Tag: Mechel

  • L’industrie sidérurgique

    L’industrie sidérurgique

    Après avoir annoncé, l’année dernière, avoir l‘intention de vendre les quatre combinats détenus en Roumanie à Bràila, Buzàu, Câmpia Turzii et Târgoviste, le géant russe MECHEL les a cédé à une petite société russe ayant trois employés pour le prix symbolique de 52 euro, avec l’objectif déclaré de sauver ce qui pouvait encore être sauvé, l’entrée en insolvence d’un grand nombre de ces combinats et la fermeture des sections étant les pas franchis ultérieurement.



    Pour ce qui est de l’ancien SIDEX de Galati, détenu actuellement par ARCELOR MITAL, il y a eu de nombreuses procédures de licenciements volontaires. Récemment, le magazine CAPITAL a dressé une analyse détaillée de l’évolution en matière de sidérurgie en Roumanie après 1989 et une première conclusion a été que, depuis, la production s’est pratiquement réduite à la moitié, des 7,1 millions des tonnes en 1991 aux 3,8 millions de tonnes en 2011. Les principaux combinats ont été privatisés et la crise internationale les a frappé de plein fouet, d’autant plus que, pendant les années d’avant la crise, ils étaient particulièrement profitables pour les investisseurs comme explique pour Radio Roumanie la journaliste Ileana Ilie du magazine CAPITAL : « Les sociétés sidérurgiques roumaines ont, à leur tour, bénéficié de cette conjoncture internationale favorable mais notre grand profit n’est pas venu de la hausse de la production mais de la vente des produits à des prix beaucoup plus élevés. Un exemple concret : des quelques 150 dollars par tonne en 2008 l’acier d’armature pour le béton est parvenu à un prix moyen de 640 dollars par tonne en 2009. La crise est venue, elle a frappé le matché immobilier et l’industrie auto, c’est à dire les piliers qui avaient entraîné la hausse de la demande d’acier en Roumanie et le prix de ces produits est, maintenant, à la moitié. »



    En Roumanie on parle de milliers sinon des dizaines de milliers de personnes liées à cette industrie. Il s’agit de capacités de production qui, pratiquement, s’arrêtent ou diminuent en grande partie leur production. Les agents économiques déplorent le fait que le prix de l’énergie est très élevé et ceci les empêche d’aller de l’avant et demandent l’aide de l’Etat. L’Etat, peut-il s’impliquer ? Ileana Ilie pense que: « L’Etat peut s’impliquer, vous avez vu ce que les Français ont fait avec ARCELOR MITAL pour ne pas mettre la clé à la porte d’un combinat avec 600 salariés. Mais après cette solution sonore du début de l’année, MECHEL qui est le deuxième groupe sidérurgique de Roumanie et qui a été vendu à une « société d’appartement » nous dit, quoi, c’est à dire, quelle est la suite. Est-ce que cette firme peut réussir à faire sortir de l’impasse quatre géants industriels ? Puisque nous parlons de quatre combinats, pour la plupart déjà en situation d’insolvence, de toute évidence l’Etat peut beaucoup faire pour sauver la situation, mais, quoi , exactement?»



    A son tour, la Commission européenne est intervenue pour que les grands joueurs du marché présents en Europe puissent ajourner leurs plans de restructuration, ce qui voudrait dire, à coup sur, licenciements et fermeture d’unités. On peut dire que la tactique des autorités est d’obtenir un délai prolongé ou attendre un redressement de l’économie internationale. Quelles sont le perspectives de l’industrie dans l’immédiat ? Ileana Ilie répond: « Si nous parlons du marché intérieur, la Roumanie a un bon potentiel de croissance car nous avons encore à faire pour atteindre les normes de l’Europe occidentale en matière d’infrastructure et d’autres secteurs stratégiques. En ce sens, donc, l’horizon demeure ensoleillé puisque nous sommes loin d’être au point où nous devions être. Mais quand, quoi et comment, ces questions n’ont pas encore de réponse. Une perspective optimiste vient, également des Etats Unis et de la Chine. Là, des signes montrent un certain redressement. Mais il faut faire preuve d’un optimisme prudent.»



    Le ministre roumain de l’Economie, Varujan Vosganian, lui aussi, a énuméré , récemment, les problèmes spécifiques de la Roumanie dans ce domaine: « La sidérurgie comporte des problèmes de règlements et des problèmes des marchés tiers. La Roumanie comporte , aussi, quelques problèmes supplémentaires rattachés soit de l’évasion qui vient à travers la Bulgarie avec des sociétés fantômes qui offrent l’acier béton à des prix moindres pur disparaître ensuite et ne payent plus la TVA, soit de ce marché particulièrement absorbant en matière de ferraille qui est la Turquie. Nous avons privatisé toute cette zone de collecte, je parle ici des anciennes bases de l’ex-Ministère de la Métallurgie qui sont transformées en REMAT et qui préfèrent travailler plutôt pour la Turquie qui paye en liquide que pour les Roumains. Un troisième problème est , effectivement, celui du courent électrique cher et le quatrième et celui rattaché à l’absorption du marché. Encore un problème : l’industrie roumaine, elle non plus, n’est préparée pour la libéralisation des prix. »



    Le ministre Varujan Vosganian a l’intention d’élaborer une stratégie de ré-industrialisation de la Roumanie à la suite du dialogue avec les représentants de toutes les branches économiques.



    Le retrait de l’Etat de l’économie à l’exception de certains domaines stratégiques, l’appui des secteurs industriels de pointe et la stimulation de l’industrie de transformation sont les principaux piliers sur lesquels reposera la ré-industrialisation du pays — précisait le ministre de l’économie, Varujan Vosganian, lors du lancement des débats menant à formuler la stratégie. Ce qui est plus, on a besoin d’une diplomatie économique agressive capable de promouvoir l’industrie roumaine à l’étranger, les parcs industriels compris et les incubateurs d’affaires déjà fonctionnels… (trad.: Costin Grigore)

  • Eveniment Top – 13.04.2013

    Guvernul român apruchie proiectul di nom muntrinda darea nâpoi a casilor luati zorlea tu chirolu a comunismului.



    Cama ghini de 20 di an’i, guvernili cari furâ tu Românii s-ampulisirâ s-ascapâ di problema mutrinda darea nâpoi a casilor, a proprităţlor naţionalizati di reghimlu comunistu, ama nu amintarâ. Baia oamin’i apufusirâ sâ-şi caftâ îndrepturli la CEDO, cari îi deadi ali Românii chiro pânâ tu meslu Apriiur ta s-yinâ cu un nom tu aestâ domeni. Aţi, Executivlu cumândisitdi Victor Ponta apruchie, multu ayoniea, un proiectu di nom ţi mutreaşti darea nâpoi a proprietăţlor luati zorlea di comunişţâ şi va ş-l’ia, pi 17 di Apriiur, borgea guvernamentalâ ti aestu actu normativ, dinâintea a Parlamentului. Protili zboarâ a yinitorlui nom mutrescu pâltearea tu naturâ a casilor, aclo iu s-poati, icâ despăgubirea cu pâradz şi impozitarea a îndrepturilor di turlii litigioasâ cu 85%. Tutnâoarâ, ti tuti proprietăţli ţi va s-hibâ retrocedati, ama cari tora suntu ufilisiti ca sculii, spitale icâ instituţii di culturâ, va s-da borgea ca destinaţia lor s-hibâ pâstritâ ti 20 di an’i. Niţi PDL (tu opoziţii) nu aproachi ici aestu nom, ni Bâsearica Catolică, iara reprezentanţâl’ii a proprietarilor pistipsescu că aestâ turlii di nom nu va s-agiutâ.



    Robert Cazanciuc fu pripus ti ipotisea di ministru ali Giustiţii.



    Premierlu român, Victor Ponta, aţel cari asiguripseaşti interimatlu la Ministerlu ali Giustiţii, îl pripusi pi Robert Cazanciuc (41 di an’i) ti ipotisea di ministru al Giustiţii. Cazanciuc easti procuror dit 1996, fu sumsecretar di stat tu Corpul di Control a protlui – ministru şi director general adjunctu la Administraţia Naţionalâ a Hapsilor. Dit 2009 easti secretarlu general ali MAE, ipotisi ţi u amintă prit detaşari. Ta s-intrâ pi naua ipotisi, el şi-deadi demisia dit magistraturâ. Premierlu Victor Ponta dzâsi câ protlu lucru ti adrari a yinitorlui ministru ali Giustiţii, easti bâgarea tu practico a năilor coduri, Codlu penal şi Codlu di procedurâ penalâ, ama şi un raportu multu bun mutrinda Mecanismul di Cooperari şi Verificari. Robert Cazanciuc îi ţâni loclu ali Mona Pivniceru, cari şi-deadi demisia, tu meslu ţi tricu, dupu ţi Parlamentul îi deadi cali ta s-hibâ giudicâtor la Curtea Constituţionalâ.



    Salariaţl’ii di la Oltchim, Arpechim şi Mechel dusirâ ninti protestili.



    Angajaţâl’ii a combinatlui Oltchim Ramnicu – Vâlcea (sudlu ali Romanii) şi-dusirâ ninti, stâmâna aestâ, protestili, câftândalor, pi ningâ salarii, şi demisia a administratorilor giudiţiari şi a aţilor ţi cumândiseascu tora societatea. Marţâ, ei şi-aspusirâ ponlu tâşi dinâintea a Guvernului di Bucureşti. Aţei 3000 di salariaţ suntu anvirinaţ câ ţe furâ hâbârisiti scuteri di pi lucru, ama ş-di catandisea ici limpidâ ali societati, ţi easti insolvenţâ ti furn’iea a borgilor. Protestili s-dusirâ ninti şi la rafinăria Arpechim Piteşti (tu sud), iu angajaţâl’ii nu şi-luarâ pâradzl’ii tu aeşţâ dit soni meşi, s-hâbârisirâ năi scuteri di pi lucru. Şi angajaţl’ii di ma ninti a combinatlui Mechel Câmpia Turzii (tu centru) aurlarâ şi s-aspusirâ ponlu andicra di nipâltearea a salariilor compensatorii şi blocarâ di ma multi ori unâ cali europeanâ. Dit Cireşar 2012, di aoa furâ scoşi di pi lucru vârâ 1.700 di oamin’i dit aţei di 2.000. Gruplu arus “Mechel” vindu tora ayoniea, pi un pâhâ multu n’ic, di 50 di euro, combinatili di turlii metalurgicâ ţi li avea tu Românii.



    Premierlu Victor Ponta prezentă rezultatili di turlii icunumicâ pi cari România li avu tu proţl’ii meşi dit 2013.



    Tu protlu trimestru di estan, tu România, exportul criscu ghini, cu 8%, dzâsi premierlu Victor Ponta. Tutnâoarâ, avu şi nai ma n’iclu deficit a balanţâl’ei comercialâ dit aţei dit soni 10 an’i. România amintă s-agiungâ la ţinta di deficit trimestrial ti cari s-achicâsi cu FMI. Şi încasărili criscurâ cu 10%, andicra di iydul chiro a anlui ţi tricu, la TVA, la accizi, ama şi la impozitlu pi venit. Pi di altâ parti, a dzâsi premierlu, scâdturâ veniturile mutrinda impozitlu pi profit, iara nomlu ţi mutreaşti insolvenţa lipseaşti s-hibâ alâxit. Victor Ponta exiyisi câ ari înaduâ firmi ţi intrâ cu bunâ-şteari tu insolvenţâ şi nu mai pâltescu niţi unâ turlii di taxâ icâ impoziti, aşi cum adarâ alanti companii cari bâneadzâ” normal – cum lipseaşti – pi pâzarea icunumicâ. Tut pi di altâ parti, caplu a executivlui va s-promoveadzâ unâ taxâ di solidaritati di 10% pi cari s-u pâlteascâ lucrâtorl’ii dit sistemlu public cu salarii mai mări di 1000 di euro. PNL — soţlu di guvernari al PSD – nu aproachi ici aestâ lucru ţi niţi alti crişteri di fiscalitati.



    Corlu Madrigal – 50 di an’i di banâ.



    Corlu Naţional di Camerâ “Madrigal” încl’isi 50 di ani di banâ. Vidzut ca un semnu a artâl’ei interpretativâ româneascâ, Madrigal fu inhiinţat di dirijorlu Marin Constantin şi fu inclus tu Patrimoniul Cultural Universal al UNESCO, tu 1992. Ta s-yurtuseascâ aestâ dzuă, corlu va s-aibâ ma multi concerti tu un turneu naţional. Tu aeşţâ 50 di an’I di banâ artisticâ, corlu avu cama di 4100 di concerti pi scenili dit vâsâlii şi dit lumi. Madrigal yini cu un stil a lui, cu cântiţi mutrinda renaşterea europeanâ, cu muzicâ bizantinâ, ama şi un repertoriu românescu, di la tradiţionalili colindi, pânâ la cântiţi dit dzâlili a noasti.



    Inundaţiili dit Românii vinirâ cu mări ghideri.



    Aproapea tu cathi an, inundaţiili yin cu multi ghideri tu Românii. Tu aesti dit soni dzâli, apili agiumisirâ tu 150 di hori, ama vinirâ ş-pisti 11.000 di hectari di loc agricol, pâşun’i şi pâduri, căl’iuri comunali giudeţeni. Nai ma laia catandisi armâni pi Dunâ. Autorităţli aşteaptâ unâ crişteari a debitlui a arâului, iar prefecturili dit giudeţili di aclo suntu în cicioari ta s-agiutâ.

  • A la Une de la presse roumaine du 21.02.2013

    A la Une de la presse roumaine du 21.02.2013


    Plein de sujets politiques et économiques dans les pages des quotidiens parus ce jeudi à Bucarest. L’Union sociale libérale parle officiellement deux langues, lit-on à la une du quotidien Romania libera. Celui-ci explique que le maire de la ville de Sibiu, Klaus Johannis, est devenu membre du Parti national libéral, qui se prépare à lui offrir une fonction de direction au Congrès du parti qui s’ouvre ce vendredi. Rappelons que le PNL et le PSD forment l’USL, la coalition au pouvoir en ce moment en Roumanie. Cette manœuvre politique surprenante ne fait que renforcer l’idée selon laquelle, les libéraux chercheraient à avoir leur propre tandem de candidats aux fauteuils de chef de l’Etat et de premier ministre, estime Romania libera. « L’adhésion de monsieur Johannis n’influence pas notre soutien au premier ministre Victor Ponta », a déclaré le président libéral Crin Antonescu, cité par Adevarul. Le même journal rappelle que, ces derniers mois, Klaus Johannis a figuré parmi les critiques du gouvernement dirigé par le social-démocrate Victor Ponta.


    Entre temps, 6 mille salariés de la sidérurgie roumaine sont en danger de perdre leurs emplois. Le groupe russe Mechel a décidé de vendre à une minuscule société détenue par deux Russes les actions détenues à quatre usines sidérurgiques roumaines pour la somme symbolique de 52 euros, annonce Romania libera. Sous le titre « Le secret derrière la vente surprise des aciéries Mechel », Evenimentul zilei explique qu’en effet la société souhaiterait ne pas voir son image se détériorer à cause des licenciements qu’elle envisage de faire. Le premier ministre Victor Ponta à déclaré ne pas pouvoir intervenir dans cette transaction, puisqu’il s’agissait d’une société privée, explique aussi Adevarul.


    Les quotidiens roumains parlent aussi de la démission du gouvernement du premier ministre bulgare Boiko Borisov, un « gouvernement abattu par l’électricité », selon Adevarul, ou même « électrocuté juste avant les élections » selon Evenimentul zilei. A Sofia, ou les Bulgares ont protesté pendant six jours, contre l’austérité et notamment contre la majoration du prix de l’électricité, le premier ministre Boiko Borisov a démissionné, un acte qui risque de provoquer un chaos institutionnel, explique Romania libera. Selon le même quotidien, à Bucarest, l’homologue roumain de M. Borisov a déclaré que l’instabilité politique bulgare pourrait influencer l’adhésion de la Roumanie et de la Bulgarie à l’espace Schengen.


    En Roumanie aussi l’électricité figure parmi les sujets du jour. « La bulle de l’énergie verte commence à se dégonfler » titre Romania libera, selon lequel l’Autorité nationale de régulation de l’énergie propose la réduction du nombre de certificats verts délivrés pour les fermes solaires et les micro-centrales hydrauliques. L’énergie verte produit des pertes de compétitivité pour l’industrie locale, des coûts supplémentaires pour les ménages, mais aussi des profits généreux pour les investisseurs et les fournisseurs extérieurs de composantes, explique Romania libera qui précise que la Roumanie possède un des schémas de compensation les plus généreux pour les producteurs d’énergie renouvelable. Et la Roumanie ne se permet pas d’être généreuse.

  • 20.02.2013

    20.02.2013


    Partenariat – Le premier ministre roumain Victor Ponta commence une visite de deux jours en France, où il doit rencontrer le premier ministre français Jean-Marc Ayrault. Les deux responsables doivent analyser la relance du partenariat stratégique franco-roumain, le renforcement des relations économiques bilatérales et les moyens d’augmenter le volume des investissements français en Roumanie, notamment dans des domaines tels l’énergie, l’agriculture et l’infrastructure. La France est actuellement le quatrième investisseur étranger en Roumanie après les Pays-bas, l’Autriche et l’Allemagne. L’adhésion de la Roumanie à l’espace Schengen figurera également à l’agenda de la réunion.






    Vente – Le producteur russe d’acier Mechel a vendu pour une somme symbolique les quatre usines métallurgiques qu’il détient en Roumanie à une société de Bucarest contrôlée par deux ressortissants russes. En novembre 2012, sur la toile de fonds de la baisse des prix et de la demande sur les marchés métallurgiques européens, les usines Mechel de Roumanie ont arrêté la production. Les salariés sont au chômage technique et reçoivent trois quarts de leurs salaires.






    Environnement – Les autorités de Bucarest ont approuvé l’introduction d’un timbre d’environnement appliqué lors du transfert de droit de propriété de tous les véhicules. Selon la nouvelle formule de calcul, la taxe n’est plus dominée par la cylindrée de la voiture, mais surtout par les émissions de dioxyde de carbone. Les Roumains qui souhaitent immatriculer des véhicules électriques recevront une prime de 2500 euros. Par ailleurs, les véhicules pour lesquels la taxe environnementale, dans toutes ses formes a déjà été payée pendant les années précédentes, ne seront plus soumis au payement du timbre d’environnement.






    Sport – Le Festival olympique de la jeunesse européenne, organisé au département de Brasov, dans le centre de la Roumanie, se poursuit avec les épreuves de slalom, de sauts à ski, de hockey et de patinage artistique. Jusqu’ici, le seul sportif roumain à avoir décroché des médailles à cette compétition est Emil Imre : l’or et l’argent au patinage vitesse sur piste courte de mille et respectivement 500 mètres. Quelque 1500 sportifs et délégations de 45 pays participent à Brasov aux 8 épreuves figurant à l’agenda de ce festival d’hiver, le plus grand jamais organisé par la Roumanie.