Tag: Let’s Do it

  • 21.09.2019 (mise à jour)

    21.09.2019 (mise à jour)

    Candidatures – En Roumanie, deux
    nouveaux candidats à l’élection présidentielle de novembre prochain ont décidé
    de s’inscrire dans la course électorale ce samedi. Les deux sont Kelemen
    Hunor, le candidat de l’Union démocrate des Magyars de Roumanie (UDMR), et Mircea
    Diaconu, soutenu par l’Alliance des libéraux et des démocrates (ALDE) et par le
    Parti Pro România. Vendredi, ce furent le président sortant Klaus Iohannis, soutenu
    par Parti national libéral (PNL), et le leader de l’Union Sauvez la Roumanie (USR),
    Dan Barna, soutenu par l’Alliance USR-PLUS, qui avaient officiellement déposé
    leurs candidatures. La liste des candidats contient également les noms de
    Viorica Dăncilă, de la part du Parti social-démocrate (PSD), et de Theodor
    Paleologu, soutenu par le Parti du Mouvement populaire (PMP). Le délai de dépôt
    des candidatures à la présidentielle
    expire demain à minuit. La campagne électorale débutera le 12 octobre,
    mais la publicité électorale est déjà visible dans les rues de Bucarest. Dans l’opinion
    des analystes de la scène politique roumaine, à la différence du scrutin
    précédent, la pré-campagne actuelle met en évidence des figures politiques bien
    plus diverses et privilégie l’image à la place du slogan.

    Visite – La
    première ministre roumaine, Viorica Dăncilă, commencera ce dimanche une visite
    de travail d’une semaine aux Etats-Unis. Elle y est accompagnée par le ministre
    de la défense, Gabriel Leş, et par celui des finances, Eugen Teodorovici. La
    cheffe de l’Exécutif de Bucarest a annoncé, ce samedi, que l’agenda de cette
    visite comprend un entretien avec le vice-président américain Mike Pence, la
    participation à une réunion consacrée à la lutte contre le terrorisme, une
    rencontre avec des hommes d’affaires, visant notamment à présenter les
    avantages des investissements en Roumanie, la signature d’un mémorandum concernant
    l’énergie et d’un document relatif au domaine de la santé avec la Banque
    mondiale. La première ministre Viorica Dăncilă a aussi précisé qu’elle avait l’intention
    de rencontrer des représentants des communautés roumaines des Etats-Unis.

    Ecologie – Ce samedi a été consacré à un nettoyage des décharges sauvages dans toute la Roumanie.
    Cela fait neuf ans que l’organisation écologiste « Let’s Do It, Romania! »
    mobilise des dizaines de milliers de volontaires qui ramassent des tonnes de
    déchets. Ce mouvement civique fait partie d’une initiative plus ample,
    impliquant une centaine de pays. Une autre action de nettoyage des plages littorales
    et des eaux de Roumanie a également commencé, ce weekend. L’association « Act
    For Tomorrow », organisatrice de l’événement, explique qu’il s’agit d’une
    action de volontariat en deux étapes, d’abord le ramassage des déchets qui
    flottent près des plages de la mer Noire et ensuite les déchets solides se
    trouvant au fond de l’eau. Le nettoyage des rives et des eaux du Danube est
    programmé en octobre. En Roumanie, une seule personne produit 254 kg de déchets
    ménagers par an, dont moins de 10% sont recyclés, un pourcentage largement
    inférieur à la moyenne de l’Union européenne de 28%. Si la Roumanie n’atteint
    un taux de recyclage de 50% d’ici l’année prochaine, elle pourrait être obligée
    à payer jusqu’à 200.000 euros d’amende par jour et risquerait de perdre les
    fonds communautaire destinés à la protection de l’environnement.

    Naval – Le navire-école « Mircea » conclut ce weekend la première série d’escales dans
    des ports danubiens, effectuées pendant ses 80 ans de service dans la Marine
    militaire roumaine, informe un communiqué de presse des Forces navales. Ce
    premier périple sur le Danube a débuté le 15 septembre à Tulcea, pour
    continuer à Galaţi et à Brăila, les trois villes-ports étant situées dans l’est de la Roumanie. Plusieurs dizaines de milliers de
    personnes ont visité le trois-mâts « Mircea », cette semaine.






    Météo – Il fera
    beau partout en Roumanie, dans les prochaines 24 heures. Les températures
    monteront doucement, pour atteindre entre 18° et 26°, dimanche après-midi.

  • 21.09.2019

    21.09.2019

    Election présidentielle – En Roumanie, deux
    nouveaux candidats à l’élection présidentielle de novembre prochain ont décidé
    de s’inscrire aujourd’hui dans la course électorale. Les deux sont Kelemen
    Hunor, le candidat de l’Union démocrate des Magyars de Roumanie (UDMR), et Mircea
    Diaconu, soutenu par l’Alliance des libéraux et des démocrates (ALDE) et par le
    Parti Pro România. Hier, ce furent le président sortant Klaus Iohannis, soutenu
    par Parti national libéral (PNL), et le leader de l’Union Sauvez la Roumanie (USR),
    Dan Barna, soutenu par l’Alliance USR-PLUS, qui avaient officiellement déposé
    leurs candidatures. La liste des candidats contient également les noms de
    Viorica Dăncilă, de la part du Parti social-démocrate (PSD), et de Theodor
    Paleologu, soutenu par le Parti du Mouvement populaire (PMP). Le délai de dépôt
    des candidatures à la présidentielle
    expire demain à minuit. La campagne électorale débutera le 12 octobre,
    mais la publicité électorale est déjà visible dans les rues de Bucarest. Dans l’opinion
    des analystes de la scène politique roumaine, à la différence du scrutin
    précédent, la pré-campagne actuelle met en évidence des figures politiques bien
    plus diverses et privilégie l’image à la place du slogan.


















    Police politique – Président de la Roumanie entre
    2004 et 2014, Traian Băsescu a collaboré avec la Securitate, la
    police politique de l’ancien régime dictatorial de Nicolae Ceauşescu – a décidé
    hier la Cour d’appel Bucarest, près de 30 ans après la chute du communisme.
    Cette décision n’est pas définitive, et M. Băsescu, actuellement député
    européen de la part du Parti du Mouvement populaire, a déjà annoncé qu’il
    allait la contester à la Haute Cour de Cassation et de Justice. Selon le
    Conseil national d’étude des archives de la Securitate, l’ancien président
    avait rédigé, en 1975, deux notes informatives qu’il avait signées du nom
    conspiratif de Petrov. Depuis le début des années 2000, Traian Băsescu s’est vu
    délivrer par le Conseil national d’étude des archives de la Securitate plusieurs attestations de non collaboration
    avec la police politique communiste. Dans le même temps, afin d’occuper des
    fonctions publiques, l’ancien chef de l’Etat avait donné plusieurs déclarations
    sur l’honneur qu’il n’avait pas collaboré avec la Securitate.

    Ecologie – C’est un samedi consacré à un nettoyage des décharges sauvages dans toute la Roumanie. Cela fait neuf ans que l’organisation écologiste « Let’s Do It, Romania! » mobilise des dizaines de milliers de volontaires qui ramassent des tonnes de déchets. Ce mouvement civique fait partie d’une initiative plus ample, impliquant une centaine de pays. Une autre action de nettoyage des plages littorales et des eaux de Roumanie se déroule également aujourd’hui. L’association « Act For Tomorrow », organisatrice de l’événement, explique qu’il s’agit d’une action de volontariat en deux étapes, d’abord le ramassage des déchets qui flottent près des plages de la mer Noire et ensuite les déchets solides se trouvant au fond de l’eau. Le nettoyage des rives et des eaux du Danube est programmé en octobre. En Roumanie, une seule personne produit 254 kg de déchets ménagers par an, dont moins de 10% sont recyclés, un pourcentage largement inférieur à la moyenne de l’Union européenne de 28%. Si la Roumanie n’atteint un taux de recyclage de 50% d’ici l’année prochaine, elle pourrait être obligée à payer jusqu’à 200.000 euros d’amende par jour et risquerait de perdre les fonds communautaire destinés à la protection de l’environnement.
























    Anniversaire – La
    capitale de la Roumanie, Bucarest, célèbre 560 ans depuis sa première
    attestation documentaire. Un programme culturel bien riche est proposé aux
    bucarestois tout le long de ce weekend par la Mairie de la ville. Au programme,
    ateliers pour adultes et enfants, théâtre de rue, un espace culinaire, des
    concerts, et le déjà réputé concours international de mapping vidéo 3D, iMapp
    Bucarest, arrivé à sa 6-e édition. Huit équipes présentent leurs
    propositions, des spectacles de couleur, lumière et son, projetés sur la façade
    du Palais du parlement, le deuxième le plus grand bâtiment administratif au
    monde, après le Pentagone. Schiller et
    Waldeck, deux artistes électro célèbres, se produiront avant le concours sur la
    scène installée devant le Palais. Par ailleurs, Bucarest accueille aujourd’hui
    la 10-e édition du « AeroNautic Show 2019 – Lacul Morii », seul
    festival de Roumanie à proposer des acrobaties aériennes et nautiques.


    Festival – Il ne reste plus que deux jours de l’édition
    actuelle du Festival international George Enescu, mais la série des concerts
    exceptionnels continue aujourd’hui avec celui donné par l’Orchestre symphonique
    de Bucarest, dirigé par Nicolae Moldoveanu. La Salle Auditorium du Musée
    national d’art accueille le récital du pianiste français François-Frédéric Guy,
    interprète exceptionnel des compositeurs romantiques allemands. A l’Athénée
    roumain, l’Orchestre de chambre Mahler, composé d’instrumentistes originaires d’une
    vingtaine de pays, accompagnera la pianiste Mitsuko Uchida, qui sera en même
    temps le chef d’orchestre. Enfin, l’Orchestre
    royal du Concertgebouw d’Amsterdam, un des meilleurs au monde, se produira ce
    soir à la Salle du Palais.


    Météo – Il fait frais aujourd’hui en
    Roumanie, où le ciel est plutôt clair. Les températures de la mi-journée se
    situent entre 14° et 24°, avec 17°, à Bucarest, à midi.

  • Le lancement du livre « Let’s do it, Romania! »

    Le lancement du livre « Let’s do it, Romania! »

    Le 10e anniversaire du lancement du projet de volontariat « Let’s do it, România » représentait sans doute l’occasion rêvée pour le lancement du livre homonyme, témoignage de cette action de volontariat hors pair, qui a mobilisé les Roumains en nombre, pour ramasser une quantité de plus en plus importante de déchets. Retraçant l’histoire de cette expérience de bénévolat et d’activisme, le volume témoigne du souci croissant pour la préservation de l’environnement des Roumains. Grâce à cette mobilisation, l’on voit passer le taux de ramassage des déchets recyclables de 17% en 2009 à 45% lors de la dernière édition en date de la campagne, celle de 2018.

    Anamaria Hâncu, responsable communication de la campagne, l’avoue non sans une trace de fierté : « Dans ce livre, autant ceux, qui nous ont déjà épaulés, que tous ceux, qui caressent l’idée de le faire, apprendront des infos utiles sur le déroulement du projet. Car, au début, il n’y avait que cette idée, un peu folle et dont on ignorait tout de la manière à employer pour la transformer en réalité. Les bénévoles de la première heure ne pensaient pas qu’une telle initiative pouvait rencontrer un tel succès en Roumanie. Et puis, dans ce livre, l’on raconte le vécu des gens, des équipes de bénévoles de Bucarest et d’ailleurs, ce qui les a motivé, les défis, leurs opinions. La parole des partenaires a également toute sa place dans le contexte. Des personnalités publiques, des gens des médias, des vedettes du show-biz qui ont écrit avec nous l’histoire de cette formidable aventure. »

    50 sociétés appuient tous les ans cette initiative, déroulée au mois de septembre, avec la participation de dizaines de milliers d’enfants, de jeunes et d’adultes, à l’occasion de la Journée nationale de la propreté.

    Anamaria Hâncu : « Déjà, lors de la première édition, l’on a pu compter sur la présence de 200 mille volontaires. Cumulé, pendant ces dix années, nous avons impliqué 1.800.000 bénévoles, et je parle juste de ceux qui se sont investis sur le terrain. Parce que des milliers d’autres se sont investis dans l’organisation. C’est devenu un véritable phénomène de masse, démarré par quelques personnes qui se sont réunies pour essayer de faire bouger quelque peu les lignes sur cette question en Roumanie. Car nous étions révoltés de la quantité de déchets rejetés dans la nature et avons décidé de prendre le taureau par les cornes. Nous sommes tombés sur une vidéo tournée en Estonie, où était relatée une initiative du même genre, avec l’apport de 50 mille volontaires. Et on décida de répliquer l’action en Roumanie. »

    Depuis, la Roumanie est devenue membre du réseau international « Let’s do it, World !», un réseau comptant sur la présence de 150 pays dans ses rangs. Chaque mois de septembre, des millions de bénévoles à travers le monde diront « Let’s Do It! », soit, en français, « Faisons-le ! », pour combattre un des problèmes environnementaux les plus ardus, celui des déchets répandus dans la nature. (Trad. Ionut Jugureanu)

  • Verein „Let’s do it, Romania“ stellt Buch zum 10-jährigen Jubiläum vor

    Verein „Let’s do it, Romania“ stellt Buch zum 10-jährigen Jubiläum vor

    Dabei geht es nicht nur um das grö‎ßte Abfallsammlungsprojekt Rumäniens, sondern auch um die grö‎ßte Freiwilligenkampagne überhaupt.



    Zu diesem Anlass haben die Leute hinter dem Projekt unlängst auch ein Buch herausgegeben, das eine Bilanz der letzten zehn Jahre zieht — wie viele Menschen haben daran gewirkt, wie haben sie sich organisiert, welche Ergebnisse hatten sie? Seit 2009 und bis heute wurden überall im Land Abfälle aller Art gesammelt — Plastik, Altglas, Textilien, Metall und Haushaltsabfälle. Wurden am Anfang davon nur 17% recycelt, stieg der Anteil bei der jüngsten Auflage von 2018 auf 45%, sagt die PR-Managerin der Kampagne, Anamaria Hâncu:



    Aus diesem Buch können Unterstützer oder einfach nur interessierte Bürger über die verschiedenen Etappen des Projekts erfahren — von den Anfängen, als wir nicht wussten, ob und wie die Idee umsetzbar ist, und bis letztes Jahr. Als wir loslegten, wussten und vertrauten viele nicht, dass so etwas machbar ist in Rumänien. Und im Buch haben wir au‎ßerdem die Geschichten der Menschen in den vielen Teams in Bukarest und im Land erzählt, was sie motiviert hat, weiterzumachen.“




    50 Firmen unterstützen die Initiative, die jeden September viele Tausende — Kinder, Jugendliche, Erwachsene jeden Alters — am Tag der Reinigungsaktion zusammenbringt, sagt Anamaria Hâncu weiter:



    Am Anfang waren 200.000 Freiwillige beteiligt, über die Jahre hinweg waren es 1,8 Millionen insgesamt — und ich meine dabei nur diejenigen, die konkret Abfälle gesammelt haben. Denn viele weitere tausende Leute haben an der Organisationsarbeit mitgemacht. Das Projekt entstand, als einige Leute sich entschieden, es nicht bei ihrer Unzufriedenheit bleiben zu lassen und Hand anzulegen, um etwas zu verändern. Uns störten die Abfälle in der Natur und wollten helfen. Auf Youtube sahen wir einen Film aus Estland, wo 50.000 Freiwillige an einem Tag sauber machten, und haben uns gedacht, das machen wir jetzt auch bei uns.“




    Rumänien ist Teil des internationalen Netzes Let‘s do it World“, an dem heute Millionen Freiwillige in 150 Ländern Abfälle in der Natur sammeln.

  • September 15, 2018

    September 15, 2018

    COMMEMORATION The mountain resort of Busteni in southern Romania has today
    seen a series of events aimed at commemorating WWI heroes, celebrating the
    Great Union and 90 years since the inauguration of the Heroes Cross on the
    Caraiman Peak. Situated at an altitude of 2291 meters, the Cross was erected upon
    the initiative of Queen Marie of Romania in memory of Romania’s WWI heroes. The
    monument has been recognized by the Guinness World Records as the largest summit
    cross.








    VISIT Currently on a visit to Romania, the EU’s regional
    policy commissioner Corina Cretu will today be meeting local authorities in
    Alba, central Romania, a region with a high level of EU-funds absorption. Cretu
    had earlier made an appeal to the Romanian authorities to submit to the
    Commission ample transport infrastructure projects in order to be able to
    absorb the EU funds allotted to this sector. During a debate with citizens
    held in Cluj, north-western Romania on Friday, commissioner Cretu criticised
    the high level of bureaucracy and intricate procedures. Romania lost funds
    allotted to transport infrastructure, Cretu said adding that Bucharest managed
    an absorption rate of 20% between 2007-2013 and lost 2 billion euros destined
    to transport infrastructure. The EU commissioner has also criticized the
    delayed works at the three regional hospitals in Romania.












    ROWING Romanians Ionela-Livia Cozmiuc and Gianina-Elena Beleaga
    reaped gold in the lightweight double scull race of the World Rowing
    Championships in Plovdiv, Bulgaria on Saturday. Also on Saturday Marius-Vasile
    Cozmiuc and Ciprian Tudosa reaped silver in the men’s pair while Romania’s men
    four ended the race on the fifth position. On Sunday our men’s double, women’s
    and men’s eight will also be vying for a medal in Plovdiv.












    CLEANUP Currently underway in Romania, the National Cleanup Day is
    an event staged by ‘Let’s Do it, Romania!’ foundation, which has reached its
    sixth edition this year. ‘Let’s Do it, Romania!’ is the largest social movement
    in this country, which has so far involved the participation of 1.4 million
    volunteers who have gathered over 18 thousand tons of waste. The event is part
    of the international action plan World Cleanup Day, unfolding under the aegis
    of ‘Let’s Do it, World’ and the United Nations Environment Programme UNEP. The
    objective of the World Cleanup Day is to mobilize 5% of the world population in
    order to change people’s attitude towards the proper waste management and
    disposal and could be considered the most ambitious civic initiative at world
    level ever. The Romanian organizers want to mobilize one million volunteers who
    could get actively involved in cleanup operations. The Let’s Do it, World
    movement was born in 2008, when Estonia staged its first national cleanup day.












    (translated by bill)

  • The Empty Shop: Kleiderspendenaktion für Bedürftige

    The Empty Shop: Kleiderspendenaktion für Bedürftige

    Die Ankunft des Frühlings war Grund genug, um die grö‎ßte Kleidersammlungsinitiative zu starten — 30 Tonnen Klamotten wurden innerhalb von 2 Wochen gesammelt. Hunderte Tausende von Menschen gehen täglich in verschiedene Geschäfte hinein und kaufen neue Klamotten und Schuhe. Die NGO Let’s Do It, Romania!“, zusammen mit anderen gemeinnützigen Organisationen, kam demnach auf den Gedanken, eine Kleidersammlungsaktion in einem gro‎ßen Einkaufszentrum zu organisieren. Demzufolge wurde The Empty Shop“ (dt. das leere Geschäft“) in einem Bukarester Einkaufszentrum eingerichtet. The Empty Shop wurde mit dem Zweck gegründet, Klamotten, die die Menschen nicht mehr brauchten, entgegenzunehmen, um sie dann benachteiligten Menschen zu verschenken. Sammelpunkte gab es nicht nur in Bukarest, sondern auch in weiteren 12 Einkaufszentren landesweit. Anca Baniţă, Kommunikationsleiterin bei Let’s Do It, Romania!“, erzählte uns, wie das Projekt auf die Beine kam:



    »Let’s Do It, Romania!« betreibt seit mehr als einem Jahr das Sammel-Programm »Let’s Share & Care!«. Unsere Organisation sammelt dadurch von verschiedenen Unternehmen sämtliche Ressourcen, die diese nicht mehr verwenden — Kleidung, Schuhe, Büromaterial usw. Die gesammelten Teile werden den Menschen in benachteiligten Regionen verschenkt. Ein wichtiges Ziel unserer Organisation ist, die Bildung zu fördern. Weniger begünstigte Kinder in benachteiligten Regionen gehen nicht in die Schule, weile sie häufig nichts anzuziehen haben, insbesondere im Winter. Unser Programm läuft schon seit einem Jahr. Heuer schlug ein Projektpartner vor, den Empty Shop zu öffnen. Es ist ein internationales Konzept — ein leeres Geschäft in einem Einkaufszentrum, wo Kleider und Schuhe gespendet werden können.“




    Zum ersten Mal in Rumänien werden die Gäste eines Geschäfts angeregt, die Regale nicht zu leeren, sondern zu füllen — mit Kleidungsstücken, die ihnen nicht mehr passen oder Neuem weichen müssen. Die hier entsorgte Kleidung soll nach Abschluss der Kampagne bedürftigen Familien gespendet werden. Mehr Einzelheiten dazu bringt Anca Baniţă:



    Innerhalb von zwei Wochen hatten die Menschen die Möglichkeit, Kleidungsstücke oder Schuhe im Empty Shop zu entsorgen. Wir wurden von der gro‎ßen Bereitschaft der Leute, mitzumachen, überrascht. Unsere Initiative war ein Erfolg. Die Kampagne lief kurz vor Ostern, eine günstige Zeit zum Entsorgen und sauber machen. Im Frühjahr gehen wir von den Winterklamotten zur lockeren Frühlings- und Sommerkleidung über. Unsere Kollegen, die im Empty Shop arbeiteten, erzählten uns, sie mussten alle zwei Stunden das Geschäft entleeren, so viele Kleidungsstücke wurden gebracht. Es war ein Riesenerfolg!“




    Wir wollten von Anca Baniţă erfahren, was die Besucher des Geschäfts vom Empty Shop hielten:



    Manche Leute sagten, sie wären froh, endlich Mal die Altkleider für einen guten Zweck verschenken zu können. Andere freuten sich, ihre Kleider nicht einfach wegschmei‎ßen zu müssen und bedürftigen Familien zu helfen. Unser Projekt beruht auf einen einfachen Grundsatz, nämlich ein einfacheres Leben zu führen und uns nicht mehr unnötig mit unnützem Kram einzudecken. Es war eine gute Gelegenheit für viele Menschen, Ordnung in ihrem Schrank und ihrem Leben zu machen. Denn viel zu oft bewahren wir Dinge, die wir nicht mehr verwenden und an denen wir mit der Zeit ersticken. Sie sind oft ein Stressfaktor.“




    Die Kleidersammlungsinitiative ist Teil der Strategie von Let’s Do It, Romania!“ zur Bekämpfung der Verschwendung und zur Förderung der Bildung. Derartige Sammelaktionen setzen einen gro‎ßen logistischen Aufwand voraus. Dennoch lohnt sich die Mühe, denn damit wird ein breites Publikum erreicht. Diesmal wurde ein zielgerichtetes Geschäft eröffnet und es gab auch noch weitere Sammelpunkte im Land, in verschiedenen Einkaufszentren. Dazu unsere Gesprächspartnerin:



    Unsere Volontäre werden bald mit dem Sortieren der eingegangenen Kleidungsstücke beginnen. Und dann müssen wir entscheiden, an wen unsere Spenden gehen. Wir arbeiten mit der Organisation »Teach for Romania« zusammen. Sie haben uns schon mehrere Kontakte zu verschiedenen benachteiligten Gemeinschaften vermittelt.“




    50 Volontäre von Let’s Do It, Romania!“ machen beim Sortieren der entsorgten Kleider mit. Innerhalb von zwei Wochen wurden mehrere Tonnen Kleider gesammelt. Bevor sie die Nutznie‎ßer erreichen, werden die Kleider gereinigt. Danach werden sie an 1000 Familien in den Kreisen Maramureş, Neamţ, Iaşi, Constanţa, Târgu Jiu, Călăraşi, Ialomiţa verschickt. Anca Baniţă erzählte uns auch über die künftigen Projekte von Let’s Do It, Romania!“:



    Wir haben mehrere Projekte am Laufen, unter anderem »Let’s Get Green«, ein Projekt, das auf die Ausbildung in Schulen setzt. Es geht von einem Wettbewerb zwischen mehreren Schulen aus. Der gro‎ße Preis beträgt 15.000 Euro. Es geht hauptsächlich um eine komplette Umgestaltung der Schule. Der Gewinner soll am 15. Juni bekannt gegeben werden. Die teilnehmenden Schulen bemühen sich, im Rahmen des Projekts ihrer Schule ein neues Gesicht zu geben — sie pflanzen Bäume an, machen Reinigungsarbeiten — all das wird dann bei der Schlussentscheidung angerechnet. Ein zweites wichtiges Projekt, das wir im September starten, nimmt sich eine landesweite Reinigungsaktion vor. Wir planen sogar einen Tag der globalen Reinigung.“




    Let’s Do It, Romania!“ ist das grö‎ßte Projekt mit sozialer Beteiligung, das jemals in Rumänien umgesetzt wurde. Seit 2010 bis heute hat Let’s Do It, Romania!“ mehr als 1.400.000 Freiwillige an verschiedenen Reinigungsaktionen mitbeteiligt. Mehr als 50.000 Schüler und Eltern wurden über verschiedene Projekte zum Thema Umweltschutz ausgebildet. Letztes Jahr sammelte die Organisation im Rahmen des Programms Let’s Share & Care!“ 7 Tonnen Kleidung, Spielzeug, Schulsachen und Möbelstücke. Diese wurden an 850 benachteiligte Familien in 5 Landkreisen verschenkt.

  • Порожній магазин

    Порожній магазин






    Цієї
    весни в столиці Румунії стартувала найбільша кампанія по збору одягу, під час
    якої було зібрано 30 тонн за два тижні. Виходячи з того, що по всій країні
    кожен день сотні тисяч людей відвідують торгівельно-розважальні центри для покупок, по дорозі до дому, пообідати або для відпочинку, виникла ідея переконати їх допомогти людям з обмеженими матеріальними можливостями. Таким
    чином був створений Порожній магазин, гуманітарний магазин, який був відкритий
    в Бухаресті, але мав пункти збору в ще 12 торговельних центрах країни.




    Анка
    Баніце, менеджер із зв’язків з громадськістю одного з партнерів проекту
    -організації Let’s Do It,
    Romania!/Нумо зробимо це,
    Румуніє!, розповіла як виникла ця ініціатива: Let’s Do It, Romania! вже більше року здійснює програму Let’s Share
    & Care!/Подбаймо і поділимось!, в рамках якої збираємо від різних компаній
    непотрібний товар: одяг, взуття, канцелярське приладдя та інше, який потім
    віддаємо нужденним, в тому числі дітям, які досить часто не ходять до школи,
    тому що не мають що одягнути, особливо взимку. Отже, ця програма діє вже рік. А
    цього року наш партнер запропонував разом зробити цей проект The Empty Shop/Порожній магазин, який є
    міжнародною концепцією. І так з’явився перший румунський порожній магазин в
    торговельно-розважальному центрі.




    Клієнтам
    і відвідувачам торговельного центру було запропоновано не спустошувати полиці
    магазинів, а наповнити їх одягом, який вони більше не носять, який потім дають
    сім’ям з обмеженими матеріальними можливостями. Анка Баніце розповідає:
    Практично, люди мали в розпорядженні майже два тижні, щоб заповнити цей
    магазин, принести одяг, особливо для тих, хто не має матеріальних можливостей.
    І прийшло дуже багато людей. Кампанія виявилася надзвичайно успішною, тому що
    мала місце напередодні Великодня, що є періодом прибирання у хатах. Так само
    потепліло, треба було міняти зимовий одяг на весняно-літній. Наші колеги в
    торговельному центрі дзвонили нам майже щогодинно, аби сказати, що треба спорожнити
    магазин. Це був величезний успіх!




    Нам було цікаво дізнатися від Анки Баніце як
    реагували люди на порожній магазин: Дехто казав, що нарешті раді тому, що
    можуть комусь віддати непотрібний одяг, який залежався у них вже тривалий час.
    Інші казали, що раді можливості надати друге життя одягу, який не хотіли
    викидати, підтримати інших людей, даючи їм можливість мати хоча б
    трішечки краще життя. Так само мова йде і про те, як зробити життя простішим,
    тобто не наповняти помешкання різним непотребом. Це була гарна можливість для
    людей навести порядок, звільнити шафи від непотрібного одягу, що іноді викликає
    зайвий стрес.




    Ця кампанія є складовою політики організації Let’s Do It, Romania! по
    боротьбі з марнотратством та з підтримування освіти. Збирання такої великої
    кількості товару припускає величезні матеріально-технічні зусилля, а створення
    Порожнього магазину, а також пунктів збору в інших торговельних центрах,
    означало й збільшення кількості потенційних донорів, – каже наша співрозмовниця:
    Тепер наші волонтери мають провести сортування, а потім знайти бенефіціарів.
    Ми підтримуємо зв’язок з кількома громадами, завдяки нашим партнерським
    зв’язкам з організацією Teach for Romania, які ми налагодили ще в минулому
    році, у пошуку бенефіціарів зібраного нами одягу.


    Тонни зібраного одягу буде відсортовано за допомогою 50 добровольців
    Let’s Do It, Romania!, а потім випрано і доставлено понад 1000 сімей
    з повітів Марамуреш, Нямц, Ясси, Констанца, Горж, Келерашь, Яломіца.







    Анка Баніце розповіла й про інші ініціативи організації: Ми зараз впроваджуємо й інші проекти. Зокрема Let’s Get Green!, проект зеленого виховання в
    школах. Це фактично конкурс між школами, головний приз становить 15 тисяч євро для
    повної трансформації школи, а переможець буде обраний 15 червня. Проект припускає садіння дерев і квітів,
    прибирання та багато інших видів подібної діяльності, за які присуджується певна кількість балів. Так само проект національного прибирання у вересні, який ми запустимо найближчим часом. Це дійсно має стати днем загального прибирання.


    Let`s Do It, Romania! є найбільшим соціальним проектом в Румунії. З 2010
    року по сьогодні майже 1,5
    мільйона волонтерів взяли участь в ініціативах організації з прибирання по всій країні. Ще понад 50 тисяч учнів і
    батьків взяли участь у проектах екологічної освіти. У минулому році Let`s Do It, Romania! зібрала понад 7 тонн одягу, а також іграшки, канцелярські товари та
    меблі у рамках програми
    Let’s Share & Care!/Подбаймо і поділимось!,
    які були спрямовані 850 дітям та їх
    сім’ям у п’ятьох повітах країни.

  • Jurnal românesc – 22.07.2016

    Jurnal românesc – 22.07.2016

    Ministrul de Finanțe, Anca Dragu, a anunţat că din luna
    iulie toți cetățenii persoane fizice din
    România își pot plăti taxele și impozitele cu cardul bancar, la toate ghișeele
    ANAF, iar din septembrie plățile se vor putea face și online la adresa
    ghiseul.ro. În acest moment, există peste 100 de puncte de plată unde poate fi
    folosit cardul. Pot fi achitate venituri fiscale şi nefiscale precum impozitul
    pe venit, accize, contribuţii de asigurări sociale, contribuţii pentru
    asigurări de accidente de muncă şi boli profesionale, asigurări sociale de
    sănătate şi pentru şomaj, taxe consulare, amenzi, penalităţi şi confiscări. În
    ceea ce priveşte nivelul impozitelor, ministrul afirmă că guvernul nu
    intenţionează să schimbe în viitorul apropiat niciun impozit.


    Administraţia Prezidenţială a găzduit, la Palatul
    Cotroceni, întâlnirea unui Grup de Lucru interinstituţional dedicat situaţiei
    copiilor ai căror părinţi muncesc în străinătate. În contextul în care
    Preşedintele României, Klaus Iohannis, consideră necesar ca atenţia pentru
    diaspora să devină o prioritate naţională, Grupul de Lucru şi-a propus pe de o
    parte să identifice probleme de ordin administrativ, statistic, legislativ şi
    să găsească soluţiile adecvate, bazate pe date şi dovezi, pentru a răspunde
    nevoilor acestor familii. Grupul de
    lucru va elabora un raport pe care îl va prezenta în luna septembrie. Situaţia
    copiilor ai căror părinţi sunt plecaţi la muncă în străinătate este îngrijoratoare,
    fiind vorba despre o generaţie de copii, după unele estimări peste 300.000,
    arată Administraţia Prezidenţială, într-un comunicat.


    Peste 40 de copii şi tineri din Spania, Anglia, Franţa
    şi România sunt prezenţi, zilele acestea, în taberele româneşti din Spania. Participanţii
    beneficiază de cursuri de limba şi literatura română, istorie, tradiţii şi
    obiceiuri româneşti, dar şi de formare duhovnicească, promovarea
    spiritualităţii şi drepturilor culturale fundamentale. Tabăra de cultură şi
    spiritualitate din Spania face parte dintr-o serie de patru tabere, derulate în
    perioada 3 – 23 iulie 2016, în Portugalia şi Spania. Taberele sunt realizate în
    baza parteneriatului dintre Institutul Eudoxiu Hurmuzachi pentru
    românii de pretutindeni şi Episcopia Ortodoxă Română din Spania şi Portugalia.


    A VII-a ediţie a manifestării Zilele Rezistenţei are
    loc, în aceste zile, la Mănăstirea Brâncoveanu, aceasta fiind una dintre cele
    mai ample manifestări anuale pentru memoria rezistenţei anticomuniste din
    România ultimelor 26 de ani. Au loc o serie de manifestări culturale dedicate
    memoriei celor ce au luptat şi au suferit pentru libertatea şi demnitatea
    poporului român în lungile decenii de totalitarism. Ediţia din acest an este
    dedicată împlinirii a 10 ani de la trecerea în veşnicie a lui Ion Gavrilă
    Ogoranu, liderul rezistenţei armate de pe versantul nordic al Munţilor Făgăraş.


    Pentru a cincea oară, românii vor ieşi din nou la
    curăţenie pe 24 septembrie. România va coordona şi activitatea din Republica
    Moldova, care va organiza acţiunea în aceeaşi zi. Let`s Do It, Romania!,
    evenimentul simbol al voluntariatului în România, a reuşit să mobilizeze, până
    acum, la curăţenie peste 1 200 000 de români pentru a schimba România în bine,
    dar şi pentru a aduce în prim plan problema deşeurilor. ,Este un moment
    important, în care România trebuie să accelereze reforma în acest sens.
    Viziunea noastră este o Românie fără deşeuri, pe care o urmărim prin toate
    proiectele noastre, a declarat Andrei Coşuleanu, Director Executiv Let`s Do It,
    Romania!.

  • Erziehung zum Umweltschutz: „Let’s do it, Danube“

    Erziehung zum Umweltschutz: „Let’s do it, Danube“

    Die 3. Auflage des Projekts Let’s do it, Danube“ wird zwischen dem 2. Februar und dem 25. Juni abgewickelt. In diesem Jahr handelt es sich dabei um einen Wettbewerb zwischen Schulen in den rumänischen Donau-Anrainer-Landkreisen. Ziel ist es, eine verantwortungsbewusste Haltung gegenüber der Umwelt und die Gewässer-Reinigung, insbesondere die der Donau zu fördern. Anca Baniţă PR-Verantwortliche von Lets Do It, Danube!“ berichtet:



    Die Schulen wurden eingeladen, sich bis zum 2. Februar für den Wettbewerb anzumelden. Die Schüler der Klassen I-IV werden Workshops für kreative Wiederverwertung organisieren. Sie werden unterschiedliche Objekte aus wiederverwertbaren Materialien basteln, Modeschauen organisieren, Zeichnungen und Modelle herstellen. Für die Klassen V-VIII sollen für diejenigen, die zum ersten Mal am Projekt teilnehmen, Öko-Schulungen organisiert werden. Für die älteren Schüler wird ein Essay-Wettbewerb mit dem Thema »Eine verantwortungsbewusste Gemeinschaft« stattfinden. Die Schüler müssen die besten Lösungen für die Probleme in ihrer Gemeinde vorschlagen. Wir haben uns vorgenommen, die besten Projekte den lokalen Behörden vorzulegen. Nach diesem Wettbewerb wird am Ende des Projekts, nämlich am Internationalen Donau-Tag am 25. Juni eine Reinigung der Donau-Ufer stattfinden. Der gro‎ße Preis — ein Informatik-Labor — wird an die Schule mit der grö‎ßten Punktezahl gehen. Es gibt aber auch weitere attraktive Preise wie Tablets und andere elektronische Geräte. Darüber hinaus wird es auch einen Mülltrennungs-Wettbewerb in den Schulen geben. An diesem werden sowohl die Schüler als auch ihre Eltern teilnehmen.“




    Letztes Jahr haben anlässlich des Internationalen Donau-Tages mehr als 20.400 Volontäre die Donau-Ufer in 12 Landkreisen gereinigt. Let’s Do It, Danube!“ wird vom Let’s Do It, Romania!“ — Team organisiert und findet in den allen Donau-Anrainer-Landkreisen statt. Das Projekt wird vom rumänischen Umweltministerium und Kaufland Rumänien unterstützt. Let’s do it, Romania“ ist das grö‎ßte Volontären-Projekt, das in Rumänien abgewickelt wird. Seit 2010 haben daran mehr als 1,1 Millionen Menschen teilgenommen, die über 2 Millionen Müllsäcke gesammelt haben. Let’s Do It, Romania!“ ist Teil der internationalen Gemeinschaft Let’s Do It, World!“.

  • Öko-Projekt in Bukarest: Der Naturpark Văcăreşti

    Öko-Projekt in Bukarest: Der Naturpark Văcăreşti

    Der im Süden Bukarests gelegene See Văcăreşti soll voraussichtlich zum Naturschutz-Areal erklärt werden. Das Projekt, das von mehreren Umweltorganisationen angesto‎ßen wurde, zielt darauf ab, den Einwohnern der chaotischen Stadt Bukarest die Gelegenheit anzubieten, freie Luft zu atmen und sich der wilden Natur inmitten der Stadt zu erfreuen. Au‎ßerdem werden sowohl Touristen, als auch Umweltforscher dieses Naturparadies inmitten der rumänsichen Hauptstat genie‎ßen.



    Vor circa zwei Jahrhunderten wurde im Schlammgebiet um den See Văcăreşti das gleichnamige Kloster gebaut, später fiel es aber den sogenannten Systematisierungsarbeiten“ Ceauşescus zum Opfer. Hier wurde infolgedessen ein Stausee als Teil der komplexen Einrichtung des Flusses Dâmboviţa angelegt. Der See war Bestandteil des Schutzsystems der rumänischen Hauptstadt gegen Hochwasser und Überschwemmungen. Die Bauarbeiten begannen 1986, nach 1989 hörten sie aber auf und das Gebiet blieb leer. Heute gibt es auf der 200 Hektar breiten Fläche zahlreiche Wasserkanäle, Sümpfe und Schlammgebiete die vom unterirdischen Wasser versorgt werden und die somit die Existenz einer reichen Pflanzen- und Tierwelt mit Reihern, Kormoranen, Möwen, Schwanen, Blässhühnern, Wildenten und Füchsen ermöglicht haben. Während des Frühlings- und Herbstvogelzugs spielt das Gebiet eine äu‎ßerst wichtige Rolle für viele seltene Zugvogelarten. Ein unerwartet reiches natürliches Ökosystem, das einem Delta spezifisch ist, entwickelte sich hier im Laufe der Zeit und der Damm um den Sumpf herum bildet eine Grenze zwischen dem Naturgebiet und der geräuschvollen Stadt.



    Voriges Jahr unternahmen viele Umweltorganisationen die ersten Schritte zum Schutz dieses Areals. Der Direktor der Umweltorganisation Salvaţi Dunărea şi Delta“ (Rettet die Donau und das Delta), Dan Bărbulescu, mit Einzelheiten:



    Es handelt sich um ein Feuchtgebiet mit natürlichen Qullen. Weil der Zugang der Menschen eingeschränkt ist, hat sich hier ein interessantes Ökosystem entwickelt, ein hundert prozentig natürliches System. Da dieses System unter den Betongebäuden der Stadt entstanden ist, verleiht ihm dieser Aspekt irgendwie landschaftliche Merkmale. Dieses Areal hat ebenfalls einen deutlichen wissenschatlichen und natürlichen Wert und dies bewegte zahlreiche Nichtregierungsorgansationen dazu, ein Projekt anzusto‎ßen, das auf die Umwandlung des Gebietes in ein Naturpark abzielt. Die Intiative entstand voriges Jahr, als eine Expertengruppe alle Tierarten, die hier leben, näher untersuchte, infolgedessen einen Bericht verfasste, den sie ferner der Rumänischen Akademie zuschickte. Die Rumänische Akademie stimmte demnach im Monat Mai 2013 der Gründung des Naturparks Văcăreşti zu.“



    Umweltforscher stuften das Areal als Ökosystem mit den Merkmalen eines wilden Naturhabitats ein. Das Gebiet Văcăreşti sei ein relevantes Beispiel der Schaffenskraft der Natur und Bukarest schlie‎ße sich somit den Welthauptstädten London, Berlin oder Prag an, wo es solche Naturschutzgebiete gibt, sagte unser Gesprächspartner Dan Bărbulescu:



    Hier leben mehr als neunzig Volgelarten, vierzig davon sind europaweit geschützte Arten. Dem Gesetz nach werden sie als gefährderte Arten betrachtet, die unter Naturschutz stehen müssen. Hier gibt es Otter, Schlangen, allerlei Insekten, also eine äu‎ßerst interessante Landschaft. Nach der Zusage der Rumänischen Akademie müssen die Bukarester Behörden gewisse Schutznormen für dieses Areal festlegen. Es handelt sich um ein natürliches Areal mit einer bedeutenden wissenschaftlichen, touristischen und erzieherischen Dimension. Es ist ein lebendiges Museum, wo die Bukarester die Natur in ihrer intimsten Form bewundern können. Das wird voraussichtlich der erste innerstädtische Naturpark in Rumänien sein. Das Areal erstreckt sich über 200 Hektar, es ist riesengro‎ß im Vergleich zu ähnlichen Parks in Europa, wo solche Areale 15-30 Hektar messen. Im Vergleich zu solchen Parks in Europa kann man auch sagen, dass es sich bei uns um ein authentisches Naturareal handelt, das sich hier natürlich entwickelte und daher wert ist, von der Stadt geschützt zu werden.“



    Die Umweltorganisation Rettet die Donau und das Delta“ hat jüngst zusammen mit dem Verband Let’s do it, România“ eine Reinigungskampagne am Văcăreşti-See organisiert. Mehr als 300 Freiwillige haben sich daran beteiligt. Bei der Aktion wurden über 700 Säcke von wiederverwertbarem Abfall aufgesammelt. Die Aktion ist Teil des Projektes Naturpark Văcăreşti — eine Oase inmitten der Betonwüste”. Dan Bărbulescu kommt erneut zu Wort mit Einzelheiten zum Projekt:



    Wir haben eine Lektion im Freien für die nahegelegenen Schulen organisiert, es gab Umweltschutz-, Biologie- und Geologie-Workshops, die wir zusammen mit Experten unserer Initiativegruppe für Kinder und Lehrkräfte veranstaltet haben. Die Kinder haben sich sehr gefreut, als unser Kollege, der Herpetologe, eine Schlange gefunden hat oder als sie einen Falken gesehen haben. Dieses Areal kann als lebendiges Labor für die Schüler und Lehrkräfte der nahegelegenen Schulen eingerichtet werden.“



    Die freiwilligen Aktionen sind Teil einer Förderungskampagne für den Naturpark Văcărești. Demnächst sollen Arbeitstreffen zwischen Umweltschutzorganisationen und Vertretern des Umweltministeriums stattfinden. Die Befürworter des Projektes wollen ferner die öffentliche Petition unterstützen, die die Behörden in Frage der Gründung des Naturparks Văcărești zur Eile drängen soll. Die Petition kann ab dem 26. September auf der Facebook-Seite des Naturparks Văcăreşti unterzeichnet werden.



    Audiobeitrag hören: