Tag: parking

  • Les aéroports internationaux de Roumanie

    Les aéroports internationaux de Roumanie


    Bucarest: aller à l’aéroport en navette

    Depuis le 2 décembre, les voyageurs en route vers
    l’Aéroport Henri Coanda de Bucarest peuvent s’y rendre plus facilement depuis
    le centre-ville, en prenant la navette express nr.100. Elle circule sur le même
    trajet que l’ancien bus 783 sauf qu’elle n’arrête que dans les stations
    principales. Elle circule 24 sur 24, toutes les 15 minutes dans la journée et
    toutes les 30 minutes pendant la nuit. Toujours depuis le 2 décembre, le bus
    442 a changé son itinéraire et à présent, il fait station devant l’Aéroport
    international Henri Coanda. Il circule toutes les 20 minutes durant les heures de
    pointe.

    Brasov: le parking de l’Aéroport International Ghimbav est désormais payant



    Dirigeons-nous vers Brasov où le parking de l’Aéroport
    International Ghimbav est désormais payant. Pour une durée maximales de 6
    heures, le tarif est de 5 lei, soit un euro par heure. Entre 6 et 12 heures de
    stationnement, le tarif est de 45 lei, soit 9 euros, tandis qu’entre 12 et 24
    heures, il montera à 60 lei, soit 12 euros. Pour chaque journée supplémentaire,
    le parking vous coûtera 10 euros de plus. Précisons que l’aéroport est doté
    d’un parking de 175 places, prévus de 6 stations de recharge pour les voitures
    électriques, de 4 places pour les chauffeurs handicapés et de 4 places de
    parking pour les cars.

    Hausse du nombre des passagers pour le transport aérien de Roumanie



    En Roumanie, le transport aérien de passagers a
    connu une hausse de 18,8% durant les 9 premiers mois de l’année, par rapport à
    la même période de 2022, en se chiffrant à plus de 18,7 millions de voyageurs.
    Le trafic le plus intense a été enregistré sur l’aéroport international Henri
    Coanda de Bucarest, avec plus de 5,5 millions de passagers embarqués et 5,5
    millions débarqués, sur l’aéroport Avram Iancu de Cluj, presque 1,27 millions
    de passagers embarqués et 1,23 millions débarqués et sur l’Aéroport
    international de Iasi, avec plus de 880 milles passagers embarqués et 877.000
    débarqués.

    Quelles destinations internationales ?



    A parler du transport aérien international, les
    dix premiers aéroports de destination ou d’embarquement initial ont été Luton
    de Londres, Milan-Bergamo, Istanboul International, Tel-Aviv,
    Bruxelles-Charleroi, Vienne, Münich, Barajas de Madrid, Paris-Beauvais et
    Dortmund. Les principaux pays d’où ou vers lesquels les Roumains ont voyagé en
    avion ont été l’Italie, la Grande Bretagne, l’Allemagne, l’Espagne, la France,
    la Turquie, la Grèce, la Belgique, Israél et les Pays-Bas.

    Quelles destinations locales?






    Les villes roumaines entre lesquelles les Roumains
    ont le plus voyagé en avion dans le courant de cette année sont Bucarest,
    Timişoara (vest), Cluj-Napoca et Oradea (nord-vest). Les courses aériennes les
    plus populaires ont été celles entre Bucarest et Timisoara, dans le contexte où
    cette dernière a été capitale culturelle européenne en 2023 et entre Bucarest
    et Cluj Napoca. 37% des passagers ont voyagé en avion entre la capitale et
    Timisoara et 33% entre la capitale et la ville de Cluj. En troisième place dans
    le top des destinations les plus prises de Roumanie on retrouve la ville de
    Oradea, avec un taux de passagers de 9%, suivi par Iasi, 8% des voyageurs et
    Suceava, 5%. (trad. Ioana Stancescu)





  • Le paiement sans contact du parking sur l’aéroport Internaţional «Henri Coandă»

    Le paiement sans contact du parking sur l’aéroport Internaţional «Henri Coandă»

    Récemment, l’aéroport international Henri Coanda, près de Bucarest, a mis
    en place un système de paiement sans contact pour ses parkings. Le tarif est de
    5 lei, soit 1 euro pour les premières 30 minutes de stationnement et de 10 lei,
    soit 2 euros, par heure. L’accès au parking se fait à base d’un ticket
    comportant un code de barres qui vous permettra par la suite, payer le tarif en
    fonction de votre durée de stationnement. Le paiement pourra se faire soit par
    carte, directement aux barrières, soit par carte ou en liquides, auprès d’une
    des machines installées dans les parkings et même dans l’aéroport.


    Si vous optez pour la première variante, le système intégré mis en place
    aux barrières de sortie identifiera votre numéro d’immatriculation, fera
    directement le calcul de la somme qui vous sera débitée et l’affichera sur
    l’écran. Le principe est en fait celui utilisé par les stations de péage, en
    France. En revanche, pas besoin d’introduire la carte dans la machine, puisque
    le paiement pourra se faire sans contact, juste en approchant la carte ou
    n’importe quel autre dispositif intelligent du type Smartphone ou montre
    connectée. Le système accepte des cartes Visa ou Mastercard.


    Si vous êtes à la recherche d’un parking longue durée, pas de souci,
    l’aéroport international Henri Coanda vous le permet pour un tarif calculé en
    fonction du nombre de jours de stationnement. Pour les 4 premières journées,
    vous aurez un tarif de 50 lei, soit une dizaine d’euros par jour. Au-delà du 5ème
    jour et jusqu’à un mois de stationnement, comptez deux euros de plus par jour.
    Prenons un exemple : un touriste qui se rend à l’aéroport en voiture pour
    s’offrir 7 jours de vacances, de retour, il paiera le parking 230 lei, soit 46
    euros. Tandis que s’il revient au bout de 30 jours, il aura 460 lei à payer,
    soit quelque 92 euros. Il convient aussi de préciser que le stationnement
    au-delà de 30 jours n’est pas possible.


    Par ailleurs, cela fait un an déjà que le paiement par carte est possible
    dans les trains qui desservent l’Aéroport Henri Coanda, avec pour point de
    départ la Gare du Nord, de Bucarest. Les trains circulent toutes les 40
    minutes, 24 sur 24. Le trajet est de 20 à 25 minutes et le prix d’un billet est
    de 5 lei, soit 1 euro seulement. Les billets sont disponibles également en
    ligne, ou encore dans le train, au guichet de la gare ou auprès des
    distributeurs installés sur place.



  • Neuer Spielfilm von Tudor Giurgiu im Kino: Heimweh und unmögliche Liebesgeschichte

    Neuer Spielfilm von Tudor Giurgiu im Kino: Heimweh und unmögliche Liebesgeschichte

    Auf dem 18. Internationalen Filmfestival Transilvania (TIFF) hat sich der Streifen von Tudor Giurgiu positiver Filmkritik erfreut. Als Inspirationsquelle für den vierten Film des Regisseurs Tudor Giurgiu dient der Roman von Marin Mălaicu-Hondrari Apropierea“ (Die Annäherung“), der 2010 im Verlag Polirom erschien. Der Film erzählt die Geschichte eines Dichters aus einer kleinen rumänischen Stadt, der 2002 nach Spanien auswandert. In Córdoba kriegt er eine Stelle als Nachtwache in einem Parkhaus, seine Existenz wird von der unmöglichen Liebesgeschichte mit einer spanischen Sängerin und dem Heimweh geprägt. Seine Suche nach der gro‎ßen Liebe nimmt die Form einer überraschenden und reizenden Geschichte an. Der Schriftsteller und Drehbuchautor Marin Mălaicu-Hondrari kommt zu Wort mit Einzelheiten:



    Der Film ist eigentlich dem Buch nicht sehr ähnlich. Das Drehbuch in seiner aktuellen Form ist dem Regisseur Tudor Giurgiu zu verdanken, denn von den ersten Versuchen zur endgültigen Form ist das Drehbuch sehr stark von seinem Stil geprägt. Wir haben uns darauf geeinigt, dieselbe Atmosphäre wie im Buch auch im Film zu schaffen, eine Atmosphäre zwischen Traum und Wirklichkeit, die Atmosphäre im Leben von Adrian, der nachts nicht schlafen kann, weil er als Nachtportier arbeitet und mit der Zeit fühlt, dass sich sein Gehirn täuscht. Das fand ich sehr wichtig, dass wir die Atmosphäre des Romans wiedergeben konnten, selbst wenn wir im Film auf einige Gestalten verzichten mussten und hingegen neue Gestalten und Situationen auftauchten. Der Verlag Polirom hat eine neue, begrenzte Auflage des Romans auf den Markt gebracht, die dem Film gewidmet ist.“




    Der Roman ist auch in polnischer und spanischer Übersetzung erschienen. Über die Zusammenarbeit mit dem Regisseur Tudor Giurgiu sagte Marin Mălaicu-Hondrari:



    In diesen sieben Jahren, in denen wir für den Film zusammengearbeitet haben, sind wir Freunde geworden. Tudor hat alle meine Bücher gelesen, auch meine Gedichte, und alles, was ich geschrieben habe, ist irgendwie im Drehbuch wiederzufinden und darin liegt, meiner Meinung nach, der Mut von Tudor Giurgiu. »Parking« ist kein minimalistischer Film. Der Film ist auch nicht politisch korrekt gegenüber der Situation der osteuropäischen Einwanderer in Westeuropa.“




    Im Film sind spanische und rumänische Darsteller zu sehen, unter ihnen Belén Cuesta, Ariadna Gil, Luis Bermejo, Carmen Florescu, Valentin Popescu, Emilian Oprea, Paul Cimpoieru. Die Hauptrolle wird von Mihai Smarandache verkörpert, Darsteller des Theaters Odeon in Bukarest. Mihai Smarandache sagte über seine Rolle im Spielfilm von Tudor Giurgiu:



    Ich habe mein Bestes getan, um in die Haut der Hauptfigur zu schlüpfen, ich wei‎ß jedoch nicht, ob ich seine Einsamkeit genau wie im Roman von Marin Mălaicu-Hondrari perfekt zum Ausdruck gebracht habe. Das war allerdings mein erster Gedanke, als ich das Drehbuch gelesen habe, ob ich den Blick haben kann, der die innere Unruhe von Adrian zum Ausdruck bringt. Die Einsamkeit merkt man sehr gut im Blick eines Menschen.“




    Die weibliche Hauptrolle wird von der spanischen Darstellerin Belén Cuesta verkörpert. Für die Rolle Kiki im Film El amor se hace“ von Paco León wurde sie 2016 für die Goya-Preise nominiert, 2017 hat sie den Feroz-Preis für die beste Darstellerin in einer Nebenrolle für die TV-Serie Paquita Salas“ gewonnen.

  • Baby-parking

    Baby-parking

    Si vous voulez vous accorder du temps rien que pour vous et que vous soyez à la recherche d’une solution pour faire garder votre enfant, sachez que le concept de baby-parking a fait son apparition à Bucarest aussi. Il s’agit d’un club de loisirs à horaire prolongé, ouvert 7 jours sur 7, où les parents peuvent laisser, dans la journée, leurs enfants de 0 à 14 ans. Attentivement surveillés par des éducateurs équilibrés, qui ne sont adeptes ni des sanctions ni des récompenses, mais qui croient à la discipline et au bon sens, les enfants sont invités à participer à des activités ludiques ou à des ateliers, censés cultiver leur imagination.



    Adina Serafini, coordinatrice du projet nous a parlé du début de cette histoire à succès: « L’idée nous est venue il y a longtemps. Nous autres parents, nous avons pensé trouver un endroit pour faire garder notre garçonnet de temps en temps. Nous voulions par exemple sortir en ville au cinéma, au théâtre, à un concert, sans avoir à faire appel à une voisine, une baby-sitter ou à la bonne. Bref, nous avons mis en pratique ce à quoi nous avions rêvé alors. Nous avons déniché un petit espace accueillant et lumineux, pour recevoir les petits. Il comporte une pièce dédiée aux ateliers, une deuxième pour la garde proprement-dite des petits et une troisième pour la sieste ou les repas. Nous avons créé une atmosphère intime, de sorte que les enfants se sentent à l’aise, comme chez eux. Nous n’allons pas vraiment vers l’idée d’aire de jeux. Lorsqu’il n’y a pas d’activités précises, les enfants que nous recevons ont toute la maison à leur disposition. »



    La maison et le jardin mesurent ensemble 135 mètres carrés et sont équipés de façon à conforter et à contenter les enfants. Au besoin, ils peuvent se transformer en un espace propice à l’organisation d’agréables fêtes à thème, suivant l’occasion et la tranche d’âge.



    Le projet en question offre non seulement du divertissement. Des ateliers à thème sont également prévus qui visent à développer certains penchants des enfants. Ecoutons Adina Serafini, coordinatrice du projet « baby parking »: « Les ateliers n’en sont qu’à leur début. Pour l’instant, nous en avons deux, mais nous ambitionnons d’en ouvrir d’autres. Par exemple, nous pensons étoffer les activités des plus petits, qui passent plus de temps dans la pièce de baby-parking. Des ateliers seront également organisés à l’intention des enfants plus grands. Pour le moment nous avons l’atelier d’improvisations, animé par l’actrice Carmen Lafazan, et celui de théâtre, avec l’actrice Oana Rusu. L’atelier d’improvisation cultive leur imagination et leur spontanéité par des jeux d’improvisation, les enfants étant encouragés à être créatifs, à développer leurs capacités de communiquer et de parler en public, tandis que les jeux théâtraux sont censés accroître leur attention, leur capacité de concentration, leur mémoire, autant de capacités qui leur seront utiles aussi à l’école. Il y aura beaucoup d’ateliers intéressants, de constructions en Lego, design vestimentaire, pour des jeunes filles et même pour les mamans, ensuite le psychologue à l’écoute et autres. C’est une zone en plein développement. Pourtant, l’offre principale, c’est le baby-parking.»



    Dans la perception des parents qui souhaitent parfois du temps pour eux, l’idée de baby-parking est une variante qui remplace à succès la bonne, jamais disponible d’un jour à l’autre. C’est un endroit à portée de main, sûr et très confortable. Et ce qui est très convenable, c’est que vous pouvez « garer » votre enfant aussi longtemps que vous le souhaitez, entre quelques heures et une journée entière, y compris les fins de semaine.



    Selon les enfants, cela peut être un deuxième chez soi, où ils se sentent en sécurité, s’amusent, mangent, dorment, et où il n’est pas exclu que la maman, la grand-mère ou l’accompagnateur le plus proche soient présents, nous a dit notre interlocutrice, qui a ajouté : « Les enfants semblent tout à fait enchantés, parce que c’est une maison avec des jouets, avec des enfants, un environnement joyeux pour eux, un peu plus gai que de rester chez eux, accompagnés par un adulte tel que la bonne ou la grand-mère. C’est quelque chose entre l’aire de jeux et la maternelle. Le cadre est beaucoup plus attrayant, dans sa propre maison on a le confort de l’intimité, que nous avons essayé de recréer ici, par l’aménagement, vous avez vos propres jouets que vous connaissez déjà. L’endroit diffère, les jouets aussi, ils se font de nouveaux amis, c’est un plus. C’est beaucoup plus intéressant et plus attrayant pour eux que de rester chez eux quand le parent part pour une demi-journée ou une journée entière ».



    Et vu que cet endroit semble faire la joie des parents, leur tranquillité, il ne nous reste plus qu’à attendre une occasion d’y « garer » aussi nos enfants et de recueillir directement leur retour. (trad.: Mariana Tudose, Ligia Mihaiescu)