Tag: Olt

  • Oltenia de sub Munte

    Oltenia de sub Munte

    Astăzi vă invităm să descoperiţi o zonă din sudul ţării, Geoparcul aspirant UNESCO Oltenia de sub Munte. Este o zonă cu o suprafață de peste 635 de kilometri pătrați. Când vorbim despre acestă zonă, ne gândim la 18 arii naturale protejate: un parc național suprapus cu două situri Natura 2000 și 15 rezervații naturale, 40 de geosituri (geologice și geomorfologice), 65 situri culturale și pentru biodiversitate.

    Traian Bădulescu, consultant în turism, ne-a recomandat zona în detaliu: “Oltenia de sub munte reprezintă practic zona de munte şi de deal din judeţele Vâlcea, Gorj şi Mehedinţi. Când spunem Oltenia de sub munte spunem turism rural, spunem mănăstiri, spunem istorie, cule, conace şi spunem, bineînţeles, şi tradiţii foarte bine păstrate. Asociaţia Kogayon organizează foarte des evenimente şi este custode, are în grijă Parcul Naţional Buila Vânturariţa, din nordul judeţului Vâlcea. Pot spune că nordul judeţului Vâlcea reprezintă o zonă cu un potenţial turistic mare şi aici mă refer la Horezu, cu vestita sa ceramică. 

    Asociaţia Kogayon doreşte să promoveze ceramica autentică de Horezu. Vorbim şi de alte localităţi, Vaideieni, care este chiar la intrarea în Parcul Naţional Buila Vânturariţa, vorbim de Costeşti, la poalele munţilor Buila-Vânturariţa. La Costeşti, începând cu anul trecut, se desfăşoară anual Festivalul Licuricilor, o idee foarte interesantă. Este o perioadă în care putem admira licuricii, noaptea, şi festivalul va avea loc în acest an la Costeşti între 4 şi 11-14 iulie, fiind deja la a doua ediţie. Pot spune că în Parcul Buila Vânturariţa sunt arbori foarte bătrâni, de diferite specii, fagi, stejari, paltini de munte, molizi, brazi, carpeni, cireşi sălbatici. Membrii Asociaţiei Kogayon au identificat până în prezent 249 de arbori seculari, iar Parcul Naţional are şi 1302 de hectare de păduri virgine, înscrise în catalogul naţional.”

    Rețeaua hidrografică de aici este în întregime tributară râului Olt. Principalele râuri sunt, de la vest la est: Cerna, Luncavăț, Bistricioara, Bistrița, Costești, Otăsău, Cheia, Olănești, care în drumul lor au sculptat chei și văi, care de care mai pitorești.  Apele subterane sunt la fel de active, în special în zona acviferului subteran de sub Buila-Vânturarița; din acest motiv, au generat multe fenomene endocarstice (care se dezvoltă în interiorul masivelor calcaroase), reprezentate prin peste 100 de peșteri, la care se adaugă numeroase fenomene exocarstice (doline).

    Asociația Kogayon a început oficial demersurile pentru obținerea satutului de Geoparc UNESCO pentru Oltenia de sub Munte în iunie 2020, prin transmiterea la UNESCO a scrisorii de intenție, candidatură susținută de către Comisia Națională a României pentru UNESCO și cei 60 de parteneri ai proiectului.

    Invitaţia a fost lansată! Până data viitoare, vă dorim drum bun şi vreme frumoasă!

  • Băile Tușnad

    Băile Tușnad


    Nous nous rendons aujourd’hui dans l’une
    des stations thermales les plus belles et pittoresques de Roumanie : Băile
    Tușnad. Située dans le département de Harghita, dans un cadre remarquable, la
    ville est juchée sur le versant ouest du massif volcanique de Ciomad, dans les
    Gorges de l’Olt, à 656 mètres d’altitude. Ce lieu époustouflant est entouré par
    des forêts de conifères et de feuillus. L’air y est incroyablement pur, très
    chargé en ions négatifs. Des sources écrites datant du 18e siècle vantent
    les vertus curatives des eaux minérales et thermales de la région de Tușnad,
    très prisées des habitants des villages voisins. Aujourd’hui, vous pouvez
    séjourner dans les différents hôtels et chambres d’hôtes de la région, qui
    proposent des cures thermales en plus du logement.


    Venez visiter le seul lac volcanique d’Europe du Sud-Est, profitez des nombreuses
    sources d’eau minérale naturelle, épiez les ours depuis les observatoires et admirez
    les portails en bois sculpté et les églises fortifiées ! Les activités
    touristiques ne manquent pas ! Voilà ce que Băile Tușnad a à offrir, nous
    raconte Attila Pilbath, manager au sein de cette destination écotouristique que
    l’on surnomme en Roumanie « la Petite Suisse ». « Ici se trouve le Lac Sfânta Ana (Sainte Anne),
    l’unique lac volcanique de la région d’Europe du sud-est. On y trouve des
    plantes caractéristiques de ce lieu, et d’autres, insectivores, une curiosité
    qui attire les touristes. Nous proposons des sentiers thématiques, mais les
    sources minérales et les mofettes sont de vrais atouts touristiques pour la
    région. Même si Băile Tușnad est la plus petite station thermale de Roumanie, elle
    offre de nombreux hébergements et propose une kyrielle d’activités. Mentionnons
    par exemple la piscine méso thermale récemment rénovée grâce aux subventions
    européennes. Elle a réintégré notre offre touristique et répond aujourd’hui aux
    normes européennes. La réserve naturelle de Tinovul Mohoș se trouve à deux pas
    et accueille un sentier thématique facile d’accès. La station de Băile Tușnad
    est aussi célèbre pour sa population importante d’ours qui se promènent souvent
    dans les environs. Il est aussi possible de les admirer depuis les
    observatoires prévus à cet effet, en toute sécurité et accompagnés d’un
    guide. »



    Attila Pilbath nous explique que beaucoup d’activités sont proposées dans
    la station. « L’hiver on peut parcourir les sentiers en traîneau tiré
    par des chevaux. Nous proposons un parcours facile d’une heure et demie qui
    monte jusqu’au lac Sainte Anne. On trouve encore dans la région des villages
    traditionnels sicules. Certains artisans font même partie du réseau local que
    nous mettons en valeur. A proximité de Tușnad, un artisan rénove les portails
    en bois sculpté. Ils ressemblent à ceux que l’ont peut trouver dans la région
    du Maramureș, dans le nord du pays, à la différence que ceux-ci ne sont pas
    peints et ne sont que sculptés. De l’aube au crépuscule, cet artisan restaure
    d’anciens portails, parfois vieux de plus de 100 ans. Les touristes peuvent
    admirer quatre portails sculptés, accompagnés d’un guide leur expliquant le sens
    des différents symboles utilisés
    . »


    Băile Tușnad s’est aussi rendu célèbre pour son concours très spécial, une
    tradition instaurée en 2009 et qui a commencé au cœur des montagnes enneigées. En
    janvier, quand les températures sont très basses, débute les courses d’attelages
    de chiens de traîneau, un évènement sportif inédit ! Des dizaines de
    chiens, un parcours de près de 12 km pour un spectacle fascinant !
    Promenade en calèche, parapente en tandem, promenades culturelles, rafting,
    kayak sur l’Olt, randonnées équestres, visites guidées en pleine nature pour
    observer la faune et la flore, et, bien évidemment, les cures thermales :
    impossible de résister à l’appel de Băile Tușnad ! Vous pouvez vous y
    rendre toute l’année, et vous voilà officiellement invités ! Rendez-vous
    très bientôt pour découvrir une nouvelle destination. En attendant, bon voyage
    et bonne journée ! (Trad. : Charlotte Fromenteaud)

  • Le Delta de l’Olténie

    Le Delta de l’Olténie

    A part le Delta du Danube, dont l’importance écologique n’est plus à démontrer, il y a bien d’autres zones humides en Roumanie qui méritent d’être connues. Partons aujourd’hui à la découverte du Delta d’Olténie, dans le sud du pays. La rivière Olt prend sa source dans les Carpates pour devenir ensuite un des principaux affluents du Danube sur le territoire roumain. Avant sa confluence avec le Danube, la rivière donne naissance à cette zone humide, la zone protégée de la Vallée inférieure de l’Olt. Ce territoire qui s’étend sur environ 53 hectares, de Râmnicu Vâlcea à Izbiceni, accueille une biodiversité remarquable.

    L’enchaînement de lacs, avec les prairies et les sous-forêts qui les avoisinent, jouent un rôle crucial dans la protection d’une large population d’oiseaux. Sur leur route migratoire, un nombre très important d’espèces d’oiseaux de rivages s’arrêtent sur la vallée inférieure de l’Olt pour se reposer et manger. D’autres espèces viennent ici en nombre pour nidifier.

    Ion Croitoru, Inspecteur de l’Agence pour la Protection de l’Environnement Olt, nous en dit davantage : « L’importance majeure de cette aire protégée pour les oiseaux est d’autant plus notable au cours des passages d’automne et de printemps, au moment où elle devient une halte migratoire pour beaucoup d’espèces sur leur route de migration centre-européenne-bulgare. Plusieurs espèces protégées en Europe ont des effectifs importants dans ces périodes-là, notamment la cigogne blanche, le busard Saint-Martin, le combattant varié et la mouette pygmée. Même pendant les hivers très rudes, la plupart des lacs ne gèlent pas entièrement et constituent l’habitat d’hiver pour des effectifs impressionnants de plusieurs espèces d’intérêt communautaire comme le cygne chanteur, le harle piette, le fuligule milouin, le cygne muet, le canard colvert et bien d’autres. Grâce à l’évolution des conditions favorables aux oiseaux dans ces zones humides (notamment la végétation ripicole et la faune aquatique) on a pu observer, d’année en année, une augmentation significative des populations, tant en terme de diversité des espèces qu’en nombre d’individus. Le roseau est l’espèce végétale dominante dans ces zones, et on y observe également des espèces flottantes, comme le nénuphar blanc, le potamot nageant et les lemnas. C’est précisément ce type d’habitat qui est utilisé pour la nidification par le héron nain, la mouette rieuse, le petit gravelot, l’aigrette garzette, l’avocette élégante et même par des espèces de sterne. »

    L’Agence pour la Protection de l’Environnement Olt est actuellement en train de dérouler un projet européen de plus de 5 millions et demi de lei (près de 1,2 millions euros), l’objectif étant la conservation de la flore et de la faune de cette zone. Ce projet sera finalisé en juillet 2020. (Trad. Elena Diaconu)

  • Inundaţii în România

    Inundaţii în România

    Din cauza
    precipitaţiilor căzute în ultimul timp, dar şi a încălzirii vremii, hidrologii
    au emis coduri portocalii şi galbene de inundaţii pe aproape tot cursul
    românesc al Dunării până pe 6 aprilie. De asemenea, mai multe râuri mici din
    bazinele hidrografice din sud – respectiv judeţele Olt, Teleorman, Argeş,
    Dâmboviţa şi Giurgiu
    – s-au aflat sub cod portocaliu de inundaţii.
    Râuri din sud, centru şi nord-est sunt vizate de un cod galben valabil pana
    vineri după-amiază.


    Principalele acumulări hidrografice aflate în zonele vizate
    de avertizările de inundaţii din această perioadă vor fi pre-golite pentru a se
    atenua fenomenul de viitură, a anunţat Administraţia Naţională ‘Apele Române’.
    Până acum, cel mai afectat de creşterea apelor a fost judeţul Teleorman, unde
    au fost inundate 27 de localităţi, câteva mii de hectare de teren arabil şi
    păşuni, precum şi drumuri comunale.


    Şi pe Dunăre este
    cod portocaliu până săptămâna viitoare, pe sectoarele Calafat – Olteniţa şi Cernavodă
    – Galaţi, precum şi în Delta Dunării
    .


    Nivelul crescut al fluviului a determinat
    autorităţile locale să rămână în stare de alertă şi să monitorizeze în
    permanenţă starea digurilor. La Giurgiu,
    cota de inundaţie, de 640 de centimetri, a fost depăşită, iar în zona dig-mal
    au fost acoperite de ape aproximativ patru sute de hectare de pădure.


    Şi la
    Brăila, Dunărea a depăşit cota de inundaţie, situată la 610 cm. Primăria a luat
    deja măsuri pentru a supraînălţa gurile de canalizare din zona Căpităniei
    Portului cu tuburi de ciment, ca să nu se mai repete episodul din 2010, când
    fluviul a atins 713 cm, iar faleza a fost total inundată. Nivelul Dunării continuă să crească la
    Galaţi. Ultima data când fluviul a depăşit cota de inundaţie a fost în 2014,
    când toate restaurantele aflate pe mal au fost inundate. Tot atunci a fost
    nevoie de instalarea unui dig din saci cu nisip, pentru a se evita inundarea
    Şantierului Naval. Dunărea a acoperit cu apă si marginea falezei din oraşul
    Tulcea.


    Pentru prevenirea apariţiei unor probleme, oficialităţile locale au
    decis punerea în funcţiune a 16 staţii de pompare din nordul şi nord-estul
    judeţului şi impunerea unor restricţii de tonaj. Autorităţile au decis ca toate
    navele care tranzitează sectorul românesc al Dunării să reducă viteza până la
    limita producerii de valuri. Măsura are în vedere protejarea digurilor de
    apărare împotriva inundaţiilor. Ea va fi
    ridicată după îmbunătăţirea condiţiilor hidrometeorologice. Pe de altă parte, câteva comune din judete
    sudice au fost afectate de alunecări de teren produse în urma precipitaţiilor,
    iar mai multe persoane au fost evacuate.

  • Nach heftigem Unwetter droht Hochwasser

    Nach heftigem Unwetter droht Hochwasser

    Aufgrund des steigenden Pegelstands des südlichen Flusses Olt und seiner Nebenflüsse hat der Wetterdienst eine Warnung der Stufe Gelb für Hochwasser ausgerufen, die bis Mittwoch Abend aufrechterhalten wird. In den letzten zehn Tagen war das ganze Land von heftigem Unwetter betroffen: nach starken Schneefällen, Schneeregen-und Graupelschauern droht jetzt vorwiegend im Süden des Landes, beim raschen Tauen und Plusgrad, Hochwasser. Vor allem der Pegelstand der Donau sei besorgniserregend, so der Hochwassermeldedienst. Bis Ende der Woche gilt eine Warnung der Stufe Orange entlang der Donau. Der Hydrologe Adrian Purdel vom Hochwassermeldedienst erläutert: Die Warnung der Stufe Orange gilt für die Landkreise Mehedinţi, Dolj, Olt, Teleorman und Giurgiu, sowie für den Donauabschnitt Hârşova – Brăila, das Donaudelta und die Landkreise Constanţa, Brăila und Tulcea.



    Am Donauabschnitt Baziaş, an der Grenze zu Serbien, hat der Donaupegel den Höchststand erreicht, folglich rechnet der Hochwassermeldedienst in den kommenden Tagen mit einem leicht sinkenden Pegel. Für die anderen Donauabschnitte gilt bis Ende der Woche die Warnung der Stufe Gelb.” In den letzten zwei Wochen hat die Donau am Hafen Giurgiu, 60 km entfernt von der Hauptstadt Bukarest sowie im Landkreis Olt – in den Ortschaften Corabia, Calafat, Bechet und Galaţi den Meldepegel überschritten, derzeit liegt der Pegelstand fast doppelt so hoch. Das warme Wetter bringt die Gefahr von flutartigen Überschwemmungen mit sich. Im südostrumänischen Giurgiu hat die Donau den Meldepegel um knapp 70 cm überschritten, infolgedessen sind derzeit rund 3.000 Hektar überschwemmt. In der Ortschaft Corabia, Landkreis Olt, wurden Tausende Hektar Ackerland vom Hochwasser zerstört, die Uferpromenade und der Wald am oberen Flussbett wurden ebenfalls überschwemmt.



    Auch in der Stadt Galaţi überschritt die Donau den Meldepegel, für das Stadtviertel am Ufer des Flusses besteht jedoch kein Überschwemmungsgefahr. Unter diesen Umständen müssen die Schiffe eine bestimmte Geschwindigkeit nicht überschreiten. Laut dem Hochwassermeldedienst soll sich die Situation bis Ende der Woche entspannen.Die Donau hat ihren Höchststand im ostrumänischen Galaţi Juli 2010 erreicht. Damals lag der Wasserpegel bei 677 cm, um 13 höher als den im Jahr 2006 erreichten Höchststand. Das Stadtviertel am Ufer der Donau wurde damals mit einem 4 km langen, anderthalb Meter hohen und aus Sandsäcken gebauten Damm vor Hochwasser geschützt. Die Behörden waren bereit, 8.000 Menschen zu evakuieren. Das Wasser erreichte nur die Promenade und die Werft, die Überschwemmung verursache jedoch Schäden von zehn Millionen Euro.






  • Romanaţi

    Romanaţi

    Meşteşuguri tradiţionale, peisaje
    liniştitoare şi bucate alese sunt tentaţiile zonei pe care vă invit să o
    explorăm astăzi. Mergem într-o zonă
    din sudul ţării şi anume Romanaţi. Actualul judeţ Olt este format din două
    judeţe istorice: fostul judeţ istoric Olt şi fostul judeţ istoric Romanaţi.


    Mai nou, edilii locali au propus
    un itinerariu turistic inedit: 3 zile în Romanaţi, în care puteţi descoperi
    meşteşuguri străvechi păstrate până în zilele nostre , tradiţii, cultură, dar
    şi peisaje de poveste ale unei zone încărcate de istorie.


    Despre dorinţa locuitorilor de
    aici de a-şi dezvolta zona din punct de vedere turistic ne-a vorbit Claudia
    Focşoară, consilier superior la Primăria Municipiului Caracal: Noi promovăm un prim traseu în Câmpia Română. Dintre principalele
    obiective pe care vi le recomandăm se găsesc Corabia, port la Dunăre, cetatea
    Sucidava, două case din Vădastra unde vizităm doi meşteri populari: Ionel
    Cococi, olar în ceramică neolitică şi Dumitru Liceanu, meşter cojocar.
    Gospodăriile lor sunt parte din acest traseu, se fac demonstraţii, se pot
    achiziţiona produse făcute de ei şi puteţi participa şi la iniţieri în
    meşteşugurile populare. De acolo, următoarea oprire este în Drăgăneşti, Olt,
    unde se vizitează un muzeu în aer liber, din vremea neoliticului. În Caracal
    avem de vizitat Muzeul municipiului, parcul şi alte obiective. Avem o tradiţie
    vastă gastronomică: vestita pâine în ţest (n.r. pâine coaptă pe vatră sub un
    clopot de lut), ciorbă sau mâncare de praz, ciorba de raci care e foarte
    vestită în zonă.



    Într-adevăr, în prima zi, turiştii
    sunt preluaţi din Corabia, iar prima oprire este la Cetatea Sucidava, care a
    fost inclusă recent în patrimoniul mondial UNESCO. Este vorba despre o cetate
    de apărare construită în timpul domniei împăratului roman Aurelian (270-275),
    pe locul unei asezări geto-dacice amplasate pe malul stâng al Dunării. Astăzi
    se mai păstrează doar zidurile şi cele 8 turnuri de intrare, clădirea
    hypocaust, bazilica romano-bizantină care datează din secolul VI, piciorul
    podului peste Dunăre construit de Constantin cel Mare în anul 328, poarta
    constantiniană care face legatura între pod şi cetate, băile romane şi câteva
    străzi pavate. Fortăreaţa păstrează de secole şi o fântână secretă, un
    monument unic în arhitectura romano-bizantină şi unic în Europa.


    Vizita continuă cu o croazieră pe
    Dunăre şi un tur de oraş în Corabia, incluzând şi o vizită la Biserica
    Parohială (ortodoxă) Sfânta
    Treime (1895-1907). După-amiaza se merge în Vădastra, la atelierul meşterului
    popular cojocar Liceanu Dumitru şi apoi la atelierul meşterului popular olar
    Ionel Cococi. Pe acesta din urmă, l-am invitat să ne spună ce ne arată în
    atelierul său: Prezint vestita ceramică neolitică de
    Vădastra, reînviată după 7500 de ani. E timpul să reamintim de valorile
    tradiţionale, valori istorice pe care le avem la tot pasul.Eu sunt şi profesor
    la şcoala de arte şi meserii Slatina, cu o clasă de ceramică externă cu care
    îmi desfăşor activitatea în comuna Vădastra şi chiar în atelierul meu personal.
    Inclusiv casa pe care am cumpărat-o se află pe un sit arheologic necercetat,
    descoperit de mine, din epoca bronzului.




    În a doua zi, se porneşte spre Drăgăneşti-Olt, cu
    vizitarea Muzeului Câmpiei Boianului. La întoarcere, în Caracal, se vizitează
    Muzeul Romanaţi, Teatrul Naţional din Caracal, Parcul Constantin Poroineanu şi
    se face un tur al bisericilor din oraş. Iar în cea de-a treia zi, se porneşte
    spre Nordul Zonei Romanaţi. Prima oprire se face la Dobrosloveni, unde se vizitează situl cetăţii
    Romula Malva, precum şi două cabane ale lui Nicolae Ceauşescu. Se face un scurt
    popas la Mânăstirea Brâncoveni. Apoi se vizitează atelierul de ceramică al
    meşterului popular Ştefan Truică. Călătoria continuă spre Mânăstirea
    Căluiu şi atelierul meşterului Tănase Gheorghe din comuna Corbu. Iar circuitul
    se încheie pe malul Dunării, la Corabia.

  • Parcul Naţional Cozia

    Parcul Naţional Cozia

    Astăzi
    vă invităm la o drumeţie prin Parcul Naţional Cozia, o arie naturală protejată
    situată în estul judeţului Vâlcea. Zona, care se întinde pe 17.000 de hectare,
    freamată de viaţă şi de peisaje spectaculoase. Este
    supranumit şi Parcul florilor
    întrucât cuprinde peste 900 de specii de plante, multe unicat. Intâlnim aici
    trandafirul şi mesteacănul de Cozia, laleaua pestriţă, iedera albă,
    floarea de colţ sau bujorul de munte. Rezervaţia găzduieşte şi specii protejate
    de lege; capra neagră, ursul brun şi râsul sunt considerate podoabe ale
    faunei din Cozia. Stâncile
    abrupte, cheile şi cascadele dau o notă sălbatică acestei zone. Aşezat de o
    parte şi de alta a râului Olt, parcul are numeroase trasee turistice care
    duc spre vârfurile muntilor, pentru că aceştia nu sunt foarte înalti (vârful
    Cozia are 1668 m) şi sunt suficient de accesibili. Pe lângă drumeţii pot fi
    practicate şi sporturi, cum ar fi alpinismul pe versanţi veriticali atât pe
    valea Lotrişorului, cât şi în alte zone, dar şi expediţii în defileul Oltului,
    Cascada şi cheile Lotrişor sau Cascada Gardului. Este de remarcat că în această
    zonă există încă păduri unde natura nu a suferit niciun fel de
    intervenţie umană. Pădurea Cozia şi Padurea Lotrişor, cu o suprafaţă de peste
    3300 de hectare, vor intra în patrimoniul mondial natural UNESCO tocmai
    pentru că sunt păduri foarte vechi, fără drumuri sau poteci, fără arbori
    tăiaţi, zone în care pădurarul nu a călcat niciodată.

    Iată ce ne-a declarat
    Pavel Prundurel, directorul Parcului Naţional Cozia: Pentru
    poporul român, deci şi pentru comunităţile locale din vecinătatea Parcului
    Naţional Cozia, existenţa acestui patrimoniu nu înseamnă numai responsabilităţi
    în păstrarea şi conservarea lui. Este, înainte de toate, o sursă
    inestimabilă de apă proaspată, de aer curat, un loc de echilibru al naturii
    pentru factorii climatici. Zona comunităţilor locale, având un sit UNESCO al
    patrimoniului natural în apropiere este, în primul rând, o destinaţie turistică
    de excepţie putând aduce beneficii mari localnicilor de aici. Un sit UNESCO
    este totodată un motiv de mândrie şi de responsabilitate naţională prin
    participarea la patrimoniul colectiv mondial cu valori care sunt din ce în ce
    mai rare pe planeta noastră. Noi, Administraţia Parcului Naţional Cozia, ne-am
    decis să promovăm şi anumite măsuri de vizitare controlată a acestor situri ca
    turiştii de excepţie, mă refer la cei din domeniul ştiinţific şi cei care
    iubesc cu adevărat valorile naturale, să vină în apropierea acestor situri în
    prezenţa unor ghizi calificaţi ai Administraţiei Parcului Naţional Cozia.


    In apropierea Parcului
    Naţional Cozia se află şi multe izvoare termale, care au stat la baza
    dezvoltării staţiunii balneoclimaterice Călimăneşti – Căciulata. În apropierea
    staţiunii se află mănăstirea Cozia, din oraşul Călimăneşti. Amplasată pe malul
    drept al Oltului, ca şi staţiunea Călimăneşti – Căciulata, mănăstirea a fost ctitorită
    la sfârşitul secolului al 14-lea de Mircea cel Bătrân, domnitor al Ţării Româneşti
    (provincie istorică românească situată între Carpaţi şi Dunăre).



    Pentru cei care vor să meargă pe
    jos pentru a admira atracţiile
    turistice de pe Valea Oltului Oltului, un alt obiectiv de vizitat este mănăstirea
    Turnu. Aici puteţi
    vedea, alături de construcţiile mânăstireşti, şi două chilii săpate în roca muntelui de
    primii pustnici, cei care au întemeiat, de fapt,
    acest lăcaş de cult în secolul al 17-lea.

  • Ostern auf der Törzburg: Bauernbräuche und Traditionen am Schloss

    Ostern auf der Törzburg: Bauernbräuche und Traditionen am Schloss

    An Ostern, Weihnachten oder anlässlich anderer Feiertage präsentiert sich das Schloss eben in… Feierlaune. In diesem Jahr haben die Sonderveranstaltungen zum Osterfest in der Törzburg bereits am 2. April begonnen — die Eventreihe geht am 23. April zu Ende. An Ostern ist die Törzburg in Festgewand gekleidet — das erwartet sie übrigens auch von ihren Besuchern. Warum sollte man aber dem Schloss gerade in den Osterferien einen Besuch abstatten? Bogdana Balmuş ist zuständig für die Öffentlichkeitsarbeit bei der Törzburg und wei‎ß, wie sich die Frage beantworten lässt:



    In erster Linie ist die Törzburg, wie Sie wissen, lebendig. Über das ganze Jahr haben wir sehr viele öffentliche und private Veranstaltungen verteilt. Die Veranstaltung, die Sie meinen, gehört zu den öffentlichen und ist uns sehr ans Herz gewachsen. Sie begann vor einigen Tagen und wird bis Ende April dauern. In diesem Zeitraum werden die Besucher der Törzburg eine Ausstellung von Volkstrachten aus der ethnographischen Sammlung »Gabriel Boriceanu« vorfinden, sowie eine Fotoausstellung mit sehr alten Fotos, auf denen lokale Bräuche und Traditionen dargestellt sind. Au‎ßerdem sollen in einigen Räumen typische Inneneinrichtungen der Bauernhäuser aus der Gemeinde Mateiaş rekonstruiert werden.“




    Gabriel Boriceanu war ein leidenschaftlicher Sammler von Volkstrachten, er war wie magisch angezogen von ihrer Vielfalt und dem Reichtum. In seiner Sammlung befinden sich repräsentative Beispiele für Trachten aus unterschiedlichen Folklore-Gebieten des Landes, reich verziert und für alle festlichen Ereignisse gefertigt: von Hochzeiten bis hin zu all den anderen Feiertagen im Laufe eines Jahres. Was kann der Besucher von der jetzigen Ausstellung im Schloss Bran erwarten, fragten wir Bogdana Balmuş.



    Die Trachten sind hervorragend! Sie sind authentisch, es gibt einige besonders schöne Stücke, die die lokalen Traditionen sehr gut beleuchten. Wie Sie wissen, befindet sich die Gemeinde Mateiaş in der Schnittfläche dreier ethnographischer Gebiete: dem Alt-Land (rum. Ţara Oltului), dem Burzenland (rum. Ţara Bârsei) und dem Repser-Land (rum. Ţinutul Rupea), deshalb findet man hier eine Fülle an Traditionen und Bräuchen vor. Das trifft sowohl auf die Verzierungen und Gewänder als auch auf die Tanz und Spiel zu. Besucher können sich vor Ort ein Bild davon machen.“



    Bogdana Balmuş, die in der Törzburg für die Öffentlichkeitsarbeit zuständig ist, verspricht ferner auch andere Überraschungen, die den Urlauber in die Feststimmung einer lebendigen Dorfgemeinde einführen sollen.



    Damit alles lebendig und authentisch wirkt, wird eine Gruppe von Einheimischen, ein Volksensemble aus Mateiaş, am ersten Ostertag das sogenannte Gro‎ße Spiel rekonstruieren. Es ist ein uralter Brauch, der die Wiederauferstehung des Herrn und die Wiedergeburt der Natur zelebrieren soll. Wir kümmern uns darum, dass jeder wichtige Moment im Leben eines Rumänen in unserer Törzburg erlebt werden kann. Solche Sonderveranstaltungen gibt es auch an Weihnachten und Neujahr oder das ganze Jahr über.“




    Das lässt sich also als offene Einladung für einen Besuch im Schloss Bran deuten. Die Veranstalter versprechen, dass das jederzeit empfehlenswert ist, denn dort sei man schlie‎ßlich stets auf Gäste gefasst. Unlängst ist man auch zum Sommerprogramm übergegangen, also macht die Törzburg ihre Tore von 9-18 Uhr auf, und das von Dienstag bis Sonntag. Am Montag beginnt die Öffnungszeit erst um 12.



    An Ostern dürften vor allem die Kinder nicht zu kurz kommen, das sei auch in diesem Jahr so geplant, sagt Bogdana Balmuş abschlie‎ßend.



    Wie in den vergangenen Jahren auch, folgen wir unserer Tradition und weihen die Kleinsten und nicht nur in das typische Handwerk ein. Es werden einige Volkskünstler hier sein, die die Teilnehmer beim Erlernen der Eierbemalung betreuen sollen. Und für sie sind Holzeier bereitgestellt worden, damit sie anschlie‎ßend als Erinnerung mitgenommen werden können. Das wird vor allem die Kinder begeistern und an Ostern werden sie auch Schokoladeneier vom Osterhasen bekommen.“




    Damit die Räumlichkeiten im Schloss selbst optimal genutzt werden, soll der Osterhase im Musiksaal Schokoladeneier verteilen, und im Teehaus im Königlichen Park wird eine Eiersuche veranstaltet. Der Musiksaal gehörte der Königin Maria von Rumänien, die dort in der Zwischenkriegszeit ihre Konzerte und Empfänge hatte. Das Teehaus ist ebenfalls mit der Geschichte der Königin verbunden, auch dort wurden ab den 1930er Jahren Gäste empfangen.



    Und nicht zuletzt, weil Besucher der Törzburg oftmals auf der Suche nach einer furchteinflö‎ßenden Erfahrung sind, ist in vier der Räume das ganze Jahr über eine Ausstellung von Folterinstrumenten eingerichtet. Darunter die Eiserne Jungfrau“, Judas Wiege“ oder der Verhörstuhl“.

  • Erster Weltkrieg: Die Schlacht um Bukarest und die deutsche Besatzung

    Erster Weltkrieg: Die Schlacht um Bukarest und die deutsche Besatzung

    Die Militäreinsätze der rumänischen Armee im 1. Weltkrieg fingen im August 1916 an, nachdem Rumänien den Vertrag mit dem Dreibund kündigte und eine Offensive in Siebenbürgen startete. Es folgten der Gegenangriff der Mittelmächte und deren Sieg im September 1916 in Turtucaia (Tutrakan). Die rumänischen Historiker nennen es das Desaster von Turtucaia“. Im Dezember 1916 wurde dann die Hauptstadt Bukarest von deutschen, österreichisch-ungarischen, bulgarischen und türkischen Truppen besetzt.



    Das katastrophale Ergebnis der ersten Einsätze der rumänischen Armee sei auf ihre schlechte Vorbereitung zurückzuführen, meinen viele Historiker. Der Historiker Sorin Cristescu von der Spiru-Haret-Universität in Bukarest ist der Ansicht, die Lage wäre eine andere gewesen, wenn Rumänien von Anfang an in den Krieg eingetreten wäre.



    Russland hat sich der Gründung eines gro‎ßen rumänischen Staates widersetzt. Trotz des Drucks der öffentlichen Meinung in Bukarest wurde Rumänien nicht eingeladen, in den Krieg einzutreten, es wurde fern gehalten. September 1914 wäre ein guter Moment gewesen, nachdem Lemberg von der russischen Armee besetzt worden war. Am 23. Mai 1915 ist Italien in den Krieg eingetreten, wäre damals auch Rumänien eingetreten, hätten die Folgen verheerend sein können. Ein dritter Zeitpunkt war der 4. Juni 1916, als die russische Offensive unter Leitung von Brussilow siegreich schien und Rumänien der Einstieg in den Krieg verweigert wurde. Erst nachdem diese Offensive gestoppt wurde, hat man Rumänien grünes Licht gegeben. Der Einstieg Rumäniens in den Krieg entsprach den Interessen der Entente. Diese wollte die Ausfuhr von Rohstoffen aus Rumänien ins Gebiet der Mittelmächte verhindern. 1918 sagte der deutsche General Ludendorff, dass die Rohstoffe aus Rumänien für die Mittelmächte von zentraler Bedeutung waren.“




    Der Historiker Sorin Cristescu hat gezeigt, dass die Offensive auf Bukarest von den deutschen und österreichisch-ungarischen Armeen im Westen gestartet wurde, auch wenn die Rumänen damals etwas anderes glaubten:



    Als der starke Druck auf die Südkarpaten erschien, haben die Mittelmächte mit Hilfe der Gebirgsjäger die Front am 11. November 1916 durchbrochen. Durch den Lainici-Pass sind die deutschen Truppen nach Târgu Jiu gekommen und dann weiter nach Craiova. Craiova fiel und der Fluss Olt wurde überquert. Zeitgleich hat die deutsche Armee am 23. November 1916 auch die Donau bei Zimnicea überquert. Auch 1877 hatten diese die Donau genau am selben Ort überquert. Die beiden zeitgleichen Einsätze, die Überquerung des Olts und der Donau hatten verheerende Folgen. Einen Monat zuvor war die Dobrudscha erobert worden. Das war am 26. Oktober. Mackensen schaute sich die Brücke in Cernavoda an und erkannte, dass diese benutzt werden kann. Man konnte sie reparieren, sie war reparaturfähig. Die deutschen Truppen kamen aus zwei Richtungen nach Bukarest.“




    Der letzte Versuch der rumänischen Armee, die Truppen der Mittelmächte zu stoppen, scheiterte auch. Der Historiker Sorin Cristescu dazu:



    Der Kampf auf dem Neajlov-Fluss sollte entscheidend sein. Die Unterstützung der Russen kam, wie gewöhnlich, nicht rechtzeitig. Die rumänische Armee hat versucht, die beiden deutschen Armeen der Reihe nach zu isolieren, sie zu besiegen oder zumindest zu stoppen. Das geschah aber nicht, weil die deutschen Armeen überlegen waren. Pech spielte auch eine Rolle, denn ein Wagen mit rumänischen Offizieren, die das Kuvert mit den Einsatz-Befehlen hatten, fiel in die Hände der Deutschen. Damit war das Desaster komplett. Aber auch ohne dieses Ereignis wäre das Ergebnis gleich gewesen. Am 4. Dezember 1916 wusste man schon, dass man Bukarest nicht mehr verteidigen könne. Die Forts um Bukarest waren schon vor dem 4. August 1916 verlassen worden und Bukarest war eine offene Stadt.“




    Der Angriff der Mittelmächte wurde auf der Frontlinie Focşani-Nămoloasa am 9. Dezember 1916 bei Caşin gestoppt. Die rumänische Armee hatte letztendlich Unterstützung von der russischen Armee bekommen, wehrte die deutschen Attacken ab und startete einen Gegenangriff. Mit der Eroberung von Bukarest fing aber ein Besatzungsregime an. Sorin Cristescu dazu:



    Rumänien erlebte das Drama des Rückzugs. Die Bahn war überlastet, unterschiedliche Materialien wurden in die Moldau gebracht. Das Parlament, die Regierung und die königliche Familie verlie‎ßen Bukarest. Diese hatte schon am 22. November ein Familiendrama erlebt, als der kleine Prinz Mircea an Fleckfieber starb. Es wurde die Entscheidung getroffen, Bukarest ohne Kampf am 6. Dezember 1916 zu verlassen.“




    Das Besatzungsregime im Süden Rumäniens und in Bukarest hielt bis November 1918 an und war hart. Die gesamte Wirtschaft diente während der Besatzung deutschen Interessen. 1918 folgten aber der Sieg der Entente und die gro‎ße Vereinigung.

  • Călimăneşti-Căciulata: Mineralwasser für kaiserliche Beschwerden

    Călimăneşti-Căciulata: Mineralwasser für kaiserliche Beschwerden

    Unser heutiges Reiseziel ist der Kurort Călimăneşti-Căciulata. Călimăneşti-Căciulata ist ein Kur- und Ferienort im Kreis Vâlcea in der Region Walachei in Rumänien. Er liegt am Fu‎ße der Bergmassive Cozia und Căpăţâna in den Südkarpaten, an beiden Ufern des Flusses Olt. Im Kurort fand vor kurzem das Forum für Kurtourismus in Rumänien statt. Wir fragten den Vorsitzenden des Landesverbandes der Reisebüros in Rumänien, Adrian Voican, ob er den Kurort Călimăneşti-Căciulata als Reiseziel empfehlen würde:



    Von ganzem Herzen! Călimăneşti-Căciulata verfügt über zahlreiche Unterkunftsmöglichkeiten und alle bieten eine au‎ßergewöhnliche natürliche Ressource: Thermalwasser. Am Austrittsort erreicht die Wassertemperatur 90 Grad Celsius. Es wird nicht nur in den 11 Schwimmbädern des neu hergerichteten Aquaparks verwendet, sondern auch als Heizungsmittel im Winter. Das Thermalwasser ist eine wunderbare natürliche Ressource. Die Landschaft in der Region ist auch sehr schön. Es gibt zahlreiche Wandermöglichkeiten entlang des Olt-Tals. Ich empfehle einen Ausflug zum Lotrişor-Wasserfall. Ich feierte Sylvester in Călimăneşti-Căciulata im vergangenen Jahr. Wie gesagt, ich feierte dort den Rutsch ins neue Jahr, zusammen mit meiner Familie. Das Essen war sehr lecker, wir haben uns wohl gefühlt. Drau‎ßen waren –10 Grad und wir sa‎ßen ganz entspannt im Thermalbad und genossen unsere Freizeit!“




    Der Ferien- und Kurort Călimăneşti-Căciulata wurde 1386 erstmals urkundlich erwähnt. Im Laufe der Zeit erlangte der Ferienort seinen internationalen Ruhm. So etwa empfahl der Arzt Carol Davila Mitte des 19. Jh. dem französischen Kaiser Napoleon dem III., der an einer Lebererkrankung litt, das Wasser der heutigen Quelle Nr.1 in Căciulata. Das Wasser wurde in Flaschen abgefüllt und mit der Postkutsche nach Paris versandt. Auch Franz Joseph, Kaiser des Österreichisch-Ungarischen Reiches, erfreute sich der Behandlung mit Mineralwasser von Căciulata.



    Călimăneşti-Căciulata bezaubert die Touristen mit der spektakulären Naturlandschaft. Der Ferien- und Kurort ist zur Hälfte mit Laub- und Nadelholzwäldern bedeckt. Der Ort ist besonders für die Behandlung von Magen-, Rheuma-, neurologischen, Nieren-, Kreislauf-, allergischen, Atemwegserkrankungen und Knochenleiden anerkannt.



    In den letzten Jahren erfuhr der Wellness-Tourismus eine rege Entwicklung in der Region. Demnach wurden mehrere SPA-Zentren eingerichtet, die ihren Kunden hervorragende Dienstleistungen anbieten. Die Thermalbäder sind das ganze Jahr durch in Betrieb. Au‎ßerdem werden verschiedene Massagearten und Kräuterbäder angeboten. Auch Entspannungszonen wurden eingerichtet — 2.000 Liegestühle stehen demnach den Touristen zur Verfügung.



    In der Nebensaison genie‎ßen die Touristen Sonderangebote. Diese umfassen auch verschiedene Behandlungen. Die Kurangebote haben eine Dauer von 7 bis 10 Tagen. Je nach gewünschtem Paket kostet ein 5-7-tägiger Aufenthalt mit Vollpension rund 760 Lei (umgerechnet rund 170 Euro) pro Person. Das Angebot umfasst auch vier Heil-Prozeduren. Zwei davon sind im Preis inbegriffen, weitere zwei werden als Bonus gewährt.

  • Renaturierung: Ackerland in Feuchtgebiete zurückverwandelt

    Renaturierung: Ackerland in Feuchtgebiete zurückverwandelt

    2016 werden 25 Jahre verzeichnet, seitdem das Biosphärenreservat Donaudelta in die Liste der Ramsar-Konvention mit den weltwichtigsten Feuchtregionen aufgenommen wurde. Rumänien ist seit 1991 eine Vertragspartei der Ramsar-Konvention, wodurch die unterzeichnenden Länder zusammenarbeiten, um Feuchtgebiete zu schützen. Seitdem wurden 19 rumänische Gebiete in die Liste der besagten Konvention aufgenommen. Diese sind die produktivsten Ökosysteme — Sümpfe mit Seen und Kanäle, umgeben von Moorwäldern und Schilf. Hier leben und vermehren sich viele Vogelarten. Rumänien hatte weite Ökosysteme in der flutbaren Feuchtwiese der Donau, die zur Zeit des Kommunismus in landwirtschaftliche Anbauflächen umgewandelt wurden. Umweltschutzorganisationen haben im Laufe der Zeit gemeinsam mit den Lokalbehörden versucht, diese Gebiete wieder auf ihren ursprünglichen Stand zu bringen. Der Schutz der Feuchtgebiete ist eine Priorität für den Verband WWF Rumänien, der seit einigen Jahren Projekte zum ökologischen Wiederaufbau durchführt. Camelia Ionescu, Koordinatorin für Sü‎ßwasserprojekte bei WWF Rumänien, hat Einzelheiten:



    Diese Feuchtgebiete hat es au‎ßerhalb des Donaudeltas auch entlang der Donau gegeben. Während des Kommunismus hat man einen Plan zur Sanierung der flutbaren Feuchtwiese der Donau und zur Umwandlung jener Wiesen in Anbauflächen ins Leben gerufen. Zwischen den 1960ern und den 1980ern wurden 80% der Fläche der Donaufeuchtwiese in Ackerland umgewandelt. Das hat die Landschaft, aber auch die Lebensweise der hiesigen Bewohner stark verändert. Aus Fischern wurden sie Landwirte, und der Zugang zum Wasser und zu den Wasserressourcen wurde eingeschränkt. Unser Verband, WWF Rumänien, hat versucht und versucht weiterhin die Bedeutung dieser Feuchtgebiete zu fördern und die Flächen in der Feuchtwiese der Donau aus Anbauflächen zurück in Feuchtgebiete umzuwandeln. Somit wird man wieder die Vorteile von damals haben und die Möglichkeit, in den betreffenden Gemeinschaften unterschiedliche wirtschaftliche Tätigkeiten zu entwickeln: Fischerei, Tourismus und weitere ökosystembezogene Tätigkeiten. Wir haben begonnen, verschiedene Zonen aufzuarbeiten, wo wir die Möglichkeit eingeschätzt haben, ökologische Wiederherstellungsarbeiten durchzuführen. Wir haben im Donaudelta, in der Ortschaft Mahmudia gearbeitet, wo ein Wiederaufbauprojekt einer Fläche von 1000 Ha zu Ende geführt wurde. Dann haben wird in der Mehedinţi-Gegend eine Reihe von Landflächen zugunsten der Natur und der Gemeinde in Gârla Mare aufbereitet. Genauso im Landkreis Olt, bei Balta Geraiului, da hatten wir einige Projekte, wo wir es geschafft haben, eine Reihe von Feuchtgebiet-Ökosystemen wiederherzustellen.“




    Neulich hat in der südrumänischen Hafenstadt Giurgiu ein Seminar über die Vorteile und Dienstleistungen stattgefunden, die der ökologische Wiederaufbau entlang der Donau-Feuchtgebiete bringt. Ziel des Seminars war die Förderung des ökologischen Wiederaufbaus dieser Zonen, um der Naturerhaltung und den Lokalgemeinden an der Donau entgegenzukommen. Eine gute Nachricht ist, dass ab diesem Jahr über eine Milliarde Euro aus europäischen Fonds für den ökologischen Wiederaufbau von Habitaten, für den Ausbau der Infrastruktur, die Erhaltung der Biovielfalt und die Entwicklung des Tourismus im Donaudelta zugewiesen werden.

  • Fête du Nouvel An en Roumanie

    Fête du Nouvel An en Roumanie

    Aujourd’hui nous vous présentons quelques offres pour des séjours de fin d’année. Depuis 25 ans, Carmen Pavel, présidente d’une agence de tourisme de Roumanie, choisit chaque année une destination différente pour la Saint Sylvestre. Ses conclusions?



    « Je dois dire que nulle part on ne fait la fête mieux qu’en Roumanie. Nous, les Roumains, nous savons animer une soirée, stimuler l’entrain, préparer des repas fastueux, nous aimons les festins qui durent toute la nuit. Partout ailleurs dans le monde, le repas de la Saint Sylvestre dure jusqu’à minuit, la danse et la musique continuent encore un certain temps. Chez nous, la fête continue jusqu’à ce que le dernier touriste décide de s’en aller. Des artistes très connus sont présents dans les clubs et les restaurants — y compris ceux des hôtels. Et puis, nous avons, nous aussi adopté, la coutume des fêtes de rue. Tout comme à Paris ou à Londres, à Bucarest, Sibiu ou Cluj on organise des Réveillons du Nouvel An sur les places publiques et les gens sortent pour s’amuser et passer un très bon moment, sans avoir à dépenser des sommes exorbitantes. Cette tradition gagne donc du terrain, en Roumanie aussi. Sinon, les restaurants et les clubs attendent leurs touristes. Il y a des fêtes pour tous les porte-monnaies. »



    Jusqu’ici, les offres que les tour opérateurs proposaient pour le Nouvel An étaient relativement simples. Elles comportaient essentiellement l’hébergement, le repas de fête et un spectacle tard dans la soirée. En 2014, les offres se sont diversifiées et sont devenues plus complexes.



    Elles s’adressent également à ceux qui aiment le sport et les loisirs actifs. Carmen Pavel : « Nombre de touristes souhaitent non seulement se reposer dans un hôtel ou connaître les traditions et coutumes roumaines liées aux fêtes de fin d’année, ils souhaitent aussi pratiquer un sport. Les pistes de ski des Carpates Méridionales — à savoir celles des stations situées dans la Vallée de la Prahova, à proximité de la ville de Braşov ou de Făgăraş — les attendent. De nouvelles pistes compétitives ont été aménagées dans d’autres zones touristiques du pays. En plus du ski, on peut pratiquer le snowboard et le patinage. Et pour les amateurs de randonnées, il y a des itinéraires ouverts en hiver. »



    Dans les 3 et 4 étoiles des stations de la Vallée de la Prahova, un séjour coûte entre 400 et 800 euros par personne. Les paquets les plus chers comportent 4 nuitées, avec petit déjeuner et repas du soir du 30 décembre inclus, spectacle et repas de fête pour la nuit du Nouvel An, un carnaval, le 1er janvier 2015 et un accès gratuit au centre SPA de l’hôtel. Le paquet offre également, comme bonus, une promenade en télégondole jusqu’à Sinaia.



    La Vallée de la Prahova est d’ailleurs la zone la plus recherchée, précise Diana Păşcuţ, directrice du marketing d’une société de tourisme de Bucarest : «Pour le Nouvel An, les zones les plus recherchées sont celles qui offrent des conditions pour les sports d’hiver, notamment le ski : la Vallée de la Prahova, Poiana Braşov. Les prix des paquets touristiques vont de 1.500 lei (soit environ 400 euros) un séjour de 4 nuitées à 3.500 lei (soit environ 800 euros) avec hébergement en pension complète dans un 4 étoiles et de nombreux loisirs à Poiana Braşov. Nos traditions et coutumes enchantent les touristes étrangers, qui font des réservations longtemps à l’avance, pour être sûrs de trouver une place ; ils choisissent de très bons hôtels et apprécient un bon repas. »



    Une fête de rue, ça vous dit ? Diana Păşcuţ. : « Dans toutes les grandes villes roumaines on organise des fêtes en plein air pour le Nouvel An, avec des feux d’artifices et des concerts live. Pour ceux qui passent le Nouvel An à Bucarest, à partir de cette année, notre agence organise de petites escapades dans des zones accessibles depuis la capitale. Parmi les tours thématiques les plus recherchés figure celui consacré à Dracula et à son fameux château de Bran. »



    Pour ceux qui veulent s’accorder des moments de relaxation avant et après la fête, il y a les offres SPA. Pour un tel séjour, on peut choisir le littoral roumain de la mer Noire, à environ 700 euros. Pourtant, le littoral n’est pas la seule option — affirme, arguments à l’appui, Carmen Pavel, présidente d’une agence de tourisme de Bucarest. « Les stations de la vallée de la rivière Olt – Călimăneşti, Olăneşti, Căciulata — et de la Vallée de la Prahova, Poiana Braşov et Dumbrava Sibiului ont des offres particulièrement intéressantes. Ou encore à Felix les Bains, dans l’ouest du pays, où les touristes peuvent s’accorder le luxe d’un bain en plein air dans les bassins d’eau thermale même s’il neige dehors. Une autre option serait la saline de Târgu Ocna, propice à la relaxation et au traitement des troubles respiratoires ou bien la station de Covasna, idéale pour vous remettre en forme. »



    A vous de choisir et où que vous vous trouviez, passez de bonnes fêtes ! (Trad. : Dominique)

  • Mehrere Landkreise im Süden Rumäniens sind vom Hochwasser betroffen

    Mehrere Landkreise im Süden Rumäniens sind vom Hochwasser betroffen

    In Rumänien rückt die Überschwemmungsgefahr jedes Jahr, besonders im Frühling, wieder in den Vordergrund. 2014 macht keine Ausnahme. Die letzten Tage hat der flutartige Regen in einigen Landkreisen beträchtliche Schäden verursacht. Die Bilanz lautet mindestens 4 Tote, hunderte Evakuierte, hunderte Häuser und Wirtschaften, sowie weite Ackerflächen und Stra‎ßen unter Wasser. Die am meisten betroffenen Landkreise waren Teleorman und Olt, wo Hydrologen sogar Alarm Stufe Rot für einige Flüsse ausgelöst haben.



    Regierungsvertreter haben ihre Mini-Oster-Ferien unterbrochen und die am meisten betroffenen Ortschaften besucht. Im Dorf Beiuş, Landkreis Teleorman, haben Ministerpräsident Victor Ponta und der Minister für Regionalentwicklung und Öffentliche Verwaltung Liviu Dragnea ein Schlauchboot der Feuerwehr benutzt, um auf die überschwemmten Stra‎ßen zu gelangen. Ponta hat die Häuser betreten, wo er sich mit Bewohnern unterhalten hat, die ihm rasche Ma‎ßnahmen zum Wiederaufbau der Dämme gerfordert haben. Seit den Überschwemmungen von 2005 warten sie darauf, dass die Behörden die Bauarbeiten in der Gegend beginnen.



    Victor Ponta: Ich wollte mit meinen eigenen Augen sehen welche Lösungen es gibt, damit in Zukunft nicht mehr dasselbe passiert. Hier hat es auch 2005 und auch in anderen Jahren Überschwemmungen gegeben. Die technische Lösung wurde mir von dem Generalleiter der Rumänischen Wasserverwaltung erläutert. Wir werden das notwendige Geld für die Einrichtungsarbeiten zuweisen. Ich hoffe, dass die Bauarbeiten dieses Jahr fertig sein werden. Somit bleibt alles, was wir und die Leute selber reparieren, lange erhalten“.



    Der Ministerpräsident hat den Einwohnern in den betroffenen Gegenden versprochen, dass die Regierung ihnen Baumaterialien zur Verfügung stellen wird, um ihre Häuser wiederaufzubauen. Au‎ßerdem soll Geld für den Bau von Dämmen und für die Regelung einiger Flüsse zugewiesen werden, damit solche Katastrophen nicht mehr passieren. Stark von den Auswirkungen des flutartigen Regens sind auch die Landwirte. Diese sagen, dass Tausende Ha Kulturen im Süden des Landes kompromittiert sein könnten, wo die Bodenfeuchtigkeit besonders hoch ist und neue Regenfälle erwartet werden.



    Anfang des Monats gab die Rumänische Wasserverwaltung bekannt, dass 6% der Bevölkerung Rumäniens in Zonen mit hohem Überschwemmungsrisiko leben. Aus diesem Grund haben Fachleute der besagten Anstalt Gefahrkarten für Überschwemmungen erarbeitet, die 11 Gewässerbereiche Rumäniens decken. Die empfindlichsten Zonen sind im unteren Becken des Flusses Siret, im Osten Rumäniens, in der Banater Gegend, im Süd-Westen und an der Konfluenz der Flüsse Pruth und Donau, im Süd-Osten.