Tag: Mircia Dumitrescu

  • Expoziția „In Memoriam ANDO”

    Expoziția „In Memoriam ANDO”

    Muzeul Național al Literaturii Române din București găzduieşte până pe 25 februarie 2023 expoziția In Memoriam ANDO”.



    Selecția expozițională aduce împreună lucrări de grafică, respectiv caricatură, din mai multe perioade de creație ale regretatului jurnalist, grafician și realizator de emisiuni de televiziune Octavian Andronic — ANDO (1946 – 2022), alături de fotografii din arhiva familiei Andronic, prezentate prin intermediul a două instalații textile realizate de Andreea Dobranici, respectiv de Alexandru Micloș.



    De asemenea, proiectul expozițional cuprinde o serie de lucrări de grafică semnate de Ana Ștefania Andronic — BUZU, fiica lui Octavian Andronic şi iniţiatoarea expoziţiei. Având-o curator pe Ana Daniela Sultana, expoziția In Memoriam ANDO” este însoțită de un album cu reproduceri după caricaturile lui ANDO. Curatoarea expoziţiei ne spune mai multe despre eveniment.






    La vernisajul expoziţiei a fost prezent şi artistul plastic Mircia Dumitrescu, membru corespondent al Academiei Române, cu care am discutat despre eveniment, caricatură şi artele plastice din România.




  • Preisgala: Verband der Bildenden Künstler verleiht Preise in Târgu Jiu

    Preisgala: Verband der Bildenden Künstler verleiht Preise in Târgu Jiu

    Die Veranstaltungen zum 81. Jahrestag der Einweihung des dreiteiligen Ensembles des rumänischen Bildhauers Constantin Brâncuşi in Târgu Jiu sind mit der Gala der Preise des Verbandes der Bildenden Künstler und des Nationalpreises Brâncuşi für das Jahr 2018 zu Ende gegangen. Die Gala fand auf der Bühne des Dramatischen Theaters Elvira Godeanu“ in der Heimatstadt des Bildhauers, Târgu Jiu.



    Der Verband der Bildenden Künstler hat neun Preise im Bereich Bildende Kunst verliehen, eine Auszeichnung für den besten Nachwuchskünstler, einen Preis für hervorragende Leistung und drei Preise der Jury. Der Vizepräsident des Verbands Bildender Künstler, Gheorghe Dican, kommt zu Wort mit Einzelheiten:



    Für uns als Verband ist es sehr wichtig, diese Preise zu verleihen, gleicherma‎ßen ist es von gro‎ßer Bedeutung für die Künstler und für den Bereich Bildende Kunst in Rumänien. Seit einigen Jahren wird die Tradition wieder fortgesetzt, die Preise am Jahresende zu verleihen. Das war mit der Unterstützung des Kulturministeriums möglich, aber voriges Jahr hat das Ministerium das Versprechen ausnahmsweise nicht gehalten. In dieser Form verleihen wir die Preise bereits zum dritten Mal. Wir glauben, dass die Tätigkeit der rumänischen Künstler gefördert werden soll. In diesem Sinne war die Gala willkommen, um dem Verband eine neue Gestalt zu verleihen, weil seine Tätigkeit in den letzten Jahren irgendwie überschattet war.“



    Der gro‎ße Preis des Verbands ging an den Maler, Graphiker und Bildhauer Mircia Dumitrescu. Als Akademiemitglied und Professor hat er im Jahr 2005 einen deutlichen Beitrag zur Rettung der Manuskripte des Nationaldichters Mihai Eminescu gebracht. Mircia Dumitrescu hat zudem einen gro‎ßen Teil der Werke von Nichita Stănescu bebildert. Mircia Dumitrescu über den gro‎ßen Preis des Verbands der Bildenden Künstler:



    Ich glaube, ich habe diesen Preis verdient, also kann ich nicht sagen, dass ich mich in einer gewissen Art und Weise fühle. Der Preis kam sowieso erst jetzt, wenn ich keine Preise mehr brauche. Ich freue mich jedoch, dass die Verleihung in Târgu Jiu stattfindet, in einer Stadt, die wir alle lieben. Ich freue mich auch, dass ich die Chance hatte, hier in Târgu Jiu den Band »Der Leidensweg der rumänischen Gefangenen in Elsass-Lothringen« vorzustellen. Darüber wurde überhaupt nicht berichtet, ich selber hab von einem französischen Oberst namens Jean Nouzille erfahren, dass auch mein Gro‎ßvater unter den rumänischen Kriegsgefangenen in Elsass-Lothringen zu finden war. Er ist nach dem Krieg in einem Krankenhaus in Cherbourg gestorben. Durch diesen Band habe ich meinen Gro‎ßvater wiedergefunden. Was meine Pläne angeht, kann ich sagen, dass ich immer etwas plane. Ich habe jüngst die Bronzeskulpturen der Gebrüder Minovici fertiggestellt, diese sollen im Park der Villa Minovici aufgestellt werden. Ich plane zudem eine Malereiausstellung.“




    Der Band Der Gro‎ße Krieg 1914–1918. Der Leidensweg der rumänischen Kriegsgefangenen in Elsass-Lothringen“ ist im Jahr 2019 in einer Auflage von 33 Exemplaren erschienen. Die Illustrationen sind von Mircia Dumitrescu eigenhändig unterschrieben, gedruckt wurde der Band auf vom ungarischen Unternehmen Vincze László & Söhne handgemachtes Papier. Das tragische und zu wenig bekannte Schicksal der 2000 rumänischen Soldaten, die vor hundert Jahren als Kriegsgefangene in Elsass-Lothringen gestorben sind, stellt ein Kapitel rumänischer Geschichte dar, das wir nicht mehr übersehen dürfen. Die von Unbekannten gelebte Geschichte des Landes ist hier wiederzufinden. Eigentlich sind sie die wahren Helden, die weit von ihrem Heimatland gestorben sind, sie haben Gro‎ßrumänien ermöglicht und keine Chance gehabt, es auch zu erleben — sie verdienen unseren vollen Respekt“, schreibt Akademiemitglied Răzvan Theodorescu im Vorwort des Buches.

  • Le Gala des prix de l’Union des artistes de Roumanie

    Le Gala des prix de l’Union des artistes de Roumanie

    Le remarquable ensemble de sculptures de Brancusi de Târgu Jiu était ouvert au public il y a 81 ans. Coïncidence ou non, les prix de l’Union des artistes plasticiens de Roumanie, ainsi que le Prix national Brancusi, ont été accordés à ce même moment. La Gala a d’ailleurs eu lieu au Théâtre Elvira Godeanu de Târgu Jiu. L’Union des artistes plasticiens (UAP) a accordé neuf prix pour différentes disciplines, un prix jeunes artistes, un prix d’excellence, trois prix spéciaux du jury et deux distinctions « Ami des arts ». Gheorghe Dican, le vice-président de l’UAP, nous parle de l’importance de ces récompenses : « C’est extrêmement important pour nous, en tant qu’organisation, d’accorder ces prix. C’est tout aussi important pour les membres de l’Union des artistes que leurs mérites soient reconnus par cette organisation d’une grande importance pour les arts plastiques et visuels de Roumanie. Ca fait quelques années que l’UAP a repris cette tradition, interrompue il y a un moment, d’accorder les récompenses de l’Union à la fin de l’année. Nous bénéficions du soutien du ministère de la Culture, mais, malheureusement, l’année dernière le ministère n’a pas honoré sa promesse, j’espère que c’était là un accident. Nous croyons que l’activité des artistes roumains doit être connue. Un Gala des prix est aussi le bienvenu pour changer un peu l’image de l’UAP qui était quelque peu dans une zone d’ombre. Non pas que les artistes n’ont pas eu d’activité, mais ces dernières années nous n’avons pas pu nous en occuper. »



    Le Grand prix de l’Union a été accordé à l’artiste Mircia Dumitrescu, peintre, graphicien, sculpteur et membre correspondant de l’Académie roumaine. En 2006, Mircia Dumitrescu devenait membre de l’Union des graveurs et lithographes hongrois. Entre 1975-1990, il a été secrétaire du département d’arts graphiques de l’Union des artistes de Roumanie. A partir de 1990, il enseigne à l’Académie des Beaux-Arts de Bucarest dans le département d’arts graphiques. En 2011, il devient professeur des universités titulaire.


    Il travaille avec l’Académie roumaine en 2005 pour le projet porté par l’académicien Eugen Simion qui tentait de sauver les manuscrits du réputé poète roumain Mihai Eminescu. C’est Mircia Dumitrescu qui propose une technique d’impression innovatrice pour la réédition les manuscrits. La reproduction de ces documents devient enfin possible et met ainsi ce patrimoine littéraire de valeur à la disposition des futurs chercheurs et passionnés. Mircia Dumitrescu a aussi illustré une grande partie de l’œuvre d’un autre poète roumain, Nichita Stănescu. Ils étaient amis et s’admiraient mutuellement. Le poète a dédié 33 poèmes à Mircia Dumitrescu, qui lui a offert des œuvres à lui en échange. Mircia Dumitrescu, sur le Grand Prix de l’Union des artistes plasticiens de Roumanie :« Je pense que je méritais cette récompense depuis un moment déjà, alors je ne peux pas dire que ça me fait une impression particulière. Ce prix est arrivé tard, à un moment où je n’ai plus besoin de prix. Ce qui me réjouit néanmoins est que le Gala ait eu lieu à Târgu Jiu, un espace que nous aimons tous grâce à Constantin Brancusi. J’ai aussi été content de pouvoir faire le lancement de mon livre sur le calvaire des prisonniers roumains en Alsace et en Lorraine ici, à Târgu Jiu. Personne ne s’était occupé de ces prisonniers, mais j’ai eu la chance qu’un colonel français, Jean Nouzille, me signale qu’un de ces prisonniers dont personne ne parle était mon grand-père lui-même. Il est mort dans un hôpital de Cherbourg après la guerre. Alors cet ouvrage m’a aidé à retrouver mon grand-père. Quant à mon travail, j’ai toujours quelque chose en cours. J’ai récemment fini les sculptures des frères Minovici, des œuvres en bronze qui seront installées dans le parc de la Vila Minovici. J’ai aussi une exposition de peinture en vue. »



    Le volume bibliophile « La Grande Guerre 1914-1918. Le Calvaire des prisonniers roumains en Alsace et en Lorraine » est paru en 2019 et a été tiré en 33 exemplaires. Les dix illustrations originales signées par l’artiste lui-même sont imprimées sur du papier manuel réalisé par « László Vincze et Fils » de Szentendre, en Hongrie.


    Laurenţiu Mogoşanu, lui, a reçu deux prix de la part de l’Union des artistes plasticiens de Roumanie : le Prix national Brancusi et un des Prix spéciaux du jury. Sculpteur, il est diplômé des Beaux-Arts de Bucarest. En 1993, il reçoit la bourse Frederic Storck, en 1994 la bourse de l’UAP et en 1996 la bourse Ludwig Forum à Aix – la- Chapelle, en Allemagne. C’est cette même année que l’UAP le récompense avec le Prix jeunes artistes. Il a beaucoup exposé, en Roumanie et à l’étranger. Laurenţiu Mogoşanu :« Mon but n’a pas été d’obtenir un prix, c’est le résultat de mon travail de ces dernières années. J’ai eu deux expositions en 2018, une à la Galerie Simeza, en plein centre de Bucarest, sur le sacrifice et la joie de la résurrection. Dans l’autre, accueillie par la Galerie Cuhnia, dans le Palais de Mogoșoaia, au nord de la capitale, j’ai essayé de restituer le drame des Brancovains à l’aide des moyens de l’artiste visuel. Je peux dire que ces prix me stimulent. C’est en quelque sorte une reconnaissance de mes collègues qui me motive à continuer mes projets et à en entamer des nouveaux. »



    Le Prix d’excellence de l’UAP est revenu à l’artiste Mihail Trifan. Connu aussi sous le nom de Miki Trifan, cet artiste de Craiova (sud de la Roumanie) utilise tant les formes traditionnelles (peinture sur toile), que les plus avant-gardistes (assemblage, collage, performance). Son projet artistique est loin de la prédictibilité et l’académisme d’une grande majorité d’artistes. (Trad. Elena Diaconu)



  • Închiderea Simpozionului Internațional de Sculptură, Pictură și Grafică

    Închiderea Simpozionului Internațional de Sculptură, Pictură și Grafică

    Încheierea Simpozionului Internaţional de
    Sculptură, Pictură și Grafică din cadrul Atelierelor Brâncuşi, ediția 2019 a
    fost marcată marți, 3 septembrie, de vernisarea unor expoziții de excepție. La
    finalul a trei săptămâni de efort creativ, cei șapte artiști plastici au
    prezentat publicului lucrări reprezentative, care vor intra în patrimoniul
    Municipiului Târgu Jiu.


    Primul eveniment artistic al zilei a fost
    marcat la Muzeul Arhitecturii Populare de la Curtișoara, unde a avut loc vernisajul
    lucrărilor de sculptură, realizate de către Ion Iancuț (Perseidă) și Carmen
    Tepșan (Semn protector). Pe parcursul atelierului, cei trei sculptori
    profesioniști (Tepșan, Iancuț și Vlad Ciobanu) au realizat și o serie de
    lucrări de pictură și grafică.


    La Muzeul Județean Gorj Alexandru
    Ștefulescu, în prezența tuturor artiștilor participanți la simpozion, a avut
    loc vernisajul lucrărilor de pictură și grafică. Au adresat mulțumiri din
    partea organizatorilor Adrian Tudor, viceprimar al Municipiului Târgu Jiu și
    Doru Strîmbulescu, managerul Centrului de Cercetare, Documentare și Promovare
    Constantin Brâncuși.


    Criticul de artă Pavel Șușară a vorbit despre
    specificul acestui simpozion, despre capacitatea artiștilor de a se raporta la
    spațiul înconjurător, ca și despre continuarea creației personale în maniera
    care l-a consacrat pe fiecare.


    Artiștii plastici invitați în simpozion au
    realizat câte două lucrări de grafică/pictură:


    Mircia Dumitrescu – Rânca I și Rânca III;


    Antal Vasarhelyi – Glass-gate III și Dulce
    ca mierea – Glonțul patriei


    Milan Jakšić – Frontiers I și Frontiers II;


    Dan Palade – Masă (diptic) și Formă Spartă.


    Acestora li s-au adăugat și cele două lucrări
    de grafică semnata Nada Denić,
    o artistă foarte valoroasă și completă din spațiul balcanic, dar și european,
    care a venit la Rânca împreună cu soțul său, pentru a lăsa patrimoniului
    municipiului o amprentă puternică a școlii sârbești de artă plastică.


    Evenimentul a continuat cu vernisajul
    expoziției Ucigând Balaurul, cuprinzând lucrări de grafică, desen, pictură și
    sculptură semnate Mircia Dumitrescu, unul dintre cei mai compleți artiști
    plastici români, membru corespondent al Academiei Române. Mircia Dumitrescu
    este cunoscut , în primul rând, ca ilustrator de carte, creator de
    carte-obiect, pasionat de literatură şi frumuseţea unui volum.


    La vernisaj a fost
    prezentşi poetul sârb Adam Puslojic, cunoscut publicului
    din România ca un apropiat al artelor şi scriitorilor români, dar şi un bun
    prieten al lui Nichita Stănescu.


    Simpozionul a fost organizat în perioada 12
    august – 3 septembrie de Centrul de Cercetare, Documentare și Promovare
    Constantin Brâncuși, Consiliul Local şi Primăria Municipiului Târgu-Jiu,
    având caparteneri Uniunea Artiștilor Plastici din România și Muzeul
    Județean Gorj Alexandru Ștefulescu.


    Parteneri media: Radio România Internațional,
    Radio România Actualități, Radio România Cultural, Radio Oltenia Craiova, TV
    Sud, Gorjeanul.