Tag: Pecica

  • La pită de Pecica en quête de la reconnaissance européenne

    La pită de Pecica en quête de la reconnaissance européenne

    Il sagit de promouvoir leurs caractéristiques uniques liées à leur origine et au savoir-faire traditionnel, comme lindique le site de la Commission européenne. Peu dentre eux ont donc obtenu à Bruxelles lIndication géographique protégée, et encore moins – lAppellation dorigine protégée. Quand on évoque ces termes, les Roumains pensent au magiun (marmelade) de prunes de Topoloveni, le premier produit roumain à avoir acquis cette reconnaissance européenne, au fromage telemea dIbăneşti ou de Sibiu ou encore au salami de Sibiu, notamment. La pită de Pecica, ce pain renommé sur lensemble du territoire national et même au-delà, sapprête à rejoindre ces produits de premier choix. Ligia Mihăiescu y a goûté, et confirme ses qualités exceptionnelles.

  • Digitales Museum in einer Büffelfarm – Pecica ist einen Besuch wert

    Digitales Museum in einer Büffelfarm – Pecica ist einen Besuch wert

    “Das von der Skulptur “Das Wunder” von Constantin Brancusi inspirierte Gebäude entspringt dem Boden durch mehrere goldene Spiralen und kristalisiert in eine Form, die, genau wie die Muse des Bildhauers, sich von den Lasten der Vergangenheit befreit und in unendliche Höhe emporsteigt. Die Form des Gebäudes vermittelt dem Besucher ein Strebensgefühl — es geht dabei nicht nur um das Gebäude, sondern um das Leben selbst.”



    So beschreibt der Architekt Claudiu Ionescu das Konzept des von ihm geschaffenen Gebäudes, das der Stadt Pecica, im Kreis Arad, internationalen Ruhm brachte. Im westrumänischen Pecica kann der Besucher eine einmalige Kombination von altbewährter Tradition und Zukunftsarchitektur erleben, die fast zu einer Science-Fiction-Welt gehören könnte. Im Besucherzentrum der hiesigen Büffelfarm wurde eine aussterbende Tierart gerettet; parallen dazu entstand dort auch das einzige völlig digitalisierte Museum der Welt.



    Marinela Petran ist die Leiterin des Zentrums für nachhaltige Projekte im Rahmen der Stadtverwaltung Pecica. Sie führt uns durch das Besucherzentrum und durch die Büffelfarm, die eigentlich ein kleiner Zoo ist:



    Als Erstes wurde ein traditioneller Stall mit Schilfdach für 25 Büffel wie einst gebaut. Im folgenden Jahr bauten wir ein schönes Besucherzentrum mit ultramoderner Apparatur — deshalb wird es als digitales Museum” bezeichnet. In diesem Zentrum haben wir zwei interaktive Schnittstellen, um die Museen der Welt im Internet zu besuchen. Wir haben auch zwei gro‎ße 3D-TV-Bildschirme, zwei Projektoren und ein virtuelles Fahrradsystem — man kann pedalieren und auf dem Bildschirm einen schönen Ausflug durchs Muresch-Tal erleben. Wir haben einen Raum mit 60 Fahrrädern, weil wir fit bleiben und auch die schöne Naturlandschaft genie‎ßen sollten.”



    Ein Kinderspielplatz und ein moderner Pavillon für die 10 Kessel, die beim jährlichen Gastronomie-Wettbewerb Festival der Kessel” verwendet werden, ergänzen das Angebot des Besucherzentrums. Marinela Petran:



    Auf der Büffelfarm leben rumänische Büffel aus der Gegend Talmaciu, im Norden des Kreises Arad. Der Büffel ist eine aussterbende Tierart; die Büffel sind halbwilde Tiere, man kann sie nicht anfassen, aber man kann sie beobachen. Die Büffelkälber sind für Kinder besonders attraktiv – heutzutage haben die Kinder kaum noch die Gelegenheit, Tiere in ihrem natürlichen Habitat zu sehen. Wir haben eine Möglichkeit gefunden, diese eindrucksvolle Tiere zu schützen, und ihnen zu einem freien Leben in der Natur zu verhelfen.



    Ebenfalls hier kann der Besucher das Pecica-Brot kosten. 1923 wurde hier die älteste, heute noch funktionierende Bäckerei gebaut. Kinder und Erwachsene konnen den Teig selbst kneten und ihr eigenes Brot ohne Konservierungsstoffe backen. Im Besucherzentrum der Büffelfarm Pecica befindet sich auch ein Backstein-Brotofen, das nach einem 250 Jahre altem Modell gebaut wurde.



    Seit Oktober 2013 bezeichneten Fachzeitschriften wie Club Innovation oder Culture France das originelle Gebäude auf der Buffelfarm als das erste komplett digitalisierte Museum der Welt” Das auf einer Fläche von nur 125 Quadratmetern errichtete Gebäude ist auch ein Modell für effiziente Raumverwendung. Der Architekt Claudiu Ionescu sagte, auf diesen 125 Quadratmetern würden so viele Exponate gezeigt, wie auf Tausenden Quadratmetern in anderen Museen. Gleichzeitig spart man Pflege- und Personalkosten. Mehr dazu von Marinela Petran, Leiterin des Zentrums für nachhaltige Projekte im Rahmen der Stadtverwaltung Pecica.



    Der 28-jährige Architekt Claudiu Ionescu ist ein junger Mann, dem die Idee eines digitalen Museums besonders gut gefallen hat. Ich kann nicht sagen, dass wir hier ein richtiges Museum haben, aber wir verfügen über eine modernere Ausstattung als andere Museen. Wir können 3-D-Projektionen machen, wir haben 60 3-D-Brillen, das Gebäude ist teilweise ein Öko-Haus, mit einem Grasdach, auf dem man steigen kann, um das wunderbare Panorama der Stadt Pecica zu sehen, und wir haben auch eine Naturwand mit Innenpflanzen. Wir haben unseren eingenen Wasserkreislauf, unsere eigene Kläranlage und wir verwenden unkonventionelle elektrische Energie, die wir mit unserer Photovoltaikanlage gewinnen.”



    Das Museum bietet Möglichkeiten für Kunstaustellungen und andere Veranstaltungen, wie zum Beispiel Erziehungsprogramme für Kinder. Das Gebäude ist das Resultat eines avantgardistischen Projekts und dient der Studien zur Widerherstellung der Wasserbiotope in Naturschutzgebieten.

  • Un musée numérique à la ferme de buffles

    Un musée numérique à la ferme de buffles

    «Inspiré par la sculpture «Le miracle» de Constantin Brancusi, le bâtiment s’élève naturellement du sol par des spirales d’or (les spirales de Fibonacci) et se termine dans une forme qui, tout comme son égérie, tente de se libérer des charges héritées du passé en s’efforçant de monter haut. Sa forme offre au visiteur un sentiment d’aspiration, une aspiration non seulement de l’immeuble, mais de la vie elle-même». C’est par ces mots que Claudiu Ionescu définit le concept de la construction dont il est l’architecte et qui fait le renom de la petite ville de Pecica, au département d’Arad. C’est ici, à la frontière entre la Roumanie et la Hongrie, que le passé rencontre l’avenir, ou plutôt la science-fiction. Et cela parce que le centre de visite d’une ferme de buffles, espèce en voie de disparition, est devenu ce que la presse internationale a appelé le seul musée uniquement numérique au monde..

    Marinela Petran est directrice du Centre de durabilité des projets au sein de la mairie de Pecica. Elle nous raconte les débuts de ce centre de visite pas comme les autres, en fait un petit zoo : «Au début, on a construit une étable à l’ancienne, avec une toiture de joncs, pour 25 buffles. L’année suivante, on a fait bâtir un très beau centre de visite, doté d’équipements de dernière génération qui lui ont valu le nom de « musée numérique ». Nous avons, par exemple, deux tables interactives avec connexion Internet, d’où on peut visiter les musées du monde, deux grands téléviseurs 3D, deux rétroprojecteurs ou encore une bicyclette virtuelle qui permet d’admirer sur l’écran un paysage magnifique de la vallée de la rivière Mures tout en pédalant. Nous avons également aménagé un espace avec une soixantaine de vélos, car il est important de rester en forme, prendre soin de sa santé et profiter aussi des beautés de la nature. »

    S’y ajoutent une aire de jeux pour les petits et un pavillon moderne accueillant les 10 chaudrons destinés à la compétition annuelle appelée «Le Festival des chaudrons». Marinela Petran nous parle des animaux que l’on peut admirer à la ferme de Pecica : «Le buffle est un animal en voie de disparition. Notre ferme accueille des exemplaires de buffle roumain de la zone de Talmaciu, au nord du département d’Arad. Ce sont des animaux à moitié sauvages. On ne peut pas les toucher, mais on peut les admirer. Les enfants adorent les bébés buffles, surtout qu’ils n’ont pas trop l’occasion de voir les animaux dans leur habitat naturel. Nous avons donc trouvé une solution pour protéger l’animal, tout en lui permettant de vivre dans son milieu naturel.»

    A part les animaux et la nature, la petite ville de Pecica s’enorgueillit aussi de son pain. D’ailleurs c’est ici que se trouve la plus ancienne boulangerie fonctionnelle de Roumanie, ouverte en 1923. Enfants et adultes y apprennent à préparer le pain à l’aide d’ingrédients naturels, selon des recettes anciennes. En même temps, au centre de visite de la ferme de buffles, se trouve un four à pain en brique construit d’après un modèle d’il y a 250 ans.A partir d’octobre 2013, le bâtiment érigé par la Ferme de buffles a suscité l’admiration des revues telles Club innovation et Culture France qui l’ont appelé « le premier musée uniquement numérique au monde ».

    S’étalant sur une superficie de seulement 125 mètres carrés, l’immeuble est aussi un modèle d’utilisation efficace de l’espace, puisque l’architecte qui l’avait imaginé affirme que cet espace équivaut à plusieurs milliers de mètres carrés d’espace d’expositions d’un musée traditionnel. Cette économie d’espace se traduit par la réduction des coûts de personnel et d’entretien. Détails avec Marinela Petran, responsable à la marie de la ville de Pecica : « Avant d’arriver à l’idée d’un musée numérique, il faut parler du jeune architecte qui a conçu ce bâtiment et a participé à toutes les étapes de sa construction. Il s’agit de Claudiu Ionescu, 28 ans. Ce n’est pas un musée au sens classique du terme, mais nous disposons d’équipements plus sophistiqués que nulle part ailleurs. Il existe la possibilité de réaliser des projections 3D, nous avons plus de 60 lunettes spéciales, le bâtiment est partiellement écologique, puisqu’il a un toit végétal sur lequel on peut marcher pour admirer un panorama magnifique sur Pecica et un mur de fleurs. L’eau est recyclée, dans la mini-station de purification. Nous avons aussi des panneaux photovoltaïques qui nous fournissent de l’électricité. »

    La pente du toit rend plus facile la collecte et la réutilisation de l’eau de pluie que le bâtiment préserve dans des réservoirs pour couvrir ainsi les besoins en eau non-potable. A partir de la même terrasse, couverte de gazon on peut admirer un panorama à 360 degrés sur les alentours et sur le Parc naturel de la plaine de la rivière Mures. Un autre concept à part ajouté par Claudiu Ionescu est le fait que les pavés et l’édifice constituent un immense cadran solaire, l’ombre du bâtiment indiquant avec précision l’heure sur un cadran formé de pavés.

    Le musée peut accueillir des vernissages d’expositions et différents types de présentations et de conférences, le bâtiment étant ouvert au grand public, aux programmes éducationnels pour enfants et à l’étude de l’utilisation des espèces autochtones pour la réhabilitation des biotopes dans les aires protégées.

  • Muzeul digital de la ferma de bivoli

    Muzeul digital de la ferma de bivoli

    Inspirată din sculptura Miracolul a lui Constantin Brâncuşi, clădirea se naşte natural
    din pământ prin intermediul unor spirale de aur
    (spiralele Fibonacci) şi se cristalizează într-o formă care, la fel ca şi muza
    sa, încearcă să se elibereze de poverile trecutului, tinzând spre înalt.
    Forma sa îi conferă vizitatorului un sentiment de aspiraţie, o aspiraţie nu
    doar a clădirii, ci a vieţii în sine descrie
    Claudiu Ionescu conceptul clădirii a cărei arhitect este şi care a adus renume
    internaţional oraşului Pecica. La Pecica, în judeţul Arad, sunteţi aşteptaţi să
    descoperiţi o îmbinare inedită dintre vechi şi nou aproape SF. Şi asta la
    Centrul de vizitare al fermei de bivoli de aici, unde o specie pe cale de
    dispariţie a devenit pretextul realizării a ceea ce presa internaţională a
    numit singurul muzeu complet digitalizat din lume.


    Marinela Petran, şeful
    Centrului de sustenabilitate a proiectelor din cadrul primăriei oraşului
    Pecica, ne ghidează descoperirea Centrului de vizitare şi a fermei de bivoli,
    în fapt o mică grădină zoologică: Prima dată s-a construit un
    grajd aşa cum era pe timpuri, cu acoperiş de stuf, pentru 25 de capete de
    bivoli. În al doilea an s-a mai construit un frumos centru de vizitare, care
    are o aparatură ultramodernă, numit şi muzeu digital datorită aparaturii din
    interior. Avem două mese interactive pe care se poate intra pe internet, pentru
    ca să vedem muzeele lumii, cu două televizoare mari care pot transmite 3D, două
    retroproiectoare, o bicicletă virtuală, pe care poţi să pedalezi şi să vezi pe
    ecran un frumos traseu pe Lunca Mureşului. Avem un spaţiu cu 60 de biciclete,
    pentru că trebuie să facem mişcare, să avem grijă de sănătatea noastră şi să ne
    bucurăm de frumuseţile naturii.



    Un spaţiu de joacă pentru cei
    mici şi un pavilion modern pentru cele zece ceaune, destinate competiţiei
    anuale Festivalul ceaunelor, completează facilităţile centrului, ne-a mai
    spus interlocutoarea noastră. Şi a adăugat: Ferma de bivoli, păstrează încă bivolul, care este un animal
    pe cale de dispariţie, bivolul românesc din zona Tălmaciu, din nordul judeţului
    Arad. Sunt animale semi-sălbatice, pe care nu putem să-i atingem, dar putem
    să-i privim. Puii bivolului se numesc malaci. Şi ei sunt atât de atractivi mai
    ales pentru copii, care nu prea mai au ocazia să vadă animalele în habitatul
    lor natural. Noi am găsit un mod de a proteja animalul şi a-l lăsa să trăiasă
    în mediul lui natural.


    Tot aici, vizitatorul poate
    descoperi pâinea de Pecica sau pita de Pecica, aici fiind atestată în 1923, cea
    mai veche brutărie, încă funcţională, unde copii sau adulţi pot frământa pâinea
    şi pot înţelege cum este pregătită o pâine ca pe vremuri, fără conservanţi. Iar
    în cadrul Centrului de vizitare a fermei de bivoli din Pecica, puteţi admira un
    cuptor de pâine construit din cărămidă arsă după un model de acum 250 de ani.


    Din octombrie 2013, clădirea
    ridicată la Ferma de bivoli, o clădire deosebită, a fost numită de reviste
    precum Club Innovation sau Culture France drept primul muzeu complet digital
    din lume. Amplasată pe doar 125 de metri pătraţi, clădirea este şi un model de
    eficientizare a spaţiului, arhitectul care a proiectat-o declarând că aceşti
    125 de metri pătraţi expun cât mii de metri utilizaţi de alte muzee, reducând
    astfel costurile cu întreţinerea sau personalul, exponenţial. Marinela Petran, şeful Centrului de sustenabilitate a proiectelor din cadrul
    primăriei oraşului Pecica: Ca să ajungem la ideea de muzeu
    digital, trebuie să vorbim despre arhitectul care a conceput această clădire şi
    care a participat pas cu pas la înălţarea ei. Este un tânăr, Claudiu Ionescu,
    are 28 de ani, este produs românesc, i-a plăcut atât de mult ideea de muzeu
    digital, încât peste tot a promovat-o ca muzeu digital. Nu pot să spun că e
    chiar un muzeu, dar avem o aparatură mult mai sofisticată decât în alte părţi.
    Există posibilitatea proiecţiilor 3D, avem 60 de ochelari, clădirea este
    parţial ecologică, are un acoperiş înierbat, pe care se poate urca, şi o
    panoramă deosebită a Pecicăi, avem un perete natural cu flori de interior. Apa
    este recirculată şi avem o mini staţie de epurare, şi bineînţeles, avem şi
    panouri fotovoltaice care ne produc energia electrică, neconvenţională.



    Forma înclinată a acoperişului permite mai uşor colectarea şi
    reciclarea apei de ploaie pe care clădirea o înmagazinează în rezervoare urmând
    mai apoi a o folosi la necesarul de apă nepotabilă. Aceeaşi terasă, acoperită
    cu gazon de iarbă, oferă o vedere panoramică la 360 de grade asupra
    împrejurimilor şi aParcului Natural Lunca Mureşului. Un alt concept aparte adăugat de Claudiu Ionescu este faptul că pavajul din
    jurul clădirii împreună cu edificiul în sine reprezintă un uriaş ceas solar,
    umbra clădirii marcând cu exactitate ora pe cadranul din pavaj.


    Muzeul
    oferă oportunităţi de vernisaj, expoziţie şi diferite tipuri de prezentări,
    clădirea fiind destinată publicului larg, programelor educaţionale pentru copii
    şi studiului asupra folosirii speciilor autohtone pentru reabilitarea biotopurilor de apă în
    zonele ocrotite, rezultat al unui proiect avangardist.



  • Arad – die multikulturelle Stadt im Westen Rumäniens

    Arad – die multikulturelle Stadt im Westen Rumäniens

    Heute reisen wir in die Westebene, die vom Marosch-Fluss durchquert wird, genauer gesagt nach Arad, Hauptstadt des gleichnamigen Landkreises.



    Corina Drăghici, Sprecherin der Arader Stadtverwaltung, sagte uns, Arad sei für Rumänien ein Eingangstor:



    Die geographische Lage und die Geschichte sind die bedeutendsten Faktoren, die Rumänien mit Europa verbinden. Deshalb laden wir alle ein, die Rumänien kennenlernen wollen, einen Arad-Besuch zu unternehmen. Hier leben verschiedene Ethnien und Religionen, eine multikulturelle Gemeinschaft. In Arad kommt der dynamische Rhythmus des modernen Lebens in einer wunderbaren Stadtkulisse zum Vorschein. Die Touristen werden gleich von der Schönheit der Gebäude und der freundlichen Atmosphäre erobert. Die Stadt Arad besitzt ein reiches Kulturerbe. Die Baustile sind für das 18., 19. Jahrhundert und den Anfang des 20. Jahrhunderts spezifisch. Das Stadtzentrum ist ein kirchlicher Baukomplex mit Schlössern, Kirchen und anderen Denkmälern, die repräsentativ für den Barock, die Neo-Renaissance, die Neugotik und die Sezession sind.“




    Unter den besonderen Sehenswürdigkeiten der Stadt Arad zählen die Kirchen. Zu erwähnen sind die Minoritenkirche St. Antonius von Padua, die im Neurenaissance-Stil errichtet ist, und die Rote Kirche oder die Evangelisch-Lutherische Kirche im Neugotischen Stil. Die älteste Kirche ist die Serbische Kirche mit Rokoko-Elementen. Eine Besichtigung wert sind noch die Alte Orthodoxe Kathedrale und die Neue Orthodoxe Kathedrale. Der Kulturpalast Arad beeindruckt durch seine Dimensionen und durch die Innendekorationen.



    Die bedeutendste Touristenattraktion ist die Festung Arad. Diese ist eines der bedeutendsten historischen Monumente im Westen des Landes. Die Festung wurde in der zweiten Hälfte des 17. Jahrhunderts gebaut und war eine der beeindruckendsten militärischen Festungsanlagen. Der Plan der Festung ist von der Kaiserin Maria Theresia und ihrem Sohn Joseph II. genehmigt worden. Die Festung wurde im Vauban-Stil in der Form eines Doppelsternes mit 6 Ecken, mit kräftigen Verteidigungsmauern und Kasematten errichtet.



    Arad, ein altes Weingebiet, bietet mehrere Weinsorten, die in den Weinkellern bei Miniş, 30 km von Arad entfernt, am Fuße des Zarand-Gebirges gekostet werden können. Die Touristen können hier rumänische, ungarische und slowakische Speisen essen, darunter das Brot von Pecica, die Salami von Nădlac oder die slowakischen Klöße.



    Arad wetteifert um den Titel der Europäischen Kulturhauptstadt 2021 und hat in der letzten Zeit ein reiches kulturelles Leben. Es werden Theateraufführungen, Konzerte der örtlichen Philharmoniker, Malerei-Ausstellungen und Festivals organisiert.

  • Philippe Marsan (France) – Symposium international des radioamateurs à Pecica (ouest)

    Philippe Marsan (France) – Symposium international des radioamateurs à Pecica (ouest)

    Cette rencontre, placée sous l’égide de la Fédération roumaine des radioamateurs, de l’Association sportive « Progresul » Pecica YO2KBB, du Radio-club FC Telecom Arad YO2KQD et du Radio club ADMIRA Arad, YO2KBQ et soutenue par la municipalité, est déjà arrivée à sa XIe édition. Elle a lieu le 16 et 17 mai à Pecica, une ville dans l’ouest de la Roumanie, dans le département d’Arad.



    Quel est le thème cette année ? Doru Petrişor, coordonnateur de l’événement, répond : « Cette année, le thème, c’est la rétrospective des dix dernières années, un bon moment pour analyser ce que nous avons accompli en dix années de symposiums des radioamateurs, et de voir ce que nous pouvons faire à l’avenir pour améliorer les choses, pour que cela ne soit pas de simples rencontres entre radioamateurs. Je veux dire par là que les choses que nous discuterons seront couchées sur le papier et nous veillerons à les mettre en œuvre. Nous souhaitons avoir une rencontre de radioamateurs, avec tous ceux qui utilisent le système de radiofréquence en tant qu’amateurs ou la Citizen Band — en l’occurrence l’Inspection pour les situations d’urgence, les sapeurs-pompiers et même la police peut collaborer avec nous ».



    Comment tout cela a-t-il commencé ? Doru Petrişor : « Quand cela a commencé, je n’étais pas encore radioamateur. Le symposium a commencé suite au souhait du prof. Ban Adalbert, YO2BYD, qui n’est plus parmi nous, malheureusement. Nous essayons de mener à bien la tradition. Le professeur souhaitait organiser une rencontre des radioamateurs du monde et a réussi à la réaliser. Lors de la première édition, une cinquantaine — une centaine de personnes y ont participé. L’année dernière, nous avons eu plus de 300 participants, de toute la Roumanie, de Hongrie, de Serbie et de Suisse ».



    Quoi de neuf cette année, Doru Petrişor ? « Cette année, nous avons signé un partenariat avec l’Inspection pour les situations d’urgence et avec les sapeurs-pompiers de Pecica. Nous essaierons de les aider à refaire leur système de communications, parce que malheureusement ils n’en ont plus, et nous nous sommes déjà mis d’accord avec les radioamateurs locaux à cet effet. Nous attendons quiconque veut s’adresser à nous ».



    Il existe au département d’Arad 180 radioamateurs, dont 32 dans la ville de Pecica. Mon interlocuteur déplore que les fréquences soient de plus en plus libres dernièrement, mais il a pourtant bon espoir de réussir à redonner la vie à la fréquence des radioamateurs. De quelle manière? Pensez-vous trouver des jeunes pour leur imprimer votre passion, Doru Petrişor ? « J’ai quelques initiatives : de rassembler les enfants au Radio club de Pecica, de le redémarrer, même si le radio amatorisme est en perte de vitesse depuis que les nouvelles technologies existent — Facebook et autres communications — mais moi, je pense que la radio ne mourra pas et qu’elle restera, comme l’arc et les flèches, par exemple, un sport traditionnel qui perdurera. Telle est ma vision sur le radio amatorisme : même s’il déchoit, il ne mourra pas. J’ai certaines idées : la communication des infos locales, que chaque enfant pourra faire. Un enfant, lorsqu’il veut parler, est comme un commentateur sur un stade ou comme un journaliste présentant les infos; c’est comme ça que je compte faire venir les enfants vers le radio amatorisme ».



    L’activité commencera l’été prochain. Les locaux sont déjà mis à disposition des radioamateurs. Reste encore à les équiper de talkies-walkies et à redémarrer le club, avec l’aide de plusieurs radioamateurs de la ville. Le professeur Ban organisait des concours de radioamateurs dans le département. Beaucoup d’enfants y participaient ; l’activité de radio amatorisme était très intense à l’époque, à Pecica. Nous commencerons par communiquer entre nous, là, et ensuite, nous pourrons participer à des concours, a encore précisé l’organisateur du XIe Symposium international des radioamateurs. Bonne chance, et meilleurs 73 !