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  • Le Parc naturel Apuseni

    Le Parc naturel Apuseni

    Situés en Transylvanie, dans l’ouest de la Roumanie, les Monts Apuseni ne se distinguent pas nécessairement par leur altitude, mais par leurs multiples possibilités de loisirs. La beauté et la rareté des phénomènes karstiques, certains uniques en Europe, ont conduit à la création d’une zone protégée de 76 mille hectares : le Parc naturel Apuseni. Alin Moș, directeur de l’administration de ce Parc, nous lance une invitation difficile à refuser.



    « C’est une zone facile d’accès, vu que les altitudes ne sont pas considérables. Les plus hauts sommets atteignent ici un peu plus de 1 800 mètres. Il exise des zones de plateau, sans très grandes différences de niveau, et là où ces différences de niveau existent, elles ne demandent pas au touriste une forme physique particulière. Le Parc naturel Apuseni est très attrayant depuis le début du XIXe siècle. De nombreux programmes de visite y ont été proposés au fil du temps. Au début du XXe siècle, il y a eu les premiers aménagements touristiques, notamment là où certains itinéraires touristiques avec escaliers et des balustrades ont été organisés. Les premiers balcons, dans les zones panoramiques, ont été créés il y a plus d’une centaine d’années. À cette époque, le Parc naturel Apuseni était moins accessible au grand public, il était sauvage et peu touché par la civilisation. Aujourd’hui, notre Parc conserve encore, dans sa partie centrale, une zone tout aussi attrayante, justement parce qu’elle n’a pas été modifiée par l’activité humaine. »



    C’est le troisième parc de Roumanie en termes d’étendue, poursuit Alin Moş, directeur de l’administration du Parc naturel Apuseni.



    « C’est un parc naturel justement parce que sur son territoire, nous conservons l’interaction à long terme entre l’homme et la nature. Cela veut dire que sur le territoire du Parc vivent de nombreuses communautés humaines ; en nombre d’habitants, cela fait plus de 10 000 personnes qui vivent sur le territoire du Parc, dans trois départements : Bihor, Cluj et Alba. Une bonne partie de la superficie du Parc national Apuseni est incluse dans la zone historique du Pays des Moţi. Il s’agit principalement du bassin de la vallée de la rivière Arieş. De ce point de vue, la culture et les traditions locales sont l’attraction principale pour les visiteurs de cette région. »



    La principale attraction du Parc, c’est le karst. Il s’agit de la zone calcaire où se forment les grottes, les dolines ou encore les gorges. En tant qu’objectif d’importance internationale, nous nous devons de commencer par le glacier de Scărișoara. Alin Moş précise :



    « Il est célèbre à l’international surtout après 2009, lorsque des études ont remesuré le volume du bloc de glace, et il est certainement aujourd’hui le plus grand bloc souterrain de glace du monde, avec ses plus de 130 000 mètres cubes de glace. Son ancienneté supérieure à 4 000 ans le classe également parmi les plus anciens d’Europe. C’est pourquoi, aujourd’hui, le glacier de Scărișoara, le paysage particulièrement pittoresque des environs, la beauté du sous-sol, avec son bloc de glace et ses stalagmites et stalactites formées de glace, grâce à la température de la région, créent une attraction spéciale pour les visiteurs. De même, à compter de cette année, la première partie de l’accès au glacier sera rénovée, de sorte qu’à partir de la nouvelle saison touristique, l’accès se fasse avec des normes de sécurité améliorées et avec un confort beaucoup plus grand. »



    Cetăţile Ponorului (les Citadelles du Ponor) sont un autre objectif extrêmement important sur le territoire du Parc, emblématique pour la zone karstique des Apuseni. Alin Moş, directeur de l’administration du Parc naturel Apuseni, explique :



    « C’est un phénomène karstique d’une ampleur particulière. Pratiquement, c’est une zone qui, à première vue, rassemble trois dolines. Ce sont des creux dans la croûte terrestre, dans la roche de cette zone. Les trois dolines ont dans leur ensemble un diamètre d’un kilomètre, donc elles impressionnent également par leurs dimensions. La grotte qui part du milieu de ces dolines a un portail de plus de 70 mètres de haut à l’entrée. En fait, vous pouvez imaginer deux cathédrales placées l’une au-dessus de l’autre. La première chose qui fascine les touristes là-bas, c’est cette grandeur dans une zone de karst boisé, entouré de forêts d’épicéa, qui n’ont pas été exploitées par l’homme, donc leur structure naturelle n’a pas été modifiée. Le paysage en tant que tel et la grandeur de cet endroit vous laissent partir avec le sentiment d’avoir vu quelque chose de fantastique, un endroit que peu ont l’occasion de visiter. »



    Dans le Parc naturel Apuseni, il existe aujourd’hui plus de 1 500 grottes. Beaucoup d’entre elles sont des championnes de la longueur. Jusqu’à récemment, l’une était la grotte la plus profonde de Roumanie. Aujourd’hui, elle n’est dépassée que par une grotte dans le massif de Piatra Craiului. Beaucoup sont fermées au grand public, mais d’autres attendent leurs visiteurs. Parmi elles, la célèbre Grotte des Ours. À l’heure actuelle, elle possède l’une des infrastructures touristiques les plus développées de Roumanie et accueille jusqu’à 100 000 visiteurs par an. La plupart de ceux qui viennent visiter le Parc viennent pour le paysage particulier, mais aussi pour ces grottes qui ont une grande densité et une grande variété de formes et de couleurs, dit Alin Moş, directeur de l’administration du Parc naturel Apuseni.



    « Une administration des parcs naturels est orientée vers le développement de nouvelles expériences de visite. Avec le temps, grâce à tous les acteurs intéressés à accroître l’offre pour la destination du Parc naturel Apuseni, la Commission européenne nous a décerné en 2009 le titre de Destination européenne d’excellence, en bref, EDEN. Par la suite, nous avons participé à plusieurs projets visant à aider les communautés et les entrepreneurs locaux à développer des entreprises respectueuses de la nature, y compris celles du tourisme : des structures d’hébergement ou des produits alimentaires locaux. Beaucoup d’entre eux ont reçu une certification avec le logo du Parc. Lorsqu’une personne vient sur le territoire du parc ou entre dans un magasin en Roumanie et voit l’indication « partenaire du Parc naturel Apuseni », elle a la confirmation que le risque de contamination de ce produit par différentes substances est inexistant. Beaucoup d’entre eux sont dans la catégorie des produits biologiques. »



    Voici donc une destination idéale pour la saison estivale qui approche.


    (Trad.: Ligia)

  • Pădurea Craiului – destination d’écotourisme

    Pădurea Craiului – destination d’écotourisme

    Nous découvrirons là des paysages pittoresques, une cuisine délicieuse et des gens qui savent offrir des expériences inoubliables à tous les touristes. Loffre comprend des sentiers touristiques et thématiques, des grottes aménagées, des randonnées, des sentiers descalade faciles et des visites chez des artisans. Les plus audacieux peuvent sessayer au rafting, à la via ferrata, à lescalade ou à la tyrolienne. Nous apprendrons aujourdhui quels sont les sites les plus visités de Pădurea Craiului, avec Paul Iacobaş, responsable de cette destination écotouristique.



    « Pădurea Craiului est située dans le nord-ouest des Monts Apuseni, dans la partie occidentale de la Roumanie. Ce nest pas une zone très haute, elle a environ 600-800 mètres daltitude, mais là nous retrouvons un des éléments assez rares en Roumanie : le karst. Vous verrez donc des grottes, des gorges, des défilés, des plateaux karstiques. Tout ce karst boisé est un des éléments qui rendent Pădurea Craiului un peu différente des autres régions du pays. »



    Cest une zone qui a beaucoup de choses à offrir du point de vue touristique, en particulier pour ceux qui souhaitent des programmes daventure dans la nature, explique Paul Iacobaş, responsable de la destination décotourisme Pădurea Craiului :



    « Nous pouvons dire que ces dernières années, la région sest beaucoup profilée, dune part, comme destination daventure non seulement pour les professionnels, mais aussi pour ceux qui passent beaucoup de temps assis derrière un ordinateur et qui souhaitent mettre un peu de couleur dans leur vie. Dautre part, cest une destination intéressante pour les familles avec enfants et les personnes âgées, qui viennent ici pour différentes activités adaptées à leur âge. Si nous pensons à ceux qui viennent pour laventure, je crois bien que Pădurea Craiului peut être appelée le paradis de ces activités en Roumanie. Sur une zone relativement petite, nous avons presque la plus grande diversité dexpériences de ce type du pays. Nous nous référons, tout dabord, à la visite des grottes touristiques, au spéléo tourisme dans des grottes non aménagées, nous pensons aux pistes cyclables, à la via ferrata, aux sentiers de randonnée, aux parcours de rafting et, dernièrement, nous avons également développé quelques itinéraires de course en montagne. Pratiquement, à Pădurea Craiului, vous pouvez vivre toutes ces expériences. »



    La zone est riche en sites touristiques et attractions culturelles. Voici deux dentre elles, recommandées par Paul Iacobaş.



    « La Grotte de Meziad est bien connue du grand public en Roumanie ; elle a bénéficié ces dernières années dun nouvel aménagement et dune mise en valeur de son intérieur par des moyens modernes. Pour ce qui est des attractions culturelles, je mentionnerais les églises en bois. Même si elles ne sont pas aussi connues que celles du Maramureş, elles sont au moins aussi anciennes et intéressantes. »



    Si vous vous intéressez à lartisanat, il faut savoir que dans cette destination écotouristique, vous trouverez de nombreux artisans. Paul Iacobaş, responsable de la destination d’écotourisme Pădurea Craiului, nous en dit davantage :



    « Il y a la poterie blanche de Vadu Crişului. Cest une céramique très rare sur le continent européen. On dit quil nexiste quun ou deux endroits au monde où il y a cette céramique sans oxydes de fer, qui lui confère son aspect spécifique, proche de la porcelaine. Dans la région de Bihor et de Pădurea Craiului, il y a aussi lartisanat du violon à pavillon. Cest un violon auquel est attaché un dispositif damplification du son. Ainsi, le son du violon devient très métallique et aigu. Cest lun des instruments à retrouver lors de tous les événements communautaires ici – de la naissance et du baptême jusquau mariage et même à lenterrement. Nous avons ici un autre métier moins connu : la peinture sur œufs. Ils ne sont pas comme les œufs peints de Bucovine, cest une technique spécifique à Pădurea Craiului. »



    Paul Iacobaş, responsable de la destination écotouristique de Pădurea Craiului, dit que la pandémie de Covid-19 na pas affecté les plans de lorganisation quil représente.



    « Pădurea Craiului fait partie du réseau national des destinations écotouristiques. Nous avons un autre projet, qui vise à développer davantage linfrastructure de visite. Nous travaillerons à laménagement de pistes cyclables dédiées principalement aux familles avec enfants. Ce seront des itinéraires plus faciles. Nous travaillons également à lélaboration dun calendrier dévénements responsables à légard de lenvironnement et des communautés locales. Nous prévoyons aussi un itinéraire de via ferrata. Ce sera un parcours qui ne sera pas adapté seulement aux habitués des sommets et à ce type ditinéraire. Il aura une partie adaptée même pour les familles avec enfants. Ainsi, tout le monde pourra profiter de cette expérience. »



    Cette année, en raison des restrictions de voyage, Pădurea Craiului a eu moins de touristes que dhabitude, mais les opinions de ceux qui ont visité la région au cours des années précédentes ne se sont pas laissé attendre. Paul Iacobaş précise :



    « La plupart de ceux qui sont venus visiter cet endroit ont été ravis quil ne soit pas bondé, car cest encore une zone peu connue non seulement par les touristes étrangers, mais même par les touristes roumains. Ils sont enchantés que la nature et larchitecture des bâtiments soient préservées comme avant. Cest un endroit idéal pour un séjour dun jour ou deux, mais aussi pour un séjour dune semaine. »



    A Pădurea Craiului, vous trouverez la grotte la plus longue de Roumanie : la Grotte du Vent, avec une longueur supérieure à 47 km. Et pas en dernier lieu, vous pourrez même participer à des pratiques agricoles traditionnelles telles que le fauchage, la cueillette des fruits et lélevage. Sur le site padureacraiului.ro vous pouvez consulter à la fois loffre complète dactivités, mais également trouver dautres attractions intéressantes, en vue dun séjour inoubliable.


    (Trad.: Ligia)

  • Naturpark Westgebirge: Wanderwege und natürliche Sehenswürdigkeiten

    Naturpark Westgebirge: Wanderwege und natürliche Sehenswürdigkeiten

    Der Naturpark Apuseni (rum. Parcul Natural Apuseni) ist ein Naturschutzgebiet im Apuseni-Gebirge, im Westen Rumäniens. Der Naturpark erstreckt sich über eine Fläche von mehr als 75.000 Hektar in den Kreisen Bihor, Alba und Cluj. Er ist der drittgrö‎ßte Naturpark Rumäniens. Der Naturpark wurde im Jahr 2000 gegründet, obwohl der Wissenschaftler und Forscher Emil Racoviţă schon 1928 einen Vorschlag zur Gründung des Naturparks unterbreitet hatte. 2009 erhielt der Naturpark von der Europäischen Kommission den Preis European Destination of Excellence“ (EDEN) für Tourismus und geschützte Areale. Das EDEN-Projekt zielt darauf ab, weniger traditionelle Reiseziele zu fördern.



    Darüber hinaus will das Vorhaben auf die Vielfalt und Qualität des europäischen Tourismusangebots aufmerksam machen. Die EU will damit die Saisonalität des Tourismus reduzieren, den nachhaltigen Fremdenverkehr fördern und die touristischen Reiseziele besser untereinander verbinden. Alin Moş ist der Verwaltungsleiter im Naturpark Apuseni. Er betonte die Einmaligkeit der im Westen Rumäniens liegenden Region:



    Das Naturschutzgebiet erstreckt sich über drei Kreise, nämlich Bihor, Cluj und Alba. Es umfasst das bedeutendste Karstgebiet im Apuseni-Gebirge. Der Naturpark Apuseni zeichnet sich weltweit durch die au‎ßergewöhnliche Karstlandschaft aus. Diese hat ihn zum international anerkannten Reiseziel gemacht. Die Gletscherhöhle Scărişoara ist weltweit berühmt. In der Höhle befindet sich nämlich der grö‎ßte unterirdische fossile Eisblock in der Welt.“




    Die Verwaltung des Naturparks Apuseni feierte am 24. Mai den Europäischen Tag der Parks. Zu diesem Anlass aktivierte sie eine interaktive Karte. Mehr Details dazu lieferte der Verwaltungsleiter Alin Moş:



    Neben den bekannten touristischen Wanderwegen und Sehenswürdigkeiten — die internationale Anerkennung genie‎ßen — gibt es im Park auch viele Orte und Stellen entlang der Touristen-Routen, die weniger bekannt sind. Aus diesem Grund dachten wir uns dieses Programm zur Stärkung der Verbindung mit der Natur aus. Denn die Wald-Ranger, das Verwaltungspersonal kennen all diese Orte. Es passiert manchmal, dass die Parkbesucher durch ein Gebiet wandern, ohne zu wissen, dass es eine Natursehenswürdigkeit war. Denn sie wissen nicht, wo sich diese wunderschönen Orte befinden. Wir haben bis jetzt 39 solcher Stellen identifiziert und sie entsprechend markiert. An jeder solchen Stelle haben wir eine kleine Holzbank angebracht, damit sich die Leute setzen und die Natur in aller Ruhe bewundern können. Die Bänke wurden in der Regel aus Holzstämmen gebaut, die wir vor Ort fanden. Au‎ßerdem haben wir Infotafeln montiert. Diese umfassen Informationen und Hinweise, die wir ab Mitte April und bis zum Europäischen Tag der Parks über unsere online Kommunikationskanäle veröffentlicht hatten.“




    Die Parkverwaltung will mehr als 100 solcher Rastplätze inmitten der Natur einrichten. Neben den Hinweisen werden die Touristen auch emotionsgeladene, motivierende Botschaften auf den Schildern lesen können. Neben einem Bach werden sie zum Beispiel folgende Aufforderungen lesen: Lass deine Gedanken im Bachwasser herabflie‎ßen und finde zurück zu dir selbst und zur Natur!“ An einem anderen Ort, zwischen den Wurzeln einer alten Buche, steht folgende Botschaft: Setz dich in die Arme des alten Baums und lass dir die Geschichte des Waldes erzählen!“

  • QSL 1 / 2015: Movile-Höhle nahe Mangalia

    QSL 1 / 2015: Movile-Höhle nahe Mangalia

    Die sich in der Nähe der Hafenstadt Mangalia am Schwarzen Meer befindende Höhle Movile wurde 1986 entdeckt, als geologische Untersuchungen des Areals hinsichtlich der Errichtung eines Wärmekraftwerks durchgeführt wurden. Die Höhle hat eine Länge von 300 Metern und ist für das breite Publikum nicht zugänglich. Allein Wissenschaftler haben Zugang über einen künstlichen Schacht, an dessen Ende sich die 1-2 Meter hohen, teilweise unter Wasser stehenden Galerien der Höhle befinden.



    Was die wissenschaftliche Welt von Anfang an erstaunt hat, ist das einzigartige Ökosystem der Höhle, das völlig isoliert von der Au‎ßenwelt ist. Die unterirdische Welt der Höhle ist reich an Schwefelwasserstoff, Sauerstoff ist kaum vorhanden, hingegen wurde eine hohe Konzentration von Kohlendioxid (3,5%) und Methan (1-2%) gemessen. Die Erforschung durch rumänische Speläologen Anfang der 1990er Jahre hat zur Entdeckung bis dahin unbekannter Arten von Schnecken, Würmern, Spinnen, Blutegeln und Skorpionen geführt, die in diesem Habitat leben, das für andere Tiere tödlich wäre. Auch das Wasser in der Höhle hat eine andere chemische Zusammensetzung als jenes der Brunnen in der Nähe. Das schwefelhaltige Wasser kommt aus den Tiefen der Erde durch geschlossene Karstkanäle empor und misst 21 Grad Celsius. Die wirbellosen Tiere, die hier leben, weisen eine Depigmentierung (einen Verlust des Hautfarbstoffs) auf und haben auch kein Sehvermögen. Sie ernähren sich von Bakterien und Pilzen, die ihrerseits ihre Lebenskraft aus den warmen Schwefelquellen schöpfen.



    Die Entdeckung dieses Ökosystems, das auf Chemosynthese, und nicht auf Photosynthese basiert, hat die Aufmerksamkeit der Forscher von der amerikanischen Raumfahrtbehörde NASA erwirkt. Die US-Wissenschaftler verglichen die Lebensbedingungen in dieser Höhle mit jenen auf dem Planeten Mars. Die Movile-Höhle inspirierte auch den Regisseur Bruce Hunt, der seinen Horror-Film The Cave“ (2005) teils in Rumänien und mit rumänischen Schauspielern in einigen Nebenrollen drehte. Die Höhlen-Szenen wurden allerdings an einer anderen Location in Mexiko gefilmt.