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  • Le courrier des auditeurs 24.02.2017

    Le courrier des auditeurs 24.02.2017

    Je voudrais commencer le Courrier d’aujourd’hui en vous présentant le numéro de janvier — février 2017 de la revue Antennes du Perche, envoyé par notre cher ami René Pigeard. Sur la photo de couverture — des noms qui ne manquent jamais de ce Courrier — Gilles Gautier, René Pigeard, Guy Le Louët et d’autres membres du Radio Club du Perche. En parcourant la revue on apprend déjà que cette année le rendez-vous des Amis de la Radio aura lieu les 3 et 4 juin 2017 à la Vione, comme d’habitude. Puis, j’aimerais féliciter les participants et les gagnants du concours d’écoutes Rio 2016 du Radio Club du Perche, et surtout Jean Barbat, Guy Le Louët et Daniel Thielin — qui en sont les 3 premiers classés.



    D’autres sujets dans le dernier numéro des Antennes du Perche : L’histoire des 205 mètres de Monaco, une présentation de Radio Taiwan Internationale qui émet en 13 langues, un article qui nous fait savoir que Radio Free Asia a marqué l’année du Coq en janvier 2017 et un article signé Philippe Marsan et intitulé « A l’écoute des OC avec des postes à lampes ». Il s’agit de postes datant des années 50, à savoir un Prélude Schneider et un Sonora Elégance 12 qui vous ont permis de capter entre autres RRI ! Votre article a attiré mon attention surtout parce que mes grands-parents ont eu aussi un poste radio qui ressemble beaucoup au Sonora Elégance 12. Il pourrait bien être un Sonora. Il se trouve toujours chez ma grand-mère et j’y tiens beaucoup ; j’aimerais un jour lui trouver une place dans mon appartement. Pourtant je ne sais pas si ce poste fonctionne toujours.



    Et maintenant lisons certains de vos messages !



    Quel bonheur de lire les lettres et de découvrir les superbes cartes postales de Bernard Watelet ! Notre auditeur nous dit : «Dans le magazine Pro Memoria j’ai réécouté avec un vif intérêt l’histoire de l’arc et du rôle des archers moldaves et valaques dans les provinces roumaines à la bataille de Grunwald. Intéressant reportage sur le recensement des pélicans dans le delta du Danube au cours du programme Planète Verte. Dans Club Affaires, excellent reportage sur la filière des fruits de bois. J’ai apprécié la recette de la truite à la crème fraîche au cours de la rubrique gastronomique. Au cours du programme tourisme, j’ai bien aimé la visite de Fagaras et de ses alentours.» Ce sont des impressions de Bernard Watelet à propos de nos émissions de Lundi et Mardi. Mais, notre ami nous suit aussi les vendredis et les samedis, en témoigne le rapport suivant : « Dans le programme Gens d’aujourd’hui j’ai suivi avec attention l’entrevue avec le professeur d’université Ali Ben Maklouf sur la nécessité de lire les philosophes arabes. Au cours du programme Le café des francophones, intéressante causerie sur le patrimoine culturel. » Enfin, « C’est avec plaisir que j’ai suivi le Courrier des auditeurs, tout particulièrement l’histoire du parc Cismigiu », écrit M Watelet. Merci, cher ami, j’ai bien aimé vous en parler surtout que c’est un de mes endroits préférés de Bucarest. Merci pour ces retours sur nos émissions et à très bientôt !




    Toujours en France, Olivier Robin écrit « Je vous ai écouté ce soir, car je viens de rentrer plus tôt du travail… super ! Les conditions étaient excellentes, un très bon signal, merci pour ce programme. Merci à tous pour continuer à nous faire rêver avec votre voix si agréables à écouter. Votre voix est l’une des plus célèbres et reconnaissables de toutes les radios que j’écoute », conclut Olivier Robin de France. Cher ami, merci pour ces mots et vos rapports d’écoutes. Les deux rapports qui accompagnent la lettre que je viens de citer ont déjà été confirmés par des cartes QSL, par contre je vous prie de bien vouloir patienter pour les cartes de la fin 2016 et du début de cette année, car nos envois ne sont pas encore partis… pour des raisons budgétaires, malheureusement. J’espère que cette situation ne durera pas trop longtemps.



    Direction la Suède, pour saluer Ingmar Larsson. Il se présente « J’ai 68 ans, je suis un écouteur assidu des OC et collectionneur de cartes QSL». Eh bien j’espère que vous avez aimé nos QSL de 2016 et je suis sûre que vous allez aimer nos cartes de 2017 car elles vous feront découvrir des manoirs et forteresses de Roumanie.



    Retour en France maintenant. Didier Vasseur nous demande s’il y a beaucoup de parcs d’attractions en Roumanie. Je ne dirais pas « beaucoup » mais ils se multiplient. A Bucarest il y a trois aqua parcs très appréciés pendant l’été. Il y en a aussi au bord de la Mer Noire. Et j’y ajouterais aussi le Dino parc de la petite ville de Rasnov, en Transylvanie, où l’on peut se promener dans une forêt parsemée de dinosaures grandeur nature. Un endroit très agréable pour toute la famille.



    Marcel Lercerf de France nous a envoyé lui aussi un rapport d’écoute mentionnant plusieurs chroniques: «J’ai apprécié le Courrier des auditeurs, Pro Memoria, Ils sont célèbres, ils sont Roumains, Club Affaires, Gens d’aujourd’hui, ainsi que les infos, épine dorsale de votre station », conclut notre auditeur. Merci bien ! Effectivement, tous nos efforts sont concentrés pour vous donner l’information exacte, correcte sur notre pays, en temps réel et directement de la source !



    « L’écoute des émissions de votre station est toujours intéressante ! », affirme à son tour Hervé Duval de France. René Piegard renchérit : « toujours une parfaite rédaction, avec la qualité dedans (?) quoi demander de plus ! Bisous à Daria et à sa maman.» (Merci M Pigeard, c’est très gentil.) Et son compatriote Jean Barbat ajoute : « Chers amis, merci de nous gâter avec des émissions de très bonne qualité. C’est un plaisir de vous écouter.» J’ose dire, moi, au risque de répéter : c’est un plaisir de vous lire, chers amis.



    Un des auditeurs les plus assidus de RRI, c’est Michel Beine de Belgique. A en croire ses rapports, il ne rate aucune émission en français diffusée depuis la Roumanie. Je me demande bien comment il réussit à nous suivre tous les jours à toutes les heures de diffusion. En plus, ses rapports sont très précis, détaillés et très corrects. Chapeau ! A part ses rapports M Beine nous a aussi envoyé quelques mots à propos de notre radio et je voudrais vous en citer quelques passages : « La réception affiche dans l’ensemble d’excellents résultats. Les cartes QSL (de 2016) concoctées par RRI sont splendides, de jolies photos, très appréciées ! Je savoure et je déguste vos superbes émissions quotidiennes, sans modération, bien évidemment. Un dépaysement journalier, à la découverte de ce splendide pays nommé la Roumanie. (…) Bravo pour vos splendides programmes, attractifs, intéressants et constructifs ! Bonne continuation à toute l’équipe du Service Français ! Ma devise quotidienne depuis plus de 30 ans : «A l’écoute de RRI un jour, à l’écoute de RRI — toujours ! » conclut Michel Beine de Belgique. Cher ami, ces mots nous touchent beaucoup. Nous avons également noté toutes vos questions, de véritables défis pour une découverte plus profonde de la Roumanie. Parmi elles, la suivante : existe-t-il à Bucarest des lieux de promenades agréables ? La réponse est oui, bien sûr.



    Lisez la suite du sujet ici – http://rri.ro/fr_fr/michel_beine_belgique_meilleurs_lieux_de_promenade_de_bucarest-2560549



    Très bonne fin de semaine à tous!

  • Le courrier des auditeurs 18.09.2015

    Le courrier des auditeurs 18.09.2015

    Chers amis, nous sommes de nouveau ensemble pour quelques moments et je voudrais vous assurer que le plaisir est de mon côté. J’espère que tout le monde va bien et que vous pouvez encore profiter du beau temps là où vous êtes. Je vous invite d’abord à écouter l’entretien que j’ai réalisé avec un auditeur qui nous a récemment rendu visite, Pascal Guillemin.






    Pascal Guillemin, nous espérons que le reste de votre séjour se sera bien passé et que vous gardez de bons souvenirs de Roumanie.



    Quelle écoute attentive, et commentée, cher Amady Faye, du Sénégal ! Merci d’avoir suivi un de mes Courriers des auditeurs, Au café des francophones et Mot à mot, avec Dominique. Je vois que tu as même appris quelques nouveaux mots et expressions. Toujours fan de la musique roumaine, tu ne t’en lasses pas. Bien des choses à toi, Amady.



    C’est avec plaisir que je salue Paul Jamet, de France, merci de votre intérêt constant sur RRI malgré certains ennuis techniques parfois. Vous nous disiez : « Jétais ravi de suivre Radio Tour et dentendre parler du château de Bran que jai eu la chance de visiter par deux fois, 1976 et 2003. » Que le monde est petit, n’est-ce pas ?



    Jean-Marc Olry, de France, nous a fait l’amitié de nous écrire, voici un extrait : « Merci pour les allusions à mes lettres et messages dans le Courrier. Je suis content que ma carte soit bien arrivée. En fait jécoute vos émissions plusieurs fois par semaine principalement à midi et sur Internet. Je vais essayer de rebrancher mon “antenne” bricolée pour voir si lécoute est bonne sur les ondes courtes. Comme jécoute RRI au bureau en grignotant ou en travaillant je nai pas toujours loccasion denvoyer immédiatement un message. Alors joublie … Jaurais voulu vous dire que jai apprécié une émission sur les poètes roumains francophones, sans doute dans “La Roumanie en toutes lettres”. Je nai pas retrouvé sur le site. Cétait très intéressant … juste au moment où la France semble se replier sur elle-même. Dommage que cela ne se sache pas plus que des écrivains et poètes roumains (et dautres dailleurs) écrivent ou ont écrit dans notre langue. Jaime bien écouter “Ma Roumanie, Chronique dun Amateur” ». Nous en sommes ravis. Bonne continuation et à bientôt !



    Philippe Dessales faisait le commentaire suivant sur notre profil Facebook : « Depuis que jai découvert les émissions de RRI, je les suis assidûment… ». Tant mieux ! faites connaître RRI autour de vous !



    Merci à toutes celles et à tous ceux qui nous ont écrit et/ou envoyé des bulletins de réception, et notamment à Ingmar Larsson, de Suède.



    Il ne me reste plus qu’à vous souhaiter une excellente fin de semaine. Au plaisir de vous retrouver d’ici quinze jours !

  • Le courrier des auditeurs 05.12.2014

    Le courrier des auditeurs 05.12.2014

    Un week-end pas comme les autres, surtout pour les enfants qui se réjouissent de l’arrivée du Saint Nicolas qui, selon la tradition, leur distribue cadeaux et friandises. Bien sûr, pour cela, il faut notamment être bien sage, car sinon, on risque de voir débarquer le Père Fouettard. En Roumanie, la tradition veut que le soir du 5 décembre, les enfants nettoient leurs souliers qu’ils rangent près de la porte et que le bon Saint Nicolas remplit par la suite de bonbons, chocolats, pain de mie ou fruits. Parfois, le Saint Nicolas laisse des bonbons même dans les petites armoires se trouvant dans les salles de classe. Et puisque on vient de parler d’une fête de la générosité, permettez-moi dans les minutes suivantes de vous parler des personnes âgées de Roumanie. Un sujet auquel on s’est déjà attaqué lors de notre dernière édition Société, mais qui s’avère très vaste. Et puisque notre ami Nouari Naghmouchi voudrait apprendre davantage sur l’avenir réservée aux personnes âgées de chez nous, permettez-moi de reprendre au micro un reportage que j’ai réalisé il y a quelque mois et qui porte justement sur les maisons de retraite de Roumanie.



    «C’est une grande bêtise que d’avoir peur d’une maison de retraite comme celle-ci. Je me souviens du moment où j’en ai parlé à des amis et tous se sont exclamés : mon Dieu, tu vis dans un asile ? Mais non, voyons, ce n’est pas un asile, mais un établissement qui m’offre la chance de mener une vie tranquille. Vous voyez ? C’est pour cela qu’on voit toujours des vieux vagabonder dans les rues. Par peur et par honte ».



    Plus d’un an s’est écoulé depuis que Teodora Dragut a intégré la Maison de retraite ‘Nicolae Cajal’ gérée par la Municipalité de Bucarest. Cette chance, elle la doit à des gens de bien qui ont été impressionnés par le sort de cette retraitée retrouvée dans un foyer des sans-famille, avec pour seule fortune ses livres et une poupée blonde dont elle prend soin comme de l’enfant qu’elle n’a jamais eu.



    A ses 85 ans, Teodora Dragut n’a plus qu’un neveu qui, à la mort de sa propre mère, a décidé de la mettre à la porte. Titulaire d’une pension de retraite insuffisante pour se payer la taxe dans une maison de retraite et dépourvue de tout autre personne apparentée à même de lui accorder un soutien financier, Madame Dragut a rejoint la liste des cas sociaux assumés par la municipalité. Elle a eu de la chance, c’est vrai. Mais alors, à combien se monte le nombre de retraités roumains, en détresse financière, capables de se trouver une place dans un tel établissement ? Et surtout, combien d’entre eux accepteront, une fois devenus trop vieux pour prendre soin d’eux mêmes, de fermer de bon gré la porte de leur maison et emménager dans un endroit inconnu afin de partager leur solitude avec d’autres comme eux ?



    Selon les données offertes par la Direction des Services Sociaux du Ministère roumain du Travail et de la Famille, le nombre total de maisons de retraite dépasse à peine les 200, tandis que plus de 2600 seniors figurent toujours en liste d’attente. La plupart d’entre eux sont en situation de dépendance, malades et démunis, or, la maison de retraite n’est pas gratuite. Pour y accéder, le retraité doit payer la taxe soit entièrement si sa pension le lui permet, soit à hauteur de 60%, si la famille se charge du reste. Quant à l’Etat, il n’assume que les cas sociaux. Mais là aussi, les choses risquent de se compliquer dans un pays où le nombre de retraités est à la hausse tandis que le budget de la sécurité sociale se creuse de plus en plus.



    Carmen Manu, à la tête de la Direction des Services Sociaux du Ministère du Travail: « Généralement, dans tous les Etats ex-communistes, membres de l’UE, c’est le budget national qui supporte la sécurité sociale. C’est pourquoi il faudrait créer des fonds ou acheter des assurances, car tous les services publics à l’intention des retraités sont très chers. Et, si l’on pense au rythme accéléré du vieillissement de la population, l’on constate que, bientôt, il n’y aura plus de financement et cela non pas parce que les autorités ne veulent plus en offrir. Elles n’auront plus de ressources. En plus, la famille actuelle ressemble à un sandwich avec les adultes au milieu obligés d’assumer aussi bien la responsabilité de leurs enfants que de leurs parents ».



    Or, à partir du moment où les adultes ne peuvent plus soigner leurs vieux, la maison de retraite reste une solution. Mais puisque dans le public, les listes de candidats sont très longues et que la famille a parfois du mal à attendre, de plus en plus de Roumains privilégient l’alternative privée. Surtout qu’ici, ils espèrent échapper à la crise de personnel spécialisé qui caractérise le système public.



    Le jour où sa grand-mère nonagénaire a souffert un AVC, Alexandra s’est rendu compte qu’elle n’avait plus les moyens de la soigner à domicile, surtout qu’elle devait s’occuper également de sa gamine de six ans. Réticente envers l’accueil qu’une maison de retraite publique pourrait réserver aux seniors, Alexandra a opté pour un établissement privé et cela parce que: « Lors de ma première visite au Fief des Grand Parents, j’ai remarqué que le centre a l’air d’un hôtel. J’avais peur qu’il ne ressemble à un asile, d’ailleurs c’est ce qui effrayait le plus ma grand-mère. Mais, dès qu’elle y est arrivée et qu’elle a poussé la porte de sa chambre, elle a poussé un soupire de soulagement avant de me dire ouf, ça n’a pas du tout l’air d’un hôpital”. Car, c’est comme ça qu’elle s’imaginait le centre: une sorte d’asile doté de lits en fer blanc, couverts de matelas ordinaires et dégageant cette odeur propre aux hôpitaux. »



    Quant au tarif, Alexandra trouve correcte une facture mensuelle de quelque 450 euros pour avoir la certitude que sa grand-mère bénéficie de tout le confort nécessaire. Ce fut d’ailleurs le principal objectif de Mariana Melinger, une architecte née à Bucarest et établie en Israël au moment où elle a décidé de mettre sur pieds le centre Le Fief des Grand Parents: aider les seniors à mener une vie meilleure dans un établissement de quatre étoiles près de la capitale. Contrairement à ce que l’on pourrait croire, ce n’est pas le tarif qui pousse les Roumains à éviter un tel centre. Mariana Melinger: « La mentalité des Roumains reste assez primitive. Ils pensent abandonner leurs parents ou grand-parents au moment où ils décident de leur placement dans un centre comme celui-ci. Mais nous, on souhaite leur offrir des conditions de vie meilleures qu’à la maison. »



    Bien que la mentalité collective les associe souvent à la misère et à l’indifférence, les maisons de retraite publiques font pas mal d’efforts pour offrir à leurs résidents de bonnes conditions d’hébergement et de repas et surtout une panoplie d’activités censées les maintenir dans la vraie vie”. « On leur met à la disposition un club où ils viennent bavarder, regarder la télé et surtout apprendre à peindre des icônes sur verre. Nous avons aussi deux bichons, un perroquet et un aquarium. Parfois, on les emmène en visite aux monastères et on profite de ces sorties pour faire une barbecue et les aider à se sentir comme ils se sentaient jadis au sein de leur famille. En été, on les emmène en compagnie du personnel soignant à Moeciu, pour y passer deux semaines de vacances dans notre pension. »



    Bien que Catalin Maxim, le manager de la Maison de retraite Casa Max, dans le 3ème arrondissement de la capitale, soit très fier des activités proposées, pour madame Olga, elles ne semblent pas suffisantes pour combler le vide créé voilà sept ans par la mort de son mari et la perte de sa maison: « J’ai eu du mal à m’intégrer. Je ne trouvais pas ma place. A présent, ça va mieux, mais je ne peux pas parler de cet établissement comme d’une vraie maison à moi. Je suis comme au sein d’une famille et pourtant…n’en parlons plus! »



    Effectivement, pour ceux arrivés au bout de leur chemin, seuls et sans appui, les mots sont souvent superflus. Tout ce qu’il leur reste c’est de se voir exaucer un grand souhait, aux dires de Mme la psychologue Mirela Fita de la Maison de retraite Nicolae Cajal de Bucarest: « Ils souhaitent préserver leur santé pour ne pas être cloués au lit. Ils veulent rester actifs et en forme le plus longtemps possible. »



    Or, tant qu’on ne laisse pas nos seniors en proie à la solitude ou au sentiment d’inutilité, on peut les aider à se transformer comme par miracle de quelques pauvres vieux en détresse en des grands-parents extraordinaires.



    Dirigeons-nous vers la France pour faire un petit coucou amical à M. Pierre Marichal de Torcy qui nous a envoyé un rapport d’écoute détaillé et un petit mot sympa que j’aimerais citer : « ce mot, dit-il, pour vous dire toute ma satisfaction à l’écoute de RRI en français ». Merci à vous, merci pour la liste antérieure de compliments et merci de nous signaler que l’écoute est excellente là où vous êtes ! Ca, c’est une magnifique nouvelle, surtout que des interférences nous sont signalées parfois par d’autres amis francophones du monde. Gros bisous de Bucarest, cher Monsieur et au plaisir de vous lire !



    Bonjour la Suède et bonjour à vous, Ingmar Larsson. Comment allez-vous ? Merci pour le rapport d’écoute qui nous annonce un très bon signal là où vous nous écoutez, à une vingtaine de kilomètres au sud-ouest de Stockholm. Bien sûr que vous aurez ce rapport confirmé par une carte QSL pour le mois de juillet qui s’ajoutera à votre collection. Gros bisous de la part de nous tous !



    Retour en France pour saluer M. Robin Olivier d’Orvault qui affirme avoir apprécié notre émission sur le sport à l’école. Nous sommes heureux de l’apprendre et j’espère que vous aurez également aimé la réponse de cette édition qui touche à sa fin. Cher ami, grosses bises de Bucarest où l’hiver s’est déjà installé. Nous avons de la neige et un temps morose, mais nous avons aussi un joli marché de Noël au cœur de la capitale. Il n’a pas la grandeur de celui bruxellois ou viennois, mais, il faut saluer l’initiative de la Municipalité. Ceci dit, bien des choses à vous et à vos proches !



    Restons toujours en France pour un petit clin d’œil amical à notre cher Paul Jamet. Comment allez-vous ? Merci à vous pour tous les rapports d’écoute nombreux et très détaillés qui nous prouvent à chaque fois votre fidélité envers nos ondes. J’ai bien noté votre question sur la réserve de bisons de Roumanie et dès que nous en aurons des détails, on en parlera au micro du courrier. Sinon, je remarque des hauts et des bas dans la qualité de la réception en ondes courtes. Décidément, en pleine ère de l’Internet, les transmissions à l’ancienne perd du terrain et malheureusement de la qualité. Pourtant, tant qu’il nous sera permis, on continuera nos programmes en ondes courtes, car les traditions doivent se préserver, n’est ce pas ? Ceci dit, gros bisous de Bucarest et à bientôt sur nos ondes.

  • Le Courrier des auditeurs 09.08.2013

    Le Courrier des auditeurs 09.08.2013

    La Roumanie fond sous la canicule ! Ceux qui ont la possibilité de fuir les villes recherchent la fraîcheur à la mer ou à la montagne. Pour les autres, c’est l’enfer, s’il n’est pas agrémenté par la climatisation. Où aller ? Notre fidèle auditeur belge, M. Michel Beine, s’intéresse aux monuments roumains figurant sur la liste du patrimoine mondial de l’UNESCO. Ce serait une bonne idée d’aller les visiter.



    Davantage dans la section « Vos questions, nos réponses » – http://www.rri.ro/fr_fr/michel_beine_belgique_monuments_roumains_sur_la_liste_du_patrimoine_mondial_de_lunesco-5230



    Nous recevons un message en anglais d’un auditeur suédois, et qui s’adresse à Valentina. Merci pour votre bulletin de réception, cher M Ingmar Larsson. Nous apprenons que notre auditeur a 64 ans, et qu’il est un collectionneur de cartes QSL et de timbres sérieux, spécialement de QSLs et de grilles horaires de RRI. Votre bulletin sera confirmé, et nous en attendons d’autres !



    M Sylvain, de France, réagit à une interview entendue sur nos ondes : « Très bonne réception de vos émissions Courrier des auditeurs du début à la fin. Programme très intéressant. (Merci, vous m’en voyez ravie.) Je voudrais revenir sur les propos de l’intervenant à l’antenne. Je suis rouge de colère d’entendre dire d’un auditeur qu’il préfère écouter Radio Roumanie sur Internet que sur les ondes courtes. C’est là tout le charme des ondes courtes et je ne vois pas l’intérêt d’aller sur le net. C’est bien dommage, l’arrêt de beaucoup de stations radio en ondes courtes et j’aimerais entendre votre station radio pour de longues années sur les ondes courtes ».



    A chacun sa préférence, M Sylvain. L’important, c’est de pouvoir suivre les émissions dans de bonnes conditions. Cette semaine, nous avons plusieurs écouteurs qui se sont exprimés à ce propos. Voici ce que pense notre ami de longue date, M. Michel Minouflet, de France : « Votre station est l’une des dernières qui maintient sa présence sur les ondes courtes. Il est certain que la fin des émissions sur les ondes courtes a considérablement diminué le nombre des auditeurs des radios internationales. Certains ont pensé qu’en diffusant sur Internet on pouvait escompter gagner de nouveaux auditeurs. Malheureusement il n’en est rien, malgré la réception parfaite des émissions grâce à l’informatique. L’équipement nécessaire pour écouter les radios du monde sur Internet est beaucoup trop coûteux et de nombreux auditeurs ne pouvant se permettre d’acquérir l’équipement ont été privés de l’écoute de leurs radios préférées. Aussi je souhaite que Radio Roumanie continue à diffuser sur les ondes courtes le plus longtemps possible ». Merci, Michel. C’est ce que nous espérons aussi.



    Notre auditeur M Paul Jamet, de France, est, lui, très favorable aux nouvelles technologies : « SVP, ne changez rien ! Ce matin sur 11830 KHz en DRM, cétait parfait ! Il y a bien longtemps que je navais pas profité du DRM de RRI dans de telles conditions. Excellent ! Ne changez rien ! », dit encore notre auditeur français. En fait, nous avons des auditeurs qui nous écoutent sur tous les moyens de diffusion que nous mettons à leur disposition. Nous sommes contents de pouvoir atteindre tout un chacun, selon ses préférences. Merci de nous écouter et de nous soutenir, chacun à sa manière, Michel, M Sylvain et M Jamet!



    Bienvenue sur nos ondes à MM Christian Breton, du Canada, et à Idrici Belkcem, d’Algérie. Nous espérons réussir à vous intéresser à nos programmes, aujourd’hui comme demain. Notre auditeur algérien s’intéresse à l’écoute radio et voudrait rejoindre un club d’auditeurs de son pays. Quelqu’un qui suit cette émission pourrait-il lui en indiquer un ? Il habite Béjaïa. Merci d’avance.



    M. Gilles Gautier, de France, merci pour ton message avec 3 rapports d’écoute, où nous lisons : « Toujours un plaisir à vous écouter, même si le temps me manque un peu, et il faut le reconnaître, le courage. Depuis un moment nous avons beaucoup de travail, et dans limprimerie en ce moment cest très dur! Alors on ne se plaint pas et on travaille quand il y a du travail! En France, ce secteur est très touché par la crise, mais on parle plus de lautomobile que de limprimerie! Salutations à toute léquipe. » C’est signé Gilles Gautier du Radio club du Perche. Cher Gilles, j’ai bien noté ta question ; nous y pensons.



    Merci à tous ceux qui nous ont écrit et / ou envoyé des bulletins de réception, et notamment à M. Guy Le Louët, de France, président du Radio club du Perche, que je salue. Je lis la fin de son rapport d’écoute : « bon programme très varié, surtout le courrier, réception très bonne ». Je suis ravie que tu aimes cette émission, Guy.