Tag: Pelicam

  • Festivalul de film despre mediu, Pelicam

    Festivalul de film despre mediu, Pelicam

    Cu aproape zece
    ani în urmă, în 2012, debuta la Tulcea, aproape de mirifica, dar și
    problematica, Deltă a Dunării, Pelicam, primul festival internațional de film
    dedicat chestiunilor de mediu din România. Scopul său a fost acela pentru a promova educația de mediu, într-o
    zonă naturală unică în România prin intermediul unui eveniment cultural
    inovativ, o competiție de documentare de lung și scurtmetraj. Între 2012 și
    2019, festivalul Pelicam s-a desfășurat la Tulcea, dar din 2020, din cauza
    pandemiei, vizionările s-au mutat pe internet unde, momentan, se desfășoară
    online și ediția a zecea programată între 15 și 24 octombrie.

    Pe lângă filmele
    documentare din Venezuela, Franța, Olanda și alte țări, circumscrise temei
    Cine apără ziua de mâine, au loc și o serie de dezbateri sub genericul
    Pelicam Talk, după cum aflăm acum de la Benjamin Ribout, organizatorul
    festivalului:

    Acum
    suntem aproape la jumătate din ediția asta. A avut loc și un Pelicam Talk (un
    seminar Pelicam) despre jurnalismul de mediu cu patru invitați. Nu este genul
    de discuție care are loc după o
    proiecție cu regizorul filmului sau cu un protagonist dintr-un film. Ci e,
    practic, este o dezbatere despre o temă pe care o aducem în față unor invitați,
    iar anul ăsta i-am ales să fie toți români ca să venim cu informații proaspete
    despre situația din România. Deci prima dezbatere a fost despre jurnalismul de
    mediu în care am vorbit despre acești jurnaliști care încearcă să documenteze
    problemele și schimbările legate de meseria asta. Următoarea este despre
    mobilizare și rezistență. În trecut aceste discuții adunau mai mulți oameni
    atât din afară țării, cât și din România. Dar ne-am dat seama că publicul
    nostru cere informații din România, despre situația din România și atunci am
    ales ca aceste două discuții să fie strict despre situația din țară.


    Iar
    în țară, interesul legat de chestiunile de mediu pare să fi crescut în cei
    aproape zece ani de când există Festivalul Pelicam.

    Asta a constatat Benjamin
    Ribout: Cred că festivalul asta a contribuit conștientizarea publicului larg.
    Evident că, într-o prima fază a început cu un public foarte nișat, care deja
    era interesat de așa ceva și încet-încet s-a lărgit acest public și constatăm
    că reușim să atragem din ce în ce mai mulți oameni: de la copii la oameni mai
    în vârstă. Vedeam asta an de an. La Tulcea publicul nu era numai era acela
    format din tinerii orașului sau din oameni din București sau din orașele mari
    care veneau la Tulcea la un festival de film fiindcă erau obișnuiți cu
    conceptul de festival de film și li se părea interesant să ajungă în alt oraș
    ca să vadă filme despre mediu. Dar cumva am început să cucerim și orășelul
    respectiv, iar rezultatele pe care le avem anul ăsta ne dovedesc că suntem
    urmăriți prin toată țară
    .


    Pe
    24 octombrie vor fi anunțați câștigătorii competiției de documentare despre
    mediu din cadrul Festivalului Pelicam. Iar organizatorii deja se gândesc la
    edițiile viiitoare care, poate, se vor desfășura iar în aer liber, aproape de
    Delta Dunării, la Tulcea.


  • Peut-on arrêter le changement climatique ?

    Peut-on arrêter le changement climatique ?

    « Les changements climatiques », « L’agriculture
    intensive » et « Les forêts et leurs ressources ». C’étaient les
    trois débats organisés lors de la 8e édition du Festival de film Pelicam. Le
    Festival, qui a lieu chaque juin à Tulcea, dans le sud-est de la Roumanie, a
    inscrit une partie de sa programmation de cette année dans la saison
    France-Roumanie. Ainsi, des réalisateurs et des spécialistes des questions
    environnementales de France se sont rendus à Tulcea, où ils ont rencontré des
    spécialistes roumains et un public avide de les entendre débattre.




    Elena Diaconu est allée à Pelicam pour essayer
    de mieux comprendre les profondes crises environnementales et de société qui nous
    affectent tous. Son reportage parle du fonctionnement de l’agriculture
    intensive et s’interroge sur la part de choix personnel que nous avons, chacun
    d’entre nous, par rapport à notre alimentation.

    Y sont interviewés François Dulac, chercheur au
    Laboratoire des sciences du climat et de l’environnement, et l’activiste Bogdan
    Gioară, fondateur et président de l’association Repère 21.



  • L’agriculture intensive, entre économie capitaliste et engagement personnel

    L’agriculture intensive, entre économie capitaliste et engagement personnel


    « L’agriculture intensive », « Les forêts et leurs ressources » et « Les changements
    climatiques ». C’étaient les trois débats organisés lors d’édition 2019 du Festival international de film Pelicam. Le Festival, arrivé à sa 8e édition, a lieu chaque juin à Tulcea, dans
    le sud-est de la Roumanie. Cette année, une partie de sa programmation était inscrite dans la saison France-Roumanie. Ainsi, des réalisateurs et des spécialistes
    des questions environnementales de France se sont rendus à Tulcea, où ils ont
    rencontré des spécialistes roumains et un public avide de les entendre débattre.


    Elena Diaconu est allée à Pelicam pour essayer
    de mieux comprendre les profondes crises environnementales et de société qui nous
    affectent tous. Son reportage parle du fonctionnement de l’agriculture intensive et s’interroge sur la part de choix personnel que nous avons, chacun d’entre nous, par rapport à notre alimentation.

    Y sont interviewés le journaliste français Jean-Baptiste Malet et Attila Szocs, le président de l’association roumaine Eco Ruralis. Jean-Guy Henckel, fondateur du réseau Cocagne
    en France, faisait également partie des intervenants à ce débat à Tulcea. Il a
    déjà été interviewé par RRI pour ce reportage sur l’insertion professionnelle
    en Roumanie.




  • Pelicam 2019

    Pelicam 2019

    Le cours du Danube s’étale
    sur près de 2800 km avant d’arriver à Tulcea, dans le sud-ouest de la Roumanie.
    C’est là que s’ouvre le Delta du Danube, un paradis de biodiversité classé au
    patrimoine mondial de l’Unesco. Et c’est là aussi que se déroule, depuis 8 ans
    maintenant, un festival de film dédié à l’environnement, le Festival
    Pelicam.


    RRI a
    rencontré Benjamin Ribout, son co-directeur, après la cérémonie de clôture de
    cette huitième édition qui s’est déroulée en juin. Comment mesurer le succès
    d’un festival, quelle est son importance pour son public et pour la communauté
    locale ? Réponses dans une interview d’Elena Diaconu.

  • Le Festival de film sur l’environnement et les hommes Pelicam

    Le Festival de film sur l’environnement et les hommes Pelicam

    Au micro d’Ileana Ţăroi et depuis le Delta du Danube, Elena Diaconu passe en revue les temps forts de l’édition 2019 du festival Pelicam.



  • Rétrospective Pelicam à Bucarest

    Rétrospective Pelicam à Bucarest

    Les nombreux prix gagnés par les films roumains ces dernières années leur ont réservé une place dans tous les grands festivals internationaux. Cela a un effet direct sur le nombre de productions annuelles, mais notamment en termes de films de fictions. En Roumanie aussi il y a de plus en plus de festivals de film, mais peu sont dédiés au film documentaire. Parmi eux, le Festival Pelicam tient une place à part. Elena Diaconu est allée à la rencontre de Benjamin Ribout, journaliste français établi en Roumanie, qui a lancé ce festival en 2012.

  • De l’environnement, sans la morale

    De l’environnement, sans la morale

    Après la main verte, c’est le look, les idées et les tendances verts qui sont dans le vent, surtout en milieu urbain et les Roumains n’y font pas exception en Europe. Mais combien de conviction y a-t-il dans tout cela ? Depuis cinq ans, un oiseau, unique en son genre, tente d’expliquer au Roumains et aux Européens de l’Est pourquoi les mots et le paraître sont bien, mais un peu plus d’attention sinon d’implication effective sont encore mieux, s’il s’agit d’approcher l’endroit où l’on évolue. « Pelicam », avec un m, se recommande comme un Festival du film sur l’environnement et les gens qui peuplent celui-ci, mais on ne saurait le réduire à la case festivalière. Fait par des jeunes pour des esprits ouverts ou qui veulent s’ouvrir, Pelicam a amorcé des changements insidieux de comportements et même des transformations au sein de la petite ville qui l’accueille, Tulcea, dans le sud-est de la Roumanie, à l’entrée du Delta du Danube. Les films environnementaux, quel impact peuvent-ils avoir en dehors de la salle de projection ? Comment arriver aux gens en évitant la morale ? Comment faire pousser un festival de la sorte et combien écologique est-il, lui-même ?


    Explications sur la force d’un tel festival régional de faciliter des prises de conscience avec Benjamin Ribout, journaliste, créateur et directeur de Pelicam, le professeur des universités et ex-ministre de la Culture, Vlad Alexandrescu, et le journaliste suisse Noël Tamini.


  • Pelicam – das internationale Filmfestival mit Umwelt-Thematik

    Pelicam – das internationale Filmfestival mit Umwelt-Thematik

    Die 5. Auflage des Internationalen Filmfestivals Pelicam“ über Umwelt und Menschen findet in Tulcea vom 16. bis 19. Juni statt. Vier Tage lang werden mehr als 30 Filme zum ersten Mal in Rumänien gezeigt. Am Festival nehmen Regisseure, Produzenten und Darsteller aus allen Ecken der Welt teil. Das Festival umfasst auch dieses Jahr vier Kategorien: Langfilm, Black Sea Docs, Kurzfilm und Fresh Perspectives. Benjamin Ribout, Festival-Direktor, dazu:



    Vier Tage lang werden sowohl tagsüber in zwei Räumen als auch abends auf dem Gro‎ßen Platz in Tulcea und im Pelicam-Camp Filme gezeigt. Es wird also vier Orte geben, an denen Filme gezeigt werden. Es werden Dokumentarfilme aus aller Welt gezeigt. Wir werden 35-40 Filme aus Südamerika, Afrika und Europa zeigen. Europa produziert sehr viele Dokumentarfilme über die Umwelt. Alte Dokumentarfilme stammen aus Deutschland, Frankreich, Spanien. Italien wird in der Kategorie »Black Sea Docs« einen Film über die Donau bringen. Weiter sollen Filme aus dem Schwarzmeer-Raum gezeigt werden: aus Rumänien, der Moldaurepublik, der Ukraine, der Türkei, Georgien und Bulgarien. Au‎ßerdem gibt es die Kategorie »Flash Perspectives«. Die Jury dieser Kategorie besteht aus Gymnasiums-Schüler aus Tulcea. Hier konkurrieren frische Filme, die alternative Lösungen für eine nachhaltige Zukunft anbieten. Eine weitere Kategorie ist die der Kurzfilme, in der dieses Jahr 10 Filme aus mehreren Ländern um den Titel kämpfen. Aus der Türkei kommen zwei Filme, andere Filme aus Spanien, Frankreich und Deutschland. Diese Filme werden auf unterschiedlichen Festivals in der Welt gezeigt, manche sogar in Berlin und Cannes, es sind wertvolle Dokumentarfilme, die leider bei uns im Fernsehen nicht gezeigt werden. Es sind Dokumentarfilme über die Umwelt und über das Zusammenleben mit der Umwelt nicht nur in Rumänien, sondern in der ganzen Welt. Das Thema dieses Festivals ist das Zusammenleben zwischen Mensch und Natur, die Filme üben Kritik aus, stellen Missbrauchs-Situationen gegenüber der Umwelt dar, es sind aber auch schöne Filme.“




    Das Internationale Filmfestival über Umwelt und Menschen Pelicam“ nimmt sich vor, durch die gezeigten Filme Umweltprobleme, die für uns alle wichtig sind, hervorzuheben. Deshalb werden die Filme von Frage-Antwort-Runden begleitet. An diesen nehmen die Regisseure, die Produzenten oder die Darsteller sowie Umwelt-Spezialisten aus Rumänien teil. Diese präsentieren die rumänische Perspektive über die globalen Herausforderungen. Letztes Jahr haben mehr als 5000 Personen an den Film-Projektionen, Debatten, Ausstellungen und Konzerten, die im Rahmen des Festivals organisiert wurden, teilgenommen.

  • Histoires de vie vraies

    Histoires de vie vraies

    Aujourd’hui nous parlons de l’image en tant que support pour des histoires racontées par la caméra. Deux festivals de film ont eu lieu dans la première moitié de juin, chacun mettant en lumière des productions particulières, dans le but assumé de produire une prise de conscience parmi les publics. Des histoires de vie vraies, des rencontres avec des personnalités roumaines sont également à découvrir grâce à une plate-forme interactive en ligne mise au point par une équipe d’enthousiastes.

    Les invités d’Ileana Taroi:

    – Raluca Mateiu, chargée de la culture et de communication à l’Institut Français de Cluj sur le Festival Très Courts (métrages),

    – Benjamin Ribout – directeur du Festival International du film Pelicam, le seul de Roumanie consacré à l’environnement

    – Mirel Bran, journaliste et membre de l’équipe chargée de la plate-forme DECS qui propose des rencontres virtuelles avec des personnalités roumaines en tout genre.



  • “Pelicam” à Washington

    “Pelicam” à Washington

    La jeune génération roumaine est dernièrement plus impliquée en matière d’environnement. Que ce soit les exploitations aurifères, le gaz de schiste, l’agriculture bio ou d’autres thématiques, les jeunes Roumains sont beaucoup moins réticents à faire valoir leurs opinions et à participer aux débats. Un festival de film environnemental, « Pelicam », ne cesse de monter depuis trois ans. Il se tient dans le Delta du Danube et il est déjà un des repères du cinéma européen spécialisé. Pelicam fait partie du réseau festivalier Green Film Network et, grâce à ce partenariat, à sa visibilité, dans quelques jours, il traverse l’Océan atlantique, en tant qu’invité du Festival du cinéma d’environnement de Washington. Pelicam sy montre le 22 mars avec le documentaire « Chevaux sauvages » du réalisateur Dan Curean, un film avec un sujet très inattendu. Explications avec Corina Moldovan-Florea, co-directrice du festival Pelicam.


  • PS au Pelicam

    PS au Pelicam

    Au milieu du mois de juin la ville de Tulcea, située au sud-est de la Roumanie sur les rives du Danube, a accueilli le festival international du film environnemental Pelicam. C’est ensuite à l’Institut français de Bucarest, à proximité de Piata Romana, que s’est déroulée la rétrospective de ce festival inédit. Ambiance… (Manon Bodel)


  • Pelicam 2014

    Pelicam 2014

    A lentrée du Delta du Danube se trouve la ville de Tulcea qui accueille, pour la troisième année de suite le “Pelicam”, cet animal étrange issu du croisement dun pélican et dune caméra. Non, ce nest pas un monstre, mais un des plus jeunes festival de Roumanie, avec une thématique singulière – le cinéma environnemental. Un festival jeune de tous les points de vue – jeune dâge, jeune desprit, avec une équipe très jeune, qui anime, cette année, la petite ville du sud-est de la Roumanie du 13 au 15 juin. Eclairage avec Benjamin Ribout, journaliste et directeur de “Pelicam”…