Tag: Mark Rutte

  • La personalité de l’année 2024

    La personalité de l’année 2024

    Chers amis, RRI a continué la tradition de son enquête menée parmi les auditeurs et les utilisateurs de la Toile et des réseaux sociaux pour décider ensemble de la personnalité ayant le plus marqué 2024 d’une manière positive. Cette année, les propositions ont été moins nombreuses que d’habitude et surtout plus fragmentées et polarisées, certainement en raison du contexte actuel en proie aux crises politiques, sociales, économiques et environnementales. Alors « la Personnalité de l’année 2024 désignée par RRI » est l’homme d’affaires Elon Musk. Voilà, par exemple, comment motive son choix notre auditeur David Iurescia, d’Argentine : « Je vote en faveur de l’Américain, Elon Musk, pour tous les progrès technologiques que nous lui devons, tels la start-up Neuralink permettant aux tétraplégiques de se servir d’un ordinateur ou encore les progrès spatiaux devenus possibles grâce à sa compagnie Space X qui nous permet de rêver du retour de l’homme sur la Lune ou d’une visite sur Mars ».

     

    Elon Musk a été suivi dans vos préférences par le président américain, Donald Trump, gagnant d’un deuxième mandat à la Maison Blanche et par celui ukrainien, Volodimir Zelenski. Plusieurs d’entre vous ont proposé comme meilleure personnalité de 2024 le pape François, le secrétaire d’Etat américain, Antony Blinken, le secrétaire général de l’ONU, Antonio Guterres, la cheffe du Parlement européen, Roberta Metsola, le nouveau secrétaire général de l’OTAN, Mark Rutte, l’ancienne commissaire européenne chargée des Affaires Intérieures, Ylva Johansson, le président roumain en fonction, Klaus Iohannis ou encore la présidente de la République de Moldova, Maia Sandu. Toujours dans la course pour le titre de la personnalité 2024 la plus importante, les lauréats du Prix Nobel pour la Physique et pour la Paix, les victimes des changements climatiques, le fondateur du réseau Télégram, Pavel Durov ou encore Gisèle Pélicot, victime des viols abominables de Mazan. Certains d’entre vous ont choisi des noms issus du monde du sport, tel le grand champion du monde de tennis, Rafael Nadal, le champion olympique roumain, le nageur David Popovici ou la grande gymnaste américaine, Simone Biles. Une nomination spéciale a concerné tous les participants aux JO de Paris.

     

    Merci encore une fois pour vos contributions !

  • La Moldova, engagée sur son parcours euro-atlantique et européen

    La Moldova, engagée sur son parcours euro-atlantique et européen

    Les relations OTAN- Molodva se renforcent

     

    Au fil du temps, l’évolution des relations entre l’OTAN et la Moldova, ce petit pays majoritairement roumanophone, a connu plusieurs étapes, marquées par les changements politiques régionaux et internationaux. A présent, les relations entre Chisinau et l’Alliance de l’Atlantique Nord se sont intensifiées et ne cessent de se développer en tant qu’effet de l’invasion russe en Ukraine voisine.

     

    En visite à Bruxelles, au siège de l’Alliance, la présidente moldave, Maia Sandu a réaffirmé l’engagement de son pays pour la paix et la sécurité régionales. Le Partenariat pour la Paix entre la République de Moldova et l’OTAN « a aidé à créer un milieu plus sûr pour nos citoyens, à renforcer les capacité de défense de notre armée et la résilience de notre société dans son ensemble », a déclaré Mme Sandu lors de pourparlers avec le secrétaire général de l’OTAN, Mark Rutte, fait savoir un communiqué de presse de la présidence moldave.

     

    La sécurité régionale, au premier plan

     

    Les discussions ont porté notamment sur la sécurité régionale, sur les menaces hybrides, y compris sur l’immixtion dans les élections moldaves et sur la corruption électorale, sans oublier de mentionner la nécessité de mener des actions communes pour protéger les démocraties de la zone. En s’adressant au Conseil de l’Atlantique-Nord, la principale structure de décision de l’OTAN qui réunit les représentants des 32 Etat-membres de l’Alliance, Maia Sandu a mis en avant les efforts de son pays de maintenir la paix et la stabilité malgré la guerre à ses frontières et de consolider sa résilience face aux menaces hybrides.

     

    Chisinau, engagé sur son parcours

     

    Elle a aussi mis en garde contre les tactiques d’immixtion extérieure dans les processus démocratiques, telles le financement illicite des partis et la manipulation des informations, des actions qui minent la démocratie et la confiance des citoyens. La présidente moldave a parlé aussi de l’importance d’avoir une coopération internationale pour la protection des démocraties du monde et pour promouvoir la paix. A son avis, cette visite au siège de l’OTAN de Bruxelles, témoigne de l’engagement de Chisinau de coopérer avec les pays partenaires afin d’assurer la sécurité de ses citoyens, de protéger les processus démocratiques en Moldavie et de consolider son rôle de partenaire de confiance en matière de sécurité régionale.

     

    Aide financière de la part de l’UE

     

    Cette visite de la présidente moldave à Bruxelles a eu lieu après la confirmation du parcours européen de la République de Moldova lors d’un référendum par lequel les habitants moldaves ont été d’accord que l’adhésion à l’UE figure en tant qu’objectif stratégique du pays dans le texte de la Constitution. Cette visite a lieu aussi peu après de début du mandat de la nouvelle Commission européenne, afin de souligner aussi la continuité des relations et de renforcer les relations déjà étroites entre la Moldova et l’UE. L’occasion donc pour la cheffe d’Etat de Chisinau, Maia Sandu, de s’entretenir la présidente de la CE, Ursula von der Leyen, qui a annoncé mardi un soutien financier de 60 millions d’euros pour que la République de Moldova puisse réformer son système de Justice et renforcer sa stabilité économique. (trad. Valentina Beleavski)

     

  • Visite du Premier ministre roumain à Bruxelles

    Visite du Premier ministre roumain à Bruxelles

    Des pourparles sur la défense avec Mark Rutte

     

    Mark Rutte : « L’OTAN salue les efforts continus de la Roumanie et sa contribution significative au renforcement de l’Alliance et de la sécurité euro-atlantique » 

     

     

    Ce fut le message du secrétaire général de l’OTAN, lors des pourparlers avec le Premier ministre roumain, Marcel Ciolacu, qui était en visite de travail ce lundi à Bruxelles.

     

    La Roumanie est déterminée à prouver qu’elle est un allié fiable et un fournisseur de sécurité dans la région et au-delà de la région, a quant à lui déclaré le responsable roumain. Et de préciser qu’hormis le fait d’avoir alloué 2,5 % du PIB à la Défense nationale, les investissements dans ce domaine se poursuivront. Le chef de l’Exécutif de Bucarest a également déclaré que la présence constante de l’Alliance en Roumanie était une garantie que chaque centimètre du territoire du pays serait entièrement défendu.

     

    Marcel Ciolacu : « Les violations de l’espace aérien allié et la posture agressive de la Russie en mer Noire montrent qu’il est important d’augmenter les forces présentes dans la zone et d’offrir une réponse solide et unie de l’Alliance. Dans ce contexte, j’ai transmis à Monsieur le Secrétaire Général que la Roumanie comprenait et respectait ses engagements et qu’elle était solidaire avec ses alliés et partenaires. »

     

    La Roumanie contribue non seulement au renforcement du Flanc oriental, mais elle s’investit encore plus, lorsque ses soldats participent activement aux missions de l’OTAN dans diverses zones, a souligné pour sa part le secrétaire général de l’Alliance, Mark Rutte. Occasion pour lui de saluer aussi le ferme appui de Bucarest à l’Ukraine et d’ajouter que : « Vous avez investi plus de 2,5 % du PIB dans la défense. Qui plus est, les soldats ont contribué aux missions de l’OTAN, notamment au Kosovo, en Irak et ailleurs. »

     

    Des thèmes à l’agenda européen : les écarts entre les régions, la transitions verte, l’espace Schengen

     

    A Bruxelles, le Premier ministre roumain s’est également entretenu avec le président élu du Conseil européen, António Costa, ainsi qu’avec la présidente du Parlement européen, Roberta Metsola. Au cours des pourparlers Marcel Ciolacu a estimé qu’un agenda européen ambitieux et cohérent, la solidarité entre les Etats membres et l’action dans l’intérêt des citoyens étaient plus que jamais nécessaires.

     

    La Roumanie partage le souci de l’Union européenne de réduire les écarts entre les régions et les groupes sociaux, ainsi que d’assurer une transition verte juste pour tous. Ces objectifs devraient être financés par le budget pluriannuel post-2025 – a également souligné le responsable roumain.

     

    D’ailleurs, le chef de l’Exécutif de Bucarest a transmis à la Présidente Roberta Metsola que l’objectif de l’adhésion complète de la Roumanie à l’espace Schengen, cette année même, restait fondamental, et qu’une autre priorité majeure était de faire avancer les projets stratégiques de connectivité en mer Noire. Autant de sujets d’intérêt majeur pour la Roumanie et l’Europe, discutés à Bruxelles par le responsable roumain. (trad. Andra Juganaru)

  • L’OTAN devrait rester unie

    L’OTAN devrait rester unie

    L’Otan travaillera avec le vainqueur des élections américaines, quel qu’il soit, et fera tout pour rester unie, a promis lundi le secrétaire général de l’Alliance atlantique, Mark Rutte, lors d’une rencontre, à Berlin, avec le chancelier allemand Olaf Scholz. « Nous travaillerons avec Kamala Harris, nous travaillerons avec Donald Trump et nous nous assurerons que l’alliance reste unie », a déclaré le Néerlandais Mark Rutte qui a remplacé il y a un mois le Norvégien Jens Stoltenberg à la tête de l’Alliance. « Je n’ai pas de doute, car c’est dans notre intérêt et c’est dans l’intérêt des Etats-Unis », a-t-il ajouté.

     

    Mark Rutte n’est pas inquiet du résultat des élections américaines

    Lors de son entrée en fonction le 1er octobre dernier, M. Rutte, qui a été auparavant quatorze ans Premier ministre des Pays-Bas, avait déclaré ne pas être inquiet du résultat des élections américaines. « Je connais très bien les deux candidats et j’ai travaillé quatre ans avec Donald Trump », avait-il affirmé, en ajoutant que selon lui, les Etats-Unis vont rester impliqués dans l’Otan. « Washington sait que si Poutine réussit en Ukraine, la Russie, enhardie, sera alors sur notre flanc est et représentera une menace directe pour le territoire de l’Otan », a précisé Rutte. « C’est pourquoi que les Américains sont impliqués en Ukraine et c’est pourquoi ils sont impliqués dans l’Otan », a-t-il ajouté. Depuis le début de son mandat, Mark Rutte a eu une série d’entrevues avec d’importants acteurs politiques, justement pour débattre du sujet ukrainien. La semaine dernière, lors d’une réunion à Bruxelles, lui et la cheffe de la CE, Ursula von der Leyen, ont annoncé la mise en place d’un groupe opératif censé permettre la consolidation de la coopération entre l’OTAN et l’UE. Les deux responsables ont averti que la présence des soldats nord-coréens en Russie représente une escalade de la guerre en Ukraine et une menace grave à la sécurité européenne et la paix mondiale.

     

    La guerre en Ukraine a montré que l’instabilité européenne a des conséquences mondiales

    Le mois dernier, Mark Rutte a rencontré les chefs des diplomaties des pays alliés. Une occasion pour le secrétaire général de l’Alliance de préciser que la guerre en Ukraine a montré que l’instabilité européenne a des conséquences au niveau mondial et que des pays qui se trouvent à des milliers de kilomètres tels la Chine, l’Iran ou la Corée du Nord peuvent saboter la sécurité européenne. « Nos mondes sont interconnectés et la sécurité aussi » a souligné Rutte. Et lui d’ajouter que les alliés respectent leur promesse de livrer cette année à l’Ukraine, une aide militaire de 40 milliards d’euros et les chiffres indiquent 21 milliards de dépenses pour la première partie de 2024. Les partenaires de la région du Pacifique ont annoncé eux aussi, de nouvelles aides, par exemple l’Australie fournira des chars aux armées ukrainiennes. Par ailleurs, les alliés augmentent les investissements au sein de l’OTAN aussi, et l’une des priorités reste la défense aérienne, notamment dans le contexte des drones qui violent l’espace aérien allié.

  • L’OTAN, un nouveau leader

    L’OTAN, un nouveau leader

    Ce mardi, 1er octobre, l’ancien Premier ministre néerlandais Mark Rutte est entré officiellement en fonction à la tête de l’OTAN. Il succède au Norvégien Jens Stoltenberg à la plus haute fonction politique de l’alliance politique et militaire la plus forte de l’histoire. Selon l’AFP Monsieur Stoltenberg a refusé de donner des conseils à son successeur, mais il a souligné que la tâche principale d’un chef de l’OTAN était de maintenir l’unité des alliés. « Dans une situation géopolitique tellement difficile, il est très important de maintenir la continuité et la même voie en matière de politique étrangère et de sécurité », a déclaré un autre diplomate de l’Otan, cité par l’agence française.

     

    Un mandat compliqué

    Dans ses 10 ans d’activité à la tête de l’Otan, Jens Stoltenberg a eu le mandat le plus compliqué, qui a débuté en 2014, l’année de l’annexion de la Crimée par la Russie, et s’est terminé en pleine guerre contre l’Ukraine. Monsieur Stoltenberg a orienté l’Alliance vers un appui constant à l’ancien Etat soviétique, victime de l’agression illégale de Moscou. Il a proposé et obtenu un engagement des Etats membres à fournir au moins 40 milliards d’euros par an à l’Ukraine et à s’impliquer pleinement dans l’aide militaire occidentale.

    Les Alliés ne devraient pas être dissuadés de fournir davantage d’aide militaire à l’Ukraine en raison de la « rhétorique nucléaire irresponsable » de Vladimir Poutine, a déclaré Jens Stoltenberg dans une interview accordée à Reuters à la fin de son mandat. « Chaque fois que nous avons accru notre soutien avec de nouveaux types d’armes – chars de combat, missiles à longue portée ou F-16, les Russes ont tenté de nous arrêter », a déclaré le responsable Norvégien. Et d’ajouter que le plus grand risque pour l’OTAN serait une victoire de Vladimir Poutine en Ukraine. « Je ne crois pas que nous puissions faire Poutine changer d’avis. Mais je crois que nous pouvons changer son calcul. En donnant plus d’armes à l’Ukraine, nous pouvons faire comprendre à Poutine qu’il ne peut pas obtenir ce qu’il veut par la force et le rendre si coûteux qu’il devra accepter que l’Ukraine a le droit démocratique souverain d’exister en tant que nation démocratique souveraine », a déclaré Jens Stoltenberg.

     

    Les réactions de l’OTAN face à la situation en Ukraine

    Contrainte ces derniers temps à réagir à des changements géopolitiques majeurs, l’Alliance a renforcé son flanc oriental. En Roumanie, par exemple, le nombre de soldats alliés a augmenté et l’OTAN a créé, pour la première fois, un groupement tactique. Et c’est toujours durant le mandat de Monsieur Stoltenberg, que l’OTAN a accepté de nouveaux membres, comptant en ce moment 32 pays alliés. Les derniers Etats à rejoindre l’OTAN sont la Finlande et la Suède, que les impulsions militaristes et néo-impérialistes de Moscou ont amenées à quitter la neutralité assumée pendant des décennies.

     

    Des prévisions concernant Mark Rutte

    Quant au nouveau secrétaire général, Mark Rutte, les analystes s’attendent à ce qu’il se concentre surtout sur la coordination entre l’OTAN et l’Union européenne, à un moment où cette dernière est de plus en plus impliquée dans les questions de sécurité. Enfin, les alliés comptent sur sa capacité de négocier au cas où Donald Trump revient à la Maison Blanche.

     

     

  • Un nouveau responsable à la tête de l’OTAN

    Un nouveau responsable à la tête de l’OTAN

    Mark Rutte – le 14e secrétaire général de l’OTAN

     

    Le Premier ministre néerlandais Mark Rutte sera le 14e secrétaire général de l’Organisation du Traité de l’Atlantique Nord. Il succédera à Jens Stoltenberg, ancien premier ministre norvégien, à l’a tête de l’Alliance depuis 2014. D’ailleurs, la décision du Conseil de l’Atlantique Nord, principal organe décisionnel de l’OTAN qui réunit les représentants des 32 Etats membres, est devenue une simple formalité, une fois que le dernier adversaire de M Rutte, le président roumain Klaus Iohannis, a annoncé son retrait de la course, par manque de soutien. Le mandat du nouveau leader de l’Alliance commencera le 1er octobre prochain et sa nomination à la tête de l’alliance militaire la plus importante du monde sera officialisée lors du sommet de Washington, prévu en juillet.

     

    Les adversaires du Mark Rutte

     

    La candidature du premier ministre néerlandais a été avancée en 2023 et il a rapidement reçu le soutien de plusieurs alliés de l’OTAN, dont les Etats-Unis, la Grande-Bretagne, la France et l’Allemagne. La cheffe du gouvernement estonien, Kaja Kallas, était également proposée. Elle était soutenue par les alliés du flanc oriental, qui réclamaient une meilleure représentation au sein de l’organisation, sur toile de fond de la guerre déclenchée par la Russie contre l’Ukraine.

     

    La candidature de Klaus Iohannis reste encore entourée de mystère. Les raisons pour lesquelles le président roumain souhaitait occuper ce poste ne sont pas encore connues, étant donné qu’à ce moment-là, Mark Rutte bénéficiait déjà de l’appui d’importants alliés de l’OTAN. A noter que Mark Rutte est connu pour sa position critique contre Moscou et pour son appui politique et militaire à l’Ukraine. Plus encore, le Royaume des Pays-Bas fait partie des Etats alliés ayant atteint l’objectif d’allouer 2 % du PIB à la Défense, selon les exigences de l’Organisation, et qui ont fourni à l’armée ukrainienne des avions F-16.

     

    L’actuel secrétaire général de l’Alliance, Jens Stoltenberg, a salué la nomination de Mark Rutte en tant que son successeur. Selon lui, celui-ci est un « un vrai défenseur des relations transatlantiques, un dirigeant fort et un bâtisseur de consensus». « Je sais que je pars et que je laisse l’OTAN entre de bonnes mains », a souligné M Stoltenberg.

     

     

    Les défis de Mark Rutte

     

    A part la guerre en Ukraine, Mark Rutte devra gérer une éventuelle administration américaine dirigée par Donald Trump, partisan de la politique de « L’Amérique d’abord », si ce dernier revient à la Maison Blanche après les élections présidentielles des Etats-Unis.

     

    Au Kremlin, l’annonce du nouveau chef de l’OTAN a été accueillie avec scepticisme. Selon le porte-parole de la présidence russe, Dmitri Peskov, la nomination de M Rutte n’entraînera pas de changements dans la politique de l’Alliance de l’Atlantique Nord, qui vise à « réprimer stratégiquement » la Russie. Et lui de considérer les Etats membres de l’OTAN d’être directement impliqués dans la guerre en Ukraine, en fournissant des armes lourdes à l’administration de Kiev. Il a également mis en garde contre de possibles représailles après que l’armée ukrainienne ait reçu l’autorisation d’utiliser ces armes contre des cibles russes au sol. Moscou considère l’OTAN comme une alliance ennemie, a conclu Dmitri Peskov. (trad. Andra Juganaru)