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  • Le courrier des auditeurs – 04.12.2015

    Le courrier des auditeurs – 04.12.2015

    Madame, Monsieur, au micro Ioana, contente de vous retrouver sur nos ondes en cette première semaine d’hiver. Avant de nous attaquer au sujet du jour, permettez-moi de remercier une fois de plus tous ceux nous ayant écrit des messages de félicitations à l’occasion de la Fête nationale de la Roumanie marquée le 1er décembre. Merci donc à André Biot, de Belgique, qui nous a souhaité à tous une très joyeuse fête nationale. Et il a profité de cette occasion pour féliciter une fois de plus notre collaborateur Richard Edwards qui a mis en onde la 83e et dernière édition de « Ma Roumanie, chronique d’un amateur ». « Dommage, écrit M. Biot, car c’était un programme très intéressant. Merci à cet animateur occasionnel, peut-être aura-t-il l’occasion de présenter d’autres chroniques. Bravo encore pour son travail et merci ». Cher André Biot, vous n’êtes pas le seul à regretter la fin de « Ma Roumanie, chronique d’un amateur » de Richard Edwards. C’est une des rubriques les plus appréciées et les plus aimées de RRI. Parmi les fans de M. Edwards, il convient de mentionner M. Jean- Marc Olry, de France, qui a beaucoup apprécié la dernière chronique qui a su nous ramener au début, à la genèse de l’émission. Et, affirme Jean-Marc, «je me souviens encore de la première, prise en cours de route donc sans l’annonce et qui m’avait tout de suite fait penser à une chronique d’un écrivain voyageur ». Cher ami, cela nous fait du bien de remémorer ensemble des moments magnifiques lors de votre voyage en Roumanie. Et je ne pense pas aux contrôles à l’entrée de la Radio, mais à tous vos récits de voyage. Andrei et Ileana se remettent à moi pour vous passer leur bonjour chaleureux. Et puis, faites à votre mère une bise de la part de toute l’équipe. Là, que « Ma Roumanie a pris fin », j’espère que votre mère ne quitte pas l’écoute de nos programmes. Qui sait, peut-être qu’elle se trouve une autre émission préférée. Gros bisous de la part de nous tous !

    M. Oli Rob déplore à son tour sur Facebook la fin de la rubrique de Richard Edwards et il espère écouter bientôt une suite de ces chroniques. On verra bien !Notre ami français Christian Ghibaudo se rejoint à tous ceux qui déplorent la fin de la chronique de Richard Edwards et affirme qu’il s’agit « d’une chronique à ne pas manquer et à diffuser sur les ondes nationales françaises. Cela permettrait aux français, de mieux comprendre la Roumanie ! », fin de citation. Cher ami, si j’ai bien compris, vous envisagez un voyage en Roumanie dans le courant de l’année 2016. C’est génial de vous revoir ! J’espère que vous allez nous rendre visite à la radio. Par ailleurs, si vous cherchez une destination en Roumanie, je viens d’apprendre que la Transylvanie a été choisie en tête des principales régions touristiques à découvrir en 2016, selon le guide de voyage Lonely Planet. Et ce n’est pas grâce au compte Dracula, mais aux Monts d’Apuseni et au Massif de Bucegi, aux villages saxonnes, aux cités médiévales de Brasov, Sibiu et Sighisoara, aux églises fortifiées ou encore à la ville de Cluj ou au village de Viscri. En plus, la cuisine est extraordinaire en Transylvanie, les gens très accueillants et sympathiques et l’eau-de-vie de prune très appréciée. ON vous attend donc en Roumanie, cher Christian Ghibaudo.

    Cher Jean-Michel Aubier, de France, merci à vous pour vos félicitations à l’occasion de la Fête nationale de la Roumanie. Il est vrai que normalement le premier jour de décembre le temps est plutôt morose, mais ces dernières années, on a eu du soleil et quelque 10 degrés, ce qui n’est pas trop normal pour une capitale en zone tempérée. Comme quoi, le réchauffement global existe ! C’est gentil d’avoir pensé aussi à ceux qui ont profité des 4 journées de repos. Comme moi. J’ai fait une escapade à Moeciu, près de Bran et de Brasov, au pied des montagnes. Trois jours, trois familles, cinq petites filles et pas mal de papanasi, sorte de beignets au fromage blanc enrobés de coulis de fruits rouges. Gros bisous à vous et à la prochaine !

    Je voudrais également remercier nos amis canadiens Daniel Beaulne et Roger Roussel qui nous ont offert, chacun, un très joli calendrier. Ca tombe à point, puisque nous avons deux bureaux et comme ça, on ne risquera pas de disputer ces petits cadeaux. Pourtant, j’avoue que le choix est difficile. Les calendriers sont magnifiques avec de belles photos d’animaux et de fleurs. Merci une fois de plus à nos deux amis canadiens.

    Avant de passer au sujet du jour, je voudrais saluer également notre auditeur Gilbert Dupont qui nous a écrit un message pour nous signaler le fait que nos confrères slovaques ont parlé du concours « La navette de Mamie Ruta » lors de l’émission consacrée au courrier des auditeurs. C’est super de leur part. Je vous prie de leur passer notre bonjour si vous vous rendez à Bratislava. Grosses bises de Bucarest !

    Dans les minutes suivantes, je vous invite à Lido di Camaiore, en Italie, pour passer notre bonjour amical à Marzio Vizzoni qui nous écrit une lettre fort sympa qui s’ouvre par des phrases qui nous font chaud au cœur: « quel plaisir pour moi d’écouter vos jolis programmes ! Vos programmes m’aident à mieux connaître votre pays. Je continuerai à écouter RRI, car je veux apprendre tout ce qui concerne la Roumanie ». Grazzie mille, cher Marzio Vizzoni. A mon tour, je dois vous dire que je suis définitivement tombée amoureuse de votre pays il y a quelques années quand j’ai eu le plaisir de découvrir lors d’un voyage la magnifique localité de Bassano del Grappa. Un endroit magique proche de Venise. Depuis, j’ai voyagé à travers l’Italie et ma région préférée reste la Toscane avec ses beaux villages de San Gimignano, de Greve in Chianti et Rada in Chianti et les cités de Lucque ou Lucca en italien, de Sienne, de Florence ou encore d’Arezzo ou de Pise. Un pays magnifique, l’Italie, avec des gens très sympas et chaleureux ! Quant à votre rapport d’écoute, il sera bien évidemment confirmé par une carte QSL que vous méritez bien. Merci pour les autocollants ; à notre tour, on essaiera de vous en envoyer quelques-uns. Bisous de Roumanie et à la prochaine !

    Chers amis, je voudrais dans ce qui suit de m’attaquer à une étude fort intéressante qui vient de paraître dans la presse bucarestoise et selon laquelle 70% des Roumains de la diaspora voudraient rentrer en Roumanie, mais ce sont la corruption et le niveau de vie en berne qui les en empêchent. C’est un sondage commandé par Romanian Business Leaders, mis en place par Open-l Research et dont les conclusions sont à lire sur la page électronique de Jurnalul national. Sur l’ensemble des ressortissants roumains, la plupart ont décidé de quitter la Roumanie poussés par la pauvreté, mais le pays continue à leur manquer fortement, peut-on lire dans cette étude selon laquelle 40% des ressortissants roumains interrogés espèrent rentrer en Roumanie d’ici trois ans et 20% avant la fin de l’année en cours.

    Pourquoi souhaitent-ils regagner un pays qui affiche un niveau de vie assez bas et un haut degré de corruption ? Pour être près de leurs familles et de leurs proches, surtout à la retraite. En plus, une bonne partie des ressortissants voudraient rentrer en Roumanie et investir dans différents domaines tels le tourisme et l’agriculture. Presque la moitié des Roumains vivant à l’étranger pensent que la Roumanie a toutes les chances de voir sa situation s’améliorer d’ici quelques années. Il convient de mentionner le fait que les Roumains de la diaspora sont pour la plupart optimistes quant il s’agit de l’avenir de leur pays, surtout parce qu’ils connaissent très bien les inconvénients du processus d’immigration.

    Fondateur du projet Ré-patriote, l’actuel ministre chargé des Communications et de la Société de l’information, Marius Bostan, a plaidé en faveur d’une union spirituelle et sentimentale des Roumains de partout de sorte qu’il n’existe plus deux Roumanie : une ici et l’autre ailleurs. Lancé l’été dernier par Romanian Business Leaders, le projet Ré-patriote se propose d’encourager un retour des ressortissants roumains reposant sur l’entrepreneuriat et sur leur implication active dans la dynamisation du milieu local des affaires. De l’avis de son initiateur, l’actuel ministre Marius Bostan, un rôle essentiel revient à présent aux entrepreneurs, médecins, professeurs et experts en TI qui ensemble pourraient contribuer à effacer les frontières entre ces deux Roumanie. Le projet Ré-patriote a été déjà présenté lors de plusieurs conférences organisées à Madrid, Valence, Londres, Dublin, Milan et Turin.

    Madame, Monsieur, c’est tout pour aujourd’hui. Ioana vous fait une bise radiophonique, vous donne rendez-vous d’ici deux semaines à une nouvelle édition du courrier.

  • Le courrier des auditeurs 24.04.2015

    Le courrier des auditeurs 24.04.2015

    Au micro, Ioana, contente de vous retrouver sur les ondes. Comment allez-vous ? Je suis fort contente de voir le printemps installer pour de bon en Roumanie. Il fait chaud, il fait beau, le soleil brille dans le ciel, les oiseaux gazouillent, les arbres sont en fleur et tout cela me donne vraiment la pêche. En plus, j’ai devant mes yeux, plein de lettres et de messages hyper encourageants, ce qui est magnifique ! A titre d’exemple, je voudrais citer M. Jean Michel Aubier qui a trouvé “reposante” la dernière édition de la Journée de lauditeur. Notre ami français a notamment apprécié la contribution des auditeurs en dehors de France. Cest toujours intéressant de connaître leur point de vue, a écrit Jean Michel Aubier. Merci à vous, cher monsieur, merci de nous écouter et de nous encourager ! D’ailleurs, vous n’êtes pas le seul à avoir apprécié l’édition 2014 de la Journée de l’auditeur. Votre compatriote, Philippe Marsan, a tenu à nous remercier pour, dit-il, « cette émission spéciale attendue tout au long de lannée », car, « cest excellent de donner la parole aux auditeurs ». Croyez-nous, nous aussi on est toujours impatient de connaître vos points de vue. Malheureusement, on n’a pas prévu une QSL spéciale pour cette occasion. Mais, ce serait une très bonne idée d’imaginer une telle carte. Merci à vous pour les rapports d’écoute soigneusement élaborés et bonne continuation sur nos ondes !



    Dirigeons-nous vers l’Algérie pour un petit coucou amical à notre ami Ferhat Bezazel qui nous a fait parvenir un rapport d’écoute fort détaillé. Merci à vous et merci de nous informer que la qualité de la réception fut vraiment du top ! Ca c’est vraiment une excellente nouvelle, nous en sommes très contents ! Cher ami, grosses bises de la part de nous tous et un excellent week-end sur nos ondes !



    Retour en France pour un petit clin d’œil amical à notre ami Oli Rob qui nous a écrit un message tellement sympa et qui nous a fait tellement chaud au cœur que je voudrais bien citer entièrement. Il était de bonne heure le matin pour moi en France, écrit M. Oli Rob et je finissais de réparer un poste de radio un grundig et je vous ai entendu … Je me suis rendu compte au quatrième mots que vous avez prononcer que votre voix qui par ça caractéristique par cette façon de vous exprimer (qui est très agréable à loreille disons un phraser “guilleret “) .. m’a fait comme un déclic dans ma tête, je me suis dis tiens “je suis RRI ” je nai même pas jeter un coup d’œil sur la fréquences affichées sur le poste .. Je vais vous dire que moi qui écoute la radio depuis pas mal de temps, il y des voix qui marquent, comment dire, “une empreinte ” dans la mémoire et vous faites partie de ce petit cercle qui arrive à déclencher ce déclic qui est très agréable.. je vais aller me coucher. Bonne semaine à vous et à votre équipe .. et continuer à enchantée nos oreilles !!! Cher ami, merci bien ! On fera de notre mieux pour continuer à faire des programmes agréables !



    On fait pas mal de kilomètres à travers le monde, car je vous propose de nous diriger dans les minutes suivantes vers le Japon pour passer le bonjour de nous tous à M. Aikawa Osamu. Buna ziua à vous aussi ! Noi suntem bine. Dumneavoastra ? Je me permets cette petite conversation en roumain, puisque notre auditeur nippon fait des progrès en notre langue que vous avez l’occasion d’apprendre grâce aux cours concoctés par Dominique. Merci à vous pour les rapports d’écoute qui nous impressionnent à chaque fois, tant ils sont bien fournis et riches en détails ! Notre ami a suivi les infos sur RRI, la revue des principaux sujets de la presse roumaine, une nouvelle édition de notre dossier L’avenir commence maintenant consacré en ce jour là au parcours européen de la République de Moldova. Je suis très contente de découvrir que le Courrier des auditeurs continue à figurer parmi vos préférences et que vous avez suivi la réponse à la question posée par Jean François Meile sur les Roumains et la religion. En fait, j’ai des informations supplémentaires à vous donner à ce sujet. Valentina et Alexandru vous font une bise radiophonique pour vous remercier de votre intérêt à l’égard de leur rubrique Paroles Jeunes et toute l’équipe se remet à moi pour passer son bonjour et vous souhaiter bonne continuation !



    Je disais que j’ai des informations supplémentaire à propos de l’importance de la religion chez les Roumains. Selon un sondage d’opinion, le nombre de Roumains croyants a baissé de 85% en 2005 à 77%, en 2014. La baisse est enregistrée notamment dans les rangs des jeunes âgés de 18 à 24 ans dont seulement 66% se disent croyants. Par ailleurs, un sondage élaboré par le quotidien Adevarul note qu’en début de cette année, seulement 54% de la population roumaine se considérait très croyante et pratiquante. Un pourcentage bien en dessous de celui de 2010, quand 92% des Roumains affirmaient croire en Dieu. En plus, cette année, seulement 24% des Roumains orthodoxes ont observé la période de carême, tandis que 22% des Roumains ont décidé ne pas participer à la messe de Pâques.



    Mes amis, dans les minutes suivantes, j’ai une petite annonce à faire à l’intention des jeunes journalistes francophones du monde entier. L’annonce se retrouve sur le site de l’Institut français de Bucarest, mais je voudrais reprendre au micro toutes les informations nécessaires.



    Chaque année, l’association « Sur les pas d’Albert Londres » permet à de jeunes français et étrangers de participer à une aventure journalistique autour d’un thème inspiré des écrits d’Albert Londres, journaliste d’investigation du début du siècle, considéré en France comme « La » référence du journalisme.



    Durant 15 jours ou trois semaines, encadrés par des journalistes professionnels, une vingtaine de jeunes (français et étrangers) de 18 à 25 ans réalisent des reportages vidéo, écrit, web, et photo, qui aboutissent à un documentaire de 26 ou 52 minutes disponible en DVD. Ces reportages sont également présents sur un site WEB.



    L’association « Sur les pas d’Albert Londres » a été créée en 2011. Les précédents projets ont été soutenus par les collectivités locales du lieu où se trouve la maison natale d’Albert Londres, (Vichy), par le Ministère des Affaires Etrangères et l’Europe.



    L’objectif est d’offrir une expérience de terrain à ces jeunes, de les aider à progresser dans leur souhait de se diriger vers le journalisme et la communication sous toutes ses formes (écrit, TV, multimédia …). Le mélange des nationalités lors de ce voyage en fait également un moment d’échange basé sur l’inter-culturalité, le partage de différentes visions du monde.



    L’an passé, l’association a réalisé un documentaire autour de la commémoration de la guerre 1914/1918, dans le cadre de la Mission Française du Centenaire. Des jeunes français, belges, allemands et colombien ont réalisé des reportages sur le terrain des lieux emblématiques de la guerre dans le Nord et l’Est de la France. Cette année, l’Itinérance se déroulera dans les Balkans, sur les lieux marqués par la Première Guerre Mondiale, le Front d’Orient.



    Pour chaque édition, nous choisissons pour fil rouge une des thématiques développées par Albert Londres dans ses nombreux reportages d’investigation. C’est sur les pas du grand reporter que les jeunes participants du périple se retrouvent, invités à porter, à leur tour, un regard aiguisé sur l’actualité et les événements du monde.



    Notre volonté c’est aussi de permettre ensuite aux jeunes qui ont participé à ces reportages sur le terrain, d’être accueillis en stage dans des médias et/ou agences de communication françaises ou allemandes et également d’être mieux préparés aux écoles de journalisme. Ce projet 2015 de l’itinérance « Sur les pas d’Albert Londres» vise, aussi, comme en 2012 et 2013, et 2014 plusieurs autres objectifs : favoriser le dialogue des cultures, développer la culture de paix et la coopération entre jeunes de territoires français, jeunes de territoires allemands et jeunes des Balkans et de l’Europe du Sud Est ; enrichir le parcours de formation d’étudiants en journalisme et en communication, et favoriser leur insertion dans la profession ; favoriser la connaissance et le partage par des jeunes français et Balkaniques de la réalité de ce que fut la 1ére guerre mondiale, tant du point de vue allemand que français et imaginer ce que peut-être l’avenir autour de grands sujets des Balkans et de l’actualité mondiale en générale.



    Les journalistes responsables de l’encadrement sont de grands noms du journalisme. Il s’agit de Alain Valentini 65 ans, actuellement Rédacteur en chef à France Télévisions. Il s’est rodé à toutes les formes télévisuelles au sein du groupe ( rédaction, production, présentation….) . Il est aussi expert auprès de Canal France International (CFI) et a réalisé de nombreuses missions à l’étranger. Il est responsable aujourd’hui de la vidéo interne du groupe France Télévisions. Le deuxième nom est celui de Alejandra Magnasco, 34 ans. Elle a travaillé pendant deux années à la Web TV de France-Télévisons, puis pour plusieurs longs documentaires et reportages d’actualité. Elle travaille actuellement avec des télévisions sud-américaines. Diplômée d’une école de journalisme, elle a commencé son expérience professionnelle avec 5 années de travail dans le domaine du cinéma.



    Sur le site de l’Institut français de Bucarest, vous allez trouver tous les détails pour inscrire votre candidature au cas où un tel stage vous intéresse. Attention, ce stage s’adresse seulement aux candidats entre 18 révolus et 26 ans (exceptionnellement jusqu’à 28 ans) qui sont dans une école de journalisme ou de communication. Une première expérience pratique du journalisme (même dans le cadre scolaire) serait un plus. Pour les postulants du groupe vidéo, un minimum de connaissances du maniement de la caméra et du montage final cut pro est souhaité (utilisation de caméras Sony P2). N’oubliez pas que le français sera la langue pour la réalisation des reportages. Il est donc demandé de maîtriser le français, (au-delà de l’accent). L’allemand et l’anglais restant possible pour la communication entre tous. Certains reportages pourront être réalisés dans une autre langue maternelle. Il faudrait avoir un esprit de curiosité et d’initiative personnelle dans la recherche et la réalisation des reportages, avoir le sens de l’engagement, de l’esprit d’équipe et le sens de lorganisation et bien évidemment, il ne faut pas craindre les…heures supplémentaires et le travail sous pression… ! Les candidats devront être disponibles du 1er au 20 Août 2015 pour déplacement dans les Balkans selon un circuit qui sera précisé ultérieurement. Bonne chance à toutes et à tous !



    Dernière réponse du jour avant de mettre point final à l’actuelle édition et d’écouter une jolie chanson. Une réponse plutôt collective, puisque je voudrais remercier plusieurs d’entre vous nous ayant envoyé des rapports d’écoute. Merci donc à nos auditeurs Paul Verheijden des Pays Bas, Dimitri Kutuzov de Russie ; Guy Le Louet de France qui nous a écrit et je cite « réception parfaite très bon programme riche en infos sur la Roumanie ». Sur ce compliment qui fait chaud au cœur, je vous dis au revoir et rendez-vous d’ici deux semaines à une nouvelle édition du courrier. En attendant, une jolie chanson qui plaît beaucoup à ma fille. C’est normal, elle a dix ans et le chanteur est un joli brun qui cartonne auprès des ados.