Tag: piano

  • Rencontre avec la pianiste Axia Marinescu

    Rencontre avec la pianiste Axia Marinescu

    Axia Marinescu est née et a grandi à Bucarest avant de partir faire ses études à l’étranger, comme bon nombre de ses compatriotes roumains. Elle a accepté notre invitation et revient pour nous sur son parcours et sa passion pour la musique au micro de RRI.

     

  • Inya Cutova

    Inya Cutova


    Our guest this week is Inya Cutova, a very talented 14-yo pianist from Constanta, in the south east of the country. She has won countless national and international piano competitions, including the Frederick Chopin International Piano Competition in Bacau and the Carl Filtsch Piano and Composition Contest and Festival in Sibiu.







  • Récital Nicolae Dumitru

    Récital Nicolae Dumitru

    Ce mardi, 30 mai, à 19 heures, l’Athénée roumain de Bucarest accueille le récital du pianiste roumain, Nicolae Dumitru, sous le titre Fantaisies et réalisé en partenariat avec l’Institut français de Bucarest et Radio Roumanie Musique. Au programme : des compositions de Jean-Philippe Rameau, George Enescu et Maurice Ravel, accompagnées de projections vidéo réalisées par Andrei Silviu. Nicolae Dumitru a donné un concert à Stockholm, Vienne, Londres, et en 2008, à l’initiative de l’Institut culturel roumain il a donné un concert dédié au centenaire Sigismund Toduţǎ à Lisbonne, Madrid, Barcelone, Budapest, Venise et Roma. En 2013 le pianiste a initié le projet national de récitals éducatifs « Concerto ! » destiné aux jeunes et déroulé dans les principales centres philharmoniques et culturels du pays.

  • Dinu Lipatti

    Dinu Lipatti

    Tout comme George Enescu est un symbole de la création symphonique roumaine, Dinu Lipatti est le nom le plus important pour ce qui est du piano.

    Voici quelques aspects de la carrière brève, mais
    brillante du grand musicien roumain, né le 19 mars 1917 et décédé le 2 décembre
    1950.

    Dinu Lipatti est né à Bucarest le 19 mars 1917, premier enfant d’une ancienne
    famille d’intellectuels. Les premières preuves du talent exceptionnel de Dinu sont
    apparues dès un âge très tendre, lorsqu’il reproduisait toute mélodie. Un
    moment important a été celui de la rencontre avec George Enescu, qui a été d’ailleurs
    son parrain. Le plus important compositeur roumain a remarqué le talent de Dinu
    Lipatti et a commencé à contribuer à sa formation musicale. Une photo d’époque
    est représentative puisqu’elle immortalise George Enescu, le violon à la main,
    posant une couronne de lauriers sur la tête d’un enfant de quatre ans en la
    personne de Dinu Lipatti.

    Son premier professeur a été une autre personnalité du monde musical roumain : le compositeur Mihail Jora, qui a guidé les pas de l’enfant merveille. Avec Jora comme mentor, Dinu étudie le piano, l’harmonie et le solfège. Quatre ans plus tard, Mihail Jora décide de céder la place à une enseignante, spécialiste du piano. Dans une lettre envoyée à Florica Musicescu, il disait que : « Il serait mieux qu’il continue ses études avec vous. Je ne suis pas pianiste, et étant donné son niveau élevé de performance, la situation me dépasse. »

    La première rencontre du petit pianiste avec le public a eu lieu à l’âge de 11 ans, sur la scène de l’Athénée roumain, lorsqu’il a même présenté quelques créations originales. Puis il devient étudiant de l’Université nationale de musique de Bucarest, pour se perfectionner ensuite au Conservatoire de Paris avec Alfred Cortot, Paul Dukas, Nadia Boulanger. Dinu Lipatti est rapidement devenu une présence habituelle des grandes salles de concerts de France, Belgique, Italie, Suisse, Pays-Bas, Autriche. Le succès était à chaque fois immense et son répertoire ne cessait de s’enrichir.

    Pour ce qui est des prix obtenus, mentionnons seulement le 1er prix au Concours national de composition « George Enescu » pour la suite symphonique « Satrarii » crée en 1934. Dinu Lipatti a été salarié de la Société de Concerts du Conservatoire de Paris et a collaboré avec des institutions musicales d’élite, telles les Philharmonies de Berlin, Vienne et Rome. Il a donné des concerts mémorables à Stockholm, Madrid, Lisbonne et enseigné au Conservatoire de Genève. Parmi ses amis et collaborateurs figurent de grandes personnalités du monde musical international.

    Le pianiste Dinu Lipatti a été une figure à part dans la galerie des grands
    musiciens roumains en raison notamment de la musicalité et de sa sensibilité hors
    du commun, des tonalités douces et de sa technique impeccable. Il était
    caractérisé surtout par la passion pour la musique, mais il avait aussi des hobbies assez
    inattendus. Il construisait des appareils de radio, il adorait conduire des voitures,
    il aimait la dactylographie, et même se confectionner des foulards en laine. Hormis
    ces passions qui avaient peu de chose en commun avec la musique, Dinu Lipatti
    était aussi un photographe amateur. Propriétaire d’un appareil photo performant
    pour son époque, Dinu Lipatti a réalisé entre 1934 et 1939 une centaine de
    photos dont la plupart représentaient de paysages de Roumanie et de l’étranger.
    Parmi les autres photos portant la signature de Dinu Lipatti figurent aussi des
    portraits de ses professeurs et de nombreux autoportraits.



    Dinu Lipatti s’est éteint à l’âge de 33 ans seulement, des suites d’une
    leucémie, le 2 décembre 1950, dans une localité située près de Genève.

  • Ramona Horvath

    Ramona Horvath

    Virtuose du piano, magicienne de l’improvisation qui nous emmène vers des horizons insoupçonnés dans l’univers du jazz, Ramona Horvath adore rencontrer son public roumain. Elle a donc profité d’une brève embellie accordée par la pandémie pour nous proposer, avec le contrebassiste français Nicolas Rageau, son partenaire de scène, un voyage musical dans plusieurs villes de Roumanie. La tournée a eu lieu en septembre 2021, dans le sillage du Festival International George Enescu. Ramona Horvath et Nicolas Rageau en ont parlé au micro de RRI après leur retour en France.

  • La pianiste Alina Elena Bercu

    La pianiste Alina Elena Bercu

    Alina Bercu a pris ses premières leçons de piano quand elle avait 7 ans – avec la professeure Magdalena Toma – et le succès est arrivé cinq ans après. Quelques mois après avoir commencé à apprendre à jouer du piano (1997), Alina Bercu était déjà élève de la célèbre professeure Stela Drăgulin, de la Faculté de musique de Brasov (centre), et elle a continué de lêtre jusquen 2006. À 16 ans, Alina a été acceptée pour étudier avec Grigory Gruzman à lUniversité de musique « Franz Liszt » de Weimar / Allemagne, en continuant en parallèle les cours au Lycée « Andrei Saguna » de Brasov. Elle a également étudié la musique de chambre à lUniversité de musique et darts de Francfort, a obtenu un master à lUniversité de musique de Nuremberg, sous la direction du professeur Wolfgang Manz, et a eu la chance daméliorer sa technique avec des maîtres tels que : Lory Wallfish, Rudolf Buchbinder, Leslie Howard, Karl-Heinz Kämmerling, András Schiff ou encore Menachem Pressler.



    La première réalisation internationale dAlina, cest le Premier prix et le Prix du public au Concours Steinway & Sons à Hambourg / Allemagne en 2002, suivi du Grand Prix et de la Médaille dor dans les sections « solo » et « concerto » à la « World Piano Competition » de Cincinnati / Ohio – 2004, et par le Prix spécial du ministère des Affaires étrangères pour la promotion de la Roumanie par la culture – 2004. En 2006, Alina Elena Bercu a été déclarée Grande gagnante sur la scène nationale du concours « Eurovision Jeunes Musiciens » de Bucarest et elle obtenait aussi, la même année, la 4e place à « Eurovision Young Musicians » à Vienne. Alina réussissait ainsi à qualifier la Roumanie pour la première fois dans la finale de ce concours européen. Dautres succès ont suivi pour la jeune pianiste roumaine : le IIIe prix au Concours international de Piano « A.M.A. Calabria » à Lamezia Terme, en Italie, en 2007, et cette même année, elle sest qualifiée pour la finale de la 22e édition au Concours international de piano « Clara Haskil » de Vevey, en Suisse, étant la gagnante du concours. Lartiste a également des prix dans le domaine de la musique de chambre – dont le 3e prix au Concours international de musique de chambre « Premio Trio di Trieste » (Italie), en 2011.



    En 2009, quand Alina célébrait 10 années dactivité de concert, elle a eu une période avec plus dune centaine de concerts, accompagnée dorchestres roumains et étrangers, de nombreux récitals, des émissions en direct et des enregistrements à diverses stations de radio et de télévision autochtones, mais aussi dAutriche, dItalie, des Pays-Bas, de Suisse, dIndonésie et des Etats-Unis. Elle a donné en tout plus de 200 concerts, enregistrant sur CD pour la Phonothèque dor de la Radiodiffusion roumaine, mais aussi pour la maison Fuga Libera de Belgique.



    Alina Bercu sest produite sur des scènes célèbres dEurope, dAmérique et dAsie : à lAthenée roumain, au Studio Mihail Jora de Radio Roumanie, à la Grande Salle du Palais – tous de Bucarest, au Tonhalle de Düsseldorf, au Teo Otto Theater de Remscheid, au Prinzrerottentheater de Munich, au Musikhalle de Hambourg, à lAuditorium de Rome, au Tonhalle de Zürich, au Théâtre du Vevey, mais aussi au Carnegie Hall de New York, en compagnie de grands ensembles du pays – lOrchestre symphonique de la Philharmonie « George Enescu » et lOrchestre « Sinfonia » (Bucarest), les Orchestres symphoniques des Philharmonies dEtat de Iasi, Bacău, Cluj, Oradea, de Braşov, Sibiu, Târgu-Mureş, Timişoara, Ploieşti, Piteşti. Elle sest également produite avec la « Bergische Symphoniker » de Remscheid et le « Mozart Orchester » de Hambourg, Allemagne, la Philharmonie dEtat de Vienne, le « Gesellschaft Orchestra » de Zürich et lOrchestre de Chambre de Laussane, le « Gulf Coast Symphony » du Mississippi, le Limburgs Symfonie Orkest de Roermond, aux Pays-Bas.



    Alina a eu le privilège de jouer sous la direction de chefs dorchestre prestigieux : Sergiu Comissiona (Roumanie/Etats-Unis), Misha Katz (France), Romely Pfund, Robert Stehli – tous deux dAllemagne, Jan Stulen et Theo Wolters des Pays-Bas, Paolo Arrivabeni (Italie), John Wesley Strickler (Etats-Unis), Ilarion Ionescu Galaţi, Horia Andreescu, Emil Simon, Vlad Conta, Paul Popescu, Petre Sbarcea, Florin Totan, Dan Chirilă, Radu Popa, Ludovic Bacs – tous roumains.



    Elle a joué lors doccasions spéciales : concert du Nouvel An à la célèbre Tonhalle de Zürich en 2009, concert à loccasion du 80e anniversaire de la Radiodiffusion roumaine, à Bucarest, en 2008, Concert symphonique extraordinaire à loccasion du 130e anniversaire de la création de lOrchestre philharmonique dÉtat « Gheorghe Dima » de Braşov – en 2008, Concert à loccasion du 100e anniversaire du Rotary Club International / à lAthénée roumain de Bucarest – en 2005 et bien dautres.



    Alina Bercu a participé à des concerts et récitals de charité : en Allemagne, dans certains hôpitaux et maisons de retraite, à Jakarta et à Bali – tournée de récitals et de concerts, pour financer un programme de réhabilitation des enfants handicapés physiques et pour financer la construction dune maison pour enfants orphelins en Indonésie, concert organisé à Brasov, à loccasion de linauguration du Centre de soins de santé Hospice Brasov – afin de recueillir les fonds nécessaires à la modernisation de la salle de chirurgie de lHôpital pour enfants de Brasov – et au concert de Noël en 2005 dans une maison de retraite, concerts organisés à Zurich avec le soutien du Rotary international / Suisse, pour collecter les fonds nécessaires à la construction et au soutien des travaux de lÉcole roumaine dorgues de Harman (Braşov) et en 2008 à Roermond / Pays-Bas – « Concert pour Alexandra », un projet soutenu par la Fondation néerlandaise « Heart for Romania » visant à recueillir des fonds pour la construction de lÉcole spéciale pour non-voyants à Sibiu. En 2010, la pianiste Alina Bercu et le violoniste Ilian Garnets ont produit le CD « Schubert – Ysaye – Brahms », à la maison « Fuga Libera », récompensé par le « Golden Label » en Belgique et « Clef dOr » en France.



    Parallèlement à son œuvre en solo, Alina est membre de plusieurs orchestres de chambre. En 2017, à 27 ans, Alina Elena Bercu faisait partie des 30 participants au célèbre Concours international Van Cliburn de Fort Worth, au Texas. Expressive, avec une technique impeccable, dans le respect du style musical de chacun et très travailleuse, Alina Bercu a été découverte et promue par Radio Roumanie. Elle donne actuellement des cours de piano à lUniversité de musique Franz Liszt de Weimar, continuant à combiner lactivité pédagogique et de concert.


    (Trad.: Ligia)

  • Dialogue musical franco-roumain

    Dialogue musical franco-roumain

    Au bout
    d’une année de Saison croisée Roumanie – France et au lendemain de la Fête
    nationale roumaine, l’amitié qui s’est tissée entre les deux pays à travers
    l’histoire a été célébrée par un événement exceptionnel : un récital de piano inattendu, un dialogue
    pianistique entre l’ambassadrice de France à Bucarest, Michèle Ramis, et un des
    musiciens roumains les plus réputés, le pianiste Dan Grigore. Au
    programme de cet épilogue musical de la Saison franco-roumaine, accueilli par
    la salle Elvire Popesco de l’Institut français de Bucarest, des pièces de
    George Enescu et de trois compositeurs français, Claude Debussy, Gabriel Fauré
    et Maurice Ravel.


  • Clara Haskil

    Clara Haskil

    Ses contemporains ont admiré l’art et les qualités humaines de la pianiste Clara Haskil. Lorsqu’elle se mettait au piano, « la musique se matérialisait, comme venue de nulle part. Son bras semblait glisser sur le clavier sans le toucher, telle une pierre rebondissant à la surface de l’eau. Rien ne semblait commencer ou s’achever, tout devenait hors du temps », disait son bon ami, le pianiste roumain Dinu Lipatti. Il a décrit sa manière de jouer du piano comme « le summum de la perfection sur Terre ». Charlie Chaplin, soit Charlot, l’a considérée un génie : « Dans ma vie, j’ai rencontré trois génies », avait-il l’habitude de dire : « Clara Haskil, Einstein et Winston Churchill ».

    Née en Roumanie, à Bucarest, en 1895, dans une famille juive, Clara reçoit les premières leçons de piano de sa mère, et à 5 ans elle joue devant la reine Elisabeth de Roumanie, qui lui offre une bourse d’études. A seulement 6 ans, elle suit les cours du Conservatoire de Bucarest, puis, à 7 ans, elle fait des progrès avec le professeur Richard Robert à l’Académie de musique de Vienne, tant et si bien qu’à 10 ans, elle donne son premier concert public, sans partitions. C’est aussi l’année où elle s’inscrit au Conservatoire de Paris, devenant l’élève du célèbre Alfred Cortot. Elle remporte plusieurs concours d’interprétation, mais se voit malheureusement contrainte d’interrompre son activité pendant plusieurs années, étant immobilisée dans du plâtre à cause d’une maladie de la colonne vertébrale. C’est à peine en 1921 qu’elle est en mesure de faire son retour en public comme soliste de récitals de piano ou de concerts, accompagnant parfois des musiciens prestigieux tels George Enescu, Pablo Casals, Eugène Ysaye, Dinu Lipatti. Un autre problème de santé la tient loin de son public. Par peur du nazisme, elle se réfugie en France, en 1940 ; après beaucoup de pérégrinations en raison des persécutions, elle s’établit à Vevey, en Suisse, en 1942.

    Pourtant, sa véritable consécration, avec des succès retentissants, elle allait la connaître après la Seconde Guerre mondiale. Clara Haskil joue dans des concerts de piano avec les orchestres les plus renommés, sous la baguette de chefs d’orchestre illustres, tels Leopold Stokowski, Thomas Beecham, Sergiu Celibidache ou en duo avec des instrumentistes célèbres. En 1950, elle rencontre le violoniste Arthur Grumiaux ; ils forment un duo célèbre et s’imposent devant le public. Entre 1952 et 1957, elle voyage à travers le monde, donnant 80 concerts par saison avec les orchestres et les chefs d’orchestre les plus renommés d’Europe, des Etats Unis et du Canada. Elle fait avec Herbert von Karajan une tournée de trois semaines qui lui apporte un succès bien mérité. Les 11 concerts accordés en 1956, dans l’Année Mozart, sous la direction du célèbre Herbert von Karajan la consacrent comme l’interprète parfaite des œuvres du génie de Salzbourg.

    La Roumanie rend hommage pour la première fois à Clara Haskil en 2014 par un festival organisé à Sibiu, à l’initiative de la pianiste Alina Azario. Une année après le lancement du festival Clara Haskil, la jeune pianiste racontait dans une émission sur Radio Roumanie comment elle était arrivée à franchir ce pas :« L’idée de lancer le Festival international Clara Haskil en Roumanie m’est venue lorsque j’ai constaté que son nom était très peu connu dans son propre pays. Peut-être que les musiciens la connaissent très bien, mais le public ignore que Clara Haskil est née en Roumanie. C’st pourquoi j’ai pensé que c’était le moment que nous autres Roumains nous essayions d’honorer son nom, peut-être plus tard, mais il vaut mieux tard que jamais. »

    Son nom est maintenu vif en mémoire par un des plus grands concours de piano du monde, le Concours International de Piano Clara Haskil, de Vevey, en Suisse, compétition organisée les années impaires, depuis 1963, trois années après son décès. Et c’est toujours là que se trouve une rue qui porte le nom de la pianiste d’origine roumaine.

  • Die Tournee “Klavier auf Reisen“ wird auch 2015 fortgesetzt

    Die Tournee “Klavier auf Reisen“ wird auch 2015 fortgesetzt

    Am 22. März dieses Jahres begann in Galati die 5. Ausgabe der Tournee “Klavier auf Reisen”. Im Rahmen dieser Tournee gibt der bekannte rumänische Konzertpianist Horia Mihail bis zum 20. Mai Rezitale und Konzerte in 20 rumänischen Städten und in Kischinew, der Hauptstadt der benachbarten Republik Moldau. Die Tournee geht durch die historischen Regionen Rumäniens und in den ostrumänischen Tulcea und Roman trifft der Pianist auf die anderen reisenden Klaviere“, die beim Abschlu‎ß der Tourneen von 2013 und 2014 in diesen Städten ein neues Zuhause gefunden haben.



    Das bewegte Leben des berühmten Pianisten und Komponisten Franz Liszt war die Inspirationsquelle für die Tournee Klavier auf Reisen“, die vom Medien- und Kulturzentrum Radio România und vom Kulturverein Accendo“ veranstaltet wird. Die spannende internationale Tournee, die Tausenden Musikliebhabern viel Freude bereitet, hat mehrere Ziele: einerseits sollte sie einem breiten Publikum die klassiche Musik näherbringen und andererseits wird jedes Jahr einer anderen Stadt ein Konzertflügel geschenkt, das 4 Jahre lang dort bleiben soll, um weitere hochrangige Musikevents zu ermöglichen. Dieses Jahr bleibt der Konzertflügel nach Tourneeabschlu‎ß in der westrumänischen Stadt Deva.



    Auf seiner 5. Reise nach dem Beispiel des Langstreckenpianisten“ Liszt versucht Horia Mihail zu beweisen, dass die Romantik viele verschiedene Gesichter hat, und jeden Hörer auf andere Weise beeindrucken kann. Für die Tournee 2015 suchte er sich vier gro‎ße Komponisten aus, die besondere Stücke für das Piano-Repertoire geschrieben haben – Brahms, Liszt, Schumann und Rachmaninow.



    Der bekannte rumänische Konzertpianist Horia Mihail ist ein hochkarätiger Musiker, der bei jedem Konzert das Publikum in seinen Bann zieht. Er studierte Klavierspielen bei der Bukarester Musikakademie mit Professor Constantin Ionescu-Vovu. Nach 14 Jahren intensiven Studierens in Rumänien besuchte Horia Mihail auch die Musikuniversität in Illinois, USA, studierte Klavier mit Prof. Ian Hobson und machte 1995 seinen Magisterabschlu‎ß. Anschlie‎ßend verfeinerte er sein Klavierspielen mit Anthony di Bonaventura an der Boston University, wo er 1999 das Artist Diploma” erhielt. Seit 2009 ist Horia Mihail Konzertpianist des Rumänischen Rundfunkorchesters und konzertiert sehr oft im Saal des Rumänischen Rundfunks, und auch mit weiteren Symphonieorchestern in Rumänien und im Ausland.



    Im Laufe der Jahre gab er über 2000 Pianorezitale und Konzerte in 18 Ländern auf 4 Kontinenten und beteiligte sich an mehreren gro‎ßen Projekten mit starkem kulturellen und sozialen Impakt, wie Klavier auf Reisen”, Die Goldene Flöte”, Die Violine George Enescus” und Duell der Violinen”. Horia Mihail spielte mit bekannten Musikern zusammen und machte zahlreiche Aufnahmen mit dem Rumänischen Rundfunkorchester, die auf Rundfunk- und Fernsehkanälen in Rumänien, Belgien, Gro‎ßbritannien, Dänemark, Ungarn und den Vereinigten Staaten übertragen wurden.

  • 02.05.2014 (mise à jour)

    02.05.2014 (mise à jour)

    Moldova — La crise en Ukraine et ses implications sur les pays de la région — la République de Moldova comprise, figureront à l’agenda des entretiens que le ministre britannique des Affaires étrangères, William Hague, aura lundi à Chişinău. Il doit rencontrer notamment le président de la république, Nicolae Timofti, le premier ministre Iurie Leancă et la ministre des Affaires étrangères et de l’intégration européenne, Natalia Gherman. Les chefs des diplomaties allemande et française, Frank-Walter Steinmeier et respectivement Laurent Fabius, ont fait récemment une visite commune dans la capitale moldave. Plusieurs responsables américains et ministres des Affaires étrangères des Etats de l’UE ont visité la République de Moldova depuis un mois, dans le contexte de la crise ukrainienne et du processus de rapprochement de Chişinău de l’Union.



    Presse – 2013 a été l’année la plus sombre de la dernière décennie pour la liberté de la presse — conclut un rapport de l’Organisation internationale de défense de la démocratie et des droits de la personne “Freedom House”. Le document fait savoir que seulement 14% de la population de la planète a accès à une presse libre, tandis que 44% vivent dans des zones où la liberté de la presse n’existe pas et autres 42% dans des régions où les médias sont partiellement libres. Sur les 197 Etats et territoires pris en compte, seulement dans 63 les médias s’expriment librement. Les Pays-Bas, la Norvège et la Suède se partagent le podium, alors que le Turkménistan, l’Ouzbékistan et la Corée du Nord occupent les dernière places. La Roumanie se trouve au milieu de ce classement, parmi les pays où la presse est partiellement libre.



    1er Mai — Pour fêter le 1er Mai, les Roumains ont choisi les piques-niques en famille et entre amis, les kermesses populaires où des courts séjours touristiques. Le littoral de la Mer Noire est l’endroit le plus chaud, des dizaines de milliers de touristes l’ayant choisi pour y passer ce long week-end de fête. Dans le monde, la Fête du travail a été marquée par des manifs diverses. A Moscou, une centaine de milliers de Russes ont participé à un défilé dont les dimensions ont rappelé l’époque de l’URSS. A Istanbul, la police turque a recouru à du gaz lacrymogène et aux canons à eau pour disperser les protestataires qui voulaient braver l’interdiction de se rassembler place Taksim, haut lieu des manifestations anti-gouvernementales. Des marches et des rassemblements contre l’austérité ont également été organisés en France, Espagne, Italie ou Grèce.



    Réserves — Les réserves en devises fortes de la Roumanie ont augmenté en avril de 1,16 milliards d’euros pour totaliser maintenant 32,44 milliards — a annoncé vendredi la Banque Nationale. Selon cette source, les réserves internationales (devises + or) totalisaient, au 30 avril, 35,5 milliards d’euros par rapport aux 34,4 milliards, au 31 mars. La réserve d’or s’est maintenue à 103,7 tonnes et, dans les conditions de l’évolution des prix internationaux, la valeur de cette réserve se chiffre à 3,1 milliards d’euros. Les payements échéants en mai 2014 pour le compte de la dette publique directe ou garantie par le Ministère des Finances Publiques totalisent quelques 2,370 milliards.



    Musique — Le pianiste roumain Horia Mihail et son « piano voyageur » sont arrivés à New York. Ce projet initié par la Radio Publique de Bucarest sera présenté à l’Institut Culturel Roumain aux représentants des radios publiques européennes et américaines ainsi qu’au public des Etats-Unis. Arrivée à sa 4e édition, la tournée « Le piano voyageur » a eu pour point de départ l’idée de remettre en état un piano de la Radiodiffusion roumaine, voué à la casse, pour l’amener dans une aventure musicale à travers plusieurs villes du pays, pour être finalement offert à l’une d’entre elle. Après avoir parcouri4 mille km et traversé 15 villes de Roumanie et de la République de Moldova, Horia Mihail est arrivé à présent à New York. Ce dimanche, il donne un concert à la Klavierhaus, un magasin considéré comme le Paradis des pianistes et prévu d’un espace pour les récitals.