Tag: pediatrie

  • Covid 19 nu mai este o urgenţă sanitară

    Covid 19 nu mai este o urgenţă sanitară

    COVID-19 nu mai reprezintă, în acest moment, o problemă
    de sănătate publică în ţara noastră – a declarat duminică ministrul român al
    Sănătăţii, Alexandru Rafila. În ultimele luni, autorităţile au raportat zilnic
    câteva sute de cazuri şi există, de asemenea, bilanţuri fără niciun deces. Alexandru
    Rafila a subliniat însă că orice viroză este imprevizibilă din punct de vedere
    al evoluţiei, astfel că se menţine recomandarea vaccinării pentru categoriile
    vulnerabile, precum bolnavii cronici sau persoanele cu vârsta peste 60 de ani,
    mai ales că în scurt timp va fi disponibil şi în România serul adaptat la
    variantele Omicron ale coronavirusului.

    Alexandru Rafila: Până la
    sfârşitul lunii vine vaccinul adaptat tulpinilor circulante B.A4, B.A5. E prima
    dată când utilizăm un vaccin adaptat şi eu, personal, o să mă vaccinez cu cea
    de-a patra doză. Mi se
    pare protectiv, aşa cum m-am vaccinat şi împotriva gripei. Nu este exclus ca în
    viitor să avem o vaccinare sezonieră şi pentru COVID, aşa cum există pentru
    gripă, fără ca acest lucru să aibă acelaşi impact sau vreo legătură cu situaţia
    dramatică din cursul anului 2021, când în al patrulea val pandemic am avut
    peste 26 de mii de decese
    .

    Potrivit ministrului Sănătăţii, vaccinarea anti-COVID-19 se va face la medicii
    de familie şi în centrele de vaccinare deschise în mai multe spitale din
    România. Cât privește sezonul virozelor, Alexandru Rafila a declarat că nu se
    aşteaptă la un val de infecţii respiratorii şi a precizat că în prezent numărul
    de cazuri nu este cu mult diferit faţă de anii trecuţi. Totuși, potrivit lui,
    actualul sezon este mai intens în ceea ce priveşte virozele şi, probabil, se va
    termina mai repede decât în alţi ani. În opinia sa, o
    soluţie rapidă ar fi deschiderea centrelor ambulatorii de pediatrie în spitale,
    pentru a nu pune presiune pe camerele de gardă, măsură care s-a aplicat şi în
    timpul pandemiei.

    Alexandru Rafila: Doar o mică parte dintre copii
    au nevoie de internare în spital şi de intervenţia în unităţile de primiri
    urgenţe. Trebuie să găsim o soluţie ca părinţii să aibă unde să meargă cu
    copiii lor – la medicul de familie în primul rând, dar dacă nu este disponibil
    medicul de familie, într-un ambulatoriu de specialitate cu pediatri, cu
    posibilitate de radiografie, astfel încât problemele să poată să fie rezolvate
    fără să supraaglomerăm camerele de gardă.

    În pandemie,
    unitățile sanitare s-au confruntat cu o supraaglomerare pe toată perioada
    stării de alertă care în România a fost instituită pe 18 mai 2020 și ridicată
    după aproape doi ani, pe 9 martie 2022. Anterior, România s-a aflat în stare de
    urgență pentru două luni, instituită de autorități la doar câteva zile după ce Organizaţia
    Mondială a Sănătăţii declarase pandemie de coronavirus. Potrivit datelor oficiale,
    până în prezent, aproape 3,3 milioane de persoane au fost infectate cu Covid 19
    în România, iar peste 67 de mii au decedat în urma infectării.


  • « 100 cœurs pour 100 enfants »

    « 100 cœurs pour 100 enfants »

    Intitulé « 100 cœurs pour 100 enfants », le projet contribue activement à sauver des vies.Dans les minutes suivantes, Cristian Grasu du ministère roumain de la Santé parle de la collaboration entre les institutions publiques et européennes afin de faciliter la mise en œuvre des projets dans le domaine sanitaire : « On déploie des efforts considérables, on cherche partout du soutien et du financement et la Commission européenne nous aide à chaque fois, je dirais même plus qu’elle ne le faisait lors du précédent exercice budgétaire. Le projet « 100 cœurs pour 100 enfants » prouve que la Roumanie peut elle aussi mettre à profit l’argent européen. D’ailleurs, ce projet n’est pas l’unique exemple en ce sens. Je pourrais vous parler d’autres initiatives aussi – certaines ayant reçu des fonds européens, d’autres fondées sur le bénévolat, mais toutes censées déboucher sur le même résultat final : sauver des vies et guérir des malades. A l’heure où l’on parle, le faible niveau d’investissements dans les infrastructures rend les Roumains mécontents du niveau qualitatif et quantitatif des services de soins qu’ils se voient offrir. Nous avons un manque sérieux d’infrastructure et il suffit de penser au fait que le dernier hôpital public construit par la Roumanie date de 1981. Depuis, un seul bâtiment médical a vu la lumière du jour, à Iasi. Tous les autres établissements sanitaires datent des années 1970 ou même d’avant. Certains sont classés monuments historiques ».

    Le médecin Vlad Mixich, journaliste santé, a tiré la sonnette d’alarme quant à l’un des paradoxes qui caractérise notre système médical : « Parmi les principales causes de mortalité infantile en Roumanie, il convient de mentionner les malformations cardiaques congénitales. D’ailleurs, je vous invite à remarquer que chez nous, on parle très peu de la mortalité infantile – une fois par an tout au plus, à l’occasion d’une statistique ou d’un sujet qui fait débat dans la presse et qui déplore la situation. Or, on assiste à un véritable paradoxe : même si la Roumanie reste le pays de l’UE à afficher le taux le plus important de mortalité infantile, ses efforts de réduire cette mortalité depuis 1990 et jusqu’à présent sont – et les statistiques le confirment – parmi les plus à succès jamais déployés par la médecine roumaine. Car, même si elle est toujours en queue du peloton européen, la Roumanie s’enorgueillit d’afficher aussi une des baisses les plus significatives du taux de mortalité parmi ses enfants. C’est une chute importante intervenue dans un bref délai. Finalement, on assiste à une amélioration de la situation, beaucoup plus évidente que dans d’autres pays qui se confrontent au même problème ».

    Sur l’ensemble des causes qui ont contribué à diminuer le taux de mortalité infantile figure aussi le projet « 100 cœurs pour 100 enfants ». Pour plus de détails, nous avons invité au micro le professeur des universités Grigore Tinica, qui dirige l’Institut des maladies cardiovasculaires Professeur George I. Georgescu de Iasi. Quand il a décidé de s’impliquer dans ce projet européen supposant des stages de perfectionnement à l’étranger, il a conditionné sa participation d’un nombre d’interventions chirurgicales réalisées une fois rentré en Roumanie. Dans un premier temps, le projet devait mener à une centaine d’opérations, mais le chiffre a été largement dépassé. Le docteur Grigore Tinica : « En Roumanie, entre 1500 et 2000 nouveau-nés par an ont une malformation cardiaque. Sur ce total, huit à neuf cents devraient se faire opérer durant leur première année de vie. Or pour l’instant, on n’arrive à faire opérer que 250 à 300. Nous avons beaucoup d’enfants non opérés âgés actuellement de 10, 11, 12 voire même 15 ans, certains même adultes. Du coup, à l’heure où l’on parle, la Roumanie recense presque un millier de cas d’anomalies congénitales que l’on devrait opérer. Nous avons plusieurs centres où de telles interventions sont possibles. Mais il convient de préciser que la chirurgie cardiovasculaire est beaucoup plus difficile dans le cas des bébés car un nouveau-né constitue un univers totalement différent ».

    Le ministère peut mener des politiques, accéder à des fonds, même changer des mentalités. Pourtant, c’est au personnel sanitaire de mettre en place de tels projets, épaulé souvent par la société civile. Un tel exemple est représenté par l’Association Le cœur des enfants dont le principal but est de se battre pour aider les enfants malades, notamment ceux souffrant de cardiopathies congénitales. Son président, Alexandru Popa, affirme : « Nous avons décidé de soutenir la chirurgie cardiaque car en 2006, année de notre naissance, les anomalies congénitales du cœur figuraient en première position dans le classement des principales causes non accidentelles de mortalité infantile en Roumanie. Depuis, les choses ont légèrement changé. Je dis légèrement car on recense toujours un nombre important d’enfants qui meurent d’anomalies cardiaques soit parce qu’on a du mal à les diagnostiquer correctement, soit parce que l’on n’intervient pas à temps ou parce que les parents ne savent pas comment s’y prendre. On espère voir cette situation changer. En tant qu’association, on a essayé de soutenir activement tous ces centres plutôt que de nous concentrer sur des cas individuels, même si on a du mal à refuser les gens. Grâce à différentes sponsorisations ou donations individuelles, on est arrivé à financer à hauteur de 4 millions d’euros différents projets d’infrastructure dans le système de santé publique. Et on ne s’arrête pas là ».

    Bien que couronné de succès, comme le prouvent les nombreuses interventions chirurgicales réalisées sur des bébés âgés, parfois, de deux semaines à peine, le projet se heurte malheureusement à des tas de difficultés.

  • 25.02.2016 (mise à jour)

    25.02.2016 (mise à jour)

    Bilan — La corruption touche profondément la Roumanie et la lutte contre ce fléau doit se poursuivre avec la puissance maximale, a déclaré jeudi le président roumain Klaus Iohannis, lors de la présentation du bilan 2015 de la Direction nationale anti-corruption. A son tour, la procureure en chef de cette institution a déclaré que la Direction nationale anti-corruption devait poursuivre ses enquêtes et œuvrer à ce qu’elle a appelé « le nettoyage » du pays des corrompus. Un communiqué précise qu’en 2015 l’activité de l’institution a été marquée par une série de premières pour la Justice roumaine : la poursuite pénale et la mise en examen d’un premier ministre en exercice — Victor Ponta, ainsi que l’arrestation d’un juge de la Cour Constitutionnelle — Toni Grebla et du maire de la Capitale, Sorin Oprescu. L’année dernière, la justice roumaine a enregistré le plus important nombre de hauts responsables déférés à la Justice.



    Corruption – Le député Nicolae Păun, représentant de la communauté rom au Parlement de Bucarest, a été placé en garde à vue par les procureurs anticorruption. La Chambre des députés a donné son feu vert à la demande de la Direction nationale anti-corruption dapprouver son placement en détention provisoire. Nicolae Paun est accusé davoir utilisé et présenté de faux documents et des déclarations fausses, inexactes et incomplètes afin dobtenir des fonds européens. Selon les procureurs, Nicolae Paun et le député social-démocrate Madalin Voicu auraient mis au point un plan de détournement de 6 millions deuros destinés initialement à la formation professionnelle des roms. Jeudi encore, la sénatrice libérale-démocrate Doina Tudor a été interpellée par les procureurs anti-corruption. Le Sénat de Bucarest avait approuvé la veille sa mise en détention provisoire. Doina Tudor est accusée de complicité dans une affaire de perception de pots-de vin visant son ex — mari, Daniel Tudor, ancien vice-président de l’Autorité de Surveillance financière, actuellement assigné à résidence. Selon les enquêteurs, en 2013, Doina Tudor aurait aidé son ancien époux à recevoir 200.000 euros de pots-de-vin de la part d’une compagnie d’assurances, laquelle aurait été favorisée, en dépit des irrégularités révélés par des contrôles antérieurs.



    Santé — Le ministre roumain de la Santé, Patriciu Achimaş Cadariu, a fait savoir que c’est une souche de la bactérie E-coli qui est responsable des infections digestives dont souffrent plusieurs enfants du comté d’Arges, au sud du pays, et qui ont provoqué jusqu’ici le décès de trois petits. Il a également précisé que l’enquête menée actuellement par le Corps de contrôle du ministère de la Santé à la Direction de santé publique d’Arges serait finalisée le 4 mars. Auparavant, le ministre avait demandé la démission de la direction de l’Hôpital de pédiatrie de Pitesti après l’apparition d’un nouveau cas de syndrome hémolytique et urémique chez un bébé d’un an et quatre mois, qui n’a pas été rapporté à la Direction de santé publique. L’enfant avait manifesté des symptômes de diarrhée sévère il y a 11 jours et depuis il a été hospitalisé dans le département d’Arges et à Bucarest. Rappelons-le, ce février, une trentaine d’enfants de ce comté du sud de la Roumanie ont été hospitalisés dans des établissements de santé en raison de graves infections digestives.



    Inflation — La Roumanie s’est classée deuxième, au mois de janvier, parmi les 28 pays membres de l’UE, en ce qui concerne le taux d’inflation négative. Les données rendues publiques ce jeudi par l’Office européen des statistiques font état d’une valeur de cet indicateur de moins 1,5%, soit le double du niveau enregistré en décembre 2015. Selon la même source, le taux d’inflation sur l’ensemble de l’UE s’est maintenu à 0,2%, alors que dans la zone euro il est passé de 0,2% en décembre à 0,3% en janvier. Des taux annuels négatifs ont été observés dans 10 Etats membres, la Pologne et la Roumanie ayant occupé les deux premières places. Au pôle opposé, se sont situées la Belgique, l’Autriche et la Suède. La Banque centrale de Roumanie table sur 1,4% d’inflation pour la fin de l’année en cours, un chiffre supérieur de 0,3 points de pourcentage par rapports aux estimations antérieures. Le gouverneur de la Banque nationale, Mugur Isărescu, a récemment déclaré qu’un durcissement de la politique monétaire était à attendre plus tôt que prévu, étant donné que l’inflation est de retour.



    Médias — Le Parti national libéral ne soutient pas la proposition visant à modifier la loi sur l’organisation et le fonctionnement des sociétés publiques de radio et de télévision, qu’il juge inopportune. Le porte-parole du parti, le député Ionuţ Stroe, a déclaré que l’initiative en question, loin de présenter des solutions techniques susceptibles de redresser la situation la télévision publique, institue de nouvelles fonctions et impose un mécanisme de contrôle éditorial et financier des deux institutions, dont le fonctionnement est régi par la même loi. Stroe a affirmé que la situation difficile que traverse actuellement la TVR s’explique non pas par la législation, mais par le management défectueux. L’avenir de cette institution, qui a accumulé d’énormes dettes, s’est trouvé au cœur d’un débat organisé mardi par les commissions pour la culture et le budget de la Chambre des Députés et du Sénat de Bucarest. Il y aurait deux solutions envisageables pour sortir de cette impasse, à court terme. Dune part, il sagit de la modification visant la loi de linsolvabilité, afin quelle puisse être applicable aussi à la TVR. Dautre part, la compagnie pourrait déposer le bilan, de sorte quune nouvelle société puisse être créée après sa fermeture. Les leaders politiques participants aux discussions ont rejeté la proposition concernant la fusion des chaînes publiques de radio et de télévision. Ils ont souligné le fait que la Société roumaine de radiodiffusion fonctionne avec de très bons résultats, daprès la même loi régissant le fonctionnement des médias publics locaux.



    Diplomatie — La migration, le voisinage oriental de l’UE et la nécessité d’une réponse concertée aux défis actuels qui se posent à la paix et à la sécurité internationale ont été les sujets dominants des discussions menées jeudi par le ministre roumain des affaires étrangères, Lazar Comănescu, avec les chefs des missions diplomatiques des pays asiatiques accrédités à Bucarest. Autres thèmes abordés lors de cet entretien: les modalités concrètes de diversifier la coopération, notamment économique, entre la Roumanie et les pays d’Asie, le partenariat au sein de l’ASEM, qui fête cette année son 20e anniversaire. Dans le cadre de ce processus, la Roumanie joue un rôle actif dans des domaines tels le développement régional et la gestion des ressources en eau.


  • 25.02.2016

    25.02.2016

    Vatican – Le ministre roumain de la culture, Vlad Alexandrescu a signé au Vatican le premier accord entre la Roumanie et le Saint Siège. Le ministre a précisé que le document était censé stimuler l’organisation d’amples événements culturels, surtout dans le cas de la très nombreuse communauté roumaine d’Italie, qui compte environ un million de membres. L’agenda de la visite du ministre Alexandrescu a également inclus la participation à l’audience générale du Pape François et des rencontres avec le bibliothécaire de la Sainte Eglise Romaine, le monseigneur Jean-Louis Brugues, et avec le directeur des Musées du Vatican, le professeur Antonio Paolucci. Lors de l’entretien avec ce dernier, le ministre roumain a évoqué la possibilité de présenter en 2018 au Vatican l’exposition « Les trésors de la Roumanie », qui se trouve à présent en Chine. Le responsable roumain a également proposé l’organisation à Bucarest d’une exposition des Musées du Vatican, en coopération avec la Bibliothèque nationale de Roumanie et avec les Archives de l’Etat.

    Corruption – La corruption touche profondément la Roumanie et la lutte contre ce fléau doit se poursuivre avec la puissance maximale, a déclaré aujourd’hui le président roumain Klaus Iohannis lors de la présentation du bilan 2015 de la Direction nationale anti-corruption. Un communiqué de l’institution précise qu’en 2015, l’activité de l’institution a été marquée par une série de premières pour la Justice roumaine : la poursuite pénale et la mise en examen d’un premier ministre en exercice – Victor Ponta, ainsi que l’arrestation d’un juge de la Cour Constitutionnelle – Toni Grebla et du maire de la Capitale, Sorin Oprescu. L’année dernière, la justice roumaine a enregistré le plus important nombre de hauts responsables déférés à la Justice et les procureurs ont également demandé la permission du Parlement pour arrêter et placer en détention provisoire un ministre en fonction, à savoir le ministre des finances, Darius Vâlcov. Parmi les personnes traduites en justice avant le 30 novembre figurent quatre anciens ministres, 20 actuels ou anciens membres du Parlement, mais aussi maires de villes et d’arrondissements de la Capitale, présidents de Conseils départementaux et un préfet. En 2015, le taux de condamnations dans de tels dossiers s’est maintenu à 90%, précise la Direction nationale anti-corruption.

    Santé – Le ministre roumain de la Santé, Patriciu Achimas Cadariu a demandé la démission de la direction de l’Hôpital de pédiatrie de Pitesti après l’apparition d’un nouveau cas de syndrome hémolytique et urémique chez un bébé d’un an et quatre mois qui n’a pas été rapporté à la Direction de Santé Publique. L’enfant avait manifesté des symptômes de diarrhée sévère il y a 11 jours et depuis il a été hospitalisé dans le département d’Arges et à Bucarest. Rappelons-le, ce février, une trentaine d’enfants de ce comté du sud de la Roumanie ont été hospitalisés dans des établissements de santé en raison de graves infections digestives. Jusqu’ici, les autorités n’ont pas réussi à identifier la source des infections, qui ont provoqué la mort de trois bébés.

    Tourisme – Plus de 280 sociétés de 15 pays présentent à Bucarest à partir d’aujourd’hui les offres de vacances dans le cadre de la Foire de Tourisme de Roumanie. Jusqu’à dimanche, les participants – agences de voyage et associations du secteur – essayeront d’attirer le plus grand nombre de clients en proposant des rabais promotionnels et des destinations traditionnelles ou inédites. L’Autorité nationale du tourisme organise à son stand de nombreux événements consacrés à la promotion de la Roumanie. Les représentants des tour-opérateurs roumains s’attendent à une progression des ventes de destinations intérieures, malgré les offres très alléchantes que proposent la Turquie, la Grèce et la Bulgarie. La foire se déroule à la fin février justement pour que les Roumains puissent bénéficier des offres de réservation anticipée pour les vacances d’été.

    Météo – Températures à la baisse en Roumanie, notamment dans le sud et le sud-est. Le ciel est variable, et des pluies isolées sont signalées, alors qu’en montagne il neige. Les températures vont de 4 à 13 degrés, avec 10 degrés en ce moment à Bucarest.