Tag: Mark Gray

  • Nachrichten 22.01.2014

    Nachrichten 22.01.2014

    Bukarest: Infolge des Flugzeugunglücks am Montag im Westen Rumäniens, bei dem zwei Menschen ums Leben gekommen waren, beschlo‎ß der rumänische Ministerpräsident Victor Ponta am Mittwoch, den Staatssekretär im Innnenministerium, Cătălin Chiper, aus seinem Amt zu entlassen. Premierminister Victor Ponta sprach von einem Scheitern” und inakzeptablen Mängeln” in der Rettungsaktion. Im Fall von drei Behörden — das sind das Innenministerium, der Rumänische Flugüberwachungsdienst (ROMATSA) und der Dienst für Sondertelekommunikation (STS) seien die Bergungseinsätze inakzeptabel langsam gelaufen, sagte Ponta. Der Direktor von ROMATSA Aleodor Frâncu, Einsatzleiter Bogdan Donciu und der Chef der Notfallbehörde (IGSU), Oberst Ion Burlu haben gekündigt. Das Kleinflugzeug mit sieben Menschen an Bord war am Montagnachmittag im Apuseni-Gebirge wegen schlechten Wetters in einem Wald in 1.400 Metern Höhe notgelandet.




    Das Flugzeug des Typs Britten-Norman-2 sollte Ärzte von drei Krankenhäusern der Hauptstadt Bukarest zu einer Organentnahme ins westrumänische Oradea transportieren. An Bord befanden sich vier Ärzte, eine Medizinstudentin und zwei Besatzungsmitglieder. Die Bergung war nach Angaben der Behörden schwierig, weil der Unglücksort wegen dichten Nebels nur schwer gefunden werden konnte und weil keinerlei Zugang per Fahrzeug möglich war. Ein Rettungshubschrauber musste aufgrund dichten Nebels den Einsatz jedoch abbrechen. Die Retter brauchten sechs Stunden, bis sie die Opfer bergen konnten. An der Suche am gebirgigen Absturzort beteiligten sich neben den Rettungsdiensten Bewohner eines nahegelegenen Dorfes sowie die Gendarmerie. Der Pilot und die Medizinstundentin waren bei Ankunft der Rettungskräfte bereits tot. Die zwei Menschen hätten aber überlebt, wenn die Rettungsdienste schneller gewesen wären, meinen Fachleute, die von der Presse zitiert wurden.





    Bukarest: Die gemeinsame Delegation des Internationalen Währungsfonds (IWF), der Weltbank und der Europäischen Kommission führt in Bukarest Gespräche mit den rumänischen Behörden. Auf dem Programm stehen Treffen mit Vertretern der Rumänischen Nationalbank, des Finanzministeriums, der Nationalen Kommission fur Prognose und des Arbeitsministeriums. Zwei Wochen lang werden die internationalen Finanzexperten mit rumänischen Fachleuten über die Prioritäten der Wirtschaftsreformen und über den gesetzlichen Rahmen mit Wirkung auf die Wirtschaft diskutieren. Die IWF-Delegation untersucht in Bukarest das stand-by-Abkommen vorbeugeunder Art, das letztes Jahr abgeschlossen wurde. Das Abkommen mit dem IWF und der Europäischen Union beläuft sich auf 4 Milliarden Euro, aber Rumänien hat nicht die Absicht, diese Fonds abzurufen. Zweck des besagten Abkommens ist, Rumänien vor eventuellen Schocks auf den Finanzmärkten zu schützen und bei der Reduzierung der Finanzierungskosten zu unterstützen.





    Brüssel: Der rumänische Justizminister Robert Cazanciuc hat am Mittwoch erklärt, der jüngste Bericht der Europäischen Kommission über den Kooperations- und Kontrollmechanismus sei positiver als der vom vorigen Jahr. In besagten Bericht wurde das Engagement der Bukarester Regierung hervorgehoben, und es wurden auch mehrere Empfehlungen gemacht, darunter die Abschaffung der kleinen Amtsgerichte und Staatsanwaltschaften, sowie die Entwicklung der nationalen Antikorruptionsstrategie, so Cazanciuc. Beim Vortragen des Berichtes zeigte sich der Sprecher der Europäischen Kommission, Mark Gray, besorgt über die Unabhängigkeit der Justiz in Rumänien. Die Änderungen des Strafgesetzbuches hätten gro‎ße Besorgnis betreffend die Bekämpfung der Korruption in Rumänien hervorgerufen, sagte Gray, und betonte die Tatsache, da‎ß das rumänische Verfassungsgericht diese Änderungen für verfassungswidrig erklärt hatte. Der Bericht lobte die Nationale Agentur für Integrität und die Antikorruptionsbehörde und kritisierte das Rumänische Parlament, während das Verfassungsgericht als wichtiger Mittler“ bezeichnet wurde.

  • La semaine du 07 au 12 octobre 2013

    La semaine du 07 au 12 octobre 2013

    Nouvelles tensions entre le chef de l’Etat et son premier ministre



    L’accord de collaboration institutionnelle entre la présidence et le gouvernement de Bucarest a été débattu la semaine dernière par les ministres des Affaires étrangères, Titus Corlatean, et de la Justice, Robert Cazanciuc, ainsi que par deux conseillers présidentiels. Le chef de l’Etat, Traian Basescu, a expliqué qu’il avait déclenché ce mécanisme visant à régler les disputes, après avoir constaté des violations de l’accord par le premier ministre Victor Ponta dans des domaines tels la politique étrangère, l’indépendance de la justice et l’Etat de droit. Le ministre de la Justice, Robert Cazaciuc fait le point sur la série de pourparlers : « Personnellement, je considère qu’on a assisté à un modèle de dialogue entre les représentants de plusieurs institutions, qui a permis aux participants de faire part de leur point de vue sur la façon dont ledit accord a fonctionné jusqu’à présent. Pour conclure, nous avons décidé que cet accord devrait rester en place et qu’on devrait chercher des solutions en ce sens ».


    Après les élections de décembre dernier, remportées par l’Union Sociale Libérale, à présent au pouvoir, un pacte de cohabitation a été conclu entre Traian Basescu et Victor Ponta. Toutefois, le conflit larvé entre les deux est sur le point de se rallumer, le président mettant en garde contre une possible rupture de l’entente avec le premier ministre. Par contre, le chef de l’Exécutif affirme que l’accord est nécessaire pour éviter au pays une crise politique.



    Report d’un rapport européen



    Bien qu’il ait décidé dans un premier temps de la publication en décembre du rapport sur les progrès réalisés par la Roumanie dans le domaine de la justice au titre du mécanisme de coopération et de vérification, Bruxelles a finalement reporté à janvier sa publication. Le porte parole de la Commission Européenne, Mark Gray, a précisé en début de semaine avoir reçu de nombreux documents de la part des ONGs portant sur la situation au sein du Parquet national anti-corruption suite aux récentes disputes autour de la nomination de plusieurs procureurs en Roumanie. Pourtant, aux dires de M. Gray, Bruxelles ne se laisse pas influencer par des cas particuliers. «Le Parquet National Anti-corruption se retrouve dans tous les rapports élaborés jusqu’à présent par la Commission Européenne au sein du MCV comme l’une des institutions publiques les plus efficaces, les plus indépendantes et les plus objectives. Pour ce qui est des récentes discussions menées en Roumanie au sujet des différentes nominations et désignations, les rapports présentent clairement notre position. La Commission Européenne ne fait pas de commentaires sur les nominations à titre individuel, mais la situation générale du Parquet sera examinée comme d’habitude dans le prochain document élaboré par Bruxelles ».



    Des fonds structurels au développement



    Le premier ministre, Victor Ponta, a présenté à la Chambre des députés l’Accord de partenariat entre la Roumanie et l’UE concernant le mécanisme financier pluriannuel pour les 7 prochaines années. Point de vue fonds européens alloués pour la période 2014 — 2020, la Roumanie a été défavorisée face à d’autres Etats, par rapport au nombre d’habitants — a affirmé Ponta. Et lui d’ajouter que les fonds alloués à la Roumanie seront utilisés principalement pour réduire les décalages graves entre différents comtés et régions du pays. Le chef du gouvernement a rappelé que l’absorption des fonds européens s’était triplée suite au déblocage des programmes opérationnels sectoriels suspendus par Bruxelles en raison de graves problèmes de gestion des fonds. Le jour même où Bucarest assistait à la présentation du Mécanisme financier pluriannuel, Bruxelles annonçait, lui, le déblocage du programme opérationnel sectoriel pour l’augmentation de la compétitivité économique. Celui-ci figure aux côtés de l’Infrastructure, des Ressources, de l’Administration et de la Gouvernance parmi les principales directions à suivre par la Roumanie durant l’exercice budgétaire 2014-2020.



    Le chef de la diplomatie roumaine — en visite à Londres



    Les autorités roumaines et britanniques vont collaborer afin de prévenir les éventuels abus en matières de droit à la libre circulation des travailleurs à l’intérieur de l’espace communautaire. Le sujet a été mis sur le tapis jeudi à Londres lors des entretiens entre le ministre roumain des Affaires étrangères, Titus Corlatean et son homologue britannique William Hague. Les deux responsables ont reconnu la contribution de la plupart des Roumains du Royaume-Uni au développement de l’économie britannique, dans le contexte où les restrictions pour les ressortissants roumains sur le marché de l’emploi du Royaume–Uni doivent être levées à partir du 1er janvier prochain. Certains quotidiens britanniques ont fait savoir que bon nombre de Roumains envisagent de déménager au Royaume-Uni, histoire d’obtenir des bénéfices. Ce qui plus est, une campagne du ministère britannique de l’Intérieur, encourageait, l’été dernier, les départs volontaires de migrants illégaux . Des affiches placardées sur des camions, illustrées dune image de menottes et indiquant le nombre dimmigrants arrêtés en une semaine faisaient passer le message : « Vous êtes au Royaume-Uni de manière illégale? Rentrez chez vous ou prenez le risque de vous faire arrêter ». Autant d’éléments qui ont amené l’ambassadeur de Roumanie à Londres, Ion Jinga, à écrire dans un article pour huffingtonpost.co.uk, que la vie et la réputation des Roumains qui travaillent au Royaume-Uni pâtissent des statistiques trompeuses et de la rhétorique alarmiste des hommes politiques et des médias.



    Nouveau Code sylvicole



    Approuvé par le gouvernement, un nouveau Code sylvicole devrait être adopté par le Parlement, suite à des débats en régime d’urgence. Le changement du code était impérieusement nécessaire: depuis la révolution anticommuniste de 1989 jusqu’à nos jours, la Roumanie a perdu près de 400 mille hectares de forêt, les dégâts dépassant les 5 milliards d’euros. Et ce en raison d’une gestion inefficace et d’un abattage incontrôlé dans certaines régions. Par conséquent, le nouveau code sylvicole prévoit des sanctions plus dures pour vol et complicité au vol de bois. Par contre, les propriétaires qui ne coupent pas le bois se verront accorder des récompenses financières. La ministre déléguée aux eaux et forêts, Lucia Varga a estimé que Romsilva, la Régie chargée de la gestion des forêts appartenant à l’Etat, et les propriétaires de forêts seront soutenus en vue d’une exploitation plus efficace de la matière ligneuse: « Ils se soucient du fait qu’ils devront supporter du budget des coûts supplémentaires ; mais la vente des certificats va leur rapporter de l’argent. Ils auront les fonds nécessaires pour assurer la garde des forêts et doter les entrepôts. Quant aux propriétaires de forêts, ils seront tout d’abord stimulés à ne pas couper leur bois et ils pourront se voir accorder, compte tenu du certificat, des montants allant jusqu’à 200 dollars par hectare. »


    En ce qui concerne la commercialisation, le bois ne pourra être vendu que depuis des entrepôts après avoir été mesuré et coupé. (trad. : Ioana Stancescu, Alexandra Pop)




  • La Roumanie et la Bulgarie – ensemble en Europe

    Le ministre roumain des Affaires étrangères, Titus Corlăţean, a eu cette semaine une conversation téléphonique avec son homologue bulgare, Kristian Vigenin. L’entretien a porté sur les démarches que les deux pays se proposent de faire, à l’avenir aussi, pour accélérer la prise d’une décision favorable à l’adhésion de la Roumanie et de la Bulgarie à l’espace Schengen — informe le ministère des Affaires étrangères de Bucarest dans un communiqué.



    Les deux responsables ont rappelé le fait que leurs pays remplissaient les conditions requises pour leur adhésion à cet espace, s’opposant fermement à toute éventuelle connexion entre cette adhésion et d’autres dossiers, tel le problème des Roms. Titus Corlăţean et Kristian Vigenin ont convenu de poursuivre leurs actions au niveau européen, pour que la décision sur l’entrée de leurs pays dans Schengen respecte les principes et normes européennes — indique le ministère roumain des Affaires étrangères dans son communiqué.


    Les autorités de Bucarest ont exprimé à plusieurs reprises leur espoir que le Conseil Justice et Affaires Intérieures de décembre prochain adopterait une décision favorable à l’entrée de la Roumanie et de la Bulgarie dans l’espace de libre circulation européenne en deux étapes — précise le document.



    Le porte-parole de la Commission européenne, Mark Gray, a pourtant annoncé mardi que le rapport sur le Mécanisme de coopération et de vérification pour la Roumanie, qui doit refléter principalement les progrès enregistrés par Bucarest dans la réforme du système judiciaire, sera publié début 2014. Initialement, il devait être rendu public en décembre 2013. Or, la décision de certains Etats appartenant à l’espace Schengen sur l’adhésion de la Roumanie et de la Bulgarie dépend de cette évaluation réalisée par la Commission européenne.



    La question de l’adhésion de notre pays à l’espace Schengen, ainsi que l’ouverture totale, à partir du 1er janvier prochain, du marché européen de l’emploi aux Roumains et aux Bulgares ont été abordées lors de la récente visite du chef de la diplomatie roumaine à Londres.



    Selon le ministère des Affaires étrangères de Bucarest, Titus Corlăţean et son homologue de Londres, William Hague, ont reconnu la contribution de la plupart des Roumains travaillant au Royaume Uni au développement de l’économie britannique.



    Les chefs des diplomaties des deux pays ont signé une déclaration commune, pour prévenir tous les abus que pourraient être commis contre les ressortissants roumains pour ce qui est de leur libre circulation à l’intérieur de l’espace communautaire.



    Cette entente survient sur la toile de fond des déclarations alarmantes de certains hommes politiques britanniques sur un éventuel afflux de Roumains qui s’apprêteraient à prendre d’assaut le marché du travail du Royaume Uni après le 1er janvier 2014, pour profiter du système d’assistance sociale et médicale que ce pays offre à ses citoyens.


    (Trad. : Dominique)

  • 08.10.2013 (mise à jour)

    08.10.2013 (mise à jour)

    MCV – Le rapport sur le Mécanisme de coopération et de vérification (MCV) pour la Roumanie sera présenté par la Commission européenne début 2014, le plus probablement en janvier, a annoncé mardi, à Bruxelles, le porte-parole de la Commission, Mark Gray. Le document aurait dû être publié en décembre, mais l’exécutif communautaire a été saisi ces jours-ci par de nombreuses ONGs au sujet de la situation du Parquet national anticorruption (la DNA) de Roumanie, suite à des disputes concernant la nomination de certains procureurs. La Commission examinera la situation de la DNA dans son prochain rapport MCV, a ajouté Mark Gray.



    Subventions – Point de vue fonds européens alloués pour la période 2014 — 2020, la Roumanie a été défavorisée face à d’autres Etats, par rapport au nombre d’habitants — a affirmé ce mardi le premier ministre Victor Ponta. Il a présenté en courant de journée à la Chambre des députés l’Accord de partenariat entre la Roumanie et l’UE concernant le mécanisme financier pluriannuel pour les 7 prochaines années. Ponta a déclaré que les fonds alloués à la Roumanie seront utilisés principalement pour réduire les décalages graves entre différentes régions et comtés du pays.



    Migration – L’ambassadeur du Royaume Uni à Bucarest, Martin Harris, a affirmé que la présence des ouvriers roumains dans son pays était une expérience positive, parce qu’ils travaillent bien et payent les impôts. Il a pourtant souligné qu’il ne pouvait pas estimer les conséquences de la levée des restrictions sur le marché britannique de l’emploi après le 1er janvier. Martin Harris a précisé que le Royaume Uni avait une expérience récente en matière de migration massive d’Europe de l’Est et qu’il considère important que les abus du droit à la libre circulation puissent être prévenus. Le diplomate a participé, ce mardi, à Cluj, à une conférence sur la mondialisation.



    Croissance – Le FMI a rabaissé ses estimations portant sur la croissance de l’économie mondiale pour cette année et 2014, ainsi que celles ayant trait aux Etats Unis, mais a amélioré ses prévisions pour la zone euro, selon un rapport publié mardi. Dans le cas de la Roumanie, le FMI n’a pas modifié la prévision, anticipant pour cette année une croissance économique de 2% et respectivement de 2,2% en 2014. Le PIB mondial devrait progresser cette année de 2,9%, et de 3,6% l’année prochaine, soit 0,3 et respectivement 0,2 points de pourcentage en moins par rapport au rythme anticipé en juillet. Le Fonds a amélioré pour 2013 sa prévision pour la zone euro de 0,1% à une contraction de 0,4%, et a maintenu celle afférente à l’année prochaine à une croissance de 1%, remarquant la résistance des économies allemande et française.



    Holocauste – La Chambre des députés de Bucarest s’est réunie ce mardi en séance solennelle pour commémorer les victimes de la Shoah en Roumanie. Dans une déclaration adoptée à l’occasion, les députés ont demandé au gouvernement de continuer à soutenir les programmes de commémoration et d’étude de l’Holocauste. Toute la semaine, des cérémonies ont lieu à Bucarest mais aussi dans d’autres villes du pays à la mémoire des plus de 250.000 Juifs tués après leur déportation, en 1941, en Bessarabie et dans le nord de la Bucovine, ainsi qu’en Transnistrie, dans l’est. L’Holocauste a été reconnu par les autorités roumaines en 2004, suite aux conclusions formulées par la Commission spéciale pour l’étude des déportations ayant eu lieu durant la Seconde guerre mondiale.



    Culture – La princesse héritière Margarita de Roumanie, qui fait une visite de 3 jours en République de Moldova, a reçu, ce mardi, une médaille de la part de l’Académie des Sciences. La distinction lui a été décernée pour son soutien à la culture roumaine et sa collaboration avec les établissements d’enseignement moldaves. C’est la première visite de la princesse Margarita dans ce pays. Elle doit avoir toute une série de rencontres officielles, y compris avec le premier ministre Iurie Leanca et avec le président Nicolae Timofti, et prendra part aussi à plusieurs actions sociales.