Astra, le Musée de la Pharmacie, etc. »



    La Philharmonie dEtat de Sibiu organise bien des concerts, festivals de tango, de jazz ou des spectacles de folklore. Le Musée dhistoire naturelle de Sibiu est le deuxième plus grand de Roumanie du point de vue du nombre des objets exposés. Puisque Sibiu a été, par le passé, la première ville roumaine à sêtre dotée dune pharmacie, on ne saurait ne pas visiter le Musée de la Pharmacie, pour découvrir lhistoire des médicaments et des différents traitements.



    Les touristes sont également invités à parcourir des itinéraires à thème. Suivant leur domaine dintérêt, ils peuvent opter pour « La route de la nature », « La route des fortifications », « La route des fromages » ou encore « La route du sel ».



    Les passionnés de vélo sont les plus gâtés, affirme Simina Manea, directrice exécutive de lAssociation touristique locale: « Pour le nord du comté, nous avons lancé le projet permettant de découvrir les fortifications. En effet, hormis le bourg médiéval de Mediaş, qui vaut le détour, la zone abrite le plus grand nombre déglises fortifiées du département et de Transylvanie. Nous navons pas non plus oublié les charmants villages de la contrée, qui gardent toujours leur air dantan. Voilà pourquoi nous proposons des programmes de visite à vélo. Nous venons de baliser et de signaliser 200 km ditinéraires de randonnées pédestres et cyclistes, reliant les villages de la contrée et les belles villes de Sigihişoara, Sibiu, Mediaş et de Braşov. Je mentionnerais aussi le Pays de Secaş, une région moins peuplée, où se trouvent les lacs de Mândra et dOcna Sibiului. Autour de ce dernier sest dailleurs développée une station balnéaire. Les touristes y ont non seulement la possibilité de suivre des traitements contre les maladies rhumatismales, mais aussi de se détendre et de découvrir un coin de nature sauvage. »



    Voilà donc pour cette destination idéale de séjour en famille. La contrée de Sibiu vous attend avec ses nombreux hôtels et gîtes ruraux et avec une offre gastronomique à ne pas rater. (Trad.: Mariana Tudose)

  • 24.06.201 (mise à jour)

    24.06.201 (mise à jour)

    Renseignements extérieurs — Le président roumain, Klaus Iohannis, a nommé Mihai Razvan Ungureanu à la tête du Service de renseignements extérieurs. Historien de formation, M Ungureanu avait déjà occupé cette fonction entre 2007 et 2012 lorsque Traian Basescu était chef de l’Etat. Mihai Razvan Ungureanu a également été ministre des Affaires étrangères entre 2004 et 2007 et premier ministre pendant trois mois en 2012. Le poste de chef du Service de renseignements extérieur était vacant après la démission de Teodor Melescanu, l’automne dernier. Aux termes de la Constitution, le président Iohannis a communiqué sa décision aux présidents des deux Chambres du Parlement, qui doivent donner leur avis concernant cette nomination.



    Réunion — Le président roumain Klaus Iohannis participera, jeudi et vendredi, au Conseil européen d’été de Bruxelles, a fait savoir l’Administration présidentielle. Au menu des discussions, qui auront lieu pendant les deux jours du Sommet, figurent notamment la migration, la révision de la Stratégie européenne de sécurité, les actions de lutte contre le terrorisme, l’agenda numérique et le rapport de l’Union économique et monétaire visant à une meilleure gouvernance économique dans la zone euro.



    Code fiscal — Les députés de Bucarest ont voté ce mercredi les projets des nouveaux Codes fiscal et de procédure fiscale, qui devraient entrer en vigueur à partir du 1er janvier 2016. Précisons que la Chambre des députés est un organe décisionnel. Un des principaux points de la nouvelle loi, c’est la réduction de la TVA de 24 à 19% à partir du 1er janvier 2016. Le nouveau Code fiscal prévoit également la suppression de la taxe sur les constructions spéciales, des accises supplémentaires de 7 centimes d’euro par litre de carburants, et du taux d’imposition de 16% sur les dividendes à partir du 1er janvier 2016. Toujours mercredi, la Chambre des députés a approuvé la Loi des élections parlementaires. Le document stipule notamment le retour au scrutin proportionnel, de liste, et préserve le seuil électoral de 5%. Elle établit aussi des normes de représentation des citoyens par les élus nationaux. Dans ce dossier, l’assemblée décisionnelle est également la Chambre des députés.



    Défense — Le ministre roumain de la défense, Mircea Dusa, participe à la réunion de ses homologues des Etats membres de l’OTAN qui se déroule jusqu’à jeudi à Bruxelles. L’agenda de la réunion est dominé par les nouveaux défis sécuritaires, notamment la situation en Ukraine, après l’annonce par Washington du déploiement temporaire d’armement lourd en Europe Centrale et de l’Est. L’officiel roumain a signé mercredi, aux côtés des représentants de cinq autres pays (Bulgarie, Estonie, Lettonie, Lituanie et Slovaquie) une lettre commune d’adhésion aux principes et objectifs du Groupe de type nation – cadre, coordonnée par l’Allemagne (DEU FNC). Avec les six nouveaux adhérents, le groupe mentionné comptera 16 Etats alliés. Mircea Dusa a déclaré que la Roumanie avait toujours et activement soutenu le renforcement de la coopération entre les alliés européens, considéré comme un moyen essentiel en vue d’assurer les forces et capacités nécessaires à l’OTAN. A son avis, les ministres de la défense ont décidé d’aligner les efforts au sein du Groupe de type nation – cadre sur les changements stratégiques de l’OTAN.



    Concours — Les gagnantes du jeu – concours doté de prix « Govora les Bains – une oasis de santé » organisé par RRI, à savoir Beate Hansen et sa mère, Ursula Hansen, d’Allemagne, sont arrivées mardi en Roumanie. Elles seront accompagnées par Alexandru Grigorescu et Alexandru Lungu, journalistes à RRI. Beate et Ursula Hansen bénéficient d’un séjour de 8 jours, avec pension complète et cure balnéaire, à l’Hôtel “Palace”, monument historique de Govora les Bains, construit dans les années 1911-1914. Elles visiteront aussi les principales attractions culturelles et historiques de la région.




  • 19.06.2015 (mise à jour)

    19.06.2015 (mise à jour)

    Conférence – Présent à la conférence internationale GLOBSEC 2015, de Bratislava, le chef de la diplomatie roumaine, Bogdan Aurescu, a exprimé la préoccupation de la Roumanie à l’égard des évolutions sécuritaires dans ses voisinages est et sud. Il a souligné, dans ce contexte, la nécessité d’une réponse cohérente de la part de l’OTAN, par la mise en œuvre complète, d’ici le Sommet 2016, du Plan d’action de l’Alliance visant l’accroissement du niveau de réaction, ainsi que par la poursuite du processus d’adaptation stratégique de l’organisation aux nouveaux risques et menaces contre la sécurité, sur le long terme. Bogdan Aurescu a rappelé sa proposition d’élaboration d’une stratégie de l’OTAN concernant ses partenaires de l’Est et du Sud. Il a précisé que le renforcement de la capacité des partenaires, avec l’appui de l’OTAN, était nécessaire y compris pour que ceux-ci puissent gérer les risques découlant des conflits gelés. L’officiel roumain a évoqué l’exemple du conflit transnistrien, en République de Moldova, en réaffirmant que la stabilité politique de ce pays était importante pour celle du voisinage de l’OTAN et par conséquent pour l’organisation elle-même. Bogdan Aurescu a également précisé que l’élargissement de l’OTAN devait continuer, puisqu’il garantit le maintien et la consolidation de la crédibilité de l’organisation dans les conditions des défis extérieurs actuels.



    Fusion — Deux des composantes du gouvernement quadripartite de Bucarest, à savoir le Parti libéral réformateur et le Parti conservateur, ont fusionné, la nouvelle formation politique portant le nom d’Alliance des libéraux et des démocrates — ALDE. Le futur parti de centre-droit aura un seul groupe parlementaire et se présentera seul aux élections locales et parlementaires de l’année prochaine. Le Parti libéral réformateur du président du Sénat, Calin Popescu Tariceanu, et le Parti conservateur dont le leader est l’actuel ministre de l’Agriculture, Daniel Constantin, sont, aux côtés de l’UNPR, des partenaires au sein d’un gouvernement dominé par les sociaux-démocrates de Victor Ponta.



    Concours — Fin du séjour en Roumanie des premiers gagnants du jeu-concours organisé par RRI et doté de prix, “Vacances d’été sur la côte roumaine de la mer Noire». Il s’agit de Jaroslaw Jedrzejczak et de Justyna Drgas-Jedrzejczak, de Pologne. Accompagnés par Daniel Bilţ, journaliste à RRI, ils ont passé 7 nuitées, en pension complète, à l’Hôtel Delta” de la station littorale de Jupiter. Bains de soleil, aventure au bord de la mer Noire, visites, attractions culturelles et historiques de Constanţa, Mangalia et du comté de Constanţa, voilà quelques-uns des repères d’un séjour bien rempli. Au mois de septembre, nous attendons Alexandr Getz, de Kiev, Ukraine et son épouse. Alexandr Getz est le gagnant du deuxième séjour sur la côte roumaine de la mer Noire. Rappelons que ce jeu-concours a été organisé avec lappui de nos partenaires, dont la Mairie de Mangalia, lArchevêché de Tomis, le Musée dart de Constanţa, les Forces navales roumaines, l’Ecole d’application des Forces navales « Vice-amiral Constantin Bălescu» de Mangalia, le Musée d’histoire et d’archéologie de Constanţa, le Musée darchéologie « Callatis » de Mangalia, la filiale de Constanţa de lUnion des artistes plasticiens, le Musée de la Marine roumaine de Constanţa, le Conseil du culte musulman de Roumanie, le haras de Mangalia, Aventura Parc Neptun, Madame Elisabeta Moraitaki, sœur du peintre Ştefan Elefteriadis, né à Mangalia et établi au Brésil.